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authorRoger Frank <rfrank@pglaf.org>2025-10-15 02:32:55 -0700
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+Project Gutenberg's L'Anti-Justine, by Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne
+
+This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with
+almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or
+re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included
+with this eBook or online at www.gutenberg.org
+
+
+Title: L'Anti-Justine
+ ou, Les Delices de l'amour
+
+Author: Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne
+
+Release Date: October 7, 2008 [EBook #26804]
+
+Language: French
+
+Character set encoding: ISO-8859-1
+
+*** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE ***
+
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+
+Produced by Daniel Fromont
+
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+
+[Transcriber's note: Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne
+(Nicolas Restif dit Restif de la Bretonne) (1734-1806),
+_L'Anti-Justine_ (1978), édition de 1798
+
+A classic French erotic novel of the 18th century
+
+
+Orthographe de l'édition 1798 conservée
+
+Il n'y a pas de chapitre 29; il y a deux chapitres 31.]
+
+
+
+
+L'ANTI-JUSTINE,
+
+OU
+
+LES DELICES DE L'AMOUR.
+
+
+Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.
+
+
+Avec LX Figures.
+
+
+[Première Partie.]
+
+
+AU PALAIS-ROYAL
+
+Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connue.
+
+1798.
+
+
+
+
+Quelle Excuse peut se donner à lui-même, l'Homme qui publie Un
+Ouvrage, tel que celui qu'On va lire? J'en ai cent, pour Une.
+Un Auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses Lecteurs.. Il
+n'est rién qui contribue autant au bonheur, qu'Une lecture
+agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui
+tiénne contre une heure de lecture". Or, de toutes les
+lectures la plüs entraînante, est celle des Ouvrages
+Erotiques, surtout lorsqu'ils sont acompagnés de Figures
+expressives. Blâsé sur les Femmes depuis longtemps, la JUSTINE
+de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus
+jouir, ét ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma
+Monture; je lui tordis la chair des bras... Honteux de ces
+excès, effets de ma lecture, je me fis moi-même un Erotikon
+savoureux, mais nón cruel, qui m'excita au point de me faire
+enfiler une Bossue-Bancroche, haute de 2 piéds. Prenéz, liséz,
+ét vous en feréz autant.
+
+
+L'ANTI-JUSTINE.
+
+
+
+
+Persone n'a été plus indigné que moi des sales Ouvrages de
+l'infame DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la
+Theorie du Libertinage, que je lis dans ma prison.. Ce
+Scelerat ne présente les delices de l'amour, pour les Hommes,
+qu'accompagnées de tourmens, de la mort même, pour les Femmes.
+Mon but est de faire un Livre plus savoureux que les siéns, et
+que les Epouses pourront faire lire à leurs Maris, pour en
+être mieux servies; un Livre où les sens parleront au coeur; où
+le Libertinage n'ait rien de cruel pour le Sexe des Graces, et
+lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort; où l'amour
+ramené à la nature, exempt de scrupules et de préjugés, ne
+présente que des images riantes et voluptueuses. On adorera
+les Femmes, en le lisant; on les chérira, en les enconnant:
+mais l'on en abhorra davantage le Vivodissequeur, le même qui
+fut tiré de la Bastille avec une Longue Barbe blanche le 14
+juillet 1789. Puisse l'Ouvrage enchanteur que je publie, faire
+tomber les siéns!
+
+
+Mauvais Livre fait dans de bonnes vues.
+
+Moi, Jean-Pierre-Linguet, maintenant detenu à la Conciergerie,
+declare, que je n'ai composé cet Ouvrage, tout savoureux qu'il
+est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y
+trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des Libertins,
+les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule.
+
+Floreal, an 2.
+
+
+
+I Chapitre.
+
+
+Chapitre De l'Enfant qui bande.
+
+
+Je suis né dans un Village près de Reims, & je me nomme
+CUPIDONET. Dès mon enfance, j'aimais les jolies Filles.
+J'avais surtout un faible pour les jolis piéds & les jolies
+chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Daufin, fils de
+Louis-XIV, & à Thevenard, acteur de l'Opéra.
+
+La première Fille qui me fit bander, fut une jolie Paysane,
+qui me portait à vêpres la main posée à nû sur mes fesses;
+elle me chatouillait les couillettes, & me sentant bander,
+elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal:
+car elle était chaude, parcequ'elle était sage.
+
+La première Fille à laquelle je fis des attouchemens,
+en-conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma
+première Puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit
+Soeurs, cinq aînées d'un premiér lit, & trois puînées. La
+Seconde de Celles-là, était jolie au-possible; il en sera
+question: La Quatrième avait le poil du Bijou tellement
+soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les
+Autres étaient laìdes. Mes Puînées étaient toutes-trois
+provoquantes.
+
+Or ma Mère préferait Jenovefette, la plus voluptueusement
+jolie, & dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui aporta
+des souliérs delicats. Je les lui vis essayer, & j'eús une
+violente érection. Le lendemain Dimanche, Jenovefette mit des
+bas fins blancs & neufs de coton, un corpset qui lui pinçait
+la tâille; & avec son lubrique tour-de-cùl, elle fesait
+bander, quoique si jeune, mon Père lui-même; car il dit à ma
+Mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux
+voir le souliér & le bas de la jambe de ma jolie Cadète)...
+Dès que ma Soeur fut sortie, mon Père renversa ma Mère, & la
+carillona sur le piéd du lit sous lequel j'étais, en lui
+disant: -- Hô! prenéz-garde à votre Fille cherie! Elle aura un
+furieux temperament, je vous en avertis... Mais elle a de quî
+tenir; car je baise bién! & voila que vous m'en donnéz, du jus
+de Con, come une Princesse-... Je m'aperçus que Jenovefette
+écoutait & voyait... Mon Père avait raison. Ma jolie Cadète
+fut depuis dépucelée par son Confesseur; ensuite foutue par
+tout le Monde. Mais elle n'en est que plus sage à-présent...
+Dans l'aprèsdînée, Jenovefette vint au jardin, où j'étais
+seul. Je l'admiraí; je bandaí. L'ayant abordée, je lui pressaí
+la tâille, sans parler; je lui touchaí le piéd, les cuisses,
+un Conin imberbe & joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne
+disait mot. Alors, je la fis mettre à-quatre; c'est-à-dire,
+súr les mains & sur les genoux, &, à l'imitacion des chiéns,
+je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant & saccadant de
+toutes mes forces, comme fait le chién, & lui comprimant
+fortement les aînes de mes deux mains: je lui fesais cambrer
+les reins, de sorte que son Conin était aussi à ma portée que
+le trou de son cùl: je l'atteignis donc & je mis le bout entre
+les lèvres, en disant: "Hausse, hausse le cùl, que j'entre".
+Mais On sent aussi qu'un conichon aussi jeune, ne pouvait
+admettre un vit, qui ne décalotait pas encore: (Il me falait
+Une Conasse, come je l'auraí biéntôt). Je ne pus
+qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne dechargeaí
+point; je n'étàis pas asséz formé... Ne pouvant enfiler, je me
+mis, aussi à l'imitacion de mes Modèles, à lècher le jeune
+Conin... Jenovefette sentit un chatouillement agreable
+sans-doute; car elle ne s'ennuyàit pas du jeu, & elle me dona cent
+baisérs sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, &
+elle courut.
+
+Come elle n'avàit pas encore de gorge: dès le lendemain elle
+se mit des tetons postiches, sans-doute parcequ'elle avàit oüi
+vanter ceux de sa Mère, ou de ses Aînées. Je les remarquaí: je
+la fis chausser, & l'ayant placée commodément sur son lit, je
+m'escrimaí près de deux heures. Je crois en-vérité qu'elle
+émit; car elle s'agitait comme une petite Enragée à mon
+lèchement de Con... Dès le surlendemain, On l'envoya en
+apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope tiré par
+mon Père.
+
+
+
+
+II Chapitre.
+
+Chap. Du Con soyeux.
+
+
+Mes autres Soeurs étaient l'Une serieuse; elle me retint dans
+les bornes; mais j'aí depuis foutu ses deux Filles à Paris: Ma
+Troisième était encore trop jeune: Ç'a été Une superbe Fille à
+dixhuit ans! Je me rejetaí neanmoins sur cette Enfant, lorsque
+je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était
+inabordable. Il me falait un Con, depuis que j'en avais palpé
+Un: je patinaí Babiche. Enfin un Dimanche, qu'elle était bién
+arrangée, & que ma Mère l'avait baignée, je la gamahuchaí.
+
+Ce fut à cette benigne operation, que je fus surpris par
+l'ardente Madelène au Con soyeux. Elle nous examina longtemps
+avant de nous troubler, & voyant que la Petite avait du
+plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remimes
+décemment. Madelène ne dit mot: Elle renvoya Babiche. Puis
+elle hazarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la
+pâille de la grange, où j'avais attiré Babiche; & lorsque je
+fus par-terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi,
+jambe de-çà, jambe de-là. Par-hazard, je portaí la main sous
+ses jupes, & j'y trouvaí l'admirable Con soyeux. Ce poil divin
+determina mon goût pour elle. Je devins fou du Con de
+Madelène-Lingüet: je lui demandaí à le baiser? -- Petit coquin!
+(me dit-elle), attens un moment-. Elle ala au puits, tira un
+seau d'eau, & s'accroupit dessus... Elle revint, & badina
+encore. Enflâmé, hors de moi, je lui dis, dans ma petite
+fureur érotique, -- Il faut que je lèche ce joli trou-. Elle se
+mit sur le dos, les jambes écartées: je léchai; la belle
+Madelène hocha du cùl: "Darde ta langue dedans, cher petit
+Ami"! (me disait-elle). Et je dardais, & elle haussait la
+mote. Je fourgonnais avec rage!... Elle eút tant de plaisir,
+qu'elle se recria. Je bandais come un petit carme: & come je
+ne dechargeais pas, j'avais toujours la même ardeur. Aussi
+m'adorait-elle. Obligée de me quitter, Madelène me dona des
+friandises, que je mangeaí avec Babiche.
+
+Un-soir, ma Soeur au Con soyeux me dit: -- Cupidonnet! ta jolie
+Broquette est toujours bién roide, quand tu me lèches! Il me
+semble que si nous étions dans le même lit, tu pourrais la
+faire entrer dans la bouche de ma petite Marmote, que tu aimes
+tant à sucer, & dont le poil est si doux! j'aurais sûrement
+bién du plaisir! & peutêtre toi aussi? Viéns ç'te nuit-...
+Quand tout le monde fut endormi, je me glissaí dans le lit de
+ma grande Soeur. Elle me dit: -- J'ai vu mon Pêre, un-jour qu'il
+venait de caresser ma Soeur la belle Marie, qui partait pour
+Paris, courir sur ta Mère, sa grosse broche bién roide, & lui
+fendre la Marmote: je vas te montrer; tu feras comme lui. -- Et
+moi aussi, je l'aí vu. -- Bon! bon-! Elle se disposa, me plaça
+sur elle, me dit de pousser, & riposta. Mais elle était
+pucelle, & quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me
+fesais mal. Pour Madelène-Lingüet, elle déchargea sans-doute;
+car elle se pâma.
+
+Hô! que je regrettaí ce joli Con soyeux, que je léchais &
+fourgonnais depuis 6 mois! Mon Père, Clôde-Lingüet, qui ne me
+ressemblait pas, éloignait ses Filles, dès qu'elles l'avaient
+fait bander. On prétend que Madelène avait tenté de se le
+faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours après,
+elle partit pour la Capitale, où notre Frère-aîné
+l'Ecclesiastique, lui avait trouvé une place de Gouvernante
+d'Un Chanoine de Sainthonoré. Ce Caffard ne tarda pas à
+connaître ce qu'elle valàit: Il y avàit Une porte derobée, de
+lui-seul connue, qui donnait dans la chambre de ses
+Gouvernantes, qu'il alait patiner durant la nuit. Mais il
+n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le Con soyeux de
+Mlle Lingüet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, & il
+n'eút plus de repos, qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle
+dormait d'autant plûs fort, qu'elle en fesait semblant, il la
+gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le Chanoine
+monte sur elle, & l'encone. Elle le pressa dans ses bras, en
+remuant du cùl. --Hâ! Mignone! (lui dit-il), que tu as le
+mouvement bon!... Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois
+un-peu Putain-?... Sa chemise & les draps ensanglantés, lui
+prouvèrent qu'elle était pucelle Il l'adora! Elle foutit
+saintement avec ce saint Homme pendant deux ans, & le mit au
+tombeau. Cependant il la dota: Ce qui fit qu'elle épousa le
+Fils du premiér Mari de ma Mère.
+
+
+
+
+III Chapitre.
+
+Chap. De la Mère foutue!
+
+
+Comme après le mariage de Madelène, & son retour à Reims
+j'étais un-peu plüs formé, je desiraí vivement de le lui
+mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais reduit à patiner &
+gamahucher ma Soeur Babiche, avec quelques-unes de nos
+Cousines-germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces
+conins imberbes retrécissaient... Je demandaí un rendéz-vous
+nocturne à la nouvelle Mad. Bourgelat? Elle me l'accorda pour
+le soir-même: Nous étions à notre Ferme, & son Mari venait de
+partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je
+ne sais par quelle avanture, cette même nuit, mon Pére se
+trouva incomodé. Ma Mère, après l'avoir secouru, craignant de
+le gêner, ala se mettre auprès de sa Brü. Celle-ci la voyant
+endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi,
+tandis que de mon côté, j'alàis à elle. Nous ne nous
+rencontrames pas, malheureusement!... Je me mis à-côté de la
+Femme que je trouvaí dans le lit. Elle était sur le dos: je la
+montaí, toute-endormie; & l'enconaí. J'étàis surpris d'entrer
+aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hôcha quelques
+coups-de-cùl, moitié assoupie, en disant: "Jamais! jamais vous
+ne m'avéz donné tant de plaisir-!... Je dechargeaí aussi: mais
+je m'évanouis sur ses tetons encore fermes, parcequ'elle
+n'avàit pas nourri, & qu'On ne les lui avàit jamàis patinés.
+Mad. Bourgelat revint auprès de nous, au moment où je
+m'évanouissais.
+
+Elle fut bién étonnée des mots que venait de prononcer sa
+doublement Bellemére! Elle comprit que je l'avais foutue, &
+elle me reporta dans mon lit encore évanoui... Ainsi donc
+c'est dans le Con maternel que je venais d'émettre ma premiére
+semence!... Ma Mére, entiérement éveillée, dit à Madelène: --
+Mais, que faites-vous donc, ma Fille-? J'étais revenu à moi.
+Ma Soeur retourna au lit de ma Mére, qui lui dit tout-bas: -- Ma
+Brü! vous avéz de drôles de façons? -- Mon Mari (répondit Mad.
+Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rêvais, & je
+l'ai fait. Eveillée, je suis sautée du lit-. Ma Mére crut
+cela.
+
+Cependant le coup porta: Mad. Lingüet devint grosse, &
+accoucha secrettement d'un Fils, beau come Adonis; & elle eút
+l'adresse de le substituer à Un Garson de son Fils, cet Enfant
+étant mort en naissant. C'est de Lui dont il sera un-jour
+question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon
+neveu.
+
+Huit jours s'écoulérent. Après quoi, bién remis de mon
+évanouissement, j'eús un autre rendéz-vous. Mais admiréz mon
+malheur! Nous avions été entendus d'Une grosse Tetonniére,
+notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mad.
+Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse qui m'aimait,
+car elle se branlait souvent à mon intention, & qui dailleurs
+n'était pas méchante, se contenta de dire à mon Frère, de
+fermer les nuits la porte de sa chambre à la cléf, & de la
+cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugéz de mon étonnement,
+quand aulieu d'un Con soyeux, & de tetons ronds & delicats, je
+patinaí Une Connasse à crins de cheval, & deux gros ballons
+bién gonflés. Elle se le mit; je poussaí, & j'eús asséz de
+plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir.
+
+Enfin, je le mis à Madelène, dans le greniér-à-foin. J'alais
+come un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup-de-cùl
+qu'elle donna, je m'évanouis......
+
+
+
+
+IV Chapitre.
+
+Chap. D'un aútre Beaufrére Cocu.
+
+
+Madelène évita de m'accorder des faveurs, dont les suites
+l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette
+privation: Huit jours après la derniére scène, je partis pour
+venir à Paris. J'y alais pour apprendre: Mais il ne sera pas
+ici question de mes études. Je fus logé chéz la belle Marie,
+la seconde de mes Aînées.
+
+J'avais, pour mon pucelage, fait cocü mon Pére: j'avais
+cornifié mon Frére Uterin, en fesant décharger, & foutant
+enfin avec émission Une Soeur-Paternelle, qu'il avait épousée,
+& que j'engrossaí: car Bourgelat n'a jamàis eú que cet Enfant,
+venu au monde 9 mois après ma fouterie au greniér-à-foin. Mais
+j'avais encore bién de l'ouvrage, avec huit Soeurs, dont six,
+ou du-moins cinq, étaient souverainement enconables. Mais
+revenons à Marie, la plûs belle de toutes... Un-jour de
+Vierge, Marie était parée, chaussée avec cè goût particuliér
+aux jolies Femmes, & Un superbe bouquet ombrageait ses blancs
+tetins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais deja
+foutu & engrossé trois Femmes; car Mamelasse avait Une Fille,
+qu'elle se vantait que je lui avais faite, & qui ressemblait
+comme deux goutes-d'eau à Jenovefette-Lingüet. Ainsi, je n'eús
+pas des desirs vagues; je tendais directemt au Con de ma
+provoquante Aînée. Après le dînér, elle ala dormir, dans Un
+alcove obscur, & s'étendit sur le lit conjugal. Elle avait vu
+bander son Mari, dont la culote blanche était juste, & elle
+voulàit lui donner le plaisir de le lui mettre parée. Je me
+cachaí, pour les guetter. Mais mon Beau-Frére, après avoir
+pris les tetons & le Con de ma Soeur, avoir admiré ce derniér,
+en éclairant l'alcove, se reserva sans-doute pour la nuit
+suivante: il se retira doucement; je lui vis prendre sa canne,
+son chapeau, & sortir. J'alaí pousser Un verrou. En revenant,
+je refermaí les rideaux; le Mari les avait laissés ouverts, &
+sa Femme troussée. Je me mis sur elle deculoté, bién bandant,
+& j'enfilaí sa fente, suçant tantôt ses tetons decouverts,
+tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyàit son Mari. Un
+bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout caloté. Le
+filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, &
+le fesait paraître gros comme celui de l'Epoux. Je poussaí. Ma
+Belle s'agita, & mon long vit atteignit le fond. Alors ma Soeur
+demi-pâmée, se trémoussa. Je dechargeaí,... & je
+m'évanouis....
+
+Ce fut ce qui me fit reconaître. La Belle savoura les
+derniéres oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eút
+éprouvé tout le charme d'une copieuse decharge, elle se
+deconna en me jetant sur le côté; elle ouvrit les deux rideaux
+de l'alcove; & me regardant: "Hâ! Grand-Dieu! c'est
+Cupidonnet! Il m'a dechargé tout au fond! Il s'est évanoui de
+plaisir"!... Je revenais à moi. Elle me gronda, en me
+demandant, Qui m'avait appris cela? -- Ta beauté (lui dis-je),
+adorable Soeur. -- Mais si jeune-? Je lui racontaí alors toute
+ma vie: Comme j'avais patiné, léché le conin de Jenovefette:
+comme j'avais gamahuché, enfin enfilé le con soyeux de
+Madelène; foutu Mad. Lingüet, la croyant Mad. Bourgelat:
+comment Mamelasse s'était fait enconner par moi: comment ne
+pouvant me passer de Con, je léchotais le conichon de Babiche:
+comment j'avàis engrossé les trois Femmes que j'avàis
+enconnées. --Hâ-Ciel!... Mais tu es bién indiscret! -- Je ne le
+suis avec toi, que parceque tu es ma soeur-aînée, que je t'aí
+foutue (le recit que je venais de débiter, les tetons de ma
+Soeur, sa chaussure me fesaient rebander), & que je vais,
+divine Marie, te foutre encore. -- Mais mon Mari... -- J'aí
+poussé le verrou-... Elle me pressa la tête contre son beau
+sein, en me disant tout-bas: -- Petit coquin, fais-moi aussi Un
+Enfant-?... Je la re-enconnaí, j'émis sans m'évanouir. La
+belle Marie n'avait pas encore eú d'Enfans: je fus pére de
+Mlle Beauconin, fille Unique de mon Beaufrére de ce nom.
+
+[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est
+qu'à-force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les
+savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre
+avantageusement dans le coeur & l'esprit des Libertins blâsés,
+les goûts atroces éveillés par les abominables Productions de
+l'infame & cruel Dsds! Ainsi, je reserve toute ma chaleur,
+pour decrire des jouissances ineffables, audessus de tout ce
+qu'a pu inventer l'imagination esquisement bourrelle de
+l'Auteur de Justine.
+
+
+
+
+V Chapitre.
+
+Chap. Du bon Mari spartiate.
+
+
+Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viéns
+de promettre, rapporter en peu de mots, Une Avanture
+extraordinaire, que jeús, ruë Sainthonoré, à 20 ans accomplis,
+en fesant mon droit.
+
+J'étais voisin vis-à-vis d'Un vieil Orlogér, qui avait Une
+Femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La Première
+l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était
+une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à-l'aîde d'une
+Soeur plüs jeune, par laquelle la Dame se fesait remplacer au
+lit dans ses moindres indispositions, pour que son Mari ne
+foutît jamàis avec dégoût. Cette excellente Epouse ayant cessé
+de vivre, l'Orlogér avait épousé, âgé de soixante ans, la
+jolie, la delicieuse FIDELETTE, putative d'Un Architecte, ét
+fille-naturelle d'Un Marquis. La beauté de cette troisième
+Femme n'avait pas d'égale, pour le moëlleux ét le provoquant.
+Son Mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant
+comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle
+paraissait desirer. Mais il n'atteignait pas le but, ét
+Fidelette était chaque jour plûs triste. Enfin un-soir, ce bon
+Mari lui dit: "Mon Ange! je t'adore, tu le sais? Cependant tu
+es triste, ét je crains pour tes jours précieux? Tout ce que
+je fais ne te flatte en rien? Parle? c'est Un Ami tendre qui
+t'en conjure? Dis-moi ce que tu desires? Tout, tout ce qui
+sera en mon pouvoir, va t'ètre accordé? "Hô! tout (dit la
+jeune Femme). "Oui, tout, fût-ce... Est-ce à ton coeur? est-ce
+à ton divin conin, qu'il manque quelque-chose? "Tu remplis mon
+coeur, cher Mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et quoique
+blonde-cendrée, mon Bijou a des demangeaisons... terribles!
+"T'est-il indifferent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goût?
+"Sans aimer, j'ai un goût.. un caprice... Mais je n'aîme que
+toi. "Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher
+ton gentil petit Chose? "Tiéns? ce Voisin... qui me regarde...
+ét dont... je me suis deja plainte... "J'entens!... Tu as dû
+me trouver bién boûché!... Passe au bain, mon Ange adoré.. je
+reviéns dans l'instant". Il courut me trouver. "Jeune voisin?
+On dit que vous aiméz Mad. Folin l'Orlogère? "Ma-foi, On dit
+vrai; je l'adore. "Venéz. "Il en arrivera ce qu'il pourra.
+Alons". Il me prit la main, ét nous alames chéz Lui.
+"Deshabilléz-vous; passéz dans ce bain, que ma Femme quitte:
+Voila de mon linge. Regaléz-la en Nouvelle mariée- ou menagéz-vous
+pour differentes nuits; à votre choix ét au sién....
+J'adore ma Fidelette: mais pour cette Epouse cherie: Je suis
+content, dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous
+l'auréz foutue, qúe son petit Connin aura bién dechargé, je
+l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent".
+Et il me fit entrer dans le lit où sa Femme était depuis le
+bain. Il s'en-alait. "Mon cher Mari! (s'écria cette timide
+Colombe), tu me laisses seule avec Un Inconnu! Hô! reste! ét
+si tu m'aimes, sois temoin des plaisirs que je ne devrai qu'à
+Toi"?... Et elle nous baisa tous-deux sur la bouche... Le Lit
+était vaste: Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur
+le ventre de la jeune Epouse, aux flambeaux alumés, au vu du
+Mari, ét j'enconnai roide... Elle repercutait avec fureur.
+"Courage, ma Femme! criait l'excellent Mari, en me
+chatouillant les bourses)... Decharge, ma Fille! hausse le
+cùl!.. darde ta Langue... ton Fouteur va t'inonder!... Toi,
+jeune Vit, plonge.. plonge!... Lime.. Lime-la"... Nous
+dechargeames comme deux Anges... Je la foutis six-fois dans la
+nuit, ét les deux Epoux furent très-contens de moi...... J'ai
+eü cette jouissance celeste ét plûs-qu'humaine, jusques aux
+coûches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au
+Fruit de notre Fouterie.
+
+
+
+VI Chapitre.
+
+Chap. De l'Epouse qui se fait enculer.
+
+
+Je passerai sous silence mes conilleries avec ma Femme
+clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage.
+Conquette-Ellès était Une jolie Grêlée, faite-au-tour, ayant
+Un Con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre
+la bride sur le cou, & de la laisser foutre avec quî elle
+voudrait. Elle était fille d'Un Traiteur de la ruë
+Saintjacques, & soeur du libraire PetiteBeauté: Elle est morte
+syfillisée, longtemps après m'avoir donné deux Filles... Hâ!
+qu'elle foutait bién! jamais Femme enconnée n'a brouetté son
+Cavaliér comme Conquète!... Elle est la seule Créature que
+j'aye enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut
+douteuse. Elle me donna ensuite le cùl de sa Soeur-cadette, en
+me disant que c'était encore le sién. Et je le croyais. Mais
+la jeune Persone se fesant enconer, je m'aperçus de la
+tricherie, dont je ne témoignaí rién..... Cela fut delicieux!
+mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma
+Bellesoeur fut mariée, ma Femme seduisit sa Coîfeuse, à
+laquelle elle recomanda bién de se faire enculer, alléguant
+que j'y étais accoutumé. Mais cette Fille m'ayant averti dans
+la journée, je l'enconnaí la nuit, sans que Conquette s'en
+aperçût. J'eús ainsi successivement six Coîfeuses, toutes
+jolies, pendant douze ans, ma Femme, qui les payait, croyant
+me cacher par ce moyén, qu'elle avait la verole. Ce fut ainsi
+que j'attendis les Conins delicieux qui m'étaient destinés par
+la nature... C'est aprês la derniére Coîfeuse, que Conquette
+mourante ayant remarqué, qu'Un de mes Cadets courtisait ma
+fille-nièce-Beauconnin, qu'On ne voulait pas lui donner, &
+qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le laisser
+mettre par son Amant? Mais craignant que le Jeunehome ne pût
+la dépuceler, elle me dit, que la dernière Coîfeuse m'envoyait
+Une de ses Elèves, qu'il falait enconner, & sans parler,
+parceque ma Nièce couchant dans la chambre voisine, il y avait
+des raisons, pour ne pas envoyer l'Elève-coîfeuse dans la
+miénne... Pourvu que je foutîsse Un jeune Con, que
+m'importait? J'alaí nu au lit: je trouvaí des tetons naissans,
+Un Conin qui tressaillait. Je dépucelaí... J'avais enconné
+trois-fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que
+c'était la convention. Mais ayant écouté, je fus très-étonné
+d'entendre éperonner de-nouveau ma Monture, & ma Femme
+instruire, en les encourageant, son Neveu & sa Nièce?... Je me
+remis dans mon lit tout-pensif... Le lendemain, je demandaí
+une explication à Conquette. -- Hé-bién, quoi? (me répondit-elle),
+vous avéz dépucelé votre Nièce Beauconnin, avant que
+son Cousin le lui mît; parceque je craignais qu'il ne pût la
+déflorer-... Je fus enchanté! j'avais eú les prémices de la
+Fille que j'avais implantée un jour de Vierge dans le Con de
+la belle Marie-Lingüet. Mais je dissimulaí ma joie. C'était un
+excellent pronostique pour les plaisirs dont je me flatais de
+jouir depuis longtemps! & dont le moment approchait. J'y
+touche enfin.
+
+
+
+
+VII Chapitre.
+
+Chap. Du Conin au Poil-Follet.
+
+
+On saít que j'avais deux Filles, ou que dumoins ma Clandestine
+les avait: car je me rappelle qu'elle prétendait, que ses
+véritables Filles étaient mortes en Nourrice, & que... &
+que... Elle parlait du Roi... d'une Princesse.... Mais elle
+était si menteuse, que ç'eût été une folie de la croire.
+
+CONQUETTE-INGENUE, ma fille-aînée, me causait des desirs dès
+l'âge de dix ans. Pendant que sa Mére non encore vérolée
+couchait & foutait avec Un Galant, elle envoyait Conquette
+dans mon lit. Cette Enfant avait la plüs jolie conque. Je me
+fis une règle dèslors de la lui baiser tous les soirs, après
+lui avoir écarté les cuisses, durant son premiér sommeil.
+J'introduisais légèrement la langue, mais sans lècher. Je
+m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur
+mes cuisses, & mon vit pressé entre les siénnes. Dans le jour,
+j'enconais, ou la Maîtresse d'Un certain Mivière, Avocat, ou
+Une jolie Bossue toujours bién chaussée, qui demeurait dans la
+maison; ou Une Boîteuse des deux côtés, mais d'une delicieuse
+figure, & prête à se marier: Elle s'était laissée déflorer par
+son Futur, & depuis ce temps-là, elle ne ménageait plus un
+très-joli con blond. Quand ces trois Fouteries me laissaient
+chomer trop longtemps, je fourgonnais le vit serré entre les
+cuisses de Conquette-Ingénue, qui se sentant gênée,
+l'empoignait toute-endormie, & me fesait éjaculer. Elle avait
+onze ans. Elle sentit quelque-chose, & parla. On la mit dans
+un cabinet fermé.
+
+Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eút treize à quatorze ans,
+après une interruption de plüs de deux ans, je me trouvaí
+veuf, & elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite
+chambre à-côté de la miénne.. Elle était grandie, faite-au-tour:
+elle avait le piéd le plüs parfait. Je la fis chausser
+par l'Artiste le plüs habile, sur la forme de sa Mére, qui
+était celle de la Marquise-de-Marigni. Puis je devins
+éperdúmment amoureux de mon Ouvrage.
+
+Mais Persone jamais ne fut plüs chaste que cette celeste
+Fille; quoique ses Méres, soit réelle ou putative, fússent
+putains, & soient toutes-deux mortes de la vérole. Conquette-Ingénue
+ne souffrait pas qu'On prît sur elle la moindre
+liberté... La Providence le voulut sans-doute, pour qu'elle en
+fût un-jour plüs desirable & plus voluptueuse... Ainsi je me
+trouvaí réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle
+avait profond, heureusement! Je profitais de son premiér
+somme, pour la decouvrir, admirer son delicieux Connin, qu'un
+joli Poil-Follet commençait d'ombrager, & la gamahucher
+moderément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis
+me riposter: je redoublaí les coups de langue, & elle émit....
+La lumiére était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en disant:
+"Hâ! hâ! hâ! ça me chatouille! hâh!"....... Elle crut qu'elle
+avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune Soeur, couchée avec
+elle, de plusieurs coups-de-coude, comme si elle eût pensé que
+cette Enfant l'avait chatouillée.
+
+Je me remis dans mon lit, enchanté que ma Fille eût dechargé.
+Cette émission me fit esperer, qu'ayant éveillé son
+tempérament, je pourrais l'enconner biéntôt, en faire ma
+Maîtresse, & me trouver le plüs heureux des Hommes. Mais que
+j'étais loin de compte? & combién de Vits devaient tenter de
+matyriser ce divin Connin, avant le mien! hêlas! il fut prêt
+d'essuyer Une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, ç'a
+été ma véritable inclination, la plüs constante, la plüs
+voluptueuse, que cette adorable Fille, qui n'a eú de Rivale,
+que sa Soeur... Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est
+pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit
+bandant, jusques au fond du Con satiné d'Une Fille cherie,
+surtout si remuant du cùl avec courage, elle décharge
+copieusement! Heureux! heureux qui cocuffie, & fait cocuffier
+Un Gendre également déteste de tous-deux!
+
+Conquette-Ingénue eút ses règles la semaine suivante de celle
+où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement
+nubile. Mais éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur
+essentielle. Ma Soeur Marie, qui me connaissait, la mit en
+apprentissage de Modes & du commerce de la Bijouterie, chéz
+Une jolie Marchande, dont le Mari était chef de Bureau; & le
+Bijou de la belle Conprenant me dedomagea, mais sans m'en
+consoler, des rigueurs de celui de ma Fille. Je le mis aussi à
+ma Nièce Beauconnin, alors mariée à son Cousin. Et sans ce
+double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la
+provocante Conquette-Ingénue? Eperdûment amoureux d'elle,
+n'osant lui prendre de-jour son joli Poil-Follet, & ne l'ayant
+pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la
+ruë, par une fenêtre à large rebord; ce qui lui mettait
+à-découvert un piéd exquisement chaussé, une partie de la plüs
+belle jambe; desorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, &
+le Connin dans certains mouvemens, ou lorsqu'elle se disposait
+à descendre. Je bandais comme Un Carme. Mais en ce moment
+arrivaient à-point-nommé, ou la Maîtresse de Conquette-Ingénue,
+ou ma jolie Nièce Beauconnin, que j'alais enfiler
+dans ma chambre, après avoir dit à ma Fille de se remettre à
+la fenêtre, pour les voir arriver; & au-moyén de ma porte
+entr'ouverte, je voyais le piéd provoquant, la jambe
+voluptueuse de Celle qui me fesait bander, en foutant soit sa
+Maîtresse, soit sa Cousine.
+
+Quatre ans s'ecoulérent ainsi; & je n'eús plus de fouteries.
+Alors, plüs amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui
+était superbe à dixhuit ans, je résolus de la faire coucher
+quelquefois chéz Moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une
+indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi
+profond: Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais,
+& je la faisais copieusemt décharger. Elle avait une Motte
+superbe, ombragée d'un poil noir doux & soyeux. Je brûlais
+d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en
+dechargeant. Aussi me disait-elle: -- Je ne fais que chéz vous
+de singuliérs rêves, qui me rendent toute je ne saís
+coment--!... La seule chose que je me permîsse, était de demander à
+baiser son joli piéd chaussé; quelquefois sa jambe: j'alaí
+un-jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher
+le poil-satin de son Bijou: Mais elle fut ensuite si fort
+effarouchée, craignant que je ne parvînsse à la déflorer avant
+mariage, qu'elle précipita, aîdée de sa Maîtresse Mad.
+Conprenant, un mauvais établissement avec Un Infame. Ce fut ce
+que j'ai eú tant de peine à lui pardonner!... Mais la pauvre
+Enfant en a trop souffert... elle s'en est asséz répentie...
+son charmant Connin a depuis trop bién-mérité de Moi, pour que
+des torts de jeunesse & d'inexperience ne soient pas oubliés.
+J'y étais obligé dailleurs par un autre motif: c'est que je
+dois à cet execrable mariage d'indicibles delices (comme On va
+le voir), ainsi que ma fortune présente.
+
+
+
+
+VIII Chapitre.
+
+Chap. Des Conditions de mariage.
+
+
+Le Dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chéz moi, suivant
+son usage, elle ne put s'empêcher de voir, que je bandais à
+n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!... Je lui
+avàis baisé le piéd, la jambe; mais elle avàit défendu son
+connin. Tout-à-coup je me lève, & m'appuyant sur le dossiér de
+sa chaise, je plonge les deux mains dans son corpset; je lui
+prens les tetons.... Hâ! qu'ils étaient jolis!... petits, mais
+fermes! & d'une blancheur.... Elle ne put se dérober... Elle
+me déclara pourlors sérieusemt, qu'elle voulait se marier. A
+ce mot, je passaí devant elle, le vit à l'air et bién bandant.
+Elle devint rouge comme une cerise: Elle bouillait. Enflâmé
+d'amour & de luxure, je lui notifiaí, que je ne signerais
+rién, qu'à la condition de la dépuceler auparavant. Elle se
+recria!... Je lui pris le Con par force. Elle se recueillit, &
+me dit: -- Signéz dumoins pour ceci? -- Oui; si je te gamahuche-.
+Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquaí, ajoutant: -- Et
+jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement-?
+Elle refléchit... Puis soupirant: -- Hâ! combién vous me
+l'avéz fait! Mes rêves étaient causés par vous-!.... Elle se
+mit à la renverse sur le lit, en me disant: -- Satisfaites-vous!
+&.. ne me.. trompéz pas!... gamahuchéz.. mais je veux
+être pucelle le jour de mon mariage avec M. Vitnègre; c'est Un
+Home veuf, & Mad. Conprenant dit qu'il s'y connaît-. Pendant
+ce discours, je rassasiais mes ïeux dabord de la vue du plüs
+ravissant des Connins; de celle d'un ventre uni comme
+l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cùl de satin. --
+Depêchéz-vous? -- J'inventorie ce que nous devons livrer à ce
+M. Vitnègre, & tout est bién conditionné, une chose que je te
+diraí exceptée. Gamahuchons-. J'etais enragé! Je la lèchais
+avec fureur, guettant l'instant de l'émission de sa liqueur
+virginale, pour me jeter sur elle, & l'enfiler. Elle émit dès
+le sixième coup de langue; desorte que je ne le pouvais
+croire. Mais biéntôt ses tremoussemens m'en convainquirent.
+Alors, quittant le Conin, je me jetaí sur elle. Enivrée de
+plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissé tout faire:
+màis son jeune Connichon, quoique bién humecté de son foutre &
+de ma salive, ne put être penetré. L'experience qu'il faut,
+pour enfiler certaines Pucelles, de la pomade ou du
+beurre-fraîs, ne m'était pas encore acquise... A la fin, elle me
+saisit le vit, pour me debusquer. Pressé de sa main douce &
+blanche, il déchargea, & couvrit d'Un Foutre azuré, son con,
+son ventre, ses cuisses & sa main. Propre comme elle le fut
+toujours, elle se debarrasse, & court se laver. -- Qui ne
+dirait (m'écriaí-je) en la voyant s'éponger cùl, cuisses &
+Coniche, que je l'aí enconnée!... -- Hâ! si vous étiéz
+raisonable!.. (répondit Conquette-Ingénue), ce joli
+gamahuchage, tant que vous voudriéz; car j'aí eú bién du
+plaisir! -- Voila un joli mot-! Et je lui fis darder la langue
+dans ma bouche, Moi lui tenant le Conin. -- Mais (reprit-elle),
+pas ce qui M'a salie, dans ce que je viéns de laver! je veux
+étre honnéte-femme. -- Tu dois ton joli Con à ton Père, ma
+charmante Fille! -- Si vous étiéz plûs riche, je renoncerais au
+mariage, & je me dévouerais à vos plaîsirs. Mais il me faut Un
+Mari, pour cesser de vous étre à charge-. Touché, je la baisaí
+des piéds à la tête, souliér, jambe, front, oeil, bouche, cou,
+tetons, cuisses, cùl, enfin motte, jusqu'à ce qu'elle
+déchargeât... Ensuite, je signaí tout ce qu'elle voulut...
+Elle étàit adorée, en ce moment.. Elle se maria, sans Me
+revoir, & M'évita pendant trois mois. Une pareille conduite Me
+rendit furieux contr'elle, & je juraí de la foutre & faire-foutre,
+si elle retombait entre mes mains, Mille-&-Une-Fois,
+avant que de lui pardonner!... Mais savais-je alors qu'elle
+était malheureuse?
+
+
+
+
+IX Chapitre.
+
+Chap. Des Dedommagemens.
+
+
+VICTOIRE-CONQUETTE, ma seconde Fille, était en Province,
+depuis la mort de sa Mére, chéz sa Tante Jenovefette, alors
+mariée avec son derniér Entreteneur. N'ayant plus de Con à ma
+devotion, je redemandaí Victoire. En attendant qu'elle
+arrivât, je m'accomodaí de deux petits Conins encore imberbes,
+ou dumoins à Poil-Follet, que je parvins à perforer, en les
+pomadant. C'étaient la Soeur & la Maîtresse de mon Secrétaire,
+qui lui-même Me les livra, comme On le verra par la suite.
+Nous foutions jusqu'à sa vieille Bellemére; ne voulant pas
+aler aux Putains.
+
+Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa
+Soeur, à talons minces-élevés; & cette Enfant, qui atteignait
+quinze ans, me fit autant bander que son Aînée. Mais je ne
+cherchaí pas à la déflorer, elle ne me servàit qu'à Me mettre
+en humeur, & à me faire enconner plûs vigoureusement & Minone,
+& Conette, Soeur & Maîtresse de Traìtdamour mon secrétaire, ou
+leur Bellemére. Pour cela, quand Victoire rentrait parée,
+chaussée, je la saisissais par la jupe, & je l'asséyàis sur
+mes genoux, à-crû, Moi deculoté, quand je le pouvais: je me
+fesais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'étais
+à-crû, mon vit lui alait entre les cuisses comme le batant
+d'une cloche: si elle n'était pas troussée, comme elle était
+fort-innocente, je Me fesais empoigner le vit, en lui disant:
+"Mignone, serre-moi le doigt, fort! fort"! Minone, Conette, ou
+la Bellemére arrivàient toujours, Traìtdamour en alant
+chercher Une, dès qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire: En
+les entendant, je remettàis la charmante Enfant dans sa
+chambre par une porte-derobée; j'ouvràis, & je foutàis
+delicieusement, les couilles chatouillées par Traìtdamour. Il
+enconnait ensuite la Même, Soeur ou Bellemére, & je lui maniais
+les couilles.
+
+Je Me seràis contenté de cette vie pendant longtemps, quoique
+toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mad. Vitnègre,
+si mes Soeurs Marie & Jenovefette n'eússent trouvé indecent que
+je gardasse Victoire seule chéz Moi. Elles M'obligérent à la
+mettre en apprentissage pour le linge, chéz des Devotes
+qu'elles M'indiquèrent. Mad. Beauconnin l'y conduisit.
+Heureusement que la chère Fanfant M'avait, depuis quelques
+jours, donné la conaissance d'Une grande & superbe Femme-separée,
+son Amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire
+s'en doutât, & que cette Belle-femme M'en croyant amoureux
+aussi, foutit sous Moi avec fureur. Car elle M'appelait alors
+son Papa, & Me disait: -- Enconne; enconne... enconne ta...
+provocante Victoire! ta... passionnée, ta... tendre Fille-!
+
+
+
+
+X Chapitre.
+
+Chap. De l'infame Mari.
+
+
+Mais le moment approche, où je dois recouvrer Conquette-Ingénue..
+Mon desir le plûs vif, même dans les bras de Mad.
+Moresquin (l'Amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocù!
+Un-jour, ma Conquette me rencontra sur le pont-Notredame. Elle
+étàit malheureuse: elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si
+ému, que toute mon anciénne colère s'évapora. Ma delicieuse
+Fille était encore embellie dans les douleurs. Mon premiér
+mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions dans la
+ruë... J'alaí la voir dès le lendemain-soir, à l'heure où elle
+M'avait dit que son Mari, ou plütôt son Monstre, n'y était
+jamais. Je la trouvai seule en-effet; & dès cette premiére
+visite, elle m'avoua qu'elle avait Un Amant. Ravi de cette
+confidence, qui M'annonçait le cocúage de Vitnègre, je la
+flatái, je l'amadouái; je l'engageái à se le laisser mettre
+par Timori (son Galant). Mais je compris biéntôt que c'était
+des deux côtés, un amour absolument Platonique, où Conquette-Ingénue
+se consolait auprès d'un Bandalaise, des brutalites
+d'un Débaûché. Elle aimait à parler de son Amant: Et comme
+j'étais le seul, avec quî elle le pût en sûreté, que je promis
+de leur procurer des entrevues, je fus cheri.
+
+A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies
+récentes de Vitnègre. Un-jour qu'elle se baissait, pour
+ramasser quelque-chose, il lui fit prendre le con par Un de
+ses Amis. Elle s'écria. -- Ce n'est rién qu'un con de pris (dit
+froidement Vitnègre)... (à son Ami): -- Ne t'avais-je pas bién
+dit, qu'elle avait le poil du con plús satiné que de la
+soie?... Hé-bién, le dedans est plús doux encore-... Conquette
+voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur
+lui, la troussa jusqu'aux cuisses, & lui tint le con,
+s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout
+le temps qu'il fut à raconter, combién, quand elle le voulait,
+elle donait de plaisir à son Caresseur. -- Mais (ajouta-t-il),
+elle est comme les Putains; il faut la rosser, pour lui faire-faire
+son devoir-. Il voulut ensuite lui decouvrir la gorge.
+Elle s'échappa. Mais il l'atteignit d'un coup de piéd....
+Quelques-jours après, le Meme étant venu dîner, après le
+caffé, Vitnègre s'étant aperçu que sa Femme, après avoir
+pissé, avait fait bidet, dit à Culant son ami: -- Voila un con
+bién propre! il faut le gamahucher tous-les-deux, d'adresse ou
+de force? Mais dans ce derniér cas, ne t'étonne pas du
+bruit!... Pour le premiér, voila une cléf; elle ouvre la porte
+du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras, quand
+lassé, je dirai très-haut: -- Alons, Madame, faites-moi beau
+con, & recommençons-. Et donne-t-en! car je voudrais que toute
+la Terre foutît la Garse: elle n'est pas asséz large-...
+Conquette fut rappelée. Le Mari la fit asseoir au milieu
+devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de Mulâtre, &
+dit à son Ami d'en faire autant. Comme il hesitait: --
+Decùlote-le tout-à-l'instant, Bougresse, ou je t'arrache les
+poils du con à la poignee-! Et il y porta la main. Elle fit un
+cri. Culant mit aussitôt à l'air son vit & ses couilles, en
+demandant grâce pour elle. -- Alons, Bougresse, branle-nous
+tous-deux, Un de chaque main?... Je suis son Maître (ajouta le
+Scelerat); elle m'est abandonnée-. Conquette pleurait. L'Ami
+demanda encore grâce pour elle... -- Hé-bién, qu'elle me suce
+le vit, là, à-genoux devant moi, que je lui decharge dans la
+bouche? Je dechargeais dans celle de ma première Femme, qui en
+est morte, & c'était mon delice. Culant observa, que ce serait
+gâter la plús jolie des bouches. -- Hé-bién donc, je vais la
+gamahucher. -- Je banderais trop! (dit Culant): passéz dans ce
+cabinet-. Vitnègre y poussa Conquette, & se substitua Culant.
+Puis il sortit pour aler jouer. Culant gamahucha, & n'osa
+foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être
+pris pour Vitnègre. Mais il dechargea six fois, & Conquette le
+double. Il se retira, en lui donnant un coup-de-poing, afin
+qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa
+rentrée, le Monstre dit à sa Femme: -- Hé-bién, Bougresse?
+as-tu été asséz gamahuchée? ce n'était pas Moi; je ne t'aurais
+fait l'honneur de decharger six fois; c'était mon Ami. Mais,
+Garse, tu l'as reconnu, puisque tu en as dechargé douze, & que
+tu ne bandes pas pour Moi. Et le bon coup-de-poing qu'il t'a
+donné, héin? l'as-tu senti? (l'Infame éclata de rire). Alons,
+Garse de bâtarde d'Avocat, te voila putain; j'entens que ton
+con me rapporte-. Effrayée, Conquette se promit de le quitter.
+Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, & de ce moment elle
+prit de la fermeté contre le Monstre
+
+Ce recit de ma Fille, quoique plûs gazé dans sa bouche,
+m'avait revolté! je lui promis un prompt secours.... Mais
+en-même-temps il me fesait bander en Carme, comme tous les recits
+de brutalités libidineuses. Je demandái des faveurs? On
+rougit; mais On Me laissa baiser un joli souliér vert, qu'On
+portait pour la premiére-fois. Je M'en tins là. Cependant à la
+visite du lendemain, je glissái en riant, une main dans son
+dos; insensiblement j'en vins aux tetons, qu'elle defendit,
+mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses
+cheveux; puis voulant voir jusqu'où je pouvais la mener, sans
+l'effaroucher, je la tourmentaí pour avoir une petite touffe
+des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en
+tremblant que son Mari ne s'en aperçût! Pour la remettre, je
+la fis parler de son Amant; & pendant cet entretién, de
+libertés en libertés, je parvins au con. Elle était si
+parfaitement á son sujet, que je crois en-verité qu'elle
+s'imagina que c'était Timorì qui lui tenait la motte!... Je
+lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé une pension,
+pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle rougit de
+plaisir, & m'embrassa. Je lui dardaí ma langue, & elle me fit
+sentir la sienne... Ravi, j'alais lui demander le Recit de la
+Maniére dont elle avait été depucelée? Quand Vitnègre s'étant
+fait entendre, je me jetaí dans le cabinet obscur, me
+proposant de m'évader par la porte du coridor. Mais je fus
+étrangement surpris de voir un Moine introduit par cette
+porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachaí derriére un grand
+sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce que je
+quittais. -- Mon Reverend-Pére, vouléz-vous la foutre avant
+dîner-? Le Moine, qui devorait des ïeux la belle Conquette
+à-travërs les vîtrages, parut concentré... Aubout d'un moment,
+il repondit:
+
+
+
+
+XI Chapitre.
+
+Chap. Pucelage des iné aux gros Vits, pris par un petit.
+
+
+-- Non: Comme nous en sommes convenus, passéz dans la chambre
+éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tetons, cùl
+& con: je me reserve pour la nuit. -- Hô! ce coup-ci serait
+pardessus le marché. -- Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter
+langue & tetons; à enconer, enculer, entetonner, &c. à mordre,
+arracher les bouts... Aléz... Ayéz le vit à l'air, & qu'elle
+soit bién chaussée... De la brutalité-! Vitnègre rentra
+deculoté auprès de sa Femme toujours tremblante devant lui.
+Alons, Bougresse, il me faut du plaisir? Voi comme je bande, à
+la vue de ce joli soulier vërt?... J'aí entendu hier un
+Jeanfoutre derriére toi, qui disait, qu'il aurait voulu
+decharger dedans... A-bas ce fichu, que je voye tes tetons..
+Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Hâ! Garse!
+j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les
+gâter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!...
+Troussée, Putain, audessus des reins & du nombril, que je voye
+ce mecanisme-là?... Marche en avant, présentant le con...
+Retourne-t-en montrant le cùl... Hâ! le joli mouvement!...
+Continue, Garse-à-cul & à con, jusqu'à ce que je te dise,
+Hôla... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement
+son cùl, son con)... Cependant le Moine disait: -- Ce Bougre là
+n'a pas le vit si gros que moi, & il n'a pu la depuceler! Hô!
+comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y tiéndrais pas; je
+la tuerais; elle crierait à faire venir le Voisinage... Je
+m'en-vais-. Et il sortit doucement, en murmurant: Elle est à
+tuer; elle le sera-!... Au même instant Vitnègre dit, Hola,
+Garse engarsée-. Et il vint dans le cabinet. -- Qu'en dites-vous?
+(dit-il): la vouléz-vous essáyer? Je bandais à n'en
+pouvoir plus; je répondis bién bas pour le Mone. -- Oui-.
+Vitnègre ala chercher sa Femme; & la poussant brutalement, --
+Alons, de-par-Dieu, Garse, Putain, que je te foute... Hâ!
+comme tu vas crier! Mais songe, s cré Conin de Poupée, à ne
+pas faire venir ici les Voisines! ou je les laisse tous
+entrer, sans me deranger de sur ton sacré ventre-!... En
+achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le foutoir
+mis là exprès, & se retira. Je me précipitaí sur ma Fille, qui
+se sentant enfiler presque sans douleur, ne criait pas. -- Crie
+donc! (lui dis-je bién-bas). Et elle cria à-tue-tête, en se
+reconnaissant enconnée par un Etrangér. Dès que j'eús dechargé
+delicieusement, en lui fesant osciller le con, je m'échappaí,
+avant que les Voisines arrivassent; & comme elle continuait à
+crier, je les envoyaí à son secours. On la trouva debout. --
+C'est ma Femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardéz y; il
+en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des
+Chates; elle mord & crie, quand On la fait bién-aise-. Les
+Voisines rirent, & se retirèrent. Vitnègre dîna, & fut asséz
+honnête; il craignait que sa Femme n'eût connu qu'elle était
+foutue par un Moine, & qu'elle ne parlât.. Je dînais dans un
+cabaret en face. Je le vis sortir, & aussitôt je retournáí
+chéz ma Fille, qui me conta tout. Je me tus dabord.
+
+Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait
+été depucelée; parceque ce recit avait du haut-gout pour moi,
+& qu'il me ranimerait asséz, pour me la faire foutre encore.
+Elle le fit, dès que je l'eús mise en goût, en lui rapelant de
+son Amant.
+
+-- Notre première nuit et les trois suivantes, ont valu chacune
+cinq-cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite.
+Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre
+bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa
+troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant,
+me baisant partout: Il me fesait lever les jambes en l'air,
+puis mettre debout sur le lit. -- Remue du cul (me disait-il),
+ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais-. Je lui
+observai, que cela était indecent. -- Bast! une Femme est la
+Putain de son Mari-... Il me gamahucha. Il s'écria de toutes
+ses forces: Elle decharge-! Et il me fit empoigner son gros
+membre, de la couleur & de la grosseur de celui d'un Cheval. --
+Alons! alons, que je te foute, à-présent-. Il se jeta sur moi.
+Mais il ne put rién. -- Foutre! Celles qui disent que ton Père
+t'a depucelée, sont des Garses! tu es pucelle comme quatre. Je
+voudrais que tout le monde fût-là, pour en étre temoin-......
+Il me pomada... devant, derrière. Il éteignit les bougies (mon
+pucelage était vendu), & il parut se coucher. Mais ce fut
+Un-autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros membre,
+qui ne put rién-... [Depuis le mot de son recit, Elle
+decharge! elle decharge! j'avais glissé une main entre les
+cuisses de ma Fille, sans qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui
+hâpái le Con. -- Hâ! Papa! ne me menagerez-vous donc pas plûs
+que les Autres, un-jour où... j'a été depucelée! -- Depucelée!
+hâ! celeste Fille!... Est-il bién vraì? -- Jamais On n'est
+entré... dans ce que vous me tenéz... qu'aujourd'hui! -- O
+Fille adorée! je suis un Dieu, & non pas un Home... Mais tu
+m'as fait trop bandér: ta précieuse faveur?... ou..
+j'aurais... une colique spermatique épouvantable-! Et je
+l'enlevái vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet
+obscur.
+
+
+
+
+XII Chapitre.
+
+Chap. Du plus delicieux des Incestes.
+
+
+-- Vous voila tous! (me dit-elle); & mon Papa lui-même ne me
+rechèrche que pour ce trou-là! -- Et pour ton cùl, tes tetons,
+ta bouche, tes ïeux, ta tâille voluptueuse, ton tour
+provocant, ta jambe, ton piéd foutatif, ton âme naïve &
+virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain-.
+En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée
+qu'elle était sur le foutoir, & je me disposais à le lui
+mettre en levrète: mais il la falut pomader. Elle reprit: --
+Mais c'est ma faute! ces recits-là enflâment tous les Hommes:
+Timorì n'a été prêt à me deflorer qu'une seule-fois; & ce fut
+après ce même recit moins detaillé-. Cependant elle faufuyait,
+pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement: --
+Tu veux donc me rendre malade, ma chère Fanfant-? Elle
+s'attendrit; ses beaux grands beaux ïeux bleus devinrent
+humides: elle se cambra, pour me l'inserer elle-même, & me
+dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la
+pomade: -- Quand ma Soeur & moi nous voüs l'avons vu tant de
+fois mettre ainsi à ma Mère, sur le piéd de votre lit, vous
+criiez de plaisir!.... n'aléz pas en faire autant! Vitnègre
+peut revenir-? Je lui promis le silence, telles delices que
+j'éprouvasse... J'enconnais. Ma Belle fesait de petits
+mouvemens de contraction du Conin. Jamais satin ne fut aussi
+doux que l'interieur de ce Conin celeste: Conin encore imberbe
+n'est pas plüs étroit! -- Hâ! si ton Gueux avait connu le prix
+de ton divin Con, il t'aurait defoncée, eússes-tu dû en perir.
+-- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir: Il
+se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une
+fesse, & decharge... en... blasphemant-. (Elle se contracta,
+et dechargea). Je partis alors delicieusement, en me recriant,
+malgré ma promesse. -- Remue du croupion (ne cessais-je de
+dire), remue du Conin, mon Ange?... Bon,.. bon!.. encore?
+encore-?... Et elle se contractait, en redechargeant, au-point
+que le fond de son Con me pinçait, & me suçait le bout du
+vit.... Je dechargeai trois-fois, sans deconner: & elle,
+peutêtre dix-fois. Ce que je sentais à ses tremoussemens
+convulsifs. Enfin, elle se pâma... Je deconnai, dès qu'elle
+cessa d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que
+Vitnègre, en arrivant, ne lui prît & ne lui flairât le Con,
+suivant son usage, même devant le monde qu'il amenait.
+
+Pour nous reposer, nous alames causer à la lumière. Je lui
+revelai là toute l'avanture du Moine, pour lequel Vitnègre lui
+avait fait si longtemps tenir en vue tetons, cùl, Conin: je
+lui peignis la grosseur du vit du Moine, le double de celui de
+son Monstre: la joie barbare qu'avait marquée l'execrable
+Moine, à-côté duquel j'étais caché, de la pourfendre & de la
+tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de
+carosse... Elle se jeta dans mes bras: -- O mon cher Papa?
+sauve-moi? & je te suis devouée à jamais? -- Je te sauverai..
+Je lui expliquai comment, & pourquoi le gros Moine s'en était
+alé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait
+entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui detaillai comment
+son abominable Mari me l'avait livrée, comptant la donner au
+Moine, auquel elle était vendue. -- Tu sais, ma ravissante
+Fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir &
+toute vraìsemblance, qui ai ravi à nos Ennemis, ton celeste
+pucelage-?
+
+Conquète me donna un joli baisér sur la bouche. -- Mais comment
+me sauveras-tu? -- Je viendrai te prendre dans une heure; je
+t'emmènerai; tu coucheras dans ta pension: Aussitôt que tu
+seras en sûreté, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec
+ta cléf, & coucher dans ton lit, la jolie Putain du Port-au-bléd,
+deja prévenue, comme pour y coucher avec moi. Je
+guetterai: Dès que Vitnègre & le Moine seront arrivés, je
+m'échapperai. J'écouterai; et nous verrons demain-. Ma Fille
+fut ravie.. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener au
+moment même. Aulieu de cela; je m'amusai à lui faire raconter
+la seconde et la troisième nuit de son mariage.
+
+
+
+
+XIII Chapître.
+
+Chap. Du Con & du Cul vendus.
+
+
+Voici comme ma celeste fille reprit la narration que je
+désirais:
+
+-- Le second soir, Vitnègre recomença les mêmes choses. Il me
+prenait legèrement la gorge: -- Ferme comme un gland-!
+(disait-il)... Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à Quelqu'un
+(ce qui n'était que trop reel!) Après avoir mis en vue ma
+Conque, il me tournait pour faire voir mes fesses. -- Elle est
+encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à lui-même):
+pour la perforer, il faudrait la pomader en diable, & se
+pomader à soi-même le v...-. Il me gamahucha violemment; &
+quand j'eús émis suffisamment, selon lui, il me laissa
+reposer. Après un court sommeil, je m'éveillai couchée sur le
+ventre, ayant sur moi un Homme, qui s'efforçait de
+m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais
+quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs douloureux, il ne
+put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce
+fut son expression, prononcée très-bas à Quelqu'un).
+J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci: -- Il faudrait qu'un
+v... moins gros que le mién, me la fraye... Voyons, toi! Trop
+gros, de beaucoup-!... Je n'y comprenais rién. Je m'endormis,
+& ne m'éveillai plus.
+
+Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la
+rosette, & plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit
+coucher sur le ventre & retrousser. Il se mit sur moi, en
+disant: -- Il faut que j'en tâte de ce ragoût de Bougre-. Je
+lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit. -- Ça va
+jusqu'à toi (me repondit-il), & ça te passe.... Hâ! que
+d'argent me vaudraient ces deux Bijoux-là, s'ils étaient
+connus-! Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures
+durant sans succès, & finit, parcequ'une copieuse dech--ge...
+lui ôta sa roideur & ses forces....
+
+Le troisième soir, il repeta encore tout ce qu'il m'avait
+fait... A mon reveil, dans mon premiér somme, je me trouvai
+sur le dos, ayant un Homme sur moi, qui m'attaquait le Bijou
+de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit: "Decharges
+tu, ma Fille"? On me quitta, & Vitnègre ajouta: -- Si tu cries
+comme au feu, dès que je voudrai te le mettre, nous voila
+bién!.. Alons, empoigne-moi le vit, que je dech--ge...
+Chatouille-moi les coui-les de l'autre main... Tiéns, comme je
+fais à ton C-n. Va, va, va... vaah-. (Il ne m'appelait encore
+ni Putain, ni Garse; ce ne fut qu'aubout de six semaines).
+Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait
+l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai
+cet Homme plûs d'une heure. Il en fut une autre à me
+gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui
+pisser dans la bouche, & n'en perdit pas une goutte, il avala
+tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas été dans une
+securité parfaite, je me serais bién aperçue, que Vitnègre le
+reconduisait, en disant. -- L'operation, l'operation-! Mais me
+doutais-je de rién?...
+
+Je rebandais, malgré quatre decharges, et deja je disais à ma
+Fille: -- Conin celeste, je n'en puis plus?... Je ne te
+cacherai pas, ma delicieuse Amie, qu'outre ma passion pour
+toi, qui est inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif
+puissant: c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il
+était possible sans triturer tes charmes divins, que toute la
+Terre te passât par le con, pour qu'il fût le cornard
+universel... Viéns me donner le bonheur-? Et je l'emportais,
+quand nous entendimes tourner la cléf. Je me cachai aussitôt
+dans le cabinet obscur.. C'était Vitnègre, qui rentrait avec
+un Jeunehomme. Nous entendimes clairement, qu'il lui disait
+avant d'entrer: -- Tu as le Vit cumme il le faut: c'est ce qui
+me fait te donner pour six bougres de louis, un pucelage qui
+en vaut mille. Il est essenciel que je te surprènne, et
+veuille la tuer: Tu me supplieras, et je n'accorderai sa
+grâce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes
+gros Vits s'ennuient de ne pouvoir la Foutre ou l'Enculer. Ils
+me paient une grosse pension: Aussi je la nourris bién, et tu
+vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras dabord: c'est le
+plus pressé: Demain, tu l'enculeras. Sache que son Mari
+l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes
+ses volontés. Elle me vaut trente-mille francs, en trois mois
+de mariage. Entrons: elle va te ravir: mais point de pitié-?
+Tel fut le discours du Monstre.... Je poussai Conquette devant
+moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi.
+Il était nuit. Je pris Conillette la putain, arrangée,
+appetissante. Conquette nous précedait. Rassurée par ma
+présence, elle ouvrit le Cabinet obscur. Elle entra. Nous la
+suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur
+le pied du lit... Cependant ma Fille se présentait. Elle fut
+reçue avec transport? Le Jeunehomme, appelé Lenfonceur, et
+Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa
+que la main. Vitnègre neanmoins, qui (de même que les trois
+Fouteurs à gros vits, et le Moine), était fou de sa chaussure
+à talons minces élevés, lui baisa le piéd. Il lui dit ensuite:
+-- Ha-ça, ma Fille, alons-y par la douceur: Il serait
+malheureux pour moi de renoncer à te le mettre: il faut se
+faire une raison: mon Vit est trop gros: non préparée, il te
+dechirerait: Voici un vit mieux proportionné, qui va te
+perforer, sans decharger: ainsi percée, mon gros Vit penetrera
+cette nuit au fond de ton con: Voi-moi ce vit-là-?... Et il
+mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plütôt de Timori... Il
+falait que Vitnègre eût decouvert, on ne sáit comment,
+l'inclination de sa Femme inspirée par le beau Blond, pour en
+user come on va le voir.
+
+
+
+
+XIV Chapitre.
+
+Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine.
+
+
+Ma Fille, en reconnaissant son Amant, que son Mari lui amenait
+pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de desir. Elle
+trouva moyen de venir à moi, pour me dire: -- Faites
+disparaître la Fille; on ne l'emploiera que cette nuit-. Je
+vis bién qu'elle voulait être foutue par son Galant. Je cachái
+la Putain. Voici maintenant le recit de ce qui va se passer:
+
+Dès que Conillette se fut comodément arrangée derrière le
+grand sofa, Conquette retourna auprès des deux Homes, qui la
+rapportèrent au foutoir, assise à cùl-nu sur leurs mains
+unies. "Alons, ma Petite Garse de Femme, (lui disait
+Vitnègre), tu vas pourtant être depucelée, foutue! Mais ce
+n'est rién! c'est quand tu auras Un gros Vit, cette nuit"!...
+Il la troussait, l'arrangeait. "Lenfonceur, que je te mette le
+vit dedans? "Non, non; ma Belle se le mettra elle-même, "Tu as
+raison: Il faut qu'elle s'y accoutume". Vitnègre sortit, ét
+j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai
+quelque noirceur: Mais j'étais là... Timorì, bién-bas, dit à
+ma Fille: "Vous le mettrai-je, ma bonne Amie? "Non, non! il
+est alé chercher des Ecoutans [ce mot glaça Timorì]. "Mais il
+vous estropiera? "Je ne couche pas ici". Alors l'Amant
+satisfait, se mit à la gamahucher doucement. Cependant la
+Voluptueuse dechargea...
+
+Elle était aux Anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je
+crus qu'il amenait le Moine. Il entra, passa rapidement, suivi
+de trois Voisines, auxquelles il disait, -- Je vas vous
+montrer-ça-. Effectivement, il Leur montra que que-chose dans
+sa chambre... Cependant mon amoureuse Fille, gamahuchée par Un
+Amant aimé, fit un profond soupir. Les trois Voisines
+prétèrent l'oreille. "Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma Femme
+est rentrée, ét je ne le savais pas. C'est pour elle cette
+étofe-là. "Hô! il faut la Lui montrer! (s'écrièrent les trois
+Voisines). Le Monstre retint Celle qui alait La chercher. Il
+prit la lumière, en disant. "Je vais auparavant voir si elle
+ne dort pas". Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air
+de surprise ét d'horreur!... Il recula. Mais les trois
+Voisines avaient vu comme lui, pardessus son épaule, Conquette
+troussée, étendue à la renverse sur le piéd du lit, la tête
+d'Un Homme entre ses cuisses... Il Les fit sortir par le
+corridor, en se frappant le front...
+
+Il avait rempli son but. Si sa Femme criait pendant la nuit,
+les trois Voisines, qui se croyaient bién au-fait, y
+mettraient les Autres: Sì Mad. Vitnègre perissait écalventrée
+par le timon du Moine (qui étant extrêmement riche, devait La
+payer 60-mille francs, ét qui en avait deja tué plusieurs,
+choisissant toujours les plüs étroites), ce serait la Morte
+qui aurait tort... Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux
+Amans, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après avoir
+dechargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma Fille:
+"Hé-bién? (dit l'infame Mari), est-elle enfilée? bién
+enconnée?... Dechargéz vous? decharge-t-elle? "Nous avons
+dechargé (repondit Timorì-Lenfonceur). "Je vas sortir (reprit
+Vitnègre): Ramone-la moi encore pendant une bonne demi-heure,
+que je serai dehors... Et ne vous étonnez pas de ce que vous
+aléz entendre: J'ai mes raisons". Il ala dans le corridor,
+dont il ouvrit doucement la porte, ét se mit à crier
+sourdement, comme s'il avait bourré sa Femme à coups-de-piéds,
+"Hâ Garse! hâ Putain!... Tu fous, sacrée Salope! Quand je suis
+sorti, tu raccroches!... Je vais chéz le Commissaire"! Il
+ouvrit la porte bruyamment, ét la referma de-même. Mais il dit
+tout-bas, avant de s'éloigner: "Remue du cùl, ma Petite
+Femme!... Courage; Lenfonceur! fraye-moi la bién"!
+
+"Voila un rusé Scelerat! (dis-je à ma Fille, pendant que
+Timorì observait la sortie de Vitnègre): Le Moine t'aurait
+tuée, ét il ne neglige rién pour motiver ta mort. "Sauvons-nous!
+(me dit-elle). "Non, non: nous sommes asséz pour te
+defendre. Feins à Timorì que j'arrive-... Le Jeunehomme
+rentra. "Voici mon Papa, arrivé a-propos! "Hâ-oui! (repondit
+Timorì), sa présence pare à tout; car j'alais proposer de nous
+enfuir. Mais à-présent, voyons ce qui arrivera". Je Lui
+montrai Conillette, ét je lui fis entrevoir notre plan, que
+Timorì trouva merveilleux!... Le temps s'écoula vite. Nous
+entendimes revenir. Timorì reporta la lumière dans la chambre;
+nous nous cachames ma Fille ét moi; tandis que le Jeunehomme
+s'étendait sur le ventre de Connillette troussée... "Que ton
+vit ne m'approche pas! (lui dit-elle), je suis gâtée; que tes
+couilles ne me touchent pas le poil; jai des Morpions-!.....
+Vitnègre entrait, suivi du Moine, que le Voisinage aux
+fenêtres prit pour le Commissaire.
+
+
+
+
+XV Chapitre.
+
+Chap. Du Fouteur à la Justine.
+
+
+Le Moine ôta dabord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il
+mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux, que ma Fille
+tremblante m'étreignit dans ses bras "Hô! qu'il est gros (dit
+Vitnègre). "Il a tué deux de mes Soeurs Religieuses, qui
+avaient fait chacune deux Enfans de notre Prieur: J'ai tué
+toutes les Femmes que j'ai enconnées: il n'y a que ma Mère que
+je n'ai pas écalventrée; mais je n'eüs pas de plaisir; La
+Vieille Garse ne saigna presque pas! j'eüs peu de plaisir...
+Pour ta Femme... hâ. quelle rage!... Mais elle est foutue...
+elle sera morte avant que j'aye achevé de l'enconner... Je
+l'enculerai expirée... Je t'en apporte le prix: 60-mille
+francs en billets de la caisse.... Vitnegre le compta; les
+serra. "Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! "Tu te fous
+de moi!... Apres, après: elle sera encore chaude".... Je
+fremissais! et comme j'avais deux Pistolets chargés, je fus
+tenté de brûler la cervelle à ce Monstre: mais il alait avoir
+la verole... "Vouléz-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir
+le con? sa jolie figure? "Non! cela m'amollirait le vit....
+Conduis-moi sans lumière". Ils vinrent à tâtons.
+
+Vitnègre précedait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une
+Femme seule, ét troussée, il voulut Lui mettre, en soupirant,
+sa langue dans le Con. Elle L'en empêchait, quand le Moine
+faillit de l'écrâser, en tombant sur la Fille. Vitnègre fut
+obligé de se retirer a quatre -- Le 1ér acte du Père Foutàmort
+(comme Vitnègre Le nomma), ce fut de mordre le bout des tetons
+de sa Monture, en Lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer
+dans ce vaste Con, encore élargi par une éponge, que la Fille
+venait d'en ôter. Conillète fit un cri perçant! et se sentant
+dechirer le Con, elle voulut se derober, en égratignant des
+deux mains. Foutàmort, qui savait bién qu'elle ne pouvait en
+échapper, ét dont le plaisir était d'autant plüs grand à tuer
+une Femme, qu'elle était plüs belle ét plüs étroite, ne la
+menagea pas: tout en l'écartelant, il lui arracha le bout des
+seins avec ses dents. Un profond évanouissement, ou la mort,
+fit cesser ses cris... Je me repentis de n'avoir pas dabord
+tiré un coup de pistolet à bout-portant dans la tête du
+Moine... Mais les Voisins au bruit auraient peutêtre enfoncé
+les portes: ce fut ce qui me retint... Foutàmort parvenu au
+fond du Con de la Fille écalventrée, dechargea enfin en jurant
+ét rugissant.
+
+"Fous un coup (dit-il à Vîtnègre), avant que j'encule la
+Garse"? Le Scelerat vint: mais sentant un cadavre plein de
+sang, il se retira. "Elle est morte! (dit-il). Foutàmort la
+tâta: "Non; le coeur bat encore: vite que je l'encule". Le cùl
+de Conillète était bién plüs étroit que son con; le Moine
+haletait. Il en vint cependant à-bout: car il dit à Vitnègre:
+"Je n'ai fait qu'un trou des deux". Et il dechargea
+horriblement!.....
+
+Ma Fille épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps.
+Vitnègre pleurait: "Ma pauvre Femme! je t'ai livrée à ton
+Bourreau! "Ne te L'ai-je pas payée? (dit le Moine): Elle est
+bién à moi... Ainsi, va te coucher, ét fous tes 60-mille
+livres: tu me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore
+chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq à six fois le cùl
+ét le con de ma Putain". Vitnègre ala se coucher dans un petit
+cabinet, où il s'enferma.
+
+Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablemt sur sa Victime
+expirée.... Enfin épuisé, il ala chercher la lumière, pour en
+repaître ses cruels regards... J'ai dit que la Fille était
+jolie. "Elle est belle encore! (dit le Monstre): Mais la
+figure de la Putain est toute bouleversée; elle ne se
+ressemble plus à elle-même... Il lui regarda le Con, en lui
+soulevant le cùl... Il la laissa retomber, en éclatant de
+rire: "Ma-foi, la Gueuse n'a plus qu'un cùl, ou qu'un Con...
+je ne sais lequel... Mais est-elle bién morte"?... Il la
+deshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur une
+grande table; ala prendre un vaste saladiér; tira un bistouri
+[Nous Le voyions par la cloison vîtrée]: "Decharnons-La". Il
+lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout-entière,
+la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le
+coeur, les poumons, le foie, La vessie, La matrice; La
+retourna, Luî enleva la chair des fesses, lui coupa les piéds
+chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra
+dans l'autre. Il La retourna encore; Lui coupa la langue, la
+tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa
+chemise ét un drap du lit, en disant: "Voila un bon regal pour
+nos Moines ét pour moi". Le terrible Anthropophage mit le
+saladiér dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit
+lever Vitnègre pour le coudre; puis il Lui dit de publier le
+lendemain, que sa Femme se mourait; de La mettre le soir dans
+une biére, ét que Lui Moine se chargeait de La faire enterrer.
+Et après Lui avoir recomandé de bién effacer au grand jour
+toutes les traces de sang, il sortit vërs les 3 heures du
+matin, emportant son saladiér de chair humaine.
+
+Vitnègre pleura dabord. Mais nous ayant entendu remuer, pour
+sortir, le Lâche eüt une frayeur si grande, qu'il ala
+s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortimes donc tout à
+notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous
+entendimes les Voisins qui disaient fort-bas: "Il ne l'a pas
+tuée; voilà qu'On l'emmène"!... Nous nous mimes à fuir par de
+petites ruës, dès que nous fumes dehors, de-peur d'être
+suivis. Et bién à-propos! nous entendimes courir. Mais On ne
+prenait pas notre chemin. Je remenai ma Fille à sa pension,
+laissant là Timorì, pour observer, ét lui promettant de
+revenir dans une demi-heure.
+
+"Voila donc (me dit-elle), quel serait à-présent mon sort, si,
+en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre
+depart! O mon cher Papa! tout mon corps est à vous, pour en
+faire ce que vous voudréz"! Je lui demandai sa bouche. Elle me
+darda sa langue; et nous arrivames. Je lui dis de se coucher.
+"Non, non! ét mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les
+avoir"? J'admirai sa présence d'esprit!... Il était près de 5
+heures. Je courus rejoindre Timorì, qui se promenait devant la
+porte. "Rién encore" (me dit-il). Un instant après, nous vimes
+sortir Vitnègre. Timorì le suivit, ét j'alai chercher ma
+Fille, sa présence nous étant necessaire, si d'officieux
+Voisins nous arrêtaient. A mon retour avec ma Fille, ét deux
+Crocheteurs, je retrouvaì Timorì, qui nous dit que Vitnègre
+avait passé le boulevard. Ma Fille ouvrit: Nous chargeames
+quatre malles préparées, mais cachées, nous sortimes sans être
+vus, ét nous alames par des rues detournées, chéz mes Affidés.
+
+Ce fut alors que ma Conquète fut tranquille! Elle se coucha,
+ét nous alames reposer chacun chéz nous Timorì ét moi
+
+
+
+
+XVI Chapitre.
+
+Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour.
+
+
+Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont
+agu rrir ma delicieuse Conquette-Ingenue, ma ravi sante
+Victoire-Conquette, faire leur fortune, la miénne, en leur
+ôtant une fausse delicatesse, & decouvrir une chose admirable,
+qu'On ne verra qu'à la fin. La route que je vais prendre; pour
+former ces deux Belles & leurs Compagnes, étonnera dabord!
+mais en toutes choses, il faut attendre le derniér resultat...
+Reprenons ce charmant Recit, en fesant préceder quelques
+fouteries préparatoires, qui amèneront les grandes. Mais il
+n'y aura plus dans le reste de l'Ouvrage, aucune horreur qui
+ressemble à celle du Moine Foutamort. Les horreurs à la Dsds
+sont aisées à présenter; c'est la peinture de la douce
+volupté, qui est le chéfd'oeuvre du Genie.
+
+La première visite que reçut Conquète, le lendemain, jour de
+son enterrement, ét à la même heure, fut celle de Timorì. Il
+La trouva chéz ses Hótes. Il venait Lui raconter, comment,
+après étre morte la nuit précedente, elle venait d'étre
+enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or,
+j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous,
+mais sur le derrière, un petit Magasin, où je cachais chaque
+N° de mes ANNALES, que supprimait le Gouvernement d'alors. Ma
+Fille y devait faire mettre son lit, le soir même: il y aurait
+sans-doute été deja; mais elle ne fesait que de se lever. J'y
+avais placé pour mon usage, celui de mon Secrétaire, de sa
+Soeur, de sa Maítresse ét de sa Bellemère, un Foutoir comode,
+dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher.
+[Vitnègre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait,
+quand Un de ses trois Payeurs venait, pour essayer de
+depuceler le Con ou le cùl de sa Femme, qu'il appelait, sa
+Poule aux oeufs d'or: il voulait tout voir, craignant qu'Un des
+Trois ne la Lui enlevât: C'était aussi par volupté; il était
+passionné pour la chaussure de sa Femme: Lors donc que
+tendrement gamahuchée par Un des trois Bougres (car ils
+l'adoraient, ét ils vont bién La regretter); elle émettait, il
+lui tirait un souliér, qui se trouvant étroit vërs la pointe,
+lui servait de cou: Aussi disait-il à ses Intimes: "Je n'ai
+jamais foutu ma Femme qu'en souliér"]. Conquette sentant bién
+que Timorì avait bién des choses à luì dire, ét qu'il ne
+pouvait parler, prétexta qu'elle avait laissé dans mon magasin
+une Lettre à Lui montrer. Elle avait une double cléf: Ils y
+descendirent ensemble.
+
+Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma Fille, sa
+voix basse, ét celle de Timorì. Je me cachai dans le Foutoir.
+Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la
+couvrit du matelassement qui empêchait qu'On ne fût entendu
+audehors, ét ils s'assirent sur Moi.
+
+"Hâ! Madame (dit Timorì), quelles scenes!... Il avait
+decouvert que je vous aimais, à mes regards, ét parcequ'un-jour
+étant avec Lui chéz vous, pendant qu'Un de vos Acheteurs
+vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la derobée une
+de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non-seulement
+que vous m'aimiéz, mais que je vous fusse connu. Hiër, à 3
+heures, m'ayant trouvé au Caffé, il me dit: "Je ne saurais
+depuceler ma Femme; j'ai le Vit trop gros: Tu es beau garson;
+je tai choisi, pour La depuceler aujourd'hui, à l'instant; je
+te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses
+épingles". Je les Lui donnai surlechamp, ét nous partímes...
+Vous savéz le reste... Ce matin, après vous avoir quittée,
+j'ai été me reposer jusqu'a 10 heures, que j'ai été à mon
+Bureau. Maìs passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai
+entendu deux Voisines qui se disaient fort-bas: "Le Confesseur
+y est! ce n'est donc pas elle qu'On a emmenée cette nuit"....
+L'infame m'a ouvert. L'horrible Moine était avec lui. Un Frère
+avait apporté la biére bién enveloppée, et il recitait tout-haut
+des prières auprès du Cadavre dans le cabinet obscur.
+"C'est un Ami (a dit Vitnègre)... Ma pauvre Femme est morte!
+"Morte! (ai-je dit). "Elle est expirée dans les bras du
+Reverend Père" J'ai fremi de l'expression!... Le Moine a dit:
+"J'ai fait toutes les demarches: nous avons la permission de
+l'enterrer sans bruit: ce sera pour 3 ou 4 heures". Je suis
+sorti...
+
+En revenant de dîner, vërs les 4 heures, je suis repassé. Deux
+Prêtres, quatre Porteurs, le Moine ét le Frère, ont emporté le
+corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des
+évènemens... Je les observerai.
+
+Ma belle Amie! On vons croit morte: vous êtes libre:
+M'accorderéz-vous vos précieuses faveurs? "Mon Ami! (repondit
+modestemt Conquette), je commence par vous remercier de
+l'important service que vous m'avéz rendu! mais Un-autre m'en
+a rendu un plüs important encore: seul il m'aurait sauvée: Si
+mes faveurs étaient encore à Moi, elles seraient à vous. Mais
+elles sont a mon premiér Amant, qui caché, a decouvert toute
+la trame: Il venait de me deflorer; il me l'a mis encore
+après. C'est votre unique Rival: mais il est adoré: son nom,
+que je vaìs vous dire, va vous prouver toute mon estime, ét
+que vous avéz toute ma confiance: C'est mon Papa"... A ce mot,
+Timorì tomba aux genoux de son Amante: "Fille angelique! Fille
+divine! (Lui dit-il), je reconnais là votre piété filiale ét
+la beauté de votre âme! Foutéz avec votre Père; que lui-seul
+vous enconne! Vous seriéz digne de foutre avec Dieu, si Dieu
+foutait!... Mais je demande à vous gamahucher, ét si votre
+Papa le permet, à vous enculer? "Mon aimable Ami! (lui
+repondit Conquette, en le caressant de la main), vous êtes
+bién raisonnable"!.
+
+Timorì se deculota, Lui mit dans la main un vit à pucelage,
+plüs petit que le mién, se fit chatouiller les couilles, ét La
+voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timorì La renversa, La
+troussa, ét lui supa savoureusement le Con... Non, jamais l'On
+n'entendit de pareils soupirs!... "Hâ! Timorì.. ta langue vaut
+un vit". Elle avait émis dès le troisième coup de langue, ét
+dans son delire, elle élevait ses jambes en l'air, fesait
+claquer ses jolis talons, haussait du cùl, pour favoriser
+l'application de la bouche de son Gamahucheur, ét
+l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris.
+Elle imitait sa Mère, dans ce claquement de talons: car je ne
+foutais Celle-ci que de jour, soit en Con, soit en cùl. soit
+en bouche, pour être excité par ce qu'elle avait de mieux, la
+jambe ét le piéd: Je lui demandais le claquement des talons,
+parcequ'il imitait la marche de Femme, son qui me fesait
+toujours bander... Lorsque ma Fille eüt amplement dechargé,
+elle écarta Timorì.
+
+
+
+
+XVII Chapitre.
+
+Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur.
+
+
+La celeste Conquette-Ingenue fut toujrs aussi juste que belle
+& sensible: qu'On ne soit donc pas surpris de ce qui va
+suivre.
+
+Elle se mit sur le ventre, ét lui dit: "Mon second Amì!
+pommade-moi: Mon premiér Ami a eü le pucelage de mon Bijou; il
+est juste que tu aies celui de ma Rosète; mon Papa sûrement
+m'approuvera? "O Deesse! (repondit Timorì, en lui inserant de
+la pomade dans l'anus avec une canule), que tu es raisonable!
+Il aura le Conin, Moi la Rosète, ét nous jouiront chacun d'une
+fouterie à nous-seuls". Timorì enfonça, malgré quelques petits
+cris de ma chère Fille, et après de vives saccades, il
+dechargea, en s'écriant: "Foutre! foutre! quel cùl.. quel
+plaisir des Dieux"! Et il se pâma... Il fut épuisé, ét de
+sperme ét de forces, par ce coup seul... Aussi se rapela-t-il,
+à mon grand contentement, qu'il était atendu à 7 heures. Il
+laissa l'amoureuse Conquète-Ingenue étendue sur le lit, après
+l'avoir remise sur le dos, afin de Lui donner quelques coups
+de langue au Con, pour baisér d'adieu. Il aluma sa bougie,
+sortit, ét tira la porte.
+
+Aussitôt je quittai ma cachette, ét je m'élançai sur mon
+adorable Fille, que les trois dardemens de langue avaient
+émue, ét dont le Con oscillait vivement. "Quoi! vous étiéz là?
+"Oui, ma Divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une
+érection terrible! "Adoré Papa, foutéz... foutéz-moi! (ét
+c'est la première-fois de sa vie qu'elle prononçait ce mot);
+je n'en puis plus moi-même"... Elle me saisit le vit, ét se le
+mit dans le Connin: "Pousse! (me disait-elle): Il entre..
+Pousse! vit de Dieu! vit paternel! émets du foutre dáns le Con
+de ta Fille"!... En parlant ainsi, elle remuait tellement du
+cùl, que je me trouvai biéntôt au fond de son Connin. Vive la
+fouterie ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante!
+J'avais la bouche, la langue, les blancs tetins de ma Fille,
+ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au
+double dans Une Femme qu'On fout, ses doux propos: "Chër Vit!
+Vit divin! comme il me chatouille le Con!... Pousse!.. Hâ!
+Bougre! je me pâme... Je dechar...arge du fou...outre!... Ta
+langue! chër Amant! Enconneur adoré!... Hò je redecharge, Fous
+Sacrébougre! Suce... mordille-moi les tetons"!;;; Je
+dechargeai delicieusemt à la seconde émission de ma celeste
+Fille. Au fond de son étroit Connin, je me sentis adorablement
+pincé par ce que le Vulgaire appelle le clitoris, ét les Gens
+de l'art, le bas du conceptoire ou de la Matrice; cet organe
+de volupté, qui n'est atteint que par un vit long, me suçait
+le bout de l'engin dechargeant... Et cette idée delirante, en
+me voyant sur la plüs belle des Femmes, renversée sur le dos,
+bién enconnée, se pâmant de plaisir, "Je fous ma Fille... Je
+lui decharge dans le Con... Nos foutres mêlés peuvent lui
+faire un Enfant tout de moi... Je fais cocù le gueux, le
+scelerat de Vituègre! Je fous sa Femme, qu'il croit morte,
+qu'il n'a jamais foutue... Nous La foutons, Timorì ét Moi,
+l'Un en Con, l'Autre en cùl, tandis que le vil Jeanfoutre se
+branle le vit à sa divine intention... Il la croit écartelée
+par le Vit-timon de son exécrable Moine... ét son étroit Conin
+decharge avec nous, comme celui d'une Princesse, foutue par Un
+Jeune Garde-du-corps!... Ces idées, rapidement roulées dans
+mon imagination, doublaient, triplaient ma volupté.....
+
+Ma Fille me fit déconner: "J'en suis pleine, me dit-elle; le
+devant, le derrière; il faut que je me purifie". Je courus lui
+chercher de l'eau tiède chéz son Hôtesse, Mad. Brideconin, que
+je trouvai seule auprès du feu, des tetons blancs comme neige
+découverts. Je les baisaí, pris l'eau qui chauffait pour elle.
+Son Mari me dit: "Je viéns de le Luì mettre, à l'intention de
+votre Fille, la charmante Mad. Poilsoyeux (nom que je lui
+avais donné, pour qu'elle ne portât pas celui de son ìnfame
+Mari). Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les
+charmes secrets de ma Deïté. Il y avait un peu de sang à la
+rosette, ét même au Conin. "Hé! quoi, ma Delicieuse, tu as
+donc encore souffert? "Oui, mon chër Bourreau: mais le plaisir
+l'a toujours emporté, même en cùl"... Conquette purifiee, me
+dit: "J'étais si pressée de jouir avec vous, que je n'ai pas
+pris le temps, Papa-Sauveur, de vous demander votre sentiment
+sur ce qui s'est passé entre Moi ét Timorì? "J'ai aussi bién
+des choses à vous dire là-dessus, mon Ange: mais nous alons
+souper. Vous avéz besoin de repos, ét Moi aussi; ce sera pour
+demain"... Je lui donnai la langue; elle me darda la siénne;
+je baisaí les boutons rose de ses tetons, ét nous alames nous
+mettre à table.
+
+Pendant le soupér, je racontai à M. ét Mad. Brideconin ce
+qu'il falait qu'ils sçussent de la prétendue mort de Mad.
+Poilsoyeux, afin qu'ils ne la compromîssent jamais. Pendant le
+repas, notre Porteur-d'eau ét sa Femme placèrent le lit de ma
+Fille dans mon magasin; ét dès qu'il fut arrangé, nous y
+descendimes ensemble. Ma belle Amie me dit: "Je crois que
+j'aurai peur: priéz Mad. Brideconin de venir coucher avec
+Moi"? "Je vais rester, ma Reine. "Hâ! j'aime bién mieux cela!
+non pour jouir; mais pour que mon Amant-papa s'endorme sur les
+tetons de la Femme de Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou
+qu'il ne .. qu'un de mes vieux souliérs. "Ma divine Fille?
+(repris-je), je vais, dès ce soir, te dire ce que je voulais
+remettre à demain. Couchons-nous".
+
+Je deshabillai ma Deesse come Une Nouvelle-mariée, baisant
+tout ce que je decouvrais. Tous-deux au lit, je l'assis sur
+mon vit:
+
+
+
+
+XVIII Chapitre.
+
+Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée.
+
+
+Ami Lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plüs
+savoureuse volupté, en me rappelant ces momens enchanteurs,
+que m'a procurés ma Conquette-Ingenue-L**!
+
+"Appuie lentement, ma Reine; que je t'enfile sans limer"? Elle
+le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui dis: "Tu
+sais, très-cherie Fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes
+sentimens divins à mon égad, m'ont penetré de reconnaissance
+ét d'admiration... J'approuve entièrement que tu ayes donné à
+Timorì le pucelage de ton beau cùl. J'accepte avec transport
+ton dévoûment pour Moi. Mais, celeste Fille! c'est à ton
+interêt, à ton bonheur, que je me propose de le faire servir.
+Je ne prétens pas, tel qu'Un Sultan, te garder pour mes
+plaisirs exclusifs. Tu auras Un Payeur. Lequel des trois
+Hommes auxquels ton pucelage était vendu, aurais-tu préferé?
+"Le plüs honnête, incomparable Papa: mais c'est justement
+Celui quì l'a le plûs gros. "Je te ferai donc élargir le Bijou
+par Un gros Homme de ma connaissance: Il n'est pas aimable:
+mais Un Homme aimable pourrait t'épuiser, en te fesant trop
+decharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il
+ne faut pas; Un Fouteur préparatoire ne doit te prendre que le
+con... Ni Moi, ni Timorì ne te suffirions point; nous n'avons
+pas le vit asséz gros; ce ne sont que des vits à pucelage.
+Mais j'ai plusieurs Ressources... Je sonderai Celui que tu
+préfères; puis les deux Autres, s'il ne fait pas ton affaire.
+Je les ai épiés: Je sais leur adresse; je ne nous
+compromettraí pas. Je ne te demande que de la soumission?
+"Entière! divin Papa". Elle se tremoussa un peu, ét dechargea.
+"S'il te surviént beaucoup de temperament, comme je crois
+l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu
+verras comme tu seras régalée!.... Je ne suis plus d'un âge à
+te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de
+jolis Jeunesgens, graduant la grosseur des vits".
+
+Ici, ma provocante Fille s'agita, en me disant: "Mon cher
+Vit-papa! permets que je foute en con à l'intention de Timorì, le
+Vit de mon cùl? Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta
+présence. "Oui. oui"... Je la saccadai. Elle s'écria:
+"Fourgonne.. Vit de mon cher Timori! fourgonne mon Con! Fais-moi
+pâmer! Bougre.. foutre.. Ramonne.. ramonne!... ze deçarze!
+Et elle dechargeait, en se roidissant: "Hahaha, mon Papa!
+hahaha! hahaháh"! (avec un lông soupir)... Je n'ai jamais eü
+tant de plaìsir, qu'à cette decharge... Nous avions de la
+lumière: ma Fille se mit sur le bidet, pour se rafraîchir le
+Bijou, tandis que je me mettais le vit ét les couilles dans
+l'eau froide, pour me faire debander. Je demandai à ma Fille,
+Qui lui avait appris les expressions dont elle s'était servie,
+en déchargeant? "Des la troisième semaine de notre mariage (me
+répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec lui sa Filleule,
+femme d'Un Espion de Police: cette Femme, par les ordres de
+son Parein, feignait de delirer, quand il l'enfilait; ét voila
+quels étaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui
+n'auraient pas été placés pour nous, comme Gros-bondon, Chién
+de Vit de mulet, Foutàmort le cadet! etc" Nous nous remimes au
+lit, ét nous nous endormimes enlacés.
+
+Le matin, je renouvelai mes instructions à ma Fille. On
+frappa. C'était Mad. Brideconin, qui parla. Je me cachai dans
+le foutoir. Elle apportait le dejeúnér de Mad. Poilsoyeux. "On
+cherche Une Fille du Port-au-bléd (dit-elle), disparue depuis
+avanhier-soir. Une de ses Pareilles a dit, qu'elle devait aler
+coucher avec Un Homme de 40 ans, qu'elle avait dit Avocat,
+mais qui est Chirurgién; qu'ils l'ont tuée à deux pendant la
+nuit, ét dissequée. C'est peutêtre votre histoire, qu'On
+denature comme ça? Mon Mari doit aler s'informer". Elle
+sortit; ét je vins dejeûner avec Conquète. Je la laissai, en
+promettant de la voir à dínér.
+
+Je fus exact. Brideconin était sorti. C'était effectivement de
+Conillète, dont il était question. Le Commissaire ét les
+Mouchards visitaient toutes les maisons de la ruë: mais On ne
+trouvait rién. Je changeai de costume par précaution... Je
+revins le soir, ét ne couchai pas. Je me reposai trois nuits,
+et laissai reposer Conquete-Ingenue.
+
+On sait que j'aimais ma Fille autant pour elle-même, que pour
+mon plaisir, ét que je n'entendais pas règler son appétit de
+19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres
+raisons. Je vais me conduire en-consequence.
+
+
+
+
+XIX Chaître.
+
+Chap. Du Père Juste, & du Vit Grisonnant.
+
+
+On sera sans-doute surpris de ce qu'On va lire, d'après les
+sentimens que je viéns de professer!... Ne me préjuge pas,
+Temeràire! Pour me connàître & prononcer, attens.
+
+Je connaissais Un de ces Gourmets de plaisir, gros homme
+vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait
+donné souvent à dînér, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y
+avait fait enconner la Petite Vitsuçète, sa maîtresse, en me
+La tenant lui-méme: Il m'avaìt même procuré la Fille de son
+Hótesse, Petit Bijou, séduite par Un Noble, appelé De-Foutâne,
+qui L'avait ensuite rendue Putain. Elle nous amusa toute une
+aprèsdinée: Montencon ayant grisé la Jolie Adelaïde-Hôchepine,
+il eüt la politesse de me la faire enconner le premiér, ét
+chatouiller les couilles par sa Maîtresse: Ensuite il
+l'encula, également chatouillé par Vitsuçète. Je La refoutis,
+après que la Vitsuçète de Montencon me l'eüt lavée. Mais
+Celui-ci nous dit: "J'ai mes raisons: J'embouche la jolie
+Garse". L'ayant embouchée, ét lui ayant fait avaler son
+foutre, en haîne de Foutâne, j'en fus degoûté, ainsi que de la
+Vitsuçète, dite la Baiseuse, à Laquelle il en fesait autant:
+Je n'y étais plus retourne. Ce fut cet Homme que j'invitai à
+dînér dans mon petit Magasin, pour aguerrir ét m'élargir
+un-peu ma Fille: (Car j'avais fait donner separément aux trois
+Payeurs à gros Vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Perçecül ét
+Cognefort) l'espoir de la retrouver, ou sa Pareille.
+
+Montencon était connu de Conquète, dont il avait foutu la Mère
+avant la verole: Il n'en avait que plüs envie de le mettre à
+la Fille. Je le trouvaì dans l'escaliér, en arrivant Moi-même.
+Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie ét d'admiration,
+en voyant Une Femme si belle!... J'avaìs affàire; je ne restai
+qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma Fille pour
+compagnie. Il balbucia, en me reconduisant: "Elle est
+ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle est chaussée!
+ét quel dommage qu'Un Vitnègre ait eü ce pucelage-là?
+"Vitnègre? Elle est pucelle. "O mon Ami! puis-je y tenter? ét
+tâcher de mettre aumoins une corne à ce Gredin-là? "Fais-y ce
+que tu pourras: Mais je doute du succès, avec ton poil gris:
+Il n'y a que les Catins blâsées, qui souffrent les Barbons
+vigoureux ét libertins: avec les Pucelles sages, il faut être
+tendre; ét tu as la figure d'Un Satyre, ou d'Un Reprouvé. Mais
+tente-s-y".
+
+Après mon depart, Montencon essàya dabord de la galanterie.
+Mais n'y gâgnant rién, il culbuta Conquète à l'improviste sur
+le FOUtoir; ét comme il était vigoureux, il lui approcha, en
+la contenant d'une main, le vit des lèvres du Con... Cependant
+il ne put l'enfiler; Un coup de cùl en arrière le
+debusquait... Il alait La menacer de La poignarder, lorsque je
+rentrai. Conquète se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis
+tout-bas à Montencon: "Le pucelage? "C'est Un Diable! J'en
+serai reduit à me branler! "Tu la foutras".
+
+Nous nous mimes à table. Conquète parla comme à l'ordinaire à
+son Vellivioleur, ét rit même avec lui. Tout-haut, devant Moi,
+il lui demanda, D'où-viént elle ne s'était pas laissée
+enconner? "Fi-donc! (repondit-elle). Hé! d'où-viént l'aurais-je
+souffert? "Parceque je bandais comme Un Carme. "Vous parléz
+comme Un Vitnègre"... Montencon ne m'en raconta pas moins ses
+entreprises, en termes savoureux: Il loua la beauté de la
+Conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermeté
+des tetins, le rosé du bouton, l'éburnité ou l'ivoire du
+ventre ét des cuisses: Il extolla le piéd, la jambe de la
+Belle... Conquètee, ainsi louée, rougissait, ét n'en était que
+plüs modeste. Je repondis, Que j'étais le seul qui foutît ma
+Fille, à laquelle j'avais sauvé la vie, ét que j'avais
+deflorée, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire.
+"Vous La foutéz? "Hé! qui donc La foutra? Je suis deux-fois
+son Père"... Montencon se mordit les lèvres. Conquète
+m'embrassa.
+
+Pendant tout le dînér, nous admirions le voluptueux tour de
+hanches de Mad. Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait,
+pour aler demander un plat, ou qu elle donnait des assiètes.
+Elle avait un joli souliér rose à talons vërts, élevés,
+minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je Lui
+demandai, Si elle était jarretée audessus du genou?
+"Certainement! (repondit-elle); toujours. "En ce cas (repris-je),
+montréz-nous la plüs jolie jambe qui soit au monde"? Elle
+refusait Mais nous l'en pressames tant, que pour se
+debarrasser de nos prières, elle mit le piéd sur une chaise,
+ét nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire
+bander Un Moribond.... Nous entrames en rut, Montencon ét Moi:
+mais nous nous moderames. Cependant le grisonant Ribaud, dans
+un moment où ma Fille étàit sortie, me proposa de l'enivrer,
+en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin-rouge,
+aulieu d'eau? Je feignis d'y consentir: Mais avant que
+Conquète rentrât, j'alai audevant d'elle, ét l'avertit
+de-tout. Puis j'ajoutai: "Ma raisonnable Fille: il faut qu'Il te
+le mette; je l'ai amené exprès pour cela; mais je ne savais
+comment faire; J'y reflechissais, quand sa proposition m'a
+tiré d'embarras. Tu feindras de t'enivrer: J'en ferai autant;
+ét par ce moyén, jamais il n'aura un piéd sur toi. Il a
+l'engin asséz gros, quoique moyén. Après lui, je t'aurai
+Traitdamour., mon ancién secretaire, Un joli Garson, qui
+achèvera de t'élargir suffisamment; pour l'engin du Payeur que
+tu préfères... Il est averti de ton éxistance, ét je n'ai
+demandé que quelques semaines, pour Lui procurer ta vue.
+Laisse-toi donc faire, ma Reine: j'empêcherai tout ce qui ne
+conviéndrait pas. "Je vous suis soumise; disposéz de Moi
+(repondit-elle): Je me suis trop mal trouvée de vous avoir
+desobéï"!... Nous rentrames. Entre les deux portes, elle se
+decouvrit un teton, ét me le fit baiser.
+
+Montencon avait arrangé la caraffe en vin de Champagne:
+Conquète prévenue le remarqua; s'en procura une autre d'eau,
+ét reserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais le
+Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux ïeux et
+les autres charmes de ma voluptueuse Conquète-Ingenue.
+
+
+
+
+XX Chapitre.
+
+Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue!
+
+
+Dès que Mad. Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable,
+parut dans l'état où Le Montencon La desirait, je la saisis,
+la première-fois qu'elle se leva, par la tâille d'une main, ét
+de l'autre, je Lui pris le con. (Outre que je desirais
+vivement sa possession, je La voulais enhardir, ét préparer
+son Bijou à l'admission d'un plüs gros Membre que le mién). Je
+la renversai, en demandant un morceau du beurre-frais resté
+sur la table. Je lui en mis gros come une noix à l'orifice; ét
+je poussai. "Laisséz, laisséz-moi donc! (me disait-elle
+doucement). Cependant elle remuait admirablement de la
+charnière, ét le foutoir craquait sous nous... Je dechargeai,
+en me recriant de plaisir!...... "A toi, Bougre"....
+
+Montencon debout, son gros Vit bandant à la main, nous
+admirait!... J'eüs à-peine deconné, qu'il se précipita sur ma
+Fille, dont le conin oscillait encore: ét doublement favorisé
+par mon foutre ét par le beurre fraìs, il penetra. Conquète
+fit un cri! Je m'avançai alarmé: Mais elle me sourit aussitôt.
+"Enfonces-tu? (dis-je au Fouteur). "Oui, oui! sacredieu! (me
+repondit-il), ét avec delices!.. Elle me pince le Vit!...
+Mais.. quel connin!.. C'est un satin!... Hâ!... hâ!.. je
+fous!.. Remue du cül, celeste Houri!... Re..mue, divine
+Bougresse!... Con delicieux! remue... sous Moi!.. saccade..
+saccade!.. Je pa..ars!.. je decha..arge!... Hââh!...! Le
+Grisonnant se pâma sur les tetons de ma Fille, qui elle-même
+nageàit dans le foutre ét la volupté. J'avàis craint qu'elle
+ne remuât pas asséz avec Un Etrangér: mais dès qu'elle fut
+limée, elle se mit à remuer, à saccader, à osciller des reins,
+à decharger avec des soupirs ét des cris... Montencon se remit
+à la fourgonner, sans deconner, criant, heurlant de luxure, ét
+murmurant par intervales: "Divine Garse!.. fais-toi Putain..
+ét.. je te répons. de ta fortune!.... Il recommença ainsi
+trois-fois sans desarçonner. Enfin, il deconna.
+
+"Voila un coup qui en vaut dix, ét un con qui vaut cent, ét
+mille-fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma Petite
+Hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!..... Mais refous-la, mon
+Ami: Une Femme vaut seize Hommes au jeu couillard; ne la
+laissons, ni refroidir, ni ch mer". A ce mot, Conquète-Ingenue,
+restée immobile, ét se contractant seulement un-peu,
+comme si On la tenàit encore bourrée... d'un vit, sauta du
+foutoir, ét courut se laver. Elle trouva de l'eau tiède
+préparée. Nous fumes aussitôt à genoux devant notre Divinité,
+ét nous lui épongeames l'Un le cùl, l'Autre le con, les fesses
+ét les cuisses: car elle était pleine de foutre et d'un-peu de
+sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas;
+nous la fesions se tenir troussée audessus des reins.... Après
+une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirée: car elle étàit
+ravissante à cùl ét à con decouverts? Nous l'avons fait
+marcher ainsi, ét nous avons vu la magie de son divin tour
+de-cùl... "Moi (disàit le Grison), en la regardant venir à nous),
+ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis;
+ce poil soyeux, ét cette raie de corail, quì le sépare en deux
+égales parties"!... La Belle se retourna, ét montra d'autres
+charmes: "Hâ! (s'écria Montencon ravi), le beau cùl! il n'est
+pas inferieur à l'admirable conin"! Elle revenait. "Hâ! le
+beau con! Il est digne du divin cùl"! Quand ma Fille fut
+auprès de nous, Il lui bàisa le conin: Puis se levant: (car
+nous étions restés à genoux pour mieux voir). il l'emporta sur
+le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous
+ces charmes-là, avant que je les refoutisse?... Hâ! comme elle
+fut gamahuchée!... Il lui chatouilla de sa langue la Rosette,
+à la faire tressaillir. Puis il vint au Con. La Belle
+chatouillée, se tremoussa, puis émettant, elle hennissàit,
+comme Une jeune Cavale, dans la vulve de laquelle On insère
+pour la premiere fois l'engin terrible ét perforant de
+l'Etalon vigoureux: les fesses potelées de la Jument pucelle
+tremblotent; elle frémit de tout son corps, ét répond, par
+l'émission de son hippomanès, aux flots de sperme que lui
+lance le Dominateur des haras... Telle était ma voluptueuse
+Fille, seulement gamahuchée... Montencon deboucha, ét Moi, me
+précipitant sur ma Fouterie, cambrée, tenant son cùl à trois
+doigts du foutoir, je plongeai brutalement: Elle ne fesait que
+doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude
+impatience, je dis à Montencon: "Arrache-lui sa chaussure, ét
+chatouille moi la sous les piéds"? Il le fit: Mais le Coyon
+s'amusait à les flaîrer, en disant: "C'est Cypris, ét le
+dedans de ses chaussures sent l'ambrosie. "Chatouille donc,
+Jeanfoutre"? Il chatouil-La; ét au second soubresaut; je
+dechargeai copieusement!... Dans mon éxtâse de plaisir,
+j'élevai mon âme vërs la Divinité: "Mon Dieu! je vous remercie
+de m'avoir donné Une Fille si parfaite, dont le conin
+trémoussant viént de me donner une idée du delice que vous
+éprouvéz vous-même, en foutant votre Fille la Nature!... "Dieu
+de mon Conin! (balbucia Conquète), sois beni! je re-decharge
+encore! le cri de mon Père a fait entrer son vit plûs avant!
+"Hô! quel digne Père! quelle pieuse Fille"! (s'écria Montencon
+édifié)..... Je deconnai.
+
+"Mais d'où viént (me demanda le vigoureux Grison, en se
+remettant sur ma Fille, ét l'enconnant sans laver), m'as-tu
+fait chatouiller le dessous des piéds de ta celeste Fouteuse!
+"Je tiéns cette recette d'Un Imprimeur foutant la Femme de son
+Confrère de l'aveu du Cocù: "Que lui avéz-vous donc fait,
+qu'elle m'a donné tant de plaisir à la fin? "Vous avéz bién vu
+qu'elle était dechaussée? Or j'ai ouï-dire, Que les Fils de
+mesd. Quillenpoche et Radball, âgés de huit ans, étant entrés
+dans la chambre où Un Avocat ét Un Procureur vitoeuvraient
+mesd. leurs Mères; les petits Babouins ne voulant pas les
+déranger, leurs ôtèrent à chaqu'une une mule delicate, ét leur
+chatouillèrent le dessous des piéds: Ce qui fit faire aux deux
+Dames des soubresauts, qui leur procurèrent autant de plaisir
+qu'elles en donnaient à leurs Opérateurs Aussi depuis se
+firent-elles toujours chatouiller les piéds, en pareille
+circonstance. "Tu vas me rendre la pareille"... Il saccadait.
+"Alons, le foutre de ton Père.. ce foutre dont tu est faite,
+amalgamé au tién dans ton sacré conin de Poupée, doit te le
+pomader! Et j'ai de la peine"!... Je vis à la rougeur de ma
+Fille, qu'elle souffràît. "Deconne, Bougre (dis-je à
+l'Enfonceur), ton vit d'Ane, ton vit de Mulet donne les
+bouchées trop grosses à ce conichonnet"! Il deconna, ét je mis
+un boulète de beurre-frais à l'orifice du Bijou de ma Fille.
+"Hô! ça me le rafraîchit" (dit l'aimable Enfant)... Montencon
+re-enconna avec fureur. Il entra mieux, ét toucha le fond,
+Conquète ayant saqué du cùl: "Hâ! je te sens, petit joli chién
+de pinçoir! Alons, Vitnègrète, encorne ton Jeanfoutre de
+Vitnègre! Pince.. ét remue du cùl, Garse"! Ces mots grossiërs
+me mirent en fureur érotique; je chatouillài sans pitié les
+piéds de ma Fille, en lui disant: "Fous, Deesse! Donne-nous
+ton joli foutre!... Et toi, Sacrebougre, inonde-la! As-tu
+jamais percé con ou conin, qui vaille le connin, le connichet
+de ma celeste, de cette divine Putain"?... Conquète saccadait
+à desarçonner son Enconneur (comme fesait Mlle Timon sous le
+Grand-homme MIRABEAU): Mais Montencon se tenait ferme.
+Cependant elle eüt une decharge si convulsive, qu'il fut
+presque-deconné. Mais en retombant, le frottement serré du
+connin velouté, le fit decharger avec ravissement...
+
+Il lima quatre-fois sans deconner, ét à la quatrième, lui
+ayant chàtouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à
+la première. Maìs il fut épuisé. "Hâ! comme Vitnègre es cocù!
+(disàit-il en deconnant); car sa Fouteuse de Femme a dechargé
+le triple de Moi". Conquète sourit. "Combién? (lui demandai-je).
+"Hô! dans les neuf, trois fois-neuf". Je la baisai sur le
+front, ét elle ala au bidet. Je vis par-là qu'elle auràit un
+vigoureux temperament. Ainsi, je resolus de la faire un-peu
+blâser, avant de La livrer à son gros Vit.
+
+Mad. Vitnègre voulant se rafraîchir quelque-temps le con dans
+sa cuvète à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de La
+laisser libre? Nous La saluames aussi respectueusement qu'Une
+Deesse biénfesante, ét nous sortimes. Montencon me dit: "Je
+vous rens grâces: Je serais plüs glorieux d'être son Père, que
+de la Reine Marie-Antoinète. Elle est autant audessus des
+Fouteries ordinaires, que Mlle CONTAT, ou Mlle LANGE sont
+audessus d'une Putain des Pauvres, qui branle les vits
+derrière les charrètes sur le quai du Louvre". Nous nous
+separames, à ces mots. "Hâ! (disait Montencon, s'éloignant),
+comme elle a été foutue"!
+
+
+
+
+XXI Chapitre.
+
+Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode.
+
+
+Ho! que les Puristes ont dû se recrier au Chapître
+précedent!... Hé-bién, Puristes, je m'en fous.
+
+Le lendemáin, je m'attendais à un-peu de bouderie, ou de
+sérieux. Non: Ma Conquète me parla comme à l'ordinaire... Je
+fus huit jours, sans cherchér à le Lui mettre.... Le Samedi,
+son Bijou bién retabli des fatigues données par Sourcilsgris,
+dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se
+ressouvint alors de ce que je Lui avàis dit, qu'elle pourràit
+se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilète de
+volupté, se couvrit d'une caléche, ét sortit le soir. Mais je
+L'observàis, ét La fesàis soigneusement observer par Mad.
+Brideconin, ou comme je l'appelàis en badinant, Mad. CONBRIDÉ.
+Je fus avertí; je La suivis, pour La préserver de malheur.
+Elle monta. J'ecoutai à la porte; ét j'entrevis même par une
+fente... Conquète se jeta dans les bras de Timorì. Mais il
+étàit malade: La Belle fut gamahuchée seulement. Timorì,
+aulieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à Lui
+racontér la suite des évènemens relatifs à Vitnègre, à
+Foutàmort, ét à Conillète:
+
+"J'ai été voir Vitnègre aujourdhui, aulieu de me rendre à mon
+Bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant il
+avait été hiër effrayé des menaces de son Moine. Celui-ci
+l'avait fait demandér. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute
+la Communauté à l'Infirmerie. Parvenu au lit de Foutàmort,
+Celui-ci lui a dit: "Gueux! si j'en avais la force, je
+t'étoufferais... Mais si je suis pour en mourir, comme On
+l'assure, je declarerai tout au Lieutenant-de-Police, ét tu
+seras pendu... Tu m'as vendu ta Femme: Elle était si belle,
+que j'ai eü un plaisir... infini... à la faire expirer dans
+des douleurs plüs fortes que celles de l'accouchement... J'en
+bande encore, mais avec des douleurs insupportables... Elle
+était si belle, que j'ai voulu en manger: je me suis fait
+accomoder son con, sa matrice, ses poumons ses tetons ét sa
+tête, que j'avais deguisée: Nos Moines ont mangé, sans le
+savoir., son cül, ses fesses, ses mollets, ses piéds, ses
+bras, ses mains, ses épaules, son coeur, son foie, etc... Tous,
+eux ét moi, nous avons la verole! Or, ta Femme, belle,
+fraîche, pucelle encore, ne l'avait pas.... Voici ce que tu as
+fait, Coquin: Touché d'une fausse compassion, tu as fait
+évader ta Femme, que je t'avais payée pour la foutre à mort,
+ét tu lui as substitué une Putain... C'est une insigne
+coquinerie... Si j'en reviéns, j'aurai ta Femme; si je meurs,
+tu seras pendu"... Vitnègre s'est donné à tous le Diables que
+c'était vous qu'il avait livrée. Le Moine, qui venait d'être
+frotté de mercure, ét dont la langue enflait, a fait signe
+qu'il n'en croyait rién. Le Chirurgién a tiré Vitnegre à-part:
+"Avéz-vous quelqu'affaire à regler avec ce Scelerat? il n'a
+pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a
+une verole si terrible, que j'ai été obligé de le froter au
+triple ds Autres, que voila dans leurs lits, ét qui commencent
+à saliver. Je le connais; c'est Un Monstre à ôter du monde, ét
+tout-à-l'heure, il ne pourra parlér. "Empêchéz qu'il n'écrive?
+"Hô! ne craignéz rién! l'enflure luì.. gâgne les ïeux; il n'y
+voit plus, ét la langue commence à lui sortir de la bouche...
+Il.. souffre.. (lui tâtant le pouls) comme un Damné.. ét il
+n'a pas une demi-heure à vivre"... Alors, Vitnègre enhardi, a
+dit au Moine; "Gueux! Infame!... c'est la Putain Connillète,
+que je t'ai donnée, que tu as fait manger à tes Moines, ét
+dont tu as dévoré la matrice verolée"! Le Moine s'est soulevé,
+ét a lancé à Vitnègre un si terrible coup de poing, qu'il
+l'aurait tué, si la colonne du lit n'avait pas amorti une
+partie du coup, qui cependant a renversé Vitnègre. On l'a fait
+sortir. Mais il a appris ce matin, par le Chirurgién, que la
+langue du Moine, devenue grosse comme celle d'un Boeuf, l'avait
+étouffé un quart-d'heure aprés... On a brûlé sans lire, tout
+ce qu'il avait écrit durant sa maladie.
+
+Voila ce que Vitnègre tranquilisé, viént de me raconter. Il
+est tard: je ne saurais vous reconduire: Partéz, ma belle
+Amie".
+
+Tel fut le recit de Timorì, fait à ma Fille, que j'entendis
+tout-entier, ét qu'elle me repetera. Elle s'en revint la tête
+remplie d idées noires. Je La suivàis à vingt pas, La couvant
+des ïeux, pour La préserver de toute mauvaise rencontre. Je
+bandais comme Un Carme, en voyant son joli tour de hanches...
+
+Elle rentra. Je La précedai dans mon magasin, ét je me cachai.
+Elle revint avec de la lumière ét de l'eau tiède. Elle se lava
+la motte, ét soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe
+plus, le Scelerat!... Je suis encore effrayée"! Je frappai un
+petit coup sur une comode. Conquète leva les ïeux, ét me vit.
+Je Lui contai tout ce qu'elle venàit de fàire. Je Lui causai
+un effroi salutaire, qui La guerit de l'envie de retourner
+seule chéz Timorì, en Lui disant, que j'avàis aperçu Vitnègre
+sur le quai des Ormes. J'ajoutai: "Vous aliéz pour être
+bàisée; vous le seréz; car je couche avec vous". Elle
+begueulait, disant que le recit de Timorì Lui avàit ôté ses
+desirs. Je ne L'écoutai pas; je me mis au Lit, ét elle vint se
+coucher auprès de moi.
+
+
+
+
+XX Chapitre.
+
+Chap. De la Fouteuse mise en appêtit.
+
+
+L'appêtit viént en mangeant (dit le Proverbe): & l'On va voir
+combién il a raison, pour Conquète!
+
+Dès que ma Fille fut à ma portée, je m'encrai sur ses appas,
+Lui suçai les tetons, ét L'enconnai. Je ne sais par quel
+motif, humeur ou volupté, ma divine Enfant ne remua pas. Je
+fis de-même, ét La tins emmanchée, sans me donner aucun
+mouvement... Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans
+déconner. Conquète, qui s'y était prêtée, s'endormit comme
+moi, sans-doute; puisqu'en m'eveillant, sur les 2 heures, je
+me retrouvai dans son Bijou. Je m'agitai pour-lors. Elle me
+serra dans ses bras, remua vivement du cùl, ét me dit: "Chër
+Amant? pou..ousse". Et elle saccada de toute la force de ses
+rein... Elle dechargea... J'émis aussi... "Hâ.. mon Dieu (dit-elle),
+c'est mon Papa, qui me.. caracole... "Qui te fous, ma
+Deesse. "Ah.. il n'y a que vous, pour ces choses-là... Je ne
+vous contrarierai plus; car vous avéz plüs d'esprit que moi...
+J'ai eü un plaisir.... que je ne dois qu'à vous... Chër Papa,
+recommencéz; que je decharge à votre intention? Je vous
+adore... Je La re-enconnai vigoureusement, en Lui disant: "Et
+fous comme tout-à-l'heure, à l'intention de ton Amant"... Elle
+remua du cùl comme Cleopâtre ou Messaline, ét elle se mit à
+dire, en saccadant: "Bougre de Timori.. fous... fous...
+fous-moi... Fous ta Garse... fais cocu mon sacré-gueux de Pere...
+dont je suis la Femme.. la Maîtresse.. la Putain... Ah.. je
+sens ton vit, au fond de mon con... Ta langue... ta langue?...
+Je me pâme... Je de...cha.arge.... Foutre... Ah-a-a-ah... je
+n'en puis plus........... Et en finissant, elle ala se laver
+le con......
+
+Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. "Remue du
+cùl, du con! (Lui dis-je): Trémousse des fesses... Je sens ton
+pinçoir... Hô! que tu fous bién, Fille de mon Vit, pour Une
+Novice!... Ayéz un mouvement encore plûs rapide?... Bon...
+excellent!... Quels reins élastiqs"!.... Elle fit trois
+soubresauts, ét déchargea, en disant: "O mon Dieu! mettéz une
+tône de foutre dans les couilles de mon Père, ét que son vit
+divin le decharge au fond de mon con"! Dieu l'exauça, car
+j'émis aussitôt, ét nos foutres se mêlèrent. J'en esperai Un
+Adonis... Elle resta ensuite immobile, ét moi aussi. Elle fit
+une copieuse ablution. Je me rafraîchis le vit ét les
+couilles; puis nous nouz recouchames. Je La re-enconnai.
+
+Je fus-là plüs d'une heure, Lui suçotant ses boutons de roses,
+Lui dardotant ét Lui fesant dardoter la Langue; La fesant
+dechargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne
+pouvais me résoudre à déconner.... Tout-à-coup ma Fille, que
+je croyais épuisée, se met à trémousser du cùl, à
+convulsionner du con, comme fesait autrefois sa Mère, mais
+mieux que Celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la
+decharge.! Desorte que je La limai tant qu'elle voulut... Elle
+me disait: "Papa! je ne parlerai pas d'Un Vitnègre, qui n'a de
+plaisir sur Une Femme, qu'autant qu'il brutalise sa Monture:
+mais vous foutéz plüs tendremt plüs delicieusement, que Timorì
+ne caresse: Vous liméz mon con comme Un Dieu!... A votre
+intention cette decharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es
+dans le con de ta Fille! Remue du cùl, Papa! Tu me fous.. tu
+me fous.. tu m'enco..onnes!... Fous, Bougre! fous ta Fille!
+Incestue, Jeanfoutre!... Enfonce, enfon..once,.. dans le
+con..on de ta Fi..ille.. pâ..âmée"!... Et elle resta comme
+morte, pendant une longue decharge.....
+
+Je La relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière-fois
+de cette nuit-là. Elle se ranima: "Fous, Maquereau! Je suis ta
+Putain, ta Raccrocheuse... ta sacrée-Salope... ta passionnée
+Fouteuse.., ta tendre Fille... Engrosse-moi? (remuant du cùl
+avec fureur): mets-moi dans le con un Garson.. une Garse! si
+une Fille, tu La.. dépuceleras un-jour... si un Fils, il me
+foutra... "Adorable fureur! (m'écriai-je)... Tiéns, Fille
+adorée, voila du fontre". J'émis delicieusement; ét ma
+Fouteuse dechargea plüs delicieusement encore... "Hâ! quelle
+nuit! (me dit-elle)... Timorì ne me l'auràit pas donnée si
+voluptueuse"...... Elle s'ablua: je lavai, ét nous endormimes.
+
+
+
+
+XXIII Chapitre.
+
+Chap. De la Tendresse Filiale: Amour paternel.
+
+
+Etre reservée, modeste, ou voluptueuse & fouteuse à-propos,
+c'est la véritable sagesse.
+
+Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le
+re-mettre à Mad.. Poilsoyeux, ét il en fut très-étonné! Elle
+étàit aussi modeste, aussi retenue avec Lui, qu'avant qu'il
+l'eût foutue. C'est qu'elle suivàit mon avis, de ne pas
+laisser prendre un piéd sur elle, par les faveurs accordées,
+ou ravies.... Un-jour qu'elle se baissait, pour arranger le
+feu, il lui prit le con. Elle Lui donna un soufflet. Je dis à
+Montencon: "Moi, qui la connais, je ne Lui touche jamais les
+fesses, ou le poil du conin, sans sa permission, ét sans
+qu'elle m'àit dit: "Hé-bién, faites donc vîte"! Quand je Lui
+demande cette faveur, elle est parée, chaussée comme les
+Grâces.. Je commence par Lui demander à Lui baiser le piéd.
+Puis Lui glissant la main sur la jambe, je Lui dis: "Tu l'as
+si jolie! que je La baise"?... Je pousse à la cuisse, en
+disant: "Quel satin"! Je Lui passe delicatement la main sur la
+motte, ét je m'écrie: "Ma Reine? qu'en te voyant marcher dans
+la ruë, ét tortiller si joliment du cùl! faire bander tous les
+Hommes; bisquer de jalousie toutes les Femmes, je puisse me
+dire: "Je viéns de patiner, de baiser ces foutatifs appas"...
+Je te suivrai; j'entendrai les Hommes dire, Que je la foutrais
+bién! Je verrai les Femmes penser: Sacrée Coquette! cette
+parure, ce goût, ce tour de cùl signifient: Je veux étre
+foutue? Vits, foutéz-moi? "Bougresses! (Leur repondrai-je
+tout-bas), je méprise vos cons ét vous! Je ne bande que pour
+le beau connin que vous jalouséz"... Ma Fille sourit à ces
+propos; se laisse patiner, puis baiser tetons, fesses ét
+connin"... Montencon m'admira, ét demanda pardon à Conquète,
+qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une
+modeste rougeur.
+
+Un jour de fête, que je L'avais conduite avec précaution chéz
+Une Amie, ét que j'étais retourné La chercher le soir, la
+suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit
+bander si fort, qu'en rentrant, je Lui hâpai le con. Elle se
+defendit, parcqu'elle entendait aler ét venir Mad. Brideconin.
+"En ce moment, Deesse, je suis si enragé de lubricité, par ta
+marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre."
+Et je grinçais des dents, Lui tenant toujours le poil du con,
+ce poil soyeux qui Lui formait une Longue ét superbe perruque
+à la Louis-XIV. "Hé-bién! (me dit-elle), alons: Mais ne me
+chiffonnéz donc pas? "En déshabillér, Reine". Je Lui tenais
+toujours le con, ét je La suivais à chaque pas qu'elle fesait.
+Elle me donna un joli baisér à langue dardée, pour me
+remercier de ce que je Lui permettais de se mettre en
+deshabillér. "Ne me quittéz pas le poil: ça me prépare". Une
+pareille complaisance me La fesait adorer. En un instant, elle
+fut en corpset, en court jupon piqué, les tetons bién
+découverts: "Ma chaussure est-elle asséz voluptueuse? ou
+vouléz-vous des mules, avec d'autres bas? "Des mules". Je La
+dechaussai d'une main, Lui chatouillant toujours le con. Hâ!
+quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa debout.
+Je Lui mis le piéd dans une mule rose delicieuse, à talons
+roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que le
+bout du talon. Je Lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite
+elle fit par la chambre quelques-tours, pour m'exciter
+davantage. Me voyant hors de moi: "Je veux te griller"! (me
+dit-elle). Tandis que je déculotais, elle s'assit, croisa ses
+genoux, ét fit badiner la mule du piéd en l'air...
+
+Je n'en pouvais plus... Me voyant prêt à m'élancer sur elle,
+Conquète vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes, appuya
+ses deux coudes sur mes epaules, ét s'enfila doucement elle-même,
+sans toucher mon vit de sa main delicate. Elle descendit
+ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à son
+pincevit: "Ne remue pas! (me dit ma Reine), je veux me foutre
+moi-même"! Quand elle sentìt le plàisir, la divine Fouteuse
+trop émue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me
+disant: "Cher Vit... pou..ousse"! Elle mit sa bouche brûlante
+sur la miénne, donna le mouvement interieur à son con, me
+darda sa Langue, ét se pâma, en me lançant toute son âme....
+Je dechargeai, avec un si delicieux frémissement, qu'elle
+foutait encore, au bout de cinq minutes d'émission. "Hâ!
+Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure... et se... prolonge
+avec toi"... Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes
+premières decharges, où je perdais connaissance, ét je crus
+que j'alais expirer de volupté dans son con. Je le dis, en
+déchargeant. Mon Enconnée n'en fretilla que plüs vivement: "Un
+Fils?... une Fille?... ou tous-deux au fond de mon con (me
+disàit-elle), chër Vit de mon Père"!... Je juràis, je sacràis,
+je divinisàis ma Fille: "Con celeste.. Con divin.. Con de mon
+vit.. est-ce Moi?.. est-ce Un Roi?.. est-ce Un Prince?.. est-ce
+le beau Commis aux Aîdes, qui t'avons foutue dans le con de
+ta Putain de Mère?... Hâ, mon vit te rend ma fille, en mêlant
+mon foutre au tién... Divine, sacrée Garse.. Adorable
+Bougresse enculée, il faut que je t'encule aussi? "Non: ton
+foutre m'est trop précieux, pour que je le perde sciemment:
+Fous-moi en con, tant que tu le voudras; maìs non en cùl, en
+bouche ou en tetons". Je l'approuvai avec respect.
+
+Je Lui dis ensuite, pourquoi je la suivais toujours, en La
+menant chéz son Amie, ou en La ramenant: "Mon premiér motif
+est de mieux voir le dangér. Le second, d'entendre les
+discours des Hommes ét des Jeunesgens que tu fais bander. L'Un
+dit: Quel mouvement de cùl!... O Garse! si nous étions seuls
+ici, je me jetterais sur toi, ét je t'enconnerais... "Je l'ai
+entendu (me dit en souriant Mad. Poilsoyeux). "Un-autre (ce
+soir) se secoue le vit en pleine ruë: Maman.. (dit-il),
+delicieuse Maman.. je me branle... je decharge... à ta divine
+intention. "Je l'ai entendu: j'ai souri. Il a aussitôt ajouté:
+Hô, si vous êtes putain... une divine Putain? cinquante louis
+pour trois coups en une heure?... ou chéz moi, ou chéz
+vous?... Je demeure ruë de-Bussi au 3me, n° 16. "Un joli Fat
+(repris-je), disait asséz haut: Mon vît dans sa bouche, ét ma
+langue dans son con... Et il se branlait, branlait, branlait.
+"Je l'ai vu, ét je Lui ai donné un petit coup d'éventail sur
+le vit... Il m'a bién touchée! Il m'occupait: Peutêtre est-il
+cause que j'ai montré un-peu d'humeur, quand à notre arrivée,
+vous m'avéz pris le con".
+
+A ces mots, nous recomençames une scène, comme celle que je
+viéns de raconter; si ce n'est que je renvesai ma Fille sur le
+dos. "Vit-papa... (me dit-elle), tu es le Fat... c'est le Fat
+qui me fout... Tu me fais foutre par tous-ceux qui m'ont
+desirée... Je décharge à l'intention du Fat... son vit dans ma
+bouche, ses couillètes sur mes tetons, ét l'engin de mon Père
+au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre...
+(convulsivant du con)... Je déchar..ge"....... Jamais elle
+n'avait eü autant de passion. Elle était même raisonnée: car
+entre deux décharges, elle me dit: "Vos lèvres sont
+appêtissantes; elles me rappèlent: aulieu que celles de
+Montencon... Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle
+en s'agitant): Langue en bouche: mon con pa..art"......... Hâ,
+si j'avais-là l'Homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas
+effrontée, je crois que je ferais la Putain, que je les
+exigerais d'avance, comme Vitnègre disait que c'est l'usage
+des Filles, que je Le déculoterais, ét que mon con martyrisé
+gâgnerait la somme"?
+
+
+
+
+XXIV Chapitre.
+
+Chap. Du Chefdoeuvre de Tendresse-paternelle.
+
+
+Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les
+emportemens du libertinage que dans le delire de la
+jouissance, effect d'un vigoureux Tempéramt.
+
+J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement.
+Cependant je La voyais haletante de volupté. Je courus au
+carrefour Bussi, n° 16, au 3e. Je trouvai le Jeunehomme aux
+cinquante Louis: Je Le reconnus: Il me remit. "Je suis le Père
+de la Jeune-Dame à Laquelle vous avéz offert 50 Louis. "Je les
+Lui tiéns: Trois coups en une heure? "Soit: En ma présence?
+"Et de tout Paris, si vous vouléz. Mais, Bougre, ne va pas me
+jouer! "Non: Mais une heure, sans bruit? "Foi d'Homme!
+Partons"... Il prit les 50 Louis.
+
+Arrivés tous-deux, je dis à ma Fille: "Voici l'Homme qui t'a
+plu: Tu as besoin de 50 Louis: Il te les apporte: Il les faut
+gâgner"? Conquète rougit, sans rién répondre. L'Homme se
+deculota, Lui vint prendre les tetons, le con. Il me dit:
+"Serréz les 50 Louis; ce con satiné, ces tetons touchés les
+valent". Je les serraì, tandis qu'il renversàit ma Fille sur
+le foutoir. Elle fit un cri: "O Monsieur... mon chër
+Monsieur... ne me faìtes pas trop de mal? "Seriéz-vous donc
+pucelle? "Hélas! oui"... Il L'enconna avec fureur. Elle
+soupira, criota, pinça du con, dechargea. "Elle est adorable"
+(disait le Fouteur enragé: car il foutit, ét re-foutit, sans
+pitié, come sans deconner, ses trois coups de suite. Ma Fille,
+tantôt Le caressait, tantôt Lui demandait grâce: mais elle
+déchargeait toujours... Il déconna ravi... Et voyant quelques
+gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait
+couler, il dit. "Oui, vous êtes d'honnêtes-gens: Un pareil
+pucelage n'est pas asséz pàyé de 50 Louis: Je vais en envoyer
+50 autres, Papa... (Ma Fille était disparue pour s'abluer).
+"Oui, si je n'étais pas marié (ajouta-t-il attendri), je
+l'épouserais, ét pour son pucelage, ét pour son amour... Vous
+aléz recevoir 50 Louis: Je La regrèterai toujours, ét ne La
+verrai jamais. Il partit. Ma Fille me remercia, ét me dit,
+qu'elle était rassasiée. Je Lui remettais les 50 Louis: "Non
+(me dit-elle), chër papa, c'est pour nos dépenses". Les 50
+autres Louis arrivèrent, ét je ne pus jamais L'obliger à en
+mettre dans sa bourse plûs de six. Je déposaì les 94 autres à
+sa portée dans mon Magasin.
+
+Le Lendemain, à mon arrivée, ma Fille me dit: "Je brûle
+aujourdhui: Savéz-vous la demeure du Fat, ou du Vit découvert?
+"Non; ce sont des Sots. "Hé-bién, sortons: L'Un ou L'Autre me
+verra sans-doute, ét vous Le suivréz. "Divine Fille.. épuisé
+dans ton celeste connin, j'ai toujours les mêmes desirs; ét si
+je voulais mourir de plaîsir, ét dans le plaisir, je te
+prierais de remuér du cùl, ét de me laisser expirer au fond de
+ton con satiné... Foutons?... "Un seul coup. Vous m'êtes trop
+chër ét trop necessaire, pour que je ne vous ménage pas". En
+montant sur le ventre de ma Fille, ét tandis qu'elle
+m'arrangeait le vit a l'entrée de son con, je Lui disais: "Te
+quitter, pour en suivre Un, est trop scabreux, ét malheur peut
+arriver... Et comme elle ne s'agitait pas: "Tu me ménages?...
+Remue du cùl, Mignone? saccade? décharge?... C'est mon seul
+coup... Mais j'ai de quoi te satisfaire... Il le faut même,
+avant qu'Un de tes trois gros Vits te martyrise". Elle remua
+du cùl ét du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrète à
+la Conciergerie, par un Poliçon de Gendarme... Nous
+dechargeames, Conquète, comme La Reine, Moi, comme Le
+Gendarme... Je sortis. Elle lava.
+
+
+
+
+XXV Chapitre.
+
+Chap. Du bon Père qui fait foutre sa Fille.
+
+
+Aléz au but, & bravéz le reste: c'est un con, qu'il s'agit
+d'élârgir; il faut donc qu'il soit foutu.....
+
+On sait que j'avais à moi Un certain Tràìtdamour, mon
+secretaire, frère de Minone ét amant de Connète, qu'il m'avait
+fait dépuceler, l'ayant trop-gros. C'était Un vigoureux Garson
+de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'alai chercher:
+"Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec Une Femme
+charmante, que je veux régaler, ét à Laquelle je veux donner
+haute opinion de Moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour: Mais tu
+L'auras vue avant de La foutre, pour La mieux servir. "Bon,
+bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à Connète, ni
+à ma Soeur, ét je n'en fous point d'Autres"... Nous arrivames.
+
+Je Lui fis voir, par une portière, Conquète, qu'il ne
+connaissait pas. Hô.. qu'elle est.. provoquante...
+foutative?... J'entrai seul: "Detetonne-toi; trousse-toi
+toi-même (dis-je à Mad. Poilsoyeux): Tu es vue par Un Jeunehomme
+de vingt ans, beau comme l'Amour. "Mon Fat? "Ton Fat: Il se
+nomme Traitd'amour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je
+retourne auprès de Lui". De-retour auprès de mon Etalon, je
+Lui dis: "Regarde La bién: Elle va s'abluer, ét montrer con ét
+cùl"... L'Ame de mon Gendre momentané passa dans ses ïeux.
+Conquète se découvrit les tetons, épongea légèrement les bouts
+d'eau-rose. Ensuite elle se troussa audessus des reins, se
+parfuma le cùl ét le con avec une autre fine éponge; tendit le
+cùl, se faça bién le con: Puis elle se renversa sur le
+foutoir, avant de fermer les rideaux. Je Les alai tirer, en
+disant à Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai
+sur La delicieuse Poilsoyeux; ét L'enconnai. Traitdamour me
+chatouilla Les couilles. J'émis avec fureur: Ma Fouteuse se
+recriait de volupté... Je me hâtai de déconner.
+
+Tràìtdamour attendàit tout deculoté, Il se précipita sur ma
+Fille, ét je dis, en me penchant sur La tête de L'Enconnant:
+"Alons, alons, ma Belle! les reins souples? j'ai repris une
+vigueur nouvelle"? Traìtdamour cependant enfonçait à-peine son
+beau vit dans cet étroit bijou, encore que mon foutre y servît
+de pommade. Conquète, de-nouveau depucelée. Criotait, en
+soupirotant, ét neanmoins remuant vivement du cùl, à chaque
+dardement de vit.
+
+Je rebandais. Mais Tràìtdamour foutit trois coups, ét fit
+trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je Le tirai,
+pour Le forcer à reprendre haleine. "Je vais pendant ce
+temps-là (Lui dis-je très-bas), faire une petite partie de
+Trou-Madame. "Je vois (me dit-il de-même), vous ne bandiéz plus
+asséz roide, ét je suis votre Boutentrain? Mais elle a Le con
+plein de foutre"... Ma Fille se lavait... Je roidissais
+de-plûs-en-plûs, par la vue des cuisses de neige, de la jambe
+fine, du piéd parfait, du cùl, du con, du ventre d'ivoire, du
+nombril bién-fait, des tetons de ma Fouteuse. Je dis tout-haut
+à Tràìtdamour: "Beau Fouteur, montre-toi; que ma Deesse voye
+le superbe Vit dont je La régale"? Traìtdamour parut son Tràìt
+à la main. Ce n'était pas le Fat; mais Il était plûs beau. Ma
+Fille sourit: Puis baîssant la vue sur le Vit majeur, La Belle
+dit en soupirant, ét Le pressant de sa main blanche ét
+potelée: "C'est donc toi, qui m'as fait tant de mal... ét de
+plaîsir"?... Tràìtdamour me La renversa; Lui fit écarter les
+cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en
+disant: "Votre Belle a la main trop douce; pourrait vous
+mettre à nage, ét il faut enconner roide... Pousséz, mon
+Maître... piquéz des deux..! la Cavale est belle... Alons,
+Deesse enconnée, hausséz le con.. Remuéz du cùl... C'est Un
+Homme-d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre
+honorable"... Cette harangue fit sourire la Foutue, qui, pour
+en déguiser la cause, s'écria: "Hâ, monsieur Vitnègre, que de
+cornes vous voila!... "Alons, Deesse (reprìt Tràìtdamour),
+songéz qu'il faut que vous fassiéz les trois-quarts de
+l'ouvrage... Du mouvement?... Bon... hâ! ça va d'amitié.. ét..
+vous remuéz du cùl comme une Princesse... Alons, des reins
+souples? Avec votre connin satine, vous mettéz votre Fouteur
+aux Anges!... Roide, mon Maître? aidéz-vous.. votre jolie
+Monture va comme une Jument barbe... Gzee.. gzee.. Un coup de
+fouet... Hâ! quels soubresauts... Ma-foi, elle decharge...
+Piquéz des deux... Comme elle trémousse des fesses, la celeste
+petite Amie? comme elle en donne!... Que je vous chatouille
+les couilles, pour vous y faire correspondre?... Vous
+partéz?... Quels coups de cùl?... Quels soupirs?... Elle
+redecharge"?...... Ma modeste Fille ne jurait jamais que
+très-emue, ét dans le delire de la volupté: Aussi, en cette
+occasion, elle sincopa, en s'écriant: "Bou..ougre?..
+fous..ous-moi? Mon... con a.. toute.. mon âme!... Je fous.. je
+fons... en foutre... je decha..arge... Que.. n'ai-je.. deux
+vits.. dans.. mon.. sacré con? "Il est trop étroit, ma Belle
+(Lui répondit Tràìtdamour); sans quoi l'On s'arrangerait à
+vous donner ce plaisir-là... Mais On pourra quelque-jour vous
+enculer, pendant que votre Fouteur vous enconnera"...
+
+Après une delicieuse décharge, je me crus épuisé. Je deconnai
+surlechamp. Ma Fille trémoussait encore. Tràìtdamour sauta sur
+ce con fumant, ét tout en Le re-enconnant, il me disait: "Vous
+avéz foutu ma Petite Soeur; je L'ai foutue aussi, après vous:
+Vous m'avéz dépucelé Connète ma Future: Dites-moi si Leurs
+cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est un
+satin?..... Mais, à en juger par le soyeux du poil, j'augure
+que l'interieur du con de ma jolie Chapelière de la ruë
+Bordet, en approchera... Ma Reine.. vous fais-je mal? "Et
+plaisir... Va.. va..a va..a donc? je fous. "Hahahâh, quel
+satin.. quelles delices?... J'enconne.. je fous.. je
+decha..arge... Remue.. divine.. sacrée.. celeste Enconnée?...
+Hô, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du conin?...
+Pince.. serre.. sacrée petite Convulsionnaire.. fais-moi..
+convulsiver dans ton joli con?... Tu veux du foutre..
+Deesse?... Quatre decharges de-suite vont t'inonder le conin..
+conichon.. conichonnet?... Voila ma seconde... "Fous.. saccade
+(murmurait ma Fille).. ne.. me quitte.. pas chër Vitdamour?
+"Ne la quitte pas après avoir dechargé (dis-je à mon ancien
+Secretaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton
+gros vit?... Qu'elle est jolie, en foutant?... (disais-je à
+Tràìtdamour); je rebande... Elle a l'air d'une Deesse?...
+Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la?... Elle
+gigote encore... Bon.. bon? Elle se pâme?... Hâ, qu'elle est
+jolie, pâmée!..... "Elle n'émet plus? "Elle a émis quatre fois
+dans le con, sans la desenconner, Quatre ét trois c'est sept
+(disait Tràìtdamour, en me La lavant): vous aléz la refoutre:
+ça me reposera; j'irai à mes douze. "Vous vous feréz mal (me
+dit Conquète); voila quatre fois que vous m'enconnéz
+aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira: ça fera mes 16"?
+Pour toute réponse, je me La fis renverser: Elle me darda sa
+Langue, ét je La foutis roide... Traìtdamour la prit ensuite,
+ét ne La quitta plus, quoiqu'elle L'en priât, qu'il n'eût
+arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se
+leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant: "Emmenéz cet
+impàyable Jeunehomme, ét me laisséz libre: J'ai besoin de
+rafraîchir sur le bidet plûs d'une demi-heure mon pauvre Bijou
+martyrisé".... Nous La laissames; j'alai prendre ét faire
+prendre à Tràìtdamour un bouillon chéz Mad. Brideconin, que je
+priai d'en tenir un prêt pour Mad. Poilsoyeux. Ce qui La
+surprit... Conquète rafraichie arriva, ét parut aussi décente,
+aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Tràìtdamour
+partit, sans être instruit: Mad. Brideconin étant prévenue de
+ne jamais decouvrir les relations entre ma Fille ét moi.
+
+
+
+
+XXVI Chapitre.
+
+Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, et à l'Auteur.
+
+
+Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries
+majeures. Si je les avais ràpportées sans préparation, elles
+auraient étonné: Mais qu'On sache que j'étais sûr, en les
+commençant, non-seulement d'avoir pour mes Filles deux des
+trois Payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de Les faire
+préceder par la jolie Chapeliére de la rue Bordet, qui, vendue
+au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les
+trois. Il était donc essenciel, pour éviter qu'elles ne
+fussent estropiées, de Les faire prodigieusemt élargir, en
+évitant neanmoins de Les prodiguer à trop de Déchargeurs en
+con. L'On verra comme je m'y prendrai pour cela.
+
+On trouvera dans le Recit un Episode, à chaque Seance, tant
+pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour
+raconter quelques Avantures, que j'ai cru devoir supprimer au
+commencement. Chaque historiette lue ou racontée, ne sortira
+pas du genre. Rién de plus déplacé, dans un Ouvrage comme
+celui-ci, qu'une Dissertation philosophique; elle y deviént
+insipide, et par-là même dégoûte de la phlosophie. Mon but
+moral, qui en vaut bién un-autre, est de donner à Ceux qui ont
+le temperament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse
+servir convenablement une Epouse qui n'est plus belle. C'est
+ce que j'ai vu faire à plusieurs Hommes, qui se servaient pour
+cela du Livre cruel ét si dangereux de Justine, ou les
+Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je
+veux préserver les Femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine
+non moins savoureuse, non moins emportée que la
+Justine, mais sans barbarie, empêchera desormais les Hommes
+d'avoir recours à celle-ci. La publication de la Concurrante
+antidotale est urgente, et je me deshonore volontiérs aux ieux
+des Sots, des Puristes ét des Irréfléchis, pour La donner à
+mes Concitoyéns.
+
+L'Ouvrage aura II Parties: Après le Recit formant la Ire,
+succèderont des LETTRES, non moins assaisonnées, composant la
+IIde. Les Filles de Cupidonnet Lui racontent les parties-de-plaisir
+que Leur fesaient faire leurs Entreteneurs; parties
+oú, dans le delire de l'ivresse, Leurs Payeurs les fesaient
+quelquefois posséder par 12 Hommes... Mais toutes ces Lettres
+ne sont pas érotiques: il en est d'intéressantes par un autre
+motif; tel est celui d'une Resurrection, avec la decouverte
+importante de l'origine de Conquette-Ingenue, ét de Victoire-Conquette,
+noms de deux Filles que les miénnes ont remplacées:
+Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans-doute a
+déja effarouché plus d'un Lecteur... Je n'en dirai pas
+davantage là-dessus.
+
+On ne peut trop multíplier les observations sur les Scènes que
+je vais mettre sous la vue du Lecteur: Pour remplacer la
+JUSTINE, ét faire préferer l'ANTI-JUSTINE, il faut que
+celle-ci surpasse l'Autre en volupté, autant qu'elle Lui cède en
+cruauté: Il faut qu'un seul Chapitre lu par un Homme, sur
+l'inspection de la Table, Lui fasse exploiter sa Femme, Jeune
+ou Vieille, Laide ou Jolie, pourvu que la Dame ait fait bidet,
+ét qu'elle soit bién chaussée.
+
+
+
+
+XXVII Chapitre.
+
+Chap. Du commencement des grandes Fouteries.
+
+
+Egayée come elle l'avait été hièr, ma Fille devait ávoir
+besoin de repos le lendemain: Elle avait le Bijou si fatigué,
+qu elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment
+auprès de Mad. Brideconin, depeur que Persone ne vînt le lui
+patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique
+guérie dès le 3me jour, de se trouver seule avec moi. Elle
+amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était jamais
+branlée.
+
+Le Dimanche, à une heure, elle ala pour la dernière-fois chéz
+son Amie... Avant de partir, elle me présenta son joli Piéd à
+baiser, ét me livra sans bégueulerie le Poil de son conin. Je
+La conduisis jusqu'à la porte, promettant de La revenir
+prendre avant 5 heures: ce qui la fit rougir: mais j'observai
+qu'en montant, me croyant parti, elle souriait.
+
+Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi,
+m'apercevant qu'elle était observée par un Homme, que je pris
+pour Un des Payeurs de Vitnègre: Mais Il ne pouvait
+reconnaître que son joli tour-de-cúl ét sa marche provocante,
+tant elle était bién encalèchée. J'observais l'Inconnu: Je
+demandai à ma Fille, Si c'était-là Celui-ci qu'elle préferait?
+-- Oui- (me dit-elle). Alors, je La nommai distinctemt, Ma
+Fille. Et l'Homme s'éloigna.
+
+J'avais averti Tràìtdamour. Il avait une cléf de mon Magasin,
+ét nous L'y trouvames. Je Le crus seul, malgré la
+recomandation que je Lui avais faite, de m'amener quatre
+Acteurs des deux-sexes. Je Lui dis en riant, que je bandàis,
+ét que je voulàis enconner. "Quoi! (dit Conquète), est-ce que
+vous aléz faire tous-deux comme l'autre fois?... Je ne suis
+pas disposée, je vous en avertis. "Nous vous disposerons, ma
+Belle (Lui dit ironiquement Tràìtdamour, qui La crut ma
+Putain): voyéz-moi ce vit-là?"... Et il Lui en montra un
+superbe... "Laisséz-moi dabord vous lècher le conin,
+Ma'm'selle?... Mon Maître vous enconnera, quand vous seréz
+préparée? J'ai tout disposé, pour lui donner aujourdhui, ainsi
+qu'à vous, un plaisir de Fermiér-general". Il La renversa
+brutalement, ét La gamahucha, en Lui disant, comme s'il
+L'avàit menacée: "Ne résistéz pas! car je vous ferais mal"...
+Mais Mad. Poilsoyeux, comme toutes les Femmes à grand
+temperament, aimàit, dans la fouterie ét ses accessoires, une
+sorte de brutalite. Ainsi, en croyant La contraindre, il La
+servait admirablement... La Belle commençait à décharger...
+
+Tandis que je roidissàis avec oscillation, à la vue du systole
+ét du diastole des fesses ét du con de ma Fille, j'aperçus
+derrière un rideau de l'alcove quelque-chose qui remuait.
+J'alai voir. C'étaient Minone ét Connète, auxquelles deux
+Garsons amis, de Traìtdamour, excités par ce qu'ils voyaient,
+lèchaient le con. Je Leur fis entendre par signes, de ne pas
+bruïr, ét je Les encourageai d'un geste.
+
+Cependant Tràìtdamour fellait ou suçàit le conin de Mad.
+Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se
+dérangea, me tìra sur la Belle, ét insera mon vit bandant en
+ce conin rempucelé par sept jours de repos. "Qu'avéz-vous à me
+donner à vous suçer? (dit-il à l'Enconnée). Elle Lui présenta
+l'index de la main-droite qu'il se mit à suçer, après
+neanmoins avoir appelé sa Soeur ét sa Maîtresse, en Leur
+disant: "Ici, Bougresses, ét qu'On montre son
+savoir-faire"?... L'Une (Minone) qui avait la main aussi douce que ma
+Fille avàit le con, me chatouilla les couilles; l'Autre
+(Connète), fourrait un doigt pommadé dans le cùl de ma
+Fouteuse, pour La faire tressaillir sous moi... Mad.
+Poilsoyeux hennissàit de plaîsir. Elle me dardait sa langue,
+en m'appelant son chër Fat.. son chër Centlouis.. son chër
+Payeur à gros vit.. son chër Traitdamour... Enfin, enivrée de
+fureur érotique, elle s'écria: "Vitnègre?... Jeanfoutre...
+Fous-moi? Pinçe-moi?... Que ton gros vit de Mulâtre me
+pourfende ét m'encule"?... Et elle déchargea comme une
+Energumène. En ce moment, j'avàis dans la bouche la Langue
+fretillante de mon Enconnée; Une des deux Filles me
+chatouillàit de la siénne le trou du cùl ét les couilles;
+l'Autre me suçait dans la raie du dos entre les deux épaules,
+précisément sur le sensorium... Je croyais connaître le
+plàîsir de la décharge: mais je ne l'avàis jamais éprouvé,
+comme cette fois-ci; ét de ce coup, je fus rendu.... "Quelles
+delices"!
+
+Tràìtdamour m'enleva de sur ma Fille, ét se précipita dans son
+con. "Voila un connin? (disàit-il, en poussant ét retirant,
+alant toujours plûs avant, à chaque saccade): Il y a de la
+difference de ce connin aux autres cons, comme du satin à la
+tapisserie de Bergame"... Les Jeunesfilles n'avàient plus
+besoin de chatouiller, quand Tràìtdamour foutait; il avàit
+asséz de feu pour Lui-même, ét ne fesàit que trop bién
+trémousser sa Monture. Je fis signe aux deux Garsons,
+Brisemotte ét Cordàboyau, d'étaler les Filles, l'Une sur un
+vieux sofa, l'Autre sur un Lit-de-sangle àyant un simple
+matelas, ét de Les foutre à la portée du regard de la Belle au
+con soyeux. Par un effet du hasard, ma Fille émettàit sous
+Tràìtdamour pour la seconde-fois, ét les deux Enconnées
+déchargèrent au même instant, ainsi que les trois Hommes. La
+belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrêts, fesàit: "Hi
+hi-hi-héhé?.,. Minone: "Han-han-hanh"?... Connète: "Houhi-houhin
+houah-houah-houâh"?... Les trois Hommes disaient ensemble;
+Tràìtdamour: "Remue du cùl, Deesse"?.. Cordàboyau: "Remue du
+cùl, Garse"? Brisemotte: "R mu du cùl, petite Putain"?... En
+déchargeant, ils s'écriàient: "Foutre... "Foutre... "Foutre...
+Tràìtdamour: "Hâ, Deesse... Cordàboyau: Hâ, Bougresse...
+Brisemotte: "Hâ, Mâtine"! chacun suivant son caractère ét sa
+politesse....
+
+Mad. Poilsoyeux fut la plûs longue à décharger; les deux
+Autres étàient déconnées ét lavéès, qu'elle émettàit encore.
+Enfin elle cessa. Tràìtdamour La lava: Et me voyant rebander:
+"Vous la foutréz sans-doute autant que la dernière-fois? (me
+demanda-t-il). "Très-certainement! (repondis-je). Je ne suis
+vigoureux qu'avec cette Jeune-beauté: Je la foutrais jusqu'à
+extinction de vie ét dessiccation de couilles; ét tu vas voir
+ce que je vaux. Qu'On m'anime seulement par la vue
+d'enconnages redoublés"?
+
+
+
+
+XXVIII Chapitre.
+
+Chap. De l'Enculo-connillerie.
+
+
+Ma reponse fit sourire Traîtdamour, qui sans-doute n'y ajouta
+aucune foi.
+
+"Hé-bién (reprit Tràìtdamour), je vais vous donner un plaisir,
+que vous n'avéz jamais eü, ni ces Bougres-là non-plûs. Je
+tiéns cette pratique de l'Abbé Chouanche, ancién Genovefain,
+qui m'a souvent enculé, avant que j'eüsse de la barbe au
+menton ét du poil au vit.. Un-jour, voyant que je m'ennuyais
+de son culetage, il me dit d'aler lui chercher la petite
+Cùlfràyé la cadète, jolie come un coeur, ét non encore vendue à
+un Lord. Il envoyait 12 francs à la Mère, ét la Fille devait
+en recevoir autant. L'Abbé la fit s'appuyer un coude sur une
+commode; il se mit derrière elle, ét l'encula: J'étais devant,
+ét il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se
+sentaient, ou la Jeune-garse tortillait du cùl de-façon, que
+nous croyions le sentir. Chouanche la fesait tantôt pousser du
+con sur moi, ét alors son vit déculant à-moitié, il avait
+l'agrément de la re-enculer, quand elle foulait du cùl sur
+lui. Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli
+jeu dura, tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne
+dechargeait pas: il se reservait pour mon cúl. En-consequence,
+il fit metttre la jolie Cùlfrayé sur le dos; je l'enconnai;
+l'Abbé m'encula, ét nous déchargeames tous-trois.... Nous ne
+prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop
+fatigante pour la Foutue. Mais il payait la jolie Bougresse...
+Payéz-vous Madame?... "Non certes: c'est une honnête-femme.
+"Je m'en suis aperçu à sa fouterie: Une Putain ne fout pas
+comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une experience
+fisique sur Une de ces deux Fillètes... Alons, Minone.. Alons,
+Connète? laquelle des deux veut étre enculée ét enconnée
+tout-à-la-fois ét en-même-temps? Qu'elle se trousse"?
+
+Durant cet entretién, qui La laissàit tranquile, Conquète
+s'étàit couvert le con ét les tetons. Les deux Filles étàient
+assises à-côté d'elle, détetonnées. Elle Leur baisa le
+boutonnet, ét Leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs
+fichus. (Mad. Poilsoyeux redevenàit toujours modeste, dès
+qu'On ne La foutàit plus)........ Les deux Filles répondirent
+ensemble: "Moi... Moi! "L'Une après l'Autre (dit
+Tràìtdamour)... Vous avéz ici de la pomade, ou du beurre-frais?
+"Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné):
+Tenéz, ma pomade est-là... ét voici du beurre. "Gardons ce
+beurre-frais pour vous, belle Dame, aussi belle au cùl ét au
+con, qu'au visage (reprit Tràìtdamour). Minone se pomandàit la
+rosète. "C'est donc toi qui passes la premiére, ma Soeur? "Oui,
+si c'est tòi qui me dépuçèles le cùl? "J'y suis pucelle aussi
+(s'écria Connète). "Ce ne sera pas moi qui aurai ton puçelage
+d'arrière (répondit Traìtdamour à sa Soeur): Mon vit est
+aujourdhui entièrement reservé à Madame: Et quoique le
+culetage m'ait toujours fait peine, Agent ou Patient, le cùl
+satiné de Madame me tente autant que l'étroit fourreau de son
+con, qui se rempuçèle en une semaine, ou seulement en fesant
+bidet à l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été
+enculée (à-genoux, il Lui regardàit au cùl), ét que c'est
+aussi un puçelage"? Conquète rougissàit.
+
+Les deux Camarades de Tràìtdamour tirèrent au premiér-Roi, à
+qui dépucelerait le cùl de Minone: car tous-deux Le voulàient
+avoir. Ce fut Cordàboyau (un Bellot à vit moyén), que le sort
+favorisa. Il se pomada le vít jusqu'à la racine. Tràìtdamour
+fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordàboyau devant son
+cùl, ét Brisemotte (un Beau à gros Vit) devant son con. Il La
+fit ainsi enfiler des deux côtés; les Jeunesgens se La
+poussant L'Un sur l'Autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel
+plaîsir á Minone, qu'elle se recriàit: "Dieu.. que j'ai de
+delices... c'est... une fouterie de Princesse...... On dit..
+que la Reine.. fout ainsi entre.. DArtois et Waudreuîl.. ce
+derniér a.. le cùl.... "Alons (dit Traìtdamour), tachéz de
+décharger tous-trois en-même-temps"?... Cordaboyau poussait;
+il retint la Gàrse par les hanches, pour enfoncer plûs àvant;
+Brisemotte en fit autant; desorte que rendue immobile, elle
+s'agitait néanmoins en tout sens. "Examïnez bién.. (dis je à
+Conquète-Ingenue), pour faire la même chose à votre tour: car
+il faut que vous experimentiéz tous les genres de fouterie".
+Elle considéra le jeu, à-tràvers les bâtons de son éventail.
+Minone hâletaît. Connète ébahie restait immobile à La
+contempler: "Que fais-tu là, toi, Bougresse? (Lui dit
+Tràìtdamour, notre grand Maître-des-cerémonîes): Patine-nous
+Madame... Suce-lui le bout des tetins... Gamahuche-la; elle a
+le con propre comme un visage de Mariée"...........
+
+Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la Reîne de
+la Fête, que je vais décrire.
+
+Connète, tandis que Minone travaillait, & qu'elle était
+travaillée, decouvrit les tetons de Mad. Poilsoyeux, & les
+siéns: Elle en suça les bouts; elle se les fit suçer. Ce
+chatouillement de la bouche de Conquète, aussi satinée que son
+con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse: Elle trousse
+Mad. Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui
+chatouille le haut de la mote. La Belle émoustillée, regardait
+cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux Fouteurs qu'elle
+était prête à decharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle
+s'écrie: "Vits de Dieu"! Et elle se pâme. L'Enculeur &
+l'Enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux
+côtés... Ma Fille, vivement gamahuchée par Connète, est hors
+d'elle-même, & cette modeste Beauté dit à la Jeunefille: --
+Ote-Toi-, Garse! Un Fouteur? un fouteur?... deux... cent
+Fouteurs-?... Traìtdamour l'entend: Il derange Connète
+acharnée, en la tirant par la jolie crinière de son con blond:
+Il emplit le trou-du-cúl de Mad. Vitnègre de beurre-fraîs;
+s'en frote le Vit decaloté; se met le bas-ventre sur ses
+fesses, enfile la rosette, sans écouter les petits cris de
+l'Enculée; l'étreint vigoureusement, se retourne, en se
+mettant sur le dos, le vit dans le cùl de la Belle jusqu'à la
+garde, son con bién facé:..... Il crie à son Maître: "A ce con
+beant qui vous supe! Enconnéz roide... Piquéz des deux... la
+Garse est enculée, & je vas vous donner les mouvemens.....
+Pardon, Deesse! je ne me connais plus...... Connète? boulonne,
+boulonne les Couilles de mon Maître"......
+
+Cependant j'enconnais ma delicieuse Fille: Et sentant le vit
+de Traìtdamour, qui m'étrecissait encore le passage, & qui
+donnait au connin des oscillations, que jamais Con n'a eúes,
+je déliraí, en m'écriant: -- Chién de Vinègre! cocù tout-à-la-fois
+du con & du cul-. Cette idée m'enflâmait, & sa brutalité
+m'empêcha de décharger trop-tôt. Je parvins au charmant
+pinçoir du fond du conin. Il me suça. Le vit de Traîtdamour me
+communiquait tous ses mouvemens, & en fesait faire d'insolites
+à mon adorable Fouteuse. Deja préparée par la langue de
+Connète, elle s'écrie: -- Ha-ha-hôh!... ze déça-arze....
+Foutre! -- En voila.. du Foutre.. plein votre con... Reine des
+Vits.. et des Dieux s'écria Traìtdamour-!..... Et je sentais
+les oscillations de son gros Vit qui éjaculait.... Enfin, je
+déchargeaí moi-même. Ma Fille, inondée de foutre tremoussait
+rapidement: -- Con satiné de mon Vit (m'écriai-je), que tu es
+delicieux-!... Mad. Vitnegre émettait encore, quand
+Traitdamour decula.....
+
+Ce mouvement la fit redecharger... Le Bougre se lavait
+d'eau-tiède. Conquète, dans le Con de laquelle je laissais osciller
+mon vit, après decharge, gigotait, tremoussait, tremblotait
+sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traìtdamour
+toujours bandant, était revenu vers nous. -- Fous-la-moi
+tout-chaud (lui dis-je); elle decharge encore.... Et toi (dis-je à
+Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du Bourdon-d'amour-.
+Elle m'obeït. Mais Minone, deculée, deconnée, lavée, était
+libre: Elle vint remplacer Connète, en me demandant, Si cela
+ne signifiait pas tout uniment, de chatouiller les Couilles de
+son Frère, pendant qu'il foutait ma Maîtresse?... Cordàboyau
+cependant & Brisemotte hápaient Connète, le premier, cette
+fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une
+perspective encourageante à ma Fille.
+
+Mais tout finit. Mad. Vitnègre cessa de decharger. On la
+deconna: Traitdamour la mit an bidet: Elle se couvrit
+modestemt le Con & les Tetons; puis elle dit aux deux
+Fillètes: -- Mes Bonnes-amies, alons aîder mon Hôtesse, pour le
+souper-? Elles y coururent. -- Si vous n'avéz préparé (dit ma
+Fille), que pour notre soupér ordinaire, je vous avertis qu'il
+faut le double. -- Je n'ai pas asséz donc (repondit mad.
+Brideconin). -- Vîte au Rôtisseur de vis-à-vis (reprit la Belle
+Vitnègre); & du bon vin? ou je ne boiraí que de l'eau. Un bon
+mariage paiera tout-ça-... On ala chéz le Successeur d'Ellès,
+qui promit un copieux soupér pour dans une heure.
+
+Conquète rentra auprès de nous avec les deux jolies Filles. --
+Rebandéz-vous? (me dit Traitdamour): Il ne faut pas laisser
+languir nos cons, avec l'expectative d'un bon soupér? -- Je
+brûle, à la vue du tour-de-cùl, & du piéd de ma Deesse: mais
+je ne suis pas roide lui repondis-je. Traitdamour: Je roule
+dans ma tête une idée, qui vous roidira.
+
+
+
+
+XXX Chapitre.
+
+Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse négre.
+
+
+-- Alons, Garses, dit Traitdamour à sa Soeur et à sa Maitresse,
+nues? Et vous, Bougres, deshabilléz-vous-?..... Il se mettait
+nu lui-même. -- Mais il nous faut encore une Actrice... Je
+viéns de voir monter une jolie Drôlesse, qui ferait notre
+affaire? -- C'est mad. Brideconin, l'Hôtesse de notre belle
+Dame, dit Connète. -- Non, non, mon Amie: C'est une petite
+Brune de fond de la cour, cadète d'une grande belle Blonde,
+que nous aurons peutêtre un-jour, & qui se nome Conindoré: La
+Cadète s'appèle Rosemauve, & passe pour très-rusée. Mais On la
+dit amoureuse comme une Chate, quoiqu'elle soit peutêtre
+pucelle encore; car sa Mère la couve des ieux. Cependant quand
+un Homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner
+sa langue. -- Je la counais! dit modestement la belle
+Poilsoyeux; & elle m'a... m'a... Traitd. Quoi? Deesse? -- Mais,
+donné sa jolie langue, &... -- Et quoi? -- Gam*******. --
+Gamahuchée... Va la chercher, Connète. -- Non! dit vivement
+Conquette, j'y vais moi-même-. Elle sortit, & ayant rencontré
+Rosemauve qui redescendait, parcequ'elle n'avait pas trouvé un
+vieil Oncle asséz riche, dont elle recreait l'impotente
+lubricité, en lui chatouillant le Croupion, le Scrotum & les
+Testicules; ce qui le fesait bandocher, la Belle Poilsoyeux la
+mit au fait, obtint son aveu, & l'introduisit.
+
+Les deux Filles & les trois Hommes étaient nus comme la main:
+Sans rién dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous-cinq à
+la deshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui
+baigna Cul, Con, Cuisses, Piéds... Puis Traitdamour lui dit: --
+Ma Belle, il faut; en Tout, faìre comme ma Soeur & mon Amie-.
+Aussitôt commença la Danse-nègre; où chaque Fille fesait tous
+les mouvemens d'une Noire ardente, qui fuit le Vit dont elle
+brûle d'être enconnée, que le Vit attrape, & qui saccade alors
+en tremoussant du cùl, comme si le Vit la fourgonnait. Les
+Garsons poursuivaient les Garses le vit en main; & dès qu'ils
+les avaient attrappées, elles se retournaient pour l'enconage,
+ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant,
+criotant, jurotant, comme s'ils eússent perforé les cons. La
+Danseuse prenait le vit, aulieu de la main; l'Homme la
+saisissait par la barbe du con. Ils se fesaient ainsi tourner
+de-temps-en-temps.
+
+Je bandais roide. Je fis trousser ma Fille audessus des reins,
+& je lui dis: -- Conque de Vénus, imite tous les mouvemens de
+cul et de con que tu vois-... Elle était excitée; elle se mit
+au-milieu de la danse, & les executa rapidement... Traitdamour
+me voyant en rut, & ses Camarades bién-disposés, leur dit: --
+Au foutoir-... Il laissa Rosemauve, sa Danseuse, qui en parut
+toute mortifiée! -- Votre tour va venir, ma belle Danseuse-. Il
+étendit ma Fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillérs
+sous le cul: -- Alons, ma Toute-éveillée, dit-il à Rosemauve,
+gamahuchéz-moi ce conin-là, pendant que je vous le mettraí en
+levrette, ou vous enculeraí, à votre choix? -- On ne dépucèle
+pas une Vierge en levrette (repondit-elle vivement): encule-moi,
+s'il le faut, tandis que je gamahucheraí ce conin
+d'amour-... Elle gamahucha la belle Epouse de mr Vitnègre avec
+fureur, & Traitdamour perça sans pitié, par des efforts
+redoublés, le cul virginal de la Gamahuchante. La belle
+Poilsoyeux appela le Vit? le Vit?
+
+Je n'y pouvais plus tenir. Je derangeai la Rosemauve enculée,
+pour me précipiter dans le con de ma Fille haletante de
+volupté..... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eüs la
+delicieuse surprise de me sentir gamahuchea le Cùl, ainsi que
+la racine des Couilles, par la bouche & la langue veloutées de
+Rosemauve!... Je cocufiai mons Vitnègre aussi copieusement,
+que si j'avais eü les couilles d'un Dieu!... On abluait: --
+Avec la permission de ma Deesse (à Conquète), il faut que je
+m'acquitte avec Rosemauve-?... Tout le monde s'écria: -- Non,
+non, Dimanche-? Je ne les écoutai pas; j'enfilai la Pucelle,
+qui criota, sanglorina, & ils furent Temoins de ma nouvelle
+victoire. Mais Conquète me gronda serieusement.. On ala
+souper.
+
+La conversation fut sage, rassise. Brideconin, sa Femme en
+étaient édifiés... Mais je ne tarderaí pas à les mettre de nos
+amusemens... Au dessert, Traitdamour me demanda une Histoire
+dans genre de nos Amusemens? Je lui donaí à lire une Lettre,
+adressée à Vitnègre, par Un de ses Trois Payeurs, Lettre que
+j'avais trouvée dans une des malles de ma Fille. La voici:
+
+
+
+
+XXXI Chapitre.
+
+Chap De la Piochée, du Pioché, du Piochard.
+
+
+Nous avons Un de nos Confrèrs, qui avait une Maîtresse de
+seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétens
+jouir de ta Femme à la miénne, quand une-fois je l'auraí
+devirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à-peu-près
+come le Pére dont je vais parler. J'aime à écrire ces
+histoires-là; elles me font bander. Le Père de la Jeunefille
+était Un riche Marchand, qui l'avait delicatement élevée: mais
+il était devenu si pauvre, qu'il ne pouvait plus la nourrir,
+ni Un Fils de douze ans. La Fille áyant plu à mon Confrère, il
+la voulut acheter. Le Père la lui vendit douze-mille francs.
+Mais comme Piochencùl (ç'est le nom du Confrère), est un
+libertin fort blâsé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce
+ragoût est de faire trousser & laver la Fille par son Père,
+avant d'en jouir. Le Père prend ensuite le vit du Fouteur, &
+le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son Père
+l'avait pomadée la première-fois. Pendant l'acte, il l'excite
+à remuer du cùl, à serrer le Fouteur dans ses bras, &c. Quand
+elle est deconnée, le Père lave le vit de son Gendre, le cùl,
+le con de sa Fille, & les essuie.
+
+Dans la conversation, Piochencùl apprit biéntôt que Piochée
+avait un Frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement
+ressemblant à sa Mère, qui avait été très-jolie femme. Dès que
+mon Confrère le sut, il l'acheta, comme sa Soeur, & pomadé par
+le Père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre la
+Soeur avec plûs de vigueür, il la fit laver par le Père,
+gamahucher par le jeune Frère, & il l'enconna, quand elle fut
+prête à decharger... Par la suite, il n'encula plus le joli
+Enfant: "Bougre! dit-il au Père, je ne bande plus asséz pour
+enconner ta Fille, sans être excité; encule moi là ton petit
+Garson; cela me fera roidir"? Le Père est forçé par son
+interét, d'obéir au Blâsé: Ce qui fait tellement bander le
+vieux Satyre, qu'il enconne, & même encule la Jeunefille....
+
+Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le Garson a eú 15 ans,
+il lui a fait enconner sa Soeur: Il la fout ensuite sans laver,
+pendant que le Père encule le Jeunehomme. D'autres fois le
+Frère encule sa Soeur, tandis que le vieux Bougre l'enconne....
+Voila. quelle est la vie que mène mon vieux Confrère, & qu'il
+trouve delicieuse à son âge... La Fille est delicate & jolie.
+Le Garson est beau. Le Père est affreux. La Fille est devenue
+grosse. Le Financiér croit, avec raison, que c'est du jeune
+Frère. Il desire que ce soit une Fille, esperant qu'elle sera
+jolie, comme tous les Enfans incestueux. Car il faut savoir
+que ce joli Garson est fils d'Un Frère-aîné, qui, dévenu
+éperdûment amoureux de sa Mère, donna la courante à son Père,
+en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le
+Père fut obligé de se lever souvent, & le Fils, à chaque
+sortie, ala auprès de sa Mère, qu'il enconna six-fois aumoins
+pendant la nuit... Voila d'où provenait le beau Garson,
+ressemblance de sa Mère avec une telle perfection, que vêtu
+des habits de la Belle, qui n'est plus, on le prend pour elle.
+C'est en consequence, qu un Amant, piocheur de la Mère,
+entretint le Jeunehomme sur le même piéd que sa feuë
+Maîtresse, à-condicïon que pour la jouïssance, il prendraìt
+les habits de sa Mère, en porteraìt le nom, mad. Brouète-vît;
+qu'il feraìt la petite voîx, diraìt Mon cón, aulieu de Mon
+cùl; tandís que luí Vîtacon, se feraìt íllusïon, en dîsant à
+sa Maîtresse: -- Alons, ma chère Brouètevît, venez que je vous
+le mette en levrète-?
+
+
+
+
+XXXI. Chap. Suite des Mêmes. Piochéte. Dix ans après.
+
+
+Je vais donner la suites de cette avanture.
+
+Piòchée eút effectivement une Fille, qui a 14 ans aujourdhuì,
+et qui est jolîe comme sa Grand'mère. Elle sert aux plaîsîrs
+du vieux Traîtant, qui ne pouvant plus encònner, s'en faìt
+caresser, tandís que la Mère lui suce le vît. C'est dans les
+extases de ce plaîsir lông ét difficile, causé par le
+chatouillement que fesait éprouver à son vit paralytîtique le
+palaîs de Piôchée, qu'il conçut le dessein de faire depuceler
+Piôchète à 14 ans, par Piôché l'Adònis, son père ét son Oncle,
+que justement la jeune Enfant aîmaìt ìncestueusement; puîs
+enculer alternativement. "Bande, Bougre, (dit-il à l'Adónîs),
+et ne decharge pas! Tu me depuceleras ta petîte Gàrse de
+Fille,... dês que tón Grandpère t'aúrà decúlé". Là Petíte fut
+gámàhuúchée pár le vîeúx Singe; púîs pomadée pàr sa Mère. Són
+Père, deculé, bién bandant vint súr elle, et lúy darda son vit
+dans le conin, dónt la Mère écartàit les bàbines. Le Fouteur
+n'enlràit pas; la Petîte dechîrée se recrîàit; le víeùx Satyre
+émótiónné, bándòchàit, en s'écrîant: "Hô! pousse dónc, Mâtin!
+ô pousse dónc, Bougre! Fends, ponrfends le connichon de ta
+Fille!... et mêts-y Une petite Garse, que nous deflorerons
+un-jour! Gzée, gzée, mon Etalon! fàîs-môy des Caváles"!.... Et le
+vieùx Decharnè, par un phenomène, émít quelques gouttes d'un
+foutre clàìr, dans là bouche de Piôchée, au moment où Adónîs
+forçant toutes les barricàdes, màlgré les crîs de sa Fille,
+lúy dechargeàit au fónd de són cònnìn ensánglánté! Le belître
+en fut si glorieux, qu'il fit à Piochette mille écus de
+rentes, et autànt à Piôchée, oûtre ce qu'elles avàient dejà.
+Son grand delîce, pendant qu'iï faìt servîr la bouche de la
+Mère de cón à son vît, qui ne decharge plus, est de voir
+piôcher Piôchette, non-seulement pvr le vigoureux Adonis
+Piôché, qui piôche, sòìt en cón, sòìt en cúl, maìs de faire
+alòrs enculer le Père qui fout sa Fille, par le Grandpère
+qu'encule un Laquàîs, sur le cùl duquel est assise Pîôchée,
+foutue par un autre Laquàîs..... Il a sóin qu'On fasse suîvre
+au vîeux Piôchard un regime échauffant, afin que ce Monstre
+tantôt encónne sa Fîlle, tantôt encule son Fîls. Pendant cette
+sçène, l'impuíssant Ribaud patíne les tetons et le connín du
+Tendrón, ou-bién la gamahúche. Il luí prend quelquefóîs des
+vertigôts de faire enconner la Mère, enculer Adónis par douze
+de ses Amís en un-seule seance. La Jeunepersone est alôrs nuë
+en perspectíve, montrant le cúl aux Encúleurs, et le cón aux
+Encónneurs.... C'est le víeux Píôchard qui insère les vîts
+dans le cón ou dans le cúl.
+
+Tu vòîs par-là quel parti nous pouvons tîrer de ta Femme,
+lorsqu'une-fòîs elle sera depuçelée. Tu ne seras pas prìvé; tu
+mettras les vîts dans le cón et dans le cúl de ta Femme; tu en
+seras le maquereau, et quand elle sera bién élargie des deux
+trous, peutêtre te permettra-t-on de la foutre en cn ou même
+en cón. Lélargisseur.
+
+P.-s. J'apprens par une dernière visite, faite à Pîòchencùl
+que Pîôchette a effectivement eú la plüs joliîe petìte Fîlle;
+On me l'a móntrée; elle a 3 ans. Màîs ce quì êst le cômble dú
+lìbertinàge, le vîeûx Pîûchencùl lúy fàit dejà teter son vît
+flasque, pendant que la jeune Mère lúy chatoille les coüilles.
+Je luy en demandáí la ràîsón?" Je profite, repondil- du temps
+où l'Enfant n'a pas encore de discernement, nì de degoût à me
+súçer". Que dìs-tú dù vîeùx Bóugre?
+
+
+
+
+XXXII Chapitre.
+
+Chap. Du Conin goûté.
+
+
+Voila quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à Conquète,
+si vous n'étiéz pas décédée, ét que vous fussiéz restée
+l'épouse de Vitnègre-. Expressions qui étonnèrent Tout le
+monde, hors ma Fille, & les Brideconnin.
+
+Cette Lettre, qui avàit été lue après le champagne, avàit mis
+les Jeunes-gens en rut. On descendit au magasin, pendant que
+les Hôtes serraient les débris du soupér. Là, Tràitdamour,
+demi-grisé, me dit, en me designant ses Camarades: -- Comment
+ces Bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre bonheur, &
+de ce qu'est le Connin de votre Maîtresse, s'ils n'en tâtent
+pas?... Je n'entens nullement qu'ils y déchargent; maîs
+seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en
+palper le satiné. Dès qu'un des Enconneurs sera retiré, le
+mieux en état de nous-deux, vous ou moi, achèvera Madame, & la
+fera decharger? -- Je le veux bién (repondis-je). Cordàboyau
+bandant roìde se présenta. Nous renversames ma Fille sur le
+foutoir, nous la troussames, & nous declarames que nous nous
+tenions prêts à le desarçonner, dès qu'il aurait senti le
+velouté de l'étroit connin de notre Fouterie, & que le
+clignotement de ses ieux annoncerait l'éruptíon du foutre. --
+En ce cas (s'écria le Bougre), que l'Une de ces trois Garses
+se couche-là le Con pomadé, pour que mon vit convulsivant s'y
+précípite & decharge-? On pomada Rosemauve. Cordàboyau enconna
+lentemt Conquète, dont le satiné le fit se recrier... mais il
+plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil.
+Aussitôt Brisemote & Traìtdamour l'enlevèrent comme une plume,
+en jurant, Le sacrébougre! il va partir... Et ils le mirent
+sur la brune Rosemauve bién écartée, & Conète dirigea le vit.
+Cette Fille, la plüs chaude des Garses, si Mad. Vitnègre ne
+l'eût pas surpassée, engloutit le vit en trois coups de cul
+sans intervale. Cordàboyau dechargea en heurlant de volupté,
+Rosemauve l'étreignant avec une delicieuse fureur.
+
+Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, & j'enfonçais dans
+le Con humide de ma Deesse, qui suffisamment limée, dechargea
+deux-fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel...
+Elle gigotait, criotait, soupirotait. -- Hâ! (s'écria
+Traìtdamour), vous êtes le Dieu de son Con, chër Maître! il se
+fond en jus d'amour, quand vous le perforéz! Voyéz comme elle
+en donne, l'adorable Enfant?.. Alons, celeste Coquine,
+tremousse, tremousse! Fous, divine Garse! decharge-...
+
+Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conète pemadée, fut
+étendue sur le foutoir... Il enconna ma Fille. La grosseur du
+vit & sa roideur lui arrachaient de sourds gemissemens; elle
+travaìllait de toutes ses forces, mais le terrible Engin avait
+encore plüs de trois pouces pour toucher le fond. Taut-à-coup
+nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder
+d'un torrent de sperme, le Connin qu'il martyrise. Nous ne
+pouvions l'enlever & l'arracher, son vit lapait comme celui
+d'un gros Dogue, dans la vulve enflamée d'une grande Levrète.
+En ce péril, nous implorames Traìtdamour & Moi, la pudeur de
+Conquète? L'adorable Fouteuse, fidelle à nos vits. donna un
+coup-de-cul en-arrière, & se decona. Traìtdamour plongea
+rapidemt son braquemart en furie dans le Con béant.....
+
+Brisemote enragé se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait
+pas, & la foutit en levrète, avec tant de brutalité, qu'il la
+fit crier autant de douleur, que de plaîsir... Et voyant
+Conète se lever: -- Reste-là, Garse! lui cria-t-il: Je suis
+dans une rage, par ce Con velouté que fout Traìtdamour, que
+j'enconnerais la ruë Maubué & celle de la Tannerie-... En-effet,
+Rosemauve deconnée, il fondit sur Conète, la fit crier;
+enfila Minone sans intervale, & reprit Rosemauve.... -- Que
+n'ai-je-là notre Putain d'Hôtesse! la Garse boite avec grâce,
+elle a de blancs tetons: qu'on me l'appelle-?... Nous lui
+préparions Rosemauve, qu'il encula.
+
+Pendant ce temps-là, Traìtdamour se delectait sur Mad.
+Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, & dechargeait sans-cesse,
+parceque son Enconneur ne la deconnait pas. -- Que la
+Bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons
+de ma Deesse; ça la fera me secouer. -- Alons! m'écriai-je, que
+Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de
+Conète les couilles du cruel Pourfendeur, & Moi je
+chatouilleraí les píéds delicats de la belle Enconnée-? Ce qui
+s'executa: de violens soubresauts, des cris, des blasphèmes de
+volupté, Foutu Dieu... Sacre-Dieu... Dieu-con... Dieu-vit...
+marquaient l'égarement des deux Conoeuvrans.
+
+Cependant Cordàboyau flairait la chaussure mignone de
+Conquéte-Ingenue, & alait y mettre son vit: -- Laisse-donc! lui
+dit Rosemauve, tout-enculée qu'elle était; cela est
+insensible; mon Con est libre; que ne le fous-tu-? Le Bougre
+lui mit le ventre en l'air, & tandis que Brisemote lá
+sousaccadait en cul, Cordàboyau lui saccada le Con.
+
+Je bandais si fort, en entendant & voyant tout-cela, que
+j'alais enconner Minone ou Conète. Ma Fille qui dechargeait,
+me dit tendremt: -- Un autre Con... que le mién... peut-il vous
+tenter-?... Cette tendresse vraîment filiale, me toucha au
+coeur. -- Ote-toi (dis-je à Traìtdamour); tu dois avoir
+dechargé-? Il deconna: Et Moi, ému d'un amour-paternel sans
+bornes, j'enconnaí ma Fille, sans laver. -- Mêlons nos trois
+foutres (lui disaîs-je en enfonçant): que ton Con filial
+engouffre le Vit-paternel avec delices!... Remue du cul,
+adorable Enfant! Rens-moi tout le foutre que j'aí dechargé
+dans le Con de ta Mère,... pour te faire!... Hâ! comme la
+Garse remuait du cul, oscillait du con, le jour où je
+l'engrossaí de toi! Elle était chaussée, parée, un-peu
+chiffonnée, & si chaude, qu'elle se mit sur moi & s'euconna.
+Pour m'exciter davantage, elle me disait, en saccadant:
+Pousse... Enfonce... mon Con est frayé... je viéns d'étre
+foutue par ce beau Commis aux Aîdes, dont tu es si jaloux...
+Et elle saccadait... Pour moi,... je foutis avec fureur,...
+comme je te fous à-pésent... C'est moi qui t'aí engendrée,
+enfoutrée dans son Con satiné,... quoique tu ressemble à
+Louis-XV, qui,... dit-on, l'a aussi foutue... -- Mon cher
+Père... ô Vit divin! (répondit Ingénue, oppressée de foutre &
+de tendresse), je sens.. à mon insatiable Connin.. que je suis
+votre fille.... je le sens au plaîsir.. que me fait la celeste
+idée que mon... Pére me fout.... Décha--argeons ensemble, chër
+Papa!.. j'aí... plûs de.. foutre avec toi, qu'avec
+tout-autre?... Hâ! hâ!.. fourgonne... fourgonne, Vit-papa... Le
+foutre... est long... à venir... J'ai tant foutu!... Mais je
+n'en ai que plûs de plaisir... Hâ! hâ!... foutre!... Dieu!
+Delices!... Vitnègre!... ô Monstre, qui me dechirais, sans me
+pouvoir en--filer, que n'es-tu sur moi... ton Vit noir me
+pourfendant le Con... Foutàmort... enfondre-moi.....: Chër
+Papa... Dieu-fouteur... je pars... je decha--a--arge... à
+l'intention... de... Foutàmort-.... Et elle se pâma, dans un
+égarement, un delire ineffables.
+
+Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, & elle
+me fesait une jolie bronette de ses cuisses & de son Con. Je
+dis qu'On la rechaussât, & à chaque coup de cul, elle fit
+claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme fesait sa
+Mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son piéd. Ce
+spectacle parut si delicieux à mes trois Droles, qu'ils
+enconnèreut en furieux, Traítdamour Rosemauve, Cordàboyau
+Conète, & Brisemote Minone. & qu'ils les firent crier comme
+des Depucelées.
+
+Dès que j'eús émis, je dis à mon Secrétaire, de déconner, de
+m'enlever, & de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma
+Fille palpitait. Je la montraí se chatouillant elle-même le
+Con. Traìtdamour rebanda come un Enragé; il se précipita sur
+elle. -- Enculéz-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle),
+il me semble que ça me fera mieux... -- Decharger ('écria le
+Bougre): Vous avéz le Con trop fatigué-. Et il lui perça le
+cul sans mouiller. -- Je vais... redecharger (lui dit-elle, en
+continuant de se branler elle-même). -- Attendéz! attendéz!
+(lui cria le jeune & vigoureux Perforeur); je vous branleraí,
+en vous enculant-. Conquète enculée & branlée, roucouloit de
+plaîsir...
+
+En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur
+Rosemauve, abandonnée par Traìtdamour, pour ma Fille: Elle se
+fit enculer & branler. Cordàboyau retourna Connète, & lui en
+fit autant. Minone libre ala gamahucher ma Fille, que son
+Frère tenait enculée; & moi, je branlaí Minone. Les trois
+Bougresses se recriaient, que l'enculage branlé était divin.
+
+Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le Con de
+Minone, que j'avais à-peine la force de branler, tombant de
+sommeil, & bandant encore pour toutes-quatre: il me devenait
+indifferent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote
+m'avança Rosemauve tout-enculée. J'alais enconner la vive
+Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce Con
+noir, & me présenta son Con. -- Que je te voye! (s'écria
+Conquète, en s'arrachant du cul le vit de Traìtdamour), si
+Cupidonet doit mourir en rut, c'est dans mon Con!... Elle se
+mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras & m'engouffra. -- Hâ!
+(s'écria Brisemote, qui nous portait tous-quatre), que n'ai-je
+le vit asséz long, pour les enculer toutes-trois?
+
+Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au
+Dimanche suivant. Conquète, après avoir fait amplement bidet,
+se coucha modestemt. Je ne pouvais marcher. Mes trois
+Gaillards remenèrent leurs Belles, & revinrent me prendre,
+pour me porter chéz moi, où ils me mirent au lit.
+
+
+
+
+XXXIII Chapitre.
+
+Chap. De la Fouteuse sensée. Histoire.
+
+
+Le lendemain, après mon travaíl, je vins voir ma Fille. Elle
+était dans mon magazin. Elle m'embrassa la première, & me dit,
+& me dit: -- Au nom de Dieu, chër Papa, ménagéz-vous! j'ai
+besoin de votre tendresse-paternelle, plûsque jamais... Que
+deviéndrais-je, si je vons perdais? Vous êtes le meilleur des
+Pères: vous me donnéz le necessaire & la volupté. J'aí un
+Bijou insatiable: mais votre Traìtdamour l'emplit & le
+satisfait audelà de toute vraisemblance. Je suis bién sensible
+au don que vous m'en avéz fait. Aussi la reconnaissance & la
+tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du... -- Foutre,
+mon adorable Fille... Tu es toujours égalemt mondeste. -- J'aí
+aussi beaucoup d'obligation à Traìtdamour d'avoir amené sa
+petite Soeur & sa jolie Maîtresse: surtout d'avoir donné
+Celle-ci à ses deux vaillans Camarades, pour me rester plüs entiér,
+& vous soulager d'autant, vu mon extréme chalenr. Ces
+Jeunesfilles sont de bonnes petites Creatures, & valent mieux
+que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite....
+Menagéz-vous, chër Papa. Ne voyéz que moi: c'est bién asséz.
+Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces.
+Traìtdamour me donnera le surplûs de ce qu'il me faut. En ne
+jouissant que les Dimanches, les Garsons, les Petites,
+tout-comme nous, l'appetit & le plaisir seront plüs grands; nous
+passerons une demi-journée delicieuse... Mais je suis jalouse
+de vous & du beau Traitdamour; ne le mettéz qu'à moi.
+Avertisséz-les tous de cela. C'est mon caractère que la
+jalousie. Et-puis, où trouveriéz-vous une Femme ou Fille qui
+me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par
+volupté que par delicatesse: car j'ai cet Endroit que vous
+avéz la bonté de trouver charmant, toujours si chaud, que je
+ne le mets jamais dans l'eau s qu'avec une volupté qui
+approche de la Jouissance. Ne me le mettéz donc pas de la
+semaine, pour avoir plüs de plaisir, sans vous tuer, le
+Dimanche. Ne me touchéz ni le Bijou, ni le sein? -- Non
+(répondis-je): durant la semaine, je ne baiseraí que ton joli
+piéd. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au
+trumeau de ma cheminée! -- Rién de si flateur, répondit-elle,
+que d'être ainsi adorée, jusque dans sa parure: Aussi mon piéd
+est-il soigné, comme vous l'adoréz. Je le lave à l'eau-rose
+deux-fois le jour matin & soir, & après avoir marché. -- Hâ!
+celeste Fouteuse, que je le baise, que je le baîse? -- Point de
+ces mos-là? dans la semaine: ils vous excitent.... Baiséz
+votre idole? j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs; mais
+restéz-en là.... Du-reste, je suis à vous: Vendéz-moi, livréz-moi,
+quand vous le voudréz; je me donnerai avec plaisir pour
+vous; comme Une autre Ocyrhoé. [lacune. Je me privaí donc,
+malgré moi: mais par nécessit; je me contraignais. [Autre
+lacune... Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à
+talons-vërts, à laquelle je rendais mon hommage tous les jours
+en l'honneur de la Fille la plüs pieuse & la plüs devouée quî
+ait jamais existé. Conquète-Ingénue, à quî je le edis le
+samedi, en fut transportée de joie. Elle darda sa langue, me
+fit sucer ses tetons, palper son poil soyeux, se mit à genoux,
+& dit avec ferveur: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir
+fait naître d'un si bon Père! Nous ne vous offensons pas; je
+rens à mon Papa en plaisirs delicieus les soins qu'il a pris
+de mon enfance. Je suis le baume & le charme de sa vie; il est
+le baume & le charme de la miénne. Bénisséz-nous-? Elle fit
+trois signesdecroix, baîsa la terre, & se releva, en disant:
+Doux Jesus, qui le mettiéz à Madelène, elle était aussi votre
+fille; & en amour, vous le savéz par experience, rién n'est si
+voluptueux que l'inceste-!... Je fus si édifié de cette
+prière, que je me propose de la faire recommencer, à la fin de
+nos parties.
+
+Un-instan aprês, à 8 heures-&-demie, toute la petite Société,
+Traìtdamour, Minone sa soeur, Conète sa maîtresse, Rosemauve,
+Cordàboyau & Brisemote, vinrent prendre langue pour la reünion
+du lendemain. Je donnaí le mot & les retins à soupér. Il y
+avait un excellent gigot de 18 livres, & du vin de Bourgogne,
+avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les émoustiller
+tous, & moi-même, je fis lire par Rosemauve, devant nos Hôtes,
+l'Histoire suivante:
+
+
+
+
+XXXIV Chapitre.
+
+Chap. De l'Homme-à-queûe.
+
+
+Vous aiméz les Histoires, dis-je, ne voulant pas manger de
+pâté; nour aurons demain toute autre chose à faire: je vais
+en-conter une, pendant que vous achèveréz de souper-. Un rire
+d'aise préceda le silence.
+
+Il y avait à Sens, une Veuve encore belle, quoique mère de six
+Filles, dont l'Aînée, qui atteignait vingt ans, é se nommait
+Adelaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore
+dixneuf; la tsoisìème, Julie, en avait près de dixhuit;
+Justine dixsept; Aglaë seize, ét enfin Emilie la Cadète quinze
+ans. Quant à la Maman, mariée à treize, accouchée de son Aînée
+à quatorze, elle avait trentequatre ans. Mad. Linârs (c'est
+son nom), avait en-outre deux Nièces de quinze ét vingtdeux
+ans, Lucie et Annète-Bar, une jolie Femmedechambre de dixhuit,
+outre une Cuisinière, grande ét belle Fille de vingt ans. Le
+Mari avàit mal-fait ses affaires, avant que de mourir. La
+Veuve ne soutenàit sa nombreuse Famille qu'avec le revenu de
+sa dot, qui rapportàit cinq à six-mille livres. On étàit gêné;
+car les Nièces n'avàient que quinze-cents livres de rentes
+entre elles-deux. C'étàit onze Jeunespersones à entretenir
+avec 7500 francs.
+
+Il parut alors à Sens un gros ét bel Homme dont la phisionomie
+annonçàit trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passàit
+pour très-riche. Et en-effet, il l'étàit. Ses bras ét sa
+poitrine étàient couverts de poils. Il avàît le regard dur ét
+presque féroce: mais son sourire l'adoucissàit, ét il souriàit
+toujours, en voyant de jolies Femmes. L'Aînée des Dlles Linars
+étàit charmante: Fysitére la vit ét en devint éperdûment
+amoureux, quoiqu'il eût alors dans son séràil une Femme-mariée
+enlevée à Paris, de l'aveu du Mari même; la Soeur d'icelui,
+vendue par son Père, ét une superbe Carmelite, leur cousine,
+qui s'étàit livrée elle-même, parcequ'elle était hysterique.
+Mais toutes ces Maîtresses étaient alors enceintes, ét
+Fysitère n'en jouissàit, que pour avoir des Enfans. Il ala
+chéz Mad. Linars, pour Lui demander en mariage Adelaïde.
+
+Le Velu, en voyant onze Femmes dans une seule maison,
+tressaillit d'àise... Il étala sa fortune, ét proposa
+d'épouser l'Aînée. Trente-mille francs de rente qu'il prouva
+(il en avàit bién davantage)! Le firent accepter sur-le-champ.
+Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, ét fit des
+présens, tant à sa Prétendue qu'à la Mère, aux Bellessoeurs, à
+Lucie ét Annéte-Bar, les deux Nièces, ainsi qu'à Geoline ét à
+Maréte, la Femmedechambre ét la Cuisinière. Ce fut avec ces
+présens qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques
+préliminaires, qui fassent mieux connaître ce Personage.
+
+Fysitère était Un de ces Hommes poilus, qui descendent d'un
+mélange de notre Espèce, avec celle d'Hommes-à-queûe de
+l'Isthme de Panama, ét de l'Ile de Borneo. Il étàit vigoureux
+comme dix Hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en auràit
+batu dix à armes égales, ét qu'il Lui falàit, à Lui-seul,
+autant de Femmes qu'à dix Hommes.
+
+A Paris, il avàit acheté la Femme d'un nommé Guae, un
+scelerat, qui La Lui avàit vendue ét L'avàit livrée. Fysitère
+La tenàit exactement renfermée depuis. Il jouissàit de cette
+Infortunée, la plüs provoquante des Femmes, ét qui avait
+beaucoup de temperament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la
+fatiguàit tellement.r qu'elle lui avàit donné le conseil
+d'acheter de leur Père sa Soeur-cadète, nommée Doucète, qui
+partagerait le travàìl. Il le fit. Mais ces deux Femmes
+avàíent été biéntôt sur les dents. Heureusement un Confesseur
+de Nones decouvrit alors pour le Velu, la Religieuse
+histerique, cousine des deux Victimes: il La tira de son
+Couvent, sous prétexte de Lui faire prendre les eaux, ét La
+livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques
+semàines. Ce qui avàit reposé ses deux Cousines.
+
+C'est à cette époque que l'Homme-à-queûe étàit venu à Sens, ét
+qu'il avàit vu la Famille Linars. Avant qu'il eût Mad. Guae,
+On Lui amenàit trois Filles Couturières chaque matin. Mais les
+précautions qu'il étàit obligé de prendre pour sa santé, avec
+des Creatures qu'il làissàit libres, Le degoûtèrent de cette
+jouissance. Dailléurs, comme il avàit formé le projet de
+multiplier l'Espèce des Hommes-à-queûe ét d'en peupler l'Ile
+entìére de Borneo, Pays originàire, il voulàít pouvoir
+surveíller tous les Enfans qui Lui naîtràient. Ses trois
+Femmes étant grosses, il ne voulàit plus Les fatiguér. Quand
+il fut lié avec Mad. Linars, il aurait bién cherché à deflorer
+sa Future, ou à se donner Une des Nièces; ou la Cuisiniére, ou
+la Femmedechambre. Mais il trouva que tout-cela avàit ses
+inconveniens. Il reserva ce-supplément de ressources, pour
+aprês son marìage. La Première qu'il attaqua, ce fut sa
+Bellemère future. Il Lui fit un-jonr un présent de deux-mille
+écus en espèces: Et La voyant dans l'extase de la
+reconnaissance, il iui mit la maìn sous la jupe, en Lui
+disant: "Autant tous les six mois, si Je vous Le mets. Et ne
+craignéz pas de faire du tort à votre Fille! Elle n'en aura
+que trop de reste... Comme il étàit extrémement fort, tout en
+parlant, il La renversàit, L'enfilàit. La Dame se trouva prise
+sans l'avoir prévu. Elle fut rabatelée une dixaîne de fois,
+tant Elle étàit vigoureusement contenue... Enfin devenue
+libre, Elle Luì dit; "Hô, quel Homme! "Je suis tel (repondit-il),
+que votre Fille ét vous, quand vous m'auréz toutes-deux,
+me donneréz vous-même des Maîtresses, pour vous reposer". La
+Dame, qui aìmàit le jeu d'amour, sourit, en rougissant
+d'esperance ét de plaisîr.
+
+Elle fnt exploitée tous les jours, en attendant celui du
+mariage de sa Fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour
+Une jeune Vierge, Elle pria l'inépuisable Fysîtère de La
+menager? "Six-fois: repondit-il, pas plûs, si vous me
+promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie,
+l'Aînée de vos Nièces? "Non; mais je vous donnerai Geoline, ou
+Marète, celle que je pourrai avoir le plus facilement... Le
+soir des noces, Fysitèré, quoiqu'il eût toutes les nuits
+fourbi Mad. Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa
+Mariée. Il L'enIeva commé une plume, dès qu'on eüt soupé, se
+jeta sur Elle, ét Lui fit pousser des cris effrayans. La Mère
+alarmée, accoutut avec Geoline, au moment où Fysitère, sans
+trop s'embarrasser des gèmissemens de la Jeunepersone, La
+recommençàit. La Mère Le laissa L'achever. Puìs, sur
+l'instante prìère de sa Fille, Elle La retira du lit, pour
+laver le sang ét le suc d'homme, dont sa conque martyrisée
+était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, ét La viola,
+malgré ses clameurs. Il La retint sous Lui quatre à cinq
+fois.:. Elle profita d'un intervala, pour s'échapper Mais
+Fysitère menaça Mad. Liuars, si elle ne remplaçàit pas sa
+Fille, de tourmenter Celle-ci jusqu'au jour... La Dame étàìt
+fatiguée: Elle ala chercher Marète, qu'elle enferma dans la
+chambre-nuptiale. Fysitère La viola, ét La contint sous Lui
+quatre-fois: puis il Lui permit de dormir.
+
+Dans le Jour, il assoupit les plaintes des deux Filles-domestiques,
+ét même il Les gâgna, en leur constituant Douze-cents
+francs de rente à chaqu'une. Mais elles demandèrent du
+repos, pour la nuit suivante.... Le soir, Fysitère ramona
+six-fois sa Nouvelle-Epouse, qui prit un-peu de gout à la chose:
+puis sa Mère reposée, fut à son tour fourgonnée six âutres
+fois. Ce qui suffit à l'Homme-à-queûe.
+
+Le soir du troisième jour, il ne ramona sa Femme qu'une-fois;
+car Elle demanda grâce. Il eüt ensuite Geoline, six fois; puis
+Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se règla.
+Il eüt le quatrème soir, sa Femme, une fois; sa Bellemère
+quatre; Geoline trois; Maréte quatre: douze en tout. Il en
+agit ainsi pendant deux mois.
+
+"Mais, Lui dit Mad. Linars, vous vous èpuiséz! A quoi bon nous
+Le mettre tant de fois? "Mon but est de faìre des Enfans, pour
+en repeupler une Ile des Indes, dont les Hommes de mon Espèce
+sont originaires. Dès que vous seréz grosses, je ne vous Le
+mettrai plus; vous m'en donneréz d'Autres; mais surtout vos
+Filles ét vos Nièces, parceque vous êtes toutes d'un beau
+sang. Je Leur ferai à chaqu'une six-mille francs de revenu, ét
+douze-cents francs seulement aux Etrangères que vous
+procureréz-... Mad. Linars fut très-étonnée de cette
+proposition! Mais les six-mille francs de revenu pour ses
+Filles ét ses Nièces La tentèrent.
+
+Aubout des deux mois, ét de six semaines de mariage, Mad.
+Linars, la Nouvelle-Epouse, Geoline ét Marète se trouvèrent
+enceintes. Fysitère Leur déclara, qu'il ne les verràit plus,
+qu'aprês Leurs couches. Et il pressa Mad. Linars de Lui donner
+ses Nièces, ét deux de ses filles?... Elle fut obligèe d'y
+consentir. Elle Les conduisàît elle-même, aprês Les avoir
+instruites, ét assistàít à Leur defloration, calmant leurs
+cris par ses discours ét ses caresses. "Ma ràisonable Enfant,
+disàit-elle à Lucie renversèe sur le dos, ét qu'On troussàit,
+il est doux d'avoir 6 mille fr. de rentes?... Cinq-cents
+francs par mois, ajoutà-t-elle en La pomadant?.. Et foncières,
+ma chère Nièce! dirigeant le gros Membre dans sa fente". Aussi
+la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas.
+
+Vint ensuite Aunête la seconde. Sa Mère L'exhorta, La pomada,
+inserant son index onctué le plüs profondement possible, pour
+fràyer la route. Elle introduisit le Membre dans la fente
+ainsi prèparée. Cependaut Annète perforée, jeta les hauts-cris.
+Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont Mad. Linars
+caressàit la queùe poilue, qui fretillait vivement. Hâ! Maman!
+(Lui dit-il), mets-toi sur moi, ét te l'enfonce dans ta
+conque; tu auras bién du plaisir"! Elle le fit, ét fut si
+ravie, qu'elle appela sa Fille-aînée ét les Chambrières, pour
+Leur procurer les mêmes delices.
+
+Annète suffisamment ramonée, ét demandant grâce, Geoline la
+remmenà, pour laver le sang ét le sperme, dont son Bijou étàìt
+barbouillé: ét Mad. Linars ala chercher Sophie, sa seconde
+Fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs
+mains jointes. Mad. Linârs La pomada; puis elle intromit.
+Geoline s'enfila avec la queùe poilue, au refus d'Alaïde
+l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissemens, an
+premiér Assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut
+cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queùe-à-poil
+durant toute la séance.
+
+Fysitère n'avàit joui que neuf fois: Il Lui en falàit trois
+encore. On ala Lui querir Julie la troisîème Soeur, âgée de
+dixsept ans. Sa Mère La pomada. Ce qui ne l'empêcha pas de
+crier, parcequ'elle était fort étroite. Julie ét sa cousine
+Annète furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les
+quinze premiérs jours. Lucie fut prise tout-de-suite, ét
+Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rién, aimant
+le piaisìr. Quant à Julie ét Annette, il s'écoula trois mois
+avant qu'elles fusseut enceintes... Marète se farfouillàit
+avec la queùe poilue, pendant les assauts de Julie.
+
+Lorsqu'il fut bién décidé que les quatre Belles avàient le sac
+rempli, Mad. Linars fut requise de donner ses trois dernières
+Filles, ét une Cousine du côtè-gauche, fille hors mariage de
+son Mari, nommée Naturelle-Linars? Elles Lui furent livrëes,
+et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avàìt pas quatorze ans
+accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré
+leurs cris ét la dechirure de leurs jeunes appas. Naturelle
+avàit vingt-un ans: ce fut une delicieuse jouissance, que
+l'Homme-à-queûe fatigué avàit réservée pour la dernière.
+Celle-ci fut engrossée surlechamp; ét les trois Autres, malgré
+leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du mois.
+Elles étàient regulièrement fourgonnées trois fois par nuit:
+mais soìt qu'elles eüssent moins de temperament, soit qu'étant
+plüs étroites, elles souffrîssent toujours, elles furent
+ravies, lorsqu'elles fudeclarèes enceintes. L'Homme-à-queûe
+avàit en ce moment de fecondées, 14 Femelles, qui Lui
+promettàient aumoins 14 Enfans.
+
+A cette époque, Mad. Linars accoucha d'une Fille. Un moìs-ét-demi
+aprês, Adelaïde, ou Mad. A-queue, mit également une Fille
+au monde. Puis Geoline ét Marète eürent chaqu'une un Garson.
+Annète èt Lucie chaqu'une une Fille. Toutes-six voulurent
+nourrir. Ce qui fut executé dans une Terre écartée, du-côté de
+Seignelài, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la
+petite Rivière de Serin.
+
+Cependant comme les Unes nourrissàient, ét que les Autres
+étàient encore enceintes, il falàit de nouvelles Femmes à
+Fysitère. Il demanda permission à Mad. Linars de reféconder
+ses trois premières Concubines, Màd. Guae, sa soeur Doucète, ét
+la Carmelite, qui n'étàit plus hystere, depuis ses couches. La
+Bellemère y consentit avec la plüs grande joie: car Elle étàit
+fort embarrassée pour trouver à son Gendre des Sujets
+fecondables. Elle avàit deja bién marqué les quatres Pucelles
+les moins làides du Village, ét même une cinquième la plüs
+jolie, femme mariée, sterile avec son Mari; Elle les avàit
+presque gâgnées, au moyén des douze-cents francs par année,
+mais Elle n'etait pas encore sûre de leur discrétion... Les
+trois Concubines étàient mandées. Elles arrivèrent.
+
+Dès le même soir, Elles furent mises toutes.trois dans un
+grand lit propre à cinq Persones: Fysitère s'y coucha au
+milieu: Il Les palpa Toutes; puis il prit Mad. Guae, la plüs
+voluptueuse, qu'il fourgonna trois-fois avec fureur. Il saisit
+ensuite Doucette, que ses tendres gemissemens Lui firent
+ramoner en Enragé. En la quittant, il sauta sur la Carmelite,
+qu'il exploita six fois, sans desarçonner. Mais Elle l'assura
+qu'Elle étàit tguerie de sa maladie, ét Elle Le pria de se
+parrager également entr'elles trois? Ce qui fut arrêté.
+
+Le lendemain, Mad. Linars, qui avàit tout écouté pendant la
+nuit, demanda aux trois Parentes, Comment elles appartenàient
+à Fysìteres! Mad. Guae repondit: "Nous alons vous faire notre
+Histoire qui vous paraîtra singulière! en.même-temps qu'elle
+vous donnera une idée juste de notre Mari à Toutes, qui est Un
+Homme d'une nature particulière. Mad. Linars ne demanda pàs
+mieux que de l'entendre: Mais elle fit observer à Mad. Guae,
+que ce Recit ne seraìt pàs moins agreable aux 12 autres Femmes
+de Fysitère? Mad. Guae en convint, ét Adelaïde, Sophie, Julie,
+Justine Aglaé, Emilie, Lucie, Annète, Geoline, Marète,
+Naturelle, appelées par Mad. Linars, vinrent avec elle
+assister à la narration que fit la belle Mad. Guae,
+en-présence de Doucette sa soeur, ét de de Victoire la Carmelite
+leur cousine.
+
+
+
+
+XXXV Chapitre.
+
+Chap. Des la Garse insatiable.
+
+
+"Vous me voyéz; J'ai toujours été desirée des Hommes: A huit
+ans, un Ouvriér qui travaillàit dans la maison à de la
+menuiserie, me prit le bijou; ét comme je ne criai pas, il me
+mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, ét me les
+inonda, en dechargeant. Je le dis à ma Mère, qui me lava les
+fesses, ala menacer le Menuisiér, ét le fit deguerpir... Ce
+debut annonce que le Recit sera un-peu libre; mais il faut
+être sincère.
+
+"A dix ans, mon Père déculoté m'asséyàit à crû sur ses cuisses
+nues, fesàit aler son membre entre les miénnes, comme le
+batant d'une cloche, ét, bién échauffé, il alàit enfiler ma
+Mère, une jeune Tante soeur de Celle-ci, ou ma Gouvernante.
+
+"A treize ans, j'avàis le Bijou cotonné, ét si joli, que mon
+Père venàit me Le lècher la nuit pendant mon sommeil. Enfin il
+me sentit riposter à ses coups de langue, ét comprit que
+j'avàis du plaisir. Il dardàit plüs fort, ét je partàis...
+Aussitôt mon Père se mettàit sur moi, me suçàit mes petîts
+Tetons naissans, posàit son membre à l'orifice de ma petite
+Conque, ét me barbouillàit toute la Mote de sperme.. Il me
+lavàit à l'eau-rose.
+
+"A quìnze ans, un Jeunehome, frère de ma Maîtresse de modes,
+me prit le Con à la poignée, an moment où je regardàis par la
+fenêtre, ét voulut me chatouiller le Clitoris avec son doigt:
+mais il me fit mal, ét je Lui donnai un soufflet.
+
+"A cette époque, mon Père n'osàit plus m'asseoir à cùl-nu sur
+ses genoux, ni me faire decharger en me lèchant le Con; il se
+retiràit dès que je donnàis le premiér signe d'éveil: Mais
+comme j'ai le piéd joli, ét que M. Dardevit, aìnsi que tous
+les Hommes delicats, est infiniment sensible à cet attràit-là,
+il fesàit faire mes chaussures par un habile Cordonniér, Celui
+de ma Mère ét de la Marquise De-Marignì; le Voluptueux ne me
+les donnàit neuves, que lorsque j'alàis chéz Lui; il me les
+fesàit mettre aprês un pédiluve, avec des bas de fin coton, me
+fesàit marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour mieux voir
+ma jambe ét mon piéd, qu'il baisàit; il me fesàit ensuite
+asseoir, me tiràit un soliér, s'en coîfàit le vît, me fesàit
+Lui patiner les couilles avec mon piéd chaussé, poussàit de
+profonds soupirs, cognàit au planchér, ce qui fesàit monter
+Mad. Mezières voisine d'audessous; Elle Lui arrachàit mon
+souliér, ou ma mule; Elle se renversàit sur le dos; il La
+troussàit, èt La fourgonnàit, en me fesant relever ma jupe en
+perspective d'une glasse jusqu'au genou. "Votre Père me fàit
+ce qu'il ne peut vous faire, me disàit La Mezières, parceque
+tu es sa Fille; mais c'est Toj qui Le fais bander... Hâ! si Tu
+Luì montrais ton joli Conin, comme il me rabâteleràìt, ét me
+donneràit des coups de vit en Con"! Touchée de ce langage,
+souvent je me troussàis, ét montràis une mote à poil folet ét
+soyeux, que mon Père trouvait adorable! Je m'en apercevais aux
+vives estocades qu'il donnait à la Dame... En La quittant, il
+venaít me rechausser. Mais quelquefois La Mezières L'en
+empêchait, ét furieuse de luxure, Elle me renversait, me
+lèchait le Connin, ét mettait dans le sién la pointe de mon
+solliér, ou de ma mule, comme un Godmiché... Pendant ce temps-là,
+mon Père me palpait doucement les fesses ou les tetons.
+"Tu La foutras, Bougre (tu La depuceleras, ét biéntôt! ét Elle
+deviéndra grosse de Toi, si Tu ne La maries"! Ce propos,
+souvent repeté, fit que je demandai vivement à me marier.
+
+"J'avais un Oncle, mari de ma Tante. L'escaliér de leur
+demeure était obscnr. Un-jour que je le montais, mon Oncle me
+suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, ét
+me hâpa ce qu'il nommait mon Connôt. Je me recriai! "Tais-Toi
+donc (me dit-il): vas-tu troubler mon ménage"?... Je me tus.
+Et il me patìna le Connôt, le cùl, d'une main, les tetons de
+l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en
+jurant, ét tout en me suçant les tetons, me dechargea dans les
+doigts.
+
+"J'entrai toute rouge chéz ma Tante. Mais je ne dis mot. Quand
+je m'en retournai, mon Oncle me guettait; il m'accompagna, ét
+me dit: "Tu veux Te marier; J'ai un Parti, ét il n'y a que moi
+qui puis gâgner ton Père; Je Le gâgnerai, si je te le mets
+seulement trois fois avant le mariage, ét lorsqu'il sera bién
+sûr? "Que me mettréz,vous? (je fesais l'ignorante, puisque
+j'avaîs vu mon Père ét La Mezières). Nous étions dans l'alée.
+Il mit son vít à l'air, ét m'empoigna le Con: "Ceci, dans ce
+que je te tiéns". Je me debarrassai, ét ne repondis rién.
+J'étais à la porte de mon Père: J'entrai. Il était absent:
+J'attendis.
+
+"Seule avec moì-même, je resolus de pressentir mon Père, à son
+arrivée, sur mon mariage? Il arriva: Je fus moins sevère avec
+Lui qu'à mon ordinaire, ét lorsque je l'embrassai, aulieu des
+ieux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la
+langue, comme je l'avais vu faire à La Mezières. Il me mit la
+main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai,
+en Lui disant: "Je voudrais me marier? Et comptéz que vous
+seréz bién caressé, si vous y consentéz? "De tout mon coeur, à
+cette condition... As-tu un Parti? "Mon oncle en a Un, que je
+n'ai jamais vu. "Bon! ce n'est pas une amourète... Il faut
+dabord que je Te gamahuche aujourd'hui? "Qu'est-ce que c'est?
+"Te lêcher-là (me prenant le Bijou). Je fis une petite
+grimace. "Alons, prens cette éponge fine, ét lave le bién,
+à-cause du joli poil, qui commence à l'ombrager? Le plaisir que
+tu auras, te dedommagera de la contrainte que Tu te fais? Il
+me suça légèrement les bouts des tetons, pendant que mes
+fesses, mon cùl et mon Connin nageaient dans un bain tiéde.
+
+"Mon amoureux Père ne me donna pas le temps de reflechir: Dês
+qu'une serviète fine eüt pompé l'eau, il me renversa sur le
+piéd de son lit, troussee audessus des reins, appliqua sa
+bouche sur la fente de mon Connôt, qu'il lècha vivement, en
+dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de
+decharge. Ce quì arriva aubout d'un demi-quart d'heure. En me
+sentant prête à émettre, mon Père me quitta, me mit gros comme
+une noix de beurre frais dans le bas de la fente du Connôt,
+m'y insera son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada: Je
+dechargeais, et J'avais tant de plaisir, que je Le secondai,
+malgré quelques douleurs. Heureusement le vit de mon Père
+n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir
+complet; car il penetra si avant, qu'il me chatouilla le fond;
+ét au moyén de ce que j'étais très-étroite, il m'emplissâit le
+con, comme si j'y avais eü un Vit de Mulet... Voilà comme je
+fus depucelée.
+
+Je priai mon Père, pendant qu'il me lavait le Con, de ne pàs
+differer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon
+Oncle; ét je Lui en dis la raison. "Il ne faut qu'il te le
+mette! me repondit-il vivement: Le Bougre a le Vît trop gros:
+il t'élargirait! Au lieu qu'aprés moi, ton Futur, on tout
+autre Fouteur, Te trouvera comme Pucelle". Je promis qu'il
+n'obtiéndrait rién. "Des bagatelles cependant, reprit mon
+Père: Branle-Le, quand il Te prendra le Con. Tu pourrais même
+Te laisser enculer, s'il était asséz raisonable pour s'en
+tenir-là. "Comment fait-on ça? "Je vais Te le montrer". Et il
+m'encula. J'eüs du plaisir; car je dechargeai. Mon Père me dit
+ensuite: "Quant à mon consentement, envoie-moi ton Prétendu:
+Si c'est Un certain Drôle que je soupçonne, Tu n'en deviéndras
+pas folle, ét... Suffit". Je m'en retournai contente chéz mon
+Oncle, où sa Femme ét Lui me présentèrent leur Protegé, une
+sorte de Mulâtre, qu'ils nommèrent M. Guae.
+
+Dês le même soir, ayant eü, avec ce M. Guae, un entretién
+très-vif, pendant lequel je Le vis prêt à me prendre le Con,
+sa laìdeur ét sa sotise ne me rebutèrent pas, attendu que mon
+Oncle ét ma Tante m'avaient prèvenue qu'il était terrible pour
+les Femmes; ce qui m'avait bién tentée! aucontraire, je Lui
+dis, Que j'avais obtenu le consentement de mon Père, ét qu'il
+pouvaìt se présenter. Il me pria de Le conduire, n'en étant
+pas connu. Je remis au lendemain midi.
+
+"Nous arrivames au moment où mon Père alaìt sortir. Guae
+m'avaìt pris le cùl dans l'escaliér, ét m'avaìt fait empoigner
+son Vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étaìs
+ravissante! Je présentae Guae, comme mon Futur. Sa figure
+hideuse ét basse fit sourire mon Père, dont elle calma la
+jalousie. Il nous dit: "Mes Enfans, j'ai une affaire pressée:
+mais elle sera courte; attendéz mon retour". Aprês son depart,
+Guae me dit: "Il paraît, à son ton, qu'il vous tiéndra sa
+parole, de consentir? "Je le crois; car il ne se contraint
+pas, quand une chose Lui deplaît. "Ma Belle! (ajouta Guae,
+dont l'oeil noir petillait de luxure, permettéz de vous Le
+mettre icy, sur le piéd du Lit de votre Père?... Consentéz-y"?
+Je ne demandaìs pas mieux, à-cause de mon depucelage, ét
+parceque le Bijou me demangeàit, depuis que mon Père m'avàit
+perforée: Mais je repondis: "Hô-non! mon Père n'auràit qu'à
+rentrer! "Hé! quand il rentrerait? vous voir enfilée, ne
+feràit que hâter notre mariage".
+
+"Il me renversa sur le piéd du Lit. Je me defeudis gaûchement.
+Il me mit le Vit entre les babines du Con, ét poussàit à
+m'enfondrer... Mais il ne put penetrer, quoiqu'il se mouillât
+le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me decharger
+une chopine de sperme sur la mote, le ventre ét les cuisses.
+
+"Je me debarrassae, pour aler laver. "Hô! vous êtes bién
+Pucelle!, me disàit Guae, en se reculotant. Comme je
+m'essuyàis, j'aperçus mon Père caché... Je n'en fis pas
+semblant Un instant aprês mon retour vers Guae, ce Père rusé
+entra auprês de nous. Guae me demanda en mariage? Mon Père Lui
+repondit, Qu'il me laissaìt la maîtresse absolue. Et il signa
+les bans. Il dit ensuite à Guae, qu'il avàit à me parler, ét
+qu'il le priàit de s'en retourner seul; qu'il me remèneràit
+chéz ma Tante, à Laquelle il avàit à parler aussi. Guae s'en-ala.
+
+"Dês qu'Il fut sorti, mon Père me dit: "As-tu été foutue"? Et
+il me prit le Con à la poignée. "Vous avéz bién entendu que
+non. "Où donc a-t-il dechargé? "Sur le poil. "Un-peu entre les
+lêvres? "Oui. "Il suffit: On peut devenir enceinte avec cela
+seulement, êt Tu n'äs plus rién à craindre. Mais va Le voir
+chéz Lui, ét qu'il ait toute-facilité. En attendant, je vais
+en frayer encore un peu-. Il me renversa, ét a-l'aîde du
+beurre-frais, il m'enfila... avec quelque facilité: ce qu'il
+repeta trois-fois, excité par ce qu'il venait de voir, ét
+parceque j'étais extrêmement bién chaussée, en soliérs de soie
+neufs. Je dechargeae trois fois a chaque enconnage, comme
+dísaìt mon Père. Cela fit neuf fois. Mon Père me dit, que
+j'avais beaucoup de temperament, ét que j'alàis être une bonne
+Fouteuse!... Je me lavae soigneusement, ét il me remena.
+
+"Nous trouvâmes Guae chéz ma Tante. J'étaìs plütót mise en
+appêtit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon Père:
+Je dis bas à mon Prétendu: "Aléz chéz vous; j'ae à vous
+parler". Il y courut. Mon Père parlaìt à ma Tante, prenant des
+mesures pour accelerer: car il craignait, à la manière dont
+j'avais dechargé, que je ne devinsse grosse de Lui; ét il le
+desirait en-même-temps: Mais il falait que je fûsse mariée...
+Ma Tante sortit avec Lui.
+
+"J'alais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un
+enconnage complet, lorsque mon Oncle rentra. J'étais si
+envoluptée, que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me deplût.
+Il ferma la porte au verrouil, ét vint à moi: "Tu vas donc te
+marier? me dit-il: Alons, il faut en decoudre à nous-deux?
+Aussi-bién Guae a le Membre si gros, qu'il te feraìt souffrir
+le maryre". (Ceci acheva de me determiner)... Il me saisit.
+"Laisséz-moi! Laisséz-moi! dis-je faiblement). Mon Oncle ne
+m'écouta pas, ét voyant que je ne criais, ni n'égratignais, il
+me renversa sur le Lit, me troussa, ét dirigea son vit dans le
+vagin de mon Con. J'eüs l'art de paraître me defendre, en le
+secondant. Il me fit mal; je criae, ét m'apercevant que les
+cris Le facilitaient, je me mis à crier de toutes mes forces.
+Ce qui Le fit enfoncer jusqu'a la garde, avec tant de plaisir
+de ma part, que mes gemissemens étaient de volupté. Je me
+debattais, mais mon Con supait le gros Vit, donnant de si bons
+cups de cùl, que je dechargeae avec des convulsions terribles,
+et des contractions des trompes qui pinçoient le gland de mon
+Oncle. Il se recrîa,... ét se pâma de plaisir... "Hâ! pour une
+Pucelle, que Tu fous bién! me dit-il ensuite: Que sera-ce donc
+un.jour?... Recommençons"... Il me recommença trois-fois,
+malgré mes pleurs; car je sentis qu'il falait pleurer...
+
+Quand il fut rassasié; il deconna. "O celeste Fouterie, me
+dit-il, si le merite de ton Con était connu, Il ferait ta
+fortune! "Oui! vous me L'avéz bién accomodé! répondis-je en
+sanglotant, sur un bidet préparé par mon Oncle. Il ôta le
+verrou, jeta l'eau mélée de sang ét de foutre; puis craignant
+le retour de sa Femme, il sortit, en disant: "Remerciéz-moi!
+sans cette préparation, Guae vous aurait estropiée; et revenéz
+à moi, s'il le faut"?
+
+Je ne fus point effrayée de ce Langage. Dês qu'il fut sorti,
+j'essuyai bién-vite mes larmes, ét je pris un air riant. Ma
+Tante revint. Je La prévîns de l'attaque de son Mari, mais non
+du succês, pour Lui faire presser mon mariage; La priant de ne
+Lui en rién temoigner, depeur qu'Il ne levât le masque. Je
+promis de toujours bién me defendre, comme je venais de faire;
+ét tout en parlant, le Con étant venu à me redemanger, je
+courus chéz Guae, esperant que préparée comme je l'étais, il
+me L'enfoncerait enfin. Il m'attendait.
+
+"J'ai bién des choses à vous dire"... Ce fut mon debut. Il ne
+me laissa pas continuer; il me prit la Motte: "Foutons dabord,
+me dit-il, en me renversant. Je n'en fus pas fâchée; car je ne
+savais trop que Lui dire de-nouveau. Je me defendis
+gaûchement, comme avec mon Oncle ét mon Père. Mais quoique je
+fusse élargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je
+n'osais Lui dire de prendre du beurre, depeur de paraître
+instruite: Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne Lui vint
+point en pensée. "Tu ês diablement Pucelle! me dit-il, en me
+tutoyant... Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du
+derrière, ét m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis.
+Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en
+m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je Le secondae, pour
+souffrir moins, ét mes ripostes me firent decharger. Je
+croyais avoir un timon de carrosse dans le cùl... Le retiré ne
+fut pas sans plaisir... "Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae,
+même en cùl! Suffit"! Il me demanda ensuite pardon: "Votre
+beau Con, votre beau cùl, vos blancs tetins m'avaient mis
+comme un Enragé; ne pouvant vous enconer, je vous ai enculée:
+Pardon, ma belle Maîtresse! j'ae plüs d'un projet, pour vous
+dedomager". Le cùl me fesait mal: Guae me le mit dans l'eau
+tiéde; puis il me le baisa, me le lècha, alant quelquefois au
+Con. Il rebanda: mais je voulus m'en-aler. Il fut obligé de me
+remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce
+qui n'empêcha pas qu'il ne me fit Le branler dans le carrosse,
+Lui ayant le néz dans une mule mignone, qu'il m'avait arrachée
+du piéd, ét dans laquelle Il dechargea. Dans le delire du
+plaisir, Il me dît: "Ma Reine: j'ae le Vit trop gros pour Toi;
+choisis de l'oeil un joli Jeunehomme pour Te depuceler, ét je
+trouverae le moyén de Te Le faìre avoir, sans Te
+compromettre". Ceci me fit plaisir.... Guae me descendit, ét
+me porta. Je me mis au Lit; le sommeil calma mon cùl.
+
+"Le lendemain, j'alae chéz mon Père, auquel je racontae tout
+ce que Guae m'avait fait, ét dit. "Bon! me repondit-il: Tu as
+du temperament: Tu seras foutue, en con, en cùl, en bouche, ét
+Tu seras heureuse... Vous seréz mariés dans huit jours, ét je
+t'aurae un Fouteur plüs gros que moi. En attendant, je vais Te
+Le mettre; On ne saurait trop élargir un Connin si mignon".
+Mon père m'enconna, recomença trois fois. "Tu ês toujours
+Pucelle! me dit-il. "Et pourtant, m'écriae-je, mon vilain
+Oncle, avec son gros Membre, m'a hier violée trois fois!
+"Trois-fois! reprit mon Père: quel Connichonnet as-tu donc? On
+pourra vendre mille fois ton Pucelage!... Il faut que je Te
+refoute". Et il me refoutit...
+
+"Tandis que je me rinçais le Con avec de l'eau tiéde, mon Père
+s'était mis à la fenêtre, ét causait avec un jeune Procureur
+son voisin, gros ét beau garson de 30 ans. Le Con lavé, j'alae
+regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune Procureur
+m'ayant aperçue, je me retirae. "Quelle est donc cette celeste
+Persone? demànda-t-il. Mon Père ne repondit que par un geste,
+qui, je crois, signifiait que j'étais sa Maîtresse. Ils
+gesticulèrent encore. Puis le Procureur disparut. Mon Père me
+dit aussitôt: "Veux-tu que ce bel Homme Te Le mette, en
+payant? "Hô! hô! mon Père! "Appelle-moi Monsieur, devant
+Lui"!... On frappa. Mon Père ouvrit; ét j'entendîs qu'il
+disait tout-bas au Jeunehomme: "Aportéz-vous les 50 Louis?
+"Les voilà. "Mademoiselle? me dit àlors mon Père; vous savéz
+que je vous aime pour vous même: Voici un bel Homme de mes
+Amis, qui veut vous faire un présent; je sors; temoignéz-Lui
+votre reconnaissance". Mon Père se cacha, ét le Procureur le
+crut sorti.
+
+"As-tu été foutue aujourdhuy, me dit-il, en venant pour me
+prendre les Tetons. Je Le regalae d'un soufflet. "Apprenéz que
+je suis icy chéz mon Père. "Vous êtes Mademoiselle..... "Oui,
+Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un
+mariage de raison, ou d'interêt. Mais mon Père ayant été
+instruit que mon Futur est... monstrueux;... ce bon Père a...
+pris sur Lui de... me faire prépârer. Je vous ae cru son Ami;
+j'ae consenti, aprês vous avoir vu". Le Procureur était à mes
+genoux. Il me demanda mille pardons! "Soyéz donc honnête?
+repris-je. Alors il me caressa. Je Luy rendis enfin un baisér.
+Il me renversa. Il avait le Vit comme mon Oncle, mais il était
+moins adroit. "De la pomade! Luy criai-je: Mon Prétendu
+m'ayant fait entrer chéz Luy par surprise, il ferma les
+portes, ét voulut me violer... Ne le pouvant, il me pomada, ét
+ne réüssit pas encore. Vous, pomadéz-...moy"... En parlant
+ainsi, ses tentatives me fesaient decharger. Je soupirais de
+volupté. Mon Père crut que c'était de douleur. Il arriva; me
+pomada; dirigea le Vit de mon Fouteur dans mon Con, ét dit, à
+Lui: "Pousséz". A Moi: Soulève le cùl; étreins dans tes bras;
+seconde ton Depuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe
+en-avant; passe tes jambes sur ses reins, ét serre, en remuant
+du cùl... Bon! Bon! Saccadéz, vous!... Bon"! "Hâ Dieu! quel
+plaisir! s'écriait le Fouteur: comme Elle a... le Con
+étrait!... le... mouvement... delicieux"! Je Lui dardae ma
+langue, en murmurant, "Mon coeur!.. Mon Roi!... Mon Dieu! je
+t'adore!... "Hâ! la chère Petite Amie! elle est tendre!... Je
+decharge! Je La fous... Hâh!... "Il me fout, mon Père!... Tous
+les Hommes foutent-ils?... Hâh!... Mon Père!... quel
+plaisir!... Mon âme... va sortir par... le trou qu'il me
+fait"!... Je dechargeais, en me roidissant. "Hô! la Petite
+Reine!... s'écria le jeune Procureur: Elle decharge!... Mon
+Pére... donnez La moi pòur Femme; je l'ae depucelée; je
+L'épouse"?.....
+
+"Mon Pére, qui avait ses desseins sur Moí; refusa. Il en
+resulta que le Procureur enragé, s'acharna sur Moi, ét me
+foutit 18 fois... Mon Père fut obligé de l'ôter de sur Moi, ét
+de Le porter chéz Luy; il ne pouvait marcher... Quant à Moi,
+j'étais à-peine fatiguée. Mon Con lavé, rafraîchi, il n'y
+parut plus. Au retour de mon Père, Le voyant tout ému, à la
+vue de mes Tetons, je Lui dis: "Si vous bandéz, satisfaites-vous,
+en me foutant deux ou troìs fois?" O quelle scêne!
+s'écria-t-il: Mais Tu as un Con ét un temperament impayables!
+ils feront notre fortune... Voyons si Tu dechargeras encore:
+foutons"?... En m'enconnaut, il me loua fort de m'être avouée
+sa fille, ét du soufflet donné! "Les Fouteurs dedaignent les
+Foutues; mais ave Toi, ce sera le contraire; je veux te mettre
+audessus de ces Bougres-là! "Je decharge! m'écriae-je. "Et moì
+aussi! repondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois
+fois, ét toujours je dechargeae.. Je lavae, en Lui disant:
+"J'épuiserais dix Hommes". Je Lui recommandae d'instruire mon
+Futur de ce qu'il falait faire, pour m'enconner. Je Lui dardae
+ma langue, ét je partis.
+
+"J'avaís été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon
+Père. Je retournaís chéz ma Marchande. Mais tous les Hommes
+que je rencontrais, me tentaient. "Que les Putains sont
+heureuses! (pensae-je) elles attaquent qui elles veulent"!
+Tout-à-coup une idée me viént: "Alons chéz Guae; je Lui dirae
+de me pomader: Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute". J'y
+volae.
+
+Il était avèc un beau Jeunehomme, qu'il fit cacher, au bruit
+de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae
+me reçut mysterieusement, ét me conduisit dans la Pièce-obscure,
+où je Luy avais vu cacher le Jeunehomme. "Ma Reine!
+ma belle Future (me dit-il), je crois que je pourrae vous
+enfiler aujourdhuy: Ayéz seulement de la complaisance? "Oui!
+mais, pomadéz... Ma Tante... "J'entens.. j'entens"... Je
+sentis qu'il me remettait à une main plüs douce. On me prit
+les Tetons, le Con; On me darda la langue. Je caressae. On me
+troussa. Je fis beau Con. L'On se mit sur Moi, je sentis qu'On
+m'ìnserait un morceau de beurre-fraìs à l'entrée de la vulve,
+ou trou du Con. On poussa. Je ripostae un-peu. L'On entra. Je
+secondae, m'apercevant avec étonnement, qu'On ne me fesait
+presque pas mal. Enfin l'On parvint au fond sans m'avoir
+blessée, ét l'On y dechargea. L'abondance ét la douce chaleur
+du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des
+élans, des transports incroyables! Je m'écriais: "Chër Amant!
+divin Amant... j'expire... de bonheur... ét de volupté... Je
+t'adore"!...
+
+"Le Jeunehomme deconna. Il me suça les Tetons, les Lêvres, me
+fit darder la Langue. Ce que je fis tendrement... Aussitôt Il
+me re-enconna avec fureur. J'eüs autant de plaisir que la
+première fois... Bref, il me recommençait sans-cesse, ét ce
+fut Guae qui Le renvoya: car pour Moi, deja foutue 25 fois
+dans la journée, je crois que j'aurais laìssé aler ces deux
+Hommes jusqu'à 50, si tousdeux avaient pu me Le mettre. Guae
+me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un
+fiacre, pendant que je me lavais le Con. "Hé-bién, ma
+charmante Reine, T'ai-je bién foutue? me dit-il. Je rougis.
+"Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de T'enculer?
+"Hô-non, non! (m'écriae-je avec effroy). "Hé-bién, branle-Moi
+des deux mains, comme te voilà, le cùl dans l'eau". Je branlae
+son Vit, qu'à-peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut
+prêt à venir, il heurlait de plaisir. "Ta bouche? (me disait-il),
+ta bouche... ou je T'encule"? Je decalotai le gland, je
+le pressai de mes lêvres. Le foutre arrive, ét depeur qu'il ne
+tombe dans mes Tetons, j'ouvre la bouche, ét il m'est lancé au
+fond du gosiér. Je l'avale comme un Laìt-de-poule. Il y en eüt
+une chopine: "Foutre! foutre... (s'écriait Guae), je me
+pâme,.. Hâ... celeste Garse... Tu vaux mieux que toute la
+Terre... Est-ce bon? "Ce qui fait tant de plaisir en-bas, doit
+faire du bién en-haut. "Hâ, divine Putain... je T'en
+nourrirae". Le fiacre arrivait; Guae m'y porta.
+
+"On me L'avait mis 37 fois. Le Frère de ma Marchande se trouva
+seul à la maison, lors de mon retour. "Mademoiselle
+Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle pour Moi?... On
+dit que vous aléz vous marier? Vous devriéz bién favoriser un
+Jeunehomme qui vous adore, aux dépens du Futur? C'est Un Veuf,
+Un Laìd... Vous ètes Pucelle, ét si jolie?... Dailleurs, il
+l'a três-gros (dit votre Oncle), ét il vous fera bién mal? Si
+un plûs menu que le sién vous préparait? Voyéz? (Il mit à
+l'àir un vit charmant); c'est un veritable croque-pucelage,
+sans faire mal.... Je sais m'y prendre: Le Mary de ma Soeur èst
+Un Bandàlaîse, ét elle se fait de-temps-en-temps ôter par Moi
+les Aràignées du Bijou". Ce langage me plut, ét son vit me
+tentàit: Je luy repondis, en riant: "Je n'ai pas d'Araignêes à
+ôter". Il vit, à mon àir que je n'étais pas de mauvaise-humeur.
+Il me prit les Tetons. "Finisséz donc, Libertin! (Luy
+dis-je doucement et sans presque Le repousser). Il me prit la
+Motte. "O c'est trop fort, ceci... Vouléz-vous bién finir"!...
+Il était deculoré; il bandait ròide; il me renversa sur le Lit
+de sa Soeur, me retroussa, ét se mit sur Moi tandis que je
+disais nonchalamment: Hé-mais... c'est donc une violence"! ét
+que je me defendais d'une maniére qui me lìvrait. Il me dit:
+"Hâ! celeste Innocente! je vous Le mettrae"!... Il m'enfila.
+Je ripostais, en haussant du cùl, comme pour Le repousser. Il
+n'en dardàit son vit que plüs fort. "Non! (s'écriàit-il en
+dechargeant), il n'êst rién tel que d'enconner
+l'Innocence"!... Cependant cràignant que je ne Me derobasse,
+il Me foutit trois-coups sans deconner, (ce qui fit mes 40
+fois dans la journée), ét ne Me quítta, qu'en entendant du
+Monde.... Je courus Me laver.
+
+"C'était la Marchande. Elle dît à son Frère: "Heureusement que
+c'êst avec Convelouté! Toute-autre aurait sauté le pas,
+Poliçon?... Mais L'as-Tu attaquée? "Oui. En ce cas, Tu dois
+n'en pouvoir plus... Viéns que je Te soulage"? Il y avait
+encore de l'huile dans la Lampe: Le Jeunehomé mit le verrouil,
+nous enfermant ainsi Tous-trois, ét il se jeta sur sa Soeur,
+qu'il enfila d'un seul traìt. Hâ! quels coups-de-cùls elle
+donnait! "Lime (Luy disait-elle)... je decha...arge... Sors
+à-moitié, ét... rentre... vivement... Fous-Moy vingt fois... en
+une"... Je Les voyais. Ranimée par-là, mon insatiable Connôt
+redesiraît un vìt, lorsqu'On frappa doucement. J'ouvris, en
+tirant le verrou plüs doucement encore. J'esperais que ce
+serait le Mari de ma Marchande, qui depuis longtemps brûlait
+de me Le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre
+Pièce. Point-du-tout! C'était un beau Jeunehomme, qui avait
+beaucoup d'air de Celui par quî Guae venait de Me faire
+foutre.
+
+"Mademoiselle (me dit-il), se nomme Agnès-Convelouté? "Oui,
+Monsieur. "Mademoìselle êst la Prétendue de M. Guae? "Mais,
+oui, Monsieur. "Aiméz-vous, fort ce M. Guae? "Monsieur, la
+raison, ét non la passion, fait mon mariage. "En ce cas,
+Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine, en vous revelant
+un secret? "Quel êst-il, Monsieur? "C'êst que tout-à-l'heure,
+vous avéz cru être possedée par votre Futur... "Quel conte
+vous me faites-là, Monsieur? "J'étais présent, mais caché,
+Mademoiselle: son Timon de carrosse ne pouvant vous perforer,
+il m'a vendu votre Pucelage cent Louys, ét c'êst moy qui vous
+ai deflorée... Me préfereriéz-vous? "Ce que vous me dites êst
+impossible, Monsieur! "Cela êst: Il l'a trop gros; On viént de
+vous Le mettre, ét c'ést Moi. (Je le savais bién). "Il n'êst
+qu'un mot à dire, Monsieur: Pouvéz-vous m'épouser?
+"Mademoiselle, je suis marié à une Vieille de 78 ans, qui m'a
+fait ma fortune, ét je suis obligé d'attendre qu'elle soit
+morte. "Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'épouserais M.
+Guae. "Vouléz-vous être ma maîtresse? "Cela ne conviéndrait
+pas. "De son consentement? "Comme vous m'avéz eüe dejà, ét que
+ce soit de son consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il
+ignorât que je le sais... "Hô! de tout mon coeur! Ceci marque
+votre honnêteté... Etes-vous seule? "Non; la Marchande êst là.
+"Pourrais-je vous avoir à coucher? "Hâ-ciel! Je ne saurais
+decoucher que sous le prétexte d'aler veiller mon Père, en Le
+supposant indisposé: Ainsi, cela êst impossible. "J'irae, si
+vous le permettéz, parler tout-unîment à votre Père: Je suis
+riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos
+faveurs, qu'à Un vil Malheureux, comme Guae? "Hé-bién, parléz
+à mon Père. "Je reviéndrae vous chercher, s'il m'accorde ma
+demande? "Mais ne revenéz pas seul: Je veux voir Quelqu'un à
+Luy, ét que je connaisse? "Vous seréz tranquilisée".
+
+Il ala chéz mon Père: Il luy raconta comment Guae n'ayant pu
+me depuceler, Lui avait vendu mon Pucelage cent Louys, en
+quatre seances, vingtcinq Louys par chaqu'une, dont la
+première était payée: Qu'il m'avait enconnée, en me pomadant.
+ét qu'il avait trouvé mon Bijou si delicieux, si satiné, qu'il
+n'en voulait plus d'autre; Qu'il m'avait demandé de coucher
+avec Moy, ét que c'était par mon conseil, qu'il s'adressait à
+Luy. Il offrit ensuite les 75 Louys restans pour les trois
+nuits suivantes. Mon Père repondit: "Puisque Guae a voulu être
+cócu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiéz icy avec ma
+Fille, si vous avéz cueilli sa Rose; ce qu'elle me dira. Aléz
+La chercher, avec un Billet, par lequel je vais La demander".
+Et il écrivit. Puis il accompagna le Galánt jusqu'à la porte
+de ma Marchande, que son Frère foutait encore.
+
+"Cependant je M'amusais à voir conniller le Frère ét la Soeur.
+J'étais en feu, quand le Jeunehomme reparut, avec le Billet de
+mon Père: je vis par la fenêtre, Celui-cì quì nous attendait
+dans le carrosse de mon Depuceleur prétendu. Je partis, en
+avertissant que j'alais veiller mon Père malade- A notre
+arrivée, le Galant pàya un heau soupér, ét remit vingtcinq
+écus-d'or à mon Père. On mangea; On but; puis je fus mise au
+Lit. Le Jeunehomme exigea que mon Père me deshabillât, ét me
+lavât la Motte. S'étant ensuite Lui-même mis nu, en un
+instànt, il entra dans une chemise, fort large, ét qu'il avait
+apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon Père, pour
+qu'il Lui mît le vit dans le trou de mon Con; puis il
+poussa... Il eüt autant de peine que chéz Guae (ce qui
+m'étonna Moi-même!) Aussi dit-il: "Elle a reellement le Connin
+étroit: Elle se repucelerait en huit jours, si On La laissait
+tranquile". Il me foutit six coups; mon Père, couché à-côté de
+nous, Lui mettant tonjours le vit dans mon Con. Il s'endormit
+ensuite, ét Moy aussi.
+
+"Le lendemain-matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui Me
+refit. Je refusae la voiture pour retourner chéz ma Marchande.
+On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï-dire, que le
+foutre avalé chaud, était excellent pour la poitrine,
+fortifiait, ét blanchissait le teint. Je voulais aler en
+avaler ma chopine en suçant le Vit de Guae. J'y courus, dês
+que je me vis libre. Il alait sortir. "Je viéns vous donner du
+plaisir (Luy dis-je), mais sans en prendre: vous m'avéz trop
+fatiguée hiër". Alons, ma Toute-belle, que faut-il faire? Vous
+enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous
+enoreiller, vous encoller, vous entetonner, vous decharger sur
+le nombril, me faire serrer le Vit entre vos deux mollets,
+faire un Con de votre solliér, ou de votre jolie mule: Tout,
+je ferae tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parceque
+nous sommes, vous trop belle, ét Moi trop beau"? Aulieu de
+repondre à ce Langage, qui était de l'Arabe pour Moy, j'avais
+deboutonné sa culote, ét je Le branlais d'une main, ét
+chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se
+recriait de plaisir; "Déesse!... Sacrée Garse!... Divine
+Putain!... Branle!... branle!... Chatouille! chatouille les
+couilles?... Hô! hô! quelles delices!... Bougresse!...
+Gueuse!... Putain!... Divinité! le foutre... viént"!... A ce
+mot, j'embouchae le gros Vit, le palpotant de ma Languè ét du
+Palaìs. Ce fut àlors que Guae en delire blasphêma; "Foutu
+Dieu! Bougre de Dieu! Sacré Con de la Vierge Marie! Con de la
+Magdelène connillé par Jesus! Con de Sainte Thècle, de Sainte
+Theodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cecile, d'Agnès-Sorel,
+de Marion-Delorme, de Ninon, de La-Daubigné, de La-Vallière,
+de La-Pompadour, de La Duté, de La Lange, de La
+jolie Mars, de l'adorable et provocante Mèzéray, de la jeune
+et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valéz pas...
+cette Bouche-là... Je fou..ou..ous... Je.. decha..a..arge!...
+Ava..ale!... gorge-Toi de foutre, ma Reine"! Il deboucha
+vivement, quoique je Luy suçasse encore lé Vit. "C'êst trop de
+plaisir! (dit-il); On mourrait". Il me fit prendre quelques
+cuillerées de café. pour me rincer la bouché. Puis je me remis
+à Le branler. Il me suça les Tetons, me fit Luy darder ma
+Langue, ét voulut me gamahucher. Je m'y refusae, devant être
+foutue le soir.... Il rebandait. Je secouai, je chatouillai;
+le foutre revint, ét j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eüt
+lieu trois fois de-suite. Le manque de temps nous obligea seul
+de nous separer.
+
+"Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, ét me
+conduisit chéz mon Père. On y soupa, coucha ét foutit comme la
+veille. Le lendemain, après le chocolat, j'alai faire mon
+déjeûner de foutre chéz Guae. J'en pris quatre doses...
+De-retour chéz ma Marchande, son Mary. sans-doute instruit par le
+Frère de sa Femme, voulut me le mettre. Je m'y refusae
+absolument. Il s'en plaignit à sa Femme, qui m'en fit des
+reproches. Mais Luy ayant dit que mon Prétendu me l'avait mis
+six fois, en gardant mon Père avec Moi, elle fit mes excuses à
+son Mary, en Le priant d'attendre son tour.
+
+"Le soir, On vint me prendre. Mad. Viédase ma Marchande, Me
+dit à l'oreille: "Tâche de ne pas être foutue; afin que mon
+Mary puisse Te le mettre demain? il s'en meurt"?... Je trouvae
+mon Amant chéz mon Père. En soupant, On parla de Guae, Mon
+Amanr dit, qu'ayant été enconnée devant Luy, je ne devais pas
+redouter la grossesse. "C'êst pourquoi (ajouta-t-il,
+j'enfourne à plein Con, ét decharge au fond. "Je vous mets le
+vit dans le Connin de ma Fille avec plaisir (dit mon Père);
+afin de mieux cocufier ce Jean-foutre de Guae, qui vous a
+vendu son Pucelage. "C'êst ce qui me met aussi en fureur
+érotique, quand jé fous sa Future (reprìt mon Galant): Je
+pense: Encore une corne à ce bougre de Guae... ét je me trouve
+intarissable... Il m'a même passé une idée par la tête: C'êIt
+de vous donner à chaqu'un 50 Louys, pour que vous foutiéz
+ensemble tous-deux; pour que le Mâtin soit recocu, ét surcocu?
+"Top! (s'écria mon Père); àprès votre affaire faite. Vous me
+mettréz le vit dans le Con de ma Fille... "Non! non!
+(m'êcriai-je). "Vous me La tiéndréz, si elle recalcitre. "Je
+n'ai pas ces idées (Leur dis-je): Si je remue du cùl, comme je
+le fais, àlors que mon Amant Me fout, c'êst que je l'aime:
+Qüant à M. Guae, je Luy dois beaucoup de reconnaissance! il
+êst ma Nourrice, ét c'êst Luy que je téte". On ne comprit pas
+le sens de ce mot. On Me coucha.
+
+"Au Lit, mon Amant me foutit six fois. A la sixiême, mon
+Fouteur dit à mon Père: "Mets-Toy sur ta Fille. ét fous.La: Je
+vais T'introduire le vit"? Mon Pére me grimpa, le Jeunehomme
+Luy mit le vit dans mon con, ét il poussa. Comme j'étais
+amoureuse de Luy plûsque de tout autre Homme, je remuai de la
+charnière, comme Une Princesse foutant avec un Page... Le
+Jeunehomme ranimé, entra dans un tel érotisme, en nous voyant
+decharger, qu'il nous fit mettre sur le côté, èt il m'encula,
+tout enconnée que j'étais... J'alai laver, ét nous dormîmes.
+
+Le matin, au dejeûnér, le Jeunehomme paraissait yvre de joye!
+"Hâ! qu'il êst cocu, le Bougre! (s'écriait-il.)... Bonhomme,
+voilà un effet de cent Louys: Il faudra que Tu La foutes,
+àprês le Mariage, ét il y aura vingtcìnq Louys à chaque fois".
+Il partit, ét je courus chéz Guae, que je commençais à aimer
+presque autant que mon Père.
+
+"Il Me reçut avec transport, Me traìtant de divine Garse, de
+celeste Putain... Il M'alaita de foutre six copieuses fòis. Ce
+qui me mit dans un tel érotisme, que je retournai chéz mon
+Père: "Ton Procureur? (Luy dis-je essoufflée): Il doit être
+remis, depuis l'autre jour? Je brûle... Cours-y, si Tu
+M'aimes". Il y vola, en M'appelant, Cleopâtre! Clepâtre!... Il
+trouva le Jeune Procureur à la fenêtre, son vit bandant à la
+main. "Je viéns de voir entrer votre Fille (Luy dit-il), ét
+j'alaìs Me branler à son intention. "Gardéz-vous en bién!
+Apportéz un petit présent, ét venéz le Luy mettre? "Vingtcinq
+Louis? "C'êst trop pour une Pratique: Un Louys par coup.
+"Soit: mais je n'en remettrai pas: Elle gâgnera peutêtre la
+somme". Il vint avec Moi. En entrant, il jeta la bourse sur le
+piéd du Lit. "Alons, ma Fille (Me dit mon Père), Tu ês à tes
+pièces; autant de coups foutus, autant de Louys: Mais il ne
+faut pas tuer Un Amy! Il alait se branler à ton intention,
+quand je suis entré". A ce mot, je Me jetai à son cou, ét Luy
+dardai ma langue) en dîsant: "Chër! Chër Amy! "Hâ je T'adore i
+(Me repondit-il). Et il Me prit les Tetons, le Con. Je Me
+renversai. Il se mit sur Moi. Je Me fourai son vit dans le
+Con, ét en quatre coups de cùl, je Le mis au fond. Il
+dechargea, en Me sentant émettre... Il Me foutit dix coups.
+"J'ai quinze Louys à-compte (Luy dit mon Père, en Le voyant
+laver ét se reculoter: Vous reviendréz quad il vous plaîra".
+
+"Nous en étions à l'avantveille du Mariage. Tous les matins,
+Guae m'avait alaitée, ou plütôt affoutrée; ce qui M'avait
+rendu la peau plüs blanche, le teint plüs brìllant, le Con
+plüs satiné, ét me donnait un temperament si violent, que je
+n'étais à Mon aise, qu'un VIT au CON. Le Jeunehomme dit, en
+dejeûnant: "Guae doit être surpris de ne pas Me revoir! Cela
+pourrait faire tort dans son idée, au Con de ma belle
+Fouteuse: Ainsi, je veux Luy acheter la première nuit de sa
+Mariée, puisque l'impayable Agnès veut absolument l'épouser.
+(Je le Luy avàis dit, en foutant). Mon Père applaudit. Mais en
+Me reconduisant chéz Guae, que j'alàis teter, ce bon Père
+ajouta: "Tu n'ês pas une Mariée ordinaire: ce qui éteindràit
+la soìf d'Une-autre, n'êt qu'une goutte de foutre, pour Toy:
+J'ai une idée, C'ést de M'arranger à Te regaler, aprèsdemain,
+en Te Le fesant mettre jusqu'à extinction de forces, par
+Tous-ceux qui T'ont foutue; Moy dàbord; Ton Oncle; Ton Procureur;
+le Frère de Ta Marchande, ét peutêtre son Mary: S'il se trouve
+quelques nouveaux Bougres, ils T'enculeront, sous prétexte de
+reserver Ton Pucelage à Ton Epoux: c'êst un delice que
+d'enculer une Mariée, le jour de ses noces, ét ils le pàyeront
+bién. Je M'arrangerai avec Guae pour tout-cela". Nous
+arrivions. J'embrassai mon Père transportée de reconnaissance,
+en Le priant de tâcher de Me suivre secrêtement, pour Me voir
+teter. J'entrai, puìs je L'introduisis.
+
+"Guae courut à Moy, en se deculotant. Il Me baisa dabord pied,
+jambe, cùl, con ét Tetons: Il Me fit ensuite Luy darder ma
+langue; àprês quoy, il Me mit son Vit en main. Je Le secouais
+vivement, lorsqu'il Me dit: "Garse, je suis raisonnable: Je ne
+T'enconne pas; il faut que Ton Père ét Ton Oncle te foutent le
+jour du Mariage: Je T'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits
+frais, dont celuy qui T'a depucelée sera Un... Hâ! l'idée que
+Ton Père T'enconne va Me faire Te decharger une pinte de
+foutre, ét Te l'entonner dans le gosiér"... Alons, Garse, je
+sens que ça viént: embouche-Moi le Vit... Hâ-hâ-hâ... le
+Bou...ougre fout... sa Fille... Ton Père Te fout, Garse! Te
+fout, Putain... Hâ! je decharge, à cette divine Idée!...
+Hónh"!... Il se pâma presque... Pendant l'interruption forcée,
+j'alai prendre Mon Père à sa cachette: "Fous-Moy, Luy dis-je;
+puisqu'il le faut pour le bonheur de Mon chër Prétendu! "Hâ!
+Deesse! (s'écria Guae, en se précipìtant à genoux, Tu incestue
+pour Moy! je T'adorerai toute ma vie"... Il intromit le vit
+paternel. Remue du cùl! (Me criàit-il), saccade! "Je
+de..cha..arge (Luy dis-je)... Viéns, chër Amy.. que je Te
+branle"? Guae blasphêmaìt de plaisir, en sentant venir le
+foutre... Il M'emboucha, sans que Mon Père me quittât, ét
+en-même.temps, j'avalai du foutre, j'en reçus dans le Con, ét
+j'en donnai. Mon Père Me foutit quatre coups, èt Guae M'avàit
+embouchée quatre fois, quand On frappa. Guae courut ouvrir,
+tandis que je Me rinçaìs bouche ét con. C'était mon Oncle.
+"Vous arrivéz à point (Luy dit-il): On essàye Ma Future, ét
+vous aléz L'essàyer". Mon Père expliqua la chose; Guae Me
+renversa sur le foutoir, ét mon Oncle M'enconna. Il Me foutit
+six coups, je tetai six nouvelles foìs le VIT de Guae; aprês
+quoy, On Me làîssa respirer. Il fut ensuite convenu, que douze
+Fouteurs me passeràìent sur le corps le jour de mon Mariage,
+en con ou en cùl, à mon choix, ét que Guae, qui seul auràìt la
+bouche, Me feràit foutre la nuit, ét dans l'obscurité, par
+trois VITS nouveaux de son choix. Mon Oncle emerveillé,
+s'écria: "Mais elle sera Putain? "C'êst ce qu'il Me faut, pour
+que je l'adore.... Et ne vous en faîtes faute, ny son Père, ny
+vous; puisque vous seréz les seuls qui ne payeréz pas". En
+achevant ces Mots, il se prosterna devant Moy, en Me traîtant
+de Deesse.
+
+"Je retournai chéz ma Marchande. Son Mary, ét elle-même Me
+tourmentaient, pour que le Premiér M'eût une seule foìs avant
+Mariage. Ils Me pressèrent plüs fort que jamaîs; ét je cédai.
+La Femme Me mit dans le con le VIT de son Mary. Je ne fus
+foutue qu'une fois, cet Homme étant faible, ét sa Femme le
+voulant être après Moy. Ce fut de ma main, qu'elle regut dans
+son Con brûlant le VIT Marital..... Cette operation faite, ét
+repetée, je Les quittais, en Leur disant Adieu. Ils
+pleuraient: "Ce qui Me console de ta perte (Me disait ma
+Marchande), c'est que mon chër Mary T'a foutue... Ta
+voluptueuse idée Me lé fera mettre plüs souvent". Je partais,
+quand le Frère entra. Sa Soeur Luy dit ce qui venait de se
+passer. Il ne repondit rién: Mais il Me ramena du-côté du Lit,
+M'y renversa, ét Me foutit devant eux, sans prononcer une
+parole. Il voulait Me recomencer. Je M'y refusai, en
+L'invitant, ainsi que son Beaufrère, à venir Me le mettre le
+surlendemain jour de mon Mariage. On Me remercia.
+
+
+
+
+XXXVI Chapitre.
+
+Chap. De l'Homme-Poilu, la Convelouté, Linars &c.
+
+
+"A mon arrivée chéz mon Père, je Luy con-racontai Tout ce que
+je venais de faire. "Il ne faut pas (Me dit-il), quand On a
+tant d'ouvrage pàyé, en faire qui ne rapporte rién. Il viént
+de M'arriver Un Homme d'asséz agreable figure, três-vigoureux,
+car il êst brun ét tout poilu, qui offre une forte somme, pour
+t'avoir cette Nuyt? "Que rién ne vous empêche de Le prendre!
+(repondis-je en souriant): Je ne suis pas fatiguée par si peu
+de chose".
+
+"Mon Père rassuré Me fit deshabiller nue, prendre un bain
+tiéde, puis un froid, mettre au Lit, avec une chemise large;
+Me fit avaler un excellent consommé: ensuite il Me laissa
+dormir. Il était àlors 5 heures du soir. A minuit, je
+M'éveillai, en Me sentant lècher le con. Je priai l'Homme de
+se montrer? Il leva la tète, et je vis un Basané d'une fort
+belle figure. Je souris. Il Me suça les Térons, en Me disant
+des choses agreables: "Vous avéz un beau Con... une superbe
+Motte... un Ventre de Pucelle... un Cùl d'albâtre... des
+Tétons blancs comme neige.... un col degagé... des lêvres
+voluptueuses... de belles dents... les plüs beaux ieux... les
+cils, les sourcils ét les cheveux comme la Deesse de la
+Beauté... la jambe parfaite... le pied le mieux fait... Quand
+je vous aurai foutue, je vous dirai le reste".
+
+"Mon Père Me dit de Me lever pour souper. Le Basané Me porta
+toute-nue dans ses bras auprês du feu: Là, je vis Guae avec
+grande surprise! Je mis mon corpset souple; Fysitère (le
+Basané) Me laça, Me priant de bién faire refluer mes Tetons.
+Mon Père Me chaussa une Jambe ét un Piéd, Guae l'autre Jambe
+ét l'autre Piéd, en bas ét en solliérs de soye d'une
+éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon Fouteur voulut
+que je restasse les Tetons decouverts. Nous soupâmes. J'avaís
+appêtit, Le Basané but ét mangea comme Un Hercule. En sortant
+de table, il dit à mon Père ét à mon Futur: "Vous ne M'avéz
+pas trompé; Elle êst audessus de vos éloges. Sí l'interieur du
+Con ressemble à l'exterieur, Elle êst à Moy, coûte qui coûte.
+"Voyons votre Vit (repondit Guae).... Elle ne sera que trop
+parfaite!... Voici le mién; ét vous savez que je n'ai pu
+l'enconner, puisque c'êst ce qui vous a fait parler à M.
+Convelouté mon beaupère. "Je verrai si Elle a le merite de ce
+beau nom... Mais vous avéz un Vit épouvantable, M. Guae!...
+Empoignéz-le, la Belle, que je voye comme il êst bién
+bandant"? Je saisis le Vit de Guae, qui se recria de
+plaisir... "Je bande (reprit Fysitère): Mais faites bander
+votre Père, ét comparons". Je Luy prîs cependant le Membre,
+qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite.
+Guae l'avait le triple de l'Homme-velu, qui Luy-même était le
+double de mon Père. "Je voudrais Luy dire un mot"? (demanda
+Guae furieux de luxure). Il Me poussa vërs une fenêtre. Me
+cacha derrière le rideau, et me dechargea dans la bouche. Mon
+Pére seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour Moy, je
+fus singulièrement fortifiée par cette bavaroise! Je
+brûlais... Aussi, je fus ravîe, lorsque Fysitère dit: "Il faut
+dabord que je la foute habillée". Il Me porta sur le piéd du
+Lit, ôta ses culores, ét nous laissa voir un corps velu, comme
+celuy d'un Singe. Il me fit Luy prendre son braquemart, ét Me
+dit: "Introduis-moi cela dans le trou de ton con, ét tève du
+cùl come il faut, à chaque fois que je pousserai". Je
+M'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri: car il Me
+dechirait, étant plüs gros que mon Oncle, ét que tous les vits
+qui M'avaient foutue. "Ce n'est rién (Me disait-il): je te
+deflore... je te depucèle: Remue du cùl". Je remuais de mon
+mieux, tout en soupirant, ét Luy rendant en coups de cùl, tous
+ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes Luy
+pincèrent la tête du gland. Il heurla de volupté. "Garse
+adorable! (s'écriait-il), ton Con satiné pince le vit! Ta
+fortune est faite, ainsi que celle de ton Père ét du Futur,
+qui t'ont vendue à Moi!... Alons, fous bién"!... Je remuai, je
+tortillai du cùl, je soubresautai, de la manière dont Me le
+disaient mon Père, ét Guae Luy-même. "Je suis ravi! (s'écriait
+le Basané): Elle decharge!... Hâ! Elle me fera un petit
+Bougre-à-queûe!.... Il dit à mon Futur: "Viens-ça, Jean-foutre:
+Passe-moi la main sous le croupion, ét chatòuille-moi
+d'une main ce que tu y trouveras, ét les couiiles de l'autre"?
+Guae obéït. J'ai su depuis qu'au croupion, le Basané avait une
+queûe, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps,
+ét que ce fut cette queûe que mon Futur chatouilla).... "Je ne
+quite pas d'une heure ce con celeste! (disait l'Homme-à-queûe,
+en Me saccadant): chatouille, chatouille, Bougre! les couilles
+ét ma queûe"! Il dechargea six fois, sans deconner... Je
+demandai àlors à laver. Mon Futur M'épongea le con, ét Me le
+baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon Père Me suça les Tetons.
+Guae dit au Basané: "Elle êst à vous: Mais je bande comme un
+Carme: permettéz que je L'encule?... "L'enculer, non; c'êst du
+foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'Elle Me
+fasse un Petit-à-queûe: Mais si Elle avalait le foutre, comme
+j'ai vu certaines Femmes temperamenteuses, je consentirais que
+tu l'embouchasses". A ce mot, je saisis le Vit de mon Futur,
+ét je l'aurais avalé, s'il n'avait pas eté si gros. Il me
+dechargea au fond du gosiér, en rugissant, ét le foutre Me
+descendit bouillonnant dans l'estomac. "Hâ! Elle aime le
+foutre! (s'écria le Basane); Elle a toutes les perfections!...
+Et Elle sera aussi longtemps belle, que feconde!..... Alons,
+Papa, embouche-la aussi: De tous les foutres, le paternel est
+le meilleur". Je Me jetai sur mon Père, Le renversai sur le
+Lit, saisit son vit bandant, que je fis aler ét venir dans ma
+bouche, jusqu'à ce qu'il dechargeât. Je suçai son foutre avec
+delices... "Bon! (s'écria le Poilu); Elle est dans les bons
+principes; Elle est impayable"! Le Basané Me deshabillait, Me
+dechaussait: Mon Père ét Guae Luy aîdaient. Je fus mise nue,
+patinée, baisée du haut-en-bas, tandis que je Me rinçais la
+bouche: On Me passa la grande chemise; l'Homme-à-queûe velu ét
+tout-nu, y entra, Me suça les Tetons, Me fit Luy darder la
+Langue, puis dit à mon Futur de Luy intromettre le vit dans
+mon Con.
+
+"Le Basané Me foutit six nouveaux coups, sans deconner. Je Me
+sentis fatiguée: Je voulus laver. Je restai une heure sur le
+bidet le Con dans l'eau. Le Basané qui, pendant tout ce emps-là
+s'était amusé à faire bander Guae, ét à Luy faire Me
+decharger trois fois dans la bouche, M'appela, en Me disant:
+"Tu es asséz rafraîchie; reviéns sur le foutoir, que je te
+donne le bouquet"? Il se le fit introduire par mon Père; qui
+Me dit: "Courage, mon Enfant! Voicy un Fouteur qui en vaut
+dix: Mais je tâcherai de Te faire soulager, si cela continue".
+Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence,
+que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le Basané dit, que
+le bouquet etait te double des autres assauts. "Hé! combién
+donc l'aléz-vous foutre de coups? (Luy demanda mon Père).
+"Vingtquatre est ma dose. "C'êt trop, ét Elle ne ferait pas
+d'Enfans: Elle a une Cadete, aussi jolie que l'Aînée est
+belle; je vous La donnerai, pour soulager sa Soeur? "Je
+l'accepte! (s'écria Fysitère): Et il m'en faudra bién
+d'Autres! car je ne les fout plus, dês qu'Elles sont plèínes,
+ni pendant qu'Elles alaitent leurs petits. La jeune Garse
+est-elle là? (Or il Me foutait toujours).. "Non: Vous ne pouvéz
+l'avoir que demain-soir. "En ce cas, j'achève de foutre Celle-ci
+mes 24 coups: Je déconne; qu'elle lave; Elle n'en a plus
+que cinq. Si son Futur se trouve en état, qu'il luy donne à
+teter du foutre cela la fortifiera"? Aussitôt Guae M'apporta
+ses couilles à chatouiller, ét son Vit à branler. Je M'en
+aquittai si bién, qu'il hennit aubout de quelques minutes, ét
+qu'à-peine eüs-je embouché son Vit, qu'Il dechargea, en
+sacrant. "Elle a toutes les qualités... Elle est parfaite!
+(s'écriait le Poilu, en Me re-enconnant): Si sa petite Soeur la
+vaut, ce sont deux connins impayables"! Il acheva de Me foutre
+cinq foîs, sans deconner. Je puis Me rendre le temoignage, que
+je dechargeai, à chaque assaut, plütôt deux ét trois-fois
+qu'une: Aussi Fysitère en était-il émerveillé! ét Me nommait-il
+la seule Fouteuse digne de luy. Mon Père Luy dit alors: "Cé
+ne sera pas encore asséz de ma Cadete: Mais j'ai votre
+affaire: Il Me reste une Nièce Religieuse, qui a des vapeurs
+hysteriques; je vous La donnerai, pour reposer mes Filles? "Je
+leur ferai à Toutes-trois 12 mille francs de rentes (repondit
+le Basané). Amenéz-les moi chaque soir, demain excepté, que
+j'ai à fourgonner une grande Blonde, qui a ouì parler de moy,
+ét qui veut en tâter. Il s'en-ala.
+
+"Cette scêne changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midy,
+qu'On M'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaye.
+Ma Soeur y était, ainsi que ma Cousine la Carmelite hysterique,
+mon Père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyén d'une
+permission de prendre les Eaux, qu'Il sollicitait depuis
+long-temps. J'eüs reellement pitié du Connichon de ma Soeur
+Doucette, ét je resolus de le voir dans la journée. Mon Père
+Me le montra, ét le gamahucha devant Moy, en allegant le motif
+de prévenir une maladie. Hâ! qu'il étaît mignon!... Je
+l'aurais gamahuché, à mon tour. sans ma coîfure d'Epousée, car
+son joly petit Foutre virginal Me tentait... Notre Père La
+prévint qu'il falait qu'Elle Me soulageât la nuit de mes
+noces, ét l'aimable Enfant y consentit avec naïveté. Je vis
+aussi le Con de ma Cousine la Carmelite, ou la belle Victoire-Londò.
+Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe
+perruque noire. Elle entra en fureur érotique dês qu'On le Luy
+eüt touché du bout du doigt, ét mon pauvre Père fut obligé de
+le Luy mettre devant ma Soeur, ét devant Moy. Ce qui ne La
+calma que pour un instant. Nous appelames mon Oncle, qui La
+foutit trois fois. Puis le Jeunehomme fut introduit. Ensuite
+le Procureur. Tous ceux qui devaient Me le mettre ce jour-là.
+Les Enculeurs vinrent aprês. Elle fut foutue, refoutue,
+enculée, re-enculée, ét calmée. Mais On n'appela pas M. Guae;
+j'en étais jalouse... Pendant ce temps-là, mon Père branlait
+ma Soeur; l'enculage de la Religieuse Le fit entrer dans une
+telle érection, qu'il La poussa dans un cabinet, où je Les
+suìvis, La renversa, et La depucela. J'insérai le vit paternel
+dans le joly Connin, en disant à Doucète, que c'était une
+ponction necessaire.
+
+"On lavait la Religieuse. M'étant aperçue que Guae la
+convoitait, je Luy temoignai une jalousie qui le flata. Il Me
+promit de reserver son foutre azuré, ét son gros Vit pour ma
+bouche, en attendant que les Enfans M'eüssent élargi le Con.
+"Mais vous m'aviéz vendue )Luy dis-je), avant de m'avoir
+livrée à l'Homme velu, pour être foutue ét enculée ma nuit des
+noces: Combién de Fouteurs ét d'Enculeurs devais-je avoir?
+"Six, à 2 mille écus chaqu'un. "Vous voyéz que je n'ai besoin
+que de repos: Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie
+somme: Vous avéz demandé le silence ét l'obscurité? "Ouy, ma
+Reyne adorée: Je ne me suis engagé qu'à te faire voir toute-nue
+sans chemise, comme en jouant avec Toy, nu aussi, dans la
+chambre. Au-reste, le silence ét l'obscurité sant essenciels,
+puisqu'ils eüssent passé pour Moy. Les six Bougres placés
+chaqu'un dans une chambre separée, devaient répàître leurs
+regards de tes charmes, ét t'esperer chaqu'un comme possesseur
+unique, à un signal donné. "Tout-cela se fera. Je serai
+remplacée par 3 Persones. Nous donnerons le plüs delicat ét le
+plüs petit vit à ma Soeur: Le plüs vigoureux ét le plüs brutal
+à la Carmelite: Je vaîs vous avoir ma Marchande, qui ne
+demandera pas mieux que d'être foutue, sans être compromise.
+Vous arrangeréz tout, pour qu'elles reçóivent chaqu'une deux
+Hommes; ce qui sera d'autant plüs facile, que vous n'auréz que
+les Hommes à tromper: ce qui sera facile". Guae admira mon
+entente ét mon économie! Il Me promit une soumission entière à
+mes ordres, ét Me demanda la permission d'appeler ma Soeur, ou
+la Religieuse, pour Le branler. Je Les appelai Toutes-deux. Je
+dis à la Carmelite, en Luy decouvrant les Tetons, de prendre
+le Vit ét les couilles de mon Mary. Je mis ensuite ma Soeur en
+position, troussée jusqu'audessus des reins, ét comme Elle
+avait le plüs joly cùl du monde, Elle montra le derrière. Je
+Me mis à côté d'Elle, troussé de-méme, je montrai le devant.
+Guae chatouillé par une main douce, ét jouissant d'une triple
+perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de
+la Religieuse, ne tarda pas à hennir de plaisir. Biéntôt il
+entra en fureur, ét il alait enconner la Religieuse, si je ne
+Luy avais sauté sur le Vit, que j'embouchai. Il Me dechargea
+dans le gosiér, en rugissant. Nous sortimes Tous-quatre, pour
+aler danser, ét ma Soeur, ma Cousine ét Moy nous fumes reçues
+avec transport.
+
+"Mes 6 Fouteurs pour la nuit suivante, étaient de la noce:
+Guae qui se fût bién gardé de Me Les montrer, si j'avais dû
+Les avoir, s'en fit une fête, quand ce furent d'Autres qu'On
+Leur alait livrer. Il Me Les designa. C'étaient 6 Monstres de
+laìdeur. Guae trouva le moyén de Les faire mettre nue
+successivement dans une Pièce isolée, sous le prétexte de Les
+froter d'un baume fortifiant. Le Premiér était un squelete
+decharné, ayant le vit comme mon Père. Il avait un long néz
+qui touchalt à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des
+verrues noires sur le corps. Je te reservai pour ma Soeur,
+à-cause de son vit, n'esperant pas mieux. Il se nommait Widewit.
+
+"Le Second était un gros petit Homme, três-ventru, ayant le
+vit de mon Oncle, la peau comme une Ecrevice cuite, pour néz
+une grosse bèterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée,
+ét les lèvres hâlées, gersées des gros Mangeurs. Ce fut le
+second de Doucette, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait
+en russe Wiwitencoff de-la-Cowilardière.
+
+"Le Troisième était fait come un Héron ét un Dromadaire: Il
+était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur
+ses épaules une colline en cône aigü; son visage était noir ét
+sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes
+que par d'énorme genoux: Tout ce qui manquait à ces parties se
+retrouvait dans son Vit, plüs gros que celui de notre
+Homme-à-queûe, ét moins que le double Wit de Gwae. Je destinai
+Towtenwit à ma Marchande, qui était chaude, large ét sterile.
+
+"Le Quatrième etait un gros Marchand de bléd, aussi large que
+haut, tout noir, tout bourgeanné, ayant quelques livres de
+cowilles, ét un vit trèslong, gros comme celui de mon Oncle.
+Je destinai Witplongeardow à ma Cousine, à-cause de ses
+couilles.
+
+"Le Cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de
+Crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit
+come Gwae (il devait m'enculer, de convention faite): Son
+regard était affreux, sa bouche degoûtante, ét son néz encore
+plûs: Witcrwel fut voué au large Con de ma Marchande.
+
+"Le sixième ét derniér était grand, voûté, noir, bancroche,
+roux, chassieux; il avait un wit à bourelet, tant il était
+long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour
+m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente Cousine.
+
+"Le soir arrivé, l'On Me mit au Lit, ét chaqu'un des six
+Monstres crut qu'il alait avoir le plaisir d'être mon
+bourreau. Guae Me conduisit dans la chambre nuptiale, ét parut
+Me mettre au Lit: Mais il nous disrribua dans quatre Pieces,
+ét les lumières furent exactement retirées. Quant à Moy,
+j'étàis restée debout, fesaut à chaqu'une des Lieutenantes de
+mon Con, le portrait ét l'éloge du beau Jeunehomme qu'elles
+alaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en
+conscience de Leur donner des plaìsirs imaginaires, à defaut
+de la realité. "Ma Toute-belle! (dis-je à ma Soeur), avec quel
+plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le
+jeunehomme charmant, qui doit froisser. tes appas? C'est un
+Sylphe; c'est un Amour"..... J'alai ensuite à la Religieuse:
+"Tu vas sentir le difference de la couchète de ta cellule, au
+lit d'un Nouvelle-mariée, ma chaude Cousine: Un Bel-homme, un
+gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer
+pour Moy"... Je me rendis ensuite auprês de ma Marchande;
+"Vous aléz être rassasiée de ce que vous aiméz tant, mon
+aimable Maitresse: Un Jeunehomme superbe, ét... peutètre deux,
+qui me desirent avèc emportement, vont me le mettre dans votre
+Con brûlant, jusqu'à-extinction de forces. Les Vits sont gros!
+ainsi faites-vous pomader comme une Pucelle, ét remuéz du cùl,
+pour avaler plüs vîte ces énormes morceaux"... Ma Marchande me
+remercia, en me priant de La mettre promptement aux prises. Je
+courus Luy chercher Toutenwit, le Troisiême... Mais je vais
+mettre de l'ordre dans mes recits.
+
+"Guae m'attendait. Dês que je parus, il me fit parler, ét
+conduisit par la main Wìdewit, le premiér Monstre, auprês de
+ma Soeur. "Mon chër Mary (dis-je doucement, la tête appuyée sur
+l'oreiller de Celle-cy), menagéz-moy? "Oui, oui; mais ne parle
+pas: j'ai decouvert que toute la Noce nous écoutait, à-cause
+de mon gros Vit"..... Durant ce court Dialogue, Witdewit,
+deshabillé d'avance, fourageait deja ma Soeur. Guae par mes
+ordres, prit ensuite Witplongeardow le Quatriême, ét Le
+conduisit, avec les mêmes précautions, auprês de la
+Religieuse: Je parlai sur son oreillér... Towtenwit le
+Troisiême, fut le lot de ma Marchande. Les 3 Autres avaient
+rendéz-vous quelques heures plütard.. Il faut à-présent donner
+chaque scêne particulière, en 6 Tableaux de la NUIT DE LA
+MARIEE
+
+
+
+
+XXXVII Chapitre.
+
+Chap. Des six Fouteurs pour troìs Foutues.
+
+
+"Hâpée par le Monstre, Qu'elle croyait un Ange, ma timide Soeur
+soupirait. J'entendais qu'On la gamahuchait, qu'elle
+dechargeait. "Je me meurs! (murmura-t-elle). "Comme tu as la
+voix douce, belle Mariée! (luy dit Widewit bién bas). Et
+aussitôt il grimpa sur elle, ét l'enconna. La pauvre Petite,
+quoique depucelée, fit un cri! Je parlai pour la deguiser. Le
+vieux Monstre la menageait ét la caressait. Elle le secondait
+de tout son pouvoir, ét redechargea. Grâces à moi, elle avait
+lé même plaisir que si elle eût foutu avec Un beau Garson....
+La voyant bién enfilée, j'alai à la Religieuse.
+
+"Witplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet:
+je m'en doutai aux gemissemens de la pauvre Martyre. Je le dis
+à Guae, qui le desarçonna, ét luy donva quelquec soufflets.
+J'entendis qu'il luy disait bién bas: "Bougre! vas-tu
+m'estropier ma Femme? Ton bovrrelet"? Le Fouteur le prit, ét
+la Foutue n'eüt plus que du plaisir.
+
+"Je courus à ma Marchande, que Toutenwit ne pouvait enconner
+par maladresse. Je mis la tête sur l'oreillér, ét je dis en
+soupirant: "Priéz donc mon Père de vous l'introduire"?...
+Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, ét
+tout ala bién.
+
+
+"Chaqu'une des 3 Belles fut foutue deux-fois en con. Ensuite,
+comme de-concert, les 3 Bougres retournérent la medaille.
+Toutes-trois avaient leur pucelage de cùl. Ma Marchande crut
+qu'On alait le luy mettre en levrette; mais les deux Autres ne
+s'attendaient à rién. On leur perça le cùl à toutes-trois au
+même instant, ét elles s'écrièrent, malgré la defense,
+toutes-à-la-fois: DOUC. Hô le fondement! LA RELIG. Hô l'anus! LA
+MARCH. Hô le tròu du cùl!... On n'y fit pas attention.
+Heureusement ma Soeur avait le cùl large; elle souffrit moins.
+Quant à la Religieuse, que Witplongeardow enculait sans
+bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, ét
+elle sentait celui de son Enculeur luy chatouiller le nombril.
+Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait
+ét reenfonçait brutalement. Elle n'éüt de plaisir qu'à la
+decharge, par la douce chaleur du foutre, qui luy onctua le
+gros boyau. Ma Marchande était la plüs maltraitée par
+Towtenwit. Elle avait le trou-du-cùl aussi étroit, qu'elle
+avait le Con large: le Vit enorme la pourfendait. Elle jurait
+entre ses dents. Enfin la decharge l'abreuva, et elle fut
+soulagée.
+
+"Les 3 Vieillards en avaient autant qu'il leur en falait. Guae
+vint les faire retirer, de-sorte qu'ils ne se rencontrassent
+pas... On étuva les 3 cons ét les 3 cùls: On fit les lîts, On
+changea les draps, recoucha la triple Mariée, ét Guae
+introduisit les trois nouveaux Acteurs.
+
+"Il ala chercher Wiwitencoff, que je mis dans les bras ét sur
+le ventre de ma Soeur. Un peu agguerrie, elle caresse
+tendrement le Monstre, qui l'enconna, le vit introduit par
+Guae, qui profita de l'occasion, pour patiner ma Soeur, ét la
+chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre
+Petite, que son Fouteur s'ecria, croyant parler à moi: "Hâ!
+que tu es putain"!... Voyant Guae acharné sur ma Soeur,
+j'întroduisais les deux Autres. Je donnais Perceawant à la
+Religieuse, ét j'eüs soin qu'il eût son bourrelet. "Voilà une
+main bién douce qui me touche", dit-il en voulant saisir la
+miénne); mais j'échappai. "Remue du cùl, Bougresse, (disait-il
+à sa Monture); je te tiéns, je suis dans ton con; ainsi tu ne
+saurais m'échaper. Je ne suis pas ton Mary; j'ai payé pour
+coucher avec toy, ét te depuceler; ainsi tu es ma Putain.
+Fous, Garse, ét remue du cul; j'ai payé pour ça".... Guae
+l'entendit. Il vint à luy, le saisit à l'étouffer. "Tu manques
+à nos conventions! (luy dìt-il); je ne les tiéndrai pas non-plûs:
+fous-moy le camp, Malhonnête-homme! "Ouy; mais quand je
+l'aurai enculée". Et il encula la Carmelite, malgré les coups
+de poing dont Guae le gourmait. La Religieuse, poussait dés
+cris horribles... J'étais aupres de ma Marchande, que
+j'accouplais avec le gros Witerwel. Il ne devait qu'enculer:
+mais la chaude Coquine se dirigea elle-même le vit dans le
+con. "Tu n'es donc pas pucelle, Garse, crut-il me dire, que tu
+connais si bién la route des vits?... Alons, fous, Putain, ét
+comme il faut! j'ay payé ton Maquereau de Mary"! Comme elle
+ripostait bién, il alait disant: "Hô! elle est putain! elle
+est putain! j'ay le reste des autres"! Et tout en dechargeant,
+il la pinça, la souffleta. Elle se recria! "En bouche, sacree
+Putain? (dit-il en deconnant); ét tu avaleras mon foutre; sans
+quoy je t'assomme"! Guae, qui venait de laisser enculer la
+Carmelite, ét de chasser son brutal Fouteur, entendit le
+grabuge; il accourut, apostropha le sale Bougre d'un violent
+coup de poing, en luy disant: "Lave-toy donc au-moins, sacré
+Mâtin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne
+me sois lavé le vit à l'eau-rose, ét que je ne l'aye ensuite
+trempé dans du lait. Execrable Bougre! vray Desades, tu veux
+luy faire soulever le coeur?... Mais tu as manqué aux
+conditions; tu ne merites plus de l'avoir. "Voila cent
+louys... "Ils seront pour elle. Lave-toy... Voilà de
+l'eau-rose... Voicy du lait..... Alons, souffre, m'Amie: Voilà tes
+cent louys". Le vieux Reître, cru Un beau Jeunehomme,
+emhoucha, encula, entetonna tant qu'il voulut. "Hâ que tu es
+putain, sacrée Chiénne"! (repetait-il).... Guae se mourait
+d'envie de luy montrer qu'il ne m'avait pas eüe. En le mettant
+à ta porte, il me fit trouver sur son passage toute-habillée.
+Ce fut comme une vision; car je m'enfuis. "Hâ je suis fait!
+(s'ecria le Monstre): le Scelerat m'a donné une Putain, aulieu
+de sa Femme"!... Et il jura, sacra.... Quant à moy, pendant
+ces scènes, j'assistais à la fouterie de ma jeune Soeur. La
+pauvre Petite fut enconnée, embouchée, enculée comme les
+Autres, par son Adorè Witwitencoff de-la-Cowillardière, qui
+ala jusqu'à extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua,
+c'est que, lorsqu'i se sentait épuisé, il se fesait sucer le
+vit bien approprié à l'eau-chaude, et baiser les couilles par
+sa jolie Monture. Il luy mettait encore couilles èt vit sur le
+cùl ou les tetons: Puis il se fesait donner au gland un suçon.
+Il bandait alors, ét enculait. Au derniér culetage, il eüt un
+priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le
+cùl de ma Soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae,
+qui la decula, en enlevant son Enculeur. On le porta évanoni
+dans sa voiture. Arrivé chéz Luy, des cordiaux, que demanda
+Guae, ranimèrent le vieuu Libertin: "Hâ! (s'écria-t-il), je
+vis encore! je voulais mourir dans son cùl!.... je bande
+encore... Qu'On me La rende... que je L'enfile... ét.. que...
+j'expire.".... Et il expira......
+
+["Hâ! la belle mort! (s'écria Traìtdamour ét toute la
+Compagnie en dit autant)... Mad. Guae acheva.
+
+"Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Gnae, à son
+retour, était furieux de Luxure: Il voulait toutes nous
+enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea: Il m'emboucha;
+encula ma Soeur ét ma Cousine, enconna ma Marchande, qui en fut
+estropiée pour un mois, ét L'engrossa, deux choses qui
+L'empêchèrent d'être achetée par Fysitére. Pour Guae, je suis
+sa Maîtresse, ét son gros Vit me fortifie par son foutre qui
+me nourrit. Je serai enconnée par Luy, de convention faite
+avec Fysitère, apres mon douzième Enfant.
+
+
+
+
+XXXVIII Chapitre.
+
+Chap. De la Conclusion de l'Histoire des 3 Garses.
+
+
+"Persone ne sait comment l'Homme-caud decouvrit que Guae avait
+vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me
+demanda. J'étais au Lit. Ce fut la reponse de Guae. "Je le
+crois! (repondit Fysitère), ét Un Homme est mort d'épuisement
+dans ses bras. "Elle a vaqué toute la nuit: mais c'est pour
+autre chose: Sa Cousine la Religieuse ayant été un-peu
+courtisée dans le jour, ses vapeurs hysteriques l'ont reprise
+la nuit, par un rêve, où elle croyait être foutue. J'ai été
+appelé. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculée. "Je me fous de
+son cùl: Mais si Tu l'avait enconnée. "Quant à ma Femme. elle
+dort; ét vous pouvéz voir à la fraîcheur de son con ét de son
+cùl, que je ne luy ai pas touché. "Voyons dabord la Carmelite?
+"Elle dort aussi". Ils y alèrent. Guae la decouvrit, sans
+l'éveiller. Elle etait couchée sur le côté, ne pouvant se
+tenir sur le dos, à-cause de son cùl, qui luy fesait mal. Elle
+l'avait en marmelade. "Comme Tu les accomodes!... Et le
+con?.... Il n'êst pas si maltraité... "Je l'ai un-peu fatiguée
+par mes inutiles efforts; ét-puis elle s'êst branlée. "Voyons
+la Mariée"?... Ils vinrent à Moy. On sait que je me repucelais
+par le bain, ét un-peu de repos. Mon con ét mon cùl furent
+trouvés si appêtissans, si jolis, que Fysitère les baisa
+tous-deux. Puis Il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement
+cloîtré, pour nous sequestrer, pendant tout le temps que nous
+Luy ferions des Enfans, Moy, ma Soeur, ét ma Cousine. Il ne vit
+Doucette qu'habillée! ét elle l'enchanta. Il nous emmena
+toutes-trois, en disant, que jusqu'à notre grossesse bién
+declarée, On ne nous verrait qu'à un parloir.
+
+"Fysitère êst extrêmement riche. Il donne 20-mille francs par
+an à Guae pour Moy, 40-mille à mon Père pour ma Soeur ét ma
+Cousine. Le soir, aprês un excellent soupér, il nous fit
+coucher Toutes-trois ensemble dans un large Lit, où il se mit
+avec nous. Il me foutit dabord. Puis ma Soeur. Ensuite la
+Carmelite, qui le fut deux-fois sans deconner. Il me reprìt.
+Puis ma Soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8-fois chaqu'une
+dans la nuit. Ce qui fesait les 24 de Fysitère. Quand il en
+foutait Une, les deux Autres luy chatouillaient, Une la queûe
+du cùl, la Seconde les couilles.
+
+"Nous devinmes grosses Toutes-trois à-la-fois. Alors il nous
+declara, qu'il ne nous le mettrait plus qu'aprês nos coûches
+ét l'alaitement. Il vint icy. Il vous vit, Madame; il vous
+foutit. Il épousa votre Fille-Aînée, enconna les 5 Autres,
+fourbit vos deux Nièces, ramona la Bâtarde de votre Mary,
+viola vos 2 Chambrières, êt vous engrossa Toutes. Durant ce
+temps-là, nous accouchâmes, nous alaitâmes, nous nous
+trouvâmes libres, ét il nous refout. Tâchéz d'être libres
+aussi, quand nous serons prises afin qu'Il nous refoute
+alternativement.
+
+"Telle èst notre Histoire: voìlà ce que nous savons sur
+l'Homme à-queûe. J'ajoûterai seulement, que dans le temps où
+M. Fysitère ne nous l'a plus mis, nous àyant des desirs, nous
+avons eü recours à mon Père, à mon Oncle, à Guae, au
+Procureur, ét à mon premiér Galant, qui nous ont fourbies,
+Guae en bouche, les Autres en con. Cependant nous avons Toutes
+voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement;
+son Vit, gros comme l'Enfant, frayait le passage, ét son
+foutre l'onctuaìt.
+
+"Après nos coûches, nous avons prié mon Père de nous choisir
+de jolis petits Garsons non pubères, mais bandans roide, pour
+nous ramoner le con: ces Enfans, dont les petits víts huilés
+entraient calotés, ne dechargeaient pas, ét cependant
+farfouillaient agreablement dans le connôt".
+
+Les 12 BELLES furent très-excitées par ce Recit, ét QUELQUES-UNES
+alèrent surlechamp ét successivement se faire ramoner par
+Fysitère, qui fut trés-étonné de cette boutade! Il se servit
+de ses 2 Queûes, en expediant ainsi 2 à-la-fois, Une dessous,
+Une dessus.
+
+Cette bourasque appaisée, Fysitère revint à ses Us ét
+coutûmes. Mais biéntôt ses 3 Coucheuses parurent enceintes. Il
+les pria, ainsi que Mad. Linars, de luy en procurer 3 ou 4
+Autres, pour luy faire des Enfans, en attendant leur liberté?
+Mad. Guae seule en procura 3, Une Tetonnette, son Amie d'étant
+fille, ét deux Soeurs, Biénouverte, grande blonde, avec
+Dardenbauche, aimable ét vive brunette, três-caressante,
+dechargeant comme quatre. Tetonnette était Une de ces Brunes à
+peau blanche, qui ont toujours Une si belle gorge. Fysitère
+assura les 12-cents fr. de rentes à ces 3 Filles, se chargea
+de leur ample entretién durant tout le temps de leur
+fecondité, les fit coucher au grand Lit, ét les depucela 8
+fois chaqu'une la première nuit. Il commença pàr Dardenbouche,
+là plüs jeune. Elle étàit si amoureuse, bién-que pucelle,
+qu'elle ripostà, dès le premiér coup de vit. Elle soutint les
+8 Assauts de-suite avec Un couràge héroïque... Fysitère prit
+ensuite Biénouverte. Elle fut plüs modérée. Elle crià,
+quoique-peu étroite; pàrceque ne dechàrgeànt pàs dàbord, Elle
+ne s'humectait que fàiblement le Conin. Elle étàit pucelle
+neanmoins. Malgré sà langueur, elle fut foutue 8 fois, comme
+Dardenbòuche; Fysitère auràit eü peur d'en mortifier Une... Il
+prit ensuite la belle Tetonnette. Il l'enfilà plüs
+difficilement que Biénouverte: màis elle remuà si
+delicieusement du cùl, ses tetons étàient si appêtissans, Elle
+avàit le connin si étrait, qu'Elle donnà autant de plàisir que
+Dardenbouche....
+
+Aprês les 24 Assauts, Fisitère làissà dormir. Le lendemain-màtin,
+3 Valets-de-chàmbre entrèrent, pour lui demànder ses
+ordres? Il s'éveillà; màis il feignit de dormir, là bouche sur
+là gorge de Tetonnette, ét une màin sur les Tetons de
+chàqu'une des 2 Autres. "Voilà Un Bougre biénheureux! (dit Un
+des Vàlets). "Oui"! (repondit Un-Autre). Et ils se mirent
+Tous-trois à se brànler. Alors FYSITERE feignànt de
+s'éveiller, leur dit: "Je vous ai entendus, Jean-foutres: Vous
+ne les enconneréz pàs; je veux qu'elles ne soient grosses que
+de Moy: màis tournez-les sur le ventre, et m'en enculéz Une
+chaqu'un". Il n'avàit pàs achevé, que les 3 Belles poussèrent
+un cri simultàné, causé pàr les 3 vits, qui leur entràient
+dàns le cùl. FYSITERE les exhorta à là pàtience, pàr l'idée
+d'une bonne oeUVRE; il les assurà que ces 2 Hommes alàient
+dechàrger pàr tèrre. Elles se rendirent à cette Ràison, ét
+cùletèrent à Quî mieux mieux.
+
+
+Explicit L'HOMME-A-QUEUE.
+
+
+A cette longue Histoire, Tous & Toutes se recrièrent: -- Nous
+ne sommes que de la Saint- Jean, auprês de ces Fouteurs & de
+ces Fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain-! -- N'aléz pas
+vous branler, Bougres! (leur dis-je). -- Nous nous en garderons
+bién! notre foutre n'est pas à nous; il est à nos Belles. Qui
+était étonné de nous entendre parler ainsi devant ma Fille,
+c'étaient Brideconnin & sa Femme... Mais ils en verront bién
+d'autres.
+
+
+SUJETS DES ESTAMPES.
+
+
+I. Cupidonet, & Jenovefette.
+
+L'Adolescente à quatre, troussée, ét le jeune Cupidonnet
+à-genoux, la couvrant cynîquement, tâchant de l'enfiler. Elle se
+cambre les reins, pour être atteinte: "Hausse, hausse le cul".
+p. 5
+
+II. Cupidonnet, & le Con soyeux.
+
+Cupidonnet sur Madelène, âgee de díx-sept ans, dont il lèche
+le con poilu: Elle est sur le dos, les jambes ecartees, et se
+prête en poussant sur la bouche de son jeune Frère, qui la
+gamahuche. "Darde ta langue dedans, chër petit Ami". p. 9
+
+III. La Mère foutue.
+
+Cupidonnet enconnnant une Femme de quarante ans, au lit, les
+draps à-terre: Il enconne pour la prémière-fois, et parait se
+pâmer. La Femme: "Jamàis... jamais... vous ne m'avez donné
+tant de pláisir". p. 12
+
+IV. Cupidonnet, & la belle Marie.
+
+Cupidonnet evanoui, le vit en l'air après avoir decharge dans
+le con de sa Soeur la belle, mariée à Paris, & parée, un-jour
+de Vierge, Marie detetonnée, & con & cul visibles. Elle dit:
+"Hâ.. Grand-Dieu.. c'est Cupidonnet." p. 16
+
+V. Cupidonnnet, & l'Orlogère.
+
+Cupidonnet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle
+O logère, à laquelle son Mari, couché de l'autre côte d'elle,
+dit: "Courage, ma Femme.. hausse le cul". p. 20
+
+VI. Cupidonnet, avec sa Femme le cul decouvert. 20
+
+Il est appele par sa Femme debout, mais courbée sur un lit,
+troussee audessus des reins, & montrant le plùs beau cul: Il
+court à elle, le vit bandant. "Si j'ai la verole (pense-t-elle),
+fous-moi en cul".
+
+VII. Cupidonnet, & Conquette.
+
+Cupidonnet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un
+garde-sel: Elle est à-découvert, & se tremousse toute
+endormie, quand elle sent la langue entre les lèvres de son
+conin à poil naissant. "Hâ.. hâ.. hâ.. ça m'chatouille". p. 25
+
+VIII. Conquette, et Cupidonnet.
+
+Conquette qui vient d'être gamahuchée, & que Cupidonnet le vit
+bandant, tâche d'enconner. p. 30 "Hâ! ce joli gamahuchage,
+tant que vous voudriez".
+
+IX. Cupidonnet, et Victoire.
+
+Cupidonnet tenant Victoire troussée jusqu'aux dessus du genou,
+& se fesant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: "Mignone..
+serre moi le doigt, fort... fort". p. 32
+
+X. Conquette, Culant, Vitnegre.
+
+Conqette assise devant le feu, entre Vitnègre & Culant
+deculotés, bandans; Elle troussée: p. 36 "Alons, Bougresse.
+branle-nous Tous-deux".
+
+XI. Cupidonnet, Conqette, Vitnègre, le Moine.
+
+Cupidonnet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre le vit à
+l'air, montrant à nu les appas de sa Femme: Un Moine debout
+dans le cabinet, vu par le Père de Conquette, caché derrière
+un Sofa, & qui n'est pas vu. Le Moine tenant en main son vit
+monstrueux, regarde la scène: "Troussee, Putain, audessus des
+reins". p. 39
+
+XII. Cupidonnet, et Conquette en levrette.
+
+Conquette le ventre appuyé sur le piéd d'un lit: Cupidonnet
+l'a troussée audessus des reins; elle cambre la tâille, & il
+l'enfile en levrette. "Remue du Croupion... mon Ange". p. 44
+
+XIII. Conquette, Vitnègre, un Payeur.
+
+Vitnègre debout à-côté du lit, caché par un rideau, tandis
+qu'Un-autre le remplace sur sa Femme. Le Mari dit à Celle-ci:
+"Decharges-tu"? p. 48
+
+XIV. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le Jeunehomme.
+
+Cupidonnet caché: Vitnègre une lumière en mains trouvant le
+Jeunehomme sur sa Femme troussée: "He-bien, est-elle
+enconnée". (dit-il). p. 53
+
+XV. Le Fouteur à la Justine.
+
+Le Moine Foutàmort, ayant mis Conillette nue, expirée &
+dechirée sur une table, lui cerne les Tetons avec un bistouri,
+&c: "Decharnons-la." p. 56
+
+XVI. Cupidonnet, Conqette, Timorí.
+
+Cupidonet caché dans le sofa, avançant la tête, pendant que
+Conquette gamahauchee par Timori, lève les jambes en l'air, &
+fait claquer ses talons: "Hâ.. Timori.. ta langue vaut un
+vit". p. 62
+
+XVII. Conquette enculée.
+
+Cupidonet sous un Sofa: Timorì enculant Conquettte, courbée,
+dont le cul est bien perfore: L'Enculeur s'ecrie: "Quel cul?
+quel plaisir des Dieux". p. 63
+
+XVIII. Conquette s'enconnant du Vit paternel. 67
+
+Cupidonnet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la
+Table-de-nuit: Il est sur le côté, le vit bién bandant: Il dit à sa
+Fille nue, cherchant à s'enfiler: "Appuie lentement, ma
+Reine".
+
+XIX. Montencon, Cupidonnet, Hochepine, Vitsuçete.
+
+Montencon embouchant Adelaide Hochepine en presence de
+Cupidonnet & et de Vit suçète. "J'embouche la jolie Garse". p.
+70
+
+XX. Cupidonnet, Conquette, Montencou.
+
+Cupidonnet sortant du con de Conquette: Montencon le vit en
+main, alant se mettre sur elle dont le con & les cuisses sont
+bien à-decouvert. "A toi, Bougre". p. 7
+
+XXI. Les Moines verolés.
+
+Tous les lits sont couverts de robes monacales: Vitnègre assis
+auprès du lit de Foutàmort, qui lui montre un tableau,
+représentant une Femme à laquelle il viént de ne faire qu'un
+trou du cul & de la mote, & dont il cerne les Tetons: "Je me
+suis fait accommoder son con". p. 81
+
+XXII. Le Sommeil enconné.
+
+Cupidonnet encormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort
+également encounée. En commençant à s'éveiller, elle dit: "Hâ!
+Mon dieu! c'est mon Papa, qui me..." p. 83
+
+XXIII. Cupidonet, Conquette.
+
+Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tetons
+decouverts: Il vient de se mettre le vit à l'air: Elle joue
+avec sa mule mignone, qu'elle fait badiner avec le bout de son
+piéd: "Je veux te griller". p. 88
+
+XXIV. Conquette, Cupidonnet, Centlouis.
+
+Centlouis prenant les tetons & le con de Conquette, en
+présence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante
+louis. p. 91 "Ce con satiné, ces tetons touchés les valent".
+
+XXV. Conquet:, Cupidonnet, Traitdamour. p. 95
+
+Conquette renversée, troussée audessus du nombril, & à
+laquelle Cupidonnet présente Traìtamour, qui tient à la main &
+montre son gros & superbe vit. Conquette avançant sa main,
+pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de
+mal... & de plaisir"...
+
+XXVI. Cupidonnet, Conquette, Traitdamour, Minone, Connète.
+
+Cupidonnet foutant Conquette, qui lui darde sa langue:
+Traitdamour tenant les tetons de sa Soeur, qui lèche le trou du
+cul du Fouteur; tandis que Connète le suce dans la raie du
+dos: "Quels delices!... Je suis rendu"... p. 100
+
+XXVII. Minone, Connette, Cordàhoyau, Brisemotte (1 grouppe).
+108
+
+Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis
+que Cordàboyau enconne Minone, que Brisemotte encule couchée
+sur le côté. "C'est une Fouterie de Princesse...".
+
+XXVIII. Cupidonnet, Conquette, Traitamour. 110 (2 grouppe):
+
+Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculéé sur lui!:
+Cupidonnet dans le con de la Belle, ainsi limée entre deux
+feux: "Piquez... des deux: la Garse est enculée"....
+
+XXIX. La Danse Negre. 114
+
+Cupidonnet habillé, mais le vit à l'air, regardant la danse,
+dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses.
+Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle Actrice;
+Cordaboyau avec Connette; Brisemote avec Minone; Tous six nus
+de la tête aux piéds: Ils figurent les mouvemens voluptueux;
+un Couple paraît prêt d'enconner; Un-autre d'enculer; le
+Troisième, en se contournant, met les Tetons sous la bouche,
+le vit sous la main, & montre le con qui l'appète. "Alons! Du
+mouvement, Garses"?
+
+XXX. La Piochée, & ses Piocheurs. 117
+
+La Piochée sur le Foutoir; Piocheur-père enculant Piocheur-fils;
+Piochencul les excitant, & se fesant bander, à l'aîde de
+la main & des Tetons de la Jeunefille. "Bougre... encule ton
+petit Garson".
+
+XXXI. Piochette. 119
+
+Le vieux Piochencul patinant les Tetins de Piochette, âgée de
+14 ans, & fille du Frère & de la Soeur, pendant que ces 2
+Individus sont enconés, & que le vieux Piocheur grand-père
+encule son Fils. "Tu me depuceleras ta Fille, dès que ton
+Grand-père t'aura deculé".
+
+XXXII. Les Gourmets de Con. 123
+
+Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme Gourmet du
+satiné de son con, est enlevé de sur elle, prêt à decharger,
+par Traitdamour & Brisemote, le vit bandant et decaloté, pour
+le plonger tout-brandi dans le Con de Rosemauve, étendue sur
+un Foutoir haussant du cul: "Le Sacrébougre alait partir"....
+
+XXXIII. Honnête Entretién du Pere et de la Fille.
+
+Cupidonnet prenant le con de sa Fille d'une main, les Tetons
+de l'autre: Elle dît: 133 "Mon Dieu: je vous remercie d'un si
+bon Père".
+
+XXXIV. L'Homme enfilant deux cons d'une volte.
+
+L'Homme-à-queûe foutant Sophie-Linars de son vit, tandis que
+Geoline s'enconne avec la queûe velue qu'il a au croupion.
+Celle-ci dit: 141 "Et moi, je vais me servir de cette queûe
+raide".
+
+XXXV. La Fouteuse insatiàble. 157
+
+La belle Agnès, livrèe par son Père, enfilèe par le jeune
+Procureur, qui se loue de ses delicieux mouvemens: Elle
+s'ècrie, en dechargeant: "Hâ... mon âme va sortir... par le
+trou qu'il me fait".
+
+XXXVI. Indicibles Fouteries! 175
+
+Agnès, après souper, ayant un corpset refluant, cachèe
+derrière un rideau de fenêtre, desorte que l'Homme-à-queüe
+seul, qui lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient
+d'une-main le vit de son Père; de l'autre, elle retient à
+l'entrèe de sa bouche, & presse de ses lêvres, le Gros Membre
+de Guae qui decharge, & lui lance le Fontre au fond du gosier.
+Fysitère leur dit: "Il faut dabord que je foute
+habillèe.......".
+
+XXXVII. Les Six Fouteurs des Trois Foutues.
+
+Agnès, Doucette, la Carmelite, & la Marchande-de-modes
+maîtresse d'Agnês-Conveloutè. La 1re en deshabiller de gaze
+transparente, avec le chapeau de Marièe; les 3 autres nues,
+sont instruites par Agnês, [] Coupure. Six Vieillards, le Vit
+en main, nus, endoctrinès separement par Guae, nu assi, â
+l'entrée d'une autre pièce, où il les attire les Uns aprês les
+Autres.... Le premier est Un grand, maigre, dont le nez touche
+au menton; vit ordinaire. Le second, gros, très-ventru; le nez
+comme une grosse betterave (le vit long. Le troisième monte
+sur de longues jambes sèches; ayanr un pain-de sucre sur les
+èpaules; le Vit gros comme celui de l'Homme-a-queûe aumoins.
+Le quatrième aussi large que haut, a le vit de l'Oncle
+d'Agnês. Le cinquième a la tête monstrueuse, le ventre comme
+un tonnneau, le Vit comme celui de Guae. Le sixième est grand,
+voûté, bancroche; ayant un bourelet à son long Vit. Quant au
+laid Guae, On voit son Vit, gros comme Un Timon de carrosse
+soulever sa chemise... "Chaqu'un des 6 monstres crut qu'il
+alait avoir le Plaisir d'être mon Bourreau". 183
+
+XXXVIII. Fysitère au grand lit avec ses 3 Fouteuses.
+
+Elles sont nues: Fysitère nu enconne Doucette; Agnès lui
+chatouille les couilles; la Carmelite lui branle le queûe
+velue, dont elle se dispose à s'enfiler. Le mot est pris de
+l'Histoire par Agnês "Nous fumes ainsi foutues 8 fois
+chaqu'une dans la nuit; ce qui fesait les 24, ordinaire de
+Fysitère" p. 192
+
+
+Table des Chapitres
+
+
+La Préface. 3
+
+I. Chapitre De l'Enfant qui bande. 5
+
+II. Chap. Du Con soyeux. 8
+
+III. Chap. De la Mère foutue! 11
+
+IV. Chap. D'un autre Beaufrére Cocu. 14
+
+V. Chap. Du bon Mari spartiate. 18
+
+VI. Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. 20
+
+VII. Chap. Du Conin au Poil-Follet. 25
+
+VIII. Chap. Des Conditions de mariage. 28
+
+IX. Chap. Des Dedommagemens. 31
+
+X. Chap. De l'infame Mari. 33
+
+XI. Chap. Pucelage destiné aux gros Vits, pris par un petit.
+39
+
+XII. Chap. Du plus delicieux des Incestes. 41
+
+XIII. Chap. Du Con & du Cul vendus. 46
+
+XIV. Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. 51
+
+XV. Chap. Du Fouteur à la Justine. 54
+
+XV.I Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. 58
+
+XVII. Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur. 63
+
+XVIII. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée. 67
+
+XIX. Chap. Du Père juste, & du Vit grisonnant. 70
+
+XX. Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue! 74
+
+XXI. Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. 80
+
+XXII. Chap. De la Fouteuse mise en appêtit. 83
+
+XXIII. Chap. De la Tendresse Filiale: & de l'Amour Paternel.
+86
+
+XXIV. Chap. Du Chefd'oeuvre de Tendresse-paternelle. 91
+
+XXV. Chap. Du bon Pere qui fait foutre sa fille. 93
+
+XXVI. Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, & à l'Auteur. 98
+
+XXVII. Chap. Du commencement des grandes Fouteries. 101
+
+XXVIII. Chap. De l'Enculo-connillerie. 106
+
+XXIX. Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse Nêgre. 112
+
+XXX. Chap. Le Pioché, la Piochée, le Piochard. 116
+
+XXXI. Chap. Suite des Mêmes, Piochette. 119
+
+XXXII. Chap. Du Conin goûté. 122
+
+XXXIII. Chap. La Fouteuse sensée. 130
+
+XXXIV. Histoire de l'Homme-â-Queûe. 134
+
+XXXV. Chap. de la Garse insatiable. 144
+
+XXXVI. Chap. Des Fouteries de la Convelouté, &c. 174
+
+XXXVII. Chap. Des six Fouteurs pour trois Foutues. 185
+
+XXXVIII. Chap. Conclusinn de l'Histoire des trois Foutues. 191
+
+XXXIX. Chap. Du Fauteuil. 207
+
+
+Fin de la Table de la I Partie.
+
+
+
+
+EPILOGUE de la Ire PARTIE.
+
+
+Jaî lóngtemps hésité, si je publierais cet Ouvrage posthúme du
+trop fameux Avocat Lingüët. Tout consideré, le câsement deja
+commencé, j'ai resolú de ne tirer que quelques Exemplaires,
+pour mettre deux ou tròis Amîs éclaîrés, et autant de Femmes
+d'esprît, à-portée de juger sainement de son effet, et s'il ne
+fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale à laquelle On
+veut le faire servìr de contre-pòison? Je ne suis pas asséz
+depouroú de sens, pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est Un
+pòîson: màîs ce n'est pas là ce dont il s'agît. Serà-ce le
+côntre-pòîson de la fatale JUSTINE? Voilà ce que je veux
+consulter, à des Hommes, à des Femmes desinteressés, quì
+jugeront de l'effet que le Livre imprimé prodúîra súr eux et
+súr elles. L'Auteùr a prétendú élóîgner de la crüaúté, de la
+sòîf dú sàng et de la mort de la Femme pòssedées: A-t-il
+reüssi? Il a prétendú ranimer les Marîs blâsés, pour les faire
+joüïr de leurs Femmes avec goût, à l'aîde de la lecture d'ún
+demi-Chapître de son Ouvrage: A-t-il atteint ce bùt? C'est ce
+qu'On decidera.
+
+On a vû, par la Table seule, combién cet Ouvrage est sálàce!
+mâîs il le falàìt pour produîre l'effet attendû. Jügéx-le, mes
+Amîs, et cràîgnéz de m'indüïre én erreur!
+
+L'ANTI-JUSTINE aurà VII ou VIII Partîes comme celle-cy.
+
+
+FIN de la I. Partie.
+
+
+
+
+
+
+L'ANTI-JUSTINE,
+
+OU
+
+LES DELICES DE L'AMOUR.
+
+
+Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.
+
+
+Avec Figures.
+
+
+[Seconde Partie.]
+
+
+AU PALAIS-ROYAL
+
+Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connu
+
+1798.
+
+
+
+
+Je suis parvenu au IId Volume de cet Ouvrage, destiné à
+ranimer les Maris blasés, auxquels leurs Femmes n'inspirent
+plus rién: Tel est le but des nequices de cet excellente
+Production! que le nom de Lingüet rendra immortelle.
+
+
+L'ANTI-JUSTINE.
+
+
+
+
+XXXIX Chapitre.
+
+Chap. Du Fauteuil.
+
+
+Le Dimanche arrivé, il y eút un joli dînér, qui fut servi dans
+mon Magasin. J'y avais fait mettre, oûtre le Lît & le vîeux
+sofa, un 3me Foutoir commode, que j'avais trouvé par-hazard
+chéz un Serruriér de la ruë de-la-Parcheminerie, qui l'avait
+acheté pour le fér & l'aciér seulemt, à l'inventaire de
+certain Duc. J'en fis l'histoire à ma Société:
+
+"Ce Fauteuil, ou Foutoir, se monte. Le Serruriér le monta
+un-jour, pour en voir le mecanisme. Il alait s'y asseoir, au 1er.
+La jeune Femme trè-potelée de son vîeux Voisin Aupetit le
+Perruquiér arriva. La jolie Voisine essoufflée, se jeta sur le
+diable de Fauteuil. Aussitôt elle fut saisie par les bras. Un
+ressort la troussa, & un-autre lui écarta les cuissee.
+Un-autre lui fit faire beau con; un troisième la fit osciller. --
+Hé! qu'est-ce donc que ce machin-là? s'écriait-elle. -- Ma
+bonne-foi si je le savais! repondit le Serruriér: j'aí monté
+la Machine pour la connaître; maîs je voîs que c'est celle
+avec laquelle le Duc de-Fronsac essayait les Filles
+recalcitrantes, que des Parens maladroits lui avaient vendues.
+Si vous vouléz, ma Voisine, je vais vous essáyer? -- Alons
+donc! Est-ce qu'On viole jamais Une Femme malgré elle? Je
+mordraîs-... L'Homme-de-forge se deculote; se met sur elle. La
+Traquenardée veut le mordre. Un ressort asséz doux lui fait
+ouvrir la bouche, & en l'angoissant un-peu, la force à darder
+sa langue. Le Suppôt de Vulcain profite de tout-cela, & enfile
+la Perruquière, qui ne put l'empêcher, ni même crier...
+L'operation faite, la machine se trouva aubout de ses
+rouleaux, & Mad. Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors
+qu'elle se mit à pleurasser, à criasser, comme si elle avait
+été au-desespoir. -- Grand'bête! (lui dit le Cyclope), je vous
+aí trop bién operée, pour que vous ne deveniéz pas grosse:
+vous auréz un Enfant, que votre vîeux Jeanfoutre ne vous
+aurait jamaîs fait. Maîs il faut un-peu de ruse: Dês
+aujourdhui dites-lui que vous achevéz une neuvaine à St
+Julién, qu'il vous travaille ç'te nuît, & que le Saint benîra
+ses travaux. Remuéz du cul, quand il vous le mettra; dites-lui
+des foutèses, & s'il dechargeote un-peu, pâméz-vous, en disant
+qu'il vous inonde-. Mad. Aupetit s'en-ala munie de ces
+instructions, qu'elle mit en pratique. Le Fauteuil me fut
+prêté le lendemain.
+
+Le Cyclope m'áyant vu passer, m'appela, me montra la Machine,
+me la vanta, & me mit au-fait de son usage. Elle me fut donnée
+à-l'essaì, & je la destinaí aux Begueules, s'il nous en venait
+à nos Orgyes. Je remis à monter la machine, quand il seraît
+à-propos, afin de ne pas en éventer le secret. Nous nous y
+assimes trois en dînant, Mad. Poilsoyeux, une jolie Chapelière
+de la ruë Bordet ou Bordel, amenée par Traìtdamour, & nommée
+Tendrelys; j'étais au-milieu. In petto je reservais le
+Fauteuil monté à la jolie Tendrelys, encore pucelle, quoique
+Traìtdamour lui eût quelquefois dechargé entre cuisses; ou, si
+la Chapelière était docile, à Rosemauve, ou à sa Soeur Rosalbe
+la blonde, ou enfin à notre Hôtesse Mad. Brideconin, que je
+voulais mettre de nos fêtes, ainsi que son Mari, voulant le
+faire cocu en sa présence.. Nous dînames bién, mais sans trop
+manger, ni trop boire. Nous avions dailleurs de la volaîlle, &
+toutes choses de facile digestion. On ne tardera pas à voir
+comment j'executerai tous mes projets.
+
+
+
+
+XL Chapitre.
+
+Chap. Des Cons Rasés.
+
+
+En sortant de table, Traìtdamour nous dit: -- Toute la semaine,
+il m'a roulé dans la tête de rendre le connin de Mad.
+Conquette-Ingenue-Pòilsóyeux ce qu'il doit être; c'est-à-dire,
+PUCEL: car je suîs sûr que depuîs huit jours qu'elle n'a
+foutú, il s'est retréci en Diable!.. Brisemote, Cordaboyau,
+vîts implacables, trousséz-moi Minone & Conète; il ne serait
+pas seant qu'elles se troussassent elles-mêmes-. On les
+troussa jusqu'audessus du nombril. Pas un pòil! Je les ai
+rasées ce matin (dit Traìtdamour, pour voir l'effet, avant de
+proposer la même chose à notre Deesse. Vous voyéz comme elles
+sont propres? Tout le corps l'est de-même: Elles se sont
+baignées tous les jours, depuis qu'elles savent que la belle
+Fouteuse met tous les jours son Con dans l'onde limpide, & y
+plonge entiér son corps appêtissant. Elles m'ont assuré que,
+lorsqu'elles étaient en chaleur, l'eau-fraîche dans laquelle
+trempaient leurs Cons brûlans, leur donnait un plaîsir presque
+fouteùr... Maîs vôyéz-moi ces Cons-là? Ne dirait-On pas des
+connins de Fillètes de 12 à 13 ans? On en convint.
+
+En-consequence, je priae ma Fille de se laisser raser la Mote.
+Elle se cacha le visage dans mon sein. Traìtdamour aussitôt la
+renversa sur un Foutòir, le Con au grand jour. -- C'est
+pourtant domage! (dit-il eu le maniotant;; la perruque en est
+superbe!... Je vais dabord employer les cîseaux: Nous mettrons
+ce pòil sóyeux sous verre dans un câdre doré: ce seront de
+précieuses Reliques-. Il coupa. Ensuite il tira d'une jolîe
+boîte une savonnète parfumée, & savonna longtemps le Connin.
+Comme cette operation excitait Conquète, elle me pria
+d'appuyer mes lêvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue,
+pendant tout le temps qu'On fit la barbe à son Con, &
+lorsqu'il fut rasé, On le lui lava d'eau-rose; On lui sècha
+les cuisses avec des linges doux, & Tendrelys mit le beau pôil
+de la depouille sous le verre-à-câdre. Puis le Conin sans
+barbe fut livré à l'admiration de l'Assemblée. Tout le Monde,
+surtout les Filles, jusqu'à la modeste Tendrelys, qui, disait-elle,
+n'était venue que pour voir, & rougissait de tout, le
+trouvaient si appêtissant, qu'elles demandèrent à le baîser, &
+qu'elles se jetèrent dessus. La jolîe Chapeliére cola ses
+lêvres vermeilles sur le Con rasé, & sa langue ala dans la
+fente exciter la volupté: Rosemauve, qui arrivait, vint sur
+elle comme Une Enragée, la debusqua, & gamahucha si vivemt la
+Deesse, qu'elles émîrent toutes-deux. Les Hommes éurent leur
+tour; ils sucèrent le Conôt dechargeant, & le firent decharger
+encore.. Pour Mòi, j'admiraîs, les deux mains plongées dans
+les Tetîns de Tendrelys, qui les avait charmans, & n'ôsait se
+deffendre, -- Hâ! quelle partie? me dit-elle. -- Tu ne vòîs
+rién! lui repondit Minone.
+
+En-effet, Traìtdamour áyant fait retirer les Gamahucheurs du
+Con de Conquette-Ingenue, qu'ils ne quittaîent pas, dit à ses
+Camarades: -- Imitéz-mòi-? Aussitôt tous les vits en érection
+furent à l'aîr. -- Alons! alons! au Con! au Con-! Tendrelys
+baissait ses beaux ieux: maîs Conquette ètendue sur le
+Foutóîr, la Mote legèremt branlée par Rosemauve, soulevait la
+tête pour vòîr les vîts. -- Laquelle enconnéz-vous, me dit mon
+vigoureux Secretaire: Laquelle enconnéz-vous de la voluptieuse
+Conquette, de moi, ou de la pucelle Tendrelys-? J'hésitaîs
+pour ma reponse, lorsque tout-a-coup j'entendis ma Fille
+s'écrier faiblemt: "Le vît! le vît"? Traìtdamour se précipita
+sous elle, la prit sur son dós, me la présentant oscillante: --
+Enconnéz, me dit-il, la Fouteuse fait beau con-... J'enfonçae.
+Je bandaìs si ròide, que je la fis crîer en la perforant. Maîs
+elle foutit aussitôt, en me disant: -- Bon... (haussant le
+cùl), bon!... Hâ! que tu bandes bién!.... Fous... fou----
+fourgonne... Fou---fourage, chër Pap.. je dech----a----a----
+(Traìtdamour la secouait) arge-... Je dechargeaîs aussi. Son
+delicîeux Connin me pinçait. La Deesse m'enivrait. Traìtdamour
+la fesait osciller, comme le Corax de PETRONE son Maître
+Eumolpe... Cependant Brisemote avait mis sur son dos Rosemauve
+nue, que foutait Cordabóyau sans chemîse: Les 2 petites
+Enragées Mînone & Connette nues comme la maîn, venaîent de
+mettre Tendrelys nue comme elles, & la tenaîent entr'elles, se
+frotant le côn sur ses cuisses d'albâtre, en lui chatouillant
+l'Une la mòte, l'Autre le trou du cùl: Elles dechargérent
+Toutes-trôîs avec les 2 Foutûes: "Grand-Dieu! s'écîa la jolîe
+Chapelîére, comme vous savéz être heureux"!
+
+
+
+
+XLI Chapitre.
+
+Chap. Vit inatendu.
+
+
+En ce moment, l'On entendit frapper des maîns à la porte.
+(C'était un signal que j'avaîs donné.) J'avaîs deconné; j'alaí
+ouvrir. C'était le Cyclope. Il ne devait pas entrer: maîs il
+me poussa Un Homme qui avait les îeux bandés & les maîns lîées
+derrière le dôs. Il était couvert d'un grand surtout de laine
+blanche, sous lequel îl était nú sans chemîse. Je le prîs par
+le corps: je le poussaí vërs le Foutòîr à Fronsac, sur lequel
+Traìtdamour jeta sa Soeur; On le monta, & dês que l'Enfant fut
+prîse, On fit tomber sur elle, en lúi arrachant son
+couvretout, l'Inconnu que je venaîs d'intrôdúire. Quand il fut
+nú, son grôs Vît épouvanta tout le Monde, & il se fit Un Hâ!
+universel. Conquette le reconnut, & pâlit. (Observéz que Tous
+pouvaîent parler, excepté Conquette & Môi). Minone (la
+Traquenardée), fut la seule que ce Vît, qui ne le cedait qu'à
+Foutamort, n'effráya pas. Elle le saisit courageusement, & lui
+mit la tête entre les lêvres de son Côn, en lúi dîsant: --
+Pousse, Bougre-. Il estocada, comme un Beliér de siége. Maîs
+il ne penetrait pas. -- Soulève du cùl, Pútain! lúi dit le
+Brutal; je suîs trop-haut-. Minone souleva. Le Vît trouva
+l'ouvertúre; & quôîqu'elle ne fût que la môîtié de qu'il lùi
+falait, il la força. Minone souffrait le martyre. La sueur &
+les larmes sillonnaîent ses joues. Enfin, le grós Vît, parvenú
+au fond, injecta son baume-de-vîe, & adoucit, en les onctuant,
+les paròîs dilacerés: Mînone qui venait de clamer de douleur,
+s'exclama de plaîsir: -- Hâh! hâh!.. il m'inonde!... je fous...
+je decharge... je me pâme-! Et la jolîe Petite remuait du cùl
+comme Une Garse, foutue par Un Moine au bordel.
+
+Nous étions dabord tous stupefaits d'admiration! Puîs nous
+bandames tous comme des Enragés. Brîsemote le mit en levrette
+à Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traìtdamour
+consulta mes îeux, en me designant Conquette ou Tendrelys: je
+permis la Ire, ajoutant fort-bas: -- Il fout ta Soeur; fous-mòi
+sa Femme. -- C'est Vîtnègre-! Et îl se jeta comme Un Fúrieux
+sur l'Epouse du Jeanfoutre, si brutalemt enconnée, qu'elle en
+crîa... Maîs elle dechargea presqu'aussitôt: ce qui changea sa
+douleur en plaîsir. "Toute Femme qui decharge comme ça,
+balbúcîait Traìtdamour, en la fourgonnant, est bonne; il n'y a
+que Celles qui ne dechargent jamaîs, qui sont mechantes-.
+
+Cependant Vîtnègre refoutait, sans deconner, & Mînone
+redechargeait: Rosemauve hennissait sous Brîsemote; Conette
+sous Cordaboyau; Tendrelys émue, appúyée sur mon épaule, me
+présentait sa jolîe bouche, & Conquette martyrisée par
+Traìtdamour, pleurant, cùletant, émettant, crîotant de doleur
+& de volúpté, envîait encore les tòurmens de Mînone. Son
+Fouteùr me crîa: -- Sacre-Dieu! pomadéz donc,... & depúceléz-mòî...
+cette Garse de Tendrelys-? L'aîmable Enfant me lança Un
+lông regard, en se mettant la maîn devant le Còn, comme pour
+le deffendre. Nous avîons-là du beûrre-fraîs; j'onctúaí le
+Connîn, renversae la Vîerge sur Un Foutòîr, malgré ses tendre
+prîères, & mon vít pénetra. -- Aumoîns, me dîsait-elle, en le
+sentant entrer, vous ne me lîvreréz pas au Bourreau de Mînone,
+nî à ces au----tres-là? ---- Remue du cùl, Bougresse! lúi crîa
+l'împitòyable Traìtdamour. Est-ce comme ça qu'On fout? Regarde
+ma Belle, & ces... 3 autres ---- Garses?... Tiéns, ---- Putaîn
+---- pucelle, ---- nous de----char----geons! ---- La pauvre
+Petite, à cette exhortatîon énergique, gigota sous mòî comme
+elle put. Je pénetraîs doucemt; je caressaîs, dardotant la
+langue, dîsotant des tendresses... ---- Vous la menéz tróp
+bellemt, s'écrîa Traìtdamour, fouragéz cómme mói, ou cómme ce
+Côcú, que voila sur le Fauteuil?... Tenéz? il mord les Tetôns
+qu'il ne saurait patiner?.. Ne va pas lúî faire trop de mal,
+Bougre! c'est ---- ma Soeur, & ---- je t'assommeraîs.... Je de----
+charge..... ---- Hâ! qu'il me devôre, s'écrîa Mînone; pourvû
+qu'il ---- me foute!.... Je decha----arge-.... "Je fous..? je
+décha----arge! s'écrîa Rosemauve. ---- Je dechârge!... crîa
+Conette. ---- Hâhahah-! fit Conquette... Pour Tendrelys, dont
+j'ateignaîs le fond du Connin, elle dít: ---- Ze suîs
+depúcelée! ze deçarze!... Que dìra Maman? ---- Elle ne le verra
+pas, jolîe Fouteuse: Le vit de mon Maître conserve les
+púcelages (crîa Traitdam.)
+
+En ce moment, Vîtnègre deconna Mînone trop fatiguée. On lúi
+pomada Rosemauve, que Brîsemote deconnait (car les tourmens de
+la courageuse Mînoue avaîent épouvanté toutes nos Bellles. Le
+Vît de Mulet l'enconna plüs vîte; maîs elle n'en souffrit pas
+moîns: Elle pleura, sanglota, & enfin... dechargea.... Elle
+fut ramonée 3-foîs sans deconner. Mînone l'avait été quatre.
+
+C'était le tour de Conète. Elle fut pomadée avec plüs de soin
+que Rosemauve; & cependant elle jeta les hauts-crîs: Si elle
+n'avait pas été sur le Fronsac, elle aurait desarçonné son
+Bourreau.... Elle dechargea enfin, & les plaîsirs succedèrent.
+Maîs On ne s'attendait pas à l'effet qu'ils produisîrent!
+
+C'est que Mad. Poilsoyeux eüt envîe du gros Vît de son Mari.
+Elle demanda tout-bas et voulàit qu'On la mît sur le Fronsac,
+aumoment où Vîtnègre deconna la Conète, quoique Celle-ci eût
+le Con aussi barbouillé de sang que de foutre. Maîs
+Traìtdamout la hâpant, la renversant & l'enconnant, lui dit
+tout-bas: ---- Garse! je suîs jaloux de toî pour mon Maître &
+pour moî: je t'étrangleraîs plütôt, que de te laîsser foutre
+par ton Cocù de Mari en ma présence. -- Pardon! Vît dívin!
+leurs douleurs m'ont tentée! Fourgonne-moi, à m'en ôter
+l'envie? Car je ne compte plus que sur toi: voila M. Lingüet
+qui donne son fou----outre... je decha----arge.... à la ----
+sacrée Ma----âtine... de Teudrelys... -- Hâ! Reîne des Pútaîns,
+tu es jalouse! Tiéns, tiéns, voila des coups de Vît dans ton
+Connin-dieu... Hah!... hah!... ze redeza----arze-! murmura-t-elle...
+
+Cependant, que fesait Vîtnègre? Il prenait du repos & quelques
+liqueûrs brûlantes, tout en patinant les Tetons de ses 3
+Foutües, qui le branlaîent pour s'amuser. Tout-à-coup Mlle
+Lîngüet dit à son Foutant: "Maîs ce Bougre est Un-autre Guae?
+il faut qu'il me restaure? Qu'On lui lave bién le Vît à l'ëau-rose;
+je veux le teter, comme fesait Mad. Guae le gros Vît de
+son Mari-? Nous ne pouvions nous refuser à Une proposition
+aussi raîsonnable. On lava le Vît monstrüeux; 2 des 3 Garses
+soutinrent Vîtnègre de chaque côté, en lúi livrant leurs
+Tetons; Rosemauve lúi chatoüilla les covilles & le trou du
+cùl; Traìtd'amour se coucha par-terre sur le dos sous ma Fille
+à genoux qu'il enconna; Mlle Lîngüet baisa 5-à-6-foîs le gros
+Vit, tout en ripostant aux saccades de son Fouteûr: Prête à
+decharger, elle emboucha, fesant aler & venir l'énorme Wit du
+bord de ses lêvres de corail, au fond de son gosiér satiné. En
+dechargeant, elle mordit... Telle la voluptüeuse Femelle du
+Serpent-Geant écrase dans sa gueule, la tête de son Mâle trop
+amoureux... Vitnègre mordú se recria de volupté! Il émit Un
+torrent, quoiqu'il eût deja foutú 9 coups, & Mlle Lingüet fut
+inondée de foutre au même instant dans la bouche & dans le
+con... Elle voulut teter 3-foîs Vitnègre, que les 3 Garses qui
+le chatoüillaîent, secouaîent tellemt, qu'il rebandait
+aussitôt. Dailleurs, il s'écriait à tout-momt: -- Ma Femme
+n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le sens au
+veloûté de son palaîs-?... Et cette idée le fesait decharger à
+flots... Mlle Lingüet fut obligée de cesser ce jeù, dans
+lequel On voulait faire expirer Vitnègre; maîs Mlle Conquette-Lingüet
+avait sucé le double Wit avec tant de fureùr, qu'elle
+avait la bouche tout en feù... On obligea Winègre d'encùler
+ses 3 Foutües; ce qui lui fit 15 copieuses decharges, parceque
+les Belles de-relaîs lui manipulaîent impitoyablemt les
+covilles.. Les excessives douleurs de l'encùlage n'en
+effráyérent Auqu'Une; aucontraire, les tourmens de la Patiente
+excitaîent leur passion, & elles la pinçaîent; pour la forcer
+à s'agiter, & à faciliter ainsi l'intromission du gros Wit
+dans son cùl.
+
+Vitnégre n'en pouvait plus. Ce fut précisémt ce qui excita
+Mlle Lingüet: Elle exigea de nous qu'il dechargeât Une 16me
+fois, & que ce fût dans son cùl, à elle? Traìtdamour se vit
+obligé de ceder. On manipula Vitnègre, On lúi chatoüilla les
+covilles; On l'assura qu'il alait encùler Mlle Lingüet sa
+Femme. A ne nom, il érectionna. On lui fit sucer les Tetons de
+Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt
+On coucha l'Encùlande sur le ventre; On lui beûrra la rosette,
+puîs le rectom avec Une grosse canule; Tendrelys prit
+délicatemt le gros Wit avec ses doîgts de rose; pour le
+diriger dans l'anùss, tandis-que Minone & Conéte écartaîent
+chaqu'Une Une Fesse: Rosemauve, prête à manipuler les
+covilles, fráyait avec son doîgt beûré l'entrée du Wit-monstre
+dans le cùl de la Patiente... Enfin, il penetra, en
+dechirant... Mad. Vitnègre poussait des cris sourds, que son
+Mari crut reconnaître. Ce qui lui fit redoubler ses estocades.
+Alors l'Encùlée jeta Un cri,... qui logea le Monstre
+tout-entiér dans son gros-boyau.... Vitnègre ne doutant presque
+plus, y fourgonnait avec rage.. Il ne decùla pas après
+avoir-dechargé; Rosemauve lui chatoüillait les couilles, l'anùs, &
+s'appûyant du con sur son cùl, foutait avec lui, en poussant à
+chaque-foîs... Vitnègre dechargea 3-ondées de foutre dans les
+boyaux de sa Femme; ce qui fesait 18 pour la seance. Il tomba
+en faiblesse à la dernière...
+
+On le tîra du cûl de Mlle Lingüet, qui ala se le mettre dans
+l'eau-fraîche, pour se le raffermir. On jeta Vitnégre dans Une
+aûge d'eau-de-puîts qui était dans la cour, pour lui faire
+reprendre ses sens: Le Cyclope parut. On porta Vitnègre dans
+son Fiacre. Il le le remena. -- Saís-tu quî j'aí foutu (lui
+dîsait-il en route), dans ton sacré Fronsac?..... Ah! comme
+elle fout!... Elle a bién appris, depuîs qu'elle m'a
+quitté!... Je l'aí foutúe 16-foîs, tant en con, qu'en bouche &
+eu cûl-... Le Serruriér, après avoir remis Vitnègre à sa
+Filleule, s'évada.
+
+Vitnêgre rencontra le Serruriér quelques moîs aprês. -- Veux-tu
+m'y remener? lui dit-il. -- C'est l'impossible, répondit le
+Cyclope; tout est disparu. -- Ah! la Garse! si je la retenaîs,
+je passeraîs le reste de ma vîe dans son cûl & dans son con-.
+Ainsi finit cette Aventúre.
+
+
+
+
+XLII Chapitre.
+
+Chap. La Jalousie de deux Connins.
+
+
+Nous restions tous sept émerveillés des 16
+enconnades-embouchades-enculades de Vitnègre! quand Traîtdamour regardant
+la jolie Chapelière, nüe comme toutes les Autres, lui dit: --
+Te voila depucelée, Mignone, & mon divin Maître a cueilli ta
+rose? C'est Un grand honneur & bonheur à toi & à moi! Je te
+regarde à-présent comme les Devôts regardent leur
+Vierge-Marîe, qui, foutûe par l'Ange-Gabriël, puîs par le
+Saintesprit, dont elle fut la Pûtain, n'en était que plûs
+vierge: Te voila consacree au vit de mon Maître; conserve-lui
+religieusemt ton Connin, ou ne le prête qu'avec sa
+permission... A-présent, celeste Mignone, votre jolie Mote va
+être savonnée & rasée-? Tendrelys objecta sa Mère, qui toutes
+les nuits lui visitait le Con, pour voir si l'On ne touchait
+pas à son pucelage, deja vendu, & qu'On devait biéntôt livrer.
+-- Je m'en-fous, Deesse, repondit Traìtdamour, en me voyant
+monter le Fronsac; On lui dira tout-. Et il la poussa sur le
+Fauteuil, qui l'étreignit. Il la savonna, & prépara son
+rasoir.
+
+En ce moment, artiva Mlle Conquette-Ingenue-Lingüet, qui
+venait de se laver le cùl à l'eau-de-puîts, pour se le
+raffermir. -- On va donc aussi raser le con de Mlle? (dit-elle
+avéc un-peu d'humeur). -- Ah! ma belle Deesse! empêchéz-en,
+à-cause de Maman, qui ne saura ce que ça veut dire? s'écria
+Tendrelys suppliante, en lui baisant une main, qu'elle était
+parvenue à saisir. -- Non, Mlle, je ne m'y opposeraí pas!
+Votre con rasé laessera mieux voir à votre Maman que mon
+Infidèle vous a deflorée... Nous verrons aussi, aprês qu'On
+lui aura enlevé cette charmante perruque, si votre Bijou,
+Mlle, l'emporte sur le mién, tout fatigué qu'il est? -- Ah!
+mon adorable Amie! il n'est pas besoin de cela: Rién ne vous
+égale. -- Alons, Mr, raséz donc? Et je crois bién qu'aprês,
+mon infidèle Amant qui a depucelé cette jolie conque, vous
+permettra bién de vous y loger-? Traîtdamour tout en coupant
+la belle Toison-d'Or, représentait à Conquette-Ingénue, que
+tous les Pucelages m'étaient devolus, & que j'étais obligé en
+conscience de les prendre, sous peine de mortifier la
+Neophite. Conquette ne savait que repondre: mais elle bouda.
+Je m'approchaí d'elle, & comme elle était nue, je lui baisaí
+les Tetons, & lui mit mon vit en main. -- Vous aimeriéz mieux
+qu'il fût entre les jolis doigts de Tendrelys! -- Non: Persone
+ne me faît bander comme vous; mais aprês vous, Tendrelys. On
+lui rase la Mote; il le faut bién, pour comparer vos Cons
+celestes, abstraction faite de la fatigue du vôtre. On les
+gamahuchera dabord: Ensuite je verraí auquel des 2 mon
+Vit-Sultan donnera le mouchoir: Le mieux rempucelé l'obtiéndra.
+
+Mlle Conquète fit une petite grimace de Jolie-femme sûre
+d'elle-même, & se tût. Le Rasemote acheva. Le Connin de
+Tendrelys fut lavé à l'eau-rose; Mlle Lingüet fit rafraîchir
+le sién, & les deux Cons furent comparés... Ils furent
+desinteressémt trouvés égaux. Ce qui était bién donner la
+supériorité au Conin de la belle Conquète, deja tant foutüe...
+Ce fut l'avis general. Rosemauve, Minone vinrent se comparer.
+Mais leurs Cons étaient loin d avoir cette physionomie
+virginale de ceux de ma Fille & de Tendrelys. -- Vos Cons sont
+aimables (leur dit Traîtdamour), cent-fois audessus des
+Conasses de Putains; mais ils ne peuvent se comparer à ces 2
+Connins de Houris-. Conquette se pavana. Mais genereuse comme
+elle l'était, elle prit vîte son parti. -- Puisque nos Cons
+sont égaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche,
+lui patinant le Con, redépuceléz la, & que votre Lieutenant me
+refoute, s'il en a la force-. Elle n'avait pas achevé la
+derniére sillabe, qu'elle était enconnée. -- Fous-la! me
+cria-t-elle, fous la Garse-! J'enfilaí la jolie Nymphe... Mais
+prête à decharger, Mlle Conquéte-Ingenuë entra en fureur
+érotique (& je compris par-là comment les Héros de Dsds,
+sur-le-point d'émettre, deviénnent cruëls), l'Enconnée s'écriait:
+-- Foutéz-moi tous cette Putain de Tendrelys!... Brisemote! ne
+fais qu'un trou de son cùl & de son con-!... Elle dechargea; &
+un-peu calméé, elle se mit à dire: -- Pardon! pardon, ma
+petite Soeur!... c'est le foutre.. qui me portait à la tête, &
+me rendait cruelle!... Qu'On lui conserve son joli con...
+toujours pucel,... pour les plaisirs de mon... Papa-
+fouteur;... c'est bién asséz.. du mién qui est...
+martyrisé!... Alons pousse... fous... ne me ménage plus!
+(dit-elle à son Bourreau)..... Et elle se mit à coupdecùler plûs
+fort que jamais. Ce qui fit re-enconner Rosemauve & Conète,
+dont les cùls étaient moins malades que celui de Minone: Cette
+bonne Soeur de Traîtdamour vint me chatouiller les covilles, &
+j'émis.
+
+
+
+
+XLIII Chapitre.
+
+Chap. Minone et Conette jadis depucelées: Vieille.
+
+
+Cette scène achevée, il y eút du répos. Nous avions legèremt
+dîné, exprês pour faire colation. Nous mangeames des fraîses
+au vin-muscat, avec des pains-mólets du Pont-Michel: Puis nous
+primes d'excellent café, fait par Traîtdamour, & nous goûtames
+aux liqueurs. Ensuite, nous jasames... -- Mon Ami (me dit
+Conquète-Ingenue, en montrant Minone & Conète), vous avéz eú
+ces 2 jolies Compagnes, ainsi que Rosemauve, & vous venéz de
+depuceler Tendrelys sous nos ieux: Faites-nous le recit de
+votre première-fois, & dites-nous coment vous les avéz
+seduites? -- Ah! oui, oui? s'écriérent Tendrelys, Rosemauve, &
+tout le Monde. -- Je feraí ce recit très-volontiéts; mais
+à-condition qu'On ira chercher Mad. Brideconin notre hôtesse,
+pour qu'elle y assiste: Nous comencerons à l'apprivoiser
+par-là-? Mes 3 Sacripands, pour quî elle était un Morceau nouveau,
+ne demandérent pas mieux: Ils l'enlevérent à son Mari, qui en
+ce moment, lui tenait les tetons; sans même daigner lui
+repondre, l'assirent à-cru sur les mains jointes de deux,
+tandis que le 3me la soutenait par-derrière, & l'apportérent
+ainsi moitié troussée & detetonnée. On la pósa sur le Fronsac,
+& si je n'en avais empêché, On lui fesait une históire, aulieu
+d'écouter la miénne. Lórsque tout fut tranquille, je
+commençaí:
+
+-- Je m'étais mis en pension chéz la Bellemère de Traìtdamour,
+blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma Femme courait la
+Provînce avec un Galant; le même qui la foutait avec tant de
+passion, qu'il se mettait dans sa chemise, pour la palper &
+l'enconner mieux. Traìtdamour m'apportait á dînér les
+jours-ouvrables; maîs j'alais dîner à la maison de la bonne
+Mère-Wallon les Dimanches & Fêtes. Un-jour, que nous y alìons
+ensemble, il me pria de montrer à écrire à sa petite Soeur? Je
+le voulus bién. En montrant à Minone, J'avais souvent sous les
+ieux ses tetons naissans, blancs come lys... [-- Faites entrer
+mon Mari; je suis bién-aise qu'il ait sa part de cette
+histoire-là-? interrompit la Brideconin. Aussitôt Traitdamour,
+sur un signe de mes ieux, l'ala chercher; tandis que sur
+un-autre signe, Brisemote & Cordaboyau prirent l'Un la mote,
+l'Autre les tetons de la Dame. Elle était ainsi ráyonnante
+entre 2 Mâles, quand son Mari parut. Brideconin fut dabord
+ébaubi: puis il n'en fit ni un ni deux, il ala s'emparer du
+con de Rosemauve, & des tetons de Conette; Traitdamour prit le
+con & les tetons de sa Soeur: Quant à moi, je fis asseoir
+Conquette & Tendrelys l'Une sur l'Autre entre mes jambes,
+laissant de-temps-en-temps tomber mes mains sur la gorge de ma
+Fille, oú de sa jolie Rivale... Je repris:]
+
+"Je dis à Traitdamour, en-particuliér: -- Il ne faut plus que
+je montre à la Petite; elle me fait tròp bander, & je la
+foutrais au Ier jour. -- Ah! mon chër Maître! quel bonhr pour
+elle & pour moi, si vous la depuceliéz! La pauvre Orpheline!
+elle n'a aucun plaîsir! (c'est que leur Mère était morte, &
+que le Père, remarié à une Bonne-amie de feue son Epouse, à
+l'instante prière de Celle-ci, avait mourant lui-même, laissé
+pour bellemère aux 2 Orphelins la Bonne-amie de leur tendre
+Mère). Je repondis, Que cela était bién difficil!... que la
+petite Soeur parlerait. -- Non, je vous en repous: Minone a deja
+des desirs pour vous. Elle m'a dit, qu'elle aimait bién quand
+vous lui tonchiéz le Chose par-dessus la jupe- Ce discours
+m'enhardit.
+
+Un-Dimanche que j'étais seul avec Minone, à la faire écrire,
+je ne pus résister à l'envie de lui baiser sa jolie bouche;
+puis un tetin; & de-là má main descendit rapidemt à son
+Connichon sans pòil. J'éprouvaí une érection terrible! Mon vit
+me gênait. Je me deboutonnaí. Il s'élança audehors. -- Qu'est-ce
+que c'est que ça? me dit la Petite. -- Un vit, mon Enfant. --
+A quoi cela sert-il? -- A mettre dans un Con. -- Mais j'aí un
+Connin, à ce que dit mon Frère, & ma Bellemère a une Connasse.
+Depuis qu'il est grand, & qu'il a ce qu'il nomme du Foutre, il
+met son engin dans la Connasse de ma Bellemère, que ça fait
+tremousser & crioter... Il a voulu me le fourrer, à moi: mais
+j'ai le conin trop étroit, ou il a l'engin trop gros: jamais
+il n'a pu... Ma Bellemère l'a surpris, & elle l'a bién grondé!
+Il lui a dit: -- Alons, foutéz-nous la paix: venéz que je vous
+enconne, vieille Truande: car je ne saurais m'en passer, en ce
+moment-. Et elle s'est aussitôt renversée sur son lit, en se
+troussant; il l'a, ce qu'il appelle foutue... Hô! comme elle
+gigotait! comme elle jurait des B. & des F. comme elle était
+contente!... Et il me disait: -- Voi, Minone, comme c'est bon!
+Comme la vieille Garse se deméne, en supant le bâton de
+sucre-d'orge... Montre-moi ton petit connin, que je decharge à ton
+intension-.....
+
+Ce recit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je
+demandaí à la Petite, S'il y avait du beurre à la maison? Elle
+m'en donna. J'alais la beurrer, quand la Bellemère, bonne-femme
+au possible, rentra, áyant oublié son éventail. Elle vit
+mon trouble, & la rougeur de la Petite. Elle me dit: -- Gage
+que vous alez la tourmenter?... Ça n'est pas mûre. Venéz-. La
+Vieille m'entraîna sur le piéd de son lit, se troussa, me tira
+sur elle, & m'engloutit, malgré ma defense..... Pour sauver le
+pucelage de sa Bellefille, elle me retint une heure à
+conâiller. Je ne dechargeaí cependant qu'une-fois, contre la
+Vieile une dizaine; car je m'aperçus qu'elle m'aimait. Ensuite
+elle s'en-ala, sans laver, en disant? -- J'en marche mieux, la
+charnière graissée-.
+
+Dès qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout
+vu, à la fenêtre: je la troussaí audessus des reins; je lui
+beurraí le connin, & je rebandaí roide. Je dis à la Petite, en
+la commençant, de se cambrer la tâille, pour mettre son petit
+trou bién à la portée du vit qui l'alait percer? Elle le
+présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l'aîde des
+douloureuses oscillations de son joli cùl, & parceque la
+decharge était retardée par le degoût que m'avait causé le Con
+gris de la Vieille, je parvins en levrette jusques au fond;
+car je sentis sa celeste petite matrice me pincer... L'Enfant
+s'agitait par mes ordres, mais sans décharger.
+
+Son Frére arriva dans ce moment. Il fut transporté de joie...
+-- Ah! vous la depuceléz! quel honneur & quel bonheur, pour
+elle & pour moi!... Decharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma
+petite Soeur? -- Elle ne decharge pas (repondis-je), la chère
+Mignone; elle souffre: mais c'est avec un courage!.. Voi ce
+tortillonnemt de croupion-... Traitdàmour touché, glissa une
+main sous le ventre de la Petite, & lui chatouilla le haut de
+la fente de sa motinette imberbe... Les ieux de l'Enfant se
+vîtrèrent; elle se roidit. & tournant sa j lie bouche de mon
+côté, elle me darda sa petite langue, déchargea pour la Ire_
+fois, & se pâma... Je déchargeaí comme elle: je n'avais jamais
+eú tant de plaisir...
+
+Quand j eús deconné, son Frère me demanda, Si j'en étais
+jalous? -- Oui, de tout Autre que de toi -- Hé-bien, votre
+foutre va servir de pomade à son joli conichet-. Cependant
+Minone voulut pisser. Son Frère la renversa sur le dos, au pi
+d du lit, & l'enconna vìgoureusemt, malgré la grosseur de son
+Membre. La Petite cria. -- Remue du cùl, & decharge avec
+delices, pauvre Orpheline, lui disait-il, en la saccadant; tu
+es enconée avec amour-. La Petite dechargea 3-fois; mais elle
+n'en pouvait plus... Il me lava, & je la re-enconnaí... J'eús
+encore plûs de plaisir, parceque la Petite avait aquis de
+l'usage, & que le gros Vit de son Frère avait fráyé la
+route... Depuis ce jour-là, nous foutimes Minone tous les
+Dimanches & Fêtes. La Bellemère s'en-aperçut pour moi; mais
+elle ne dit mot.
+
+Enfin un-jour Traitdamour me demanda, Si je voudrais aussi
+montrer à écrire à Conète, sa Maîtresse pour le mariage,
+depuis que la Mère de Tendrelys, qui craignait un depucelemt,
+lui avait absolumt ôté toute esperance. -- Soit (lui repondis-je).
+Je montraí donc à Conète. Aubout de 2 mois, cette
+Jeunefille étant un-jour à la fenêtre, fort panchée en-dehors,
+& montrant une jambe fine, que mes ieux devoraient, Minone qui
+prenaìt son exemple d'écriture, le remarqua. Je lui tenais les
+tetins, & la priais de me prendre les couilles. Elle me
+quitte; va vers Connète; lui dít tout-bas, -- Laisse-toi
+faire- .... La trousse; me mène sur elle; lui beurre le con & à moi
+le vit; lui dit: -- Cambre-toi, ma Fille-... Et à moi: --
+Enfiléz jùste; vous voila dedans-... Conète se cambra, &
+suivit toutes les indications de son Amie: Desorte que quoique
+la Púcelle fût très-étroite, je penetrais. Traitdamour arriva.
+Il nous fit ôter de la fenêtre; se coucha sur le ventre au
+piéd du lit; fit étendre sa Maîtresse sur son dos, cùl sur
+cùl: Il me dit d'enconner, le vit dirigé par la màin de sa
+Soeur; et á chaque sacade que je donnais, il me repoussait d'un
+coup de son cùl le con de sa Maîtresse, à me faire avancer
+d'un pouce. Conète éprouvait des souffrances inouïes.... Mais
+étant parvenu au fond, par un violent coup-de-croupion de
+Traitdamour, qui ne donna plus que de petits coups de
+trot-de-cheval, Conète clignota de l'euil, et biéntôt émit avec
+d'ineffables delices.....
+
+Je croyais que Traitdamour alait se jeter sur elle et
+l'enconner tout-chaud? -- Non, me dit-il; c'est ma Future: si
+j'avais le bonheur qu'elle me fît un Petit de vous, cela
+ennoblirait ma Race-. Et il foutit sa Soeur, pendant que je
+refoutais sa Maîtresse. Aussi depuis aí-je partagé avec lui Ce
+que j'avais de plüs précieux-.
+
+
+
+
+XLIV Chapitre.
+
+Chap. Du Bouquet de Fouterie.
+
+
+Il le merite! Il le merite! (s'écrièrent tous les Hommes, et
+surtout Brideconin, qui patinait à 2 mains le Con de
+Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'Un
+le Con, l'Autre les tetons de sa Femme... Mon Recit fesait
+bander tous mes Droles comme des Carmes, malgré les fatigues
+de la journée. Les Belles, même Celles éconnées par Vìtnègre,
+étaient en rut. -- Comme vous avéz su les rendre aimables! (me
+dit Conquette, en me dardant sa langue). -- Ah-oui! (ajouta
+Tendrelys, en me baisant de-même).... En cet instant, Mad.
+Brideconnin était tiraîllée par Brisemote et Cordaboyau, qui
+tous-2 la voulaient enfiler à-la-fóis. -- Je n'aí qu'un chose,
+mes chërs Amis! si j'en avais 2, ils seraient bién à votre
+service; mais l'Un après l'Autre-... Elle fut empallée par
+tous-2, Cordaboyau en con, Brisemote en cùl. Brideconnin
+s'écrie: -- On enconne, On encule ma Femme! Moi, je fous
+Celle-ci-. Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le
+plüs furieux des Ribauds, saisit Conquette: Je crus qu'il
+l'alait enconer. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur
+son vit, tenue par-dessous les bras par Conête et Minone; elle
+se baissait avec lenteur sur le Vit bandant dirigé par la main
+de Tendrelys, Conquète s'enculant ainsi elle-même par le seul
+poids de son beau Corps. Lorsque le gros Vit fut enfoncé
+jusqu'à la garde, Traitdamour me dit: -- Alons! le plüs beau
+des cons vous appelle-.... Je me précipitaí dans le bijou de
+ma Fille, la jolie Tendrelys me dirigeant le vit. Mad.
+Brideconnin, putaîn comme Persone, puisqu'à cet instant, On
+lui bourrait les 2 trous, fit 3 signes-de-croix. On luí
+demanda, Ce qu'elle avait: -- On me fout devant mon Mari; mais
+je suis sur le Fauteuil à ressort, qui m'empêche de me
+defendre: Mon Mari voyant que je le fais coquú, me fait
+coquète; c'est dans l'ordre: Mais notre Maître, fout,...
+enconne sa Fille enculée! -- Sa fille?... sa fille-!...
+(s'écria-t-On 5-fois). -- Oui, sa Fille (balbucia Rosemauve,
+qui dechargeait sous Brideconnin): Aprês?... -- Ah! dirent les
+4 Fouteurs et les 4 Fouteuses, ceci nous met en rage de
+vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'à extinction
+de forces-. Et les Enconeurs, les Enconnées; les Enculeurs,
+les Enculées, s'agitaient à quî mieux, dessus, dessous, comme
+des Diables & des Diablesses dans un benîtiér. Tendrelys me
+chatouillait les couilles & celles de Traìtdamour; Minone
+celles de Brisemote et de Cordaboyau; Conète celles de
+Brideconnin, et fourráit son index dans le trou du cùl de
+Rosemauve. Le Fouteur qui n'était pas accoutumé à ce rafinemt,
+se recriait de volupté: -- Ah que vous foutéz bién ici!
+(disait-il en dechargeant); On ne fait que connailler
+ailleurs. -- Oh! vous anéz bién raison, mon Mari? (lui repondit
+sa Femme en dechargeant aussi), onc je ne fus ramonée comme je
+le suis en ce moment, par les deux Vits qui Vous plantent
+chacun une corne, l'Vn dans mon con, l'Autre dans mon cul-.
+
+Conquète remarquant que j'alais mieux, lorsque Tendrelys me
+chatouillait les couilles, l'en remercia tendremt: -- Chère
+Amie?... ma main en fera... autant à ton Fouteur,... quand tu
+seras enconnée... Et Vous, ma chère Hotesse, Vous êtes donc
+bién foutue-?... Ce joli mot, foutue, avait tant de grâces
+dans la belle bouche de Conquète, que je l'alais refourgonner,
+si Traitdamour, qui la deculait et qui alait laver, ne m'avait
+pas prié instanment de la lui laisser enconner... Mais j'étais
+trop ému pour rester spectateur; j'ordonnaí à Tendrelys de me
+faire beau con? Minone et Conète la renversèrent sur le dos et
+lui écartèrent les cuisses. Ma Fille, avant d'être enconnée
+par son Fouteur, voulut inserer mon vit; elle baisa la
+Patiente sur la bouche, en lui disant: -- Tendrelys! remue du
+cul, et donne bién du plaisir à mon Père-! Et comme elle avait
+remarqué que le mot foutue, m'avait fait beaucoup
+d'impression, dans sa bouche, elle s'écria, tout en secondant
+son Enconneur: -- Fou...ou... outre!..... Sacré Vit!...
+perce-moi... dechire-moi le conot!... mon Père! poignarde...
+estropie ta Tendrelys!... ze decha... arge-!........... Ah!
+cette Femme si modeste, s'écria la Bridecononin, comme elle
+fout-!... Ce fut le Bouquet. On ala souper.
+
+
+
+
+XLV Chapitre.
+
+Soupér d'Adieux; Graces que dit Mad. Vitnegre.
+
+
+On soupa. Les tetons étaient couverts; les propos furent
+decens..... -- Mais, me dìt Minone, On dit que vous avéz-eú 8
+jolies Femmes connues, et On les nomme? -- Hôh! Interrompit
+Conquète, ne faites plus lire de ces Histoires-là: La journée
+de volupté est finie, et nous sommes à-présent des Persones
+ordinaires. -- Il faut donc les remettre, repondit Traitdamour,
+pour une interruption de seance-.
+
+Comme on se disposait à sortir, et qu'il n'y avait plus de
+dangér de nous faire bandocher, On me pria d'exiger que nos 6
+Cons et nos 12 Tetons fussent mis à l'air, et baisés à
+discrétion pour les Adieux? J'y consentis. Aussitôt Conquète,
+Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conète et La-Brideconin, furent
+defichutées, troussées et renversées sur les foutoirs par les
+4 Dernières, qui se defichutèrent, se troussèrent et se
+renversèrent elles-mêmes. On leur lecha le Con; Les 5 Hommes
+sucérent les 12 Tetons: Les Belles prirent, décalotérent et
+baisérent les 5 Vits, embouchérent seulemt le mién, en disant:
+Vit incomparable..... adieu... pour Huit jours...
+
+On alait sortir, quand On vit la belle Epouse de Vitnègre se
+prosterner toute detetonnée, en s'écriant:
+
+"Sainte & jolíe Vierge MARIE; que PANTHERE, branlait,
+gamahuchait, enculait, entetonnait, embouchait, & qu'il
+enconna enfin une nuit, à-côté du Cornard endormi le bon S.
+Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jesus, ce bon fouteur
+de la Putain publique la belle Madelene, Marquise de Bethanie,
+dont le vagabond JESUS était en-outre le souteneur, autrement
+le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte Garse,
+enculait encore S. Jean son giton: S.te & jolie MARIE, Vierge
+comme moi, nous vous remercions de cette heureuse journée de
+fouterie. Faites-nous la grâce, par les merites de votre Fils,
+d'en avoir une pareille Dimanche-prochain!.... Et vous, Sainte
+MADELENE, que foutait l'Abbé JESUS, ainsi que Jean l'enculé,
+Obtenéz-moi la grâce de foutre autant que vous, soit en con,
+soit en cul, 15 ou 20 fois par jour, sans être épuisée, mais
+toujours dechargeant...... Vous foutiéz avec des Pharisiens,
+avec Herode, & même avec Ponce-Pilate, pour avoir de-quoi
+nourrir le gourgandin JESUS, votre greluchon, & les Vagabonds
+qui lui servaient de Chouans: Obtenéz-moi de votre Maquereau
+JESUS, qui étant dieu, a sans-doute quelque pouvoir, d'avoir,
+sous peu, ce riche Entreteneur, qui est un-jour descendu de
+carrosse bandant à mon intension, comme je revenais de chéz
+mon Amie Mad. Congrêlé; à-celle-fin, qu'au-moyén de l'argent
+que je gâgnerai, à votre imitation, avec mon con, mon cùl, mes
+tetons & ma langue dardée, je puisse soulager mon digne Père,
+dans sa vieillesse; non-seulement en foutant avec lúi, pour
+lúi donner le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la
+pieuse Fille d'Eresictton le famelique, ou la pieuse Ocyrhoé,
+fille du Centaure Chiròn, qui toutes-deux devinrent cavales,
+c'est-à-dire Montures d'Hommes ou saintes Putains!... Modèle
+des Maquereaux, doux JESUS! fouteur acharné, Greluchon
+complaisant de la brûlante & exemplaire Putain Madelène, qui
+était si amoureuse de votre Vit divin & de vos sacrées
+Couilles, maintenéz, par votre toutepuissance, mon conin
+toujours étroit & satiné, mes tetons toujours fermes, ma peau,
+mon cùl, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes
+épaules, mon dos ou mes arrière-tetons, toujours blancs, mes
+reins toujours élastiques; les Vits de mes Amans, celui de mon
+Père compris, toujours roides, leurs couilles toujours
+pleines; car vous teniéz en cela du saint Roi David, si fort
+suivant le coeur de Dieu, parcequ'il était le premiér fouteur
+de son temps!... Faites, ô JESUS! que mes hauts talons, qui me
+prêtent tant de grâces, & font bander tant de monde, ne me
+donnent jamais de cores aux piéds, mais que ces piéds
+tentatifs restent toujours foutatifs, comme ils le sont!...
+Amen! -- Amen! s'écria toute la Société, Vits et Cons.
+
+Tout le monde sortit édifié de la piété éclairée de ma Fille,
+et en s'en-alant, on disait: -- Voilà ce qui s'appelle
+connaitre la vraie religion, et prier Dieu comme il conviént,
+en Lui demandant des choses raisonnables! Hoh! c'est une Fille
+exemplaire-!
+
+
+
+
+XLVI Chapitre.
+
+Chapitre. Premiere Negociacion du con de ma Fille.
+
+
+Le surlendemain, quand je vis Conquette [que j'avais évitée le
+Lundi], je La trouvai coîffée en batant-l'oeil: Ce qui, avec
+ses grands ieux à longs cils La rendait charmante... Elle
+avait des souliérs de coutil de soie neufs, qu'elle essayait.
+Je me jetai à ses genoux, en Lui disant: -- Coquette: Ton piéd
+est le mieux-fait possible; mais il est un-peu grand, & ce
+soliér bién pointu, ces talons minces, très-élevés, le font
+paraître plüs petit de-moitié: Il est divin!.... & je bande...
+comme tu vois?.... -- Mon cher Papa: comme je sais à quel point
+vous m'àdoréz, j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de
+vous la préter pour orner vòtre cheminée... Voici les blancs
+d'hiër, avec lesquels j'ai tant été..... ce que vous
+savéz....... Voyéz la jolie forme que leur a donnée mon piéd?
+Ils sont plûs voluptueux qu'avant d'avoir été mis... Je
+flairai avidemt le dedans de ces divins soliers: -- Hah! je
+bande! m'écriai-je; Les sacrés-bougres sont embaumés... Je
+suis perdu... j'aurai la colique, si je ne t'enconne une
+pauvre fois?... Laisseras-tu decharger par-terre ce
+Vit-paternel? -- Mon cher Papa, mettéz-vous le cùl & les couilles
+dáns cette grande terrine, préparée pour mon cón & mon cùl;
+l'eau froide vous ferait debander. C'est mon remède quand j'ai
+le còn brûlant-. Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et
+je Le fis: Elle cacha ses piéds comme une Dame Espagnole, et
+je fus calmé. -- J'en ai fait autant tout-à-l'heure: Timori
+vìént de venir: J'étais encore au lit; Il m'a pris les tetons,
+puis le còn: La vue de son Vit, qui bandait ròide, m'a fait
+impression. Mais mon coeur n'a rién senti. Cependant il voulait
+me gamahucher, me priant de le branler après? -- Je ne suis
+pas une Putain. -- Tu es bien fròide-? (C'est que reellement
+je ne l'aime plus; vous êtes mon amant, cher Père? &
+Traìtdamour est votre lieutenant dans mon còn; il est votre
+double Vit, & c'est encore Vous qui me foutéz, quand il me
+l'enfonce)... J'ai cependant eú des remords de ma dúreté: Je
+lui ai saisi le Vit, & me le mettant dans la bouche bién
+decaloté, je l'y ai fait decharger, avalant son foutre avec
+delices. Ce qui m'a fortifiée. Mon chocolat m'a rincé la
+bouche...... Mais revenons. Si Vous vouléz que votre Fille
+cherie ait ún plaisir ineffable, caressez-La, quand on La
+fout. Langue en bouche, la siénne dans la vôtre... Vous
+prenant les couillètes, vous serrant le vit à la poignée, elle
+dechargerait au double? -- Hoh! tu es trop adorable... Foutons
+un petit coup? -- Je m'étais rafraichi le con: mais tu y remets
+le feu, cher Papa, et le foutre seul peut l'éteindre...
+Foutons... Enconne ta Fille... Mais va doucemt, que je
+decharge plusieurs-fois, tout en te racontant quelque-chose-.
+
+Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer
+lentemt, par de petits coups-de-cul insensibles. La fraîcheur
+de l'eau m'avait fait roidir, ét retardait l'émission. Enfin,
+elle ne fut plus maîtresse de se retenir; elle coupdecula,
+elle saccada, en s'écriant: -- Ze deça--arse-!... Elle resta
+ensuite immobile, en me disant: -- J'ai oublié de vous remettre
+l'adresse que l'Entreteneur d'avant-hier m'a glissée, pour
+l'aler voir, ét... foutre avec Lui... Hah! fourgonne... je
+redeçarge... Tu pars... Hah divin Père!... Et elle se mit à
+soubresauter, en gigotant, comme jamais ne gigota Fouteuse...
+Après une copieuse decharge, elle reprit: -- La voila. Dis-Lui,
+ou écris-Lui, Que je ne vais chéz Persone. Et laissez-Lui
+votre adresse. -- "Oui, Deesse Fututrix", Lui repondis-je. La
+Brideconin nous apporta notre excellent chocolat; et je
+partis.
+
+Aprês les affaires, j'alai chéz le futur Fouteur de ma Fille.
+Je Le trouvai: je Lui donnai un mot de Conquette-Ingenue, par
+lequel elle Lui marquait, Que s'il avait un mot a repondre, il
+pouvait tout dire a son Père... Je fus bién reçu. Le Richard
+me dit, Qu'il demandait une Maîtresse aimable, et qui sût
+donner, en foutant, bién du plaisir. -- Monsieur (Lui repondis-je),
+ma Fille a été mal-mariée; elle peut vous apartenir,
+à-condition qu'elle gardera son logement voisin du mién. Vous y
+mangeréz, coucheréz avec elle, sans que je m'en mêle. Quant à
+la volupté, ét aux mouvemens. du cûl ou des reins, un Mari
+libertin ne Lui a donné que de trop douloureuses Leçons...
+Mais en vous La livrant, je veux que son sort soit assuré,
+qu'il s'améliore même un-peu chaque année... Je vous répons
+d'être alors le Gardién de sa fidelité. Dailleurs, elle est
+sage: L'assûrance d'un sort independant de son monstre de
+Mari, peut seule La déterminer-. Ceci convint fort! et la
+decision definitive fut remise après un voyage d'affaires et
+d'argent, dont il devait être de-retour dans 8 ou 10 jours.
+
+Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette-Ingenue. -- Mon
+Papa, repondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me sufiréz
+vous ét Lui; vous seréz mes deux pères. Je renoncerai même à
+votre beau Secrétaire, si vous me promettéz de n'enconner que
+Moi? Oû trouveréz-vous un Con qui vaille le mién?... Garde-moi
+tout ton foutre, comme tout ton coeur, ô le plûs ribaud des
+Papas-? Ie vis qu'elle était jalouse, ét je l'en aimai
+avantage. Mais j'étais encore trop libertin, pour me borner à
+foutre uniquemt Celle que j'aimais le mieux.
+
+La Brideconin nous apporta de la limonade. Elle boitait de
+naissance, mais d'une maniére voluptueuse. Elle êtait coifée
+en cheveux, ét quoique grêlée, três-provoquante. Ie le dis à
+ma Fille. Conquète-Ingenue me repondit: -- Dês avant nos
+parties, son Mari voulait me le mettre; mais il me deplaît. La
+Femme a demandé, depuis qu'ils ont tout vu, á me gamahucher.
+Tous-deux m'adorent. Je ne leur avais, jusqu'au boulevari
+d'hiër, laissé baîser que mon piéd. Le Mari enconne sa Femme
+dês que je le veux. C'est un amusement que je me donnais dans
+la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir en vue de
+Brideconin, les jupes troussées jusqu'au mollet; il est
+tellement excité par ma mi-jambe ét mon piéd, qu'il se jète
+sur la Putain, ét la fout tant que je veux; en haussant
+toujours un-peu la jupe. Enfin, s'il aperçoit un commencemt de
+la cuisse, il heurle de luxure. Un-jour, trop échauffée par ce
+que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le découvrant.
+Le Fouteur s'est mis â braire, en fourgonnant avec fureur. Il
+dechargeait, refourgonnair, ét alait se tuer, quand sa Femme
+me regarda.... Elle se hâta de decharger, ét vint me baisser
+les jupes. Alors Brideconin épuisé se trouva mal-. A ce recit
+de Conquète, je rebandais. Mais je me remis le Vit et les
+Couilles dans l'eau, ét bién rafistolé, je sortis sans
+finaler. Nous fumes Tous sages le reste de la semaine.
+
+
+
+
+XLVII Chapitre.
+
+Chapitre du Rabachages á Faire bandocher.
+
+
+Le Dimanche arrivé, tout notre Monde accourut, à-l'exception
+de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, &
+d'elle-même: Traîtdamour ne l'avait pas trouvée chéz elle, &
+il était déja fâché. Maîs il fut ravi, en entrant avec sa Soeur
+& sa Maîtresse, de la voir auprès d'Ingenue, qui lui suçait le
+sein decouvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cùl &
+le con. Cordaboyau & Brîsemote arrivèrent les derniérs. On se
+mit à Table, dês que Cordaboyau, envoyé chéz Rosemauve, eút
+annoncé, qu'elle ne viéndrait pas. Il remit en-même-temps un
+Billet de la Malade pour ma Fille. Ingenue le parcourut bas
+dabord: puis elle nous le passa. Traítdamour lut par mes
+ordres. Le voici:
+
+Divine Amie! Reçoi les actions de grâces que je rens à ton
+Conin et à tes Soliérs... Hiër jeudi fêtedieu (la Lettre était
+du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as prêtée,
+pour faire bander un Clerc de No aire, amant de ma Soeur
+Rosalbe, à laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi ton
+grand bonnet battantl'oeil, qui me va si bién, à cause de mes
+grands yeux noirs, la robe, la jupe blanches sur fond rose,
+comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tourdecùl. Dans
+la rüe des Cinqdiamans, j'entendis derrière moi: "C'est
+elle!... Oui, c'est elle! c'est ma Deesse"!... On m'aborde.
+"Hâ! ma Belle! vous voila si prês de chéz moi, que vous y
+monteréz, puisque votre Père y est venu"?... Il m'a pris le
+bras; je me suis laissée mener; pensant bién qu'en me
+reconnaissant, il me laisserait aler, surtout aprês m'avoir
+foutue. Point! il ne se desabuse pas!... Il est vrai qu'il
+m'avait introduite dans un appartement au premiér à très
+sombre jour. Il tombe à mes genoux, ou plütôt aux vôtres "Vos
+traìts, belle Saxancour, sont un peu differens de ce qu'ils
+m'avaient paru; mais vous n'en êtes pas moins une Brune
+adorable. C'est que j'ai toujours plûs regardé vos piéds, dont
+je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi
+les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de
+votre parure... M'aimeréz-vous"? J'ai cru devoir repondre,
+"Ouî. "Hâ! je suis trop heureux"! Il m'a pris mille baisérs,
+en me fesant darder la langue, m'a patiné les tetons, saisi la
+mote, renversée sur un large sofa, troussée, foutue... J'ai
+remué du cùl! je lui ai donné du plaisir... hâ! vous me
+connaisséz?... Ça fait, il m'a présenté à laver, m'a fait lui
+verser de l'eau sur le vit, m'a essuyé còn et cùl, m'a baisé
+la mote et les fesses: puis a dit à sa Femme de charge: "Le
+dînér est-il prêt? "Dans un demi-quart d'heure. "Aprês le
+verre d'Alicaute, descendons, ma Belle"! Nous sommes descendus
+chéz le Notaire voisin. Six-mille francs par an, 500 francs
+par moi, d'avance.... J'ai signé la minute, ét je suîs
+remontée dotée, comme j'étaîs descendue foutue. Nous avons
+dîné tête-à-tête. Des que les Domestiques ont été retirés, il
+m'a fait mettre à nud mes tetons; puîs il m'a enyvrée de
+champagne. Il s'êst lavé le vit dans un verre mousseux. Je
+l'aí aussitôt avalé... Enchanté de ce traìt, il m'a mis son
+vit sur les lêvres. Je le lui aí embouché, suçé! Il s'êst
+recrié de plaîsir, en me dîsant: "Tu ês ma deesse, la putain
+faite pour moi. Je ne veux pas te decharger en bouche; je veux
+garder mon foutre pour ton Còn. Montre-le moi, que je le
+baîse; ét adieu jusqu'à demain... Mon carrosse? (a-t-il dit à
+sa Femmedecharge, qui m'épongeait le cùl ét le côn]. Il m'a
+remenée.
+
+J'auraî mon apportement chéz lui ce soìr. Je suîs restée tard
+au lit, y étant toute embaumée, et envelopée dans deux peaux
+de veaux, qui m'ont été apportées hîër-soìr encore chaudes;
+afin d'avóír la peau des cuîsses ét des fesses presqu'aussi
+satinée que vous. Ainsi, belle Conquète! je vous dòis ma
+fortune. J'en remercie votre adorable Cón, ét surtout votre
+voluptueuse chaussure. En chemin, mon genereux Fouteur m'a
+promis que dans três-peu de temps, il me ferait enculer en sa
+présence, par un joli Jockey, auquel il s'êst deja fàit
+enculer Lui-même 2-fois, dans deux circonstances, où il avait
+ressenti au trou du cùl un violent prurit. C'a été son
+expression. Adieu... ou Avit, ô divine Fouteuse!
+
+Nous fumes tous ébahis! Tendrelys embrassa Conquète-Ingenue,
+en s'écriant: -- Hâ! si l'On vous connaîssait-!... Je voulais
+aler détromper mon Gendre volé. Ma Fille m'en empêcha: -- Il
+n'était l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas
+infidèle; il a tout ce qu'il lui faut-. Tendrelys applaudit à
+cette réponse: -- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins-,
+ajouta-t-elle.
+
+La Brideconin, pour être plûs à nos parties, qui lui donaient
+des plaisirs inconnus, avait fait venir chéz elle, ce jour-là,
+Une Soeur de son Mari, fort-grêlée; mais la plûs provocante
+Tetonnière de 18 ans qu'On puisse voir. La Garse ne croyait
+pas que la Laideron tenterait, toutes nos Dames étant jolies,
+& 2 parfaitemt belles. Ce fut cette Tetonière, faite-au-tour,
+à tâille guêpée, comme les Comtoises, qui nous servit. Mais
+dês qu'elle eüt fait bander, pour lui éviter de la peine, les
+Hommes alèrent chercher les assiètes...... Au dessert, On me
+somma de raconter l'histoire des Cons depucelés dont avait
+parlé Minone, & que Mad. Ingenue-Conquète m'avait empêché de
+faire à soupér, depeur qu'elles ne fussent trop savoureuses?
+J'y consentis.
+
+
+HISTOIRE des Phénixs dénichés.
+
+
+"Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, ét baisant les
+tetons de mon active Fouteuse, vous conter comment j'ai
+depucelé Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde;
+Rosalie-Con-Rose, ainsi que Suzonète sa soeur-cadète;
+Manon-Aurore-Sourismignard; Léonor-Robé, femme de Margâne le
+Parfumeur; la Seconde ét la Troisième Consfriands, Saccadine ét
+Voixflûtée.
+
+La première-fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle
+était en deshabillér brun, bas fins de coton, soliérs de
+maroquin noir; talons plüs hauts que ceux de Conquète. Elle me
+donna des desirs violens; je la suivis: c'était le soir: Elle
+entra dans l'alée à-côté de la boutique de sa Mère. L'escaliér
+était obscur. J'étais sur ses talons. Elle ouvrit le premiér,
+dont les volets étaient fermés. Nuit profonde. J étais entré
+avec elle. "Hâ! c'est vous, Monsieur Copahü, dit-elle en
+m'entendant réspirer... Je Lui mis la main sous la jupe. "Hô!
+voila toujours come vous faites!... Laissons donc les volets
+fermés". Je cherchais un Lit. Elle y recula. Je L'y renversai.
+"Mon dieu! aléz, que vous êtes tèrible"! Et elle s'arrangeàit
+néanmoins commodément pour tous-deux. J'insère. Elle riposte,
+en disant: "Il faut bién faire comme ça, sans quoi vous dites
+qu'On ne vous aime pas". La jouissance fut delicieuse, quoique
+simple ét sans accessoires. Mais Victoire était si belle, ét
+je L'avais tant desirée!... Je voulais sortir sans être connu.
+On frappa. Je suivis ma Monture effrayée qui courait ouvrir,
+quoique je La retînsse. en disant: "C'est mà Mère, ou mà Soeur:
+Restéz ou sortéz, come il vous conviéndra"? "Je sors". Elle
+
+
+[ici s'arrête le volume imprimé]
+
+
+
+
+
+
+Transcription en français moderne:
+
+
+Quelle excuse peut se donner à lui-même, l'homme qui publie un
+ouvrage, tel que celui qu'on va lire? J'en ai cent, pour une.
+Un auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses lecteurs.. Il
+n'est rien qui contribue autant au bonheur, qu'une lecture
+agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui
+tienne contre une heure de lecture". Or, de toutes les
+lectures la plus entraînante est celle des ouvrages érotiques,
+surtout lorsqu'ils sont accompagnés de figures expressives.
+Blasé sur les femmes depuis longtemps, la Justine de Dsds me
+tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, et ce
+fut avec fureur: je mordis les seins de ma monture; je lui
+tordis la chair des bras... Honteux de ces excès, effets de ma
+lecture, je me fis moi-même un Erotikon savoureux, mais non
+cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une bossue
+bancroche, haute de deux pieds. Prenez, lisez, et vous en
+ferez autant.
+
+
+L'ANTI-JUSTINE.
+
+
+
+
+Personne n'a été plus indigné que moi des sales ouvrages de
+l'infâme DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la
+Théorie du Libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scélérat
+ne présente les délices de l'amour, pour les hommes,
+qu'accompagnées de tourments, de la mort même, pour les
+femmes. Mon but est de faire un livre plus savoureux que les
+siens, et que les épouses pourront faire lire à leurs maris,
+pour en être mieux servies; un livre où les sens parleront au
+coeur; où le libertinage n'ait rien de cruel pour le sexe des
+Grâces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort;
+où l'amour ramené à la nature, exempt de scrupules et de
+préjugés, ne présente que des images riantes et voluptueuses.
+On adorera les femmes, en le lisant: on les chérira, en les
+enconnant; mais l'on en abhorra davantage le vivodisséqueur,
+le même qui fut tiré de la Bastille avec une longue barbe
+blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'ouvrage enchanteur que je
+publie, faire tomber les siens!
+
+
+Mauvais livre fait dans de bonnes vues.
+
+Moi, Jean-Pierre Linguet, maintenant détenu à la Conciergerie,
+déclare, que je n'ai composé cet ouvrage, tout savoureux qu'il
+est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y
+trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des libertins,
+les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule.
+
+
+Floréal, an 2.
+
+Chapitre I De l'enfant qui bande.
+
+
+Je suis né dans un village près de Reims, et je me nomme
+Cupidonet. Dès mon enfance, j'aimais les jolies filles.
+J'avais surtout un faible pour les jolis pieds et les jolies
+chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Dauphin, fils de
+Louis XIV, et à Thevenard, acteur de l'Opéra.
+
+La première fille qui me fit bander, fut une jolie paysanne,
+qui me portait à vêpres la main posée à nu sur mes fesses;
+elle me chatouillait les couillettes, et me sentant bander,
+elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal:
+car elle était chaude, parce qu'elle était sage.
+
+La première fille à laquelle je fis des attouchements, en
+conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma
+première puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit
+soeurs, cinq aînées d'un premier lit, et trois puînées. La
+seconde de celles-là, était jolie au possible; il en sera
+question. La quatrième avait le poil du Bijou tellement
+soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les
+autres étaient laides. Mes puînées étaient toutes trois
+provoquantes.
+
+Or ma mère préférait Jenovefette, la plus voluptueusement
+jolie, et dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui apporta
+des souliers délicats. Je les lui vis essayer, et j'eus une
+violente érection. Le lendemain dimanche, Jenovefette mit des
+bas fins blancs et neufs de coton, un corset qui lui pinçait
+la taille; et avec son lubrique tour de cul, elle faisait
+bander, quoique si jeune, mon père lui-même; car il dit à ma
+mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux
+voir le soulier et le bas de la jambe de ma jolie cadette)...
+Dès que ma soeur fut sortie, mon père renversa ma mère, et la
+carillonna sur le pied du lit sous lequel j'étais, en lui
+disant:
+
+-- Oh! prenez garde à votre fille chérie! Elle aura un furieux
+tempérament, je vous en avertis... Mais elle a de qui tenir;
+car je baise bien! et voilà que vous m'en donnez, du jus de
+con, comme une princesse...
+
+Je m'aperçus que Jenovefette écoutait et voyait... Mon père
+avait raison. Ma jolie cadette fut depuis dépucelée par son
+confesseur; ensuite foutue par tout le monde. Mais elle n'en
+est que plus sage à présent... Dans l'après-dîner, Jenovefette
+vint au jardin, où j'étais seul. Je l'admirai; je bandai.
+L'ayant abordée, je lui pressai la taille, sans parler; je lui
+touchai le pied, les cuisses, un connin imberbe et joli, s'il
+en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis
+mettre à quatre; c'est-à-dire, sur les mains et sur les
+genoux, et, à l'imitation des chiens, je la voulais enfiler
+ainsi, en hennequinant et saccadant de toutes mes forces,
+comme fait le chien, et lui comprimant fortement les aines de
+mes deux mains: je lui faisais cambrer les reins, de sorte que
+son connin était aussi à ma portée que le trou de son cul: je
+l'atteignis donc et je mis le bout entre les lèvres, en
+disant:
+
+-- Hausse, hausse le cul, que j'entre.
+
+Mais on sent aussi qu'un connichon aussi jeune, ne pouvait
+admettre un vit, qui ne décalottait pas encore (Il me fallait
+une connasse, comme je l'aurai bientôt). Je ne pus
+qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne déchargeai
+point, je n'étais pas assez formé... Ne pouvant enfiler, je me
+mis, aussi à l'imitation de mes modèles, à lécher le jeune
+connin... Jenovefette sentit un chatouillement agréable sans
+doute; car elle ne s'ennuyait pas du jeu, et elle me donna
+cent baisers sur la bouche, lorsque je fus debout. On
+l'appela, et elle courut.
+
+Comme elle n'avait pas encore de gorge, dès le lendemain elle
+se mit des tétons postiches, sans doute parce qu'elle avait
+ouï vanter ceux de sa mère, ou de ses aînées. Je les
+remarquai: je la fis chausser, et l'ayant placée commodément
+sur son lit, je m'escrimai près de deux heures. Je crois en
+vérité qu'elle émit; car elle s'agitait comme une petite
+enragée à mon lèchement de con... Dès le surlendemain, on
+l'envoya en apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope
+tiré par mon père.
+
+Chapitre II Du con soyeux.
+
+
+Mes autres soeurs étaient l'une sérieuse; elle me retint dans
+les bornes; mais j'ai depuis foutu ses deux filles à Paris. Ma
+troisième était encore trop jeune: ç'a été une superbe fille à
+dix-huit ans! Je me rejetai néanmoins sur cette enfant,
+lorsque je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était
+inabordable. Il me fallait un con, depuis que j'en avais palpé
+un: je patinai Babiche. Enfin un dimanche, qu'elle était bien
+arrangée, et que ma mère l'avait baignée, je la gamahuchai.
+
+Ce fut à cette bénigne opération, que je fus surpris par
+l'ardente Madeleine au con soyeux. Elle nous examina longtemps
+avant de nous troubler, et voyant que la petite avait du
+plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remîmes
+décemment. Madeleine ne dit mot. Elle renvoya Babiche. Puis
+elle hasarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la
+paille de la grange, où j'avais attiré Babiche; et lorsque je
+fus par terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi,
+jambe de çà, jambe de là. Par hasard, je portai la main sous
+ses jupes, et j'y trouvai l'admirable con soyeux. Ce poil
+divin détermina mon goût pour elle. Je devins fou du con de
+Madeleine Linguet: je lui demandai à le baiser!
+
+-- Petit coquin! (me dit-elle), attends un moment.
+
+Elle alla au puits, tira un seau d'eau, et s'accroupit
+dessus... Elle revint, et badina encore. Enflammé, hors de
+moi, je lui dis, dans ma petite fureur érotique:
+
+-- Il faut que je lèche ce joli trou.
+
+Elle se mit sur le dos, les jambes écartées. Je léchai; la
+belle Madeleine hocha du cul.
+
+-- Darde ta langue dedans, cher petit ami! (me disait-elle).
+
+Et je dardais, et elle haussait la motte. Je fourgonnais avec
+rage!... Elle eut tant de plaisir, qu'elle se récria. Je
+bandais comme un petit carme; et comme je ne déchargeais pas,
+j'avais toujours la même ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligée
+de me quitter, Madeleine me donna des friandises, que je
+mangeai avec Babiche.
+
+Un soir, ma soeur au con soyeux me dit:
+
+-- Cupidonet! ta jolie broquette est toujours bien roide, quand
+tu me lèches! Il me semble que si nous étions dans le même
+lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite
+marmotte, que tu aimes tant à sucer, et dont le poil est si
+doux! j'aurais sûrement bien du plaisir! et peut-être toi
+aussi? Viens c'te nuit...
+
+Quand tout le monde fut endormi, je me glissai dans le lit de
+ma grande soeur. Elle me dit:
+
+-- J'ai vu mon père, un jour qu'il venait de caresser ma soeur
+la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta mère, sa
+grosse broche bien roide, et lui fendre la marmotte: je vas te
+montrer; tu feras comme lui.
+
+-- Et moi aussi, je l'ai vu.
+
+-- Bon! bon!
+
+Elle se disposa, me plaça sur elle, me dit de pousser, et
+riposta. Mais elle était pucelle, et quoique bandant roide, je
+ne pus introduire; je me faisais mal. Pour Madeleine Linguet,
+elle déchargea sans doute; car elle se pâma.
+
+Oh! que je regrettai ce joli con soyeux, que je léchais et
+fourgonnais depuis six mois! Mon père, Claude Linguet, qui ne
+me ressemblait pas, éloignait ses filles, dès qu'elles
+l'avaient fait bander. On prétend que Madeleine avait tenté de
+se le faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours
+après, elle partit pour la capitale, où notre frère aîné,
+l'ecclésiastique, lui avait trouvé une place de gouvernante
+d'un chanoine de Saint-Honoré. Ce cafard ne tarda pas à
+connaître ce qu'elle valait. Il y avait une porte dérobée, de
+lui seul connue, qui donnait dans la chambre de ses
+gouvernantes, qu'il allait patiner durant la nuit. Mais il
+n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le con soyeux de
+Mlle Linguet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, et il
+n'eut plus de repos qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle
+dormait d'autant plus fort qu'elle en faisait semblant, il la
+gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le chanoine
+monte sur elle, et l'enconne. Elle le pressa dans ses bras, en
+remuant du cul.
+
+-- Ha! Mignonne! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!...
+Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un peu putain?...
+
+Sa chemise et les draps ensanglantés lui prouvèrent qu'elle
+était pucelle. Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce
+saint homme pendant deux ans, et le mit au tombeau. Cependant
+il la dota. Ce qui fit qu'elle épousa le fils du premier mari
+de ma mère.
+
+Chapitre III De la mère foutue!
+
+
+Comme après le mariage de Madeleine et son retour à Reims
+j'étais un peu plus formé, je désirai vivement de le lui
+mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais réduit à patiner
+et gamahucher ma soeur Babiche, avec quelques-unes de nos
+cousines germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces
+connins imberbes rétrécissaient... Je demandai un rendez-vous
+nocturne à la nouvelle Mme Bourgelat! Elle me l'accorda pour
+le soir même. Nous étions à notre ferme, et son mari venait de
+partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je
+ne sais par quelle aventure, cette même nuit, mon père se
+trouva incommodé. Ma mère, après l'avoir secouru, craignant de
+le gêner, alla se mettre auprès de sa bru. Celle-ci, la voyant
+endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi,
+tandis que de mon côté, j'allais à elle. Nous ne nous
+rencontrâmes pas, malheureusement!... Je me mis à côté de la
+femme que je trouvai dans le lit. Elle était sur le dos: je la
+montai, toute endormie; et l'enconnai. J'étais surpris
+d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hocha
+quelques coups de cul, moitié assoupie, en disant:
+
+-- Jamais! jamais vous ne m'avez donné tant de plaisir!...
+
+Je déchargeai aussi; mais je m'évanouis sur ses tétons encore
+fermes, parce qu'elle n'avait pas nourri, et qu'on ne les lui
+avait jamais patinés. Mme Bourgelat revint auprès de nous, au
+moment où je m'évanouissais.
+
+Elle fut bien étonnée des mots que venait de prononcer sa
+doublement belle-mère! Elle comprit que je l'avais foutue, et
+elle me reporta dans mon lit encore évanoui... Ainsi donc
+c'est dans le con maternel que je venais d'émettre ma première
+semence!... Ma mère, entièrement éveillée, dit à Madeleine:
+
+-- Mais, que faites-vous donc, ma fille?
+
+J'étais revenu à moi. Ma soeur retourna au lit de ma mère, qui
+lui dit tout bas:
+
+-- Ma bru! vous avez de drôles de façons?
+
+-- Mon mari (répondit Mme Bourgelat), me fait souvent mettre
+dessus; je rêvais, et je l'ai fait. Eveillée, je suis sautée
+du lit.
+
+Ma mère crut cela.
+
+Cependant le coup porta: Mme Linguet devint grosse, et
+accoucha secrètement d'un fils, beau comme Adonis; et elle eut
+l'adresse de le substituer à un garçon de son fils, cet enfant
+étant mort en naissant. C'est de lui dont il sera un jour
+question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon
+neveu.
+
+Huit jours s'écoulèrent. Après quoi, bien remis de mon
+évanouissement, j'eus un autre rendez-vous. Mais admirez mon
+malheur! Nous avions été entendus d'une grosse tétonnière,
+notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mme
+Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse, qui m'aimait,
+car elle se branlait souvent à mon intention, et qui
+d'ailleurs n'était pas méchante, se contenta de dire à mon
+frère, de fermer les nuits la porte de sa chambre à la clef,
+et de la cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugez de mon
+étonnement, quand au lieu d'un con soyeux, et de tétons ronds
+et délicats, je patinai une connasse à crins de cheval, et
+deux gros ballons bien gonflés. Elle se le mit; je poussai, et
+j'eus assez de plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir.
+
+Enfin, je le mis à Madeleine, dans le grenier à foin. J'allais
+comme un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup de cul
+qu'elle donna, je m'évanouis...
+
+Chapitre IV D'un autre beau-frère cocu.
+
+
+Madeleine évita de m'accorder des faveurs, dont les suites
+l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette
+privation. Huit jours après la dernière scène, je partis pour
+venir à Paris. J'y allais pour apprendre. Mais il ne sera pas
+ici question de mes études. Je fus logé chez la belle Marie,
+la seconde de mes aînées.
+
+J'avais, pour mon pucelage, fait cocu mon père; j'avais
+cornifié mon frère utérin, en faisant décharger, et foutant
+enfin avec émission une soeur paternelle, qu'il avait épousée,
+et que j'engrossai: car Bourgelat n'a jamais eu que cet
+enfant, venu au monde neuf mois après ma fouterie au grenier à
+foin. Mais j'avais encore bien de l'ouvrage, avec huit soeurs,
+dont six, ou du moins cinq, étaient souverainement
+enconnables. Mais revenons à Marie, la plus belle de toutes...
+Un jour de Vierge, Marie était parée, chaussée avec ce goût
+particulier aux jolies femmes, et un superbe bouquet
+ombrageait ses blancs tétins. Elle me fit bander. J'avais
+quatorze ans; j'avais déjà foutu et engrossé trois femmes; car
+Mammelasse avait une fille, qu'elle se vantait que je lui
+avais faite, et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à
+Jenovefette Linguet. Ainsi, je n'eus pas des désirs vagues; je
+tendais directement au con de ma provoquante aînée. Après le
+dîner, elle alla dormir, dans une alcôve obscure, et s'étendit
+sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son mari, dont la
+culotte blanche était juste, et elle voulait lui donner le
+plaisir de le lui mettre parée. Je me cachai pour les guetter.
+Mais mon beau-frère, après avoir pris les tétons et le con de
+ma soeur, avoir admiré ce dernier, en éclairant l'alcôve, se
+réserva sans doute pour la nuit suivante. Il se retira
+doucement. Je lui vis prendre sa canne, son chapeau, et
+sortir. J'allai pousser un verrou. En revenant, je refermai
+les rideaux; le mari les avait laissés ouverts, et sa femme
+troussée. Je me mis sur elle déculotté, bien bandant, et
+j'enfilai sa fente, suçant tantôt ses tétons découverts,
+tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyait son mari. Un
+bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout calotté. Le
+filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, et
+le faisait paraître gros comme celui de l'époux. Je poussai.
+Ma belle s'agita, et mon long vit atteignit le fond. Alors ma
+soeur, demi-pâmée, se trémoussa. Je déchargeai... et je
+m'évanouis...
+
+Ce fut ce qui me fit reconnaître. La belle savoura les
+dernières oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eut
+éprouvé tout le charme d'une copieuse décharge, elle se
+déconna en me jetant sur le côté. Elle ouvrit les deux rideaux
+de l'alcôve; et, me regardant:
+
+-- Ha! Grand Dieu! c'est Cupidonet! Il m'a déchargé tout au
+fond! Il s'est évanoui de plaisir!...
+
+Je revenais à moi. Elle me gronda, en me demandant qui m'avait
+appris cela?
+
+-- Ta beauté (lui dis-je), adorable soeur.
+
+-- Mais si jeune?
+
+Je lui racontai alors toute ma vie: comme j'avais patiné,
+léché le connin de Jenovefette: comme j'avais gamahuché, enfin
+enfilé le con soyeux de Madeleine; foutu Mme Linguet, la
+croyant Mme Bourgelat: comment Mammelasse s'était fait
+enconner par moi; comment, ne pouvant me passer de con, je
+léchottais le connichon de Babiche; comment j'avais engrossé
+les trois femmes que j'avais enconnées.
+
+-- Ah ciel!... Mais tu es bien indiscret!
+
+-- Je ne le suis avec toi, que parce que tu es ma soeur aînée,
+que je t'ai foutue (le récit que je venais de débiter, les
+tétons de ma soeur, sa chaussure me faisaient rebander), et que
+je vais, divine Marie, te foutre encore.
+
+-- Mais mon mari...
+
+-- J'ai poussé le verrou...
+
+Elle me pressa la tête contre son beau sein, en me disant tout
+bas:
+
+-- Petit coquin, fais-moi aussi un enfant?...
+
+Je la re-enconnai, j'émis sans m'évanouir. La belle Marie
+n'avait pas encore eu d'enfants: je fus père de Mlle
+Beauconnin, fille unique de mon beau-frère de ce nom.
+
+[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'à
+force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les
+savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre
+avantageusement dans le coeur et l'esprit des libertins blasés,
+les goûts atroces éveillés par les abominables productions de
+l'infâme et cruel de Dsds! Ainsi, je réserve toute ma chaleur
+pour décrire des jouissances ineffables, au-dessus de tout ce
+qu'a pu inventer l'imagination exquisement bourrelle de
+l'auteur de Justine.]
+
+Chapitre V Du bon mari spartiate.
+
+
+Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viens
+de promettre, rapporter en peu de mots, une aventure
+extraordinaire, que j'eus, rue Saint-Honoré, à vingt ans
+accomplis, en faisant mon droit.
+
+J'étais voisin vis-à-vis d'un vieil horloger, qui avait une
+femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La première
+l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était
+une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à l'aide d'une
+soeur plus jeune, par laquelle la dame se faisait remplacer au
+lit dans ses moindres indispositions, pour que son mari ne
+foutît jamais avec dégoût. Cette excellente épouse ayant cessé
+de vivre, l'horloger avait épousé, âgé de soixante ans, la
+jolie, la délicieuse Fidelette, putative d'un architecte, et
+fille naturelle d'un marquis. La beauté de cette troisième
+femme n'avait pas d'égale, pour le moelleux et le provoquant.
+Son mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant,
+comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle
+paraissait désirer. Mais il n'atteignait pas le but, et
+Fidelette était chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce
+bon mari lui dit:
+
+-- Mon ange! je t'adore, tu le sais! Cependant tu es triste, et
+je crains pour tes jours précieux! Tout ce que je fais ne te
+flatte en rien? Parle! c'est un ami tendre qui t'en conjure!
+Dis-moi ce que tu désires? Tout, tout ce qui sera en mon
+pouvoir, va t'être accordé!
+
+-- Oh! tout (dit la jeune femme).
+
+-- Oui, tout, fût-ce... Est-ce à ton coeur? est-ce à ton divin
+connin, qu'il manque quelque chose?
+
+-- Tu remplis mon coeur, cher mari! Mais j'ai des sens trop
+chauds, et, quoique blonde cendrée, mon bijou a des
+démangeaisons... terribles!
+
+-- T'est-il indifférent qui le satisfasse; ou aurais-tu un
+goût?
+
+-- Sans aimer, j'ai un goût... un caprice... Mais je n'aime que
+toi.
+
+-- Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton
+gentil petit chose?
+
+-- Tiens! ce voisin... qui me regarde... et dont... je me suis
+déjà plainte...
+
+-- J'entends!... Tu as dû me trouver bien bouché!... Passe au
+bain, mon ange adoré.. je reviens dans l'instant.
+
+Il courut me trouver.
+
+-- Jeune voisin! On dit que vous aimez Mme Folin l'horlogère?
+
+-- Ma foi, on dit vrai; je l'adore.
+
+-- Venez.
+
+-- Il en arrivera ce qu'il pourra. Allons.
+
+Il me prit la main, et nous allâmes chez lui.
+
+-- Déshabillez-vous; passez dans ce bain, que ma femme quitte.
+Voilà de mon linge. Régalez-la en nouvelle mariée - ou
+ménagez-vous pour différentes nuits; à votre choix et au
+sien.... J'adore ma Fidelette; mais, pour cette épouse chérie,
+je suis content dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand
+vous l'aurez foutue, que son petit connin aura bien déchargé,
+je l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent.
+
+Et il me fit entrer dans le lit où sa femme était depuis le
+bain. Il s'en allait.
+
+-- Mon cher mari! (s'écria cette timide Colombe), tu me laisses
+seule avec un inconnu! Oh! reste! et si tu m'aimes, sois
+témoin des plaisirs que je ne devrai qu'à toi!...
+
+Et elle nous baisa tous deux sur la bouche... Le lit était
+vaste. Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur le
+ventre de la jeune épouse, aux flambeaux allumés, au vu du
+mari, et j'enconnai roide... Elle répercutait avec fureur.
+
+-- Courage, ma femme! (criait l'excellent mari, en me
+chatouillant les bourses) ... Décharge, ma fille! Hausse le
+cul!.. darde ta langue... ton fouteur va t'inonder!... Toi,
+jeune vit, plonge... plonge!... Lime... Lime-la...
+
+Nous déchargeâmes comme deux anges... Je la foutis six fois
+dans la nuit, et les deux époux furent très contents de moi...
+J'ai eu cette jouissance céleste, et plus qu'humaine,
+jusqu'aux couches de Fidelette, qui perdit la vie, en la
+donnant au fruit de notre fouterie.
+
+Chapitre VI De l'épouse qui se fait enculer.
+
+
+Je passerai sous silence mes connilleries avec ma femme
+clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage.
+Conquette-Ellès était une jolie grêlée, faite au tour, ayant
+un con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre
+la bride sur le cou, et de la laisser foutre avec qui elle
+voudrait. Elle était fille d'un traiteur de la rue Saint-Jacques,
+et soeur du libraire PetiteBeauté. Elle est morte
+syphilisée, longtemps après m'avoir donné deux filles... Ah!
+qu'elle foutait bien! jamais femme enconnée n'a brouetté son
+cavalier comme Conquette!... Elle est la seule créature que
+j'aie enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut
+douteuse. Elle me donna ensuite le cul de sa soeur cadette, en
+me disant que c'était encore le sien. Et je le croyais. Mais
+la jeune personne se faisant enconner, je m'aperçus de la
+tricherie, dont je ne témoignai rien... Cela fut délicieux!
+mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma
+belle-soeur fut mariée, ma femme séduisit sa coiffeuse, à laquelle
+elle recommanda bien de se faire enculer, alléguant que j'y
+étais accoutumé. Mais cette fille m'ayant averti dans la
+journée, je l'enconnai la nuit, sans que Conquette s'en
+aperçût. J'eus ainsi successivement six coiffeuses, toutes
+jolies, pendant douze ans, ma femme, qui les payait, croyant
+me cacher, par ce moyen, qu'elle avait la vérole. Ce fut ainsi
+que j'attendis les connins délicieux qui m'étaient destinés
+par la nature... C'est après la dernière coiffeuse, que
+Conquette mourante, ayant remarqué qu'un de mes cadets
+courtisait ma fille-nièce Beauconnin, qu'on ne voulait pas lui
+donner, et qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le
+laisser mettre par son amant! Mais, craignant que le jeune
+homme ne pût la dépuceler, elle me dit que la dernière
+coiffeuse m'envoyait une de ses élèves, qu'il fallait
+enconner, et sans parler, parce que, ma nièce couchant dans la
+chambre voisine, il y avait des raisons pour ne pas envoyer
+l'élève-coiffeuse dans la mienne... Pourvu que je foutisse un
+jeune con, que m'importait? J'allai nu au lit. Je trouvai des
+tétons naissants, un connin qui tressaillait. Je dépucelai...
+J'avais enconné trois fois, lorsqu'on vint me faire retirer.
+Je crus que c'était la convention. Mais, ayant écouté, je fus
+très étonné d'entendre éperonner de nouveau ma monture, et ma
+femme instruire, en les encourageant, son neveu et sa
+nièce!... Je me remis dans mon lit tout pensif... Le
+lendemain, je demandai une explication à Conquette.
+
+-- Eh bien, quoi? (me répondit-elle) vous avez dépucelé votre
+nièce Beauconnin avant que son cousin le lui mît parce que je
+craignais qu'il ne pût la déflorer...
+
+Je fus enchanté! J'avais eu les prémices de la fille que
+j'avais implantée un jour de Vierge dans le con de la belle
+Marie Linguet. Mais je dissimulai ma joie. C'était un
+excellent pronostic pour les plaisirs dont je me flattais de
+jouir depuis longtemps! et dont le moment approchait. J'y
+touche enfin.
+
+Chapitre VII Du connin au poil follet.
+
+
+On sait que j'avais deux filles, ou que du moins ma
+clandestine les avait; car je me rappelle qu'elle prétendait
+que ses véritables filles étaient mortes en nourrice, et
+que... et que... Elle parlait du Roi... d'une princesse...
+Mais elle était si menteuse que c'eût été une folie de la
+croire.
+
+Conquette-Ingénue, ma fille aînée, me causait des désirs dès
+l'âge de dix ans. Pendant que sa mère non encore vérolée
+couchait et foutait avec un galant, elle envoyait Conquette
+dans mon lit. Cette enfant avait la plus jolie conque. Je me
+fis une règle dès lors de la lui baiser tous les soirs, après
+lui avoir écarté les cuisses, durant son premier sommeil.
+J'introduisais légèrement la langue, mais sans lécher. Je
+m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur
+mes cuisses, et mon vit pressé entre les siennes. Dans le
+jour, j'enconnais, ou la maîtresse d'un certain Mivière,
+avocat, ou une jolie bossue toujours bien chaussée, qui
+demeurait dans la maison; ou une boiteuse des deux côtés, mais
+d'une délicieuse figure, et prête à se marier. Elle s'était
+laissée déflorer par son futur, et depuis ce temps-là, elle ne
+ménageait plus un très joli con blond. Quand ces trois
+fouteries me laissaient chômer trop longtemps, je fourgonnais,
+le vit serré entre les cuisses de Conquette-Ingénue, qui, se
+sentant gênée, l'empoignait toute endormie, et me faisait
+éjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque chose, et
+parla. On la mit dans un cabinet fermé.
+
+Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eut treize à quatorze ans,
+après une interruption de plus de deux ans, je me trouvai
+veuf, et elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite
+chambre à côté de la mienne. Elle était grandie, faite au
+tour; elle avait le pied le plus parfait. Je la fis chausser
+par l'artiste le plus habile, sur la forme de sa mère, qui
+était celle de la marquise de Marigni. Puis je devins
+éperdument amoureux de mon ouvrage.
+
+Mais personne jamais ne fut plus chaste que cette céleste
+fille; quoique ses mères, soit réelle ou putative, fussent
+putains, et soient toutes deux mortes de la vérole.
+Conquette-Ingénue ne souffrait pas qu'on prît sur elle la moindre
+liberté... La Providence le voulut sans doute, pour qu'elle en
+fût un jour plus désirable et plus voluptueuse... Ainsi, je me
+trouvai réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle
+avait profond, heureusement! Je profitais de son premier somme
+pour la découvrir, admirer son délicieux connin, qu'un joli
+poil follet commençait d'ombrager, et la gamahucher
+modérément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis
+me riposter. Je redoublai les coups de langue, et elle
+émit.... La lumière était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en
+disant:
+
+-- Ah! Ah! Ah! ça me chatouille! Ahh!...
+
+Elle crut qu'elle avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune
+soeur, couchée avec elle, de plusieurs coups de coude, comme si
+elle eût pensé que cette enfant l'avait chatouillée.
+
+Je me remis dans mon lit, enchanté que ma fille eût déchargé.
+Cette émission me fit espérer qu'ayant éveillé son
+tempérament, je pourrais l'enconner bientôt, en faire ma
+maîtresse, et me trouver le plus heureux des hommes. Mais que
+j'étais loin de compte! et combien de vits devaient tenter de
+martyriser ce divin connin avant le mien! Hélas! il fut prêt
+d'essuyer une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, ç'a
+été ma véritable inclination, la plus constante, la plus
+voluptueuse, que cette adorable fille, qui n'a eu de rivale
+que sa soeur... Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est
+pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit
+bandant, jusqu'au fond du con satiné d'une fille chérie,
+surtout si remuant du cul avec courage, elle décharge
+copieusement! Heureux! heureux qui cocufie, et fait cocufier
+un gendre également détesté de tous deux!
+
+Conquette-Ingénue eut ses règles la semaine suivante de celle
+où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement
+nubile. Mais, éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur
+essentielle. Ma soeur Marie, qui me connaissait, la mit en
+apprentissage de modes et du commerce de la bijouterie, chez
+une jolie marchande, dont le mari était chef de bureau; et le
+bijou de la belle Conprenant me dédommagea, mais sans m'en
+consoler, des rigueurs de celui de ma fille. Je le mis aussi à
+ma nièce Beauconnin, alors mariée à son cousin. Et, sans ce
+double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la
+provocante Conquette-Ingénue? Eperdument amoureux d'elle,
+n'osant lui prendre de jour son joli poil follet, et ne
+l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder
+dans la rue, par une fenêtre à large rebord, ce qui lui
+mettait à découvert un pied exquisement chaussé, une partie de
+la plus belle jambe; de sorte qu'en me baissant, je voyais la
+cuisse, et le connin dans certains mouvements, ou lorsqu'elle
+se disposait à descendre. Je bandais comme un carme. Mais en
+ce moment arrivaient à point nommé, ou la maîtresse de
+Conquette-Ingénue, ou ma jolie nièce Beauconnin, que j'allais
+enfiler dans ma chambre, après avoir dit à ma fille de se
+remettre à la fenêtre, pour les voir arriver; et, au moyen de
+ma porte entr'ouverte, je voyais le pied provoquant, la jambe
+voluptueuse de celle qui me faisait bander, en foutant soit sa
+maîtresse, soit sa cousine.
+
+Quatre ans s'écoulèrent ainsi; et je n'eus plus de fouteries.
+Alors, plus amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui
+était superbe à dix-huit ans, je résolus de la faire coucher
+quelquefois chez moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une
+indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi
+profond. Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais,
+et je la faisais copieusement décharger. Elle avait une motte
+superbe, ombragée d'un poil noir doux et soyeux. Je brûlais
+d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en
+déchargeant. Aussi me disait-elle:
+
+-- Je ne fais que chez vous de singuliers rêves, qui me rendent
+toute je ne sais comment!...
+
+La seule chose que je me permisse était de demander à baiser
+son joli pied chaussé; quelquefois sa jambe. J'allai un jour,
+en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher le poil
+satiné de son bijou. Mais elle fut ensuite si fort
+effarouchée, craignant que je ne parvinsse à la déflorer avant
+mariage, qu'elle précipita, aidée de sa maîtresse Mme
+Conprenant, un mauvais établissement avec un infâme. Ce fut ce
+que j'ai eu tant de peine à lui pardonner!... Mais la pauvre
+enfant en a trop souffert... elle s'en est assez repentie...
+son charmant connin a depuis trop bien mérité de moi, pour que
+des torts de jeunesse et d'inexpérience ne soient pas oubliés.
+J'y étais obligé d'ailleurs par un autre motif: c'est que je
+dois à cet exécrable mariage d'indicibles délices (comme on va
+le voir), ainsi que ma fortune présente.
+
+Chapitre VIII Des conditions de mariage.
+
+
+Le dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chez moi, suivant
+son usage, elle ne put s'empêcher de voir que je bandais à
+n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!... Je lui
+avais baisé le pied, la jambe; mais elle avait défendu son
+connin. Tout à coup je me lève, et m'appuyant sur le dossier
+de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corset; je lui
+prends les tétons.... Ah! qu'ils étaient jolis!... petits,
+mais fermes! et d'une blancheur... Elle ne put se dérober...
+Elle me déclara pour lors sérieusement, qu'elle voulait se
+marier. A ce mot, je passai devant elle, le vit à l'air et
+bien bandant. Elle devint rouge comme une cerise. Elle
+bouillait. Enflammé d'amour et de luxure, je lui notifiai, que
+je ne signerais rien, qu'à la condition de la dépuceler
+auparavant. Elle se récria!... Je lui pris le con par force.
+Elle se recueillit, et me dit:
+
+-- Signez du moins pour ceci!
+
+-- Oui; si je te gamahuche.
+
+Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquai, ajoutant:
+
+-- Et jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part,
+inclusivement!
+
+Elle réfléchit... Puis soupirant:
+
+-- Ah! combien vous me l'avez fait! Mes rêves étaient causés
+par vous!...
+
+Elle se mit à la renverse sur le lit, en me disant:
+
+-- Satisfaites-vous! et... ne me... trompez pas!...
+Gamahuchez... mais je veux être pucelle le jour de mon mariage
+avec M. Vitnègre; c'est un homme veuf, et Mme Conprenant dit
+qu'il s'y connaît.
+
+Pendant ce discours, je rassasiais mes yeux d'abord de la vue
+du plus ravissant des connins; de celle d'un ventre uni comme
+l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cul de satin.
+
+-- Dépêchez-vous!
+
+-- J'inventorie ce que nous devons livrer à ce M. Vitnègre, et
+tout est bien conditionné, une chose que je te dirai exceptée.
+Gamahuchons.
+
+J'étais enragé! Je la léchais avec fureur, guettant l'instant
+de l'émission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle,
+et l'enfiler. Elle émit dès le sixième coup de langue; de
+sorte que je ne le pouvais croire. Mais bientôt ses
+trémoussements m'en convainquirent. Alors, quittant le connin,
+je me jetai sur elle. Enivrée de plaisir, il est certain
+qu'elle m'aurait laissé tout faire; mais son jeune connichon,
+quoique bien humecté de son foutre et de ma salive, ne put
+être pénétré. L'expérience qu'il faut, pour enfiler certaines
+pucelles, de la pommade ou du beurre frais, ne m'était pas
+encore acquise... A la fin, elle me saisit le vit, pour me
+débusquer. Pressé, de sa main douce et blanche, il déchargea,
+et couvrit d'un foutre azuré son con, son ventre, ses cuisses
+et sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se
+débarrasse, et court se laver.
+
+-- Qui ne dirait (m'écriai-je en la voyant s'éponger cul,
+cuisses et conniche), que je l'ai enconnée!...
+
+-- Ah! si vous étiez raisonnable! (répondit Conquette-Ingénue)
+ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez; car j'ai eu bien
+du plaisir!
+
+-- Voilà un joli mot!
+
+Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, moi lui tenant
+le connin.
+
+-- Mais (reprit-elle), pas ce qui m'a salie, dans ce que je
+viens de laver! je veux être honnête femme.
+
+-- Tu dois ton joli con à ton père, ma charmante fille!
+
+-- Si vous étiez plus riche, je renoncerais au mariage, et je
+me dévouerais à vos plaisirs. Mais il me faut un mari, pour
+cesser de vous être à charge.
+
+Touché, je la baisai des pieds à la tête, soulier, jambe,
+front, oeil, bouche, cou, tétons, cuisses, cul, enfin motte,
+jusqu'à ce qu'elle déchargeât... Ensuite, je signai tout ce
+qu'elle voulut... Elle était adorée, en ce moment.. Elle se
+maria, sans me revoir, et m'évita pendant trois mois. Une
+pareille conduite me rendit furieux contre elle, et je jurai
+de la foutre et faire foutre, si elle retombait entre mes
+mains, mille et une fois, avant que de lui pardonner!... Mais
+savais-je alors qu'elle était malheureuse?
+
+Chapitre IX Des dédommagements.
+
+
+Victoire-Conquette, ma seconde fille, était en province,
+depuis la mort de sa mère, chez sa tante Jenovefette, alors
+mariée avec son dernier entreteneur. N'ayant plus de con à ma
+dévotion, je redemandai Victoire. En attendant qu'elle
+arrivât, je m'accommodai de deux petits connins encore
+imberbes, ou du moins à poil follet, que je parvins à
+perforer, en les pommadant. C'étaient la soeur et la maîtresse
+de mon secrétaire, qui lui-même me les livra, comme on le
+verra par la suite. Nous foutions jusqu'à sa vieille belle-mère;
+ne voulant pas aller aux putains.
+
+Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa
+soeur, à talons minces élevés; et cette enfant, qui atteignait
+quinze ans, me fit autant bander que son aînée. Mais je ne
+cherchai pas à la déflorer; elle ne me servait qu'à me mettre
+en humeur, et à me faire enconner plus vigoureusement et
+Minone, et Conette, soeur et maîtresse de Traitdamour mon
+secrétaire, ou leur belle-mère. Pour cela, quand Victoire
+rentrait parée, chaussée, je la saisissais par la jupe, et je
+l'asseyais sur mes genoux, à crû, moi déculotté, quand je le
+pouvais; je me faisais caresser, donner de petits coups de
+langue. Si j'étais à crû, mon vit lui allait entre les cuisses
+comme le battant d'une cloche; si elle n'était pas troussée,
+comme elle était fort innocente, je me faisais empoigner le
+vit, en lui disant:
+
+-- Mignonne, serre-moi le doigt, fort! fort!
+
+Minone, Conette, ou la belle-mère arrivaient toujours,
+Traitdamour en allant chercher une dès qu'il me voyait
+m'enfermer avec Victoire. En les entendant, je remettais la
+charmante enfant dans sa chambre par une porte dérobée;
+j'ouvrais, et je foutais délicieusement, les couilles
+chatouillées par Traitdamour. Il enconnait ensuite la même,
+soeur ou belle-mère, et je lui maniais les couilles.
+
+Je me serais contenté de cette vie pendant longtemps, quoique
+toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mme Vitnègre,
+si mes soeurs Marie et Jenovefette n'eussent trouvé indécent
+que je gardasse Victoire seule chez moi. Elles m'obligèrent à
+la mettre en apprentissage pour le linge chez des dévotes
+qu'elles m'indiquèrent. Mme Beauconnin l'y conduisit.
+Heureusement que la chère enfant m'avait, depuis quelques
+jours, donné la connaissance d'une grande et superbe femme
+séparée, son amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire
+s'en doutât, et que cette belle femme m'en croyant amoureux
+aussi, foutît sous moi avec fureur. Car elle m'appelait alors
+son papa, et me disait:
+
+-- Enconne; enconne... enconne ta... provocante Victoire! ta...
+passionnée, ta... tendre fille!
+
+Chapitre X De l'infâme mari.
+
+
+Mais le moment approche où je dois recouvrer Conquette-Ingénue.
+Mon désir le plus vif, même dans les bras de Mme
+Moresquin (l'amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocu!
+Un jour, ma Conquette me rencontra sur le pont Notre-Dame.
+Elle était malheureuse; elle vint se jeter dans mes bras. Je
+fus si ému, que toute mon ancienne colère s'évapora. Ma
+délicieuse fille était encore embellie dans les douleurs. Mon
+premier mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions
+dans la rue... J'allai la voir dès le lendemain soir, à
+l'heure où elle m'avait dit que son mari, ou plutôt son
+monstre, n'y était jamais. Je la trouvai seule en effet; et
+dès cette première visite, elle m'avoua qu'elle avait un
+amant. Ravi de cette confidence, qui m'annonçait le cocuage de
+Vitnègre, je la flattai, je l'amadouai; je l'engageai à se le
+laisser mettre par Timori (son galant). Mais je compris
+bientôt que c'était, des deux côtés, un amour absolument
+platonique, où Conquette-Ingénue se consolait, auprès d'un
+bandalaise, des brutalités d'un débauché. Elle aimait à parler
+de son amant. Et, comme j'étais le seul avec qui elle le pût
+en sûreté, que je promis de leur procurer des entrevues, je
+fus chéri.
+
+A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies
+récentes de Vitnègre. Un jour qu'elle se baissait, pour
+ramasser quelque chose, il lui fit prendre le con par un de
+ses amis. Elle s'écria.
+
+-- Ce n'est rien qu'un con de pris (dit froidement Vitnègre)...
+
+(à son ami):
+
+-- Ne t'avais-je pas bien dit qu'elle avait le poil du con plus
+satiné que de la soie?... Eh bien! le dedans est plus doux
+encore...
+
+Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit
+mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, et lui tint le
+con, s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant
+tout le temps qu'il fut à raconter combien, quand elle le
+voulait, elle donnait de plaisir à son caresseur.
+
+-- Mais (ajouta-t-il), elle est comme les putains; il faut la
+rosser, pour lui faire faire son devoir.
+
+Il voulut ensuite lui découvrir la gorge. Elle s'échappa. Mais
+il l'atteignit d'un coup de pied... Quelques jours après, le
+même étant venu dîner, après le café, Vitnègre s'étant aperçu
+que sa femme, après avoir pissé, avait fait bidet, dit à
+Culant son ami:
+
+-- Voilà un con bien propre! il faut le gamahucher tous les
+deux, d'adresse ou de force! Mais, dans ce dernier cas, ne
+t'étonne pas du bruit!... Pour le premier, voilà une clef;
+elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu
+entreras quand, lassé, je dirai très haut:
+
+-- Allons, Madame, faites-moi beau con, et recommençons. Et
+donne-t'en! car je voudrais que toute la Terre foutît la
+garce; elle n'est pas assez large...
+
+Conquette fut rappelée. Le mari la fit asseoir au milieu
+devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de mulâtre,
+et dit à son ami d'en faire autant. Comme il hésitait:
+
+-- Déculotte-le tout à l'instant, bougresse, ou je t'arrache
+les poils du con à la poignée!
+
+Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitôt à
+l'air son vit et ses couilles, en demandant grâce pour elle.
+
+-- Allons, bougresse, branle-nous tous deux, un de chaque
+main!...
+
+-- Je suis son maître (ajouta le scélérat); elle m'est
+abandonnée.
+
+Conquette pleurait. L'ami demanda encore grâce pour elle...
+
+-- Eh bien, qu'elle me suce le vit, là, à genoux devant moi,
+que je lui décharge dans la bouche! Je déchargeais dans celle
+de ma première femme, qui en est morte, et c'était mon délice.
+
+Culant observa, que ce serait gâter la plus jolie des bouches.
+
+-- Hé bien donc, je vais la gamahucher.
+
+-- Je banderais trop! (dit Culant) passez dans ce cabinet.
+
+Vitnègre y poussa Conquette, et se substitua Culant. Puis il
+sortit pour aller jouer. Culant gamahucha, et n'osa foutre
+Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être pris
+pour Vitnègre. Mais il déchargea six fois, et Conquette le
+double. Il se retira, en lui donnant un coup de poing, afin
+qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa
+rentrée, le monstre dit à sa femme:
+
+-- Eh bien, bougresse? as-tu été assez gamahuchée? ce n'était
+pas moi; je ne t'aurais fait l'honneur de décharger six fois;
+c'était mon ami. Mais, garce, tu l'as reconnu, puisque tu en
+as déchargé douze, et que tu ne bandes pas pour moi. Et le bon
+coup de poing qu'il t'a donné, hein? l'as-tu senti? (l'infâme
+éclata de rire). Allons, garce de bâtarde d'avocat, te voilà
+putain; j'entends que ton con me rapporte.
+
+Effrayée, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le
+lendemain qu'elle me rencontra, et de ce moment elle prit de
+la fermeté contre le monstre.
+
+Ce récit de ma fille, quoique plus gazé dans sa bouche,
+m'avait révolté! je lui promis un prompt secours... Mais en
+même temps il me faisait bander en carme, comme tous les
+récits de brutalités libidineuses. Je demandai des faveurs. On
+rougit; mais on me laissa baiser un joli soulier vert, qu'on
+portait pour la première fois. Je m'en tins là. Cependant, à
+la visite du lendemain, je glissai, en riant, une main dans
+son dos; insensiblement j'en vins aux tétons, qu'elle
+défendit, mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite
+donner de ses cheveux; puis, voulant voir jusqu'où je pourrais
+la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentai pour avoir une
+petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna;
+mais en tremblant que son mari ne s'en aperçût! Pour la
+remettre, je la fis parler de son amant; et pendant cet
+entretien, de libertés en libertés, je parvins au con. Elle
+était si parfaitement á son sujet, que je crois en vérité
+qu'elle s'imagina que c'était Timori qui lui tenait la
+motte!... Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé
+une pension, pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle
+rougit de plaisir, et m'embrassa. Je lui dardai ma langue, et
+elle me fit sentir la sienne... Ravi, j'allais lui demander le
+récit de la manière dont elle avait été dépucelée, quand,
+Vitnègre s'étant fait entendre, je me jetai dans le cabinet
+obscur, me proposant de m'évader par la porte du corridor.
+Mais je fus étrangement surpris de voir un moine introduit par
+cette porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachai derrière un
+grand sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce
+que je quittais:
+
+-- Mon révérend Père, voulez-vous la foutre avant dîner?...
+
+Le moine, qui dévorait des yeux la belle Conquette à travers
+les vitrages, parut concentré... Au bout d'un moment, il
+répondit:
+
+Chapitre XI Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit.
+
+
+-- Non: comme nous en sommes convenus, passez dans la chambre
+éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tétons, cul
+et con; je me réserve pour la nuit.
+
+-- Oh! ce coup-ci serait par-dessus le marché.
+
+-- Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter langue et tétons; à
+enconner, enculer, entétonner, etc., à mordre, arracher les
+bouts... Allez... Ayez le vit à l'air, et qu'elle soit bien
+chaussée... De la brutalité!
+
+Vitnègre rentra déculotté auprès de sa femme toujours
+tremblante devant lui.
+
+-- Allons, bougresse, il me faut du plaisir! Vois comme je
+bande, à la vue de ce joli soulier vert!... J'ai entendu hier
+un jean-foutre derrière toi qui disait qu'il aurait voulu
+décharger dedans... A bas ce fichu, que je voie tes tétons...
+Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Ah! garce!
+j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les
+gâter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!...
+Troussée, putain, au-dessus des reins et du nombril, que je
+voie ce mécanisme-là!... Marche en avant, présentant le con...
+Retourne-t'en montrant le cul... Ah! le joli mouvement!...
+Continue, garce à cul et à con, jusqu'à ce que je te dise,
+Holà... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement
+son cul, son con)...
+
+Cependant le moine disait:
+
+-- Ce bougre-là n'a pas le vit si gros que moi, et il n'a pu la
+dépuceler! Oh! comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y
+tiendrais pas; je la tuerais; elle crierait à faire venir le
+voisinage... Je m'en vais.
+
+Et il sortit doucement, en murmurant:
+
+-- Elle est à tuer; elle le sera!...
+
+Au même instant, Vitnègre dit:
+
+-- Holà, garce engarcée.
+
+Et il vint dans le cabinet...
+
+-- Qu'en dites-vous? (dit-il) la voulez-vous essayer?
+
+Je bandais à n'en pouvoir plus. Je répondis bien bas pour le
+moine:
+
+-- Oui.
+
+Vitnègre alla chercher sa femme; et, la poussant brutalement:
+
+-- Allons, de par Dieu, garce, putain, que je te foute... Ah!
+comme tu vas crier! Mais songe, sacré connin de poupée, à ne
+pas faire venir ici les voisines! ou je les laisse tous
+entrer, sans me déranger de sur ton sacré ventre!...
+
+En achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le
+foutoir mis là exprès, et se retira. Je me précipitai sur ma
+fille, qui se sentant enfilée presque sans douleur, ne criait
+pas.
+
+-- Crie donc! (lui dis-je bien bas).
+
+Et elle cria à tue-tête, en se reconnaissant enconnée par un
+étranger. Dès que j'eus déchargé délicieusement, en lui
+faisant osciller le con, je m'échappai, avant que les voisines
+arrivassent; et comme elle continuait à crier, je les envoyai
+à son secours. On la trouva debout.
+
+-- C'est ma femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardez-y; il
+en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des
+chattes; elle mord et crie, quand on la fait bien aise.
+
+Les voisines rirent, et se retirèrent. Vitnègre dîna, et fut
+assez honnête; il craignait que sa femme n'eût connu qu'elle
+était foutue par un moine, et qu'elle ne parlât. Je dînais
+dans un cabaret en face. Je le vis sortir, et aussitôt je
+retournai chez ma fille, qui me conta tout. Je me tus d'abord.
+
+Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait
+été dépucelée; parce que ce récit avait du haut goût pour moi,
+et qu'il me ranimerait assez, pour me la faire foutre encore.
+Elle le fit, dès que je l'eus mise en goût, en lui rappelant
+de son amant.
+
+-- Notre première nuit et les trois suivantes ont valu chacune
+cinq cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite.
+Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre
+bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa
+troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant,
+me baisant partout. Il me faisait lever les jambes en l'air,
+puis mettre debout sur le lit.
+
+-- Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant),
+comme si je te foutais.
+
+Je lui observai que cela était indécent.
+
+-- Bast! une femme est la putain de son mari...
+
+Il me gamahucha. Il s'écria de toutes ses forces:
+
+-- Elle décharge!
+
+Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur et de la
+grosseur de celui d'un cheval.
+
+-- Allons! allons, que je te foute, à présent.
+
+Il se jeta sur moi. Mais il ne put rien.
+
+-- Foutre! Celles qui disent que ton père t'a dépucelée sont
+des garces! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout
+le monde fût là, pour en être témoin...
+
+Il me pommada... devant, derrière. Il éteignit les bougies
+(mon pucelage était vendu), et il parut se coucher. Mais ce
+fut un autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros
+membre, qui ne put rien...
+
+Depuis le mot de son récit, Elle décharge! elle décharge!
+j'avais glissé une main entre les cuisses de ma fille, sans
+qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui happais le con.
+
+-- Ah! Papa! ne me ménagerez-vous donc pas plus que les autres,
+un jour où... j'ai été dépucelée!
+
+-- Dépucelée! Ah! céleste fille!... Est-il bien vrai?
+
+-- Jamais on n'est entré... dans ce que vous me tenez...
+qu'aujourd'hui!
+
+-- O fille adorée! je suis un dieu, et non pas un homme... Mais
+tu m'as fait trop bander: ta précieuse faveur!... ou...
+j'aurais... une colique spermatique épouvantable!
+
+Et je l'enlevai vivement dans mes bras; je la portai dans le
+cabinet obscur.
+
+Chapitre XII Du plus délicieux des incestes.
+
+
+-- Vous voilà tous! (me dit-elle); et mon papa lui-même ne me
+recherche que pour ce trou-là!
+
+-- Et pour ton cul, tes tétons, ta bouche, tes yeux, ta taille
+voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton pied foutatif,
+ton âme naïve et virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour
+te rendre putain.
+
+En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée
+qu'elle était sur le foutoir, et je me disposais à le lui
+mettre en levrette; mais il la fallut pommader. Elle reprit:
+
+-- Mais c'est ma faute! ces récits-là enflamment tous les
+hommes. Timori n'a été prêt à me déflorer qu'une seule fois;
+et ce fut après ce même récit moins détaillé.
+
+Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je
+m'en plaignis tendrement:
+
+-- Tu veux donc me rendre malade, ma chère enfant?
+
+Elle s'attendrit; ses beaux grands yeux bleus devinrent
+humides; elle se cambra, pour me l'insérer elle-même, et me
+dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la
+pommade:
+
+-- Quand ma soeur et moi nous vous l'avons vu tant de fois
+mettre ainsi à ma mère, sur le pied de votre lit, vous criiez
+de plaisir!.... n'allez pas en faire autant! Vitnègre peut
+revenir!
+
+Je lui promis le silence, telles délices que j'éprouvasse...
+J'enconnais. Ma belle faisait de petits mouvements de
+contraction du connin. Jamais satin ne fut aussi doux que
+l'intérieur de ce connin céleste; connin encore imberbe n'est
+pas plus étroit!
+
+-- Ah! si ton gueux avait connu le prix de ton divin con, il
+t'aurait défoncée, eusses-tu dû en périr!
+
+-- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir. Il
+se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une
+fesse, et décharge... en... blasphémant (Elle se contracta, et
+déchargea).
+
+Je partis alors délicieusement, en me récriant, malgré ma
+promesse.
+
+-- Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du connin,
+mon ange!... Bon... bon!... encore! encore!...
+
+Et elle se contractait, en redéchargeant, au point que le fond
+de son con me pinçait, et me suçait le bout du vit... Je
+déchargeai trois fois sans déconner; et elle, peut-être dix
+fois. Ce que je sentais à ses trémoussements convulsifs.
+Enfin, elle se pâma... Je déconnai, dès qu'elle cessa
+d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que Vitnègre, en
+arrivant, ne lui prît et ne lui flairât le con, suivant son
+usage, même devant le monde qu'il amenait.
+
+Pour nous reposer, nous allâmes causer à la lumière. Je lui
+révélai là toute l'aventure du moine, pour lequel Vitnègre lui
+avait fait si longtemps tenir en vue tétons, cul, connin. Je
+lui peignis la grosseur du vit du moine, le double de celui de
+son monstre; la joie barbare qu'avait marquée l'exécrable
+moine, à côté duquel j'étais caché, de la pourfendre et de la
+tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de
+carrosse... Elle se jeta dans mes bras:
+
+-- O mon cher papa? sauve-moi! et je te suis dévouée à jamais!
+
+-- Je te sauverai...
+
+Je lui expliquai comment et pourquoi le gros moine s'en était
+allé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait
+entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui détaillai comment
+son abominable mari me l'avait livrée, comptant la donner au
+moine, auquel elle était vendue.
+
+-- Tu sais, ma ravissante fille comme je te l'ai mis? c'est
+moi, contre tout espoir et toute vraisemblance, qui ai ravi à
+nos ennemis, ton céleste pucelage!
+
+Conquette me donna un joli baiser sur la bouche.
+
+-- Mais comment me sauveras-tu?
+
+-- Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmènerai; tu
+coucheras dans ta pension. Aussitôt que tu seras en sûreté, je
+ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta clef, et coucher
+dans ton lit, la jolie putain du Port-au-Blé, déjà prévenue,
+comme pour y coucher avec moi. Je guetterai. Dès que Vitnègre
+et le moine seront arrivés, je m'échapperai. J'écouterai; et
+nous verrons demain.
+
+Ma fille fut ravie. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener
+au moment même. Au lieu de cela, je m'amusai à lui faire
+raconter la seconde et la troisième nuit de son mariage.
+
+
+Chapitre XIII Du con et du cul vendus.
+
+
+Voici comme ma céleste fille reprit la narration que je
+désirais:
+
+-- Le second soir, Vitnègre recommença les mêmes choses. Il me
+prenait légèrement la gorge:
+
+-- Ferme comme un gland! (disait-il)...
+
+Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à quelqu'un (ce qui
+n'était que trop réel!). Après avoir mis en vue ma conque, il
+me tournait pour faire voir mes fesses.
+
+-- Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à
+lui-même); pour la perforer, il faudrait la pommader en
+diable, et se pommader à soi-même le v...
+
+Il me gamahucha violemment; et quand j'eus émis suffisamment,
+selon lui, il me laissa reposer. Après un court sommeil, je
+m'éveillai couchée sur le ventre, ayant sur moi un homme, qui
+s'efforçait de m'introduire dans le fondement un fort gros
+membre. Mais quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs
+douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la
+rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcée très bas
+à quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci:
+
+-- Il faudrait qu'un v... moins gros que le mien me la fraye...
+Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup!...
+
+Je n'y comprenais rien. Je m'endormis, et ne m'éveillai plus.
+
+Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la
+rosette, et plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit
+coucher sur le ventre et retrousser. Il se mit sur moi, en
+disant:
+
+-- Il faut que j'en tâte de ce ragoût de bougre.
+
+Je lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit.
+
+-- Ça va jusqu'à toi (me répondit-il), et ça te passe.... Ah!
+que d'argent me vaudraient ces deux bijoux-là, s'ils étaient
+connus!
+
+Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans
+succès, et finit, parce qu'une copieuse déch--ge... lui ôta sa
+roideur et ses forces...
+
+Le troisième soir, il répéta encore tout ce qu'il m'avait
+fait... A mon réveil, dans mon premier somme, je me trouvai
+sur le dos, ayant un homme sur moi, qui m'attaquait le bijou
+de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit:
+
+-- Décharges tu, ma fille?
+
+On me quitta, et Vitnègre ajouta:
+
+-- Si tu cries comme au feu dès que je voudrai te le mettre,
+nous voilà bien!.. Allons, empoigne-moi le vit, que je
+déch-- ge... Chatouille-moi les couilles de l'autre main... Tiens,
+comme je fais à ton c-n. Va, va, va... vaah (Il ne m'appelait
+encore ni putain, ni garce; ce ne fut qu'au bout de six
+semaines).
+
+Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait
+l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai
+cet homme plus d'une heure. Il en fut une autre à me
+gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui
+pisser dans la bouche, et n'en perdit pas une goutte, il avala
+tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas été dans une
+sécurité parfaite, je me serais bien aperçue, que Vitnègre le
+reconduisait, en disant:
+
+-- L'opération, l'opération!
+
+Mais me doutais-je de rien?...
+
+Je rebandais, malgré quatre décharges, et déjà je disais à ma
+fille:
+
+-- Connin céleste, je n'en puis plus!... Je ne te cacherai pas,
+ma délicieuse amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est
+inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif puissant:
+c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il était possible
+sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te passât
+par le con, pour qu'il fût le cornard universel... Viens me
+donner le bonheur!
+
+Et je l'emportais, quand nous entendîmes tourner la clef. Je
+me cachai aussitôt dans le cabinet obscur... C'était Vitnègre,
+qui rentrait avec un jeune homme. Nous entendîmes clairement,
+qu'il lui disait avant d'entrer:
+
+-- Tu as le vit comme il le faut; c'est ce qui me fait te
+donner pour six bougres de louis un pucelage qui en vaut
+mille. Il est essentiel que je te surprenne, et veuille la
+tuer. Tu me supplieras, et je n'accorderai sa grâce, qu'autant
+qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros vits
+s'ennuient de ne pouvoir la foutre ou l'enculer. Ils me paient
+une grosse pension. Aussi je la nourris bien, et tu vois comme
+elle est mise. Tu me l'enconneras d'abord: c'est le plus
+pressé. Demain, tu l'enculeras. Sache que son mari l'adore;
+s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes ses
+volontés. Elle me vaut trente mille francs, en trois mois de
+mariage. Entrons; elle va te ravir: mais point de pitié!
+
+Tel fut le discours du monstre.... Je poussai Conquette devant
+moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi.
+Il était nuit. Je pris Conillette, la putain, arrangée,
+appétissante. Conquette nous précédait. Rassurée par ma
+présence, elle ouvrit le cabinet obscur. Elle entra. Nous la
+suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur
+le pied du lit... Cependant ma fille se présentait. Elle fut
+reçue avec transport. Le jeune homme, appelé Lenfonceur, et
+Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa
+que la main. Vitnègre, néanmoins, qui (de même que les trois
+fouteurs à gros vits, et le moine), était fou de sa chaussure
+à talons minces élevés, lui baisa le pied. Il lui dit ensuite:
+
+-- Ah ça, ma fille, allons-y par la douceur. Il serait
+malheureux pour moi de renoncer à te le mettre; il faut se
+faire une raison: mon vit est trop gros; non préparée, il te
+déchirerait. Voici un vit mieux proportionné, qui va te
+perforer, sans décharger; ainsi percée, mon gros vit pénétrera
+cette nuit au fond de ton con. Vois-moi ce vit-là!...
+
+Et il mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plutôt de
+Timori... Il fallait que Vitnègre eût découvert, on ne sait
+comment, l'inclination de sa femme inspirée par le beau blond,
+pour en user comme on va le voir.
+
+
+Chapitre XIV Le jeune homme, la fille, le moine.
+
+
+Ma fille, en reconnaissant son amant, que son mari lui amenait
+pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de désir. Elle
+trouva moyen de venir à moi, pour me dire:
+
+-- Faites disparaître la fille; on ne l'emploiera que cette
+nuit.
+
+Je vis bien qu'elle voulait être foutue par son galant. Je
+cachai la putain. Voici maintenant le récit de ce qui va se
+passer.
+
+Dès que Conillette se fut commodément arrangée derrière le
+grand sofa, Conquette retourna auprès des deux hommes, qui la
+rapportèrent au foutoir, assise à cul nu sur leurs mains
+unies.
+
+-- Allons, ma petite garce de femme (lui disait Vitnègre), tu
+vas pourtant être dépucelée, foutue! Mais ce n'est rien! c'est
+quand tu auras un gros vit, cette nuit!...
+
+Il la troussait, l'arrangeait.
+
+-- Lenfonceur, que je te mette le vit dedans!
+
+-- Non, non; ma belle se le mettra elle-même.
+
+-- Tu as raison. Il faut qu'elle s'y accoutume.
+
+Vitnègre sortit, et j'observai qu'il laissait la porte
+ouverte. J'en augurai quelque noirceur. Mais j'étais là...
+Timori, bien bas, dit à ma fille:
+
+-- Vous le mettrai-je, ma bonne amie?
+
+-- Non, non! il est allé chercher des écoutants [ce mot glaça
+Timori].
+
+-- Mais il vous estropiera?
+
+-- Je ne couche pas ici.
+
+Alors l'amant satisfait, se mit à la gamahucher doucement.
+Cependant la Voluptueuse déchargea...
+
+Elle était aux anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je
+crus qu'il amenait le moine. Il entra, passa rapidement, suivi
+de trois voisines, auxquelles il disait:
+
+-- Je vas vous montrer ça.
+
+Effectivement, il leur montra quelque chose dans sa chambre...
+Cependant mon amoureuse fille, gamahuchée par un amant aimé,
+fit un profond soupir. Les trois voisines prêtèrent l'oreille.
+
+-- Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma femme est rentrée, et je ne
+le savais pas. C'est pour elle cette étoffe-là.
+
+-- Oh! il faut la lui montrer! (s'écrièrent les trois
+voisines).
+
+Le monstre retint celle qui allait la chercher. Il prit la
+lumière, en disant:
+
+-- Je vais auparavant voir si elle ne dort pas.
+
+Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air de surprise
+et d'horreur!... Il recula. Mais les trois voisines avaient vu
+comme lui, par-dessus son épaule, Conquette troussée, étendue
+à la renverse sur le pied du lit, la tête d'un homme entre ses
+cuisses... Il les fit sortir par le corridor, en se frappant
+le front...
+
+Il avait rempli son but. Si sa femme criait pendant la nuit,
+les trois voisines, qui se croyaient bien au fait, y
+mettraient les autres. Si Mme Vitnègre périssait écalventrée
+par le timon du moine (qui, étant extrêmement riche, devait la
+payer 60 mille francs, et qui en avait déjà tué plusieurs,
+choisissant toujours les plus étroites), ce serait la morte
+qui aurait tort... Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux
+amants, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après
+avoir déchargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma
+fille:
+
+-- Eh bien? (dit l'infâme mari) est-elle enfilée? bien
+enconnée?... Déchargez-vous? décharge-t-elle?
+
+Nous avons déchargé (répondit Timori-Lenfonceur).
+
+-- Je vas sortir (reprit Vitnègre). Ramone-la-moi encore
+pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors... Et ne
+vous étonnez pas de ce que vous allez entendre. J'ai mes
+raisons.
+
+Il alla dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte,
+et se mit à crier sourdement, comme s'il avait bourré sa femme
+à coups de pieds:
+
+-- Ah garce! ah putain!... Tu fous, sacrée salope! Quand je
+suis sorti, tu raccroches!... Je vais chez le commissaire!
+
+Il ouvrit la porte bruyamment, et la referma de même. Mais il
+dit tout bas, avant de s'éloigner:
+
+-- Remue du cul, ma petite femme!... Courage, Lenfonceur!
+fraye-moi la bien!
+
+-- Voilà un rusé scélérat! (dis-je à ma fille, pendant que
+Timori observait la sortie de Vitnègre) Le moine t'aurait
+tuée, et il ne néglige rien pour motiver ta mort.
+
+-- Sauvons-nous! (me dit-elle).
+
+-- Non, non; nous sommes assez pour te défendre. Feins à Timori
+que j'arrive...
+
+Le jeune homme rentra.
+
+-- Voici mon papa, arrivé à propos!
+
+-- Ah oui! (répondit Timori), sa présence pare à tout; car
+j'allais proposer de nous enfuir. Mais, à présent, voyons ce
+qui arrivera.
+
+Je lui montrai Conillette, et je lui fis entrevoir notre plan,
+que Timori trouva merveilleux!... Le temps s'écoula vite. Nous
+entendîmes revenir. Timori reporta la lumière dans la chambre;
+nous nous cachâmes ma fille et moi; tandis que le jeune homme
+s'étendait sur le ventre de Conillette troussée...
+
+-- Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle) je suis gâtée;
+que tes couilles ne me touchent pas le poil; j'ai des
+morpions!...
+
+Vitnègre entrait, suivi du moine, que le voisinage aux
+fenêtres prit pour le commissaire.
+
+
+Chapitre XV Du fouteur à la Justine.
+
+
+Le moine ôta d'abord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il
+mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux que ma fille
+tremblante m'étreignit dans ses bras.
+
+-- Oh! qu'il est gros (dit Vitnègre).
+
+-- Il a tué deux de mes soeurs religieuses, qui avaient fait
+chacune deux enfants de notre Prieur. J'ai tué toutes les
+femmes que j'ai enconnées; il n'y a que ma mère que je n'ai
+pas écalventrée; mais je n'eus pas de plaisir; la vieille
+garce ne saigna presque pas! j'eus peu de plaisir... Pour ta
+femme... Ah, quelle rage!... Mais elle est foutue... elle sera
+morte avant que j'aie achevé de l'enconner... Je l'enculerai
+expirée... Je t'en apporte le prix: 60 mille francs en billets
+de la caisse...
+
+Vitnègre le compta; les serra.
+
+-- Si je pouvais l'enconner une pauvre fois!
+
+-- Tu te fous de moi!... Après, après; elle sera encore
+chaude...
+
+Je frémissais! et comme j'avais deux pistolets chargés, je fus
+tenté de brûler la cervelle à ce monstre; mais il allait avoir
+la vérole...
+
+-- Voulez-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir le con? sa
+jolie figure?
+
+-- Non! cela m'amollirait le vit.... Conduis-moi sans lumière.
+
+Ils vinrent à tâtons.
+
+Vitnègre précédait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une
+femme seule, et troussée, il voulut lui mettre, en soupirant,
+sa langue dans le con. Elle l'en empêchait, quand le moine
+faillit de l'écraser, en tombant sur la fille. Vitnègre fut
+obligé de se retirer a quatre. Le premier acte du Père
+Foutamort (comme Vitnègre le nomma), ce fut de mordre le bout
+des tétons de sa monture, en lui dardant son engin, qui ne
+pouvait entrer dans ce vaste con, encore élargi par une
+éponge, que la fille venait d'en ôter. Conillette fit un cri
+perçant! Et, se sentant déchirer le con, elle voulut se
+dérober, en égratignant des deux mains. Foutamort, qui savait
+bien qu'elle ne pouvait en échapper, et dont le plaisir était
+d'autant plus grand à tuer une femme, qu'elle était plus belle
+et plus étroite, ne la ménagea pas; tout en l'écartelant, il
+lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond
+évanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris... Je me
+repentis de n'avoir pas d'abord tiré un coup de pistolet à
+bout portant dans la tête du moine... Mais les voisins au
+bruit auraient peut-être enfoncé les portes; ce fut ce qui me
+retint... Foutamort, parvenu au fond du con de la fille
+écalventrée, déchargea enfin en jurant et rugissant.
+
+-- Fous un coup (dit-il à Vitnègre), avant que j'encule la
+garce!
+
+Le scélérat vint; mais, sentant un cadavre plein de sang, il
+se retira.
+
+-- Elle est morte! (dit-il).
+
+Foutamort la tâta:
+
+-- Non; le coeur bat encore; vite que je l'encule.
+
+Le cul de Conillette était bien plus étroit que son con; le
+moine haletait. Il en vint cependant à bout, car il dit à
+Vitnègre:
+
+-- Je n'ai fait qu'un trou des deux.
+
+Et il déchargea horriblement!...
+
+Ma fille, épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps.
+Vitnègre pleurait:
+
+-- Ma pauvre femme! je t'ai livrée à ton bourreau!
+
+-- Ne te l'ai-je pas payée? (dit le moine) Elle est bien à
+moi... Ainsi, va te coucher, et fous tes 60 mille livres; tu
+me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas,
+pour mon argent, foutre cinq à six fois le cul et le con de ma
+putain.
+
+Vitnègre alla se coucher dans un petit cabinet, où il
+s'enferma.
+
+Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablement sur sa victime
+expirée... Enfin, épuisé, il alla chercher la lumière, pour en
+repaître ses cruels regards... J'ai dit que la fille était
+jolie.
+
+Elle est belle encore! (dit le monstre) Mais la figure de la
+putain est toute bouleversée; elle ne se ressemble plus à
+elle-même...
+
+Il lui regarda le con, en lui soulevant le cul... Il la laissa
+retomber, en éclatant de rire:
+
+-- Ma foi, la gueuse n'a plus qu'un cul, ou qu'un con... je ne
+sais lequel... Mais est-elle bien morte?
+
+Il la déshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur
+une grande table; alla prendre un vaste saladier; tira un
+bistouri [Nous le voyions par la cloison vitrée].
+
+-- Décharnons-la.
+
+Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout
+entière, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui
+arracha le coeur, les poumons, le foie, la vessie, la matrice;
+la retourna, lui enleva la chair des fesses, lui coupa les
+pieds chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il
+serra dans l'autre. Il la retourna encore; lui coupa la
+langue, la tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite
+chercher sa chemise et un drap du lit, en disant:
+
+-- Voilà un bon régal pour nos moines et pour moi.
+
+Le terrible anthropophage mit le saladier dans la chemise;
+ensevelit le corps dans le drap; fit lever Vitnègre pour le
+coudre; puis il lui dit de publier le lendemain que sa femme
+se mourait; de la mettre le soir dans une bière, et que lui
+moine se chargeait de la faire enterrer. Et, après lui avoir
+recommandé de bien effacer au grand jour toutes les traces de
+sang, il sortit vers les 3 heures du matin, emportant son
+saladier de chair humaine.
+
+Vitnègre pleura d'abord. Mais, nous ayant entendu remuer pour
+sortir, le lâche eut une frayeur si grande qu'il alla
+s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortîmes donc tout à
+notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous
+entendîmes les voisins qui disaient fort bas:
+
+-- Il ne l'a pas tuée; voilà qu'on l'emmène!...
+
+Nous nous mimes à fuir par de petites rues, dès que nous fumes
+dehors, de peur d'être suivis. Et bien à-propos! nous
+entendîmes courir. Mais on ne prenait pas notre chemin. Je
+remenai ma fille à sa pension, laissant là Timori, pour
+observer, et lui promettant de revenir dans une demi-heure.
+
+-- Voilà donc (me dit-elle), quel serait à présent mon sort,
+si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre
+départ! O mon cher papa! tout mon corps est à vous, pour en
+faire ce que vous voudrez!
+
+Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous
+arrivâmes. Je lui dis de se coucher.
+
+-- Non, non! et mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les
+avoir?
+
+J'admirai sa présence d'esprit!... Il était près de 5 heures.
+Je courus rejoindre Timori, qui se promenait devant la porte.
+
+-- Rien encore (me dit-il).
+
+Un instant après, nous vîmes sortir Vitnègre. Timori le
+suivit, et j'allai chercher ma fille, sa présence nous étant
+nécessaire, si d'officieux voisins nous arrêtaient. A mon
+retour avec ma fille et deux crocheteurs, je retrouvai Timori,
+qui nous dit que Vitnègre avait passé le boulevard. Ma fille
+ouvrit. Nous chargeâmes quatre malles préparées, mais cachées;
+nous sortîmes sans être vus, et nous allâmes par des rues
+détournées, chez mes affidés.
+
+Ce fut alors que ma Conquette fut tranquille! Elle se coucha,
+et nous allâmes reposer chacun chez nous, Timori et moi.
+
+
+Chapitre XVI Foutoir; petit magasin; enterrement; amour.
+
+
+Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont
+aguerrir ma délicieuse Conquette-Ingénue, ma ravissante
+Victoire-Conquette, faire leur fortune, la mienne, en leur
+ôtant une fausse délicatesse, et découvrir une chose
+admirable, qu'on ne verra qu'à la fin. La route que je vais
+prendre, pour former ces deux belles et leurs compagnes,
+étonnera d'abord! mais en toutes choses, il faut attendre le
+dernier résultat... Reprenons ce charmant récit, en faisant
+précéder quelques fouteries préparatoires, qui amèneront les
+grandes. Mais il n'y aura plus, dans le reste de l'ouvrage,
+aucune horreur qui ressemble à celle du moine Foutamort. Les
+horreurs à la Dsds sont aisées à présenter; c'est la peinture
+de la douce volupté qui est le chef-d'oeuvre du génie.
+
+La première visite que reçut Conquette, le lendemain, jour de
+son enterrement, et à la même heure, fut celle de Timori. Il
+la trouva chez ses hôtes. Il venait lui raconter comment,
+après être morte la nuit précédente, elle venait d'être
+enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or,
+j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous,
+mais sur le derrière, un petit magasin, où je cachais chaque
+numéro de mes Annales, que supprimait le gouvernement d'alors.
+Ma fille y devait faire mettre son lit, le soir même. Il y
+aurait sans doute été déjà; mais elle ne faisait que de se
+lever. J'y avais placé pour mon usage, celui de mon
+secrétaire, de sa soeur, de sa maîtresse et de sa belle-mère,
+un foutoir commode, dans le ventre duquel on pouvait
+parfaitement se cacher. [Vitnègre en avait un tout pareil,
+dans lequel il se mussait, quand un de ses trois payeurs
+venait, pour essayer de dépuceler le con ou le cul de sa
+femme, qu'il appelait, sa poule aux oeufs d'or; il voulait tout
+voir, craignant qu'un des trois ne la lui enlevât. C'était
+aussi par volupté; il était passionné pour la chaussure de sa
+femme. Lors donc que, tendrement gamahuchée par un des trois
+bougres (car ils l'adoraient, et ils vont bien la regretter),
+elle émettait, il lui tirait un soulier qui, se trouvant
+étroit vers la pointe, lui servait de con. Aussi disait-il à
+ses intimes:
+
+-- Je n'ai jamais foutu ma femme qu'en soulier.
+
+Conquette, sentant bien que Timori avait bien des choses à lui
+dire, et qu'il ne pouvait parler, prétexta qu'elle avait
+laissé dans mon magasin une lettre à lui montrer. Elle avait
+une double clef. Ils y descendirent ensemble.
+
+Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma fille, sa
+voix basse, et celle de Timori. Je me cachai dans le foutoir.
+Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la
+couvrit du matelassement qui empêchait qu'on ne fût entendu au
+dehors, et ils s'assirent sur moi.
+
+"Ah! Madame (dit Timori), quelles scènes!... Il avait
+découvert que je vous aimais, à mes regards, et parce qu'un
+jour étant avec lui chez vous, pendant qu'un de vos acheteurs
+vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la dérobée une
+de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non seulement
+que vous m'aimiez, mais que je vous fusse connu. Hier, à 3
+heures, m'ayant trouvé au café, il me dit:
+
+-- Je ne saurais dépuceler ma femme; j'ai le vit trop gros. Tu
+es beau garçon; je t'ai choisi, pour la dépuceler aujourd'hui,
+à l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura
+pour ses épingles.
+
+Je les lui donnai sur-le-champ, et nous partîmes... Vous savez
+le reste... Ce matin, après vous avoir quittée, j'ai été me
+reposer jusqu'à 10 heures, que j'ai été à mon bureau. Mais,
+passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai entendu deux
+voisines qui se disaient fort bas:
+
+-- Le confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'on a emmenée
+cette nuit...
+
+L'infâme m'a ouvert. L'horrible moine était avec lui. Un frère
+avait apporté la bière bien enveloppée, et il récitait tout
+haut des prières auprès du cadavre dans le cabinet obscur.
+
+-- C'est un ami (a dit Vitnègre)... Ma pauvre femme est morte!
+
+-- Morte! (ai-je dit)
+
+-- Elle est expirée dans les bras du révérend père.
+
+J'ai frémi de l'expression!... Le moine a dit:
+
+-- J'ai fait toutes les démarches; nous avons la permission de
+l'enterrer sans bruit; ce sera pour 3 ou 4 heures.
+
+Je suis sorti...
+
+En revenant de dîner, vers les 4 heures, je suis repassé. Deux
+prêtres, quatre porteurs, le moine et le frère, ont emporté le
+corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des
+événements... Je les observerai.
+
+-- Ma belle amie! On vous croit morte: vous êtes libre.
+M'accorderez-vous vos précieuses faveurs?
+
+-- Mon ami! (répondit modestement Conquette) je commence par
+vous remercier de l'important service que vous m'avez rendu!
+mais un autre m'en a rendu un plus important encore. Seul il
+m'aurait sauvée. Si mes faveurs étaient encore à moi, elles
+seraient à vous. Mais elles sont à mon premier amant, qui,
+caché, a découvert toute la trame. Il venait de me déflorer;
+il me l'a mis encore après. C'est votre unique rival: mais il
+est adoré; son nom, que je vais vous dire, va vous prouver
+toute mon estime, et que vous avez toute ma confiance. C'est
+mon papa...
+
+A ce mot, Timori tomba aux genoux de son amante:
+
+-- Fille angélique! Fille divine! (lui dit-il) je reconnais là
+votre piété filiale et la beauté de votre âme! Foutez avec
+votre père; que lui seul vous enconne! Vous seriez digne de
+foutre avec Dieu, si Dieu foutait!... Mais je demande à vous
+gamahucher, et, si votre papa le permet, à vous enculer!
+
+-- Mon aimable ami! (lui répondit Conquette, en le caressant de
+la main) vous êtes bien raisonnable!
+
+Timor se déculotta, lui mit dans la main un vit à pucelage,
+plus petit que le mien, se fit chatouiller les couilles, et la
+voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timori la renversa, la
+troussa, et lui supa savoureusement le con... Non, jamais l'on
+n'entendit de pareils soupirs!...
+
+-- Ah! Timori... ta langue vaut un vit.
+
+Elle avait émis dès le troisième coup de langue, et, dans son
+délire, elle élevait ses jambes en l'air, faisait claquer ses
+jolis talons, haussait du cul, pour favoriser l'application de
+la bouche de son gamahucheur, et l'intromission de la langue
+qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa mère, dans
+ce claquement de talons; car je ne foutais celle-ci que de
+jour, soit en con, soit en cul, soit en bouche, pour être
+excité par ce qu'elle avait de mieux, la jambe et le pied. Je
+lui demandais le claquement des talons, parce qu'il imitait la
+marche de femme, son qui me faisait toujours bander... Lorsque
+ma fille eut amplement déchargé, elle écarta Timori.
+
+
+Chapitre XVII Du pucelage du cul: le père enconneur.
+
+
+La céleste Conquette-Ingénue fut toujours aussi juste que
+belle et sensible: qu'on ne soit donc pas surpris de ce qui va
+suivre.
+
+Elle se mit sur le ventre, et lui dit:
+
+-- Mon second ami! pommade-moi. Mon premier ami a eu le
+pucelage de mon bijou; il est juste que tu aies celui de ma
+rosette; mon papa sûrement m'approuvera!
+
+-- O déesse! (répondit Timori, en lui insérant de la pommade
+dans l'anus avec une canule) que tu es raisonnable! Il aura le
+connin, moi la rosette, et nous jouirons chacun d'une fouterie
+à nous seuls.
+
+Timori enfonça, malgré quelques petits cris de ma chère fille,
+et après de vives saccades, il déchargea, en s'écriant:
+
+-- Foutre! foutre! quel cul.. quel plaisir des Dieux!
+
+Et il se pâma... Il fut épuisé, et de sperme et de forces, par
+ce coup seul... Aussi se rappela-t-il, à mon grand
+contentement, qu'il était attendu à 7 heures. Il laissa
+l'amoureuse Conquette-Ingénue étendue sur le lit, après
+l'avoir remise sur le dos, afin de lui donner quelques coups
+de langue au con, pour baiser d'adieu. Il alluma sa bougie,
+sortit, et tira la porte.
+
+Aussitôt je quittai ma cachette, et je m'élançai sur mon
+adorable fille, que les trois dardements de langue avaient
+émue, et dont le con oscillait vivement.
+
+-- Quoi! vous étiez là?
+
+-- Oui, ma divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une
+érection terrible!
+
+-- Adoré Papa, foutez... foutez-moi! (et c'est la première fois
+de sa vie qu'elle prononçait ce mot) je n'en puis plus moi-même...
+
+Elle me saisit le vit, et se le mit dans le connin:
+
+-- Pousse! (me disait-elle) Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit
+paternel! émets du foutre dans le con de ta fille!...
+
+En parlant ainsi, elle remuait tellement du cul, que je me
+trouvai bientôt au fond de son connin. Vive la fouterie
+ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante! J'avais la
+bouche, la langue, les blancs tétins de ma fille, ses
+caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au
+double dans une femme qu'on fout, ses doux propos:
+
+-- Cher vit! vit divin! comme il me chatouille le con!...
+Pousse!... Ah! bougre! je me pâme... Je déchar...arge du
+fou...outre!... Ta langue! cher amant! Enconneur adoré!... Oh
+je redécharge! Fous, sacré bougre! Suce... mordille-moi les
+tétons!...
+
+Je déchargeai délicieusement à la seconde émission de ma
+céleste fille. Au fond de son étroit connin, je me sentis
+adorablement pincé par ce que le vulgaire appelle le clitoris,
+et les gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la matrice;
+cet organe de volupté, qui n'est atteint que par un vit long,
+me suçait le bout de l'engin déchargeant... Et cette idée
+délirante, en me voyant sur la plus belle des femmes,
+renversée sur le dos, bien enconnée, se pâmant de plaisir,
+
+-- Je fous ma fille... Je lui décharge dans le con... Nos
+foutres mêlés peuvent lui faire un enfant tout de moi... Je
+fais cocu le gueux, le scélérat de Vitnègre! Je fous sa femme,
+qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue... Nous la foutons,
+Timori et moi, l'un en con, l'autre en cul, tandis que le vil
+jean-foutre se branle le vit à sa divine intention... Il la
+croit écartelée par le vit-timon de son exécrable moine... et
+son étroit connin décharge avec nous, comme celui d'une
+princesse, foutue par un jeune garde du corps!...
+
+Ces idées, rapidement roulées dans mon imagination,
+doublaient, triplaient ma volupté...
+
+Ma fille me fit déconner:
+
+-- J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derrière; il
+faut que je me purifie.
+
+Je courus lui chercher de l'eau tiède chez son hôtesse, Mme
+Brideconnin, que je trouvai seule auprès du feu, des tétons
+blancs comme neige découverts. Je les baisai, pris l'eau qui
+chauffait pour elle. Son mari me dit:
+
+-- Je viens de le lui mettre, à l'intention de votre fille, la
+charmante Mme Poilsoyeux (nom que je lui avais donné, pour
+qu'elle ne portât pas celui de son infâme mari).
+
+Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les charmes
+secrets de ma déité. Il y avait un peu de sang à la rosette,
+et même au connin.
+
+-- Eh! quoi, ma délicieuse, tu as donc encore souffert?
+
+-- Oui, mon cher bourreau; mais le plaisir l'a toujours
+emporté, même en cul...
+
+Conquette, purifiée, me dit:
+
+-- J'étais si pressée de jouir avec vous que je n'ai pas pris
+le temps, papa-sauveur, de vous demander votre sentiment sur
+ce qui s'est passé entre moi et Timor?
+
+-- J'ai aussi bien des choses à vous dire là-dessus, mon ange;
+mais nous allons souper. Vous avez besoin de repos, et moi
+aussi; ce sera pour demain...
+
+Je lui donnai la langue; elle me darda la sienne; je baisai
+les boutons rose de ses tétons, et nous allâmes nous mettre à
+table.
+
+Pendant le souper, je racontai à M. et Mme Brideconnin ce
+qu'il fallait qu'ils sussent de la prétendue mort de Mme
+Poilsoyeux afin qu'ils ne la compromissent jamais. Pendant le
+repas, notre porteur d'eau et sa femme placèrent le lit de ma
+fille dans mon magasin; et, dès qu'il fut arrangé, nous y
+descendîmes ensemble. Ma belle amie me dit:
+
+-- Je crois que j'aurai peur; priez Mme Brideconnin de venir
+coucher avec moi!
+
+-- Je vais rester, ma reine.
+
+-- Ah! j'aime bien mieux cela! non pour jouir; mais pour que
+mon amant-papa s'endorme sur les tétons de la femme de
+Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne ... qu'un de
+mes vieux souliers.
+
+-- Ma divine fille? (repris-je) je vais, dès ce soir, te dire
+ce que je voulais remettre à demain. Couchons-nous.
+
+Je déshabillai ma déesse comme une nouvelle-mariée, baisant
+tout ce que je découvrais. Tous deux au lit, je l'assis sur
+mon vit.
+
+
+Chapitre XVIII Des avis paternels, tenant sa fille enconnée.
+
+
+Ami lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plus
+savoureuse volupté, en me rappelant ces moments enchanteurs,
+que m'a procurés ma Conquette-Ingénue-L**!
+
+-- Appuie lentement, ma reine; que je t'enfile sans limer!
+
+Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui
+dis:
+
+-- Tu sais, très chérie fille, que j'ai tout vu, tout entendu.
+Tes sentiments divins à mon égard, m'ont pénétré de
+reconnaissance et d'admiration... J'approuve entièrement que
+tu aies donné à Timori le pucelage de ton beau cul. J'accepte
+avec transport ton dévouement pour moi. Mais, céleste fille!
+c'est à ton intérêt, à ton bonheur, que je me propose de le
+faire servir. Je ne prétends pas, tel qu'un sultan, te garder
+pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras un payeur. Lequel des
+trois hommes auxquels ton pucelage était vendu aurais-tu
+préféré?
+
+-- Le plus honnête, incomparable papa; mais c'est justement
+celui qui l'a le plus gros.
+
+-- Je te ferai donc élargir le bijou par un gros homme de ma
+connaissance. Il n'est pas aimable; mais un homme aimable
+pourrait t'épuiser, en te faisant trop décharger; outre qu'il
+pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; un fouteur
+préparatoire ne doit te prendre que le con... Ni moi, ni
+Timori ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit assez
+gros; ce ne sont que des vits à pucelage. Mais j'ai plusieurs
+ressources... Je sonderai celui que tu préfères; puis les deux
+autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai épiés. Je sais
+leur adresse; je ne nous compromettrai pas. Je ne te demande
+que de la soumission!
+
+-- Entière! divin papa.
+
+Elle se trémoussa un peu, et déchargea.
+
+-- S'il te survient beaucoup de tempérament, comme je crois
+l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu
+verras comme tu seras régalée!... Je ne suis plus d'un âge à
+te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de
+jolis jeunes gens, graduant la grosseur des vits.
+
+Ici, ma provocante fille s'agita, en me disant:
+
+-- Mon cher vit-papa! permets que je foute en con à l'intention
+de Timori, le vit de mon cul! Tu m'as convertie; il
+m'enconnera, mais en ta présence.
+
+-- Oui. oui...
+
+Je la saccadai. Elle s'écria:
+
+-- Fourgonne.. vit de mon cher Timori! fourgonne mon con!
+Fais-moi pâmer! bougre.. foutre.. Ramone.. ramone!... ze déçarze!
+
+Et elle déchargeait, en se roidissant:
+
+-- Ahahah, mon papa! Ahahah! Ahahahh! (avec un long soupir)...
+
+Je n'ai jamais eu tant de plaisir qu'à cette décharge... Nous
+avions de la lumière; ma fille se mit sur le bidet pour se
+rafraîchir le bijou, tandis que je me mettais le vit et les
+couilles dans l'eau froide, pour me faire débander. Je
+demandai à ma fille, Qui lui avait appris les expressions dont
+elle s'était servie, en déchargeant? "Dès la troisième semaine
+de notre mariage (me répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec
+lui sa filleule, femme d'un espion de police; cette femme, par
+les ordres de son parrain, feignait de délirer, quand il
+l'enfilait; et voilà quels étaient ses propos, avec beaucoup
+d'autres, qui n'auraient pas été placés pour nous, comme
+gros-bondon, chien de vit de mulet, Foutamort le cadet! etc. Nous
+nous remîmes au lit, et nous nous endormîmes enlacés.
+
+Le matin, je renouvelai mes instructions à ma fille. On
+frappa. C'était Mme Brideconnin, qui parla. Je me cachai dans
+le foutoir. Elle apportait le déjeuner de Mme Poilsoyeux.
+
+-- On cherche une fille du Port-au-Blé (dit-elle), disparue
+depuis avant-hier soir. Une de ses pareilles a dit, qu'elle
+devait aller coucher avec un homme de 40 ans, qu'elle avait
+dit avocat, mais qui est chirurgien; qu'ils l'ont tuée à deux
+pendant la nuit, et disséquée. C'est peut-être votre histoire,
+qu'on dénature comme ça? Mon mari doit aller s'informer.
+
+Elle sortit; et je vins déjeuner avec Conquette. Je la
+laissai, en promettant de la voir à dîner.
+
+Je fus exact. Brideconnin était sorti. C'était effectivement
+de Conillette dont il était question. Le commissaire et les
+mouchards visitaient toutes les maisons de la rue; mais on ne
+trouvait rien. Je changeai de costume par précaution... Je
+revins le soir, et ne couchai pas. Je me reposai trois nuits,
+et laissai reposer Conquette-Ingénue.
+
+On sait que j'aimais ma fille autant pour elle-même, que pour
+mon plaisir, et que je n'entendais pas régler son appétit de
+19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres
+raisons. Je vais me conduire en conséquence.
+
+
+Chapitre XIX Du père juste, et du vit grisonnant.
+
+
+On sera sans doute surpris de ce qu'on va lire, d'après les
+sentiments que je viens de professer!... Ne me préjuge pas,
+téméraire! Pour me connaître et prononcer, attends.
+
+Je connaissais un de ces gourmets de plaisir, gros homme
+vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait
+donné souvent à dîner, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y
+avait fait enconner la petite Vitsucette, sa maîtresse, en me
+la tenant lui-même. Il m'avait même procuré la fille de son
+hôtesse, Petit Bijou, séduite par un noble, appelé de Foutâne,
+qui l'avait ensuite rendue putain. Elle nous amusa toute une
+après-dîner; Montencon ayant grisé la jolie Adélaïde
+Hochepine, il eut la politesse de me la faire enconner le
+premier, et chatouiller les couilles par sa maîtresse. Ensuite
+il l'encula, également chatouillé par Vitsucette. Je la
+refoutis, après que la Vitsucette de Montencon me l'eut lavée.
+Mais celui-ci nous dit:
+
+-- J'ai mes raisons. J'embouche la jolie garce.
+
+L'ayant embouchée, et lui ayant fait avaler son foutre, en
+haine de Foutâne, j'en fus dégoûté, ainsi que de la
+Vitsucette, dite la Baiseuse, à laquelle il en faisait autant.
+Je n'y étais plus retourné. Ce fut cet homme que j'invitai à
+dîner dans mon petit magasin, pour aguerrir et m'élargir un
+peu ma fille (car j'avais fait donner séparément aux trois
+payeurs à gros vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Percecul et
+Cognefort, l'espoir de la retrouver, ou sa pareille).
+
+Montencon était connu de Conquette, dont il avait foutu la
+mère avant la vérole. Il n'en avait que plus envie de le
+mettre à la fille. Je le trouvai dans l'escalier, en arrivant
+moi-même. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie et
+d'admiration, en voyant une femme si belle!... J'avais
+affaire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui
+laissais ma fille pour compagnie. Il balbutia, en me
+reconduisant:
+
+-- Elle est ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle
+est chaussée! et quel dommage qu'un Vitnègre ait eu ce
+pucelage-là!
+
+-- Vitnègre? Elle est pucelle.
+
+-- O mon ami! puis-je y tenter? et tâcher de mettre au moins
+une corne à ce gredin-là?
+
+-- Fais-y ce que tu pourras. Mais je doute du succès, avec ton
+poil gris. Il n'y a que les catins blasées, qui souffrent les
+barbons vigoureux et libertins; avec les pucelles sages, il
+faut être tendre; et tu as la figure d'un satyre, ou d'un
+réprouvé. Mais tente-z-y.
+
+Après mon départ, Montencon essaya d'abord de la galanterie.
+Mais n'y gagnant rien, il culbuta Conquette à l'improviste sur
+le foutoir; et, comme il était vigoureux, il lui approcha, en
+la contenant d'une main, le vit des lèvres du con... Cependant
+il ne put l'enfiler; un coup de cul en arrière le
+débusquait... Il allait la menacer de la poignarder, lorsque
+je rentrai. Conquette se rajusta, sans marquer d'humeur. Je
+dis tout bas à Montencon:
+
+-- Le pucelage?
+
+-- C'est un diable! J'en serai réduit à me branler!
+
+-- Tu la foutras.
+
+Nous nous mimes à table. Conquette parla comme à l'ordinaire à
+son vellivioleur, et rit même avec lui. Tout haut, devant moi,
+il lui demanda, d'où vient elle ne s'était pas laissée
+enconner?
+
+-- Fi donc! (répondit-elle). Eh! d'où vient l'aurais-je
+souffert?
+
+-- Parce que je bandais comme un carme.
+
+-- Vous parlez comme un Vitnègre...
+
+Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes
+savoureux. Il loua la beauté de la conque, le soyeux du poil,
+la blancheur des fesses, la fermeté des tétins, le rosé du
+bouton, l'éburnité ou l'ivoire du ventre et des cuisses: Il
+extolla le pied, la jambe de la belle... Conquette, ainsi
+louée, rougissait, et n'en était que plus modeste. Je
+répondis, Que j'étais le seul qui foutît ma fille, à laquelle
+j'avais sauvé la vie, et que j'avais déflorée, il y avait 8
+jours. Et je racontai toute l'histoire.
+
+-- Vous la foutez?
+
+-- Eh! qui donc la foutra? Je suis deux fois son père...
+
+Montencon se mordit les lèvres. Conquette m'embrassa.
+
+Pendant tout le dîner, nous admirions le voluptueux tour de
+hanches de Mme Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait,
+pour aller demander un plat, ou qu'elle donnait des assiettes.
+Elle avait un joli soulier rose à talons verts, élevés,
+minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je lui
+demandai si elle était jarretée au-dessus du genou?
+
+-- Certainement! (répondit-elle) toujours.
+
+-- En ce cas (repris-je), montrez-nous la plus jolie jambe qui
+soit au monde!
+
+Elle refusait. Mais nous l'en pressâmes tant que, pour se
+débarrasser de nos prières, elle mit le pied sur une chaise,
+et nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire
+bander un moribond... Nous entrâmes en rut, Montencon et moi;
+mais nous nous modérâmes. Cependant le grisonnant Ribaud, dans
+un moment où ma fille était sortie, me proposa de l'enivrer,
+en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin
+rouge, au lieu d'eau. Je feignis d'y consentir. Mais, avant
+que Conquette rentrât, j'allai au devant d'elle, et l'avertit
+de tout. Puis j'ajoutai:
+
+-- Ma raisonnable fille, il faut qu'il te le mette; je l'ai
+amené exprès pour cela; mais je ne savais comment faire. J'y
+réfléchissais, quand sa proposition m'a tiré d'embarras. Tu
+feindras de t'enivrer. J'en ferai autant; et, par ce moyen,
+jamais il n'aura un pied sur toi. Il a l'engin assez gros,
+quoique moyen. Après lui, je t'aurai Traitdamour, mon ancien
+secrétaire, un joli garçon, qui achèvera de t'élargir
+suffisamment pour l'engin du Payeur que tu préfères... Il est
+averti de ton existence, et je n'ai demandé que quelques
+semaines pour lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma
+reine; j'empêcherai tout ce qui ne conviendrait pas.
+
+-- Je vous suis soumise; disposez de moi (répondit-elle). Je me
+suis trop mal trouvée de vous avoir désobéi!...
+
+Nous rentrâmes. Entre les deux portes, elle se découvrit un
+téton, et me le fit baiser.
+
+Montencon avait arrangé la carafe en vin de Champagne.
+Conquette, prévenue, le remarqua; s'en procura une autre
+d'eau, et réserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais
+le Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux yeux
+et les autres charmes de ma voluptueuse Conquette-Ingénue.
+
+
+Chapitre XX Du, Ah, comme elle fut foutue!
+
+
+Dès que Mme Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable,
+parut dans l'état où le Montencon la désirait, je la saisis,
+la première fois qu'elle se leva, par la taille d'une main, et
+de l'autre, je lui pris le con (Outre que je désirais vivement
+sa possession, je la voulais enhardir, et préparer son bijou à
+l'admission d'un plus gros membre que le mien). Je la
+renversai, en demandant un morceau du beurre frais resté sur
+la table. Je lui en mis gros comme une noix à l'orifice; et je
+poussai.
+
+-- Laissez, laissez-moi donc! (me disait-elle doucement)
+
+Cependant elle remuait admirablement de la charnière, et le
+foutoir craquait sous nous... Je déchargeai, en me récriant de
+plaisir!...
+
+-- A toi, bougre...
+
+Montencon, debout, son gros vit bandant à la main, nous
+admirait!... J'eus à peine déconné qu'il se précipita sur ma
+fille, dont le connin oscillait encore; et, doublement
+favorisé par mon foutre et par le beurre frais, il pénétra.
+Conquette fit un cri! Je m'avançai, alarmé. Mais elle me
+sourit aussitôt.
+
+-- Enfonces-tu? (dis-je au fouteur)
+
+-- Oui, oui! sacredieu! (me répondit-il) et avec délices!..
+Elle me pince le vit!... Mais... quel connin!... C'est un
+satin!... Ah!... Ah!... je fous!... Remue du cul, céleste
+houri!... Re..mue, divine bougresse!... Con délicieux!
+remue... sous moi!... saccade... saccade!... Je pa..ars!... je
+décha..arge!... Ahah!...!
+
+Le grisonnant se pâma sur les tétons de ma fille, qui
+elle-même nageait dans le foutre et la volupté. J'avais craint
+qu'elle ne remuât pas assez avec un étranger; mais, dès
+qu'elle fut limée, elle se mit à remuer, à saccader, à
+osciller des reins, à décharger avec des soupirs et des
+cris... Montencon se remit à la fourgonner, sans déconner,
+criant, hurlant de luxure, et murmurant par intervalles:
+
+-- Divine garce!... fais-toi putain... et... je te réponds...
+de ta fortune!..
+
+Il recommença ainsi trois fois sans désarçonner. Enfin, il
+déconna.
+
+-- Voilà un coup qui en vaut dix, et un con qui vaut cent, et
+mille fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma petite
+hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!... Mais refous-la, mon
+ami. Une femme vaut seize hommes au jeu couillard; ne la
+laissons ni refroidir, ni chômer.
+
+A ce mot, Conquette-Ingénue, restée immobile, et se
+contractant seulement un peu, comme si on la tenait encore
+bourrée... d'un vit, sauta du foutoir, et courut se laver.
+Elle trouva de l'eau tiède préparée. Nous fumes aussitôt à
+genoux devant notre divinité, et nous lui épongeâmes l'un le
+cul, l'autre le con, les fesses et les cuisses, car elle était
+pleine de foutre et d'un peu de sang, prenant garde de
+mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la faisions se tenir
+troussée au-dessus des reins.... Après une scrupuleuse
+ablution, nous l'avons admirée; car elle était ravissante à
+cul et à con découverts! Nous l'avons fait marcher ainsi, et
+nous avons vu la magie de son divin tour de cul...
+
+-- Moi (disait le Grison, en la regardant venir à nous), ce qui
+me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil
+soyeux, et cette raie de corail, qui le sépare en deux égales
+parties!...
+
+La belle se retourna, et montra d'autres charmes:
+
+-- Ah! (s'écria Montencon ravi) le beau cul! il n'est pas
+inférieur à l'admirable connin!
+
+Elle revenait.
+
+-- Ah! le beau con! Il est digne du divin cul!
+
+Quand ma fille fut auprès de nous, il lui baisa le connin.
+Puis, se levant (car nous étions restés à genoux pour mieux
+voir), il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la
+permission de gamahucher tous ces charmes-là, avant que je les
+refoutisse... Ah! comme elle fut gamahuchée!... Il lui
+chatouilla de sa langue la rosette, à la faire tressaillir.
+Puis il vint au con. La belle, chatouillée, se trémoussa, puis
+émettant, elle hennissait, comme une jeune cavale, dans la
+vulve de laquelle on insère pour la première fois l'engin
+terrible et perforant de l'étalon vigoureux; les fesses
+potelées de la jument pucelle tremblotent; elle frémit de tout
+son corps, et répond, par l'émission de son hippomanès, aux
+flots de sperme que lui lance le dominateur des haras... Telle
+était ma voluptueuse fille, seulement gamahuchée... Montencon
+déboucha, et moi, me précipitant sur ma fouterie, cambrée,
+tenant son cul à trois doigts du foutoir, je plongeai
+brutalement. Elle ne faisait que doucement osciller. Ce qui ne
+s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis à
+Montencon:
+
+-- Arrache-lui sa chaussure, et chatouille-moi-la sous les
+pieds!
+
+Il le fit. Mais le couillon s'amusait à les flairer, en
+disant:
+
+-- C'est Cypris, et le dedans de ses chaussures sent
+l'ambroisie.
+
+-- Chatouille donc, jean-foutre!
+
+Il chatouilla; et, au second soubresaut, je déchargeai
+copieusement!... Dans mon extase de plaisir, j'élevai mon âme
+vers la divinité:
+
+-- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donné une fille si
+parfaite, dont le connin trémoussant vient de me donner une
+idée du délice que vous éprouvez vous-même, en foutant votre
+fille la Nature!...
+
+-- Dieu de mon connin! (balbutia Conquette) sois béni! je
+re-décharge encore! le cri de mon père a fait entrer son vit plus
+avant!
+
+-- Oh! quel digne père! quelle pieuse fille! (s'écria Montencon
+édifié)...
+
+Je déconnai.
+
+-- Mais d'où vient (me demanda le vigoureux grison, en se
+remettant sur ma fille, et l'enconnant sans laver), m'as-tu
+fait chatouiller le dessous des pieds de ta céleste fouteuse!
+
+-- Je tiens cette recette d'un imprimeur foutant la femme de
+son confrère de l'aveu du cocu.
+
+-- Que lui avez-vous donc fait, qu'elle m'a donné tant de
+plaisir à la fin?
+
+-- Vous avez bien vu qu'elle était déchaussée? Or j'ai ouï dire
+que les fils de mesdames Quillenpoche et Radball, âgés de huit
+ans, étant entrés dans la chambre où un avocat et un procureur
+vitoeuvraient mesdames leurs mères, les petits babouins, ne
+voulant pas les déranger, leurs ôtèrent à chacune une mule
+délicate, et leur chatouillèrent le dessous des pieds. Ce qui
+fit faire aux deux dames des soubresauts qui leur procurèrent
+autant de plaisir qu'elles en donnaient à leurs opérateurs.
+Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les pieds en
+pareille circonstance.
+
+-- Tu vas me rendre la pareille...
+
+Il saccadait.
+
+-- Allons, le foutre de ton père... ce foutre dont tu es faite,
+amalgamé au tien dans ton sacré connin de poupée, doit te le
+pommader! Et j'ai de la peine!...
+
+Je vis à la rougeur de ma fille qu'elle souffrait.
+
+-- Déconne, bougre (dis-je à l'Enfonceur), ton vit d'âne, ton
+vit de mulet donne les bouchées trop grosses à ce
+connichonnet!
+
+Il déconna, et je mis une boulette de beurre frais à l'orifice
+du bijou de ma fille.
+
+-- Oh! ça me le rafraîchit (dit l'aimable enfant)...
+
+Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, et toucha le
+fond, Conquette ayant saqué du cul:
+
+-- Ah! je te sens, petit joli chien de pinçoir! Allons,
+Vitnégrette, encorne ton jean-foutre de Vitnègre! Pince.. et
+remue du cul, garce!
+
+Ces mots grossiers me mirent en fureur érotique; je
+chatouillai sans pitié les pieds de ma fille, en lui disant:
+
+-- Fous, déesse! Donne-nous ton joli foutre!... Et toi, sacré
+bougre, inonde-la! As-tu jamais percé con ou connin, qui
+vaille le connin, le connichet de ma céleste, de cette divine
+putain?...
+
+Conquette saccadait à désarçonner son enconneur (comme faisait
+Mlle Timon sous le grand homme Mirabeau). Mais Montencon se
+tenait ferme. Cependant elle eut une décharge si convulsive
+qu'il fut presque déconné. Mais, en retombant, le frottement
+serré du connin velouté le fit décharger avec ravissement...
+
+Il lima quatre fois sans déconner, et, à la quatrième, lui
+ayant chatouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à
+la première. Mais il fut épuisé. "Ah! comme Vitnègre est cocu!
+(disait-il en déconnant) car sa fouteuse de femme a déchargé
+le triple de moi.
+
+Conquette sourit.
+
+-- Combien? (lui demandai-je).
+
+-- Oh! dans les neuf, trois fois neuf.
+
+Je la baisai sur le front, et elle alla au bidet. Je vis par
+là qu'elle aurait un vigoureux tempérament. Ainsi, je résolus
+de la faire un peu blaser, avant de la livrer à son gros vit.
+
+Mme Vitnègre, voulant se rafraîchir quelque temps le con dans
+sa cuvette à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de la
+laisser libre. Nous la saluâmes aussi respectueusement qu'une
+déesse bienfaisante, et nous sortîmes. Montencon me dit:
+
+-- Je vous rends grâces. Je serais plus glorieux d'être son
+père que de la reine Marie-Antoinette. Elle est autant au-dessus
+des fouteries ordinaires, que Mlle Contat ou Mlle Lange
+sont au-dessus d'une putain des pauvres, qui branle les vits
+derrière les charrettes sur le quai du Louvre.
+
+Nous nous séparâmes, à ces mots.
+
+-- Ah! (disait Montencon, s'éloignant), comme elle a été
+foutue!
+
+
+Chapitre XXI Du ressouvenir, et de l'épisode.
+
+
+Oh! que les puristes ont dû se récrier au chapitre
+précédent!... Eh bien, puristes, je m'en fous.
+
+Le lendemain, je m'attendais à un peu de bouderie, ou de
+sérieux. Non. Ma Conquette me parla comme à l'ordinaire... Je
+fus huit jours, sans chercher à le lui mettre... Le samedi,
+son bijou bien rétabli des fatigues données par Sourcilsgris,
+dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se
+ressouvint alors de ce que je lui avais dit, qu'elle pourrait
+se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilette de
+volupté, se couvrit d'une calèche, et sortit le soir. Mais je
+l'observais, et la faisais soigneusement observer par Mme
+Brideconnin, ou comme je l'appelais en badinant, Mme Conbridé.
+Je fus averti; je la suivis, pour la préserver de malheur.
+Elle monta. J'écoutai à la porte; et j'entrevis même par une
+fente... Conquette se jeta dans les bras de Timori. Mais il
+était malade. La belle fut gamahuchée seulement. Timori, au
+lieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à lui
+raconter la suite des événements relatifs à Vitnègre, à
+Foutamort, et à Conillette:
+
+-- J'ai été voir Vitnègre aujourd'hui, au lieu de me rendre à
+mon bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant
+il avait été hier effrayé des menaces de son moine. Celui-ci
+l'avait fait demander. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute
+la communauté à l'infirmerie. Parvenu au lit de Foutamort,
+celui-ci lui a dit:
+
+-- Gueux! si j'en avais la force, je t'étoufferais... Mais si
+je suis pour en mourir, comme On l'assure, je déclarerai tout
+au Lieutenant de Police, et tu seras pendu... Tu m'as vendu ta
+femme. Elle était si belle que j'ai eu un plaisir... infini...
+à la faire expirer dans des douleurs plus fortes que celles de
+l'accouchement... J'en bande encore, mais avec des douleurs
+insupportables... Elle était si belle que j'ai voulu en
+manger: je me suis fait accommoder son con, sa matrice, ses
+poumons ses tétons et sa tête, que j'avais déguisée. Nos
+moines ont mangé, sans le savoir, son cul, ses fesses, ses
+mollets, ses pieds, ses bras, ses mains, ses épaules, son
+coeur, son foie, etc... Tous, eux et moi, nous avons la vérole!
+Or, ta femme, belle, fraîche, pucelle encore, ne l'avait
+pas... Voici ce que tu as fait, coquin. Touché d'une fausse
+compassion, tu as fait évader ta femme, que je t'avais payée
+pour la foutre à mort, et tu lui as substitué une putain...
+C'est une insigne coquinerie... Si j'en reviens, j'aurai ta
+femme; si je meurs, tu seras pendu...
+
+Vitnègre s'est donné à tous les diables que c'était vous qu'il
+avait livrée. Le moine, qui venait d'être frotté de mercure,
+et dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait
+rien. Le chirurgien a tiré Vitnègre à part:
+
+-- Avez-vous quelque affaire à régler avec ce scélérat? il n'a
+pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a
+une vérole si terrible, que j'ai été obligé de le frotter au
+triple des autres, que voilà dans leurs lits, et qui
+commencent à saliver. Je le connais; c'est un monstre à ôter
+du monde, et tout à l'heure, il ne pourra parler.
+
+-- Empêchez qu'il n'écrive!
+
+-- Oh! ne craignez rien! l'enflure lui... gagne les yeux; il
+n'y voit plus, et la langue commence à lui sortir de la
+bouche... Il... souffre... (lui tâtant le pouls) comme un
+damné... et il n'a pas une demi-heure à vivre...
+
+Alors, Vitnègre, enhardi, a dit au moine:
+
+-- Gueux! Infâme!... c'est la putain Conillette que je t'ai
+donnée, que tu as fait manger à tes moines, et dont tu as
+dévoré la matrice vérolée!
+
+Le moine s'est soulevé, et a lancé à Vitnègre un si terrible
+coup de poing, qu'il l'aurait tué, si la colonne du lit
+n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a
+renversé Vitnègre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce
+matin, par le chirurgien, que la langue du moine, devenue
+grosse comme celle d'un boeuf, l'avait étouffé un quart d'heure
+après... On a brûlé, sans lire, tout ce qu'il avait écrit
+durant sa maladie.
+
+-- Voilà ce que Vitnègre, tranquillisé, vient de me raconter.
+Il est tard; je ne saurais vous reconduire. Partez, ma belle
+amie.
+
+Tel fut le récit de Timori, fait à ma fille, que j'entendis
+tout entier, et qu'elle me répétera. Elle s'en revint la tête
+remplie d'idées noires. Je la suivais à vingt pas, la couvant
+des yeux, pour la préserver de toute mauvaise rencontre. Je
+bandais comme un carme, en voyant son joli tour de hanches...
+
+Elle rentra. Je la précédai dans mon magasin, et je me cachai.
+Elle revint avec de la lumière et de l'eau tiède. Elle se lava
+la motte, et soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe
+plus, le scélérat!... Je suis encore effrayée! Je frappai un
+petit coup sur une commode. Conquette leva les yeux, et me
+vit. Je lui contai tout ce qu'elle venait de faire. Je lui
+causai un effroi salutaire, qui la guérit de l'envie de
+retourner seule chez Timorì, en lui disant que j'avais aperçu
+Vitnègre sur le quai des Ormes. J'ajoutai:
+
+-- Vous alliez pour être baisée; vous le serez; car je couche
+avec vous.
+
+Elle bégueulait, disant que le récit de Timori lui avait ôté
+ses désirs. Je ne l'écoutai pas; je me mis au lit, et elle
+vint se coucher auprès de moi.
+
+
+Chapitre XXII De la fouteuse mise en appétit.
+
+
+L'appétit vient en mangeant (dit le proverbe); et l'on va voir
+combien il a raison, pour Conquette!
+
+Dès que ma fille fut à ma portée, je m'ancrai sur ses appas,
+lui suçai les tétons, et l'enconnai. Je ne sais par quel
+motif, humeur ou volupté, ma divine enfant ne remua pas. Je
+fis de même, et la tins emmanchée, sans me donner aucun
+mouvement... Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans
+déconner. Conquette, qui s'y était prêtée, s'endormit comme
+moi, sans doute; puisqu'en m'éveillant, sur les 2 heures, je
+me retrouvai dans son bijou. Je m'agitai pour lors. Elle me
+serra dans ses bras, remua vivement du cul, et me dit:
+
+-- Cher amant! pou..ousse".
+
+Et elle saccada de toute la force de ses reins... Elle
+déchargea... J'émis aussi...
+
+-- Ah... mon Dieu (dit-elle), c'est mon papa, qui me...
+caracole...
+
+-- Qui te fous, ma déesse.
+
+-- Ah... il n'y a que vous, pour ces choses-là... Je ne vous
+contrarierai plus; car vous avez plus d'esprit que moi... J'ai
+eu un plaisir... que je ne dois qu'à vous... Cher papa,
+recommencez; que je décharge à votre intention! Je vous
+adore...
+
+Je la re-enconnai vigoureusement, en lui disant:
+
+-- Et fous comme tout à l'heure, à l'intention de ton amant...
+
+Elle remua du cul comme Cléopâtre ou Messaline, et elle se mit
+à dire, en saccadant:
+
+-- Bougre de Timori... fous... fous... fous-moi... Fous ta
+garce... fais cocu mon sacré gueux de père... dont je suis la
+femme... la maîtresse... la putain... Ah... je sens ton vit,
+au fond de mon con... Ta langue... ta langue!... Je me pâme...
+je dé...cha.arge... Foutre... Ah-a-a-ah... je n'en puis
+plus...
+
+Et, en finissant, elle alla se laver le con...
+
+Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle.
+
+-- Remue du cul, du con! (lui dis-je) Trémousse des fesses...
+Je sens ton pinçoir... Oh! que tu fous bien, fille de mon vit,
+pour une novice!... Ayez un mouvement encore plus rapide!...
+Bon... excellent!... Quels reins élastiques!...
+
+Elle fit trois soubresauts, et déchargea, en disant:
+
+-- O mon Dieu! mettez une tonne de foutre dans les couilles de
+mon père, et que son vit divin le décharge au fond de mon con!
+
+Dieu l'exauça, car j'émis aussitôt, et nos foutres se
+mêlèrent. J'en espérai un Adonis... Elle resta ensuite
+immobile, et moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me
+rafraîchis le vit et les couilles; puis nous nous recouchâmes.
+Je la re-enconnai.
+
+Je fus là plus d'une heure, lui suçotant ses boutons de roses,
+lui dardotant et lui faisant dardoter la langue; la faisant
+déchargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne
+pouvais me résoudre à déconner... Tout à coup ma fille, que je
+croyais épuisée, se met à trémousser du cul, à convulsionner
+du con, comme faisait autrefois sa mère, mais mieux que
+celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la décharge! De sorte
+que je la limai tant qu'elle voulut... Elle me disait:
+
+-- Papa! je ne parlerai pas d'un Vitnègre, qui n'a de plaisir
+sur une femme qu'autant qu'il brutalise sa monture; mais vous
+foutez plus tendrement, plus délicieusement, que Timori ne
+caresse. Vous limez mon con comme un dieu!... A votre
+intention cette décharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es
+dans le con de ta fille! Remue du cul, papa! Tu me fous... tu
+me fous... tu m'enco..onnes!... Fous, bougre! fous ta fille!
+incestue, jean-foutre!... Enfonce, enfon..once... dans le
+con..on de ta fi..ille... pâ..âmée!...
+
+Et elle resta comme morte, pendant une longue décharge...
+
+Je la relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière fois
+de cette nuit-là. Elle se ranima:
+
+-- Fous, maquereau! Je suis ta putain, ta raccrocheuse... ta
+sacrée salope... ta passionnée fouteuse... ta tendre fille...
+Engrosse-moi! (remuant du cul avec fureur) mets-moi dans le
+con un garçon... une garce! si une fille, tu la...
+dépucelleras un jour... si un fils, il me foutra...
+
+-- Adorable fureur! (m'écriai-je)... Tiens, fille adorée, voilà
+du foutre.
+
+J'émis délicieusement; et ma fouteuse déchargea plus
+délicieusement encore...
+
+-- Ah! quelle nuit! (me dit-elle)... Timori ne me l'aurait pas
+donnée si voluptueuse...
+
+Elle s'ablua; je lavai, et nous endormîmes.
+
+
+Chapitre XXIII De la tendresse filiale; amour paternel.
+
+
+Etre réservée, modeste, ou voluptueuse et fouteuse à propos,
+c'est la véritable sagesse.
+
+Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le
+re-mettre à Mme Poilsoyeux, et il en fut très étonné! Elle était
+aussi modeste, aussi retenue avec lui, qu'avant qu'il l'eût
+foutue. C'est qu'elle suivait mon avis, de ne pas laisser
+prendre un pied sur elle, par les faveurs accordées, ou
+ravies.... Un jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu,
+il lui prit le con. Elle lui donna un soufflet. Je dis à
+Montencon:
+
+-- Moi, qui la connais, je ne lui touche jamais les fesses, ou
+le poil du connin, sans sa permission, et sans qu'elle m'ait
+dit: "Eh bien, faites donc vite!" Quand je lui demande cette
+faveur, elle est parée, chaussée comme les Grâces... Je
+commence par lui demander à lui baiser le pied. Puis, lui
+glissant la main sur la jambe, je lui dis: "Tu l'as si jolie!
+que je la baise!..." Je pousse à la cuisse, en disant: "Quel
+satin!" Je lui passe délicatement la main sur la motte, et je
+m'écrie: "Ma reine! qu'en te voyant marcher dans la rue, et
+tortiller si joliment du cul! faire bander tous les hommes,
+bisquer de jalousie toutes les femmes, je puisse me dire: 'Je
+viens de patiner, de baiser ces foutatifs appas...' Je te
+suivrai; j'entendrai les hommes dire: 'Que je la foutrais
+bien!' Je verrai les femmes penser: 'Sacrée coquette! cette
+parure, ce goût, ce tour de cul signifient: Je veux être
+foutue! Vits, foutez-moi!' 'Bougresses! (leur répondrai-je
+tout bas), je méprise vos cons et vous! Je ne bande que pour
+le beau connin que vous jalousez'..."
+
+Ma fille sourit à ces propos; se laisse patiner, puis baiser
+tétons, fesses et connin... Montencon m'admira, et demanda
+pardon à Conquette, qui n'avait entendu ce que je venais de
+dire, qu'avec une modeste rougeur.
+
+Un jour de fête, que je l'avais conduite avec précaution chez
+une amie, et que j'étais retourné la chercher le soir, la
+suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit
+bander si fort qu'en rentrant, je lui happai le con. Elle se
+défendit, parce qu'elle entendait aller et venir Mme
+Brideconnin.
+
+-- En ce moment, déesse, je suis si enragé de lubricité, par ta
+marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre.
+
+Et je grinçais des dents, lui tenant toujours le poil du con,
+ce poil soyeux qui lui formait une longue et superbe perruque
+à la Louis XIV.
+
+-- Eh bien! (me dit-elle), allons: Mais ne me chiffonnez donc
+pas?
+
+-- En déshabillé, reine.
+
+Je lui tenais toujours le con, et je la suivais à chaque pas
+qu'elle faisait. Elle me donna un joli baiser à langue dardée,
+pour me remercier de ce que je lui permettais de se mettre en
+déshabillé.
+
+-- Ne me quittez pas le poil; ça me prépare.
+
+Une pareille complaisance me la faisait adorer. En un instant,
+elle fut en corset, en court jupon piqué, les tétons bien
+découverts:
+
+-- Ma chaussure est-elle assez voluptueuse? ou voulez-vous des
+mules, avec d'autres bas?
+
+-- Des mules.
+
+Je la déchaussai d'une main, lui chatouillant toujours le con.
+Ah! quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa
+debout. Je lui mis le pied dans une mule rose délicieuse, à
+talons roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que
+le bout du talon. Je lui quittai la motte, qu'elle lava.
+Ensuite elle fit par la chambre quelques tours, pour m'exciter
+davantage. Me voyant hors de moi:
+
+-- Je veux te griller! (me dit-elle).
+
+Tandis que je déculottais, elle s'assit, croisa ses genoux, et
+fit badiner la mule du pied en l'air...
+
+Je n'en pouvais plus... Me voyant prêt à m'élancer sur elle,
+Conquette vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes,
+appuya ses deux coudes sur mes épaules, et s'enfila doucement
+elle-même, sans toucher mon vit de sa main délicate. Elle
+descendit ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à
+son pincevit:
+
+-- Ne remue pas! (me dit ma reine) je veux me foutre moi-même!
+
+Quand elle sentit le plaisir, la divine fouteuse, trop émue,
+s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant:
+
+-- Cher vit... pou..ousse!
+
+Elle mit sa bouche brûlante sur la mienne, donna le mouvement
+intérieur à son con, me darda sa langue, et se pâma, en me
+lançant toute son âme... Je déchargeai, avec un si délicieux
+frémissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes
+d'émission.
+
+-- Ah! Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure... et se...
+prolonge avec toi...
+
+Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes premières
+décharges, où je perdais connaissance, et je crus que j'allais
+expirer de volupté dans son con. Je le dis, en déchargeant.
+Mon enconnée n'en frétilla que plus vivement:
+
+-- Un fils?... une fille?... ou tous deux au fond de mon con
+(me disait-elle), cher vit de mon père!...
+
+Je jurais, je sacrais, je divinisais ma fille:
+
+-- Con céleste... Con divin... Con de mon vit... est-ce moi?...
+est-ce un roi?... est-ce un prince?... est-ce le beau commis
+aux aides, qui t'avons foutue dans le con de ta putain de
+mère?... Ah, mon vit te rend ma fille, en mêlant mon foutre au
+tien... Divine, sacrée garce... Adorable bougresse enculée, il
+faut que je t'encule aussi?
+
+-- Non; ton foutre m'est trop précieux, pour que je le perde
+sciemment. Fous-moi en con, tant que tu le voudras; mais non
+en cul, en bouche ou en tétons.
+
+Je l'approuvai avec respect.
+
+Je lui dis ensuite pourquoi je la suivais toujours, en la
+menant chez son amie, ou en la ramenant:
+
+-- Mon premier motif est de mieux voir le danger. Le second,
+d'entendre les discours des hommes et des jeunes gens que tu
+fais bander. L'un dit: "Quel mouvement de cul!... O garce! si
+nous étions seuls ici, je me jetterais sur toi, et je
+t'enconnerais..."
+
+-- Je l'ai entendu (me dit en souriant Mme Poilsoyeux).
+
+-- Un autre (ce soir) se secoue le vit en pleine rue: "Maman...
+(dit-il) délicieuse maman... je me branle... je décharge... à
+ta divine intention."
+
+-- Je l'ai entendu; j'ai souri. Il a aussitôt ajouté: "Oh, si
+vous êtes putain... une divine putain? cinquante louis pour
+trois coups en une heure?... ou chez moi, ou chez vous?... Je
+demeure rue de Bussi au 3ème, n° 16."
+
+-- Un joli fat (repris-je), disait assez haut: "Mon vit dans sa
+bouche, et ma langue dans son con..." Et il se branlait,
+branlait, branlait.
+
+-- Je l'ai vu, et je lui ai donné un petit coup d'éventail sur
+le vit... Il m'a bien touchée! Il m'occupait. Peut-être est-il
+cause que j'ai montré un peu d'humeur, quand, à notre arrivée,
+vous m'avez pris le con.
+
+A ces mots, nous recommençâmes une scène, comme celle que je
+viens de raconter; si ce n'est que je renversai ma fille sur
+le dos.
+
+-- Vit-papa... (me dit-elle) tu es le fat... c'est le fat qui
+me fout... Tu me fais foutre par tous ceux qui m'ont
+désirée... Je décharge à l'intention du fat... son vit dans ma
+bouche, ses couillettes sur mes tétons, et l'engin de mon père
+au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre...
+(convulsivant du con)... Je déchar..ge...
+
+Jamais elle n'avait eu autant de passion. Elle était même
+raisonnée; car, entre deux décharges, elle me dit:
+
+-- Vos lèvres sont appétissantes; elles me rappellent; au lieu
+que celles de Montencon... Je ne veux plus qu'il
+m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant). Langue en bouche;
+mon con pa..art... Ah, si j'avais là l'homme aux cinquante
+louis, moi qui ne suis pas effrontée, je crois que je ferais
+la putain, que je les exigerais d'avance, comme Vitnègre
+disait que c'est l'usage des filles, que je le déculotterais,
+et que mon con martyrisé gagnerait la somme!
+
+
+Chapitre XXIV Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle.
+
+
+Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les
+emportements du libertinage que dans le délire de la
+jouissance, effet d'un vigoureux tempérament.
+
+J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement.
+Cependant je la voyais haletante de volupté. Je courus au
+carrefour Bussi, n° 16, au 3ème. Je trouvai le jeune homme aux
+cinquante louis. Je le reconnus; il me remit.
+
+-- Je suis le père de la jeune dame à laquelle vous avez offert
+50 louis.
+
+-- Je les lui tiens. Trois coups en une heure?
+
+-- Soit. En ma présence?
+
+-- Et de tout Paris, si vous voulez. Mais, bougre, ne va pas me
+jouer!
+
+-- Non. Mais une heure, sans bruit?
+
+-- Foi d'homme! Partons...
+
+Il prit les 50 louis.
+
+Arrivés tous deux, je dis à ma fille:
+
+-- Voici l'homme qui t'a plu. Tu as besoin de 50 louis. Il te
+les apporte. Il les faut gagner!
+
+Conquette rougit, sans rien répondre. L'homme se déculotta,
+lui vint prendre les tétons, le con. Il me dit:
+
+-- Serrez les 50 louis; ce con satiné, ces tétons touchés les
+valent.
+
+Je les serrai, tandis qu'il renversait ma fille sur le
+foutoir. Elle fit un cri:
+
+-- O monsieur... mon cher monsieur... ne me faites pas trop de
+mal!
+
+-- Seriez-vous donc pucelle?
+
+-- Hélas! oui...
+
+Il l'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinça du con,
+déchargea.
+
+-- Elle est adorable (disait le fouteur enragé; car il foutit,
+et re-foutit, sans pitié, comme sans déconner, ses trois coups
+de suite).
+
+Ma fille, tantôt le caressait, tantôt lui demandait grâce:
+mais elle déchargeait toujours... Il déconna ravi... Et voyant
+quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient
+fait couler, il dit:
+
+-- Oui, vous êtes d'honnêtes gens. Un pareil pucelage n'est pas
+assez payé de 50 louis. Je vais en envoyer 50 autres, papa...
+(Ma fille était disparue pour s'abluer). Oui, si je n'étais
+pas marié (ajouta-t-il attendri), je l'épouserais, et pour son
+pucelage, et pour son amour... Vous allez recevoir 50 louis.
+Je la regretterai toujours, et ne la verrai jamais.
+
+Il partit. Ma fille me remercia, et me dit qu'elle était
+rassasiée. Je lui remettais les 50 louis.
+
+-- Non (me dit-elle), cher papa, c'est pour nos dépenses.
+
+Les 50 autres louis arrivèrent, et je ne pus jamais l'obliger
+à en mettre dans sa bourse plus de six. Je déposai les 94
+autres à sa portée dans mon magasin.
+
+Le Lendemain, à mon arrivée, ma fille me dit:
+
+-- Je brûle aujourd'hui. Savez-vous la demeure du fat, ou du
+vit découvert?
+
+-- Non; ce sont des sots.
+
+-- Eh bien, sortons. L'un ou l'autre me verra sans doute, et
+vous le suivrez.
+
+-- Divine fille... épuisé dans ton céleste connin, j'ai
+toujours les mêmes désirs; et, si je voulais mourir de
+plaisir, et dans le plaisir, je te prierais de remuer du cul,
+et de me laisser expirer au fond de ton con satiné...
+Foutons!...
+
+-- Un seul coup. Vous m'êtes trop cher et trop nécessaire pour
+que je ne vous ménage pas.
+
+En montant sur le ventre de ma fille, et tandis qu'elle
+m'arrangeait le vit à l'entrée de son con, je lui disais:
+
+-- Te quitter, pour en suivre un, est trop scabreux, et malheur
+peut arriver...
+
+Et comme elle ne s'agitait pas,
+
+-- Tu me ménages?... Remue du cul, mignonne! Saccade!
+Décharge!... C'est mon seul coup... Mais j'ai de quoi te
+satisfaire... Il le faut même, avant qu'un de tes trois gros
+vits te martyrise.
+
+Elle remua du cul et du con, comme Marie-Antoinette foutue en
+levrette à la Conciergerie par un polisson de gendarme... Nous
+déchargeâmes, Conquette, comme la reine, moi, comme le
+gendarme... Je sortis. Elle lava.
+
+
+Chapitre XXV Du bon père qui fait foutre sa fille.
+
+
+Allez au but, et bravez le reste: c'est un con, qu'il s'agit
+d'élargir; il faut donc qu'il soit foutu...
+
+On sait que j'avais à moi un certain Traitdamour, mon
+secrétaire, frère de Minone et amant de Connète, qu'il m'avait
+fait dépuceler, l'ayant trop gros. C'était un vigoureux garçon
+de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'allai chercher:
+
+-- Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec une femme
+charmante, que je veux régaler, et à laquelle je veux donner
+haute opinion de moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour. Mais tu
+l'auras vue avant de la foutre, pour la mieux servir.
+
+-- Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à
+Connète, ni à ma soeur, et je n'en fous point d'autres...
+
+Nous arrivâmes.
+
+Je lui fis voir, par une portière, Conquette, qu'il ne
+connaissait pas.
+
+-- Oh... qu'elle est... provoquante... foutative!...
+
+J'entrai seul:
+
+-- Dététonne-toi; trousse-toi toi-même (dis-je à Mme
+Poilsoyeux). Tu es vue par un jeune homme de vingt ans, beau
+comme l'Amour.
+
+-- Mon fat?
+
+-- Ton fat. Il se nomme Traitdamour. Ainsi, montre tout, en
+abluant. Je retourne auprès de lui.
+
+De retour auprès de mon étalon, je lui dis:
+
+-- Regarde-la bien. Elle va s'abluer, et montrer con et cul...
+
+L'âme de mon gendre momentané passa dans ses yeux. Conquette
+se découvrit les tétons, épongea légèrement les bouts d'eau-rose.
+Ensuite elle se troussa au-dessus des reins, se parfuma
+le cul et le con avec une autre fine éponge; tendit le cul, se
+faça bien le con. Puis elle se renversa sur le foutoir, avant
+de fermer les rideaux. Je les allai tirer, en disant à
+Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur la
+délicieuse Poilsoyeux; et l'enconnai. Traitdamour me
+chatouilla les couilles. J'émis avec fureur. Ma fouteuse se
+récriait de volupté... Je me hâtai de déconner.
+
+Traitdamour attendait tout déculotté. Il se précipita sur ma
+fille, et je dis, en me penchant sur la tête de l'enconnant:
+
+-- Allons, allons, ma belle! les reins souples! j'ai repris une
+vigueur nouvelle!
+
+Traitdamour cependant enfonçait à peine son beau vit dans cet
+étroit bijou, encore que mon foutre y servît de pommade.
+Conquette, de nouveau dépucelée, criotait en soupirotant, et
+néanmoins remuant vivement du cul, à chaque dardement de vit.
+
+Je rebandais. Mais Traitdamour foutit trois coups, et fit
+trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je le tirai,
+pour le forcer à reprendre haleine.
+
+-- Je vais pendant ce temps-là (lui dis-je très bas), faire une
+petite partie de Trou-Madame.
+
+-- Je vois (me dit-il de même), vous ne bandiez plus assez
+roide, et je suis votre Boutentrain! Mais elle a le con plein
+de foutre...
+
+Ma fille se lavait... Je roidissais de plus en plus, par la
+vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du pied parfait,
+du cul, du con, du ventre d'ivoire, du nombril bien fait, des
+tétons de ma fouteuse. Je dis tout haut à Traitdamour:
+
+-- Beau fouteur, montre-toi; que ma déesse voie le superbe vit
+dont je la régale!
+
+Traitdamour parut son trait à la main. Ce n'était pas le fat;
+mais il était plus beau. Ma fille sourit. Puis, baissant la
+vue sur le vit majeur, la belle dit en soupirant, et le
+pressant de sa main blanche et potelée:
+
+-- C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... et de
+plaisir!...
+
+Traitdamour me la renversa; lui fit écarter les cuisses; me
+coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en disant:
+
+-- Votre belle a la main trop douce; elle pourrait vous mettre
+à nage, et il faut enconner roide... Poussez, mon maître...
+piquez des deux!... la cavale est belle... Allons, déesse
+enconnée, haussez le con... Remuez du cul... C'est un homme
+d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre
+honorable...
+
+Cette harangue fit sourire la foutue, qui, pour en déguiser la
+cause, s'écria:
+
+-- Ah, monsieur Vitnègre, que de cornes vous voilà!...
+
+-- Allons, déesse (reprit Traitdamour), songez qu'il faut que
+vous fassiez les trois quarts de l'ouvrage... Du mouvement!...
+Bon... Ah! ça va d'amitié... et... vous remuez du cul comme
+une princesse... Allons, des reins souples! Avec votre connin
+satiné, vous mettez votre fouteur aux anges!... Roide, mon
+maître! aidez-vous... votre jolie monture va comme une jument
+barbe... Gzee... gzee... Un coup de fouet... Ah! quels
+soubresauts... Ma foi, elle décharge... Piquez des deux...
+Comme elle trémousse des fesses, la céleste petite amie! comme
+elle en donne!... Que je vous chatouille les couilles, pour
+vous y faire correspondre!... Vous partez!... Quels coups de
+cul!... Quels soupirs!... Elle redécharge!...
+
+Ma modeste fille ne jurait jamais que très émue, et dans le
+délire de la volupté. Aussi, en cette occasion, elle syncopa,
+en s'écriant:
+
+-- Bou..ougre!... fous..ous-moi! Mon... con a... toute... mon
+âme!... Je fous... je fonds... en foutre... je décha..arge...
+Que... n'ai-je... deux vits... dans... mon... sacré con!
+
+-- Il est trop étroit, ma belle (lui répondit Traitdamour);
+sans quoi l'on s'arrangerait à vous donner ce plaisir-là...
+Mais on pourra quelque jour vous enculer, pendant que votre
+fouteur vous enconnera...
+
+Après une délicieuse décharge, je me crus épuisé. Je déconnai
+sur-le-champ. Ma fille trémoussait encore. Traitdamour sauta
+sur ce con fumant, et, tout en le re-enconnant, il me disait:
+
+-- Vous avez foutu ma petite soeur; je l'ai foutue aussi, après
+vous. Vous m'avez dépucelé Connète ma future. Dites-moi si
+leurs cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est
+un satin!..... Mais, à en juger par le soyeux du poil,
+j'augure que l'intérieur du con de ma jolie chapelière de la
+rue Bordet en approchera... Ma reine... vous fais-je mal?
+
+-- Et plaisir... Va... va..a va..a donc! je fous.
+
+-- Ahahahh, quel satin.. quelles délices!... J'enconne... je
+fous... je décha..arge... Remue... divine... sacrée... céleste
+enconnée!... Oh, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond
+du connin!... Pince... serre... sacrée petite
+convulsionnaire... fais-moi... convulsiver dans ton joli
+con!... Tu veux du foutre... Déesse?... Quatre décharges de
+suite vont t'inonder le connin... connichon...
+connichonnet!... Voilà ma seconde...
+
+-- Fous... saccade (murmurait ma fille)... ne... me quitte...
+pas, cher vitdamour!
+
+-- Ne la quitte pas après avoir déchargé (dis-je à mon ancien
+secrétaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton
+gros vit!... Qu'elle est jolie, en foutant!... (disais-je à
+Traitdamour); je rebande... Elle a l'air d'une déesse!...
+Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la!... Elle
+gigote encore... Bon... bon! Elle se pâme?!... Ah, qu'elle est
+jolie, pâmée!.....
+
+-- Elle n'émet plus?
+
+-- Elle a émis quatre fois dans le con, sans la désenconner.
+
+-- Quatre et trois, c'est sept (disait Traitdamour, en me la
+lavant); vous allez la refoutre; ça me reposera; j'irai à mes
+douze.
+
+-- Vous vous ferez mal (me dit Conquette); voilà quatre fois
+que vous m'enconnez aujourd'hui; le reste de ses 12 me
+suffira; ça fera mes 16!
+
+Pour toute réponse, je me la fis renverser. Elle me darda sa
+langue, et je la foutis roide... Traitdamour la prit ensuite,
+et ne la quitta plus, quoiqu'elle l'en priât, qu'il n'eût
+arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se
+leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant:
+
+-- Emmenez cet impayable jeune homme, et me laissez libre. J'ai
+besoin de rafraîchir sur le bidet plus d'une demi-heure mon
+pauvre bijou martyrisé...
+
+Nous la laissâmes; j'allai prendre et faire prendre à
+Traitdamour un bouillon chez Mme Brideconnin, que je priai
+d'en tenir un prêt pour Mme Poilsoyeux. Ce qui la surprit...
+Conquette rafraîchie arriva, et parut aussi décente, aussi
+modeste, que si elle n'avait pas foutu. Traitdamour partit,
+sans être instruit, Mme Brideconnin étant prévenue de ne
+jamais découvrir les relations entre ma fille et moi.
+
+
+Chapitre XXVI D'avis très utile au lecteur, et à l'auteur.
+
+
+Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries
+majeures. Si je les avais rapportées sans préparation, elles
+auraient étonné. Mais qu'on sache que j'étais sûr, en les
+commençant, non seulement d'avoir pour mes filles deux des
+trois payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de les faire
+précéder par la jolie chapelière de la rue Bordet, qui, vendue
+au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les
+trois. Il était donc essentiel, pour éviter qu'elles ne
+fussent estropiées, de les faire prodigieusement élargir, en
+évitant néanmoins de les prodiguer à trop de déchargeurs en
+con. L'on verra comme je m'y prendrai pour cela.
+
+On trouvera dans le récit un épisode, à chaque séance, tant
+pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour
+raconter quelques aventures, que j'ai cru devoir supprimer au
+commencement. Chaque historiette lue ou racontée ne sortira
+pas du genre. Rien de plus déplacé, dans un ouvrage comme
+celui-ci, qu'une dissertation philosophique; elle y devient
+insipide, et par là même dégoûte de la philosophie. Mon but
+moral, qui en vaut bien un autre, est de donner à ceux qui ont
+le tempérament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse
+servir convenablement une épouse qui n'est plus belle. C'est
+ce que j'ai vu faire à plusieurs hommes, qui se servaient pour
+cela du livre cruel et si dangereux de Justine, ou les
+Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je
+veux préserver les femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine,
+non moins savoureuse, non moins emportée que la
+Justine, mais sans barbarie, empêchera désormais les hommes
+d'avoir recours à celle-ci. La publication de la concurrente
+antidotale est urgente, et je me déshonore volontiers aux yeux
+des sots, des puristes et des irréfléchis, pour la donner à
+mes concitoyens.
+
+L'ouvrage aura deux parties. Après le récit formant la
+première, succéderont des lettres, non moins assaisonnées,
+composant la seconde. Les filles de Cupidonnet lui racontent
+les parties de plaisir que leur faisaient faire leurs
+entreteneurs; parties où, dans le délire de l'ivresse, leurs
+payeurs les faisaient quelquefois posséder par 12 hommes...
+Mais toutes ces lettres ne sont pas érotiques: il en est
+d'intéressantes par un autre motif; tel est celui d'une
+résurrection, avec la découverte importante de l'origine de
+Conquette-Ingénue, et de Victoire-Conquette, noms de deux
+filles que les miennes ont remplacées. Ce qui me justifiera
+d'une certaine chose, qui sans doute a déjà effarouché plus
+d'un lecteur... Je n'en dirai pas davantage là-dessus.
+
+On ne peut trop multiplier les observations sur les scènes que
+je vais mettre sous la vue du lecteur. Pour remplacer la
+Justine, et faire préférer l'Anti-Justine, il faut que
+celle-ci surpasse l'autre en volupté, autant qu'elle lui cède en
+cruauté. Il faut qu'un seul chapitre lu par un homme, sur
+l'inspection de la table, lui fasse exploiter sa femme, jeune
+ou vieille, laide ou jolie, pourvu que la dame ait fait bidet,
+et qu'elle soit bien chaussée.
+
+
+Chapitre XXVII Du commencement des grandes fouteries.
+
+
+Egayée comme elle l'avait été hier, ma fille devait avoir
+besoin de repos le lendemain. Elle avait le bijou si fatigué
+qu'elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment
+auprès de Mme Brideconnin, de peur que personne ne vînt le lui
+patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique
+guérie dès le troisième jour, de se trouver seule avec moi.
+Elle amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était
+jamais branlée.
+
+Le dimanche, à une heure, elle alla pour la dernière fois chez
+son amie... Avant de partir, elle me présenta son joli pied à
+baiser, et me livra sans bégueulerie le poil de son connin. Je
+la conduisis jusqu'à la porte, promettant de la revenir
+prendre avant 5 heures; ce qui la fit rougir; mais j'observai
+qu'en montant, me croyant parti, elle souriait.
+
+Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi,
+m'apercevant qu'elle était observée par un homme, que je pris
+pour un des payeurs de Vitnègre. Mais il ne pouvait
+reconnaître que son joli tour de cul et sa marche provocante,
+tant elle était bien encaléchée. J'observais l'inconnu. Je
+demandai à ma fille si c'était là celui-ci qu'elle préférait?
+
+-- Oui (me dit-elle).
+
+Alors, je la nommai, distinctement, ma fille. Et l'homme
+s'éloigna.
+
+J'avais averti Traitdamour. Il avait une clef de mon magasin,
+et nous l'y trouvâmes. Je le crus seul, malgré la
+recommandation que je lui avais faite de m'amener quatre
+acteurs des deux sexes. Je lui dis, en riant, que je bandais,
+et que je voulais enconner.
+
+-- Quoi! (dit Conquette) est-ce que vous allez faire tous deux
+comme l'autre fois?... Je ne suis pas disposée, je vous en
+avertis.
+
+-- Nous vous disposerons, ma belle (lui dit ironiquement
+Traitdamour, qui la crut ma putain); voyez-moi ce vit-là!...
+
+Et il lui en montra un superbe...
+
+-- Laissez-moi d'abord vous lécher le connin, Ma'm'selle?...
+Mon maître vous enconnera, quand vous serez préparée! J'ai
+tout disposé, pour lui donner aujourd'hui, ainsi qu'à vous, un
+plaisir de fermier général.
+
+Il la renversa brutalement, et la gamahucha, en lui disant,
+comme s'il l'avait menacée:
+
+-- Ne résistez pas! car je vous ferais mal...
+
+Mais Mme Poilsoyeux, comme toutes les femmes à grand
+tempérament, aimait, dans la fouterie et ses accessoires, une
+sorte de brutalité. Ainsi, en croyant la contraindre, il la
+servait admirablement... La belle commençait à décharger...
+
+Tandis que je roidissais avec oscillation, à la vue du systole
+et du diastole des fesses et du con de ma fille, j'aperçus
+derrière un rideau de l'alcôve quelque chose qui remuait.
+J'allai voir. C'étaient Minone et Connète, auxquelles deux
+garçons amis de Traitdamour, excités par ce qu'ils voyaient,
+léchaient le con. Je leur fis entendre, par signes, de ne pas
+bruire, et je les encourageai d'un geste.
+
+Cependant Traitdamour fellait ou suçait le connin de Mme
+Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se
+dérangea, me tira sur la belle, et inséra mon vit bandant en
+ce connin rempucelé par sept jours de repos.
+
+-- Qu'avez-vous à me donner à vous sucer? (dit-il à
+l'enconnée).
+
+Elle lui présenta l'index de la main droite qu'il se mit à
+sucer, après néanmoins avoir appelé sa soeur et sa maîtresse,
+en leur disant:
+
+-- Ici, bougresses, et qu'on montre son savoir-faire!...
+
+L'une (Minone), qui avait la main aussi douce que ma fille
+avait le con, me chatouilla les couilles; l'autre (Connète)
+fourrait un doigt pommadé dans le cul de ma fouteuse, pour la
+faire tressaillir sous moi... Mme Poilsoyeux hennissait de
+plaisir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son cher
+fat... son cher Centlouis... son cher payeur à gros vit... son
+cher Traitdamour... Enfin, enivrée de fureur érotique, elle
+s'écria:
+
+-- Vitnègre!... Jean-foutre... Fous-moi! Pince-moi!... Que ton
+gros vit de mulâtre me pourfende et m'encule!...
+
+Et elle déchargea comme une énergumène. En ce moment, j'avais
+dans la bouche la langue frétillante de mon enconnée; une des
+deux filles me chatouillait de la sienne le trou du cul et les
+couilles; l'autre me suçait dans la raie du dos entre les deux
+épaules, précisément sur le sensorium... Je croyais connaître
+le plaisir de la décharge; mais je ne l'avais jamais éprouvé,
+comme cette fois-ci; et, de ce coup, je fus rendu.... --
+Quelles délices!
+
+Traitdamour m'enleva de sur ma fille, et se précipita dans son
+con.
+
+-- Voilà un connin! (disait-il, en poussant et retirant, allant
+toujours plus avant, à chaque saccade) Il y a de la différence
+de ce connin aux autres cons, comme du satin à la tapisserie
+de Bergame... Les jeunes filles n'avaient plus besoin de
+chatouiller, quand Traitdamour foutait; il avait assez de feu
+pour lui-même, et ne faisait que trop bien trémousser sa
+monture. Je fis signe aux deux garçons, Brisemote et
+Cordaboyau, d'étaler les filles, l'une sur un vieux sofa,
+l'autre sur un lit de sangle ayant un simple matelas, et de
+les foutre à la portée du regard de la belle au con soyeux.
+Par un effet du hasard, ma fille émettait sous Traitdamour
+pour la seconde fois, et les deux enconnées déchargèrent au
+même instant, ainsi que les trois hommes. La belle Poilsoyeux,
+en roidissant les jarrets, faisait:
+
+-- Hi hi-hi-héhé!...
+
+Minone:
+
+-- Han-han-hanh!...
+
+Connète:
+
+-- Houhi-houhin houah-houah-houâh!...
+
+Les trois hommes disaient ensemble: Traitdamour:
+
+-- Remue du cul, déesse!...
+
+Cordaboyau:
+
+-- Remue du cul, garce!
+
+Brisemote:
+
+-- Remue du cul, petite putain!...
+
+En déchargeant, ils s'écriaient:
+
+-- Foutre...
+
+-- Foutre...
+
+-- Foutre...
+
+Traitdamour:
+
+-- Ah, déesse...
+
+Cordaboyau:
+
+-- Ah, bougresse...
+
+Brisemote:
+
+-- Ah, mâtine!
+
+chacun suivant son caractère et sa politesse...
+
+Mme Poilsoyeux fut la plus longue à décharger; les deux autres
+étaient déconnées et lavées, qu'elle émettait encore. Enfin
+elle cessa. Traitdamour la lava. Et me voyant rebander:
+
+-- Vous la foutrez sans doute autant que la dernière fois? (me
+demanda-t-il).
+
+-- Très certainement! (répondis-je). Je ne suis vigoureux
+qu'avec cette jeune beauté. Je la foutrais jusqu'à extinction
+de vie et dessiccation de couilles; et tu vas voir ce que je
+vaux. Qu'on m'anime seulement par la vue d'enconnages
+redoublés!
+
+
+Chapitre XXVIII De l'enculo-connillerie.
+
+
+Ma réponse fit sourire Traitdamour, qui sans doute n'y ajouta
+aucune foi.
+
+-- Eh bien (reprit Traitdamour), je vais vous donner un
+plaisir, que vous n'avez jamais eu, ni ces bougres-là non
+plus. Je tiens cette pratique de l'abbé Chouanche, ancien
+Genovefain, qui m'a souvent enculé, avant que j'eusse de la
+barbe au menton et du poil au vit. Un jour, voyant que je
+m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aller lui chercher la
+petite Culfrayé la cadette, jolie comme un coeur, et non encore
+vendue à un Lord. Il envoyait 12 francs à la mère, et la fille
+devait en recevoir autant. L'abbé la fit s'appuyer un coude
+sur une commode; il se mit derrière elle, et l'encula. J'étais
+devant, et il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits
+se sentaient, ou la jeune garce tortillait du cul de façon que
+nous croyions le sentir. Chouanche la faisait tantôt pousser
+du con sur moi, et alors son vit déculant à moitié, il avait
+l'agrément de la re-enculer quand elle foulait du cul sur lui.
+Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu
+dura tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne
+déchargeait pas; il se réservait pour mon cul. En conséquence,
+il fit mettre la jolie Culfrayé sur le dos; je l'enconnai;
+l'abbé m'encula, et nous déchargeâmes tous trois... Nous ne
+prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop
+fatigante pour la foutue. Mais il payait la jolie bougresse...
+Payez-vous, Madame?...
+
+-- Non certes: c'est une honnête femme.
+
+-- Je m'en suis aperçu à sa fouterie. Une putain ne fout pas
+comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une expérience
+physique sur une de ces deux fillettes... Allons, Minone...
+Allons, Connète! laquelle des deux veut être enculée et
+enconnée tout à la fois et en même temps! Qu'elle se trousse!
+
+Durant cet entretien, qui la laissait tranquille, Conquette
+s'était couvert le con et les tétons. Les deux filles étaient
+assises à côté d'elle, dététonnées. Elle leur baisa le
+boutonnet, et leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs
+fichus (Mme Poilsoyeux redevenait toujours modeste, dès qu'on
+ne la foutait plus)... Les deux filles répondirent ensemble:
+
+-- Moi... Moi!
+
+-- L'une après l'autre (dit Traitdamour)... Vous avez ici de la
+pommade, ou du beurre frais?
+
+-- Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné). Tenez, ma
+pommade est là... et voici du beurre.
+
+-- Gardons ce beurre frais pour vous, belle dame, aussi belle
+au cul et au con qu'au visage (reprit Traitdamour).
+
+Minone se pommadait la rosette.
+
+-- C'est donc toi qui passes la première, ma soeur?
+
+-- Oui, si c'est toi qui me dépucelles le cul?
+
+-- J'y suis pucelle aussi (s'écria Connète).
+
+-- Ce ne sera pas moi qui aurai ton pucelage d'arrière
+(répondit Traitdamour à sa soeur). Mon vit est aujourd'hui
+entièrement réservé à Madame. Et, quoique le culetage m'ait
+toujours fait peine, agent ou patient, le cul satiné de Madame
+me tente autant que l'étroit fourreau de son con, qui se
+rempucelle en une semaine, ou seulement en faisant bidet à
+l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été enculée (à
+genoux, il lui regardait au cul), et que c'est aussi un
+pucelage?
+
+Conquette rougissait.
+
+Les deux camarades de Traitdamour tirèrent au premier roi à
+qui dépucellerait le cul de Minone; car tous deux le voulaient
+avoir. Ce fut Cordaboyau (un bellot à vit moyen) que le sort
+favorisa. Il se pommada le vit jusqu'à la racine. Traitdamour
+fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordaboyau devant son
+cul, et Brisemote (un beau à gros vit) devant son con. Il la
+fit ainsi enfiler des deux côtés; les jeunes gens se la
+poussant l'un sur l'autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel
+plaisir à Minone, qu'elle se récriait:
+
+-- Dieu... que j'ai de délices... c'est... une fouterie de
+princesse... On dit... que la Reine... fout ainsi entre...
+d'Artois et Vaudreuil... ce dernier a... le cul...
+
+-- Allons (dit Traitdamour), tachez de décharger tous trois en
+même temps!
+
+Cordaboyau poussait; il retint la garce par les hanches, pour
+enfoncer plus avant; Brisemote en fit autant; de sorte que,
+rendue immobile, elle s'agitait néanmoins en tout sens.
+
+-- Examinez bien.. (dis je à Conquette-Ingénue) pour faire la
+même chose à votre tour; car il faut que vous expérimentiez
+tous les genres de fouterie.
+
+Elle considéra le jeu, à travers les bâtons de son éventail.
+Minone haletait. Connète, ébahie, restait immobile à la
+contempler.
+
+-- Que fais-tu là, toi, bougresse? (lui dit Traitdamour, notre
+grand maître des cérémonies) Patine-nous Madame... Suce-lui le
+bout des tétins... Gamahuche-la; elle a le con propre comme un
+visage de mariée...
+
+Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la reine de
+la fête, que je vais décrire.
+
+Connète, tandis que Minone travaillait, et qu'elle était
+travaillée, découvrit les tétons de Mme Poilsoyeux, et les
+siens. Elle en suça les bouts; elle se les fit sucer. Ce
+chatouillement de la bouche de Conquette, aussi satinée que
+son con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse. Elle
+trousse Mme Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui
+chatouille le haut de la motte. La belle, émoustillée,
+regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux fouteurs
+qu'elle était prête à décharger. Ils redoublent le
+fourgonnage. Elle s'écrie:
+
+-- Vits de Dieu!
+
+Et elle se pâme. L'enculeur et l'enconneur l'inondaient de
+foutre; il ruisselait des deux côtés... Ma fille, vivement
+gamahuchée par Connète, est hors d'elle-même, et cette modeste
+beauté dit à la jeune fille:
+
+-- Ote-toi, garce! Un fouteur! Un fouteur!... deux... cent
+fouteurs!...
+
+Traitdamour l'entend. Il dérange Connète acharnée, en la
+tirant par la jolie crinière de son con blond. Il emplit le
+trou du cul de Mme Vitnègre de beurre frais; s'en frotte le
+vit décalotté; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la
+rosette, sans écouter les petits cris de l'enculée; l'étreint
+vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit
+dans le cul de la belle jusqu'à la garde, son con bien facé...
+Il crie à son maître:
+
+-- A ce con béant qui vous supe! Enconnez roide... Piquez des
+deux... la garce est enculée, et je vas vous donner les
+mouvements... Pardon, déesse! je ne me connais plus...
+Connète! boulonne, boulonne les couilles de mon maître...
+
+Cependant j'enconnais ma délicieuse fille. Et, sentant le vit
+de Traitdamour qui m'étrécissait encore le passage, et qui
+donnait au connin des oscillations que jamais con n'a eues, je
+délirai, en m'écriant:
+
+-- Chien de Vitnègre! cocu tout à la fois du con et du cul.
+
+Cette idée m'enflammait, et sa brutalité m'empêcha de
+décharger trop tôt. Je parvins au charmant pinçoir du fond du
+connin. Il me suça. Le vit de Traitdamour me communiquait tous
+ses mouvements, et en faisait faire d'insolites à mon adorable
+fouteuse. Déjà préparée par la langue de Connète, elle
+s'écrie:
+
+-- Ah-ah-ohh!... ze déça-arze.... Foutre!
+
+-- En voilà... du foutre... plein votre con... Reine des
+vits... et des dieux, s'écria Traitdamour!...
+
+Et je sentais les oscillations de son gros vit qui
+éjaculait... Enfin, je déchargeai moi-même. Ma fille, inondée
+de foutre, trémoussait rapidement:
+
+-- Con satiné de mon vit (m'écriai-je), que tu es délicieux!...
+
+Mme Vitnègre émettait encore, quand Traitdamour décula...
+
+Ce mouvement la fit redécharger... Le bougre se lavait d'eau
+tiède. Conquette, dans le con de laquelle je laissais osciller
+mon vit après décharge, gigotait, trémoussait, tremblotait
+sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traitdamour,
+toujours bandant, était revenu vers nous.
+
+-- Fous-la-moi tout chaud (lui dis-je); elle décharge encore...
+Et toi (dis-je à Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du
+bourdon d'amour.
+
+Elle m'obéit. Mais Minone, déculée, déconnée, lavée, était
+libre. Elle vint remplacer Connète, en me demandant si cela ne
+signifiait pas tout uniment de chatouiller les couilles de son
+frère pendant qu'il foutait ma maîtresse?... Cordaboyau
+cependant et Brisemote happaient Connète, le premier, cette
+fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une
+perspective encourageante à ma fille.
+
+Mais tout finit. Mme Vitnègre cessa de décharger. On la
+déconna. Traitdamour la mit au bidet. Elle se couvrit
+modestement le con et les tétons; puis elle dit aux deux
+fillettes:
+
+-- Mes bonnes amies, allons aider mon hôtesse, pour le souper!
+
+Elles y coururent.
+
+-- Si vous n'avez préparé (dit ma fille) que pour notre souper
+ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double.
+
+-- Je n'ai pas assez donc (répondit Mme Brideconnin).
+
+-- Vite au rôtisseur de vis-à-vis (reprit la belle Vitnègre);
+et du bon vin! ou je ne boirai que de l'eau. Un bon mariage
+paiera tout ça...
+
+On alla chez le successeur d'Ellès, qui promit un copieux
+souper pour dans une heure.
+
+Conquette rentra auprès de nous avec les deux jolies filles.
+
+-- Rebandez-vous? (me dit Traitdamour) Il ne faut pas laisser
+languir nos cons avec l'expectative d'un bon souper!
+
+-- Je brûle, à la vue du tour de cul et du pied de ma déesse;
+mais je ne suis pas roide, lui répondis-je.
+
+Traitdamour:
+
+-- Je roule dans ma tête une idée, qui vous roidira.
+
+
+Chapitre XXIX D'une nouvelle actrice. Danse nègre.
+
+
+-- Allons, garces, dit Traitdamour à sa soeur et à sa maîtresse,
+nues! Et vous, bougres, déshabillez-vous!...
+
+Il se mettait nu lui-même.
+
+-- Mais il nous faut encore une actrice... Je viens de voir
+monter une jolie drôlesse, qui ferait notre affaire?
+
+-- C'est Mme Brideconnin, l'hôtesse de notre belle dame, dit
+Connète.
+
+-- Non, non, mon amie. C'est une petite brune de fond de la
+cour, cadette d'une grande belle blonde, que nous aurons
+peut-être un jour, et qui se nomme Connindoré. La Cadette s'appelle
+Rosemauve, et passe pour très rusée. Mais on la dit amoureuse
+comme une chatte, quoiqu'elle soit peut-être pucelle encore;
+car sa mère la couve des yeux. Cependant, quand un homme
+l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner sa
+langue.
+
+-- Je la connais! dit modestement la belle Poilsoyeux; et elle
+m'a... m'a...
+
+Traitdamour:
+
+-- Quoi? déesse?
+
+-- Mais, donné sa jolie langue, et...
+
+-- Et quoi?
+
+-- Gam*******.
+
+-- Gamahuchée... Va la chercher, Connète.
+
+-- Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-même.
+
+Elle sortit, et, ayant rencontré Rosemauve qui redescendait,
+parce qu'elle n'avait pas trouvé un vieil oncle assez riche,
+dont elle recréait l'impotente lubricité, en lui chatouillant
+le croupion, le scrotum et les testicules; ce qui le faisait
+bandocher, la belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son
+aveu, et l'introduisit.
+
+Les deux filles et les trois hommes étaient nus comme la main.
+Sans rien dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous cinq à
+la déshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui
+baigna cul, con, cuisses, pieds... Puis Traitdamour lui dit:
+
+-- Ma belle, il faut, en tout, faire comme ma soeur et mon amie.
+
+Aussitôt commença la danse nègre; où chaque fille faisait tous
+les mouvements d'une Noire ardente qui fuit le vit dont elle
+brûle d'être enconnée, que le vit attrape, et qui saccade
+alors en trémoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait.
+Les garçons poursuivaient les garces le vit en main; et dès
+qu'ils les avaient attrapées, elles se retournaient pour
+l'enconnage, ou ils paraissaient les foutre en levrette;
+culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eussent perforé les
+cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main; l'homme
+la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi
+tourner de temps en temps.
+
+Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des
+reins, et je lui dis:
+
+-- Conque de Vénus, imite tous les mouvements de cul et de con
+que tu vois...
+
+Elle était excitée; elle se mit au milieu de la danse, et les
+exécuta rapidement... Traitdamour, me voyant en rut, et ses
+camarades bien disposés, leur dit:
+
+-- Au foutoir...
+
+Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute
+mortifiée!
+
+-- Votre tour va venir, ma belle danseuse.
+
+Il étendit ma fille sur le sofa, dont il lui mit un des
+oreillers sous le cul:
+
+-- Allons, ma toute éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchez-moi
+ce connin-là, pendant que je vous le mettrai en levrette,
+ou vous enculerai, à votre choix?
+
+-- On ne dépucelle pas une vierge en levrette (répondit-elle
+vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je
+gamahucherai ce connin d'amour...
+
+Elle gamahucha la belle épouse de M. Vitnègre avec fureur, et
+Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le
+cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela:
+
+-- le vit! le vit!
+
+Je n'y pouvais plus tenir. Je dérangeai la Rosemauve enculée,
+pour me précipiter dans le con de ma fille haletante de
+volupté... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eus la
+délicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que
+la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutées
+de Rosemauve!... Je cocufiai Monsieur Vitnègre aussi
+copieusement que si j'avais eu les couilles d'un Dieu!... On
+abluait.
+
+-- Avec la permission de ma déesse (à Conquette), il faut que
+je m'acquitte avec Rosemauve!...
+
+Tout le monde s'écria:
+
+-- Non, non, dimanche! Je ne les écoutai pas; j'enfilai la
+pucelle, qui criota, sanglotina, et ils furent témoins de ma
+nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sérieusement. On
+alla souper.
+
+La conversation fut sage, rassise. Brideconnin, sa femme, en
+étaient édifiés... Mais je ne tarderai pas à les mettre de nos
+amusements... Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire
+dans le genre de nos amusements! Je lui donnai à lire une
+lettre, adressée à Vitnègre, par un de ses trois payeurs,
+lettre que j'avais trouvée dans une des malles de ma fille. La
+voici:
+
+
+Chapitre XXX De la Piochée, du Pioché, du Piochard.
+
+
+Nous avons un de nos confrères, qui avait une maîtresse de
+seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétends
+jouir de ta femme à la mienne, quand une fois je l'aurai
+dévirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à peu près
+comme le père dont je vais parler. J'aime à écrire ces
+histoires-là; elles me font bander. Le père de la jeune fille
+était un riche marchand, qui l'avait délicatement élevée; mais
+il était devenu si pauvre qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni
+un fils de douze ans. La fille ayant plu à mon confrère, il la
+voulut acheter. Le père la lui vendit douze mille francs. Mais
+comme Piochencul (c'est le nom du confrère) est un libertin
+fort blasé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce ragoût
+est de faire trousser et laver la fille par son père, avant
+d'en jouir. Le père prend ensuite le vit du fouteur, et le
+dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son père
+l'avait pommadée la première fois. Pendant l'acte, il l'excite
+à remuer du cul, à serrer le fouteur dans ses bras, etc. Quand
+elle est déconnée, le père lave le vit de son gendre, le cul,
+le con de sa fille, et les essuie.
+
+Dans la conversation, Piochencul apprit bientôt que Piochée
+avait un frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement
+ressemblant à sa mère, qui avait été très jolie femme. Dès que
+mon confrère le sut, il l'acheta, comme sa soeur, et, pommadé
+par le père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre
+la soeur avec plus de vigueur, il la fit laver par le père,
+gamahucher par le jeune frère, et il l'enconna, quand elle fut
+prête à décharger... Par la suite, il n'encula plus le joli
+enfant:
+
+-- Bougre! dit-il au père, je ne bande plus assez pour enconner
+ta fille, sans être excité; encule-moi là ton petit garçon;
+cela me fera roidir!
+
+Le père est forcé, par son intérêt, d'obéir au blasé. Ce qui
+fait tellement bander le vieux satyre qu'il enconne, et même
+encule la jeune fille...
+
+Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le garçon a eu 15 ans,
+il lui a fait enconner sa soeur. Il la fout ensuite sans laver,
+pendant que le père encule le jeune homme. D'autres fois le
+frère encule sa soeur, tandis que le vieux bougre l'enconne...
+Voilà quelle est la vie que mène mon vieux confrère, et qu'il
+trouve délicieuse à son âge... La fille est délicate et jolie.
+Le garçon est beau. Le père est affreux. La fille est devenue
+grosse. Le financier croit, avec raison, que c'est du jeune
+frère. Il désire que ce soit une fille, espérant qu'elle sera
+jolie, comme tous les enfants incestueux. Car il faut savoir
+que ce joli garçon est fils d'un frère aîné, qui, devenu
+éperdument amoureux de sa mère, donna la courante à son père,
+en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le
+père fut obligé de se lever souvent, et le fils, à chaque
+sortie, alla auprès de sa mère, qu'il enconna six fois au
+moins pendant la nuit... Voilà d'où provenait le beau garçon,
+ressemblance de sa mère avec une telle perfection, que, vêtu
+des habits de la belle, qui n'est plus, on le prend pour elle.
+C'est en conséquence qu'un amant, piocheur de la mère,
+entretint le jeune homme sur le même pied que sa feu
+maîtresse, à condition que, pour la jouissance, il prendrait
+les habits de sa mère, en porterait le nom, Mme Brouette-vit;
+qu'il ferait la petite voix, dirait mon con, au lieu de mon
+cul; tandis que lui, Vitacon, se ferait illusion, en disant à
+sa maîtresse:
+
+-- Allons, ma chère Brouettevit, venez que je vous le mette en
+levrette!
+
+
+Chapitre XXXI Suite des mêmes. Piochète. Dix ans après.
+
+
+Je vais donner la suite de cette aventure.
+
+Piochée eut effectivement une fille, qui a 14 ans aujourd'hui,
+et qui est jolie comme sa grand'mère. Elle sert aux plaisirs
+du vieux traitant qui, ne pouvant plus enconner, s'en fait
+caresser, tandis que la mère lui suce le vit. C'est dans les
+extases de ce plaisir long et difficile, causé par le
+chatouillement que faisait éprouver à son vit paralytique le
+palais de Piochée, qu'il conçut le dessein de faire dépuceler
+Piochète à 14 ans, par Pioché l'Adonis, son père et son oncle,
+que justement la jeune enfant aimait incestueusement; puis
+enculer alternativement.
+
+-- Bande, bougre (dit-il à l'Adonis), et ne décharge pas! Tu me
+dépucelleras ta petite garce de fille... dès que ton grand-père
+t'aura déculé. La petite fut gamahuchée par le vieux
+singe; puis pommadée par sa mère. Son père, déculé, bien
+bandant, vint sur elle, et lui darda son vit dans le connin,
+dont la mère écartait les babines. Le fouteur n'entrait pas;
+la petite déchirée se récriait; le vieux satyre, émotionné,
+bandochait, en s'écriant:
+
+-- Oh! pousse donc, mâtin! ô pousse donc, bougre! Fends,
+pourfends le connichon de ta fille!... et mets-y une petite
+garce, que nous déflorerons un jour! Gzée, gzée, mon étalon!
+fais-moi des cavales!...
+
+Et le vieux décharné, par un phénomène, émit quelques gouttes
+d'un foutre clair, dans la bouche de Piochée, au moment où
+Adonis, forçant toutes les barricades, malgré les cris de sa
+fille, lui déchargeait au fond de son connin ensanglanté! Le
+bélître en fut si glorieux qu'il fit à Piochette mille écus de
+rentes, et autant à Piochée, outre ce qu'elles avaient déjà.
+Son grand délice, pendant qu'il fait servir la bouche de la
+mère de con à son vit, qui ne décharge plus, est de voir
+piocher Piochette, non seulement par le vigoureux Adonis
+Pioché, qui pioche, soit en con, soit en cul, mais de faire
+alors enculer le père, qui fout sa fille, par le grand-père
+qu'encule un laquais, sur le cul duquel est assise Piochée,
+foutue par un autre laquais... Il a soin qu'on fasse suivre au
+vieux Piochard un régime échauffant, afin que ce monstre
+tantôt enconne sa fille, tantôt encule son fils. Pendant cette
+scène, l'impuissant Ribaud patine les tétons et le connin du
+tendron, ou bien la gamahuche. Il lui prend quelquefois des
+vertigôts de faire enconner la mère, enculer Adonis par douze
+de ses amis en une seule séance. La jeune personne est alors
+nue en perspective, montrant le cul aux enculeurs, et le con
+aux enconneurs... C'est le vieux Piochard qui insère les vits
+dans le con ou dans le cul.
+
+Tu vois par-là quel parti nous pouvons tirer de ta femme,
+lorsqu'une fois elle sera dépucelée. Tu ne seras pas privé; tu
+mettras les vits dans le con et dans le cul de ta femme; tu en
+seras le maquereau, et quand elle sera bien élargie des deux
+trous, peut-être te permettra-t-on de la foutre en con ou même
+en cul. Lélargisseur.
+
+P.-S. J'apprends par une dernière visite faite à Piochencul
+que Piochette a effectivement eu la plus jolie petite fille;
+on me l'a montrée; elle a 3 ans. Mais, ce qui est le comble du
+libertinage, le vieux Piochencul lui fait déjà téter son vit
+flasque, pendant que la jeune mère lui chatouille les
+couilles. Je lui en demandai la raison?
+
+-- Je profite, répondit-il, du temps où l'enfant n'a pas encore
+de discernement, ni de dégoût à me sucer.
+
+Que dis-tu du vieux bougre?
+
+
+Chapitre XXXII Du connin goûté.
+
+
+-- Voilà quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à
+Conquette, si vous n'étiez pas décédée, et que vous fussiez
+restée l'épouse de Vitnègre.
+
+Expressions qui étonnèrent tout le monde, hors ma fille, et
+les Brideconnin.
+
+Cette lettre, qui avait été lue après le champagne, avait mis
+les jeunes gens en rut. On descendit au magasin, pendant que
+les hôtes serraient les débris du souper. Là, Traitdamour,
+demi-grisé, me dit, en me désignant ses camarades:
+
+-- Comment ces bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre
+bonheur, et de ce qu'est le connin de votre maîtresse, s'ils
+n'en tâtent pas?... Je n'entends nullement qu'ils y
+déchargent; mais seulement qu'ils y plongent rapidement leurs
+vits, pour en palper le satiné. Dès qu'un des enconneurs sera
+retiré, le mieux en état de nous deux, vous ou moi, achèvera
+Madame, et la fera décharger!
+
+-- Je le veux bien (répondis-je).
+
+Cordaboyau, bandant roide, se présenta. Nous renversâmes ma
+fille sur le foutoir, nous la troussâmes, et nous déclarâmes
+que nous nous tenions prêts à le désarçonner, dès qu'il aurait
+senti le velouté de l'étroit connin de notre fouterie, et que
+le clignotement de ses yeux annoncerait l'éruption du foutre.
+
+-- En ce cas (s'écria le bougre), que l'une de ces trois garces
+se couche-là le con pommadé, pour que mon vit convulsivant s'y
+précipite et décharge!
+
+On pommada Rosemauve. Cordaboyau enconna lentement Conquette,
+dont le satiné le fit se récrier... mais il plongea jusqu'au
+fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. Aussitôt Brisemote
+et Traitdamour l'enlevèrent comme une plume, en jurant:
+
+-- Le sacré bougre! il va partir...
+
+Et ils le mirent sur la brune Rosemauve bien écartée, et
+Conette dirigea le vit. Cette fille, la plus chaude des
+garces, si Mme Vitnègre ne l'eût pas surpassée, engloutit le
+vit en trois coups de cul sans intervalle. Cordaboyau
+déchargea en hurlant de volupté, Rosemauve l'étreignant avec
+une délicieuse fureur.
+
+Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, et j'enfonçais dans
+le con humide de ma déesse qui, suffisamment limée, déchargea
+deux fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel...
+Elle gigotait, criotait, soupirotait.
+
+-- Ah! (s'écria Traitdamour) vous êtes le dieu de son con, cher
+maître! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforez!
+Voyez comme elle en donne, l'adorable enfant!... Allons,
+céleste coquine, trémousse, trémousse! Fous, divine garce!
+décharge...
+
+Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conette, pommadée, fut
+étendue sur le foutoir... Il enconna ma fille. La grosseur du
+vit et sa roideur lui arrachaient de sourds gémissements; elle
+travaillait de toutes ses forces, mais le terrible engin avait
+encore plus de trois pouces pour toucher le fond. Tout à coup
+nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder,
+d'un torrent de sperme, le connin qu'il martyrise. Nous ne
+pouvions l'enlever et l'arracher, son vit lapait comme celui
+d'un gros dogue dans la vulve enflammée d'une grande levrette.
+En ce péril, nous implorâmes, Traidamour et moi, la pudeur de
+Conquette! L'adorable fouteuse, fidèle à nos vits, donna un
+coup de cul en arrière, et se déconna. Traitdamour plongea
+rapidement son braquemart en furie dans le con béant...
+
+Brisemote, enragé, se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait
+pas, et la foutit en levrette, avec tant de brutalité qu'il la
+fit crier autant de douleur que de plaisir... Et, voyant
+Conette se lever:
+
+-- Reste-là, garce! lui cria-t-il. Je suis dans une rage, par
+ce con velouté que fout Traitdamour, que j'enconnerais la rue
+Maubué et celle de la Tannerie...
+
+En effet, Rosemauve, déconnée, il fondit sur Conette, la fit
+crier; enfila Minone sans intervalle, et reprit Rosemauve...
+
+-- Que n'ai-je là notre putain d'hôtesse! la garce boite avec
+grâce, elle a de blancs tétons: qu'on me l'appelle!...
+
+Nous lui préparions Rosemauve, qu'il encula.
+
+Pendant ce temps-là, Traitdamour se délectait sur Mme
+Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, et déchargeait sans
+cesse, parce que son enconneur ne la déconnait pas.
+
+-- Que la bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les
+petons de ma déesse; ça la fera me secouer.
+
+-- Allons! m'écriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la
+motte, la douce main de Conette les couilles du cruel
+pourfendeur, et moi je chatouillerai les pieds délicats de la
+belle enconnée!
+
+Ce qui s'exécuta: de violents soubresauts, des cris, des
+blasphèmes de volupté, Foutu Dieu... Sacredieu... Dieu-con...
+Dieu-vit... marquaient l'égarement des deux conoeuvrants.
+
+Cependant Cordaboyau flairait la chaussure mignonne de
+Conquette-Ingénue, et allait y mettre son vit:
+
+-- Laisse donc! lui dit Rosemauve, tout enculée qu'elle était;
+cela est insensible; mon con est libre; que ne le fous-tu?
+
+Le bougre lui mit le ventre en l'air, et, tandis que Brisemote
+la sousaccadait en cul, Cordaboyau lui saccada le con.
+
+Je bandais si fort, en entendant et voyant tout cela, que
+j'allais enconner Minone ou Conette. Ma fille, qui
+déchargeait, me dit tendrement:
+
+-- Un autre con... que le mien... peut-il vous tenter?...
+
+Cette tendresse vraiment filiale, me toucha au coeur.
+
+-- Ote-toi (dis-je à Traitdamour); tu dois avoir déchargé!
+
+Il déconna. Et moi, ému d'un amour paternel sans bornes,
+j'enconnai ma fille, sans laver.
+
+-- Mêlons nos trois foutres (lui disais-je en enfonçant); que
+ton con filial engouffre le vit paternel avec délices!...
+Remue du cul, adorable enfant! Rends-moi tout le foutre que
+j'ai déchargé dans le con de ta mère... pour te faire!... Ah!
+comme la garce remuait du cul, oscillait du con, le jour où je
+l'engrossai de toi! Elle était chaussée, parée, un peu
+chiffonnée, et si chaude qu'elle se mit sur moi et s'enconna.
+Pour m'exciter davantage, elle me disait en saccadant:
+"Pousse... Enfonce... mon con est frayé... je viens d'être
+foutue par ce beau commis aux Aides, dont tu es si jaloux..."
+Et elle saccadait... Pour moi... je foutis avec fureur...
+comme je te fous à présent... C'est moi qui t'ai engendrée,
+enfoutrée dans son con satiné... quoique tu ressembles à Louis
+XV qui... dit-on, l'a aussi foutue...
+
+-- Mon cher père... ô vit divin! (répondit Ingénue, oppressée
+de foutre et de tendresse) je sens... à mon insatiable
+connin... que je suis votre fille... je le sens au plaisir...
+que me fait la céleste idée que mon... père me fout.... Décha--argeons
+ensemble, cher papa!... j'ai... plus de... foutre
+avec toi, qu'avec tout autre?... Ah! Ah!.. fourgonne...
+fourgonne, vit-papa... Le foutre... est long... à venir...
+J'ai tant foutu!... Mais je n'en ai que plus de plaisir... Ah!
+Ah!... foutre!... Dieu! Délices!... Vitnègre!... ô monstre,
+qui me déchirais, sans me pouvoir en--filer, que n'es-tu sur
+moi... ton vit noir me pourfendant le con... Foutamort...
+enfondre-moi... Cher papa... dieu-fouteur... je pars... je
+décha--a--arge... à l'intention... de... Foutamort...
+
+Et elle se pâma, dans un égarement, un délire ineffables.
+
+Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, et elle
+me faisait une jolie brouette de ses cuisses et de son con. Je
+dis qu'on la rechaussât, et, à chaque coup de cul, elle fit
+claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme faisait sa
+mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son pied. Ce
+spectacle parut si délicieux à mes trois drôles qu'ils
+enconnèrent en furieux, Traitdamour Rosemauve, Cordaboyau
+Conette, et Brisemote Minone, et qu'ils les firent crier comme
+des dépucelées.
+
+Dès que j'eus émis, je dis à mon secrétaire de déconner, de
+m'enlever, et de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma
+fille palpitait. Je la montrai se chatouillant elle-même le
+con. Traitdamour rebanda comme un enragé; il se précipita sur
+elle.
+
+-- Enculez-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle), il me
+semble que ça me fera mieux...
+
+-- Décharger (s'écria le bougre). Vous avez le con trop
+fatigué.
+
+Et il lui perça le cul sans mouiller.
+
+-- Je vais... redécharger (lui dit-elle, en continuant de se
+branler elle-même).
+
+-- Attendez! attendez! (lui cria le jeune et vigoureux
+perforeur); je vous branlerai, en vous enculant.
+
+Conquette enculée et branlée, roucoulait de plaisir...
+
+En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur
+Rosemauve, abandonnée par Traitdamour, pour ma fille. Elle se
+fit enculer et branler. Cordaboyau retourna Connète, et lui en
+fit autant. Minone, libre, alla gamahucher ma fille, que son
+frère tenait enculée; et moi, je branlai Minone. Les trois
+bougresses se récriaient que l'enculage branlé était divin.
+
+Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le con de
+Minone, que j'avais à peine la force de branler, tombant de
+sommeil, et bandant encore pour toutes quatre; il me devenait
+indifférent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote
+m'avança Rosemauve tout enculée. J'allais enconner la vive
+Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce con
+noir, et me présenta son con.
+
+-- Que je te voie! (s'écria Conquette, en s'arrachant du cul le
+vit de Traitdamour) si Cupidonnet doit mourir en rut, c'est
+dans mon con!...
+
+Elle se mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras et
+m'engouffra.
+
+-- Ah! (s'écria Brisemote, qui nous portait tous quatre) que
+n'ai-je le vit assez long pour les enculer toutes trois!
+
+Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au
+dimanche suivant. Conquette, après avoir fait amplement bidet,
+se coucha modestement. Je ne pouvais marcher. Mes trois
+gaillards remenèrent leurs belles, et revinrent me prendre,
+pour me porter chez moi, où ils me mirent au lit.
+
+
+Chapitre XXXIII De la fouteuse sensée. Histoire.
+
+
+Le lendemain, après mon travail, je vins voir ma fille. Elle
+était dans mon magasin. Elle m'embrassa la première, et me
+dit:
+
+-- Au nom de Dieu, cher papa, ménagez-vous! j'ai besoin de
+votre tendresse paternelle plus que jamais... Que deviendrais-je
+si je vous perdais? Vous êtes le meilleur des pères; vous
+me donnez le nécessaire et la volupté. J'ai un bijou
+insatiable; mais votre Traitdamour l'emplit et le satisfait au
+delà de toute vraisemblance. Je suis bien sensible au don que
+vous m'en avez fait. Aussi la reconnaissance et la tendresse
+sont pour vous; je ne lui donne que du...
+
+-- Foutre, mon adorable fille... Tu es toujours également
+modeste.
+
+-- J'ai aussi beaucoup d'obligation à Traitdamour d'avoir amené
+sa petite soeur et sa jolie maîtresse; surtout d'avoir donné
+celle-ci à ses deux vaillants camarades pour me rester plus
+entier et vous soulager d'autant, vu mon extrême chaleur. Ces
+jeunes filles sont de bonnes petites créatures, et valent
+mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite...
+Ménagez-vous, cher papa. Ne voyez que moi; c'est bien assez.
+Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces.
+Traitdamour me donnera le surplus de ce qu'il me faut. En ne
+jouissant que les dimanches, les garçons, les petites, tout
+comme nous, l'appétit et le plaisir seront plus grands; nous
+passerons une demi-journée délicieuse... Mais je suis jalouse
+de vous et du beau Traitdamour; ne le mettez qu'à moi.
+Avertissez-les tous de cela. C'est mon caractère que la
+jalousie. Et puis, où trouveriez-vous une femme ou fille qui
+me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par
+volupté que par délicatesse; car j'ai cet endroit, que vous
+avez la bonté de trouver charmant, toujours si chaud que je ne
+le mets jamais dans l'eau qu'avec une volupté qui approche de
+la jouissance. Ne me le mettez donc pas de la semaine, pour
+avoir plus de plaisir, sans vous tuer, le dimanche. Ne me
+touchez ni le bijou, ni le sein!
+
+-- Non (répondis-je); durant la semaine, je ne baiserai que ton
+joli pied. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au
+trumeau de ma cheminée!
+
+-- Rien de si flatteur, répondit-elle, que d'être ainsi adorée
+jusque dans sa parure. Aussi mon pied est-il soigné, comme
+vous l'adorez. Je le lave à l'eau-rose deux fois le jour matin
+et soir, et après avoir marché.
+
+-- Ah! céleste fouteuse, que je le baise, que je le baise!
+
+-- Point de ces mots-là! dans la semaine: ils vous excitent...
+Baisez votre idole! j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs;
+mais restez-en-là... Du reste, je suis à vous. Vendez-moi,
+livrez-moi, quand vous le voudrez; je me donnerai avec plaisir
+pour vous; comme une autre Ocyrhoé.
+
+[lacune]
+
+Je me privai donc, malgré moi; mais par nécessité; je me
+contraignais.
+
+[autre lacune]
+
+Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à talons verts, à
+laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de
+la fille la plus pieuse et la plus dévouée qui ait jamais
+existé. Conquette-Ingénue, à qui je le dis le samedi, en fut
+transportée de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses
+tétons, palper son poil soyeux, se mit à genoux, et dit avec
+ferveur:
+
+-- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naître d'un si
+bon père! Nous ne vous offensons pas; je rends à mon papa en
+plaisirs délicieux les soins qu'il a pris de mon enfance. Je
+suis le baume et le charme de sa vie; il est le baume et le
+charme de la mienne! Bénissez-nous!
+
+Elle fit trois signes de croix, baisa la terre, et se releva,
+en disant:
+
+-- Doux Jésus, qui le mettiez à Madeleine, elle était aussi
+votre fille; et en amour, vous le savez par expérience, rien
+n'est si voluptueux que l'inceste!...
+
+Je fus si édifié de cette prière que je me propose de la faire
+recommencer, à la fin de nos parties.
+
+Un instant après, à 8 heures et demie, toute la petite
+société, Traitdamour, Minone sa soeur, Conette sa maîtresse,
+Rosemauve, Cordaboyau et Brisemote, vinrent prendre langue
+pour la réunion du lendemain. Je donnai le mot et les retins à
+souper. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, et du vin
+de Bourgogne, avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les
+émoustiller tous, et moi-même, je fis lire par Rosemauve,
+devant nos hôtes, l'histoire suivante:
+
+
+Chapitre XXXIV De l'homme-à-queue.
+
+
+-- Vous aimez les histoires, dis-je, ne voulant pas manger de
+pâté; nous aurons demain toute autre chose à faire: je vais en
+conter une, pendant que vous achèverez de souper.
+
+Un rire d'aise précéda le silence.
+
+Il y avait à Sens, une veuve encore belle, quoique mère de six
+filles, dont l'aînée, qui atteignait vingt ans et se nommait
+Adélaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore
+dix-neuf; la troisième, Julie, en avait près de dix-huit; Justine
+dix-sept; Aglaé seize, et enfin Emilie, la cadette, quinze
+ans. Quant à la maman, mariée à treize, accouchée de son aînée
+à quatorze, elle avait trente-quatre ans. Mme Linars (c'est
+son nom) avait en outre deux nièces de quinze et vingt-deux
+ans, Lucie et Annette-Bar, une jolie femme de chambre de
+dix-huit, outre une cuisinière, grande et belle fille de vingt
+ans. Le mari avait mal fait ses affaires, avant que de mourir.
+La veuve ne soutenait sa nombreuse famille qu'avec le revenu
+de sa dot, qui rapportait cinq à six mille livres. On était
+gêné; car les nièces n'avaient que quinze cents livres de
+rentes entre elles deux. C'était onze jeunes personnes à
+entretenir avec 7500 francs.
+
+Il parut alors à Sens un gros et bel homme dont la physionomie
+annonçait trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passait
+pour très riche. Et, en effet, il l'était. Ses bras et sa
+poitrine étaient couverts de poils. Il avait le regard dur et
+presque féroce; mais son sourire l'adoucissait, et il souriait
+toujours en voyant de jolies femmes. L'aînée des demoiselles
+Linars était charmante; Fysitère la vit et en devint
+éperdument amoureux, quoiqu'il eût alors dans son sérail une
+femme mariée enlevée à Paris, de l'aveu du mari même; la soeur
+d'icelui, vendue par son père, et une superbe carmélite, leur
+cousine, qui s'était livrée elle-même, parce qu'elle était
+hystérique. Mais toutes ces maîtresses étaient alors
+enceintes, et Fysitère n'en jouissait que pour avoir des
+enfants. Il alla chez Mme Linars, pour lui demander en mariage
+Adélaïde.
+
+Le velu, en voyant onze femmes dans une seule maison,
+tressaillit d'aise... Il étala sa fortune, et proposa
+d'épouser l'aînée. Trente mille francs de rente qu'il prouva
+(il en avait bien davantage!) le firent accepter sur-le-champ.
+Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, et fit des
+présents, tant à sa prétendue qu'à la mère, aux belles-soeurs,
+à Lucie et Annette-Bar, les deux nièces, ainsi qu'à Geoline et
+à Marète, la femme de chambre et la cuisinière. Ce fut avec
+ces présents qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques
+préliminaires, qui fassent mieux connaître ce personnage.
+
+Fysitère était un de ces hommes poilus qui descendent d'un
+mélange de notre espèce avec celle d'hommes-à-queue de
+l'isthme de Panama, et de l'île de Bornéo. Il était vigoureux
+comme dix hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en aurait
+battu dix à armes égales, et qu'il lui fallait, à lui seul,
+autant de femmes qu'à dix hommes.
+
+A Paris, il avait acheté la femme d'un nommé Guae, un
+scélérat, qui la lui avait vendue et l'avait livrée. Fysitère
+la tenait exactement renfermée depuis. Il jouissait de cette
+infortunée, la plus provoquante des femmes, et qui avait
+beaucoup de tempérament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la
+fatiguait tellement qu'elle lui avait donné le conseil
+d'acheter de leur père sa soeur cadette, nommée Doucète, qui
+partagerait le travail. Il le fit. Mais ces deux femmes
+avaient été bientôt sur les dents. Heureusement, un confesseur
+de nonnes découvrit alors pour le velu la religieuse
+hystérique, cousine des deux victimes; il la tira de son
+couvent, sous prétexte de lui faire prendre les eaux, et la
+livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques
+semaines. Ce qui avait reposé ses deux cousines.
+
+C'est à cette époque que l'homme-à-queue était venu à Sens, et
+qu'il avait vu la famille Linars. Avant qu'il eût Mme Guae, on
+lui amenait trois filles couturières chaque matin. Mais les
+précautions qu'il était obligé de prendre pour sa santé, avec
+des créatures qu'il laissait libres, le dégoûtèrent de cette
+jouissance. D'ailleurs, comme il avait formé le projet de
+multiplier l'espèce des hommes-à-queue et d'en peupler l'île
+entière de Bornéo, pays originaire, il voulait pouvoir
+surveiller tous les enfants qui lui naîtraient. Ses trois
+femmes étant grosses, il ne voulait plus les fatiguer. Quand
+il fut lié avec Mme Linars, il aurait bien cherché à déflorer
+sa future, ou à se donner une des nièces; ou la cuisinière, ou
+la femme de chambre. Mais il trouva que tout cela avait ses
+inconvénients. Il réserva ce supplément de ressources pour
+après son mariage. La première qu'il attaqua, ce fut sa
+belle-mère future. Il lui fit un jour un présent de deux mille écus
+en espèces. Et, la voyant dans l'extase de la reconnaissance,
+il lui mit la main sous la jupe, en lui disant:
+
+-- Autant tous les six mois, si je vous le mets. Et ne craignez
+pas de faire du tort à votre fille! Elle n'en aura que trop de
+reste...
+
+Comme il était extrêmement fort, tout en parlant, il la
+renversait, l'enfilait. La dame se trouva prise sans l'avoir
+prévu. Elle fut rabatelée une dizaine de fois, tant elle était
+vigoureusement contenue... Enfin devenue libre, elle lui dit:
+
+-- Oh, quel homme!
+
+-- Je suis tel (répondit-il) que votre fille et vous, quand
+vous m'aurez toutes deux, me donnerez vous-même des
+maîtresses, pour vous reposer.
+
+La dame, qui aimait le jeu d'amour, sourit, en rougissant
+d'espérance et de plaisir.
+
+Elle fut exploitée tous les jours, en attendant celui du
+mariage de sa fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour
+une jeune vierge, elle pria l'inépuisable Fysitère de la
+ménager!
+
+-- Six fois, répondit-il, pas plus, si vous me promettez de me
+recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'aînée de vos
+nièces?
+
+-- Non; mais je vous donnerai Geoline, ou Marète, celle que je
+pourrai avoir le plus facilement...
+
+Le soir des noces, Fysitère, quoiqu'il eût toutes les nuits
+fourbi Mme Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa
+mariée. Il l'enleva comme une plume, dès qu'on eut soupé, se
+jeta sur elle, et lui fit pousser des cris effrayants. La
+mère, alarmée, accourut avec Geoline, au moment où Fysitère,
+sans trop s'embarrasser des gémissements de la jeune personne,
+la recommençait. La mère le laissa l'achever. Puis, sur
+l'instante prière de sa fille, elle la retira du lit, pour
+laver le sang et le suc d'homme dont sa conque martyrisée
+était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, et la viola,
+malgré ses clameurs. Il la retint sous lui quatre à cinq
+fois... Elle profita d'un intervalle pour s'échapper. Mais
+Fysitère menaça Mme Linars, si elle ne remplaçait pas sa
+fille, de tourmenter celle-ci jusqu'au jour... La dame était
+fatiguée. Elle alla chercher Marète, qu'elle enferma dans la
+chambre nuptiale. Fysitère la viola, et la contint sous lui
+quatre fois; puis il lui permit de dormir.
+
+Dans le jour, il assoupit les plaintes des deux filles
+domestiques, et même il les gagna, en leur constituant douze
+cents francs de rente à chacune. Mais elles demandèrent du
+repos, pour la nuit suivante... Le soir, Fysitère ramona six
+fois sa nouvelle épouse, qui prit un peu de goût à la chose;
+puis sa mère, reposée, fut à son tour fourgonnée six autres
+fois. Ce qui suffit à l'homme-à-queue.
+
+Le soir du troisième jour, il ne ramona sa femme qu'une fois;
+car elle demanda grâce. Il eut ensuite Geoline, six fois; puis
+Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se régla.
+Il eut, le quatrième soir, sa femme, une fois; sa belle-mère
+quatre; Geoline trois; Marète quatre: douze en tout. Il en
+agit ainsi pendant deux mois.
+
+-- Mais, lui dit Mme Linars, vous vous épuisez! A quoi bon nous
+le mettre tant de fois?
+
+-- Mon but est de faire des enfants, pour en repeupler une île
+des Indes, dont les hommes de mon espèce sont originaires. Dès
+que vous serez grosses, je ne vous le mettrai plus; vous m'en
+donnerez d'autres; mais surtout vos filles et vos nièces,
+parce que vous êtes toutes d'un beau sang. Je leur ferai à
+chacune six mille francs de revenu, et douze cents francs
+seulement aux étrangères que vous procurerez...
+
+Mme Linars fut très étonnée de cette proposition! Mais les six
+mille francs de revenu pour ses filles et ses nièces la
+tentèrent.
+
+Au bout des deux mois, et de six semaines de mariage, Mme
+Linars, la nouvelle épouse, Geoline et Marète se trouvèrent
+enceintes. Fysitère leur déclara qu'il ne les verrait plus
+qu'après leurs couches. Et il pressa Mme Linars de lui donner
+ses nièces, et deux de ses filles?... Elle fut obligée d'y
+consentir. Elle les conduisait elle-même, après les avoir
+instruites, et assistait à leur défloration, calmant leurs
+cris par ses discours et ses caresses.
+
+-- Ma raisonnable enfant, disait-elle à Lucie renversée sur le
+dos, et qu'on troussait, il est doux d'avoir 6 mille fr. de
+rente!... Cinq cents francs par mois! ajouta-t-elle en la
+pommadant... Et foncières, ma chère nièce! (dirigeant le gros
+membre dans sa fente).
+
+Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas.
+
+Vint ensuite Annette, la seconde. Sa mère l'exhorta, la
+pommada, insérant son index onctué le plus profondément
+possible, pour frayer la route. Elle introduisit le membre
+dans la fente ainsi préparée. Cependant Annette, perforée,
+jeta les hauts cris. Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont
+Mme Linars caressait la queue poilue, qui frétillait vivement.
+
+-- Ah! maman! (lui dit-il) mets-toi sur moi, et te l'enfonce
+dans ta conque; tu auras bien du plaisir!
+
+Elle le fit, et fut si ravie qu'elle appela sa fille aînée et
+les chambrières, pour leur procurer les mêmes délices.
+
+Annette suffisamment ramonée, et demandant grâce, Geoline la
+remmena, pour laver le sang et le sperme, dont son bijou était
+barbouillé; et Mme Linars alla chercher Sophie, sa seconde
+fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs
+mains jointes. Mme Linars la pommada; puis elle intromit.
+Geoline s'enfila avec la queue poilue, au refus d'Adélaïde,
+l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissements au
+premier assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut
+cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queue à
+poil durant toute la séance.
+
+Fysitère n'avait joui que neuf fois. Il lui en fallait trois
+encore. On alla lui quérir Julie, la troisième soeur, âgée de
+dix-sept ans. Sa mère la pommada. Ce qui ne l'empêcha pas de
+crier, parce qu'elle était fort étroite. Julie et sa cousine
+Annette furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les
+quinze premiers jours. Lucie fut prise tout de suite, et
+Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rien, aimant
+le plaisir. Quant à Julie et Annette, il s'écoula trois mois
+avant qu'elles fussent enceintes... Marète se farfouillait
+avec la queue poilue pendant les assauts de Julie.
+
+Lorsqu'il fut bien décidé que les quatre belles avaient le sac
+rempli, Mme Linars fut requise de donner ses trois dernières
+filles, et une cousine du côté gauche, fille hors mariage de
+son mari, nommée Naturelle-Linars! Elles lui furent livrées,
+et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avait pas quatorze ans
+accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré
+leurs cris et la déchirure de leurs jeunes appas. Naturelle
+avait vingt-et-un ans; ce fut une délicieuse jouissance, que
+l'homme-à-queue, fatigué, avait réservée pour la dernière.
+Celle-ci fut engrossée sur-le-champ; et les trois autres,
+malgré leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du
+mois. Elles étaient régulièrement fourgonnées trois fois par
+nuit; mais soit qu'elles eussent moins de tempérament, soit
+qu'étant plus étroites, elles souffrissent toujours, elles
+furent ravies lorsqu'elles furent déclarées enceintes.
+L'homme-à-queue avait en ce moment, de fécondées, 14 femelles,
+qui lui promettaient au moins 14 enfants.
+
+A cette époque, Mme Linars accoucha d'une fille. Un mois et
+demi après, Adélaïde, ou Mme A-queue, mit également une fille
+au monde. Puis Geoline et Marète eurent chacune un garçon.
+Annette et Lucie chacune une fille. Toutes six voulurent
+nourrir. Ce qui fut exécuté dans une terre écartée, du côté de
+Seignelai, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la
+petite rivière de Serin.
+
+Cependant, comme les unes nourrissaient, et que les autres
+étaient encore enceintes, il fallait de nouvelles femmes à
+Fysitère. Il demanda permission à Mme Linars de reféconder ses
+trois premières concubines, Mme Guae, sa soeur Doucète, et la
+carmélite, qui n'était plus hystérique depuis ses couches. La
+belle-mère y consentit avec la plus grande joie; car elle
+était fort embarrassée pour trouver à son gendre des sujets
+fécondables. Elle avait déjà bien marqué les quatre pucelles
+les moins laides du village, et même une cinquième, la plus
+jolie, femme mariée, stérile avec son mari; elle les avait
+presque gagnées, au moyen des douze cents francs par année,
+mais elle n'était pas encore sûre de leur discrétion... Les
+trois concubines étaient mandées. Elles arrivèrent.
+
+Dès le même soir, elles furent mises toutes trois dans un
+grand lit propre à cinq personnes; Fysitère s'y coucha au
+milieu: Il les palpa toutes; puis il prit Mme Guae, la plus
+voluptueuse, qu'il fourgonna trois fois avec fureur. Il saisit
+ensuite Doucette, que ses tendres gémissements lui firent
+ramoner en enragé. En la quittant, il sauta sur la carmélite,
+qu'il exploita six fois, sans désarçonner. Mais elle l'assura
+qu'elle était guérie de sa maladie, et elle le pria de se
+partager également entre elles trois! Ce qui fut arrêté.
+
+Le lendemain, Mme Linars, qui avait tout écouté pendant la
+nuit, demanda aux trois parentes comment elles appartenaient à
+Fysitère! Mme Guae répondit:
+
+-- Nous allons vous faire notre histoire qui vous paraîtra
+singulière! En même temps qu'elle vous donnera une idée juste
+de notre mari à toutes, qui est un homme d'une nature
+particulière.
+
+Mme Linars ne demanda pas mieux que de l'entendre. Mais elle
+fit observer à Mme Guae que ce récit ne seraì t pas moins
+agréable aux 12 autres femmes de Fysitère! Mme Guae en
+convint, et Adélaïde, Sophie, Julie, Justine, Aglaé, Emilie,
+Lucie, Annette, Geoline, Marète, Naturelle, appelées par Mme
+Linars, vinrent avec elle assister à la narration que fit la
+belle Mme Guae, en présence de Doucette sa soeur, et de
+Victoire, la carmélite leur cousine.
+
+
+Chapitre XXXV De la garce insatiable.
+
+
+-- Vous me voyez; j'ai toujours été désirée des hommes. A huit
+ans, un ouvrier qui travaillait dans la maison à de la
+menuiserie me prit le bijou; et, comme je ne criai pas, il me
+mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, et me les
+inonda, en déchargeant. Je le dis à ma mère, qui me lava les
+fesses, alla menacer le menuisier, et le fit déguerpir... Ce
+début annonce que le récit sera un peu libre; mais il faut
+être sincère.
+
+A dix ans, mon père déculotté m'asseyait à crû sur ses cuisses
+nues, faisait aller son membre entre les miennes, comme le
+battant d'une cloche, et, bien échauffé, il allait enfiler ma
+mère, une jeune tante soeur de celle-ci, ou ma gouvernante.
+
+A treize ans, j'avais le bijou cotonné, et si joli que mon
+père venait me le lécher la nuit pendant mon sommeil. Enfin,
+il me sentit riposter à ses coups de langue, et comprit que
+j'avais du plaisir. Il dardait plus fort, et je partais...
+Aussitôt mon père se mettait sur moi, me suçait mes petits
+tétons naissants, posait son membre à l'orifice de ma petite
+conque, et me barbouillait toute la motte de sperme... Il me
+lavait à l'eau-rose.
+
+A quinze ans, un jeune homme, frère de ma maîtresse de modes,
+me prit le con à la poignée, au moment où je regardais par la
+fenêtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt;
+mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet.
+
+A cette époque, mon père n'osait plus m'asseoir à cul nu sur
+ses genoux, ni me faire décharger en me léchant le con; il se
+retirait dès que je donnais le premier signe d'éveil. Mais
+comme j'ai le pied joli, et que M. Dardevit, ainsi que tous
+les hommes délicats, est infiniment sensible à cet attrait-là,
+il faisait faire mes chaussures par un habile cordonnier,
+celui de ma mère et de la Marquise de Marigni; le voluptueux
+ne me les donnait neuves que lorsque j'allais chez lui; il me
+les faisait mettre après un pédiluve, avec des bas de fin
+coton, me faisait marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour
+mieux voir ma jambe et mon pied, qu'il baisait; il me faisait
+ensuite asseoir, me tirait un soulier, s'en coiffait le vit,
+me faisait lui patiner les couilles avec mon pied chaussé,
+poussait de profonds soupirs, cognait au plancher, ce qui
+faisait monter Mme Mézières, voisine d'au-dessous. Elle lui
+arrachait mon soulier, ou ma mule. Elle se renversait sur le
+dos; il la troussait, et la fourgonnait, en me faisant relever
+ma jupe en perspective d'une glace jusqu'au genou.
+
+-- Votre père me fait ce qu'il ne peut vous faire, me disait la
+Mézières, parce que tu es sa fille; mais c'est toi qui le fais
+bander... Ah! si tu lui montrais ton joli connin, comme il me
+rabatellerait, et me donnerait des coups de vit en con!
+
+Touchée de ce langage, souvent je me troussais, et montrais
+une motte à poil follet et soyeux, que mon père trouvait
+adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait
+à la dame... En la quittant, il venait me rechausser. Mais
+quelquefois la Mézières l'en empêchait, et, furieuse de
+luxure, elle me renversait, me léchait le connin, et mettait
+dans le sien la pointe de mon soulier, ou de ma mule, comme un
+godmiché... Pendant ce temps-là, mon père me palpait doucement
+les fesses ou les tétons.
+
+-- Tu la foutras, bougre (tu la dépucelleras, et bientôt! et
+elle deviendra grosse de toi, si tu ne la maries!
+
+Ce propos, souvent répété, fit que je demandai vivement à me
+marier.
+
+J'avais un oncle, mari de ma tante. L'escalier de leur demeure
+était obscur. Un jour que je le montais, mon oncle me suivait.
+Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, et me happa
+ce qu'il nommait mon connôt. Je me récriai!
+
+-- Tais-toi donc (me dit-il); vas-tu troubler mon ménage?...
+
+Je me tus. Et il me patina le connôt, le cul, d'une main, les
+tétons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit
+serrer en jurant, et, tout en me suçant les tétons, me
+déchargea dans les doigts.
+
+J'entrai toute rouge chez ma tante. Mais je ne dis mot. Quand
+je m'en retournai, mon oncle me guettait; il m'accompagna, et
+me dit:
+
+-- Tu veux te marier. J'ai un parti, et il n'y a que moi qui
+puis gagner ton père; je le gagnerai, si je te le mets
+seulement trois fois avant le mariage, et lorsqu'il sera bien
+sûr?
+
+-- Que me mettrez-vous? (je faisais l'ignorante, puisque
+j'avais vu mon père et la Mézières).
+
+Nous étions dans l'allée. Il mit son vit à l'air, et
+m'empoigna le con:
+
+-- Ceci, dans ce que je te tiens.
+
+Je me débarrassai, et ne répondis rien. J'étais à la porte de
+mon père. J'entrai. Il était absent: J'attendis.
+
+Seule avec moi-même, je résolus de pressentir mon père, à son
+arrivée, sur mon mariage. Il arriva. Je fus moins sévère avec
+lui qu'à mon ordinaire, et, lorsque je l'embrassai, au lieu
+des yeux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la
+langue, comme je l'avais vu faire à la Mézières. Il me mit la
+main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai,
+en lui disant:
+
+-- Je voudrais me marier! Et comptez que vous serez bien
+caressé, si vous y consentez!
+
+-- De tout mon coeur, à cette condition... As-tu un parti?
+
+-- Mon oncle en a un, que je n'ai jamais vu.
+
+-- Bon! ce n'est pas une amourette... Il faut d'abord que je te
+gamahuche aujourd'hui?
+
+-- Qu'est-ce que c'est?
+
+-- Te lécher là (me prenant le bijou).
+
+Je fis une petite grimace.
+
+-- Allons, prends cette éponge fine, et lave le bien, à cause
+du joli poil, qui commence à l'ombrager! Le plaisir que tu
+auras, te dédommagera de la contrainte que tu te fais!
+
+Il me suça légèrement les bouts des tétons, pendant que mes
+fesses, mon cul et mon connin nageaient dans un bain tiède.
+
+Mon amoureux père ne me donna pas le temps de réfléchir. Dès
+qu'une serviette fine eut pompé l'eau, il me renversa sur le
+pied de son lit, troussée au-dessus des reins, appliqua sa
+bouche sur la fente de mon connôt, qu'il lécha vivement, en
+dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de
+décharge. Ce qui arriva au bout d'un demi-quart d'heure. En me
+sentant prête à émettre, mon père me quitta, me mit gros comme
+une noix de beurre frais dans le bas de la fente du connôt,
+m'y inséra son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada. Je
+déchargeais, et j'avais tant de plaisir que je le secondai,
+malgré quelques douleurs. Heureusement, le vit de mon père
+n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir
+complet; car il pénétra si avant qu'il me chatouilla le fond;
+et au moyen de ce que j'étais très étroite, il m'emplissait le
+con, comme si j'y avais eu un vit de mulet... Voilà comme je
+fus dépucelée.
+
+Je priai mon père, pendant qu'il me lavait le con, de ne pas
+différer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon
+oncle; et je lui en dis la raison.
+
+-- Il ne faut qu'il te le mette! me répondit-il vivement. Le
+bougre a le vit trop gros: il t'élargirait! Au lieu qu'après
+moi, ton futur, on tout autre fouteur, te trouvera comme
+pucelle.
+
+Je promis qu'il n'obtiendrait rien.
+
+-- Des bagatelles cependant, reprit mon Père. Branle-le, quand
+il te prendra le con. Tu pourrais même te laisser enculer,
+s'il était assez raisonnable pour s'en tenir là.
+
+-- Comment fait-on ça?
+
+-- Je vais te le montrer.
+
+Et il m'encula. J'eus du plaisir; car je déchargeai. Mon père
+me dit ensuite:
+
+-- Quant à mon consentement, envoie-moi ton prétendu: Si c'est
+un certain drôle que je soupçonne, tu n'en deviendras pas
+folle, et... Suffit.
+
+Je m'en retournai contente chez mon oncle, où sa femme et lui
+me présentèrent leur protégé, une sorte de mulâtre, qu'ils
+nommèrent M. Guae.
+
+Dès le même soir, ayant eu, avec ce M. Guae, un entretien très
+vif, pendant lequel je le vis prêt à me prendre le con, sa
+laideur et sa sottise ne me rebutèrent pas, attendu que mon
+oncle et ma tante m'avaient prévenue qu'il était terrible pour
+les femmes; ce qui m'avait bien tentée! Au contraire, je lui
+dis que j'avais obtenu le consentement de mon père, et qu'il
+pouvait se présenter. Il me pria de le conduire, n'en étant
+pas connu. Je remis au lendemain midi.
+
+Nous arrivâmes au moment où mon père allait sortir. Guae
+m'avait pris le cul dans l'escalier, et m'avait fait empoigner
+son vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étais
+ravissante! Je présentai Guae comme mon futur. Sa figure
+hideuse et basse fit sourire mon père, dont elle calma la
+jalousie. Il nous dit:
+
+-- Mes enfants, j'ai une affaire pressée; mais elle sera
+courte; attendez mon retour.
+
+Après son départ, Guae me dit:
+
+-- Il paraît, à son ton, qu'il vous tiendra sa parole, de
+consentir?
+
+-- Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose lui
+déplaît.
+
+-- Ma belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir pétillait de luxure)
+permettez de vous le mettre ici, sur le pied du lit de votre
+père!... Consentez-y!
+
+Je ne demandais pas mieux, à cause de mon dépucelage, et parce
+que le bijou me démangeait, depuis que mon père m'avait
+perforée. Mais je répondis:
+
+-- Oh non! mon père n'aurait qu'à rentrer!
+
+-- Eh! quand il rentrerait? vous voir enfilée ne ferait que
+hâter notre mariage.
+
+Il me renversa sur le pied du lit. Je me défendis gauchement.
+Il me mit le vit entre les babines du con, et poussait à
+m'enfondrer... Mais il ne put pénétrer, quoiqu'il se mouillât
+le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me décharger
+une chopine de sperme sur la motte, le ventre et les cuisses.
+
+Je me débarrassai, pour aller laver.
+
+-- Oh! vous êtes bien pucelle! me disait Guae, en se
+reculottant. Comme je m'essuyais, j'aperçus mon père caché...
+Je n'en fis pas semblant. Un instant après mon retour vers
+Guae, ce père rusé entra auprès de nous. Guae me demanda en
+mariage. Mon père lui répondit qu'il me laissait la maîtresse
+absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite à Guae qu'il
+avait à me parler, et qu'il le priait de s'en retourner seul;
+qu'il me remènerait chez ma tante, à laquelle il avait à
+parler aussi. Guae s'en alla.
+
+Dès qu'il fut sorti, mon père me dit:
+
+-- As-tu été foutue?
+
+Et il me prit le con à la poignée.
+
+-- Vous avez bien entendu que non.
+
+-- Où donc a-t-il déchargé?
+
+-- Sur le poil.
+
+-- Un peu entre les lèvres?
+
+-- Oui.
+
+-- Il suffit. On peut devenir enceinte avec cela seulement, et
+tu n'as plus rien à craindre. Mais va le voir chez lui, et
+qu'il ait toute facilité. En attendant, je vais en frayer
+encore un peu.
+
+Il me renversa, et à l'aide du beurre frais, il m'enfila...
+avec quelque facilité; ce qu'il répéta trois fois, excité par
+ce qu'il venait de voir, et parce que j'étais extrêmement bien
+chaussée, en souliers de soie neufs. Je déchargeai trois fois
+à chaque enconnage, comme disait mon père. Cela fit neuf fois.
+Mon père me dit que j'avais beaucoup de tempérament et que
+j'allais être une bonne fouteuse!... Je me lavai
+soigneusement, et il me remena.
+
+Nous trouvâmes Guae chez ma tante. J'étais plutôt mise en
+appétit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon père.
+Je dis bas à mon prétendu:
+
+-- Allez chez vous; j'ai à vous parler.
+
+Il y courut. Mon père parlait à ma tante, prenant des mesures
+pour accélérer; car il craignait, à la manière dont j'avais
+déchargé, que je ne devinsse grosse de lui; et il le désirait
+en même temps. Mais il fallait que je fusse mariée... Ma tante
+sortit avec lui.
+
+J'allais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un
+enconnage complet, lorsque mon oncle rentra. J'étais si
+envoluptée que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me déplût. Il
+ferma la porte au verrou et vint à moi:
+
+-- Tu vas donc te marier! me dit-il. Allons, il faut en
+découdre à nous deux! Aussi bien Guae a le membre si gros,
+qu'il te ferait souffrir le martyre (Ceci acheva de me
+déterminer)...
+
+Il me saisit.
+
+-- Laissez-moi! Laissez-moi! (dis-je faiblement).
+
+Mon oncle ne m'écouta pas, et, voyant que je ne criais, ni
+n'égratignais, il me renversa sur le lit, me troussa, et
+dirigea son vit dans le vagin de mon con. J'eus l'art de
+paraître me défendre, en le secondant. Il me fit mal; je
+criai, et, m'apercevant que les cris le facilitaient, je me
+mis à crier de toutes mes forces. Ce qui le fit enfoncer
+jusqu'à la garde, avec tant de plaisir de ma part que mes
+gémissements étaient de volupté. Je me débattais, mais mon con
+supait le gros vit, donnant de si bons coups de cul que je
+déchargeai avec des convulsions terribles et des contractions
+des trompes qui pinçaient le gland de mon oncle. Il se
+récria... et se pâma de plaisir...
+
+-- Ah! pour une pucelle, que tu fous bien! me dit-il ensuite.
+Que sera-ce donc un jour?... Recommençons...
+
+Il me recommença trois fois, malgré mes pleurs; car je sentis
+qu'il fallait pleurer...
+
+Quand il fut rassasié, il déconna.
+
+-- O céleste fouterie, me dit-il, si le mérite de ton con était
+connu, il ferait ta fortune!
+
+-- Oui! vous me l'avez bien accommodé! répondis-je en
+sanglotant, sur un bidet préparé par mon oncle.
+
+Il ôta le verrou, jeta l'eau mêlée de sang et de foutre; puis
+craignant le retour de sa femme, il sortit, en disant:
+
+-- Remerciez-moi! sans cette préparation, Guae vous aurait
+estropiée; et revenez à moi, s'il le faut!
+
+Je ne fus point effrayée de ce langage. Dès qu'il fut sorti,
+j'essuyai bien vite mes larmes, et je pris un air riant. Ma
+tante revint. Je la prévins de l'attaque de son mari, mais non
+du succès, pour lui faire presser mon mariage; la priant de ne
+lui en rien témoigner, de peur qu'il ne levât le masque. Je
+promis de toujours bien me défendre, comme je venais de faire;
+et tout en parlant, le con étant venu à me redémanger, je
+courus chez Guae, espérant que, préparée comme je l'étais, il
+me l'enfoncerait enfin. Il m'attendait.
+
+-- J'ai bien des choses à vous dire...
+
+Ce fut mon début. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la
+motte.
+
+-- Foutons d'abord, me dit-il, en me renversant.
+
+Je n'en fus pas fâchée; car je ne savais trop que lui dire de
+nouveau. Je me défendis gauchement, comme avec mon oncle et
+mon père. Mais, quoique je fusse élargie, ses tentatives
+furent encore inutiles. Je n'osais lui dire de prendre du
+beurre, de peur de paraître instruite. Je m'attendais qu'il y
+songerait. Cela ne lui vint point en pensée.
+
+-- Tu es diablement pucelle! me dit-il, en me tutoyant...
+
+Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derrière, et
+m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis. Je poussais
+des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant,
+que je ne pouvais remuer. Je le secondai, pour souffrir moins,
+et mes ripostes me firent décharger. Je croyais avoir un timon
+de carrosse dans le cul... Le retirer ne fut pas sans
+plaisir...
+
+-- Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, même en cul! Suffit!
+
+Il me demanda ensuite pardon:
+
+-- Votre beau con, votre beau cul, vos blancs tétins m'avaient
+mis comme un enragé; ne pouvant vous enconner, je vous ai
+enculée. Pardon, ma belle maîtresse! j'ai plus d'un projet,
+pour vous dédommager.
+
+Le cul me faisait mal. Guae me le mit dans l'eau tiède; puis
+il me le baisa, me le lécha, allant quelquefois au con. Il
+rebanda; mais je voulus m'en aller. Il fut obligé de me
+remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce
+qui n'empêcha pas qu'il ne me fit le branler dans le carrosse,
+lui ayant le nez dans une mule mignonne, qu'il m'avait
+arrachée du pied, et dans laquelle il déchargea. Dans le
+délire du plaisir, il me dit:
+
+-- Ma reine: j'ai le vit trop gros pour toi; choisis de l'oeil
+un joli jeune homme pour te dépuceler, et je trouverai le
+moyen de te le faire avoir, sans te compromettre.
+
+Ceci me fit plaisir... Guae me descendit, et me porta. Je me
+mis au lit; le sommeil calma mon cul.
+
+Le lendemain, j'allai chez mon père, auquel je racontai tout
+ce que Guae m'avait fait, et dit.
+
+-- Bon! me répondit-il. Tu as du tempérament. Tu seras foutue,
+en con, en cul, en bouche, et tu seras heureuse... Vous serez
+mariés dans huit jours, et je t'aurai un fouteur plus gros que
+moi. En attendant, je vais te le mettre; on ne saurait trop
+élargir un connin si mignon.
+
+Mon père m'enconna, recommença trois fois.
+
+-- Tu es toujours pucelle! me dit-il.
+
+-- Et pourtant, m'écriai-je, mon vilain oncle, avec son gros
+membre, m'a hier violée trois fois!
+
+-- Trois fois! reprit mon père; quel connichonnet as-tu donc?
+On pourra vendre mille fois ton pucelage!... Il faut que je te
+refoute. Et il me refoutit...
+
+Tandis que je me rinçais le con avec de l'eau tiède, mon père
+s'était mis à la fenêtre, et causait avec un jeune procureur
+son voisin, gros et beau garçon de 30 ans. Le con lavé,
+j'allai regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune
+procureur m'ayant aperçue, je me retirai.
+
+-- Quelle est donc cette céleste personne? demanda-t-il.
+
+Mon père ne répondit que par un geste qui, je crois,
+signifiait que j'étais sa maîtresse. Ils gesticulèrent encore.
+Puis le procureur disparut. Mon père me dit aussitôt:
+
+-- Veux-tu que ce bel homme te le mette, en payant?
+
+-- Oh! oh! mon père!
+
+-- Appelle-moi Monsieur, devant lui!...
+
+On frappa. Mon père ouvrit; et j'entendis qu'il disait tout
+bas au jeune homme:
+
+-- Apportez-vous les 50 louis?
+
+-- Les voilà.
+
+-- Mademoiselle? me dit alors mon père; vous savez que je vous
+aime pour vous même: Voici un bel homme de mes amis, qui veut
+vous faire un présent; je sors; témoignez-lui votre
+reconnaissance.
+
+Mon père se cacha, et le procureur le crut sorti.
+
+As-tu été foutue aujourd'hui, me dit-il, en venant pour me
+prendre les tétons.
+
+Je le régalai d'un soufflet.
+
+-- Apprenez que je suis ici chez mon père.
+
+-- Vous êtes Mademoiselle...
+
+-- Oui, Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un
+mariage de raison, ou d'intérêt. Mais mon père ayant été
+instruit que mon futur est... monstrueux... ce bon père a...
+pris sur lui de... me faire préparer. Je vous ai cru son ami;
+j'ai consenti, après vous avoir vu.
+
+Le procureur était à mes genoux. Il me demanda mille pardons!
+
+-- Soyez donc honnête! repris-je.
+
+Alors il me caressa. Je lui rendis enfin un baiser. Il me
+renversa. Il avait le vit comme mon oncle, mais il était moins
+adroit.
+
+-- De la pommade! lui criai-je. Mon prétendu m'ayant fait
+entrer chez lui par surprise, il ferma les portes, et voulut
+me violer... Ne le pouvant, il me pommada, et ne réussit pas
+encore. Vous, pommadez-...moi...
+
+En parlant ainsi, ses tentatives me faisaient décharger. Je
+soupirais de volupté. Mon père crut que c'était de douleur. Il
+arriva; me pommada; dirigea le vit de mon fouteur dans mon
+con, et dit, à lui:
+
+-- Poussez. (A moi) Soulève le cul; étreins dans tes bras;
+seconde ton dépuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe
+en avant; passe tes jambes sur ses reins, et serre, en remuant
+du cul... Bon! Bon! Saccadez, vous!... Bon!
+
+-- Ah Dieu! quel plaisir! s'écriait le fouteur; comme elle a...
+le con étroit!... le... mouvement... délicieux!
+
+Je lui dardai ma langue, en murmurant:
+
+-- Mon coeur!.. Mon roi!... Mon Dieu! je t'adore!...
+
+-- Ah! la chère petite amie! elle est tendre!... Je décharge!
+Je la fous... Ah!...
+
+-- Il me fout, mon père!... Tous les hommes foutent-ils?...
+Ahh!... Mon père!... quel plaisir!... Mon âme... va sortir
+par... le trou qu'il me fait!...
+
+Je déchargeais en me roidissant.
+
+-- Oh! la petite reine!... s'écria le jeune procureur. Elle
+décharge!... Mon père... donnez-la-moi pour femme; je l'ai
+dépucelée; je l'épouse!...
+
+Mon père, qui avait ses desseins sur moi, refusa. Il en
+résulta que le procureur enragé, s'acharna sur moi, et me
+foutit 18 fois... Mon père fut obligé de l'ôter de sur moi, et
+de le porter chez lui; il ne pouvait marcher... Quant à moi,
+j'étais à peine fatiguée. Mon con lavé, rafraîchi, il n'y
+parut plus. Au retour de mon père, le voyant tout ému, à la
+vue de mes tétons, je lui dis:
+
+-- Si vous bandez, satisfaites-vous, en me foutant deux ou
+trois fois!
+
+-- O quelle scène! s'écria-t-il. Mais tu as un con et un
+tempérament impayables! ils feront notre fortune... Voyons si
+tu déchargeras encore; foutons!...
+
+En m'enconnant, il me loua fort de m'être avouée sa fille, et
+du soufflet donné!
+
+-- Les fouteurs dédaignent les foutues; mais avec toi, ce sera
+le contraire; je veux te mettre au-dessus de ces bougres-là!
+
+-- Je décharge! m'écriai-je.
+
+-- Et moi aussi! répondit-il en me saccadant.
+
+Il me re-enconna trois fois, et toujours je déchargeai... Je
+lavai, en lui disant:
+
+-- J'épuiserais dix hommes.
+
+Je lui recommandai d'instruire mon futur de ce qu'il fallait
+faire pour m'enconner. Je lui dardai ma langue, et je partis.
+
+J'avais été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon père.
+Je retournais chez ma marchande. Mais tous les hommes que je
+rencontrais me tentaient.
+
+-- Que les putains sont heureuses! (pensai-je) elles attaquent
+qui elles veulent!
+
+Tout à coup une idée me vient:
+
+-- Allons chez Guae; je lui dirai de me pommader. Qu'il
+m'estropie; mais qu'il me foute.
+
+J'y volai.
+
+Il était avec un beau jeune homme, qu'il fit cacher, au bruit
+de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae
+me reçut mystérieusement, et me conduisit dans la pièce
+obscure, où je lui avais vu cacher le jeune homme.
+
+-- Ma reine! ma belle future (me dit-il), je crois que je
+pourrai vous enfiler aujourd'hui. Ayez seulement de la
+complaisance!
+
+-- Oui! mais, pommadez... Ma tante...
+
+-- J'entends... j'entends...
+
+Je sentis qu'il me remettait à une main plus douce. On me prit
+les tétons, le con; on me darda la langue. Je caressai. On me
+troussa. Je fis beau con. L'on se mit sur Moi, je sentis qu'on
+m'insérait un morceau de beurre frais à l'entrée de la vulve,
+ou trou du con. On poussa. Je ripostai un peu. L'on entra. Je
+secondai, m'apercevant, avec étonnement, qu'on ne me faisait
+presque pas mal. Enfin l'on parvint au fond sans m'avoir
+blessée, et l'on y déchargea. L'abondance et la douce chaleur
+du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des
+élans, des transports incroyables! Je m'écriais:
+
+-- Cher amant! divin amant... j'expire... de bonheur... et de
+volupté... Je t'adore!...
+
+Le jeune homme déconna. Il me suça les tétons, les lèvres, me
+fit darder la langue. Ce que je fis tendrement... Aussitôt il
+me re-enconna avec fureur. J'eus autant de plaisir que la
+première fois... Bref, il me recommençait sans cesse, et ce
+fut Guae qui le renvoya; car, pour moi, déjà foutue 25 fois
+dans la journée, je crois que j'aurais laissé aller ces deux
+hommes jusqu'à 50, si tous deux avaient pu me le mettre. Guae,
+me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un
+fiacre, pendant que je me lavais le con.
+
+-- Eh bien, ma charmante reine, t'ai-je bien foutue? me dit-il.
+
+Je rougis.
+
+-- Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de t'enculer!
+
+-- Oh non, non! (m'écriai-je avec effroi).
+
+-- Eh bien, branle-moi des deux mains, comme te voilà, le cul
+dans l'eau.
+
+Je branlai son vit, qu'à peine je pouvais empoigner. Quand le
+foutre fut prêt à venir, il hurlait de plaisir.
+
+-- Ta bouche! (me disait-il), ta bouche... ou je t'encule!
+
+Je decalottai le gland, je le pressai de mes lèvres. Le foutre
+arrive, et, de peur qu'il ne tombe dans mes tétons, j'ouvre la
+bouche, et il m'est lancé au fond du gosier. Je l'avale comme
+un lait de poule. Il y en eut une chopine:
+
+-- Foutre! foutre... (s'écriait Guae) je me pâme... Ah...
+céleste garce... Tu vaux mieux que toute la Terre... Est-ce
+bon?
+
+-- Ce qui fait tant de plaisir en bas, doit faire du bien en
+haut.
+
+-- Ah, divine putain... je t'en nourrirai.
+
+Le fiacre arrivait; Guae m'y porta.
+
+On me l'avait mis 37 fois. Le frère de ma marchande se trouva
+seul à la maison, lors de mon retour.
+
+-- Mademoiselle Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle
+pour moi!... On dit que vous allez vous marier? Vous devriez
+bien favoriser un jeune homme qui vous adore, aux dépens du
+futur! C'est un veuf, un laid... Vous êtes pucelle, et si
+jolie?... D'ailleurs, il l'a très gros (dit votre oncle), et
+il vous fera bien mal! Si un plus menu que le sien vous
+préparait? Voyez! (Il mit à l'air un vit charmant) c'est un
+véritable croque-pucelage, sans faire mal... Je sais m'y
+prendre. Le mari de ma soeur est un bandalaise, et elle se fait
+de temps en temps ôter par moi les araignées du bijou.
+
+Ce langage me plut, et son vit me tentait: Je lui répondis, en
+riant:
+
+-- Je n'ai pas d'araignées à ôter.
+
+Il vit, à mon air que je n'étais pas de mauvaise humeur. Il me
+prit les tétons.
+
+-- Finissez donc, libertin! (lui dis-je doucement et sans
+presque le repousser). Il me prit la motte.
+
+-- O c'est trop fort, ceci... Voulez-vous bien finir!...
+
+Il était déculotté; il bandait roide; il me renversa sur le
+lit de sa soeur, me retroussa, et se mit sur moi tandis que je
+disais nonchalamment:
+
+-- Eh mais... c'est donc une violence!
+
+et que je me défendais d'une manière qui me livrait. Il me
+dit:
+
+-- Ah! céleste innocente! je vous le mettrai!...
+
+Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cul, comme pour le
+repousser. Il n'en dardait son vit que plus fort.
+
+-- Non! (s'écriait-il en déchargeant) il n'est rien tel que
+d'enconner l'innocence!...
+
+Cependant, craignant que je ne me dérobasse, il me foutit
+trois coups sans déconner (ce qui fit mes 40 fois dans la
+journée), et ne me quitta qu'en entendant du monde... Je
+courus me laver.
+
+C'était la marchande. Elle dit à son frère:
+
+-- Heureusement que c'est avec Convelouté! Toute autre aurait
+sauté le pas, polisson!... Mais l'as-tu attaquée?
+
+-- Oui. En ce cas, tu dois n'en pouvoir plus... Viens que je te
+soulage?
+
+Il y avait encore de l'huile dans la lampe: Le jeune homme mit
+le verrou, nous enfermant ainsi tous trois, et il se jeta sur
+sa soeur, qu'il enfila d'un seul trait. Ah! quels coups de culs
+elle donnait!
+
+-- Lime (lui disait-elle)... je décha...arge... Sors à moitié,
+et... rentre... vivement... Fous-moi vingt fois... en une...
+
+Je les voyais. Ranimée par là, mon insatiable connôt
+redésirait un vit, lorsqu'on frappa doucement. J'ouvris, en
+tirant le verrou plus doucement encore. J'espérais que ce
+serait le mari de ma marchande, qui depuis longtemps brûlait
+de me le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre
+pièce. Point du tout! C'était un beau jeune homme, qui avait
+beaucoup d'air de celui par qui Guae venait de me faire
+foutre.
+
+-- Mademoiselle (me dit-il) se nomme Agnès-Convelouté?
+
+-- Oui, Monsieur.
+
+-- Mademoiselle est la prétendue de M. Guae?
+
+-- Mais, oui, Monsieur.
+
+-- Aimez-vous, fort ce M. Guae?
+
+-- Monsieur, la raison, et non la passion, fait mon mariage.
+
+-- En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine en
+vous révélant un secret?
+
+-- Quel est-il, Monsieur?
+
+-- C'est que, tout à l'heure, vous avez cru être possédée par
+votre futur...
+
+-- Quel conte vous me faites-là, Monsieur?
+
+-- J'étais présent, mais caché, Mademoiselle; son timon de
+carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre pucelage
+cent louis, et c'est moi qui vous ai déflorée... Me
+préféreriez-vous?
+
+-- Ce que vous me dites est impossible, Monsieur!
+
+-- Cela est. Il l'a trop gros; on vient de vous le mettre, et
+c'est moi (Je le savais bien).
+
+-- Il n'est qu'un mot à dire, Monsieur. Pouvez-vous m'épouser?
+
+-- Mademoiselle, je suis marié à une vieille de 78 ans, qui m'a
+fait ma fortune, et je suis obligé d'attendre qu'elle soit
+morte.
+
+-- Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'épouserais M. Guae.
+
+-- Voulez-vous être ma maîtresse?
+
+-- Cela ne conviendrait pas.
+
+-- De son consentement?
+
+-- Comme vous m'avez eue déjà, et que ce soit de son
+consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il ignorât que je le
+sais...
+
+-- Oh! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnêteté...
+Etes-vous seule?
+
+-- Non; la marchande est là.
+
+-- Pourrais-je vous avoir à coucher?
+
+-- Ah ciel! Je ne saurais découcher que sous le prétexte
+d'aller veiller mon père, en le supposant indisposé. Ainsi,
+cela est impossible.
+
+-- J'irai, si vous le permettez, parler tout uniment à votre
+père. Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le
+prix de vos faveurs, qu'à un vil malheureux, comme Guae?
+
+-- Hé bien, parlez à mon père.
+
+-- Je reviendrai vous chercher, s'il m'accorde ma demande!
+
+-- Mais ne revenez pas seul. Je veux voir quelqu'un à lui, et
+que je connaisse!
+
+-- Vous serez tranquillisée".
+
+Il alla chez mon père. Il lui raconta comment Guae n'ayant pu
+me dépuceler, lui avait vendu mon pucelage cent louis, en
+quatre séances, vingt-cinq louis par chacune, dont la première
+était payée; qu'il m'avait enconnée, en me pommadant, et qu'il
+avait trouvé mon bijou si délicieux, si satiné, qu'il n'en
+voulait plus d'autre; qu'il m'avait demandé de coucher avec
+moi, et que c'était par mon conseil qu'il s'adressait à lui.
+Il offrit ensuite les 75 louis restants pour les trois nuits
+suivantes. Mon père répondit:
+
+-- Puisque Guae a voulu être cocu, qu'ainsi soit. Je consens
+que vous couchiez ici avec ma fille, si vous avez cueilli sa
+rose; ce qu'elle me dira. Allez la chercher, avec un billet,
+par lequel je vais la demander.
+
+Et il écrivit. Puis il accompagna le galant jusqu'à la porte
+de ma marchande, que son frère foutait encore.
+
+Cependant je m'amusais à voir conniller le frère et la soeur.
+J'étais en feu quand le jeune homme reparut, avec le billet de
+mon père; je vis, par la fenêtre, celui-ci qui nous attendait
+dans le carrosse de mon dépuceleur prétendu. Je partis, en
+avertissant que j'allais veiller mon père malade. A notre
+arrivée, le galant paya un beau souper, et remit vingt-cinq
+écus d'or à mon père. On mangea; on but; puis je fus mise au
+lit. Le jeune homme exigea que mon père me déshabillât, et me
+lavât la motte. S'étant ensuite lui-même mis nu, en un
+instant, il entra dans une chemise, fort large, et qu'il avait
+apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon père, pour
+qu'il lui mît le vit dans le trou de mon con; puis il
+poussa... Il eut autant de peine que chez Guae (ce qui
+m'étonna moi-même!). Aussi dit-il:
+
+-- Elle a réellement le connin étroit. Elle se repucellerait en
+huit jours si on la laissait tranquille.
+
+Il me foutit six coups; mon père, couché à côté de nous, lui
+mettant toujours le vit dans mon con. Il s'endormit ensuite,
+et moi aussi.
+
+Le lendemain matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui me
+refit. Je refusai la voiture pour retourner chez ma marchande.
+On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï dire que le
+foutre, avalé chaud, était excellent pour la poitrine,
+fortifiait, et blanchissait le teint. Je voulais aller en
+avaler ma chopine en suçant le vit de Guae. J'y courus, dès
+que je me vis libre. Il allait sortir.
+
+-- Je viens vous donner du plaisir (lui dis-je), mais sans en
+prendre; vous m'avez trop fatiguée hier.
+
+-- Allons, ma toute belle, que faut-il faire? vous enculer?
+vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous
+enoreiller, vous encoller, vous entétonner, vous décharger sur
+le nombril, me faire serrer le vit entre vos deux mollets,
+faire un con de votre soulier, ou de votre jolie mule. Tout,
+je ferai tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parce que
+nous sommes, vous trop belle, et moi trop beau!
+
+Au lieu de répondre à ce langage, qui était de l'arabe pour
+moi, j'avais déboutonné sa culotte, et je le branlais d'une
+main, et chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il
+se récriait de plaisir:
+
+-- Déesse!... Sacrée garce!... Divine putain!... Branle!...
+branle!... Chatouille! chatouille les couilles!... Oh! oh!
+quelles délices!... Bougresse!... Gueuse!... Putain!...
+Divinité! le foutre... vient!...
+
+A ce mot, j'embouchai le gros vit, le palpotant de ma langue
+et du palais. Ce fut alors que Guae en délire blasphéma:
+
+-- Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacré con de la Vierge Marie!
+Con de la Madeleine connillé par Jésus! Con de Sainte Thècle,
+de Sainte Théodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cécile,
+d'Agnès Sorel, de Marion Delorme, de Ninon, de la Daubigné, de
+la Vallière, de la Pompadour, de la Duté, de la Lange, de la
+jolie Mars, de l'adorable et provocante Mézéray, de la jeune
+et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valez pas...
+cette bouche-là... Je fou..ou..ous... Je... décha..a..arge!...
+Ava..ale!... gorge-toi de foutre, ma reine!
+
+Il déboucha vivement, quoique je lui suçasse encore le vit.
+
+-- C'est trop de plaisir! (dit-il) on mourrait.
+
+Il me fit prendre quelques cuillerées de café, pour me rincer
+la bouché. Puis je me remis à le branler. Il me suça les
+tétons, me fit lui darder ma langue, et voulut me gamahucher.
+Je m'y refusai, devant être foutue le soir... Il rebandait. Je
+secouai, je chatouillai; le foutre revint, et j'en avalai une
+nouvelle dose. Ce qui eut lieu trois fois de suite. Le manque
+de temps nous obligea seul de nous séparer.
+
+Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, et me
+conduisit chez mon père. On y soupa, coucha et foutit comme la
+veille. Le lendemain, après le chocolat, j'allai faire mon
+déjeuner de foutre chez Guae. J'en pris quatre doses... De
+retour chez ma marchande, son mari. Sans doute instruit par le
+frère de sa femme, voulut me le mettre. Je m'y refusai
+absolument. Il s'en plaignit à sa femme, qui m'en fit des
+reproches. Mais, lui ayant dit que mon prétendu me l'avait mis
+six fois, en gardant mon père avec moi, elle fit mes excuses à
+son mari, en le priant d'attendre son tour.
+
+"Le soir, on vint me prendre. Mme Viédase, ma marchande, me
+dit à l'oreille:
+
+-- Tâche de ne pas être foutue; afin que mon mari puisse te le
+mettre demain? Il s'en meurt!...
+
+Je trouvai mon amant chez mon père. En soupant, on parla de
+Guae; mon amant dit qu'ayant été enconnée devant lui, je ne
+devais pas redouter la grossesse.
+
+-- C'est pourquoi (ajouta-t-il), j'enfourne à plein con, et
+décharge au fond.
+
+-- Je vous mets le vit dans le connin de ma fille avec plaisir
+(dit mon père); afin de mieux cocufier ce jean-foutre de Guae,
+qui vous a vendu son pucelage.
+
+-- C'est ce qui me met aussi en fureur érotique, quand je fous
+sa future (reprit mon galant). Je pense: encore une corne à ce
+bougre de Guae... et je me trouve intarissable... Il m'a même
+passé une idée par la tête. C'est de vous donner à chacun 50
+louis, pour que vous foutiez ensemble tous deux; pour que le
+mâtin soit recocu, et surcocu!
+
+-- Top! (s'écria mon père) après votre affaire faite. Vous me
+mettrez le vit dans le con de ma fille...
+
+-- Non! non! (m'écriai-je).
+
+-- Vous me la tiendrez, si elle récalcitre.
+
+-- Je n'ai pas ces idées (leur dis-je). Si je remue du cul,
+comme je le fais, alors que mon amant me fout, c'est que je
+l'aime. Quant à M. Guae, je lui dois beaucoup de
+reconnaissance! il est ma nourrice, et c'est lui que je tète.
+
+On ne comprit pas le sens de ce mot. On me coucha.
+
+Au lit, mon amant me foutit six fois. A la sixième, mon
+fouteur dit à mon père:
+
+-- Mets-toi sur ta fille, et fous-la. Je vais t'introduire le
+vit.
+
+Mon père me grimpa, le jeune homme lui mit le vit dans mon
+con, et il poussa. Comme j'étais amoureuse de lui plus que de
+tout autre homme, je remuai de la charnière, comme une
+princesse foutant avec un page... Le jeune homme, ranimé,
+entra dans un tel érotisme, en nous voyant décharger, qu'il
+nous fit mettre sur le côté, et il m'encula, tout enconnée que
+j'étais... J'allai laver, et nous dormîmes.
+
+Le matin, au déjeuner, le jeune homme paraissait ivre de joie!
+
+-- Ah! qu'il est cocu, le bougre! (s'écriait-il.)... Bonhomme,
+voilà un effet de cent louis. Il faudra que tu la foutes,
+après le mariage, et il y aura vingt-cinq louis à chaque fois.
+
+Il partit, et je courus chez Guae, que je commençais à aimer
+presque autant que mon père.
+
+Il me reçut avec transport, me traitant de divine garce, de
+céleste putain... Il m'allaita de foutre six copieuses fois.
+Ce qui me mit dans un tel érotisme que je retournai chez mon
+père:
+
+-- Ton procureur? (lui dis-je essoufflée) Il doit être remis,
+depuis l'autre jour? Je brûle... Cours-y, si tu m'aimes.
+
+Il y vola, en m'appelant:
+
+-- Cléopâtre! Cléopâtre!...
+
+Il trouva le jeune procureur à la fenêtre, son vit bandant à
+la main.
+
+-- Je viens de voir entrer votre fille (lui dit-il), et
+j'allais me branler à son intention.
+
+-- Gardez-vous en bien! Apportez un petit présent, et venez le
+lui mettre!
+
+-- Vingt-cinq louis?
+
+-- C'est trop pour une pratique. Un louis par coup.
+
+-- Soit; mais je n'en remettrai pas. Elle gagnera peut-être la
+somme.
+
+Il vint avec moi. En entrant, il jeta la bourse sur le pied du
+lit:
+
+-- Allons, ma fille (me dit mon père), tu es à tes pièces;
+autant de coups foutus, autant de louis. Mais il ne faut pas
+tuer un ami! Il allait se branler à ton intention, quand je
+suis entré.
+
+A ce mot, je me jetai à son cou, et lui dardai ma langue, en
+disant:
+
+-- Cher! Cher ami!
+
+-- Ah je t'adore! (me répondit-il).
+
+Et il me prit les tétons, le con. Je me renversai. Il se mit
+sur moi. Je me fourrai son vit dans le con, et, en quatre
+coups de cul, je le mis au fond. Il déchargea, en me sentant
+émettre... Il me foutit dix coups.
+
+-- J'ai quinze louis à compte (lui dit mon père, en le voyant
+laver et se reculotter). Vous reviendrez quand il vous plaira.
+
+Nous en étions à l'avant-veille du mariage. Tous les matins,
+Guae m'avait allaitée, ou plutôt affoutrée; ce qui m'avait
+rendu la peau plus blanche, le teint plus brillant, le con
+plus satiné, et me donnait un tempérament si violent, que je
+n'étais à mon aise qu'un VIT au CON. Le jeune homme dit, en
+déjeunant:
+
+-- Guae doit être surpris de ne pas me revoir! Cela pourrait
+faire tort, dans son idée, au con de ma belle fouteuse. Ainsi,
+je veux lui acheter la première nuit de sa mariée, puisque
+l'impayable Agnès veut absolument l'épouser (Je le lui avais
+dit, en foutant).
+
+Mon père applaudit. Mais, en me reconduisant chez Guae, que
+j'allais téter, ce bon père ajouta:
+
+-- Tu n'es pas une mariée ordinaire; ce qui éteindrait la soif
+d'une autre n'est qu'une goutte de foutre pour toi; j'ai une
+idée, c'est de m'arranger à te régaler, après-demain, en te le
+faisant mettre, jusqu'à extinction de forces, par tous ceux
+qui t'ont foutue; moi d'abord; ton oncle; ton procureur; le
+frère de ta marchande, et peut-être son mari. S'il se trouve
+quelques nouveaux bougres, ils t'enculeront, sous prétexte de
+réserver ton pucelage à ton époux; c'est un délice que
+d'enculer une mariée, le jour de ses noces, et ils le payeront
+bien. Je m'arrangerai avec Guae pour tout cela.
+
+Nous arrivions. J'embrassai mon père transportée de
+reconnaissance, en le priant de tâcher de me suivre
+secrètement, pour me voir téter. J'entrai, puis je
+l'introduisis.
+
+Guae courut à moi, en se déculottant. Il me baisa d'abord
+pied, jambe, cul, con et tétons: Il me fit ensuite lui darder
+ma langue; après quoi, il me mit son vit en main. Je le
+secouais vivement, lorsqu'il me dit:
+
+-- Garce, je suis raisonnable. Je ne t'enconne pas; il faut que
+ton père et ton oncle te foutent le jour du mariage. Je
+t'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celui
+qui t'a dépucelée sera un... Ah! l'idée que ton père t'enconne
+va me faire te décharger une pinte de foutre, et te l'entonner
+dans le gosier... Allons, garce, je sens que ça vient;
+embouche-moi le vit... Ah-ah-ah... le bou...ougre fout... sa
+fille... Ton père te fout, garce! te fout, putain... Ah! je
+décharge, à cette divine idée!... Honh!...
+
+Il se pâma presque... Pendant l'interruption forcée, j'allai
+prendre mon père à sa cachette:
+
+-- Fous-moi, lui dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de
+mon cher prétendu!
+
+-- Ah! déesse! (s'écria Guae, en se précipitant à genoux), tu
+incestues pour moi! je t'adorerai toute ma vie...
+
+Il intromit le vit paternel.
+
+-- Remue du cul! (me criait-il), saccade!
+
+-- Je dé..cha..arge (lui dis-je)... Viens, cher ami... que je
+te branle!
+
+Guae blasphémait de plaisir, en sentant venir le foutre... Il
+m'emboucha, sans que mon père me quittât, et, en même temps,
+j'avalai du foutre, j'en reçus dans le con, et j'en donnai.
+Mon père me foutit quatre coups, et Guae m'avait embouchée
+quatre fois, quand on frappa. Guae courut ouvrir, tandis que
+je me rinçais bouche et con. C'était mon oncle.
+
+-- Vous arrivez à point (lui dit-il). On essaye ma future, et
+vous allez l'essayer.
+
+Mon père expliqua la chose; Guae me renversa sur le foutoir,
+et mon oncle m'enconna. Il me foutit six coups, je tétai six
+nouvelles fois le vit de Guae; après quoi on me laissa
+respirer. Il fut ensuite convenu que douze fouteurs me
+passeraient sur le corps le jour de mon mariage, en con ou en
+cul, à mon choix, et que Guae, qui seul aurait la bouche, me
+ferait foutre la nuit, et dans l'obscurité, par trois vits
+nouveaux de son choix. Mon oncle émerveillé, s'écria:
+
+-- Mais elle sera putain!
+
+-- C'est ce qu'il me faut, pour que je l'adore.... Et ne vous
+en faites faute, ni son père, ni vous; puisque vous serez les
+seuls qui ne payerez pas.
+
+En achevant ces mots, il se prosterna devant moi, en me
+traitant de déesse.
+
+Je retournai chez ma marchande. Son mari et elle-même me
+tourmentaient pour que le premier m'eût une seule fois avant
+mariage. Ils me pressèrent plus fort que jamais; et je cédai.
+La femme me mit dans le con le vit de son mari. Je ne fus
+foutue qu'une fois, cet homme étant faible, et sa femme le
+voulant être après moi. Ce fut de ma main qu'elle reçut dans
+son con brûlant le vit marital... Cette opération faite, et
+répétée, je les quittais, en leur disant adieu. Ils
+pleuraient:
+
+-- Ce qui me console de ta perte (me disait ma marchande),
+c'est que mon cher mari t'a foutue... Ta voluptueuse idée me
+le fera mettre plus souvent.
+
+Je partais, quand le frère entra. Sa soeur lui dit ce qui
+venait de se passer. Il ne répondit rien. Mais il me ramena du
+côté du lit, m'y renversa, et me foutit devant eux, sans
+prononcer une parole. Il voulait me recommencer. Je m'y
+refusai, en l'invitant, ainsi que son beau-frère, à venir me
+le mettre le surlendemain, jour de mon mariage. On me
+remercia.
+
+Chapitre XXXVI De l'homme-poilu, la Convelouté, Linars etc.
+
+
+A mon arrivée chez mon père, je lui con-racontai tout ce que
+je venais de faire.
+
+-- Il ne faut pas (me dit-il), quand on a tant d'ouvrage payé,
+en faire qui ne rapporte rien. Il vient de m'arriver un homme
+d'assez agréable figure, très vigoureux, car il est brun et
+tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette
+nuit!
+
+-- Que rien ne vous empêche de le prendre! (répondis-je en
+souriant) Je ne suis pas fatiguée par si peu de chose.
+
+Mon père, rassuré, me fit déshabiller nue, prendre un bain
+tiède, puis un froid, mettre au lit, avec une chemise large;
+me fit avaler un excellent consommé; ensuite il me laissa
+dormir. Il était alors 5 heures du soir. A minuit, je
+m'éveillai, en me sentant lécher le con. Je priai l'homme de
+se montrer! Il leva la tète, et je vis un basané d'une fort
+belle figure. Je souris. Il me suça les tétons, en me disant
+des choses agréables:
+
+-- Vous avez un beau con... une superbe motte... un ventre de
+pucelle... un cul d'albâtre... des tétons blancs comme
+neige.... un col dégagé... des lèvres voluptueuses... de
+belles dents... les plus beaux yeux... les cils, les sourcils
+et les cheveux comme la déesse de la Beauté... la jambe
+parfaite... le pied le mieux fait... Quand je vous aurai
+foutue, je vous dirai le reste.
+
+Mon père me dit de me lever pour souper. Le basané me porta
+toute nue dans ses bras auprès du feu. Là, je vis Guae avec
+grande surprise! Je mis mon corset souple; Fysitère (le
+basané) me laça, me priant de bien faire refluer mes tétons.
+Mon père me chaussa une jambe et un pied, Guae l'autre jambe
+et l'autre pied, en bas et en souliers de soie d'une
+éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon fouteur voulut
+que je restasse les tétons découverts. Nous soupâmes. J'avais
+appétit, Le basané but et mangea comme un hercule. En sortant
+de table, il dit à mon père et à mon futur:
+
+-- Vous ne m'avez pas trompé; elle est au-dessus de vos éloges.
+Si l'intérieur du con ressemble à l'extérieur, elle est à moi,
+coûte qui coûte.
+
+-- Voyons votre vit (répondit Guae)... Elle ne sera que trop
+parfaite!... Voici le mien; et vous savez que je n'ai pu
+l'enconner, puisque c'est ce qui vous a fait parler à M.
+Convelouté mon beau-père.
+
+-- Je verrai si elle a le mérite de ce beau nom... Mais vous
+avez un vit épouvantable, M. Guae!... Empoignez-le, la belle,
+que je voie comme il est bien bandant!
+
+Je saisis le vit de Guae, qui se récria de plaisir...
+
+-- Je bande (reprit Fysitère). Mais faites bander votre père,
+et comparons.
+
+Je lui pris cependant le membre, qui grossit en le serrant
+dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de
+l'homme velu, qui lui-même était le double de mon père.
+
+-- Je voudrais lui dire un mot (demanda Guae furieux de
+luxure).
+
+Il me poussa vers une fenêtre, me cacha derrière le rideau, et
+me déchargea dans la bouche. Mon père seul devina ce que Guae
+venait de me faire. Pour moi, je fus singulièrement fortifiée
+par cette bavaroise! Je brûlais... Aussi, je fus ravie,
+lorsque Fysitère dit: "
+
+-- Il faut d'abord que je la foute habillée.
+
+Il me porta sur le pied du lit, ôta ses culottes, et nous
+laissa voir un corps velu, comme celui d'un singe. Il me fit
+lui prendre son braquemart, et me dit:
+
+-- Introduis-moi cela dans le trou de ton con, et lève du cul
+comme il faut, à chaque fois que je pousserai.
+
+Je m'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri; car il me
+déchirait, étant plus gros que mon oncle, et que tous les vits
+qui m'avaient foutue.
+
+-- Ce n'est rien (me disait-il); je te déflore... je te
+dépucelle. Remue du cul.
+
+Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, et lui rendant en
+coups de cul, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes
+trompes lui pincèrent la tête du gland. Il hurla de volupté.
+
+-- Garce adorable! (s'écriait-il) ton con satiné pince le vit!
+Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton père et du futur,
+qui t'ont vendue à moi!... Allons, fous bien!...
+
+Je remuai, je tortillai du cul, je soubresautai, de la manière
+dont me le disaient mon père, et Guae lui-même.
+
+-- Je suis ravi! (s'écriait le basané) Elle décharge!... Ah!
+Elle me fera un petit bougre-à-queue!...
+
+Il dit à mon futur:
+
+-- Viens-ça, jean-foutre. Passe-moi la main sous le croupion,
+et chatouille-moi d'une main ce que tu y trouveras, et les
+couilles de l'autre!
+
+Guae obéit (J'ai su depuis qu'au croupion, le basané avait une
+queue, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps,
+et que ce fut cette queue que mon futur chatouilla)....
+
+-- Je ne quitte pas d'une heure ce con céleste! (disait
+l'homme-à-queue, en me saccadant) chatouille, chatouille,
+bougre! les couilles et ma queue!
+
+Il déchargea six fois, sans déconner... Je demandai alors à
+laver. Mon futur m'épongea le con, et me le baisa, en
+l'appelant Con d'Or. Mon père me suça les tétons. Guae dit au
+basané:
+
+-- Elle est à vous. Mais je bande comme un carme; permettez que
+je l'encule?...
+
+-- L'enculer, non; c'est du foutre perdu. Encore moins
+l'enconner; je veux qu'elle me fasse un petit-à-queue. Mais si
+elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines femmes
+tempéramenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses.
+
+A ce mot, je saisis le vit de mon futur, et je l'aurais avalé,
+s'il n'avait pas été si gros. Il me déchargea au fond du
+gosier, en rugissant, et le foutre me descendit bouillonnant
+dans l'estomac.
+
+Ah! Elle aime le foutre! (s'écria le basané) Elle a toutes les
+perfections!... Et elle sera aussi longtemps belle, que
+féconde!..... Allons, papa, embouche-la aussi. De tous les
+foutres, le paternel est le meilleur.
+
+Je me jetai sur mon père, le renversai sur le lit, saisit son
+vit bandant, que je fis aller et venir dans ma bouche, jusqu'à
+ce qu'il déchargeât. Je suçai son foutre avec délices...
+
+-- Bon! (s'écria le poilu) Elle est dans les bons principes;
+elle est impayable!
+
+Le basané me déshabillait, me déchaussait: Mon Père et Guae
+lui aidaient. Je fus mise nue, patinée, baisée du haut en bas,
+tandis que je me rinçais la bouche. On me passa la grande
+chemise; l'homme-à-queue velu et tout nu y entra, me suça les
+tétons, me fit lui darder la langue, puis dit à mon futur de
+lui intromettre le vit dans mon con.
+
+Le basané me foutit six nouveaux coups, sans déconner. Je me
+sentis fatiguée. Je voulus laver. Je restai une heure sur le
+bidet le con dans l'eau. Le basané, qui, pendant tout ce
+temps-là, s'était amusé à faire bander Guae, et à lui faire me
+décharger trois fois dans la bouche, m'appela, en me disant:
+
+-- Tu es assez rafraîchie; reviens sur le foutoir, que je te
+donne le bouquet!
+
+Il se le fit introduire par mon père; qui me dit:
+
+-- Courage, mon enfant! Voici un fouteur qui en vaut dix. Mais
+je tâcherai de te faire soulager, si cela continue.
+
+Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence que
+je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le basané dit, que le
+bouquet était le double des autres assauts.
+
+-- Eh! combien donc l'allez-vous foutre de coups? (lui demanda
+mon père).
+
+-- Vingt-quatre est ma dose.
+
+-- C'est trop, et elle ne ferait pas d'enfants. Elle a une
+cadette, aussi jolie que l'aînée est belle; je vous la
+donnerai, pour soulager sa soeur!
+
+-- Je l'accepte! (s'écria Fysitère) Et il m'en faudra bien
+d'autres! car je ne les fous plus dès qu'elles sont pleines,
+ni pendant qu'elles allaitent leurs petits. La jeune garce
+est-elle là? (Or il me foutait toujours)...
+
+-- Non: Vous ne pouvez l'avoir que demain soir.
+
+-- En ce cas, j'achève de foutre celle-ci mes 24 coups. Je
+déconne; qu'elle lave. Elle n'en a plus que cinq. Si son futur
+se trouve en état, qu'il lui donne à téter du foutre, cela la
+fortifiera!
+
+Aussitôt Guae m'apporta ses couilles à chatouiller, et son vit
+à branler. Je m'en acquittai si bien qu'il hennit au bout de
+quelques minutes, et qu'à peine eus-je embouché son vit qu'il
+déchargea, en sacrant:
+
+-- Elle a toutes les qualités... Elle est parfaite! (s'écriait
+le poilu, en me re-enconnant) Si sa petite soeur la vaut, ce
+sont deux connins impayables!
+
+Il acheva de me foutre cinq fois, sans déconner. Je puis me
+rendre le témoignage que je déchargeai, à chaque assaut,
+plutôt deux et trois fois qu'une. Aussi Fysitère en était-il
+émerveillé! et me nommait-il la seule fouteuse digne de lui.
+Mon père lui dit alors:
+
+-- Ce ne sera pas encore assez de ma cadette. Mais j'ai votre
+affaire. Il me reste une nièce religieuse qui a des vapeurs
+hystériques; je vous la donnerai, pour reposer mes filles!
+
+-- Je leur ferai à toutes trois 12 mille francs de rentes
+(répondit le basané). Amenez-les-moi chaque soir, demain
+excepté, que j'ai à fourgonner une grande blonde qui a ouï
+parler de moi et qui veut en tâter. Il s'en alla.
+
+Cette scène changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midi,
+qu'on m'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaie.
+Ma soeur y était, ainsi que ma cousine la carmélite hystérique,
+mon père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyen d'une
+permission de prendre les eaux qu'il sollicitait depuis
+longtemps. J'eus réellement pitié du connichon de ma soeur
+Doucète, et je résolus de le voir dans la journée. Mon père me
+le montra, et le gamahucha devant moi, en alléguant le motif
+de prévenir une maladie. Ah! qu'il était mignon!... Je
+l'aurais gamahuché, à mon tour, sans ma coiffure d'épousée,
+car son joli petit foutre virginal me tentait... Notre père la
+prévint qu'il fallait qu'elle me soulageât la nuit de mes
+noces, et l'aimable enfant y consentit avec naïveté. Je vis
+aussi le con de ma cousine la carmélite, ou la belle
+Victoire-Londo. Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe
+perruque noire. Elle entra en fureur érotique dès qu'on le lui
+eut touché du bout du doigt, et mon pauvre père fut obligé de
+le lui mettre devant ma soeur, et devant moi. Ce qui ne la
+calma que pour un instant. Nous appelâmes mon oncle, qui la
+foutit trois fois. Puis le jeune homme fut introduit. Ensuite
+le procureur. Tous ceux qui devaient me le mettre ce jour-là.
+Les enculeurs vinrent après. Elle fut foutue, refoutue,
+enculée, re-enculée, et calmée. Mais on n'appela pas M. Guae;
+j'en étais jalouse... Pendant ce temps-là, mon père branlait
+ma soeur; l'enculage de la religieuse le fit entrer dans une
+telle érection qu'il la poussa dans un cabinet, où je les
+suivis, la renversa, et la dépucela. J'insérai le vit paternel
+dans le joli connin, en disant à Doucète que c'était une
+ponction nécessaire.
+
+On lavait la religieuse. M'étant aperçue que Guae la
+convoitait, je lui témoignai une jalousie qui le flatta. Il me
+promit de réserver son foutre azuré et son gros vit pour ma
+bouche, en attendant que les enfants m'eussent élargi le con.
+
+-- Mais vous m'aviez vendue (lui dis-je), avant de m'avoir
+livrée à l'homme velu, pour être foutue et enculée ma nuit des
+noces. Combien de fouteurs et d'enculeurs devais-je avoir?
+
+-- Six, à 2 mille écus chacun.
+
+-- Vous voyez que je n'ai besoin que de repos. Mais il ne faut
+pas manquer une aussi jolie somme: Vous avez demandé le
+silence et l'obscurité?
+
+-- Oui, ma reine adorée. Je ne me suis engagé qu'à te faire
+voir toute nue sans chemise, comme en jouant avec toi, nu
+aussi, dans la chambre. Au reste, le silence et l'obscurité
+sont essentiels, puisqu'ils eussent passé pour moi. Les six
+bougres, placés chacun dans une chambre séparée, devaient
+repaître leurs regards de tes charmes, et t'espérer chacun
+comme possesseur unique, à un signal donné.
+
+-- Tout cela se fera. Je serai remplacée par 3 personnes. Nous
+donnerons le plus délicat et le plus petit vit à ma soeur. Le
+plus vigoureux et le plus brutal à la carmélite: Je vais vous
+avoir ma marchande, qui ne demandera pas mieux que d'être
+foutue, sans être compromise. Vous arrangerez tout pour
+qu'elles reçoivent chacune deux hommes; ce qui sera d'autant
+plus facile que vous n'aurez que les hommes à tromper; ce qui
+sera facile.
+
+Guae admira mon entente et mon économie! Il me promit une
+soumission entière à mes ordres, et me demanda la permission
+d'appeler ma soeur, ou la religieuse, pour le branler. Je les
+appelai toutes deux. Je dis à la carmélite, en lui découvrant
+les tétons, de prendre le vit et les couilles de mon mari. Je
+mis ensuite ma soeur en position, troussée jusqu'au-dessus des
+reins, et, comme elle avait le plus joli cul du monde, elle
+montra le derrière. Je me mis à côté d'elle, troussée de même,
+je montrai le devant. Guae, chatouillé par une main douce, et
+jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y
+comprenant la superbe gorge de la religieuse, ne tarda pas à
+hennir de plaisir. Bientôt il entra en fureur, et il allait
+enconner la religieuse si je ne lui avais sauté sur le vit,
+que j'embouchai. Il me déchargea dans le gosier, en rugissant.
+Nous sortîmes tous quatre, pour aller danser, et ma soeur, ma
+cousine et moi nous fumes reçues avec transport.
+
+Mes 6 fouteurs pour la nuit suivante étaient de la noce. Guae,
+qui se fût bien gardé de me les montrer, si j'avais dû les
+avoir, s'en fit une fête quand ce furent d'autres qu'on leur
+allait livrer. Il me les désigna. C'étaient 6 monstres de
+laideur. Guae trouva le moyen de les faire mettre nus
+successivement dans une pièce isolée, sous le prétexte de les
+frotter d'un baume fortifiant. Le premier était un squelette
+décharné, ayant le vit comme mon père. Il avait un long nez
+qui touchait à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des
+verrues noires sur le corps. Je le réservai pour ma soeur, à
+cause de son vit, n'espérant pas mieux. Il se nommait Widevit.
+
+Le second était un gros petit homme, très ventru, ayant le vit
+de mon oncle, la peau comme une écrevisse cuite, pour nez une
+grosse betterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée, et
+les lèvres hâlées, gercées des gros mangeurs. Ce fut le second
+de Doucète, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en
+russe Wivitencoff de la Cowilardière.
+
+Le troisième était fait comme un héron et un dromadaire: Il
+était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur
+ses épaules une colline en cône aigu; son visage était noir et
+sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes
+que par d'énormes genoux. Tout ce qui manquait à ces parties
+se retrouvait dans son vit, plus gros que celui de notre
+homme-à-queue, et moins que le double vit de Guae. Je destinai
+Towtenvit à ma marchande, qui était chaude, large et stérile.
+
+Le quatrième était un gros marchand de blé, aussi large que
+haut, tout noir, tout bourgeonné, ayant quelques livres de
+couilles, et un vit très long, gros comme celui de mon oncle.
+Je destinai Vitplongeardow à ma cousine, à cause de ses
+couilles.
+
+Le cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de
+crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit
+comme Guae (il devait m'enculer, de convention faite). Son
+regard était affreux, sa bouche dégoûtante, et son nez encore
+plus. Vitcrwel fut voué au large con de ma marchande.
+
+Le sixième et dernier était grand, voûté, noir, bancroche,
+roux, chassieux; il avait un vit à bourrelet, tant il était
+long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour
+m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente cousine.
+
+Le soir arrivé, l'on me mit au lit, et chacun des six monstres
+crut qu'il allait avoir le plaisir d'être mon bourreau. Guae
+me conduisit dans la chambre nuptiale, et parut me mettre au
+lit. Mais il nous distribua dans quatre pièces, et les
+lumières furent exactement retirées. Quant à moi, j'étais
+restée debout, faisant, à chacune des lieutenantes de mon con,
+le portrait et l'éloge du beau jeune homme qu'elles allaient
+presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en conscience
+de leur donner des plaisirs imaginaires, à défaut de la
+réalité.
+
+-- Ma toute belle! (dis-je à ma soeur) avec quel plaisir tu me
+sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeune homme charmant
+qui doit froisser tes appas! C'est un sylphe; c'est un
+amour...
+
+J'allai ensuite à la religieuse:
+
+-- Tu vas sentir la différence de la couchette de ta cellule au
+lit d'un nouvelle mariée, ma chaude cousine. Un bel homme, un
+gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer
+pour moi...
+
+Je me rendis ensuite auprès de ma marchande:
+
+-- Vous allez être rassasiée de ce que vous aimez tant, mon
+aimable maîtresse. Un jeune homme superbe, et... peut-être
+deux, qui me désirent avec emportement, vont me le mettre dans
+votre con brûlant, jusqu'à extinction de forces. Les vits sont
+gros! ainsi faites-vous pommader comme une pucelle, et remuez
+du cul, pour avaler plus vite ces énormes morceaux...
+
+Ma marchande me remercia, en me priant de la mettre
+promptement aux prises. Je courus lui chercher Toutenvit, le
+troisième... Mais je vais mettre de l'ordre dans mes récits.
+
+Guae m'attendait. Dès que je parus, il me fit parler, et
+conduisit par la main Wìdevit, le premier monstre, auprès de
+ma soeur.
+
+-- Mon cher mari (dis-je doucement, la tête appuyée sur
+l'oreiller de celle-ci), ménagez-moi!
+
+-- Oui, oui; mais ne parle pas; j'ai découvert que toute la
+noce nous écoutait, à cause de mon gros vit...
+
+Durant ce court dialogue, Vitdevit, déshabillé d'avance,
+fourrageait déjà ma soeur. Guae, par mes ordres, prit ensuite
+Vitplongeardow, le quatrième, et le conduisit, avec les mêmes
+précautions, auprès de la religieuse. Je parlai sur son
+oreiller... Towtenvit, le troisième, fut le lot de ma
+marchande. Les 3 autres avaient rendez-vous quelques heures
+plus tard.. Il faut à présent donner chaque scène
+particulière, en 6 tableaux de la NUIT DE LA MARIEE.
+
+
+Chapitre XXXVII Des six fouteurs pour trois foutues.
+
+
+"Happée par le monstre, qu'elle croyait un ange, ma timide
+soeur soupirait. J'entendais qu'on la gamahuchait, qu'elle
+déchargeait.
+
+-- Je me meurs! (murmura-t-elle).
+
+-- Comme tu as la voix douce, belle mariée! (lui dit Widevit
+bien bas).
+
+Et aussitôt il grimpa sur elle, et l'enconna. La pauvre
+petite, quoique dépucelée, fit un cri! Je parlai pour la
+déguiser. Le vieux monstre la ménageait et la caressait. Elle
+le secondait de tout son pouvoir, et redéchargea. Grâce à moi,
+elle avait le même plaisir que si elle eût foutu avec un beau
+garçon... La voyant bien enfilée, j'allai à la religieuse.
+
+Vitplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet;
+je m'en doutai aux gémissements de la pauvre martyre. Je le
+dis à Guae, qui le désarçonna, et lui donna quelques
+soufflets. J'entendis qu'il lui disait bien bas:
+
+-- Bougre! vas-tu m'estropier ma femme? Ton bourrelet!
+
+Le fouteur le prit, et la foutue n'eut plus que du plaisir.
+
+Je courus à ma marchande, que Toutenvit ne pouvait enconner,
+par maladresse. Je mis la tête sur l'oreiller, et je dis en
+soupirant:
+
+-- Priez donc mon père de vous l'introduire!...
+
+Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, et
+tout alla bien.
+
+Chacune des 3 belles fut foutue deux fois en con. Ensuite,
+comme de concert, les 3 bougres retournèrent la médaille.
+Toutes trois avaient leur pucelage de cul. Ma marchande crut
+qu'on allait le lui mettre en levrette; mais les deux autres
+ne s'attendaient à rien. On leur perça le cul à toutes trois
+au même instant, et elles s'écrièrent, malgré la défense,
+toutes à la fois:
+
+-- Doucète: Oh le fondement!
+
+-- La religieuse: Oh l'anus!
+
+-- La marchande: Oh le trou du cul!...
+
+On n'y fit pas attention. Heureusement ma soeur avait le cul
+large; elle souffrit moins. Quant à la religieuse, que
+Vitplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de
+vit dans ses entrailles, et elle sentait celui de son enculeur
+lui chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son
+farfouillage; car il retirait et re-enfonçait brutalement.
+Elle n'eut de plaisir qu'à la décharge, par la douce chaleur
+du foutre, qui lui onctua le gros boyau. Ma marchande était la
+plus maltraitée, par Towtenvit. Elle avait le trou du cul
+aussi étroit qu'elle avait le con large; le vit énorme la
+pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la décharge
+l'abreuva, et elle fut soulagée.
+
+Les 3 vieillards en avaient autant qu'il leur en fallait. Guae
+vint les faire retirer, de sorte qu'ils ne se rencontrassent
+pas... On étuva les 3 cons et les 3 culs. On fit les lits, on
+changea les draps, recoucha la triple mariée, et Guae
+introduisit les trois nouveaux acteurs.
+
+Il alla chercher Wivitencoff, que je mis dans les bras et sur
+le ventre de ma soeur. Un peu aguerrie, elle caressa tendrement
+le monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui
+profita de l'occasion pour patiner ma soeur, et la chatouiller.
+Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre petite que son
+fouteur s'écria, croyant parler à moi:
+
+-- Ah! que tu es putain!...
+
+Voyant Guae acharné sur ma soeur, j'introduisais les deux
+autres. Je donnais Perceawant à la religieuse, et j'eus soin
+qu'il eût son bourrelet.
+
+-- Voilà une main bien douce qui me touche
+
+dit-il en voulant saisir la mienne; mais j'échappai.
+
+-- Remue du cul, bougresse, (disait-il à sa monture); je te
+tiens, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'échapper.
+Je ne suis pas ton mari; j'ai payé pour coucher avec toi, et
+te dépuceler; ainsi tu es ma putain. Fous, garce, et remue du
+cul; j'ai payé pour ça...
+
+Guae l'entendit. Il vint à lui, le saisit à l'étouffer.
+
+-- Tu manques à nos conventions! (lui dit-il) je ne les
+tiendrai pas non plus; fous-moi le camp, malhonnête homme!
+
+-- Oui; mais quand je l'aurai enculée.
+
+Et il encula la carmélite, malgré les coups de poing dont Guae
+le gourmait. La religieuse poussait des cris horribles...
+J'étais auprès de ma marchande, que j'accouplais avec le gros
+Vitcrwel. Il ne devait qu'enculer; mais la chaude coquine se
+dirigea elle-même le vit dans le con.
+
+-- Tu n'es donc pas pucelle, garce (crut-il me dire), que tu
+connais si bien la route des vits?... Allons, fous, putain, et
+comme il faut! j'ai payé ton maquereau de mari!
+
+Comme elle ripostait bien, il allait disant:
+
+-- Oh! elle est putain! elle est putain! j'ai le reste des
+autres!
+
+Et, tout en déchargeant, il la pinça, la souffleta. Elle se
+récria!
+
+-- En bouche, sacrée putain? (dit-il en déconnant) et tu
+avaleras mon foutre; sans quoi je t'assomme!
+
+Guae, qui venait de laisser enculer la carmélite, et de
+chasser son brutal fouteur, entendit le grabuge; il accourut,
+apostropha le sale bougre d'un violent coup de poing, en lui
+disant:
+
+-- Lave-toi donc au moins, sacré mâtin, avant de l'emboucher!
+Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavé le vit à
+l'eau-rose, et que je ne l'aie ensuite trempé dans du lait.
+Exécrable bougre! vrai de Sade, tu veux lui faire soulever le
+coeur?... Mais tu as manqué aux conditions; tu ne mérites plus
+de l'avoir.
+
+-- Voilà cent louis...
+
+-- Ils seront pour elle. Lave-toi... Voilà de l'eau-rose...
+Voici du lait... Allons, souffre, m'amie. Voilà tes cent
+louis.
+
+Le vieux reître, cru un beau jeune homme, emboucha, encula,
+entétonna tant qu'il voulut.
+
+-- Ah que tu es putain, sacrée chienne! (répétait-il)...
+
+Guae se mourait d'envie de lui montrer qu'il ne m'avait pas
+eue. En le mettant à ta porte, il me fit trouver sur son
+passage toute habillée. Ce fut comme une vision; car je
+m'enfuis.
+
+Ah je suis fait! (s'écria le monstre) le scélérat m'a donné
+une putain au lieu de sa femme!...
+
+Et il jura, sacra... Quant à moi, pendant ces scènes,
+j'assistais à la fouterie de ma jeune soeur. La pauvre petite
+fut enconnée, embouchée, enculée comme les autres, par son
+adoré Vitvitencoff de la Cowillardière, qui alla jusqu'à
+extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que,
+lorsqu'il se sentait épuisé, il se faisait sucer le vit bien
+approprié à l'eau chaude, et baiser les couilles par sa jolie
+monture. Il lui mettait encore couilles et vit sur le cul ou
+les tétons. Puis il se faisait donner au gland un suçon. Il
+bandait alors, et enculait. Au dernier culetage, il eut un
+priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le
+cul de ma soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae,
+qui la décula, en enlevant son enculeur. On le porta évanoui
+dans sa voiture. Arrivé chez lui, des cordiaux, que demanda
+Guae, ranimèrent le vieux libertin:
+
+-- Ah! (s'écria-t-il) je vis encore! je voulais mourir dans son
+cul!... je bande encore... Qu'on me la rende... que je
+l'enfile... et... que... j'expire... Et il expira..."
+
+
+[Ah! la belle mort! s'écria Traitdamour, et toute la compagnie
+en dit autant...]
+
+
+Mme Guae acheva.
+
+"Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Guae, à son
+retour, était furieux de luxure: Il voulait toutes nous
+enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea. Il m'emboucha;
+encula ma soeur et ma cousine, enconna ma marchande, qui en fut
+estropiée pour un mois, et l'engrossa, deux choses qui
+l'empêchèrent d'être achetée par Fysitère. Pour Guae, je suis
+sa maîtresse, et son gros vit me fortifie par son foutre qui
+me nourrit. Je serai enconnée par lui, de convention faite
+avec Fysitère, après mon douzième enfant."
+
+
+Chap. XXXVIII De la conclusion de l'histoire des 3 garces.
+
+
+"Personne ne sait comment l'homme-caud découvrit que Guae
+avait vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux.
+Il me demanda. J'étais au lit. Ce fut la réponse de Guae.
+
+-- Je le crois! (répondit Fysitère), et un homme est mort
+d'épuisement dans ses bras.
+
+-- Elle a vaqué toute la nuit; mais c'est pour autre chose. Sa
+cousine la religieuse ayant été un peu courtisée dans le jour,
+ses vapeurs hystériques l'ont reprise la nuit, par un rêve, où
+elle croyait être foutue. J'ai été appelé. N'ayant pu
+l'enconner, je l'ai enculée.
+
+-- Je me fous de son cul. Mais si tu l'avais enconnée.
+
+-- Quant à ma femme, elle dort; et vous pouvez voir à la
+fraîcheur de son con et de son cul que je ne lui ai pas
+touché.
+
+-- Voyons d'abord la carmélite!
+
+-- Elle dort aussi.
+
+Ils y allèrent. Guae la découvrit, sans l'éveiller. Elle était
+couchée sur le côté, ne pouvant se tenir sur le dos, à cause
+de son cul qui lui faisait mal. Elle l'avait en marmelade.
+
+-- Comme tu les accommodes!... Et le con?... Il n'est pas si
+maltraité...
+
+-- Je l'ai un peu fatiguée par mes inutiles efforts; et puis
+elle s'est branlée.
+
+-- Voyons la mariée!...
+
+Ils vinrent à moi. On sait que je me repucelais par le bain et
+un peu de repos. Mon con et mon cul furent trouvés si
+appétissants, si jolis, que Fysitère les baisa tous deux. Puis
+il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloîtré
+pour nous séquestrer pendant tout le temps que nous lui
+ferions des enfants, moi, ma soeur, et ma cousine. Il ne vit
+Doucète qu'habillée! et elle l'enchanta. Il nous emmena toutes
+trois, en disant que jusqu'à notre grossesse bien déclarée, on
+ne nous verrait qu'à un parloir.
+
+Fysitère est extrêmement riche. Il donne 20 mille francs par
+an à Guae pour moi, 40 mille à mon père pour ma soeur et ma
+cousine. Le soir, après un excellent souper, il nous fit
+coucher toutes trois ensemble dans un large lit, où il se mit
+avec nous. Il me foutit d'abord. Puis ma soeur. Ensuite la
+carmélite, qui le fut deux fois sans déconner. Il me reprit.
+Puis ma soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune
+dans la nuit. Ce qui faisait les 24 de Fysitère. Quand il en
+foutait une, les deux autres lui chatouillaient, une la queue
+du cul, la seconde les couilles.
+
+Nous devînmes grosses toutes trois à la fois. Alors il nous
+déclara qu'il ne nous le mettrait plus qu'après nos couches et
+l'allaitement. Il vint ici. Il vous vit, Madame; il vous
+foutit. Il épousa votre fille aînée, enconna les 5 autres,
+fourbit vos deux nièces, ramona la bâtarde de votre mari,
+viola vos 2 chambrières, et vous engrossa toutes. Durant ce
+temps-là, nous accouchâmes, nous allaitâmes, nous nous
+trouvâmes libres, et il nous refout. Tâchez d'être libres
+aussi, quand nous serons prises, afin qu'il nous refoute
+alternativement.
+
+Telle est notre histoire; voilà ce que nous savons sur l'homme
+à queue. J'ajouterai seulement que, dans le temps où M.
+Fysitère ne nous l'a plus mis, nous ayant des désirs, nous
+avons eu recours à mon père, à mon oncle, à Guae, au
+procureur, et à mon premier galant, qui nous ont fourbies,
+Guae en bouche, les autres en con. Cependant nous avons toutes
+voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement;
+son vit, gros comme l'enfant, frayait le passage, et son
+foutre l'onctuait.
+
+Après nos couches, nous avons prié mon père de nous choisir de
+jolis petits garçons non pubères, mais bandant roide, pour
+nous ramoner le con: ces enfants, dont les petits vits huilés
+entraient calottés, ne déchargeaient pas, et cependant
+farfouillaient agréablement dans le connôt".
+
+Les 12 belles furent très excitées par ce récit, et quelques-unes
+allèrent sur-le-champ et successivement se faire ramoner
+par Fysitère, qui fut très étonné de cette boutade! Il se
+servit de ses 2 queues, en expédiant ainsi 2 à la fois, une
+dessous, une dessus.
+
+Cette bourrasque apaisée, Fysitère revint à ses us et
+coutumes. Mais bientôt ses 3 coucheuses parurent enceintes. Il
+les pria, ainsi que Mme Linars, de lui en procurer 3 ou 4
+autres, pour lui faire des enfants, en attendant leur liberté!
+Mme Guae seule en procura 3, une Tétonnette, son amie d'étant
+fille, et deux soeurs, Bienouverte, grande blonde, avec
+Dardenbouche, aimable et vive brunette, très caressante,
+déchargeant comme quatre. Tétonnette était une de ces brunes à
+peau blanche qui ont toujours une si belle gorge. Fysitère
+assura les 12 cents fr. de rentes à ces 3 filles, se chargea
+de leur ample entretien durant tout le temps de leur
+fécondité, les fit coucher au grand lit, et les dépucela 8
+fois chacune la première nuit. Il commença par Dardenbouche,
+là plus jeune. Elle était si amoureuse, bien que pucelle,
+qu'elle riposta, dès le premier coup de vit. Elle soutint les
+8 assauts de suite avec un courage héroïque... Fysitère prit
+ensuite Bienouverte. Elle fut plus modérée. Elle cria, quoique
+peu étroite; parce que, ne déchargeant pas d'abord, elle ne
+s'humectait que faiblement le connin. Elle était pucelle
+néanmoins. Malgré sa langueur, elle fut foutue 8 fois, comme
+Dardenbouche; Fysitère aurait eu peur d'en mortifier une... Il
+prit ensuite la belle Tétonnette. Il l'enfila plus
+difficilement que Bienouverte; mais elle remua si
+délicieusement du cul, ses tétons étaient si appétissants,
+elle avait le connin si étroit, qu'elle donna autant de
+plaisir que Dardenbouche...
+
+Après les 24 assauts, Fysitère laissa dormir. Le lendemain
+matin, 3 valets de chambre entrèrent, pour lui demander ses
+ordres? Il s'éveilla; mais il feignit de dormir, là bouche sur
+là gorge de Tétonnette, et une main sur les tétons de chacune
+des 2 autres.
+
+-- Voilà un bougre bienheureux! (dit un des valets)
+
+-- Oui! (répondit un autre).
+
+Et ils se mirent tous trois à se branler. Alors Fysitère,
+feignant de s'éveiller, leur dit:
+
+-- Je vous ai entendus, jean-foutres. Vous ne les enconnerez
+pas; je veux qu'elles ne soient grosses que de moi; mais
+tournez-les sur le ventre, et m'en enculez une chacun.
+
+Il n'avait pas achevé que les 3 belles poussèrent un cri
+simultané, causé par les 3 vits qui leur entraient dans le
+cul. Fysitère les exhorta à là patience, par l'idée d'une
+bonne oeuvre; il les assura que ces 2 hommes allaient décharger
+par terre. Elles se rendirent à cette raison, et culetèrent à
+qui mieux mieux."
+
+
+Explicit L'HOMME-A-QUEUE.
+
+
+A cette longue histoire, tous et toutes se récrièrent:
+
+-- Nous ne sommes que de la Saint-Jean, auprès de ces fouteurs
+et de ces fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain!
+
+-- N'allez pas vous branler, bougres! (leur dis-je)
+
+-- Nous nous en garderons bien! notre foutre n'est pas à nous;
+il est à nos belles. Qui était étonné de nous entendre parler
+ainsi devant ma fille, c'étaient Brideconnin et sa femme...
+Mais ils en verront bien d'autres.
+
+
+
+
+SUJETS DES ESTAMPES.
+
+
+I. Cupidonet et Jenovefette.
+
+L'adolescente à quatre, troussée, et le jeune Cupidonet à
+genoux, la couvrant cyniquement, tâchant de l'enfiler. Elle se
+cambre les reins, pour être atteinte: "Hausse, hausse le cul".
+p. 5
+
+II. Cupidonet et le con soyeux.
+
+Cupidonet sur Madeleine, âgée de dix-sept ans, dont il lèche
+le con poilu. Elle est sur le dos, les jambes écartées, et se
+prête en poussant sur la bouche de son jeune frère, qui la
+gamahuche. "Darde ta langue dedans, cher petit ami". p. 9
+
+III. La mère foutue.
+
+Cupidonet enconnant une femme de quarante ans, au lit, les
+draps à terre. Il enconne pour la première fois, et paraît se
+pâmer. La Femme: "Jamais... jamais... vous ne m'avez donné
+tant de plaisir". p. 12
+
+IV. Cupidonet et la belle Marie.
+
+Cupidonet, évanoui, le vit en l'air après avoir déchargé dans
+le con de sa soeur la Belle, mariée à Paris, et parée, un jour
+de Vierge, Marie dététonnée, et con et cul visibles. Elle dit:
+"Ah... Grand Dieu... c'est Cupidonet." p. 16
+
+V. Cupidonet et l'horlogère.
+
+Cupidonet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle
+horlogère, à laquelle son mari, couché de l'autre côté d'elle,
+dit: "Courage, ma femme... hausse le cul". p. 20
+
+VI. Cupidonet, avec sa femme le cul découvert.
+
+Il est appelé par sa femme debout, mais courbée sur un lit,
+troussée au-dessus des reins, et montrant le plus beau cul. Il
+court à elle, le vit bandant. "Si j'ai la vérole (pense-t-elle),
+fous-moi en cul". p. 20
+
+VII. Cupidonet et Conquette.
+
+Cupidonet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un
+garde-sel. Elle est à découvert, et se trémousse toute
+endormie, quand elle sent la langue entre les lèvres de son
+connin à poil naissant. "Ah... Ah... Ah... ça m'chatouille".
+p. 25
+
+VIII. Conquette et Cupidonet.
+
+Conquette, qui vient d'être gamahuchée, et que Cupidonet, le
+vit bandant, tâche d'enconner. "Ah! ce joli gamahuchage, tant
+que vous voudriez". p. 30
+
+IX. Cupidonet et Victoire.
+
+Cupidonet tenant Victoire troussée jusqu'aux dessus du genou,
+et se faisant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas:
+"Mignonne... serre-moi le doigt, fort... fort". p. 32
+
+X. Conquette, Culant, Vitnègre.
+
+Conquette assise devant le feu, entre Vitnègre et Culant
+déculottés, bandants; elle troussée: "Allons, bougresse.
+branle-nous tous deux". p. 36
+
+XI. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le moine.
+
+Cupidonet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre le vit à
+l'air, montrant à nu les appas de sa femme. Un moine, debout
+dans le cabinet, vu par le père de Conquette, caché derrière
+un sofa, et qui n'est pas vu. Le moine tenant en main son vit
+monstrueux, regarde la scène: "Troussée, putain, au-dessus des
+reins". p. 39
+
+XII. Cupidonet et Conquette en levrette.
+
+Conquette, le ventre appuyé sur le pied d'un lit. Cupidonet
+l'a troussée au-dessus des reins; elle cambre la taille, et il
+l'enfile en levrette. "Remue du croupion... mon ange". p. 44
+
+XIII. Conquette, Vitnègre, un payeur.
+
+Vitnègre debout à côté du lit, caché par un rideau, tandis
+qu'un autre le remplace sur sa femme. Le mari dit à celle-ci:
+"Décharges-tu"? p. 48
+
+XIV. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le jeune homme.
+
+Cupidonet caché; Vitnègre une lumière en main trouvant le
+jeune homme sur sa femme troussée: "Hé bien, est-elle
+enconnée". (dit-il). p. 53
+
+XV. Le fouteur à la Justine.
+
+Le moine Foutamort, ayant mis Conillette nue, expirée et
+déchirée sur une table, lui cerne les tétons avec un bistouri,
+etc.: "Décharnons-la." p. 56
+
+XVI. Cupidonet, Conquette, Timori.
+
+Cupidonet, caché dans le sofa, avançant la tête, pendant que
+Conquette, gamahuchée par Timori, lève les jambes en l'air, et
+fait claquer ses talons: "Ah... Timori... ta langue vaut un
+vit". p. 62
+
+XVII. Conquette enculée.
+
+Cupidonet sous un sofa; Timori enculant Conquette, courbée,
+dont le cul est bien perforé: L'enculeur s'écrie: "Quel cul!
+quel plaisir des Dieux". p. 63
+
+XVIII. Conquette s'enconnant du vit paternel.
+
+Cupidonet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la table
+de nuit. Il est sur le côté, le vit bien bandant. Il dit à sa
+fille nue, cherchant à s'enfiler: "Appuie lentement, ma
+reine". p. 67
+
+XIX. Montencon, Cupidonet, Hochepine, Vitsucette.
+
+Montencon embouchant Adélaïde Hochepine en présence de
+Cupidonet et de Vitsucette. "J'embouche la jolie garce". p. 70
+
+XX. Cupidonet, Conquette, Montencon.
+
+Cupidonet sortant du con de Conquette. Montencon, le vit en
+main, allant se mettre sur elle dont le con et les cuisses
+sont bien à découvert. "A toi, bougre". p. 7
+
+XXI. Les moines vérolés.
+
+Tous les lits sont couverts de robes monacales. Vitnègre assis
+auprès du lit de Foutamort, qui lui montre un tableau,
+représentant une femme à laquelle il vient de ne faire qu'un
+trou du cul et de la motte, et dont il cerne les tétons: "Je
+me suis fait accommoder son con". p. 81
+
+XXII. Le sommeil enconné.
+
+Cupidonet endormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort
+également enconnée. En commençant à s'éveiller, elle dit: "Ah!
+Mon Dieu! c'est mon papa, qui me..." p. 83
+
+XXIII. Cupidonet, Conquette.
+
+Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tétons
+découverts: Il vient de se mettre le vit à l'air. Elle joue
+avec sa mule mignonne, qu'elle fait badiner avec le bout de
+son pied: "Je veux te griller". p. 88
+
+XXIV. Conquette, Cupidonet, Centlouis.
+
+Centlouis prenant les tétons et le con de Conquette, en
+présence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante
+louis: "Ce con satiné, ces tétons touchés les valent". p. 91
+
+XXV. Conquette, Cupidonet, Traitdamour.
+
+Conquette renversée, troussée au-dessus du nombril, et à
+laquelle Cupidonet présente Traitdamour, qui tient à la main
+et montre son gros et superbe vit. Conquette avançant sa main,
+pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de
+mal... et de plaisir"... p. 95
+
+XXVI. Cupidonet, Conquette, Traitdamour, Minone, Connète.
+
+Cupidonet foutant Conquette, qui lui darde sa langue.
+Traitdamour tenant les tétons de sa soeur, qui lèche le trou du
+cul du fouteur; tandis que Connète le suce dans la raie du
+dos: "Quels délices!... Je suis rendu"... p. 100
+
+XXVII. Minone, Conette, Cordaboyau, Brisemote (1er groupe).
+
+Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis
+que Cordaboyau enconne Minone, que Brisemote encule couchée
+sur le côté. "C'est une fouterie de princesse...". p. 108
+
+XXVIII. Cupidonet, Conquette, Traitdamour (2ème groupe):
+
+Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculée sur lui!
+Cupidonet dans le con de la belle, ainsi limée entre deux
+feux: "Piquez... des deux; la garce est enculée"... p. 110
+
+XXIX. La danse nègre.
+
+Cupidonet habillé, mais le vit à l'air, regardant la danse,
+dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses.
+Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle actrice;
+Cordaboyau avec Conette; Brisemote avec Minone; tous six nus
+de la tête aux pieds. Ils figurent les mouvements voluptueux;
+un couple paraît prêt d'enconner; un autre d'enculer; le
+troisième, en se contournant, met les tétons sous la bouche,
+le vit sous la main, et montre le con qui l'appète. "Allons!
+Du mouvement, garces!" p. 114
+
+XXX. La Piochée et ses piocheurs.
+
+La Piochée sur le foutoir; Piocheur-père enculant Piocheur-fils;
+Piochencul les excitant, et se faisant bander, à l'aide
+de la main et des tétons de la jeune fille. "Bougre... encule
+ton petit garçon". p. 117
+
+XXXI. Piochette.
+
+Le vieux Piochencul patinant les tétins de Piochette, âgée de
+14 ans, et fille du frère et de la soeur, pendant que ces 2
+individus sont enconnés, et que le vieux Piocheur grand-père
+encule son fils. "Tu me dépucelleras ta fille, dès que ton
+grand-père t'aura déculé". p. 119
+
+XXXII. Les gourmets de con.
+
+Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme gourmet du
+satiné de son con, est enlevé de sur elle, prêt à décharger,
+par Traitdamour et Brisemote, le vit bandant et décalotté,
+pour le plonger tout brandi dans le con de Rosemauve, étendue
+sur un foutoir haussant du cul: "Le sacré bougre allait
+partir"... p. 123
+
+XXXIII. Honnête entretien du père et de la fille.
+
+Cupidonet prenant le con de sa fille d'une main, les tétons de
+l'autre. Elle dit: "Mon Dieu: je vous remercie d'un si bon
+père". p. 133
+
+XXXIV. L'homme enfilant deux cons d'une volte.
+
+L'homme-à-queue foutant Sophie Linars de son vit, tandis que
+Geoline s'enconne avec la queue velue qu'il a au croupion.
+Celle-ci dit: "Et moi, je vais me servir de cette queue
+raide". p. 141
+
+XXXV. La fouteuse insatiable.
+
+La belle Agnès, livrée par son père, enfilée par le jeune
+procureur, qui se loue de ses délicieux mouvements; elle
+s'écrie, en déchargeant: "Ah... mon âme va sortir... par le
+trou qu'il me fait". p. 157
+
+XXXVI. Indicibles fouteries!
+
+Agnès, après souper, ayant un corset refluant, cachée derrière
+un rideau de fenêtre, de sorte que l'homme-à-queue seul, qui
+lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient d'une
+main le vit de son père; de l'autre, elle retient à l'entrée
+de sa bouche, et presse de ses lèvres, le gros membre de Guae
+qui décharge, et lui lance le foutre au fond du gosier.
+Fysitère leur dit: "Il faut d'abord que je foute habillée...".
+p. 175
+
+XXXVII. Les six fouteurs des trois foutues.
+
+Agnès, Doucète, la carmélite, et la marchande de modes,
+maîtresse d'Agnès Convelouté. La 1re en déshabillé de gaze
+transparente, avec le chapeau de mariée; les 3 autres nues,
+sont instruites par Agnès [Coupure.] Six vieillards, le vit en
+main, nus, endoctrinés séparément par Guae, nu aussi, à
+l'entrée d'une autre pièce, où il les attire les uns après les
+autres... Le premier est un grand, maigre, dont le nez touche
+au menton; vit ordinaire. Le second, gros, très ventru; le nez
+comme une grosse betterave; le vit long. Le troisième monté
+sur de longues jambes sèches; ayant un pain de sucre sur les
+épaules; le vit gros comme celui de l'homme-à-queue au moins.
+Le quatrième aussi large que haut, a le vit de l'oncle
+d'Agnès. Le cinquième a la tête monstrueuse, le ventre comme
+un tonneau, le vit comme celui de Guae. Le sixième est grand,
+voûté, bancroche; ayant un bourrelet à son long vit. Quant au
+laid Guae, on voit son vit, gros comme un timon de carrosse,
+soulever sa chemise... "Chacun des 6 monstres crut qu'il
+allait avoir le plaisir d'être mon bourreau". p. 183
+
+XXXVIII. Fysitère au grand lit avec ses 3 fouteuses.
+
+Elles sont nues. Fysitère nu enconne Doucète; Agnès lui
+chatouille les couilles; la carmélite lui branle le queue
+velue, dont elle se dispose à s'enfiler. Le mot est pris de
+l'histoire par Agnès "Nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune
+dans la nuit; ce qui faisait les 24, ordinaire de Fysitère" p.
+192
+
+
+Table des Chapitres
+
+
+La Préface. 3
+
+I. Chapitre De l'enfant qui bande. 5
+
+II. Chap. Du con soyeux. 8
+
+III. Chap. De la mère foutue! 11
+
+IV. Chap. D'un autre beau-frère cocu. 14
+
+V. Chap. Du bon mari spartiate. 18
+
+VI. Chap. De l'épouse qui se fait enculer. 20
+
+VII. Chap. Du connin au poil follet. 25
+
+VIII. Chap. Des conditions de mariage. 28
+
+IX. Chap. Des dédommagements. 31
+
+X. Chap. De l'infâme mari. 33
+
+XI. Chap. Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit.
+39
+
+XII. Chap. Du plus délicieux des incestes. 41
+
+XIII. Chap. Du con et du cul vendus. 46
+
+XIV. Chap. Le jeune homme, la fille, le moine. 51
+
+XV. Chap. Du fouteur à la Justine. 54
+
+XVI. Chap. Foutoir. Petit magasin. Enserrement. Amour. 58
+
+XVII. Chap. Du pucelage du cul. Le père enconneur. 63
+
+XVIII. Chap. Des avis paternels, tenant sa fille enconnée. 67
+
+XIX. Chap. Du père juste, et du vit grisonnant. 70
+
+XX. Chap. Du, Ah, comme elle fut foutue! 74
+
+XXI. Chap. Du ressouvenir, et de l'épisode. 80
+
+XXII. Chap. De la fouteuse mise en appétit. 83
+
+XXIII. Chap. De la tendresse filiale; et de l'amour paternel.
+86
+
+XXIV. Chap. Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle. 91
+
+XXV. Chap. Du bon père qui fait foutre sa fille. 93
+
+XXVI. Chap. d'AVIS très utile au lecteur, et à l'auteur. 98
+
+XXVII. Chap. Du commencement des grandes fouteries. 101
+
+XXVIII. Chap. De l'enculo-connillerie. 106
+
+XXIX. Chap. D'une nouvelle actrice. Danse nègre. 112
+
+XXX. Chap. Le Pioché, la Piochée, le Piochard. 116
+
+XXXI. Chap. Suite des mêmes, Piochette. 119
+
+XXXII. Chap. Du connin goûté. 122
+
+XXXIII. Chap. La fouteuse sensée. 130
+
+XXXIV. Histoire de l'homme-à-queue. 134
+
+XXXV. Chap. de la garce insatiable. 144
+
+XXXVI. Chap. Des fouteries de la Convelouté, etc. 174
+
+XXXVII. Chap. Des six fouteurs pour trois foutues. 185
+
+XXXVIII. Chap. Conclusion de l'histoire des trois foutues. 191
+
+XXXIX. Chap. Du fauteuil. 207
+
+Fin de la table de la 1re partie.
+
+
+EPILOGUE de la Ire PARTIE.
+
+
+J'ai longtemps hésité si je publierais cet ouvrage posthume du
+trop fameux avocat Linguet. Tout considéré, le casement déjà
+commencé, j'ai résolu de ne tirer que quelques exemplaires,
+pour mettre deux ou trois amis éclairés, et autant de femmes
+d'esprit, à portée de juger sainement de son effet, et s'il ne
+fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale à laquelle on
+veut le faire servir de contrepoison! Je ne suis pas assez
+dépourvu de sens pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est un
+poison: mais ce n'est pas là ce dont il s'agit. Sera-ce le
+contrepoison de la fatale JUSTINE? Voilà ce que je veux
+consulter, à des hommes, à des femmes désintéressés, qui
+jugeront de l'effet que le livre imprimé produira sur eux et
+sur elles. L'auteur a prétendu éloigner de la cruauté, de la
+soif du sang et de la mort de la femme possédées. A-t-il
+réussi? Il a prétendu ranimer les maris blasés, pour les faire
+jouir de leurs femmes avec goût, à l'aide de la lecture d'un
+demi-chapitre de son ouvrage. A-t-il atteint ce but? C'est ce
+qu'on décidera.
+
+On a vu, par la table seule, combien cet ouvrage est salace!
+mais il le fallait pour produire l'effet attendu. Jugez-le,
+mes amis, et craignez de m'induire en erreur!
+
+L'ANTI-JUSTINE aura VII ou VIII parties comme celle-ci.
+
+
+FIN de la 1re partie.
+
+
+
+
+
+
+
+
+L'ANTI-JUSTINE,
+
+OU
+
+LES DELICES DE L'AMOUR
+
+
+Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem.
+
+
+Avec Figures.
+
+
+[Seconde Partie.]
+
+
+AU PALAIS-ROYAL
+
+Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connue.
+
+1798
+
+
+
+
+Je suis parvenu au second volume de cet ouvrage, destiné à
+ranimer les maris blasés, auxquels leurs femmes n'inspirent
+plus rien. Tel est le but des nequices de cette excellente
+production! que le nom de Linguet rendra immortelle.
+
+
+L'ANTI-JUSTINE.
+
+
+
+
+Chapitre XXXIX Du fauteuil.
+
+
+Le dimanche arrivé, il y eut un joli dîner, qui fut servi dans
+mon magasin. J'y avais fait mettre, outre le lit et le vieux
+sofa, un 3me foutoir commode, que j'avais trouvé par hasard
+chez un serrurier de la rue de la Parcheminerie, qui l'avait
+acheté pour le fer et l'acier seulement, à l'inventaire de
+certain duc. J'en fis l'histoire à ma société:
+
+"Ce fauteuil, ou foutoir, se monte. Le serrurier le monta un
+jour, pour en voir le mécanisme. Il allait s'y asseoir, au
+1er. La jeune femme très potelée de son vieux voisin Aupetit,
+le perruquier, arriva. La jolie voisine, essoufflée, se jeta
+sur le diable de fauteuil. Aussitôt elle fut saisie par les
+bras. Un ressort la troussa, et un autre lui écarta les
+cuisses. Un autre lui fit faire beau con; un troisième la fit
+osciller.
+
+-- Eh! qu'est-ce donc que ce machin-là? s'écriait-elle.
+
+-- Ma bonne foi si je le savais! répondit le serrurier; j'ai
+monté la machine pour la connaître; mais je vois que c'est
+celle avec laquelle le duc de Fronsac essayait les filles
+récalcitrantes, que des parents maladroits lui avaient
+vendues. Si vous voulez, ma voisine, je vais vous essayer?
+
+-- Allons donc! Est-ce qu'on viole jamais une femme malgré
+elle? Je mordrais...
+
+L'homme-de-forge se déculotte; se met sur elle. La
+traquenardée veut le mordre. Un ressort assez doux lui fait
+ouvrir la bouche, et, en l'angoissant un peu, la force à
+darder sa langue. Le suppôt de Vulcain profite de tout cela,
+et enfile la perruquière, qui ne put l'empêcher, ni même
+crier... L'opération faite, la machine se trouva au bout de
+ses rouleaux, et Mme Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors
+qu'elle se mit à pleurasser, à criasser, comme si elle avait
+été au désespoir.
+
+-- Grand'bête! (lui dit le Cyclope) je vous ai trop bien opérée
+pour que vous ne deveniez pas grosse; vous aurez un enfant,
+que votre vieux jean-foutre ne vous aurait jamais fait. Mais
+il faut un peu de ruse. Dès aujourd'hui dites-lui que vous
+achevez une neuvaine à Saint Julien, qu'il vous travaille ç'te
+nuit, et que le Saint bénira ses travaux. Remuez du cul, quand
+il vous le mettra; dites-lui des foutaises, et, s'il
+déchargeote un peu, pâmez-vous, en disant qu'il vous inonde.
+
+Mme Aupetit s'en alla munie de ces instructions, qu'elle mit
+en pratique. Le fauteuil me fut prêté le lendemain.
+
+Le Cyclope, m'ayant vu passer, m'appela, me montra la machine,
+me la vanta, et me mit au fait de son usage. Elle me fut
+donnée à l'essai, et je la destinai aux bégueules, s'il nous
+en venait à nos orgies. Je remis à monter la machine quand il
+serait à-propos, afin de ne pas en éventer le secret. Nous
+nous y assîmes trois en dînant, Mme Poilsoyeux, une jolie
+chapelière de la rue Bordet ou Bordel, amenée par Traitdamour,
+et nommée Tendrelys; j'étais au milieu. In petto je réservais
+le fauteuil monté à la jolie Tendrelys, encore pucelle,
+quoique Traitdamour lui eût quelquefois déchargé entre
+cuisses; ou, si la chapelière était docile, à Rosemauve, ou à
+sa soeur Rosalbe la blonde, ou enfin à notre hôtesse Mme
+Brideconnin, que je voulais mettre de nos fêtes, ainsi que son
+mari, voulant le faire cocu en sa présence... Nous dînâmes
+bien, mais sans trop manger, ni trop boire. Nous avions
+d'ailleurs de la volaille, et toutes choses de facile
+digestion. On ne tardera pas à voir comment j'exécuterai tous
+mes projets.
+
+
+Chapitre XL Des cons rasés.
+
+
+En sortant de table, Traitdamour nous dit:
+
+-- Toute la semaine, il m'a roulé dans la tête de rendre le
+connin de Mme Conquette-Ingénue-Poilsoyeux ce qu'il doit être;
+c'est-à-dire, PUCEL; car je suis sûr que depuis huit jours
+qu'elle n'a foutu, il s'est rétréci en diable!... Brisemote,
+Cordaboyau, vits implacables, troussez-moi Minone et Conette;
+il ne serait pas séant qu'elles se troussassent elles-mêmes.
+
+On les troussa jusqu'au-dessus du nombril. Pas un poil!
+
+-- Je les ai rasées ce matin (dit Traitdamour), pour voir
+l'effet, avant de proposer la même chose à notre déesse. Vous
+voyez comme elles sont propres! Tout le corps l'est de même.
+Elles se sont baignées tous les jours depuis qu'elles savent
+que la belle fouteuse met tous les jours son con dans l'onde
+limpide et y plonge entier son corps appétissant. Elles m'ont
+assuré que, lorsqu'elles étaient en chaleur, l'eau fraîche
+dans laquelle trempaient leurs cons brûlants, leur donnait un
+plaisir presque fouteur... Mais voyez-moi ces cons-là? Ne
+dirait-on pas des connins de fillettes de 12 à 13 ans?
+
+On en convint.
+
+En conséquence, je priai ma fille de se laisser raser la
+motte. Elle se cacha le visage dans mon sein. Traitdamour
+aussitôt la renversa sur un foutoir, le con au grand jour.
+
+-- C'est pourtant dommage! (dit-il en le maniotant); la
+perruque en est superbe!... Je vais d'abord employer les
+ciseaux. Nous mettrons ce poil soyeux sous verre dans un cadre
+doré; ce seront de précieuses reliques.
+
+Il coupa. Ensuite il tira d'une jolie boîte une savonnette
+parfumée, et savonna longtemps le connin. Comme cette
+opération excitait Conquette, elle me pria d'appuyer mes
+lèvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, pendant tout
+le temps qu'on fit la barbe à son con, et lorsqu'il fut rasé,
+on le lui lava d'eau-rose; on lui sécha les cuisses avec des
+linges doux, et Tendrelys mit le beau poil de la dépouille
+sous le verre à cadre. Puis le connin sans barbe fut livré à
+l'admiration de l'assemblée. Tout le monde, surtout les
+filles, jusqu'à la modeste Tendrelys, qui, disait-elle,
+n'était venue que pour voir, et rougissait de tout, le
+trouvaient si appétissant qu'elles demandèrent à le baiser, et
+qu'elles se jetèrent dessus. La jolie chapelière colla ses
+lèvres vermeilles sur le con rasé, et sa langue alla dans la
+fente exciter la volupté. Rosemauve, qui arrivait, vint sur
+elle comme une enragée, la débusqua, et gamahucha si vivement
+la déesse qu'elles émirent toutes deux. Les hommes eurent leur
+tour; ils sucèrent le connôt déchargeant, et le firent
+décharger encore... Pour moi, j'admirais, les deux mains
+plongées dans les tétins de Tendrelys, qui les avait
+charmants, et n'osait se défendre.
+
+-- Ah! quelle partie! me dit-elle.
+
+-- Tu ne vois rien! lui répondit Minone.
+
+En effet, Traitdamour, ayant fait retirer les gamahucheurs du
+con de Conquette-Ingénue, qu'ils ne quittaient pas, dit à ses
+camarades:
+
+-- Imitez-moi!
+
+Aussitôt tous les vits en érection furent à l'air.
+
+-- Allons! allons! au con! au con!
+
+Tendrelys baissait ses beaux yeux; mais Conquette, étendue sur
+le foutoir, la motte légèrement branlée par Rosemauve,
+soulevait la tête pour voir les vits.
+
+-- Laquelle enconnez-vous (me dit mon vigoureux secrétaire),
+laquelle enconnez-vous de la voluptueuse Conquette, de moi, ou
+de la pucelle Tendrelys?
+
+J'hésitais pour ma réponse, lorsque tout à coup j'entendis ma
+fille s'écrier faiblement:
+
+-- Le vit! le vit!
+
+Traitdamour se précipita sous elle, la prit sur son dos, me la
+présentant oscillante:
+
+-- Enconnez (me dit-il), la fouteuse fait beau con...
+
+J'enfonçai. Je bandais si roide que je la fis crier en la
+perforant. Mais elle foutit aussitôt, en me disant:
+
+-- Bon... (haussant le cul), bon!... Ah! que tu bandes
+bien!.... Fous... fou----fourgonne... Fou----fourrage, cher
+pap... je déch----a----a---- (Traitdamour la secouait) arge...
+
+Je déchargeais aussi. Son délicieux connin me pinçait. La
+déesse m'enivrait. Traitdamour la faisait osciller, comme le
+Corax de Pétrone son maître Eumolpe... Cependant Brisemote
+avait mis sur son dos Rosemauve nue, que foutait Cordaboyau
+sans chemise. Les 2 petites enragées Minone et Conette, nues
+comme la main, venaient de mettre Tendrelys nue comme elles,
+et la tenaient entre elles, se frottant le con sur ses cuisses
+d'albâtre, en lui chatouillant l'une la motte, l'autre le trou
+du cul. Elles déchargèrent toutes trois avec les 2 foutues:
+"Grand Dieu! s'écria la jolie chapelière, comme vous savez
+être heureux"!
+
+
+Chapitre XLI Vit inattendu.
+
+
+En ce moment, l'on entendit frapper des mains à la porte.
+(C'était un signal que j'avais donné.) J'avais déconné;
+j'allai ouvrir. C'était le Cyclope. Il ne devait pas entrer;
+mais il me poussa un homme qui avait les yeux bandés et les
+mains liées derrière le dos. Il était couvert d'un grand
+surtout de laine blanche, sous lequel il était nu sans
+chemise. Je le pris par le corps; je le poussai vers le
+foutoir à Fronsac, sur lequel Traitdamour jeta sa soeur; on le
+monta, et, dès que l'enfant fut prise, on fit tomber sur elle,
+en lui arrachant son couvre-tout, l'inconnu que je venais
+d'introduire. Quand il fut nu, son gros vit épouvanta tout le
+monde, et il se fit un Ah! universel. Conquette le reconnut,
+et pâlit. (Observez que tous pouvaient parler, excepté
+Conquette et moi.) Minone (la traquenardée) fut la seule que
+ce vit, qui ne le cédait qu'à Foutamort, n'effraya pas. Elle
+le saisit courageusement, et lui mit la tête entre les lèvres
+de son con, en lui disant:
+
+-- Pousse, bougre.
+
+Il estocada, comme un bélier de siège. Mais il ne pénétrait
+pas.
+
+-- Soulève du cul, putain! lui dit le brutal; je suis trop
+haut.
+
+Minone souleva, le vit trouva l'ouverture; et, quoiqu'elle ne
+fût que la moitié de qu'il lui fallait, il la força. Minone
+souffrait le martyre. La sueur et les larmes sillonnaient ses
+joues. Enfin, le gros vit, parvenu au fond, injecta son baume
+de vie, et adoucit, en les onctuant, les parois dilacérées.
+Minone, qui venait de clamer de douleur, s'exclama de plaisir:
+
+-- Ahh! Ahh!... il m'inonde!... je fous... je décharge... je me
+pâme!
+
+Et la jolie petite remuait du cul comme une garce, foutue par
+un moine au bordel.
+
+Nous étions d'abord tous stupéfaits d'admiration! Puis nous
+bandâmes tous comme des enragés. Brisemote le mit en levrette
+à Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traitdamour
+consulta mes yeux, en me désignant Conquette ou Tendrelys: je
+permis la première, ajoutant fort bas:
+
+-- Il fout ta soeur; fous-moi sa femme.
+
+-- C'est Vitnègre!
+
+Et il se jeta comme un furieux sur l'épouse du jean-foutre, si
+brutalement enconnée qu'elle en cria... Mais elle déchargea
+presque aussitôt; ce qui changea sa douleur en plaisir.
+
+-- Toute femme qui décharge comme ça (balbutiait Traitdamour),
+en la fourgonnant, est bonne; il n'y a que celles qui ne
+déchargent jamais, qui sont méchantes.
+
+Cependant Vitnègre refoutait, sans déconner, et Minone
+redéchargeait; Rosemauve hennissait sous Brisemote; Conette
+sous Cordaboyau; Tendrelys, émue, appuyée sur mon épaule, me
+présentait sa jolie bouche, et Conquette, martyrisée par
+Traitdamour, pleurant, culetant, émettant, criotant de douleur
+et de volupté, enviait encore les tourments de Minone. Son
+fouteur me cria:
+
+-- Sacredieu! pommadez donc... et dépucelez-moi... cette garce
+de Tendrelys!
+
+L'aimable enfant me lança un long regard, en se mettant la
+main devant le con, comme pour le défendre. Nous avions là du
+beurre frais; j'onctuai le connin, renversai la vierge sur un
+foutoir, malgré ses tendres prières, et mon vit pénétra.
+
+-- Au moins, me disait-elle, en le sentant entrer, vous ne me
+livrerez pas au bourreau de Minone, ni à ces au...tres-là!...
+
+-- Remue du cul, bougresse! (lui cria l'impitoyable
+Traitdamour) Est-ce comme ça qu'on fout? Regarde ma belle, et
+ces... 3 autres... garces!... Tiens... putain... pucelle...
+nous dé...char...geons!...
+
+La pauvre petite, à cette exhortation énergique, gigota sous
+moi comme elle put. Je pénétrais doucement; je caressais,
+dardotant la langue, disotant des tendresses...
+
+-- Vous la menez trop bellement (s'écria Traitdamour),
+fourragez comme moi, ou comme ce cocu, que voilà sur le
+fauteuil!... Tenez! il mord les tétons qu'il ne saurait
+patiner!... Ne va pas lui faire trop de mal, bougre! c'est...
+ma soeur, et... je t'assommerais... Je dé...charge...
+
+-- Ah! qu'il me dévore (s'écria Minone); pourvu qu'il... me
+foute!... Je décha...arge...
+
+-- Je fous!... je décha...arge! s'écria Rosemauve.
+
+-- Je décharge!... cria Conette.
+
+-- Ahhahah! fit Conquette...
+
+Pour Tendrelys, dont j'atteignais le fond du connin, elle dit:
+
+-- Ze suis dépucelée! ze déçarze!... Que dira maman?
+
+-- Elle ne le verra pas, jolie fouteuse. Le vit de mon maître
+conserve les pucelages (cria Traitdamour).
+
+En ce moment, Vitnègre déconna Minone trop fatiguée. On lui
+pommada Rosemauve, que Brisemote déconnait (car les tourments
+de la courageuse Minone avaient épouvanté toutes nos belles.
+Le vit de mulet l'enconna plus vite; mais elle n'en souffrit
+pas moins: Elle pleura, sanglota, et enfin... déchargea....
+Elle fut ramonée 3 fois sans déconner. Minone l'avait été
+quatre.
+
+C'était le tour de Conette. Elle fut pommadée avec plus de
+soin que Rosemauve; et cependant elle jeta les hauts cris. Si
+elle n'avait pas été sur le Fronsac, elle aurait désarçonné
+son bourreau... Elle déchargea enfin, et les plaisirs
+succédèrent. Mais on ne s'attendait pas à l'effet qu'ils
+produisirent!
+
+C'est que Mme Poilsoyeux eut envie du gros vit de son mari.
+Elle demanda tout bas et voulait qu'on la mît sur le Fronsac,
+au moment où Vitnègre déconna la Conette, quoique celle-ci eût
+le con aussi barbouillé de sang que de foutre. Mais
+Traitdamour, la happant, la renversant et l'enconnant, lui dit
+tout bas:
+
+-- Garce! je suis jaloux de toi pour mon maître et pour moi; je
+t'étranglerais plutôt que de te laisser foutre par ton cocu de
+mari en ma présence.
+
+-- Pardon! Vit divin! leurs douleurs m'ont tentée! Fourgonne-moi,
+à m'en ôter l'envie! Car je ne compte plus que sur toi;
+voilà M. Linguet qui donne son fou...outre... je
+décha...arge... à la... sacrée ma...âtine... de Tendrelys...
+
+-- Ah! reine des putains, tu es jalouse! Tiens, tiens, voilà
+des coups de vit dans ton connin-dieu... Ahh!... Ahh!... ze
+redéza...arze! murmura-t-elle...
+
+Cependant, que faisait Vitnègre? Il prenait du repos et
+quelques liqueurs brûlantes, tout en patinant les tétons de
+ses 3 foutues, qui le branlaient pour s'amuser. Tout à coup
+Mlle Linguet dit à son foutant: "Mais ce bougre est un autre
+Guae! il faut qu'il me restaure! Qu'on lui lave bien le vit à
+l'eau-rose; je veux le téter, comme faisait Mme Guae le gros
+vit de son mari! Nous ne pouvions nous refuser à une
+proposition aussi raisonnable. On lava le vit monstrueux; deux
+des trois garces soutinrent Vitnègre de chaque côté, en lui
+livrant leurs tétons; Rosemauve lui chatouilla les couilles et
+le trou du cul; Traitdamour se coucha par terre sur le dos
+sous ma fille à genoux qu'il enconna; Mlle Linguet baisa 5 à 6
+fois le gros vit, tout en ripostant aux saccades de son
+fouteur. Prête à décharger, elle emboucha, faisant aller et
+venir l'énorme vit du bord de ses lèvres de corail, au fond de
+son gosier satiné. En déchargeant, elle mordit... Telle la
+voluptueuse femelle du serpent géant écrase dans sa gueule la
+tête de son mâle trop amoureux... Vitnègre, mordu, se récria
+de volupté! Il émit un torrent, quoiqu'il eût déjà foutu 9
+coups, et Mlle Linguet fut inondée de foutre au même instant
+dans la bouche et dans le con... Elle voulut téter 3 fois
+Vitnègre, que les 3 garces qui le chatouillaient, secouaient
+tellement qu'il rebandait aussitôt. D'ailleurs, il s'écriait à
+tout moment:
+
+-- Ma Femme n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le
+sens au velouté de son palais!...
+
+Et cette idée le faisait décharger à flots... Mlle Linguet fut
+obligée de cesser ce jeu, dans lequel on voulait faire expirer
+Vitnègre; mais Mlle Conquette-Linguet avait sucé le double vit
+avec tant de fureur qu'elle avait la bouche tout en feu... On
+obligea Vitnègre d'enculer ses 3 foutues; ce qui lui fit 15
+copieuses décharges, parce que les belles de relais lui
+manipulaient impitoyablement les couilles... Les excessives
+douleurs de l'enculage n'en effrayèrent aucune; au contraire,
+les tourments de la patiente excitaient leur passion, et elles
+la pinçaient pour la forcer à s'agiter, et à faciliter ainsi
+l'intromission du gros vit dans son cul.
+
+Vitnègre n'en pouvait plus. Ce fut précisément ce qui excita
+Mlle Linguet. Elle exigea de nous qu'il déchargeât une 16ème
+fois, et que ce fût dans son cul, à elle! Traitdamour se vit
+obligé de céder. On manipula Vitnègre, on lui chatouilla les
+couilles; on l'assura qu'il allait enculer Mlle Linguet sa
+femme. A ce nom, il érectionna. On lui fit sucer les tétons de
+Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt
+on coucha l'enculande sur le ventre; on lui beurra la rosette,
+puis le rectum avec une grosse canule; Tendrelys prit
+délicatement le gros vit avec ses doigts de rose pour le
+diriger dans l'anus, tandis que Minone et Conette écartaient
+chacune une fesse. Rosemauve, prête à manipuler les couilles,
+frayait avec son doigt beurré l'entrée du vit-monstre dans le
+cul de la patiente... Enfin, il pénétra, en déchirant... Mme
+Vitnègre poussait des cris sourds, que son mari crut
+reconnaître. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. Alors
+l'enculée jeta un cri... qui logea le monstre tout entier dans
+son gros boyau... Vitnègre, ne doutant presque plus, y
+fourgonnait avec rage... Il ne décula pas après avoir
+déchargé; Rosemauve lui chatouillait les couilles, l'anus, et
+s'appuyant du con sur son cul, foutait avec lui, en poussant à
+chaque fois... Vitnègre déchargea 3 ondées de foutre dans les
+boyaux de sa femme; ce qui faisait 18 pour la séance. Il tomba
+en faiblesse à la dernière...
+
+On le tira du cul de Mlle Linguet, qui alla se le mettre dans
+l'eau fraîche, pour se le raffermir. On jeta Vitnègre dans une
+auge d'eau de puits qui était dans la cour, pour lui faire
+reprendre ses sens. Le Cyclope parut. On porta Vitnègre dans
+son fiacre. Il le remena.
+
+-- Sais-tu qui j'ai foutu (lui disait-il en route) dans ton
+sacré Fronsac?... Ah! comme elle fout!... Elle a bien appris,
+depuis qu'elle m'a quitté!... Je l'ai foutue 16 fois, tant en
+con, qu'en bouche et en cul...
+
+Le serrurier, après avoir remis Vitnègre à sa filleule,
+s'évada.
+
+Vitnègre rencontra le serrurier quelques mois après.
+
+-- Veux-tu m'y remener? lui dit-il.
+
+-- C'est l'impossible, répondit le Cyclope; tout est disparu.
+
+-- Ah! la garce! si je la retenais, je passerais le reste de ma
+vie dans son cul et dans son con.
+
+Ainsi finit cette aventure.
+
+
+
+
+Chapitre XLII La jalousie de deux connins.
+
+
+Nous restions tous sept émerveillés des 16
+enconnades-embouchades-enculades de Vitnègre! quand Traitdamour,
+regardant la jolie chapelière, nue comme toutes les autres,
+lui dit:
+
+-- Te voilà dépucelée, mignonne, et mon divin maître a cueilli
+ta rose! C'est un grand honneur et bonheur à toi et à moi! Je
+te regarde à présent comme les dévots regardent leur Vierge
+Marie, qui, foutue par l'ange Gabriel, puis par le
+Saint-Esprit, dont elle fut la putain, n'en était que plus vierge.
+Te voilà consacrée au vit de mon maître; conserve-lui
+religieusement ton connin, ou ne le prête qu'avec sa
+permission... A présent, céleste mignonne, votre jolie motte
+va être savonnée et rasée!
+
+Tendrelys objecta sa mère, qui toutes les nuits lui visitait
+le con pour voir si l'on ne touchait pas à son pucelage, déjà
+vendu, et qu'on devait bientôt livrer.
+
+-- Je m'en fous, déesse, répondit Traitdamour, en me voyant
+monter le Fronsac; on lui dira tout.
+
+Et il la poussa sur le fauteuil, qui l'étreignit. Il la
+savonna, et prépara son rasoir.
+
+En ce moment, arriva Mlle Conquette-Ingénue-Linguet, qui
+venait de se laver le cul à l'eau de puits, pour se le
+raffermir.
+
+-- On va donc aussi raser le con de mademoiselle? (dit-elle
+avec un peu d'humeur)
+
+-- Ah! ma belle déesse! empêchez-en, à cause de maman, qui ne
+saura ce que ça veut dire! s'écria Tendrelys suppliante, en
+lui baisant une main, qu'elle était parvenue à saisir.
+
+-- Non, mademoiselle, je ne m'y opposerai pas! Votre con rasé
+laissera mieux voir à votre maman que mon infidèle vous a
+déflorée... Nous verrons aussi, après qu'on lui aura enlevé
+cette charmante perruque, si votre bijou, mademoiselle,
+l'emporte sur le mien, tout fatigué qu'il est!
+
+-- Ah! mon adorable amie! il n'est pas besoin de cela. Rien ne
+vous égaler.
+
+-- Allons, monsieur, rasez donc! Et je crois bien qu'après, mon
+infidèle amant qui a dépucelé cette jolie conque vous
+permettra bien de vous y loger!
+
+Traitdamour, tout en coupant la belle Toison-d'Or,
+représentait à Conquette-Ingénue que tous les pucelages
+m'étaient dévolus, et que j'étais obligé en conscience de les
+prendre, sous peine de mortifier la néophyte. Conquette ne
+savait que répondre; mais elle bouda. Je m'approchai d'elle,
+et, comme elle était nue, je lui baisai les tétons, et lui mit
+mon vit en main.
+
+-- Vous aimeriez mieux qu'il fût entre les jolis doigts de
+Tendrelys!
+
+-- Non. Personne ne me fait bander comme vous; mais, après
+vous, Tendrelys. On lui rase la motte; il le faut bien, pour
+comparer vos cons célestes, abstraction faite de la fatigue du
+vôtre. On les gamahuchera d'abord. Ensuite je verrai auquel
+des deux mon vit-sultan donnera le mouchoir. Le mieux
+rempucelé l'obtiendra.
+
+Mlle Conquette fit une petite grimace de jolie femme sûre
+d'elle-même, et se tût. Le rasemotte acheva. Le connin de
+Tendrelys fut lavé à l'eau-rose; Mlle Linguet fit rafraîchir
+le sien, et les deux cons furent comparés... Ils furent
+désintéressément trouvés égaux. Ce qui était bien donner la
+supériorité au connin de la belle Conquette, déjà tant
+foutue... Ce fut l'avis général. Rosemauve, Minone vinrent se
+comparer. Mais leurs cons étaient loin d'avoir cette
+physionomie virginale de ceux de ma fille et de Tendrelys.
+
+-- Vos cons sont aimables (leur dit Traitdamour), cent fois
+au-dessus des connasses de putains; mais ils ne peuvent se
+comparer à ces deux connins de houris.
+
+Conquette se pavana. Mais, généreuse comme elle l'était, elle
+prit vite son parti.
+
+-- Puisque nos cons sont égaux, me dit-elle, en baisant
+Tendrelys sur la bouche, lui patinant le con, redépucelez-la,
+et que votre lieutenant me refoute, s'il en a la force.
+
+Elle n'avait pas achevé la dernière syllabe, qu'elle était
+enconnée.
+
+-- Fous-la! me cria-t-elle, fous la garce!
+
+J'enfilai la jolie nymphe... Mais, prête à décharger, Mlle
+Conquette-Ingénue entra en fureur érotique (et je compris par
+là comment les héros de Dsds, sur le point d'émettre,
+deviennent cruels); l'enconnée s'écriait:
+
+-- Foutez-moi tous cette putain de Tendrelys!... Brisemote! ne
+fais qu'un trou de son cul et de son con!...
+
+Elle déchargea; et, un peu calmée, elle se mit à dire:
+
+-- Pardon! pardon, ma petite soeur!... c'est le foutre... qui me
+portait à la tête, et me rendait cruelle!... Qu'on lui
+conserve son joli con... toujours pucel... pour les plaisirs
+de mon... papa-fouteur... c'est bien assez.. du mien qui
+est... martyrisé!... Allons pousse... fous... ne me ménage
+plus! (dit-elle à son bourreau)... Et elle se mit à
+coupdeculer plus fort que jamais. Ce qui fit re-enconner
+Rosemauve et Conette, dont les culs étaient moins malades que
+celui de Minone: Cette bonne soeur de Traitdamour vint me
+chatouiller les couilles, et j'émis.
+
+
+Chapitre XLIII Minone et Conette jadis dépucelées. Vieille.
+
+
+Cette scène achevée, il y eut du repos. Nous avions légèrement
+dîné, exprès pour faire collation. Nous mangeâmes des fraises
+au vin muscat, avec des pains mollets du Pont-Michel. Puis
+nous prîmes d'excellent café, fait par Traitdamour, et nous
+goûtâmes aux liqueurs. Ensuite, nous jasâmes...
+
+-- Mon ami (me dit Conquette-Ingénue, en montrant Minone et
+Conette), vous avez eu ces deux jolies compagnes, ainsi que
+Rosemauve, et vous venez de dépuceler Tendrelys sous nos yeux:
+Faites-nous le récit de votre première fois, et dites-nous
+comment vous les avez séduites?
+
+-- Ah! oui, oui! s'écrièrent Tendrelys, Rosemauve, et tout le
+monde.
+
+-- Je ferai ce récit très volontiers; mais à condition qu'on
+ira chercher Mme Brideconnin notre hôtesse, pour qu'elle y
+assiste: Nous commencerons à l'apprivoiser par là!
+
+Mes trois sacripants, pour qui elle était un morceau nouveau,
+ne demandèrent pas mieux. Ils l'enlevèrent à son mari, qui, en
+ce moment, lui tenait les tétons; sans même daigner lui
+répondre, l'assirent à cru sur les mains jointes de deux,
+tandis que le 3ème la soutenait par-derrière, et l'apportèrent
+ainsi moitié troussée et dététonnée. On la posa sur le
+Fronsac, et, si je n'en avais empêché, on lui faisait une
+histoire, au lieu d'écouter la mienne. Lorsque tout fut
+tranquille, je commençai:
+
+Je m'étais mis en pension chez la belle-mère de Traitdamour,
+blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma femme courait la
+province avec un galant; le même qui la foutait avec tant de
+passion qu'il se mettait dans sa chemise pour la palper et
+l'enconner mieux. Traitdamour m'apportait à dîner les jours
+ouvrables; mais j'allais dîner à la maison de la bonne mère
+Wallon les dimanches et fêtes. Un jour que nous y allions
+ensemble, il me pria de montrer à écrire à sa petite soeur! Je
+le voulus bien. En montrant à Minone, j'avais souvent sous les
+yeux ses tétons naissants, blancs comme lys...
+
+[Faites entrer mon mari; je suis bien aise qu'il ait sa part
+de cette histoire-là! interrompit la Brideconnin. Aussitôt
+Traitdamour, sur un signe de mes yeux, l'alla chercher; tandis
+que, sur un autre signe, Brisemote et Cordaboyau prirent l'un
+la motte, l'autre les tétons de la dame. Elle était ainsi
+rayonnante, entre deux mâles, quand son mari parut.
+Brideconnin fut d'abord ébaubi; puis il n'en fit ni un ni
+deux, il alla s'emparer du con de Rosemauve, et des tétons de
+Conette; Traitdamour prit le con et les tétons de sa soeur.
+Quant à moi, je fis asseoir Conquette et Tendrelys l'une sur
+l'autre entre mes jambes, laissant de temps en temps tomber
+mes mains sur la gorge de ma fille, ou de sa jolie rivale...
+Je repris:]
+
+Je dis à Traitdamour, en particulier:
+
+-- Il ne faut plus que je montre à la petite; elle me fait trop
+bander, et je la foutrais au premier jour.
+
+-- Ah! mon cher maître! quel bonheur pour elle et pour moi, si
+vous la dépuceliez! La pauvre orpheline! elle n'a aucun
+plaisir! (c'est que leur mère était morte, et que le père,
+remarié à une bonne amie de feu son épouse, à l'instante
+prière de celle-ci, avait mourant lui-même, laissé pour
+belle-mère aux deux orphelins la bonne amie de leur tendre mère)
+
+Je répondis que cela était bien difficile!... que la petite
+soeur parlerait.
+
+-- Non, je vous en réponds. Minone a déjà des désirs pour vous.
+Elle m'a dit qu'elle aimait bien quand vous lui touchiez la
+chose par-dessus la jupe.
+
+Ce discours m'enhardit.
+
+Un dimanche que j'étais seul avec Minone, à la faire écrire,
+je ne pus résister à l'envie de lui baiser sa jolie bouche;
+puis un tétin; et de là ma main descendit rapidement à son
+connichon sans poil. J'éprouvai une érection terrible! Mon vit
+me gênait. Je me déboutonnai. Il s'élança au dehors.
+
+-- Qu'est-ce que c'est que ça? me dit la petite.
+
+-- Un vit, mon enfant.
+
+-- A quoi cela sert-il?
+
+-- A mettre dans un con.
+
+-- Mais j'ai un connin, à ce que dit mon frère, et ma
+belle-mère a une connasse. Depuis qu'il est grand, et qu'il a ce
+qu'il nomme du foutre, il met son engin dans la connasse de ma
+belle-mère, que ça fait trémousser et crioter... Il a voulu me
+le fourrer, à moi: mais j'ai le connin trop étroit, ou il a
+l'engin trop gros: jamais il n'a pu... Ma belle-mère l'a
+surpris, et elle l'a bien grondé! Il lui a dit: 'Allons,
+foutez-nous la paix; venez que je vous enconne, vieille
+truande: car je ne saurais m'en passer, en ce moment.' Et elle
+s'est aussitôt renversée sur son lit, en se troussant; il l'a,
+ce qu'il appelle foutue... Oh! comme elle gigotait! comme elle
+jurait des b. et des f.! comme elle était contente!... Et il
+me disait: 'Vois, Minone, comme c'est bon! Comme la vieille
+garce se démène, en supant le bâton de sucre d'orge...
+Montre-moi ton petit connin, que je décharge à ton intention....'
+
+Ce récit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je
+demandai à la petite, s'il y avait du beurre à la maison? Elle
+m'en donna. J'allais la beurrer, quand la belle-mère, bonne
+femme au possible, rentra, ayant oublié son éventail. Elle vit
+mon trouble, et la rougeur de la petite. Elle me dit:
+
+-- Gage que vous allez la tourmenter?... Ça n'est pas mûre.
+Venez.
+
+La vieille m'entraîna sur le pied de son lit, se troussa, me
+tira sur elle, et m'engloutit, malgré ma défense... Pour
+sauver le pucelage de sa belle-fille, elle me retint une heure
+à connailler. Je ne déchargeai cependant qu'une fois, contre
+la vieille une dizaine; car je m'aperçus qu'elle m'aimait.
+Ensuite elle s'en alla, sans laver, en disant:
+
+-- J'en marche mieux, la charnière graissée.
+
+Dès qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout
+vu, à la fenêtre; je la troussai au-dessus des reins; je lui
+beurrai le connin, et je rebandai roide. Je dis à la petite,
+en la commençant, de se cambrer la taille, pour mettre son
+petit trou bien à la portée du vit qui l'allait percer! Elle
+le présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l'aide
+des douloureuses oscillations de son joli cul, et parce que la
+décharge était retardée par le dégoût que m'avait causé le con
+gris de la vieille, je parvins en levrette jusque au fond; car
+je sentis sa céleste petite matrice me pincer... L'enfant
+s'agitait par mes ordres, mais sans décharger.
+
+Son frère arriva dans ce moment. Il fut transporté de joie...
+
+-- Ah! vous la dépucelez! quel honneur et quel bonheur, pour
+elle et pour moi!... Décharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma
+petite soeur?
+
+-- Elle ne décharge pas (répondis-je), la chère mignonne; elle
+souffre; mais c'est avec un courage!... Vois ce
+tortillonnement de croupion...
+
+Traitdamour, touché, glissa une main sous le ventre de la
+petite, et lui chatouilla le haut de la fente de sa mottinette
+imberbe... Les yeux de l'enfant se vitrèrent; elle se roidit,
+et, tournant sa jolie bouche de mon côté, elle me darda sa
+petite langue, déchargea pour la première fois, et se pâma...
+Je déchargeai comme elle; je n'avais jamais eu tant de
+plaisir...
+
+Quand j'eus déconné, son frère me demanda, si j'en étais
+jaloux?
+
+-- Oui, de tout autre que de toi
+
+-- Eh bien, votre foutre va servir de pommade à son joli
+connichet.
+
+Cependant Minone voulut pisser. Son frère la renversa sur le
+dos, au pied du lit, et l'enconna vigoureusement, malgré la
+grosseur de son membre. La petite cria.
+
+-- Remue du cul, et décharge avec délices, pauvre orpheline,
+lui disait-il, en la saccadant; tu es enconnée avec amour.
+
+La petite déchargea 3 fois; mais elle n'en pouvait plus... Il
+me lava, et je la re-enconnai... J'eus encore plus de plaisir,
+parce que la petite avait acquis de l'usage et que le gros vit
+de son frère avait frayé la route... Depuis ce jour-là, nous
+foutîmes Minone tous les dimanches et fêtes. La belle-mère
+s'en aperçut pour moi; mais elle ne dit mot.
+
+Enfin un jour Traitdamour me demanda, si je voudrais aussi
+montrer à écrire à Conette, sa maîtresse pour le mariage,
+depuis que la mère de Tendrelys, qui craignait un
+dépucellement, lui avait absolument ôté toute espérance.
+
+-- Soit (lui répondis-je).
+
+Je montrai donc à Conette. Au bout de deux mois, cette jeune
+fille étant un jour à la fenêtre, fort penchée en-dehors, et
+montrant une jambe fine, que mes yeux dévoraient, Minone, qui
+prenait son exemple d'écriture, le remarqua. Je lui tenais les
+tétins, et la priais de me prendre les couilles. Elle me
+quitte; va vers Connète; lui dit tout bas:
+
+-- Laisse-toi faire...
+
+la trousse; me mène sur elle; lui beurre le con et à moi le
+vit; lui dit:
+
+-- Cambre-toi, ma fille...
+
+Et à moi:
+
+-- Enfilez juste; vous voilà dedans...
+
+Conette se cambra, et suivit toutes les indications de son
+amie. De sorte que, quoique la pucelle fût très étroite, je
+pénétrais. Traitdamour arriva. Il nous fit ôter de la fenêtre;
+se coucha sur le ventre au pied du lit; fit étendre sa
+maîtresse sur son dos, cul sur cul. Il me dit d'enconner, le
+vit dirigé par la main de sa soeur; et, à chaque saccade que je
+donnais, il me repoussait d'un coup de son cul le con de sa
+maîtresse, à me faire avancer d'un pouce. Conette éprouvait
+des souffrances inouïes... Mais, étant parvenu au fond, par un
+violent coup de croupion de Traitdamour, qui ne donna plus que
+de petits coups de trot de cheval, Conette clignota de l'oeil,
+et bientôt émit avec d'ineffables délices...
+
+Je croyais que Traitdamour allait se jeter sur elle et
+l'enconner tout chaud!
+
+-- Non (me dit-il); c'est ma future; si j'avais le bonheur
+qu'elle me fît un petit de vous, cela ennoblirait ma race.
+
+Et il foutit sa soeur, pendant que je refoutais sa maîtresse.
+Aussi depuis ai-je partagé avec lui ce que j'avais de plus
+précieux.
+
+
+
+
+Chapitre XLIV Du bouquet de fouterie.
+
+
+-- Il le mérite! Il le mérite! (s'écrièrent tous les hommes, et
+surtout Brideconnin, qui patinait à deux mains le con de
+Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'un
+le con, l'autre les tétons de sa femme...)
+
+Mon récit faisait bander tous mes drôles comme des carmes,
+malgré les fatigues de la journée. Les belles, même celles
+éconnées par Vitnègre, étaient en rut.
+
+-- Comme vous avez su les rendre aimables! (me dit Conquette,
+en me dardant sa langue).
+
+-- Ah oui! (ajouta Tendrelys, en me baisant de même)....
+
+En cet instant, Mme Brideconnin était tiraillée par Brisemote
+et Cordaboyau, qui tous deux la voulaient enfiler à la fois.
+
+-- Je n'ai qu'un chose, mes chers amis! si j'en avais deux, ils
+seraient bien à votre service; mais l'un après l'autre...
+
+Elle fut empalée par tous deux, Cordaboyau en con, Brisemote
+en cul. Brideconnin s'écrie:
+
+-- On enconne, on encule ma femme! Moi, je fous celle-ci.
+
+Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le plus
+furieux des ribauds, saisit Conquette. Je crus qu'il l'allait
+enconner. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit,
+tenue par-dessous les bras par Conette et Minone; elle se
+baissait avec lenteur sur le vit bandant dirigé par la main de
+Tendrelys, Conquette s'enculant ainsi elle-même par le seul
+poids de son beau corps. Lorsque le gros vit fut enfoncé
+jusqu'à la garde, Traitdamour me dit:
+
+-- Allons! le plus beau des cons vous appelle....
+
+Je me précipitai dans le bijou de ma fille, la jolie Tendrelys
+me dirigeant le vit. Mme Brideconnin, putain comme personne,
+puisqu'à cet instant, on lui bourrait les 2 trous, fit 3
+signes de croix. On lui demanda ce qu'elle avait:
+
+-- On me fout devant mon mari; mais je suis sur le fauteuil à
+ressort, qui m'empêche de me défendre. Mon mari, voyant que je
+le fais cocu, me fait cocuette; c'est dans l'ordre. Mais notre
+maître, fout... enconne sa fille enculée!
+
+-- Sa fille?... sa fille!... (s'écria-t-on 5 fois).
+
+-- Oui, sa fille (balbutia Rosemauve, qui déchargeait sous
+Brideconnin). Après?...
+
+-- Ah! dirent les 4 fouteurs et les 4 fouteuses, ceci nous met
+en rage de vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'à
+extinction de forces.
+
+Et les enconneurs, les enconnées; les enculeurs, les enculées,
+s'agitaient à qui mieux, dessus, dessous, comme des diables et
+des diablesses dans un bénitier. Tendrelys me chatouillait les
+couilles et celles de Traitdamour; Minone celles de Brisemote
+et de Cordaboyau; Conette celles de Brideconnin, et fourrait
+son index dans le trou du cul de Rosemauve. Le fouteur, qui
+n'était pas accoutumé à ce raffinement, se récriait de
+volupté:
+
+-- Ah que vous foutez bien ici! (disait-il en déchargeant). On
+ne fait que connailler ailleurs.
+
+-- Oh! vous avez bien raison, mon mari! (lui répondit sa femme
+en déchargeant aussi), oncques je ne fus ramonée comme je le
+suis en ce moment, par les deux vits qui vous plantent chacun
+une corne; l'un dans mon con, l'autre dans mon cul.
+
+Conquette, remarquant que j'allais mieux lorsque Tendrelys me
+chatouillait les couilles, l'en remercia tendrement:
+
+-- Chère amie!... ma main en fera... autant à ton fouteur...
+quand tu seras enconnée... Et vous, ma chère hôtesse, vous
+êtes donc bien foutue!...
+
+Ce joli mot, foutue, avait tant de grâces dans la belle bouche
+de Conquette que je l'allais refourgonner, si Traitdamour, qui
+la déculait et qui allait laver, ne m'avait pas prié
+instamment de la lui laisser enconner... Mais j'étais trop ému
+pour rester spectateur; j'ordonnai à Tendrelys de me faire
+beau con! Minone et Conette la renversèrent sur le dos et lui
+écartèrent les cuisses. Ma fille, avant d'être enconnée par
+son fouteur, voulut insérer mon vit; elle baisa la patiente
+sur la bouche, en lui disant:
+
+-- Tendrelys! remue du cul, et donne bien du plaisir à mon
+père!
+
+Et, comme elle avait remarqué que le mot foutue m'avait fait
+beaucoup d'impression, dans sa bouche, elle s'écria, tout en
+secondant son enconneur:
+
+-- Fou...ou... outre!... Sacré vit!... perce-moi... déchire-moi
+le connot!... mon père! poignarde... estropie ta Tendrelys!...
+ze décha... arge!...
+
+-- Ah! cette femme si modeste, s'écria la Brideconnin, comme
+elle fout!... Ce fut le bouquet. On alla souper.
+
+
+
+
+Chapitre XLV Souper d'adieux; grâces que dit Mme Vitnègre.
+
+
+On soupa. Les tétons étaient couverts; les propos furent
+décents.....
+
+-- Mais, me dit Minone, on dit que vous avez eu 8 jolies femmes
+connues, et on les nomme!
+
+-- Oh! interrompit Conquette, ne faites plus lire de ces
+histoires-là. La journée de volupté est finie, et nous sommes
+à présent des personnes ordinaires.
+
+-- Il faut donc les remettre, répondit Traitdamour, pour une
+interruption de séance.
+
+Comme on se disposait à sortir, et qu'il n'y avait plus de
+danger de nous faire bandocher, on me pria d'exiger que nos 6
+cons et nos 12 tétons fussent mis à l'air, et baisés à
+discrétion pour les adieux! J'y consentis. Aussitôt Conquette,
+Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conette et la Brideconnin,
+furent défichutées, troussées et renversées sur les foutoirs
+par les 4 dernières, qui se défichutèrent, se troussèrent et
+se renversèrent elles-mêmes. On leur lécha le con; les 5
+hommes sucèrent les 12 tétons. Les belles prirent,
+décalottèrent et baisèrent les 5 vits, embouchèrent seulement
+le mien, en disant:
+
+-- Vit incomparable... adieu... pour huit jours...
+
+On allait sortir, quand on vit la belle épouse de Vitnègre se
+prosterner toute dététonnée, en s'écriant:
+
+-- Sainte et jolie Vierge Marie; que Panthère branlait,
+gamahuchait, enculait, entétonnait, embouchait, et qu'il
+enconna enfin, une nuit, à côté du cornard endormi, le bon
+Saint Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jésus, ce bon
+fouteur de la putain publique, la belle Madeleine, marquise de
+Béthanie, dont le vagabond Jésus était en outre le souteneur,
+autrement le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte
+garce, enculait encore Saint Jean, son giton. Sainte et jolie
+Marie, vierge comme moi, nous vous remercions de cette
+heureuse journée de fouterie. Faites-nous la grâce, par les
+mérites de votre fils, d'en avoir une pareille dimanche
+prochain!... Et vous, Sainte Madeleine, que foutait l'abbé
+Jésus, ainsi que Jean l'enculé, obtenez-moi la grâce de foutre
+autant que vous, soit en con, soit en cul, 15 ou 20 fois par
+jour, sans être épuisée, mais toujours déchargeant... Vous
+foutiez avec des Pharisiens, avec Hérode, et même avec
+Ponce-Pilate, pour avoir de quoi nourrir le gourgandin Jésus, votre
+greluchon, et les vagabonds qui lui servaient de Chouans.
+Obtenez-moi de votre maquereau Jésus, qui, étant dieu, a sans
+doute quelque pouvoir, d'avoir, sous peu, ce riche
+entreteneur, qui est un jour descendu de carrosse bandant à
+mon intention, comme je revenais de chez mon amie Mme
+Congrêlé; à celle fin qu'au moyen de l'argent que je gagnerai,
+à votre imitation, avec mon con, mon cul, mes tétons et ma
+langue dardée, je puisse soulager mon digne père dans sa
+vieillesse; non seulement en foutant avec lui, pour lui donner
+le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la pieuse fille
+d'Eresictton le famélique, ou la pieuse Ocyrhoé, fille du
+centaure Chiron, qui toutes deux devinrent cavales, c'est-à-dire
+montures d'hommes ou saintes putains!... Modèle des
+maquereaux, doux Jésus! fouteur acharné, greluchon complaisant
+de la brûlante et exemplaire putain Madeleine, qui était si
+amoureuse de votre vit divin et de vos sacrées couilles,
+maintenez, par votre toute puissance, mon connin toujours
+étroit et satiné, mes tétons toujours fermes, ma peau, mon
+cul, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes épaules,
+mon dos ou mes arrière-tétons, toujours blancs, mes reins
+toujours élastiques; les vits de mes amants, celui de mon père
+compris, toujours roides, leurs couilles toujours pleines; car
+vous teniez en cela du saint roi David, si fort suivant le
+coeur de Dieu, parce qu'il était le premier fouteur de son
+temps!... Faites, ô Jésus! que mes hauts talons, qui me
+prêtent tant de grâces, et font bander tant de monde, ne me
+donnent jamais de cors aux pieds, mais que ces pieds tentatifs
+restent toujours foutatifs, comme ils le sont!... Amen!
+
+-- Amen! s'écria toute la société, vits et cons.
+
+Tout le monde sortit édifié de la piété éclairée de ma fille,
+et, en s'en allant, on disait:
+
+-- Voilà ce qui s'appelle connaître la vraie religion, et prier
+Dieu comme il convient, en lui demandant des choses
+raisonnables! Oh! c'est une fille exemplaire!
+
+
+
+
+Chapitre XLVI Première négociation du con de ma fille.
+
+
+Le surlendemain, quand je vis Conquette (que j'avais évitée le
+lundi), je la trouvai coiffée en battant-l'oeil; ce qui, avec
+ses grands yeux à longs cils, la rendait charmante... Elle
+avait des souliers de coutil de soie neufs, qu'elle essayait.
+Je me jetai à ses genoux, en lui disant:
+
+-- Conquette, ton pied est le mieux fait possible, mais il est
+un peu grand, et ce soulier bien pointu, ces talons minces,
+très élevés, le font paraître plus petit de moitié. Il est
+divin!... et je bande... comme tu vois!...
+
+-- Mon cher papa, comme je sais à quel point vous m'adorez,
+j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de vous la prêter
+pour orner votre cheminée... Voici les blancs d'hier, avec
+lesquels j'ai tant été... ce que vous savez... Voyez la jolie
+forme que leur a donnée mon pied! Ils sont plus voluptueux
+qu'avant d'avoir été mis...
+
+Je flairai avidement le dedans de ces divins souliers:
+
+-- Ahh! je bande! m'écriai-je; les sacrés bougres sont
+embaumés... Je suis perdu... j'aurai la colique si je ne
+t'enconne une pauvre fois!... Laisseras-tu décharger par terre
+ce vit paternel?
+
+-- Mon cher papa, mettez-vous le cul et les couilles dans cette
+grande terrine, préparée pour mon con et mon cul; l'eau froide
+vous ferait débander. C'est mon remède quand j'ai le con
+brûlant.
+
+Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et je le fis. Elle
+cacha ses pieds comme une dame espagnole, et je fus calmé.
+
+-- J'en ai fait autant tout à l'heure. Timori vient de venir.
+J'étais encore au lit; il m'a pris les tétons, puis le con. La
+vue de son vit, qui bandait roide, m'a fait impression. Mais
+mon coeur n'a rien senti. Cependant il voulait me gamahucher,
+me priant de le branler après: 'Je ne suis pas une putain' --
+'Tu es bien froide!' (C'est que réellement je ne l'aime plus;
+vous êtes mon amant, cher père! et Traitdamour est votre
+lieutenant dans mon con; il est votre double vit, et c'est
+encore vous qui me foutez, quand il me l'enfonce)... J'ai
+cependant eu des remords de ma dureté. Je lui ai saisi le vit,
+et me le mettant dans la bouche bien décalotté, je l'y ai fait
+décharger, avalant son foutre avec délices. Ce qui m'a
+fortifiée. Mon chocolat m'a rincé la bouche... Mais revenons.
+Si vous voulez que votre fille chérie ait un plaisir
+ineffable, caressez-la, quand on la fout. Langue en bouche, la
+sienne dans la vôtre... Vous prenant les couillettes, vous
+serrant le vit à la poignée, elle déchargerait au double!
+
+-- Oh! tu es trop adorable... Foutons un petit coup!
+
+-- Je m'étais rafraîchi le con; mais tu y remets le feu, cher
+papa, et le foutre seul peut l'éteindre... Foutons... Enconne
+ta fille... Mais va doucement, que je décharge plusieurs fois,
+tout en te racontant quelque chose.
+
+Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer
+lentement, par de petits coups de cul insensibles. La
+fraîcheur de l'eau m'avait fait roidir, et retardait
+l'émission. Enfin, elle ne fut plus maîtresse de se retenir;
+elle coupdecula, elle saccada, en s'écriant:
+
+-- Ze déça--arge!...
+
+Elle resta ensuite immobile, en me disant:
+
+-- J'ai oublié de vous remettre l'adresse que l'entreteneur
+d'avant-hier m'a glissée, pour l'aller voir, et... foutre avec
+lui... Ah! fourgonne... je redéçarge... Tu pars... Ah divin
+père!...
+
+Et elle se mit à soubresauter, en gigotant, comme jamais ne
+gigota fouteuse... Après une copieuse décharge, elle reprit:
+
+-- La voilà. Dis-lui, ou écris-lui, que je ne vais chez
+personne. Et laissez-lui votre adresse.
+
+-- Oui, déesse Fututrix, lui répondis-je.
+
+La Brideconnin nous apporta notre excellent chocolat; et je
+partis.
+
+Après les affaires, j'allai chez le futur fouteur de ma fille.
+Je le trouvai; je lui donnai un mot de Conquette-Ingénue, par
+lequel elle lui marquait que s'il avait un mot à répondre, il
+pouvait tout dire à son père... Je fus bien reçu. Le richard
+me dit qu'il demandait une maîtresse aimable, et qui sût
+donner, en foutant, bien du plaisir.
+
+-- Monsieur (lui répondis-je), ma fille a été mal mariée; elle
+peut vous appartenir, à condition qu'elle gardera son logement
+voisin du mien. Vous y mangerez, coucherez avec elle, sans que
+je m'en mêle. Quant à la volupté, et aux mouvements du cul ou
+des reins, un mari libertin ne lui a donné que de trop
+douloureuses leçons... Mais, en vous la livrant, je veux que
+son sort soit assuré, qu'il s'améliore même un peu chaque
+année... Je vous réponds d'être alors le gardien de sa
+fidélité. D'ailleurs, elle est sage. L'assurance d'un sort
+indépendant de son monstre de mari peut seule la déterminer.
+
+Ceci convint fort! et la décision définitive fut remise après
+un voyage d'affaires et d'argent, dont il devait être de
+retour dans 8 ou 10 jours.
+
+Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette-Ingénue.
+
+-- Mon papa, répondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me
+suffirez, vous et lui; vous serez mes deux pères. Je
+renoncerai même à votre beau secrétaire, si vous me promettez
+de n'enconner que moi! Où trouverez-vous un con qui vaille le
+mien?... Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton coeur, ô le
+plus ribaud des papas!
+
+Je vis qu'elle était jalouse, et je l'en aimai avantage. Mais
+j'étais encore trop libertin pour me borner à foutre
+uniquement celle que j'aimais le mieux.
+
+La Brideconnin nous apporta de la limonade. Elle boitait de
+naissance, mais d'une manière voluptueuse. Elle était coiffée
+en cheveux, et, quoique grêlée, très provocante. Je le dis à
+ma fille. Conquette-Ingénue me répondit:
+
+-- Dès avant nos parties, son mari voulait me le mettre; mais
+il me déplaît. La femme a demandé, depuis qu'ils ont tout vu,
+à me gamahucher. Tous deux m'adorent. Je ne leur avais,
+jusqu'au boulevari d'hier, laissé baiser que mon pied. Le mari
+enconne sa femme dès que je le veux. C'est un amusement que je
+me donnais dans la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir
+en vue de Brideconnin, les jupes troussées jusqu'au mollet; il
+est tellement excité par ma mi-jambe et mon pied, qu'il se
+jette sur la putain, et la fout tant que je veux; en haussant
+toujours un peu la jupe. Enfin, s'il aperçoit un commencement
+la cuisse, il hurle de luxure. Un jour, trop échauffée par ce
+que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le découvrant.
+Le fouteur s'est mis â braire, en fourgonnant avec fureur. Il
+déchargeait, refourgonnait, et allait se tuer, quand sa femme
+me regarda... Elle se hâta de décharger, et vint me baisser
+les jupes. Alors Brideconnin épuisé se trouva mal.
+
+A ce récit de Conquette, je rebandais. Mais je me remis le vit
+et les couilles dans l'eau, et, bien rafistolé, je sortis sans
+finaler. Nous fûmes tous sages le reste de la semaine.
+
+
+
+
+Chapitre XLVII Du rabachage à faire bandocher.
+
+
+Le dimanche arrivé, tout notre monde accourut, à l'exception
+de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, et
+d'elle-même. Traitdamour ne l'avait pas trouvée chez elle, et
+il était déjà fâché. Mais il fut ravi, en entrant avec sa soeur
+et sa maîtresse, de la voir auprès d'Ingénue, qui lui suçait
+le sein découvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cul
+et le con. Cordaboyau et Brisemote arrivèrent les derniers. On
+se mit à table, dès que Cordaboyau, envoyé chez Rosemauve, eut
+annoncé qu'elle ne viendrait pas. Il remit en même temps un
+billet de la malade pour ma fille. Ingénue le parcourut bas
+d'abord; puis elle nous le passa. Traidamour lut par mes
+ordres. Le voici:
+
+
+'Divine amie! Reçois les actions de grâces que je rends à ton
+connin et à tes souliers... Hier jeudi fête-Dieu (la lettre
+était du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as
+prêtée, pour faire bander un clerc de notaire, amant de ma
+soeur Rosalbe, à laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi
+ton grand bonnet battant-l'oeil, qui me va si bien, à cause de
+mes grands yeux noirs, la robe, la jupe blanche sur fond rose,
+comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tour de cul. Dans
+la rue des Cinq-diamants, j'entendis derrière moi: "C'est
+elle!... Oui, c'est elle! c'est ma déesse!..." On m'aborde.
+"Ah! ma belle! vous voilà si près de chez moi, que vous y
+monterez, puisque votre père y est venu!..." Il m'a pris le
+bras; je me suis laissée mener; pensant bien qu'en me
+reconnaissant, il me laisserait aller, surtout après m'avoir
+foutue. Point! il ne se désabuse pas!... Il est vrai qu'il
+m'avait introduite dans un appartement au premier à très
+sombre jour. Il tombe à mes genoux, ou plutôt aux vôtres. "Vos
+traits, belle Saxancour, sont un peu différents de ce qu'ils
+m'avaient paru; mais vous n'en êtes pas moins une brune
+adorable. C'est que j'ai toujours plus regardé vos pieds, dont
+je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi
+les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de
+votre parure... M'aimerez-vous?" J'ai cru devoir répondre oui.
+"Ah! je suis trop heureux!" Il m'a pris mille baisers, en me
+faisant darder la langue, m'a patiné les tétons, saisi la
+motte, renversée sur un large sofa, troussée, foutue... J'ai
+remué du cul! je lui ai donné du plaisir... Ah! vous me
+connaissez?... Ça fait, il m'a présenté à laver, m'a fait lui
+verser de l'eau sur le vit, m'a essuyé con et cul, m'a baisé
+la motte et les fesses; puis a dit à sa femme de charge: "Le
+dîner est-il prêt?" -- "Dans un demi-quart d'heure" -- "Après le
+verre d'Alicante, descendons, ma belle!" Nous sommes descendus
+chez le notaire voisin. Six mille francs par an, 500 francs
+par moi, d'avance... J'ai signé la minute, et je suis remontée
+dotée, comme j'étais descendue foutue. Nous avons dîné
+tête-à-tête. Dès que les domestiques ont été retirés, il m'a fait
+mettre à nu mes tétons; puis il m'a enivrée de champagne. Il
+s'est lavé le vit dans un verre mousseux. Je l'ai aussitôt
+avalé... Enchanté de ce trait, il m'a mis son vit sur les
+lèvres. Je le lui ai embouché, sucé! Il s'est récrié de
+plaisir, en me disant: "Tu es ma déesse, la putain faite pour
+moi. Je ne veux pas te décharger en bouche; je veux garder mon
+foutre pour ton con. Montre-le-moi, que je le baise; et adieu
+jusqu'à demain... Mon carrosse! (a-t-il dit à sa femme de
+charge, qui m'épongeait le cul et le con). Il m'a remenée.
+
+J'aurai mon appartement chez lui ce soir. Je suis restée tard
+au lit, y étant toute embaumée, et enveloppée dans deux peaux
+de veaux, qui m'ont été apportées hier soir encore chaudes;
+afin d'avoir la peau des cuisses et des fesses presque aussi
+satinée que vous. Ainsi, belle Conquette! je vous dois ma
+fortune. J'en remercie votre adorable con, et surtout votre
+voluptueuse chaussure. En chemin, mon généreux fouteur m'a
+promis que dans très peu de temps il me ferait enculer en sa
+présence, par un joli jockey, auquel il s'est déjà fait
+enculer lui-même deux fois, dans deux circonstances où il
+avait ressenti au trou du cul un violent prurit. C'a été son
+expression. Adieu... ou avit, ô divine fouteuse!'
+
+
+Nous fûmes tous ébahis! Tendrelys embrassa Conquette-Ingénue,
+en s'écriant:
+
+-- Ah! si l'on vous connaissait!...
+
+Je voulais aller détromper mon gendre volé. Ma fille m'en
+empêcha:
+
+-- Il n'était l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas
+infidèle; il a tout ce qu'il lui faut.
+
+Tendrelys applaudit à cette réponse:
+
+-- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins, ajouta-t-elle.
+
+La Brideconnin, pour être plus à nos parties, qui lui
+donnaient des plaisirs inconnus, avait fait venir chez elle,
+ce jour-là, une soeur de son mari, fort grêlée; mais la plus
+provocante tétonnière de 18 ans qu'on puisse voir. La garce ne
+croyait pas que la laideron tenterait, toutes nos dames étant
+jolies, et deux parfaitement belles. Ce fut cette tétonnière,
+faite au tour, à taille guêpée, comme les Comtoises, qui nous
+servit. Mais dès qu'elle eut fait bander, pour lui éviter de
+la peine, les hommes allèrent chercher les assiettes... Au
+dessert, on me somma de raconter l'histoire des cons dépucelés
+dont avait parlé Minone, et que Mme Ingénue-Conquette m'avait
+empêché de faire à souper, de peur qu'elles ne fussent trop
+savoureuses! J'y consentis.
+
+
+
+
+Chapitre XLVIII Histoire des phénix dénichés.
+
+
+Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, et baisant les tétons
+de mon active fouteuse) vous conter comment j'ai dépucelé
+Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; Rosalie-Con-Rose,
+ainsi que Suzonète, sa soeur cadette; Manon-Aurore-Sourismignard;
+Léonor-Robé, femme de Margâne le parfumeur; la
+seconde et la troisième Consfriands, Saccadine et Voixflûtée.
+
+La première fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle
+était en déshabillé brun, bas fins de coton, souliers de
+maroquin noir; talons plus hauts que ceux de Conquette. Elle
+me donna des désirs violents; je la suivis; c'était le soir.
+Elle entra dans l'allée à côté de la boutique de sa mère.
+L'escalier était obscur. J'étais sur ses talons. Elle ouvrit
+le premier, dont les volets étaient fermés. Nuit profonde.
+J'étais entré avec elle.
+
+-- Ah! c'est vous, Monsieur Copahü, dit-elle en m'entendant
+respirer...
+
+Je lui mis la main sous la jupe.
+
+-- Oh! voilà toujours comme vous faites!... Laissons donc les
+volets fermés.
+
+Je cherchais un lit. Elle y recula. Je l'y renversai.
+
+-- Mon dieu! allez, que vous êtes terrible!
+
+Et elle s'arrangeait néanmoins commodément pour tous deux.
+J'insère. Elle riposte, en disant:
+
+-- Il faut bien faire comme ça, sans quoi vous dites qu'on ne
+vous aime pas.
+
+La jouissance fut délicieuse, quoique simple et sans
+accessoires. Mais Victoire était si belle, et je l'avais tant
+désirée!... Je voulais sortir sans être connu. On frappa. Je
+suivis ma monture effrayée qui courait ouvrir, quoique je la
+retinsse. en disant:
+
+-- C'est ma mère, ou ma soeur. Restez ou sortez, comme il vous
+conviendra?
+
+-- Je sors.
+
+Elle
+
+
+[ici s'arrête le volume imprimé]
+
+
+
+
+
+
+
+
+
+End of the Project Gutenberg EBook of L'Anti-Justine, by
+Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne
+
+*** END OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE ***
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+Project Gutenberg-tm is synonymous with the free distribution of
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+including obsolete, old, middle-aged and new computers. It exists
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+Volunteers and financial support to provide volunteers with the
+assistance they need, is critical to reaching Project Gutenberg-tm's
+goals and ensuring that the Project Gutenberg-tm collection will
+remain freely available for generations to come. In 2001, the Project
+Gutenberg Literary Archive Foundation was created to provide a secure
+and permanent future for Project Gutenberg-tm and future generations.
+To learn more about the Project Gutenberg Literary Archive Foundation
+and how your efforts and donations can help, see Sections 3 and 4
+and the Foundation web page at https://www.pglaf.org.
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+
+Section 3. Information about the Project Gutenberg Literary Archive
+Foundation
+
+The Project Gutenberg Literary Archive Foundation is a non profit
+501(c)(3) educational corporation organized under the laws of the
+state of Mississippi and granted tax exempt status by the Internal
+Revenue Service. The Foundation's EIN or federal tax identification
+number is 64-6221541. Its 501(c)(3) letter is posted at
+https://pglaf.org/fundraising. Contributions to the Project Gutenberg
+Literary Archive Foundation are tax deductible to the full extent
+permitted by U.S. federal laws and your state's laws.
+
+The Foundation's principal office is located at 4557 Melan Dr. S.
+Fairbanks, AK, 99712., but its volunteers and employees are scattered
+throughout numerous locations. Its business office is located at
+809 North 1500 West, Salt Lake City, UT 84116, (801) 596-1887, email
+business@pglaf.org. Email contact links and up to date contact
+information can be found at the Foundation's web site and official
+page at https://pglaf.org
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+For additional contact information:
+ Dr. Gregory B. Newby
+ Chief Executive and Director
+ gbnewby@pglaf.org
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+Section 4. Information about Donations to the Project Gutenberg
+Literary Archive Foundation
+
+Project Gutenberg-tm depends upon and cannot survive without wide
+spread public support and donations to carry out its mission of
+increasing the number of public domain and licensed works that can be
+freely distributed in machine readable form accessible by the widest
+array of equipment including outdated equipment. Many small donations
+($1 to $5,000) are particularly important to maintaining tax exempt
+status with the IRS.
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+The Foundation is committed to complying with the laws regulating
+charities and charitable donations in all 50 states of the United
+States. Compliance requirements are not uniform and it takes a
+considerable effort, much paperwork and many fees to meet and keep up
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+where we have not received written confirmation of compliance. To
+SEND DONATIONS or determine the status of compliance for any
+particular state visit https://pglaf.org
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+While we cannot and do not solicit contributions from states where we
+have not met the solicitation requirements, we know of no prohibition
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+approach us with offers to donate.
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+International donations are gratefully accepted, but we cannot make
+any statements concerning tax treatment of donations received from
+outside the United States. U.S. laws alone swamp our small staff.
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+Please check the Project Gutenberg Web pages for current donation
+methods and addresses. Donations are accepted in a number of other
+ways including including checks, online payments and credit card
+donations. To donate, please visit: https://pglaf.org/donate
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+Section 5. General Information About Project Gutenberg-tm electronic
+works.
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+Professor Michael S. Hart was the originator of the Project Gutenberg-tm
+concept of a library of electronic works that could be freely shared
+with anyone. For thirty years, he produced and distributed Project
+Gutenberg-tm eBooks with only a loose network of volunteer support.
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+
+Project Gutenberg-tm eBooks are often created from several printed
+editions, all of which are confirmed as Public Domain in the U.S.
+unless a copyright notice is included. Thus, we do not necessarily
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