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| author | Roger Frank <rfrank@pglaf.org> | 2025-10-15 02:32:55 -0700 |
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You may copy it, give it away or +re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included +with this eBook or online at www.gutenberg.org + + +Title: L'Anti-Justine + ou, Les Delices de l'amour + +Author: Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne + +Release Date: October 7, 2008 [EBook #26804] + +Language: French + +Character set encoding: ISO-8859-1 + +*** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE *** + + + + +Produced by Daniel Fromont + + + + + + + + + + +[Transcriber's note: Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne +(Nicolas Restif dit Restif de la Bretonne) (1734-1806), +_L'Anti-Justine_ (1978), édition de 1798 + +A classic French erotic novel of the 18th century + + +Orthographe de l'édition 1798 conservée + +Il n'y a pas de chapitre 29; il y a deux chapitres 31.] + + + + +L'ANTI-JUSTINE, + +OU + +LES DELICES DE L'AMOUR. + + +Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem. + + +Avec LX Figures. + + +[Première Partie.] + + +AU PALAIS-ROYAL + +Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connue. + +1798. + + + + +Quelle Excuse peut se donner à lui-même, l'Homme qui publie Un +Ouvrage, tel que celui qu'On va lire? J'en ai cent, pour Une. +Un Auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses Lecteurs.. Il +n'est rién qui contribue autant au bonheur, qu'Une lecture +agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui +tiénne contre une heure de lecture". Or, de toutes les +lectures la plüs entraînante, est celle des Ouvrages +Erotiques, surtout lorsqu'ils sont acompagnés de Figures +expressives. Blâsé sur les Femmes depuis longtemps, la JUSTINE +de Dsds me tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus +jouir, ét ce fut avec fureur: je mordis les seins de ma +Monture; je lui tordis la chair des bras... Honteux de ces +excès, effets de ma lecture, je me fis moi-même un Erotikon +savoureux, mais nón cruel, qui m'excita au point de me faire +enfiler une Bossue-Bancroche, haute de 2 piéds. Prenéz, liséz, +ét vous en feréz autant. + + +L'ANTI-JUSTINE. + + + + +Persone n'a été plus indigné que moi des sales Ouvrages de +l'infame DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la +Theorie du Libertinage, que je lis dans ma prison.. Ce +Scelerat ne présente les delices de l'amour, pour les Hommes, +qu'accompagnées de tourmens, de la mort même, pour les Femmes. +Mon but est de faire un Livre plus savoureux que les siéns, et +que les Epouses pourront faire lire à leurs Maris, pour en +être mieux servies; un Livre où les sens parleront au coeur; où +le Libertinage n'ait rien de cruel pour le Sexe des Graces, et +lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort; où l'amour +ramené à la nature, exempt de scrupules et de préjugés, ne +présente que des images riantes et voluptueuses. On adorera +les Femmes, en le lisant; on les chérira, en les enconnant: +mais l'on en abhorra davantage le Vivodissequeur, le même qui +fut tiré de la Bastille avec une Longue Barbe blanche le 14 +juillet 1789. Puisse l'Ouvrage enchanteur que je publie, faire +tomber les siéns! + + +Mauvais Livre fait dans de bonnes vues. + +Moi, Jean-Pierre-Linguet, maintenant detenu à la Conciergerie, +declare, que je n'ai composé cet Ouvrage, tout savoureux qu'il +est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y +trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des Libertins, +les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule. + +Floreal, an 2. + + + +I Chapitre. + + +Chapitre De l'Enfant qui bande. + + +Je suis né dans un Village près de Reims, & je me nomme +CUPIDONET. Dès mon enfance, j'aimais les jolies Filles. +J'avais surtout un faible pour les jolis piéds & les jolies +chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Daufin, fils de +Louis-XIV, & à Thevenard, acteur de l'Opéra. + +La première Fille qui me fit bander, fut une jolie Paysane, +qui me portait à vêpres la main posée à nû sur mes fesses; +elle me chatouillait les couillettes, & me sentant bander, +elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal: +car elle était chaude, parcequ'elle était sage. + +La première Fille à laquelle je fis des attouchemens, +en-conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma +première Puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit +Soeurs, cinq aînées d'un premiér lit, & trois puînées. La +Seconde de Celles-là, était jolie au-possible; il en sera +question: La Quatrième avait le poil du Bijou tellement +soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les +Autres étaient laìdes. Mes Puînées étaient toutes-trois +provoquantes. + +Or ma Mère préferait Jenovefette, la plus voluptueusement +jolie, & dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui aporta +des souliérs delicats. Je les lui vis essayer, & j'eús une +violente érection. Le lendemain Dimanche, Jenovefette mit des +bas fins blancs & neufs de coton, un corpset qui lui pinçait +la tâille; & avec son lubrique tour-de-cùl, elle fesait +bander, quoique si jeune, mon Père lui-même; car il dit à ma +Mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux +voir le souliér & le bas de la jambe de ma jolie Cadète)... +Dès que ma Soeur fut sortie, mon Père renversa ma Mère, & la +carillona sur le piéd du lit sous lequel j'étais, en lui +disant: -- Hô! prenéz-garde à votre Fille cherie! Elle aura un +furieux temperament, je vous en avertis... Mais elle a de quî +tenir; car je baise bién! & voila que vous m'en donnéz, du jus +de Con, come une Princesse-... Je m'aperçus que Jenovefette +écoutait & voyait... Mon Père avait raison. Ma jolie Cadète +fut depuis dépucelée par son Confesseur; ensuite foutue par +tout le Monde. Mais elle n'en est que plus sage à-présent... +Dans l'aprèsdînée, Jenovefette vint au jardin, où j'étais +seul. Je l'admiraí; je bandaí. L'ayant abordée, je lui pressaí +la tâille, sans parler; je lui touchaí le piéd, les cuisses, +un Conin imberbe & joli, s'il en fut jamais! Jenovefette ne +disait mot. Alors, je la fis mettre à-quatre; c'est-à-dire, +súr les mains & sur les genoux, &, à l'imitacion des chiéns, +je la voulais enfiler ainsi, en hennequinant & saccadant de +toutes mes forces, comme fait le chién, & lui comprimant +fortement les aînes de mes deux mains: je lui fesais cambrer +les reins, de sorte que son Conin était aussi à ma portée que +le trou de son cùl: je l'atteignis donc & je mis le bout entre +les lèvres, en disant: "Hausse, hausse le cùl, que j'entre". +Mais On sent aussi qu'un conichon aussi jeune, ne pouvait +admettre un vit, qui ne décalotait pas encore: (Il me falait +Une Conasse, come je l'auraí biéntôt). Je ne pus +qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne dechargeaí +point; je n'étàis pas asséz formé... Ne pouvant enfiler, je me +mis, aussi à l'imitacion de mes Modèles, à lècher le jeune +Conin... Jenovefette sentit un chatouillement agreable +sans-doute; car elle ne s'ennuyàit pas du jeu, & elle me dona cent +baisérs sur la bouche, lorsque je fus debout. On l'appela, & +elle courut. + +Come elle n'avàit pas encore de gorge: dès le lendemain elle +se mit des tetons postiches, sans-doute parcequ'elle avàit oüi +vanter ceux de sa Mère, ou de ses Aînées. Je les remarquaí: je +la fis chausser, & l'ayant placée commodément sur son lit, je +m'escrimaí près de deux heures. Je crois en-vérité qu'elle +émit; car elle s'agitait comme une petite Enragée à mon +lèchement de Con... Dès le surlendemain, On l'envoya en +apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope tiré par +mon Père. + + + + +II Chapitre. + +Chap. Du Con soyeux. + + +Mes autres Soeurs étaient l'Une serieuse; elle me retint dans +les bornes; mais j'aí depuis foutu ses deux Filles à Paris: Ma +Troisième était encore trop jeune: Ç'a été Une superbe Fille à +dixhuit ans! Je me rejetaí neanmoins sur cette Enfant, lorsque +je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était +inabordable. Il me falait un Con, depuis que j'en avais palpé +Un: je patinaí Babiche. Enfin un Dimanche, qu'elle était bién +arrangée, & que ma Mère l'avait baignée, je la gamahuchaí. + +Ce fut à cette benigne operation, que je fus surpris par +l'ardente Madelène au Con soyeux. Elle nous examina longtemps +avant de nous troubler, & voyant que la Petite avait du +plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remimes +décemment. Madelène ne dit mot: Elle renvoya Babiche. Puis +elle hazarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la +pâille de la grange, où j'avais attiré Babiche; & lorsque je +fus par-terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, +jambe de-çà, jambe de-là. Par-hazard, je portaí la main sous +ses jupes, & j'y trouvaí l'admirable Con soyeux. Ce poil divin +determina mon goût pour elle. Je devins fou du Con de +Madelène-Lingüet: je lui demandaí à le baiser? -- Petit coquin! +(me dit-elle), attens un moment-. Elle ala au puits, tira un +seau d'eau, & s'accroupit dessus... Elle revint, & badina +encore. Enflâmé, hors de moi, je lui dis, dans ma petite +fureur érotique, -- Il faut que je lèche ce joli trou-. Elle se +mit sur le dos, les jambes écartées: je léchai; la belle +Madelène hocha du cùl: "Darde ta langue dedans, cher petit +Ami"! (me disait-elle). Et je dardais, & elle haussait la +mote. Je fourgonnais avec rage!... Elle eút tant de plaisir, +qu'elle se recria. Je bandais come un petit carme: & come je +ne dechargeais pas, j'avais toujours la même ardeur. Aussi +m'adorait-elle. Obligée de me quitter, Madelène me dona des +friandises, que je mangeaí avec Babiche. + +Un-soir, ma Soeur au Con soyeux me dit: -- Cupidonnet! ta jolie +Broquette est toujours bién roide, quand tu me lèches! Il me +semble que si nous étions dans le même lit, tu pourrais la +faire entrer dans la bouche de ma petite Marmote, que tu aimes +tant à sucer, & dont le poil est si doux! j'aurais sûrement +bién du plaisir! & peutêtre toi aussi? Viéns ç'te nuit-... +Quand tout le monde fut endormi, je me glissaí dans le lit de +ma grande Soeur. Elle me dit: -- J'ai vu mon Pêre, un-jour qu'il +venait de caresser ma Soeur la belle Marie, qui partait pour +Paris, courir sur ta Mère, sa grosse broche bién roide, & lui +fendre la Marmote: je vas te montrer; tu feras comme lui. -- Et +moi aussi, je l'aí vu. -- Bon! bon-! Elle se disposa, me plaça +sur elle, me dit de pousser, & riposta. Mais elle était +pucelle, & quoique bandant roide, je ne pus introduire; je me +fesais mal. Pour Madelène-Lingüet, elle déchargea sans-doute; +car elle se pâma. + +Hô! que je regrettaí ce joli Con soyeux, que je léchais & +fourgonnais depuis 6 mois! Mon Père, Clôde-Lingüet, qui ne me +ressemblait pas, éloignait ses Filles, dès qu'elles l'avaient +fait bander. On prétend que Madelène avait tenté de se le +faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours après, +elle partit pour la Capitale, où notre Frère-aîné +l'Ecclesiastique, lui avait trouvé une place de Gouvernante +d'Un Chanoine de Sainthonoré. Ce Caffard ne tarda pas à +connaître ce qu'elle valàit: Il y avàit Une porte derobée, de +lui-seul connue, qui donnait dans la chambre de ses +Gouvernantes, qu'il alait patiner durant la nuit. Mais il +n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le Con soyeux de +Mlle Lingüet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, & il +n'eút plus de repos, qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle +dormait d'autant plûs fort, qu'elle en fesait semblant, il la +gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le Chanoine +monte sur elle, & l'encone. Elle le pressa dans ses bras, en +remuant du cùl. --Hâ! Mignone! (lui dit-il), que tu as le +mouvement bon!... Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois +un-peu Putain-?... Sa chemise & les draps ensanglantés, lui +prouvèrent qu'elle était pucelle Il l'adora! Elle foutit +saintement avec ce saint Homme pendant deux ans, & le mit au +tombeau. Cependant il la dota: Ce qui fit qu'elle épousa le +Fils du premiér Mari de ma Mère. + + + + +III Chapitre. + +Chap. De la Mère foutue! + + +Comme après le mariage de Madelène, & son retour à Reims +j'étais un-peu plüs formé, je desiraí vivement de le lui +mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais reduit à patiner & +gamahucher ma Soeur Babiche, avec quelques-unes de nos +Cousines-germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces +conins imberbes retrécissaient... Je demandaí un rendéz-vous +nocturne à la nouvelle Mad. Bourgelat? Elle me l'accorda pour +le soir-même: Nous étions à notre Ferme, & son Mari venait de +partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je +ne sais par quelle avanture, cette même nuit, mon Pére se +trouva incomodé. Ma Mère, après l'avoir secouru, craignant de +le gêner, ala se mettre auprès de sa Brü. Celle-ci la voyant +endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi, +tandis que de mon côté, j'alàis à elle. Nous ne nous +rencontrames pas, malheureusement!... Je me mis à-côté de la +Femme que je trouvaí dans le lit. Elle était sur le dos: je la +montaí, toute-endormie; & l'enconaí. J'étàis surpris d'entrer +aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hôcha quelques +coups-de-cùl, moitié assoupie, en disant: "Jamais! jamais vous +ne m'avéz donné tant de plaisir-!... Je dechargeaí aussi: mais +je m'évanouis sur ses tetons encore fermes, parcequ'elle +n'avàit pas nourri, & qu'On ne les lui avàit jamàis patinés. +Mad. Bourgelat revint auprès de nous, au moment où je +m'évanouissais. + +Elle fut bién étonnée des mots que venait de prononcer sa +doublement Bellemére! Elle comprit que je l'avais foutue, & +elle me reporta dans mon lit encore évanoui... Ainsi donc +c'est dans le Con maternel que je venais d'émettre ma premiére +semence!... Ma Mére, entiérement éveillée, dit à Madelène: -- +Mais, que faites-vous donc, ma Fille-? J'étais revenu à moi. +Ma Soeur retourna au lit de ma Mére, qui lui dit tout-bas: -- Ma +Brü! vous avéz de drôles de façons? -- Mon Mari (répondit Mad. +Bourgelat), me fait souvent mettre dessus; je rêvais, & je +l'ai fait. Eveillée, je suis sautée du lit-. Ma Mére crut +cela. + +Cependant le coup porta: Mad. Lingüet devint grosse, & +accoucha secrettement d'un Fils, beau come Adonis; & elle eút +l'adresse de le substituer à Un Garson de son Fils, cet Enfant +étant mort en naissant. C'est de Lui dont il sera un-jour +question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon +neveu. + +Huit jours s'écoulérent. Après quoi, bién remis de mon +évanouissement, j'eús un autre rendéz-vous. Mais admiréz mon +malheur! Nous avions été entendus d'Une grosse Tetonniére, +notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mad. +Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse qui m'aimait, +car elle se branlait souvent à mon intention, & qui dailleurs +n'était pas méchante, se contenta de dire à mon Frère, de +fermer les nuits la porte de sa chambre à la cléf, & de la +cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugéz de mon étonnement, +quand aulieu d'un Con soyeux, & de tetons ronds & delicats, je +patinaí Une Connasse à crins de cheval, & deux gros ballons +bién gonflés. Elle se le mit; je poussaí, & j'eús asséz de +plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir. + +Enfin, je le mis à Madelène, dans le greniér-à-foin. J'alais +come un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup-de-cùl +qu'elle donna, je m'évanouis...... + + + + +IV Chapitre. + +Chap. D'un aútre Beaufrére Cocu. + + +Madelène évita de m'accorder des faveurs, dont les suites +l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette +privation: Huit jours après la derniére scène, je partis pour +venir à Paris. J'y alais pour apprendre: Mais il ne sera pas +ici question de mes études. Je fus logé chéz la belle Marie, +la seconde de mes Aînées. + +J'avais, pour mon pucelage, fait cocü mon Pére: j'avais +cornifié mon Frére Uterin, en fesant décharger, & foutant +enfin avec émission Une Soeur-Paternelle, qu'il avait épousée, +& que j'engrossaí: car Bourgelat n'a jamàis eú que cet Enfant, +venu au monde 9 mois après ma fouterie au greniér-à-foin. Mais +j'avais encore bién de l'ouvrage, avec huit Soeurs, dont six, +ou du-moins cinq, étaient souverainement enconables. Mais +revenons à Marie, la plûs belle de toutes... Un-jour de +Vierge, Marie était parée, chaussée avec cè goût particuliér +aux jolies Femmes, & Un superbe bouquet ombrageait ses blancs +tetins. Elle me fit bander. J'avais quatorze ans; j'avais deja +foutu & engrossé trois Femmes; car Mamelasse avait Une Fille, +qu'elle se vantait que je lui avais faite, & qui ressemblait +comme deux goutes-d'eau à Jenovefette-Lingüet. Ainsi, je n'eús +pas des desirs vagues; je tendais directemt au Con de ma +provoquante Aînée. Après le dînér, elle ala dormir, dans Un +alcove obscur, & s'étendit sur le lit conjugal. Elle avait vu +bander son Mari, dont la culote blanche était juste, & elle +voulàit lui donner le plaisir de le lui mettre parée. Je me +cachaí, pour les guetter. Mais mon Beau-Frére, après avoir +pris les tetons & le Con de ma Soeur, avoir admiré ce derniér, +en éclairant l'alcove, se reserva sans-doute pour la nuit +suivante: il se retira doucement; je lui vis prendre sa canne, +son chapeau, & sortir. J'alaí pousser Un verrou. En revenant, +je refermaí les rideaux; le Mari les avait laissés ouverts, & +sa Femme troussée. Je me mis sur elle deculoté, bién bandant, +& j'enfilaí sa fente, suçant tantôt ses tetons decouverts, +tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyàit son Mari. Un +bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout caloté. Le +filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, & +le fesait paraître gros comme celui de l'Epoux. Je poussaí. Ma +Belle s'agita, & mon long vit atteignit le fond. Alors ma Soeur +demi-pâmée, se trémoussa. Je dechargeaí,... & je +m'évanouis.... + +Ce fut ce qui me fit reconaître. La Belle savoura les +derniéres oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eút +éprouvé tout le charme d'une copieuse decharge, elle se +deconna en me jetant sur le côté; elle ouvrit les deux rideaux +de l'alcove; & me regardant: "Hâ! Grand-Dieu! c'est +Cupidonnet! Il m'a dechargé tout au fond! Il s'est évanoui de +plaisir"!... Je revenais à moi. Elle me gronda, en me +demandant, Qui m'avait appris cela? -- Ta beauté (lui dis-je), +adorable Soeur. -- Mais si jeune-? Je lui racontaí alors toute +ma vie: Comme j'avais patiné, léché le conin de Jenovefette: +comme j'avais gamahuché, enfin enfilé le con soyeux de +Madelène; foutu Mad. Lingüet, la croyant Mad. Bourgelat: +comment Mamelasse s'était fait enconner par moi: comment ne +pouvant me passer de Con, je léchotais le conichon de Babiche: +comment j'avàis engrossé les trois Femmes que j'avàis +enconnées. --Hâ-Ciel!... Mais tu es bién indiscret! -- Je ne le +suis avec toi, que parceque tu es ma soeur-aînée, que je t'aí +foutue (le recit que je venais de débiter, les tetons de ma +Soeur, sa chaussure me fesaient rebander), & que je vais, +divine Marie, te foutre encore. -- Mais mon Mari... -- J'aí +poussé le verrou-... Elle me pressa la tête contre son beau +sein, en me disant tout-bas: -- Petit coquin, fais-moi aussi Un +Enfant-?... Je la re-enconnaí, j'émis sans m'évanouir. La +belle Marie n'avait pas encore eú d'Enfans: je fus pére de +Mlle Beauconin, fille Unique de mon Beaufrére de ce nom. + +[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est +qu'à-force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les +savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre +avantageusement dans le coeur & l'esprit des Libertins blâsés, +les goûts atroces éveillés par les abominables Productions de +l'infame & cruel Dsds! Ainsi, je reserve toute ma chaleur, +pour decrire des jouissances ineffables, audessus de tout ce +qu'a pu inventer l'imagination esquisement bourrelle de +l'Auteur de Justine. + + + + +V Chapitre. + +Chap. Du bon Mari spartiate. + + +Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viéns +de promettre, rapporter en peu de mots, Une Avanture +extraordinaire, que jeús, ruë Sainthonoré, à 20 ans accomplis, +en fesant mon droit. + +J'étais voisin vis-à-vis d'Un vieil Orlogér, qui avait Une +Femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La Première +l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était +une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à-l'aîde d'une +Soeur plüs jeune, par laquelle la Dame se fesait remplacer au +lit dans ses moindres indispositions, pour que son Mari ne +foutît jamàis avec dégoût. Cette excellente Epouse ayant cessé +de vivre, l'Orlogér avait épousé, âgé de soixante ans, la +jolie, la delicieuse FIDELETTE, putative d'Un Architecte, ét +fille-naturelle d'Un Marquis. La beauté de cette troisième +Femme n'avait pas d'égale, pour le moëlleux ét le provoquant. +Son Mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant +comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle +paraissait desirer. Mais il n'atteignait pas le but, ét +Fidelette était chaque jour plûs triste. Enfin un-soir, ce bon +Mari lui dit: "Mon Ange! je t'adore, tu le sais? Cependant tu +es triste, ét je crains pour tes jours précieux? Tout ce que +je fais ne te flatte en rien? Parle? c'est Un Ami tendre qui +t'en conjure? Dis-moi ce que tu desires? Tout, tout ce qui +sera en mon pouvoir, va t'ètre accordé? "Hô! tout (dit la +jeune Femme). "Oui, tout, fût-ce... Est-ce à ton coeur? est-ce +à ton divin conin, qu'il manque quelque-chose? "Tu remplis mon +coeur, cher Mari! Mais j'ai des sens trop chauds, et quoique +blonde-cendrée, mon Bijou a des demangeaisons... terribles! +"T'est-il indifferent qui le satisfasse; ou aurais-tu un goût? +"Sans aimer, j'ai un goût.. un caprice... Mais je n'aîme que +toi. "Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher +ton gentil petit Chose? "Tiéns? ce Voisin... qui me regarde... +ét dont... je me suis deja plainte... "J'entens!... Tu as dû +me trouver bién boûché!... Passe au bain, mon Ange adoré.. je +reviéns dans l'instant". Il courut me trouver. "Jeune voisin? +On dit que vous aiméz Mad. Folin l'Orlogère? "Ma-foi, On dit +vrai; je l'adore. "Venéz. "Il en arrivera ce qu'il pourra. +Alons". Il me prit la main, ét nous alames chéz Lui. +"Deshabilléz-vous; passéz dans ce bain, que ma Femme quitte: +Voila de mon linge. Regaléz-la en Nouvelle mariée- ou menagéz-vous +pour differentes nuits; à votre choix ét au sién.... +J'adore ma Fidelette: mais pour cette Epouse cherie: Je suis +content, dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand vous +l'auréz foutue, qúe son petit Connin aura bién dechargé, je +l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent". +Et il me fit entrer dans le lit où sa Femme était depuis le +bain. Il s'en-alait. "Mon cher Mari! (s'écria cette timide +Colombe), tu me laisses seule avec Un Inconnu! Hô! reste! ét +si tu m'aimes, sois temoin des plaisirs que je ne devrai qu'à +Toi"?... Et elle nous baisa tous-deux sur la bouche... Le Lit +était vaste: Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur +le ventre de la jeune Epouse, aux flambeaux alumés, au vu du +Mari, ét j'enconnai roide... Elle repercutait avec fureur. +"Courage, ma Femme! criait l'excellent Mari, en me +chatouillant les bourses)... Decharge, ma Fille! hausse le +cùl!.. darde ta Langue... ton Fouteur va t'inonder!... Toi, +jeune Vit, plonge.. plonge!... Lime.. Lime-la"... Nous +dechargeames comme deux Anges... Je la foutis six-fois dans la +nuit, ét les deux Epoux furent très-contens de moi...... J'ai +eü cette jouissance celeste ét plûs-qu'humaine, jusques aux +coûches de Fidelette, qui perdit la vie, en la donnant au +Fruit de notre Fouterie. + + + +VI Chapitre. + +Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. + + +Je passerai sous silence mes conilleries avec ma Femme +clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage. +Conquette-Ellès était Une jolie Grêlée, faite-au-tour, ayant +Un Con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre +la bride sur le cou, & de la laisser foutre avec quî elle +voudrait. Elle était fille d'Un Traiteur de la ruë +Saintjacques, & soeur du libraire PetiteBeauté: Elle est morte +syfillisée, longtemps après m'avoir donné deux Filles... Hâ! +qu'elle foutait bién! jamais Femme enconnée n'a brouetté son +Cavaliér comme Conquète!... Elle est la seule Créature que +j'aye enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut +douteuse. Elle me donna ensuite le cùl de sa Soeur-cadette, en +me disant que c'était encore le sién. Et je le croyais. Mais +la jeune Persone se fesant enconer, je m'aperçus de la +tricherie, dont je ne témoignaí rién..... Cela fut delicieux! +mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma +Bellesoeur fut mariée, ma Femme seduisit sa Coîfeuse, à +laquelle elle recomanda bién de se faire enculer, alléguant +que j'y étais accoutumé. Mais cette Fille m'ayant averti dans +la journée, je l'enconnaí la nuit, sans que Conquette s'en +aperçût. J'eús ainsi successivement six Coîfeuses, toutes +jolies, pendant douze ans, ma Femme, qui les payait, croyant +me cacher par ce moyén, qu'elle avait la verole. Ce fut ainsi +que j'attendis les Conins delicieux qui m'étaient destinés par +la nature... C'est aprês la derniére Coîfeuse, que Conquette +mourante ayant remarqué, qu'Un de mes Cadets courtisait ma +fille-nièce-Beauconnin, qu'On ne voulait pas lui donner, & +qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le laisser +mettre par son Amant? Mais craignant que le Jeunehome ne pût +la dépuceler, elle me dit, que la dernière Coîfeuse m'envoyait +Une de ses Elèves, qu'il falait enconner, & sans parler, +parceque ma Nièce couchant dans la chambre voisine, il y avait +des raisons, pour ne pas envoyer l'Elève-coîfeuse dans la +miénne... Pourvu que je foutîsse Un jeune Con, que +m'importait? J'alaí nu au lit: je trouvaí des tetons naissans, +Un Conin qui tressaillait. Je dépucelaí... J'avais enconné +trois-fois, lorsqu'on vint me faire retirer. Je crus que +c'était la convention. Mais ayant écouté, je fus très-étonné +d'entendre éperonner de-nouveau ma Monture, & ma Femme +instruire, en les encourageant, son Neveu & sa Nièce?... Je me +remis dans mon lit tout-pensif... Le lendemain, je demandaí +une explication à Conquette. -- Hé-bién, quoi? (me répondit-elle), +vous avéz dépucelé votre Nièce Beauconnin, avant que +son Cousin le lui mît; parceque je craignais qu'il ne pût la +déflorer-... Je fus enchanté! j'avais eú les prémices de la +Fille que j'avais implantée un jour de Vierge dans le Con de +la belle Marie-Lingüet. Mais je dissimulaí ma joie. C'était un +excellent pronostique pour les plaisirs dont je me flatais de +jouir depuis longtemps! & dont le moment approchait. J'y +touche enfin. + + + + +VII Chapitre. + +Chap. Du Conin au Poil-Follet. + + +On saít que j'avais deux Filles, ou que dumoins ma Clandestine +les avait: car je me rappelle qu'elle prétendait, que ses +véritables Filles étaient mortes en Nourrice, & que... & +que... Elle parlait du Roi... d'une Princesse.... Mais elle +était si menteuse, que ç'eût été une folie de la croire. + +CONQUETTE-INGENUE, ma fille-aînée, me causait des desirs dès +l'âge de dix ans. Pendant que sa Mére non encore vérolée +couchait & foutait avec Un Galant, elle envoyait Conquette +dans mon lit. Cette Enfant avait la plüs jolie conque. Je me +fis une règle dèslors de la lui baiser tous les soirs, après +lui avoir écarté les cuisses, durant son premiér sommeil. +J'introduisais légèrement la langue, mais sans lècher. Je +m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur +mes cuisses, & mon vit pressé entre les siénnes. Dans le jour, +j'enconais, ou la Maîtresse d'Un certain Mivière, Avocat, ou +Une jolie Bossue toujours bién chaussée, qui demeurait dans la +maison; ou Une Boîteuse des deux côtés, mais d'une delicieuse +figure, & prête à se marier: Elle s'était laissée déflorer par +son Futur, & depuis ce temps-là, elle ne ménageait plus un +très-joli con blond. Quand ces trois Fouteries me laissaient +chomer trop longtemps, je fourgonnais le vit serré entre les +cuisses de Conquette-Ingénue, qui se sentant gênée, +l'empoignait toute-endormie, & me fesait éjaculer. Elle avait +onze ans. Elle sentit quelque-chose, & parla. On la mit dans +un cabinet fermé. + +Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eút treize à quatorze ans, +après une interruption de plüs de deux ans, je me trouvaí +veuf, & elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite +chambre à-côté de la miénne.. Elle était grandie, faite-au-tour: +elle avait le piéd le plüs parfait. Je la fis chausser +par l'Artiste le plüs habile, sur la forme de sa Mére, qui +était celle de la Marquise-de-Marigni. Puis je devins +éperdúmment amoureux de mon Ouvrage. + +Mais Persone jamais ne fut plüs chaste que cette celeste +Fille; quoique ses Méres, soit réelle ou putative, fússent +putains, & soient toutes-deux mortes de la vérole. Conquette-Ingénue +ne souffrait pas qu'On prît sur elle la moindre +liberté... La Providence le voulut sans-doute, pour qu'elle en +fût un-jour plüs desirable & plus voluptueuse... Ainsi je me +trouvaí réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle +avait profond, heureusement! Je profitais de son premiér +somme, pour la decouvrir, admirer son delicieux Connin, qu'un +joli Poil-Follet commençait d'ombrager, & la gamahucher +moderément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis +me riposter: je redoublaí les coups de langue, & elle émit.... +La lumiére était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en disant: +"Hâ! hâ! hâ! ça me chatouille! hâh!"....... Elle crut qu'elle +avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune Soeur, couchée avec +elle, de plusieurs coups-de-coude, comme si elle eût pensé que +cette Enfant l'avait chatouillée. + +Je me remis dans mon lit, enchanté que ma Fille eût dechargé. +Cette émission me fit esperer, qu'ayant éveillé son +tempérament, je pourrais l'enconner biéntôt, en faire ma +Maîtresse, & me trouver le plüs heureux des Hommes. Mais que +j'étais loin de compte? & combién de Vits devaient tenter de +matyriser ce divin Connin, avant le mien! hêlas! il fut prêt +d'essuyer Une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, ç'a +été ma véritable inclination, la plüs constante, la plüs +voluptueuse, que cette adorable Fille, qui n'a eú de Rivale, +que sa Soeur... Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est +pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit +bandant, jusques au fond du Con satiné d'Une Fille cherie, +surtout si remuant du cùl avec courage, elle décharge +copieusement! Heureux! heureux qui cocuffie, & fait cocuffier +Un Gendre également déteste de tous-deux! + +Conquette-Ingénue eút ses règles la semaine suivante de celle +où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement +nubile. Mais éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur +essentielle. Ma Soeur Marie, qui me connaissait, la mit en +apprentissage de Modes & du commerce de la Bijouterie, chéz +Une jolie Marchande, dont le Mari était chef de Bureau; & le +Bijou de la belle Conprenant me dedomagea, mais sans m'en +consoler, des rigueurs de celui de ma Fille. Je le mis aussi à +ma Nièce Beauconnin, alors mariée à son Cousin. Et sans ce +double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la +provocante Conquette-Ingénue? Eperdûment amoureux d'elle, +n'osant lui prendre de-jour son joli Poil-Follet, & ne l'ayant +pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la +ruë, par une fenêtre à large rebord; ce qui lui mettait +à-découvert un piéd exquisement chaussé, une partie de la plüs +belle jambe; desorte qu'en me baissant, je voyais la cuisse, & +le Connin dans certains mouvemens, ou lorsqu'elle se disposait +à descendre. Je bandais comme Un Carme. Mais en ce moment +arrivaient à-point-nommé, ou la Maîtresse de Conquette-Ingénue, +ou ma jolie Nièce Beauconnin, que j'alais enfiler +dans ma chambre, après avoir dit à ma Fille de se remettre à +la fenêtre, pour les voir arriver; & au-moyén de ma porte +entr'ouverte, je voyais le piéd provoquant, la jambe +voluptueuse de Celle qui me fesait bander, en foutant soit sa +Maîtresse, soit sa Cousine. + +Quatre ans s'ecoulérent ainsi; & je n'eús plus de fouteries. +Alors, plüs amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui +était superbe à dixhuit ans, je résolus de la faire coucher +quelquefois chéz Moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une +indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi +profond: Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais, +& je la faisais copieusemt décharger. Elle avait une Motte +superbe, ombragée d'un poil noir doux & soyeux. Je brûlais +d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en +dechargeant. Aussi me disait-elle: -- Je ne fais que chéz vous +de singuliérs rêves, qui me rendent toute je ne saís +coment--!... La seule chose que je me permîsse, était de demander à +baiser son joli piéd chaussé; quelquefois sa jambe: j'alaí +un-jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher +le poil-satin de son Bijou: Mais elle fut ensuite si fort +effarouchée, craignant que je ne parvînsse à la déflorer avant +mariage, qu'elle précipita, aîdée de sa Maîtresse Mad. +Conprenant, un mauvais établissement avec Un Infame. Ce fut ce +que j'ai eú tant de peine à lui pardonner!... Mais la pauvre +Enfant en a trop souffert... elle s'en est asséz répentie... +son charmant Connin a depuis trop bién-mérité de Moi, pour que +des torts de jeunesse & d'inexperience ne soient pas oubliés. +J'y étais obligé dailleurs par un autre motif: c'est que je +dois à cet execrable mariage d'indicibles delices (comme On va +le voir), ainsi que ma fortune présente. + + + + +VIII Chapitre. + +Chap. Des Conditions de mariage. + + +Le Dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chéz moi, suivant +son usage, elle ne put s'empêcher de voir, que je bandais à +n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!... Je lui +avàis baisé le piéd, la jambe; mais elle avàit défendu son +connin. Tout-à-coup je me lève, & m'appuyant sur le dossiér de +sa chaise, je plonge les deux mains dans son corpset; je lui +prens les tetons.... Hâ! qu'ils étaient jolis!... petits, mais +fermes! & d'une blancheur.... Elle ne put se dérober... Elle +me déclara pourlors sérieusemt, qu'elle voulait se marier. A +ce mot, je passaí devant elle, le vit à l'air et bién bandant. +Elle devint rouge comme une cerise: Elle bouillait. Enflâmé +d'amour & de luxure, je lui notifiaí, que je ne signerais +rién, qu'à la condition de la dépuceler auparavant. Elle se +recria!... Je lui pris le Con par force. Elle se recueillit, & +me dit: -- Signéz dumoins pour ceci? -- Oui; si je te gamahuche-. +Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquaí, ajoutant: -- Et +jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part, inclusivement-? +Elle refléchit... Puis soupirant: -- Hâ! combién vous me +l'avéz fait! Mes rêves étaient causés par vous-!.... Elle se +mit à la renverse sur le lit, en me disant: -- Satisfaites-vous! +&.. ne me.. trompéz pas!... gamahuchéz.. mais je veux +être pucelle le jour de mon mariage avec M. Vitnègre; c'est Un +Home veuf, & Mad. Conprenant dit qu'il s'y connaît-. Pendant +ce discours, je rassasiais mes ïeux dabord de la vue du plüs +ravissant des Connins; de celle d'un ventre uni comme +l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cùl de satin. -- +Depêchéz-vous? -- J'inventorie ce que nous devons livrer à ce +M. Vitnègre, & tout est bién conditionné, une chose que je te +diraí exceptée. Gamahuchons-. J'etais enragé! Je la lèchais +avec fureur, guettant l'instant de l'émission de sa liqueur +virginale, pour me jeter sur elle, & l'enfiler. Elle émit dès +le sixième coup de langue; desorte que je ne le pouvais +croire. Mais biéntôt ses tremoussemens m'en convainquirent. +Alors, quittant le Conin, je me jetaí sur elle. Enivrée de +plaisir, il est certain qu'elle m'aurait laissé tout faire: +màis son jeune Connichon, quoique bién humecté de son foutre & +de ma salive, ne put être penetré. L'experience qu'il faut, +pour enfiler certaines Pucelles, de la pomade ou du +beurre-fraîs, ne m'était pas encore acquise... A la fin, elle me +saisit le vit, pour me debusquer. Pressé de sa main douce & +blanche, il déchargea, & couvrit d'Un Foutre azuré, son con, +son ventre, ses cuisses & sa main. Propre comme elle le fut +toujours, elle se debarrasse, & court se laver. -- Qui ne +dirait (m'écriaí-je) en la voyant s'éponger cùl, cuisses & +Coniche, que je l'aí enconnée!... -- Hâ! si vous étiéz +raisonable!.. (répondit Conquette-Ingénue), ce joli +gamahuchage, tant que vous voudriéz; car j'aí eú bién du +plaisir! -- Voila un joli mot-! Et je lui fis darder la langue +dans ma bouche, Moi lui tenant le Conin. -- Mais (reprit-elle), +pas ce qui M'a salie, dans ce que je viéns de laver! je veux +étre honnéte-femme. -- Tu dois ton joli Con à ton Père, ma +charmante Fille! -- Si vous étiéz plûs riche, je renoncerais au +mariage, & je me dévouerais à vos plaîsirs. Mais il me faut Un +Mari, pour cesser de vous étre à charge-. Touché, je la baisaí +des piéds à la tête, souliér, jambe, front, oeil, bouche, cou, +tetons, cuisses, cùl, enfin motte, jusqu'à ce qu'elle +déchargeât... Ensuite, je signaí tout ce qu'elle voulut... +Elle étàit adorée, en ce moment.. Elle se maria, sans Me +revoir, & M'évita pendant trois mois. Une pareille conduite Me +rendit furieux contr'elle, & je juraí de la foutre & faire-foutre, +si elle retombait entre mes mains, Mille-&-Une-Fois, +avant que de lui pardonner!... Mais savais-je alors qu'elle +était malheureuse? + + + + +IX Chapitre. + +Chap. Des Dedommagemens. + + +VICTOIRE-CONQUETTE, ma seconde Fille, était en Province, +depuis la mort de sa Mére, chéz sa Tante Jenovefette, alors +mariée avec son derniér Entreteneur. N'ayant plus de Con à ma +devotion, je redemandaí Victoire. En attendant qu'elle +arrivât, je m'accomodaí de deux petits Conins encore imberbes, +ou dumoins à Poil-Follet, que je parvins à perforer, en les +pomadant. C'étaient la Soeur & la Maîtresse de mon Secrétaire, +qui lui-même Me les livra, comme On le verra par la suite. +Nous foutions jusqu'à sa vieille Bellemére; ne voulant pas +aler aux Putains. + +Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa +Soeur, à talons minces-élevés; & cette Enfant, qui atteignait +quinze ans, me fit autant bander que son Aînée. Mais je ne +cherchaí pas à la déflorer, elle ne me servàit qu'à Me mettre +en humeur, & à me faire enconner plûs vigoureusement & Minone, +& Conette, Soeur & Maîtresse de Traìtdamour mon secrétaire, ou +leur Bellemére. Pour cela, quand Victoire rentrait parée, +chaussée, je la saisissais par la jupe, & je l'asséyàis sur +mes genoux, à-crû, Moi deculoté, quand je le pouvais: je me +fesais caresser, donner de petits coups de langue. Si j'étais +à-crû, mon vit lui alait entre les cuisses comme le batant +d'une cloche: si elle n'était pas troussée, comme elle était +fort-innocente, je Me fesais empoigner le vit, en lui disant: +"Mignone, serre-moi le doigt, fort! fort"! Minone, Conette, ou +la Bellemére arrivàient toujours, Traìtdamour en alant +chercher Une, dès qu'il me voyait m'enfermer avec Victoire: En +les entendant, je remettàis la charmante Enfant dans sa +chambre par une porte-derobée; j'ouvràis, & je foutàis +delicieusement, les couilles chatouillées par Traìtdamour. Il +enconnait ensuite la Même, Soeur ou Bellemére, & je lui maniais +les couilles. + +Je Me seràis contenté de cette vie pendant longtemps, quoique +toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mad. Vitnègre, +si mes Soeurs Marie & Jenovefette n'eússent trouvé indecent que +je gardasse Victoire seule chéz Moi. Elles M'obligérent à la +mettre en apprentissage pour le linge, chéz des Devotes +qu'elles M'indiquèrent. Mad. Beauconnin l'y conduisit. +Heureusement que la chère Fanfant M'avait, depuis quelques +jours, donné la conaissance d'Une grande & superbe Femme-separée, +son Amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire +s'en doutât, & que cette Belle-femme M'en croyant amoureux +aussi, foutit sous Moi avec fureur. Car elle M'appelait alors +son Papa, & Me disait: -- Enconne; enconne... enconne ta... +provocante Victoire! ta... passionnée, ta... tendre Fille-! + + + + +X Chapitre. + +Chap. De l'infame Mari. + + +Mais le moment approche, où je dois recouvrer Conquette-Ingénue.. +Mon desir le plûs vif, même dans les bras de Mad. +Moresquin (l'Amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocù! +Un-jour, ma Conquette me rencontra sur le pont-Notredame. Elle +étàit malheureuse: elle vint se jeter dans mes bras. Je fus si +ému, que toute mon anciénne colère s'évapora. Ma delicieuse +Fille était encore embellie dans les douleurs. Mon premiér +mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions dans la +ruë... J'alaí la voir dès le lendemain-soir, à l'heure où elle +M'avait dit que son Mari, ou plütôt son Monstre, n'y était +jamais. Je la trouvai seule en-effet; & dès cette premiére +visite, elle m'avoua qu'elle avait Un Amant. Ravi de cette +confidence, qui M'annonçait le cocúage de Vitnègre, je la +flatái, je l'amadouái; je l'engageái à se le laisser mettre +par Timori (son Galant). Mais je compris biéntôt que c'était +des deux côtés, un amour absolument Platonique, où Conquette-Ingénue +se consolait auprès d'un Bandalaise, des brutalites +d'un Débaûché. Elle aimait à parler de son Amant: Et comme +j'étais le seul, avec quî elle le pût en sûreté, que je promis +de leur procurer des entrevues, je fus cheri. + +A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies +récentes de Vitnègre. Un-jour qu'elle se baissait, pour +ramasser quelque-chose, il lui fit prendre le con par Un de +ses Amis. Elle s'écria. -- Ce n'est rién qu'un con de pris (dit +froidement Vitnègre)... (à son Ami): -- Ne t'avais-je pas bién +dit, qu'elle avait le poil du con plús satiné que de la +soie?... Hé-bién, le dedans est plús doux encore-... Conquette +voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit mettre sur +lui, la troussa jusqu'aux cuisses, & lui tint le con, +s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant tout +le temps qu'il fut à raconter, combién, quand elle le voulait, +elle donait de plaisir à son Caresseur. -- Mais (ajouta-t-il), +elle est comme les Putains; il faut la rosser, pour lui faire-faire +son devoir-. Il voulut ensuite lui decouvrir la gorge. +Elle s'échappa. Mais il l'atteignit d'un coup de piéd.... +Quelques-jours après, le Meme étant venu dîner, après le +caffé, Vitnègre s'étant aperçu que sa Femme, après avoir +pissé, avait fait bidet, dit à Culant son ami: -- Voila un con +bién propre! il faut le gamahucher tous-les-deux, d'adresse ou +de force? Mais dans ce derniér cas, ne t'étonne pas du +bruit!... Pour le premiér, voila une cléf; elle ouvre la porte +du cabinet qui donne sur le corridor. Tu entreras, quand +lassé, je dirai très-haut: -- Alons, Madame, faites-moi beau +con, & recommençons-. Et donne-t-en! car je voudrais que toute +la Terre foutît la Garse: elle n'est pas asséz large-... +Conquette fut rappelée. Le Mari la fit asseoir au milieu +devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de Mulâtre, & +dit à son Ami d'en faire autant. Comme il hesitait: -- +Decùlote-le tout-à-l'instant, Bougresse, ou je t'arrache les +poils du con à la poignee-! Et il y porta la main. Elle fit un +cri. Culant mit aussitôt à l'air son vit & ses couilles, en +demandant grâce pour elle. -- Alons, Bougresse, branle-nous +tous-deux, Un de chaque main?... Je suis son Maître (ajouta le +Scelerat); elle m'est abandonnée-. Conquette pleurait. L'Ami +demanda encore grâce pour elle... -- Hé-bién, qu'elle me suce +le vit, là, à-genoux devant moi, que je lui decharge dans la +bouche? Je dechargeais dans celle de ma première Femme, qui en +est morte, & c'était mon delice. Culant observa, que ce serait +gâter la plús jolie des bouches. -- Hé-bién donc, je vais la +gamahucher. -- Je banderais trop! (dit Culant): passéz dans ce +cabinet-. Vitnègre y poussa Conquette, & se substitua Culant. +Puis il sortit pour aler jouer. Culant gamahucha, & n'osa +foutre Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être +pris pour Vitnègre. Mais il dechargea six fois, & Conquette le +double. Il se retira, en lui donnant un coup-de-poing, afin +qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa +rentrée, le Monstre dit à sa Femme: -- Hé-bién, Bougresse? +as-tu été asséz gamahuchée? ce n'était pas Moi; je ne t'aurais +fait l'honneur de decharger six fois; c'était mon Ami. Mais, +Garse, tu l'as reconnu, puisque tu en as dechargé douze, & que +tu ne bandes pas pour Moi. Et le bon coup-de-poing qu'il t'a +donné, héin? l'as-tu senti? (l'Infame éclata de rire). Alons, +Garse de bâtarde d'Avocat, te voila putain; j'entens que ton +con me rapporte-. Effrayée, Conquette se promit de le quitter. +Ce fut le lendemain qu'elle me rencontra, & de ce moment elle +prit de la fermeté contre le Monstre + +Ce recit de ma Fille, quoique plûs gazé dans sa bouche, +m'avait revolté! je lui promis un prompt secours.... Mais +en-même-temps il me fesait bander en Carme, comme tous les recits +de brutalités libidineuses. Je demandái des faveurs? On +rougit; mais On Me laissa baiser un joli souliér vert, qu'On +portait pour la premiére-fois. Je M'en tins là. Cependant à la +visite du lendemain, je glissái en riant, une main dans son +dos; insensiblement j'en vins aux tetons, qu'elle defendit, +mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite donner de ses +cheveux; puis voulant voir jusqu'où je pouvais la mener, sans +l'effaroucher, je la tourmentaí pour avoir une petite touffe +des poils de son con soyeux. Elle me la donna; mais en +tremblant que son Mari ne s'en aperçût! Pour la remettre, je +la fis parler de son Amant; & pendant cet entretién, de +libertés en libertés, je parvins au con. Elle était si +parfaitement á son sujet, que je crois en-verité qu'elle +s'imagina que c'était Timorì qui lui tenait la motte!... Je +lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé une pension, +pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle rougit de +plaisir, & m'embrassa. Je lui dardaí ma langue, & elle me fit +sentir la sienne... Ravi, j'alais lui demander le Recit de la +Maniére dont elle avait été depucelée? Quand Vitnègre s'étant +fait entendre, je me jetaí dans le cabinet obscur, me +proposant de m'évader par la porte du coridor. Mais je fus +étrangement surpris de voir un Moine introduit par cette +porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachaí derriére un grand +sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce que je +quittais. -- Mon Reverend-Pére, vouléz-vous la foutre avant +dîner-? Le Moine, qui devorait des ïeux la belle Conquette +à-travërs les vîtrages, parut concentré... Aubout d'un moment, +il repondit: + + + + +XI Chapitre. + +Chap. Pucelage des iné aux gros Vits, pris par un petit. + + +-- Non: Comme nous en sommes convenus, passéz dans la chambre +éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tetons, cùl +& con: je me reserve pour la nuit. -- Hô! ce coup-ci serait +pardessus le marché. -- Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter +langue & tetons; à enconer, enculer, entetonner, &c. à mordre, +arracher les bouts... Aléz... Ayéz le vit à l'air, & qu'elle +soit bién chaussée... De la brutalité-! Vitnègre rentra +deculoté auprès de sa Femme toujours tremblante devant lui. +Alons, Bougresse, il me faut du plaisir? Voi comme je bande, à +la vue de ce joli soulier vërt?... J'aí entendu hier un +Jeanfoutre derriére toi, qui disait, qu'il aurait voulu +decharger dedans... A-bas ce fichu, que je voye tes tetons.. +Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Hâ! Garse! +j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les +gâter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!... +Troussée, Putain, audessus des reins & du nombril, que je voye +ce mecanisme-là?... Marche en avant, présentant le con... +Retourne-t-en montrant le cùl... Hâ! le joli mouvement!... +Continue, Garse-à-cul & à con, jusqu'à ce que je te dise, +Hôla... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement +son cùl, son con)... Cependant le Moine disait: -- Ce Bougre là +n'a pas le vit si gros que moi, & il n'a pu la depuceler! Hô! +comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y tiéndrais pas; je +la tuerais; elle crierait à faire venir le Voisinage... Je +m'en-vais-. Et il sortit doucement, en murmurant: Elle est à +tuer; elle le sera-!... Au même instant Vitnègre dit, Hola, +Garse engarsée-. Et il vint dans le cabinet. -- Qu'en dites-vous? +(dit-il): la vouléz-vous essáyer? Je bandais à n'en +pouvoir plus; je répondis bién bas pour le Mone. -- Oui-. +Vitnègre ala chercher sa Femme; & la poussant brutalement, -- +Alons, de-par-Dieu, Garse, Putain, que je te foute... Hâ! +comme tu vas crier! Mais songe, s cré Conin de Poupée, à ne +pas faire venir ici les Voisines! ou je les laisse tous +entrer, sans me deranger de sur ton sacré ventre-!... En +achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le foutoir +mis là exprès, & se retira. Je me précipitaí sur ma Fille, qui +se sentant enfiler presque sans douleur, ne criait pas. -- Crie +donc! (lui dis-je bién-bas). Et elle cria à-tue-tête, en se +reconnaissant enconnée par un Etrangér. Dès que j'eús dechargé +delicieusement, en lui fesant osciller le con, je m'échappaí, +avant que les Voisines arrivassent; & comme elle continuait à +crier, je les envoyaí à son secours. On la trouva debout. -- +C'est ma Femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardéz y; il +en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des +Chates; elle mord & crie, quand On la fait bién-aise-. Les +Voisines rirent, & se retirèrent. Vitnègre dîna, & fut asséz +honnête; il craignait que sa Femme n'eût connu qu'elle était +foutue par un Moine, & qu'elle ne parlât.. Je dînais dans un +cabaret en face. Je le vis sortir, & aussitôt je retournáí +chéz ma Fille, qui me conta tout. Je me tus dabord. + +Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait +été depucelée; parceque ce recit avait du haut-gout pour moi, +& qu'il me ranimerait asséz, pour me la faire foutre encore. +Elle le fit, dès que je l'eús mise en goût, en lui rapelant de +son Amant. + +-- Notre première nuit et les trois suivantes, ont valu chacune +cinq-cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite. +Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre +bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa +troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant, +me baisant partout: Il me fesait lever les jambes en l'air, +puis mettre debout sur le lit. -- Remue du cul (me disait-il), +ainsi, ainsi (me montrant), comme si je te foutais-. Je lui +observai, que cela était indecent. -- Bast! une Femme est la +Putain de son Mari-... Il me gamahucha. Il s'écria de toutes +ses forces: Elle decharge-! Et il me fit empoigner son gros +membre, de la couleur & de la grosseur de celui d'un Cheval. -- +Alons! alons, que je te foute, à-présent-. Il se jeta sur moi. +Mais il ne put rién. -- Foutre! Celles qui disent que ton Père +t'a depucelée, sont des Garses! tu es pucelle comme quatre. Je +voudrais que tout le monde fût-là, pour en étre temoin-...... +Il me pomada... devant, derrière. Il éteignit les bougies (mon +pucelage était vendu), & il parut se coucher. Mais ce fut +Un-autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros membre, +qui ne put rién-... [Depuis le mot de son recit, Elle +decharge! elle decharge! j'avais glissé une main entre les +cuisses de ma Fille, sans qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui +hâpái le Con. -- Hâ! Papa! ne me menagerez-vous donc pas plûs +que les Autres, un-jour où... j'a été depucelée! -- Depucelée! +hâ! celeste Fille!... Est-il bién vraì? -- Jamais On n'est +entré... dans ce que vous me tenéz... qu'aujourd'hui! -- O +Fille adorée! je suis un Dieu, & non pas un Home... Mais tu +m'as fait trop bandér: ta précieuse faveur?... ou.. +j'aurais... une colique spermatique épouvantable-! Et je +l'enlevái vivement dans mes bras; je la portai dans le cabinet +obscur. + + + + +XII Chapitre. + +Chap. Du plus delicieux des Incestes. + + +-- Vous voila tous! (me dit-elle); & mon Papa lui-même ne me +rechèrche que pour ce trou-là! -- Et pour ton cùl, tes tetons, +ta bouche, tes ïeux, ta tâille voluptueuse, ton tour +provocant, ta jambe, ton piéd foutatif, ton âme naïve & +virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour te rendre putain-. +En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée +qu'elle était sur le foutoir, & je me disposais à le lui +mettre en levrète: mais il la falut pomader. Elle reprit: -- +Mais c'est ma faute! ces recits-là enflâment tous les Hommes: +Timorì n'a été prêt à me deflorer qu'une seule-fois; & ce fut +après ce même recit moins detaillé-. Cependant elle faufuyait, +pour que je ne l'enfilasse pas. Je m'en plaignis tendrement: -- +Tu veux donc me rendre malade, ma chère Fanfant-? Elle +s'attendrit; ses beaux grands beaux ïeux bleus devinrent +humides: elle se cambra, pour me l'inserer elle-même, & me +dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la +pomade: -- Quand ma Soeur & moi nous voüs l'avons vu tant de +fois mettre ainsi à ma Mère, sur le piéd de votre lit, vous +criiez de plaisir!.... n'aléz pas en faire autant! Vitnègre +peut revenir-? Je lui promis le silence, telles delices que +j'éprouvasse... J'enconnais. Ma Belle fesait de petits +mouvemens de contraction du Conin. Jamais satin ne fut aussi +doux que l'interieur de ce Conin celeste: Conin encore imberbe +n'est pas plüs étroit! -- Hâ! si ton Gueux avait connu le prix +de ton divin Con, il t'aurait defoncée, eússes-tu dû en perir. +-- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir: Il +se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une +fesse, & decharge... en... blasphemant-. (Elle se contracta, +et dechargea). Je partis alors delicieusement, en me recriant, +malgré ma promesse. -- Remue du croupion (ne cessais-je de +dire), remue du Conin, mon Ange?... Bon,.. bon!.. encore? +encore-?... Et elle se contractait, en redechargeant, au-point +que le fond de son Con me pinçait, & me suçait le bout du +vit.... Je dechargeai trois-fois, sans deconner: & elle, +peutêtre dix-fois. Ce que je sentais à ses tremoussemens +convulsifs. Enfin, elle se pâma... Je deconnai, dès qu'elle +cessa d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que +Vitnègre, en arrivant, ne lui prît & ne lui flairât le Con, +suivant son usage, même devant le monde qu'il amenait. + +Pour nous reposer, nous alames causer à la lumière. Je lui +revelai là toute l'avanture du Moine, pour lequel Vitnègre lui +avait fait si longtemps tenir en vue tetons, cùl, Conin: je +lui peignis la grosseur du vit du Moine, le double de celui de +son Monstre: la joie barbare qu'avait marquée l'execrable +Moine, à-côté duquel j'étais caché, de la pourfendre & de la +tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de +carosse... Elle se jeta dans mes bras: -- O mon cher Papa? +sauve-moi? & je te suis devouée à jamais? -- Je te sauverai.. +Je lui expliquai comment, & pourquoi le gros Moine s'en était +alé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait +entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui detaillai comment +son abominable Mari me l'avait livrée, comptant la donner au +Moine, auquel elle était vendue. -- Tu sais, ma ravissante +Fille comme je te l'ai mis? c'est moi, contre tout espoir & +toute vraìsemblance, qui ai ravi à nos Ennemis, ton celeste +pucelage-? + +Conquète me donna un joli baisér sur la bouche. -- Mais comment +me sauveras-tu? -- Je viendrai te prendre dans une heure; je +t'emmènerai; tu coucheras dans ta pension: Aussitôt que tu +seras en sûreté, je ferai entrer dans le cabinet obscur, avec +ta cléf, & coucher dans ton lit, la jolie Putain du Port-au-bléd, +deja prévenue, comme pour y coucher avec moi. Je +guetterai: Dès que Vitnègre & le Moine seront arrivés, je +m'échapperai. J'écouterai; et nous verrons demain-. Ma Fille +fut ravie.. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener au +moment même. Aulieu de cela; je m'amusai à lui faire raconter +la seconde et la troisième nuit de son mariage. + + + + +XIII Chapître. + +Chap. Du Con & du Cul vendus. + + +Voici comme ma celeste fille reprit la narration que je +désirais: + +-- Le second soir, Vitnègre recomença les mêmes choses. Il me +prenait legèrement la gorge: -- Ferme comme un gland-! +(disait-il)... Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à Quelqu'un +(ce qui n'était que trop reel!) Après avoir mis en vue ma +Conque, il me tournait pour faire voir mes fesses. -- Elle est +encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à lui-même): +pour la perforer, il faudrait la pomader en diable, & se +pomader à soi-même le v...-. Il me gamahucha violemment; & +quand j'eús émis suffisamment, selon lui, il me laissa +reposer. Après un court sommeil, je m'éveillai couchée sur le +ventre, ayant sur moi un Homme, qui s'efforçait de +m'introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais +quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs douloureux, il ne +put jamais s'ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce +fut son expression, prononcée très-bas à Quelqu'un). +J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci: -- Il faudrait qu'un +v... moins gros que le mién, me la fraye... Voyons, toi! Trop +gros, de beaucoup-!... Je n'y comprenais rién. Je m'endormis, +& ne m'éveillai plus. + +Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la +rosette, & plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit +coucher sur le ventre & retrousser. Il se mit sur moi, en +disant: -- Il faut que j'en tâte de ce ragoût de Bougre-. Je +lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit. -- Ça va +jusqu'à toi (me repondit-il), & ça te passe.... Hâ! que +d'argent me vaudraient ces deux Bijoux-là, s'ils étaient +connus-! Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures +durant sans succès, & finit, parcequ'une copieuse dech--ge... +lui ôta sa roideur & ses forces.... + +Le troisième soir, il repeta encore tout ce qu'il m'avait +fait... A mon reveil, dans mon premiér somme, je me trouvai +sur le dos, ayant un Homme sur moi, qui m'attaquait le Bijou +de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit: "Decharges +tu, ma Fille"? On me quitta, & Vitnègre ajouta: -- Si tu cries +comme au feu, dès que je voudrai te le mettre, nous voila +bién!.. Alons, empoigne-moi le vit, que je dech--ge... +Chatouille-moi les coui-les de l'autre main... Tiéns, comme je +fais à ton C-n. Va, va, va... vaah-. (Il ne m'appelait encore +ni Putain, ni Garse; ce ne fut qu'aubout de six semaines). +Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait +l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai +cet Homme plûs d'une heure. Il en fut une autre à me +gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui +pisser dans la bouche, & n'en perdit pas une goutte, il avala +tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas été dans une +securité parfaite, je me serais bién aperçue, que Vitnègre le +reconduisait, en disant. -- L'operation, l'operation-! Mais me +doutais-je de rién?... + +Je rebandais, malgré quatre decharges, et deja je disais à ma +Fille: -- Conin celeste, je n'en puis plus?... Je ne te +cacherai pas, ma delicieuse Amie, qu'outre ma passion pour +toi, qui est inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif +puissant: c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il +était possible sans triturer tes charmes divins, que toute la +Terre te passât par le con, pour qu'il fût le cornard +universel... Viéns me donner le bonheur-? Et je l'emportais, +quand nous entendimes tourner la cléf. Je me cachai aussitôt +dans le cabinet obscur.. C'était Vitnègre, qui rentrait avec +un Jeunehomme. Nous entendimes clairement, qu'il lui disait +avant d'entrer: -- Tu as le Vit cumme il le faut: c'est ce qui +me fait te donner pour six bougres de louis, un pucelage qui +en vaut mille. Il est essenciel que je te surprènne, et +veuille la tuer: Tu me supplieras, et je n'accorderai sa +grâce, qu'autant qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes +gros Vits s'ennuient de ne pouvoir la Foutre ou l'Enculer. Ils +me paient une grosse pension: Aussi je la nourris bién, et tu +vois comme elle est mise. Tu me l'enconneras dabord: c'est le +plus pressé: Demain, tu l'enculeras. Sache que son Mari +l'adore; s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes +ses volontés. Elle me vaut trente-mille francs, en trois mois +de mariage. Entrons: elle va te ravir: mais point de pitié-? +Tel fut le discours du Monstre.... Je poussai Conquette devant +moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi. +Il était nuit. Je pris Conillette la putain, arrangée, +appetissante. Conquette nous précedait. Rassurée par ma +présence, elle ouvrit le Cabinet obscur. Elle entra. Nous la +suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur +le pied du lit... Cependant ma Fille se présentait. Elle fut +reçue avec transport? Le Jeunehomme, appelé Lenfonceur, et +Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa +que la main. Vitnègre neanmoins, qui (de même que les trois +Fouteurs à gros vits, et le Moine), était fou de sa chaussure +à talons minces élevés, lui baisa le piéd. Il lui dit ensuite: +-- Ha-ça, ma Fille, alons-y par la douceur: Il serait +malheureux pour moi de renoncer à te le mettre: il faut se +faire une raison: mon Vit est trop gros: non préparée, il te +dechirerait: Voici un vit mieux proportionné, qui va te +perforer, sans decharger: ainsi percée, mon gros Vit penetrera +cette nuit au fond de ton con: Voi-moi ce vit-là-?... Et il +mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plütôt de Timori... Il +falait que Vitnègre eût decouvert, on ne sáit comment, +l'inclination de sa Femme inspirée par le beau Blond, pour en +user come on va le voir. + + + + +XIV Chapitre. + +Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. + + +Ma Fille, en reconnaissant son Amant, que son Mari lui amenait +pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de desir. Elle +trouva moyen de venir à moi, pour me dire: -- Faites +disparaître la Fille; on ne l'emploiera que cette nuit-. Je +vis bién qu'elle voulait être foutue par son Galant. Je cachái +la Putain. Voici maintenant le recit de ce qui va se passer: + +Dès que Conillette se fut comodément arrangée derrière le +grand sofa, Conquette retourna auprès des deux Homes, qui la +rapportèrent au foutoir, assise à cùl-nu sur leurs mains +unies. "Alons, ma Petite Garse de Femme, (lui disait +Vitnègre), tu vas pourtant être depucelée, foutue! Mais ce +n'est rién! c'est quand tu auras Un gros Vit, cette nuit"!... +Il la troussait, l'arrangeait. "Lenfonceur, que je te mette le +vit dedans? "Non, non; ma Belle se le mettra elle-même, "Tu as +raison: Il faut qu'elle s'y accoutume". Vitnègre sortit, ét +j'observai qu'il laissait la porte ouverte. J'en augurai +quelque noirceur: Mais j'étais là... Timorì, bién-bas, dit à +ma Fille: "Vous le mettrai-je, ma bonne Amie? "Non, non! il +est alé chercher des Ecoutans [ce mot glaça Timorì]. "Mais il +vous estropiera? "Je ne couche pas ici". Alors l'Amant +satisfait, se mit à la gamahucher doucement. Cependant la +Voluptueuse dechargea... + +Elle était aux Anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je +crus qu'il amenait le Moine. Il entra, passa rapidement, suivi +de trois Voisines, auxquelles il disait, -- Je vas vous +montrer-ça-. Effectivement, il Leur montra que que-chose dans +sa chambre... Cependant mon amoureuse Fille, gamahuchée par Un +Amant aimé, fit un profond soupir. Les trois Voisines +prétèrent l'oreille. "Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma Femme +est rentrée, ét je ne le savais pas. C'est pour elle cette +étofe-là. "Hô! il faut la Lui montrer! (s'écrièrent les trois +Voisines). Le Monstre retint Celle qui alait La chercher. Il +prit la lumière, en disant. "Je vais auparavant voir si elle +ne dort pas". Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air +de surprise ét d'horreur!... Il recula. Mais les trois +Voisines avaient vu comme lui, pardessus son épaule, Conquette +troussée, étendue à la renverse sur le piéd du lit, la tête +d'Un Homme entre ses cuisses... Il Les fit sortir par le +corridor, en se frappant le front... + +Il avait rempli son but. Si sa Femme criait pendant la nuit, +les trois Voisines, qui se croyaient bién au-fait, y +mettraient les Autres: Sì Mad. Vitnègre perissait écalventrée +par le timon du Moine (qui étant extrêmement riche, devait La +payer 60-mille francs, ét qui en avait deja tué plusieurs, +choisissant toujours les plüs étroites), ce serait la Morte +qui aurait tort... Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux +Amans, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après avoir +dechargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma Fille: +"Hé-bién? (dit l'infame Mari), est-elle enfilée? bién +enconnée?... Dechargéz vous? decharge-t-elle? "Nous avons +dechargé (repondit Timorì-Lenfonceur). "Je vas sortir (reprit +Vitnègre): Ramone-la moi encore pendant une bonne demi-heure, +que je serai dehors... Et ne vous étonnez pas de ce que vous +aléz entendre: J'ai mes raisons". Il ala dans le corridor, +dont il ouvrit doucement la porte, ét se mit à crier +sourdement, comme s'il avait bourré sa Femme à coups-de-piéds, +"Hâ Garse! hâ Putain!... Tu fous, sacrée Salope! Quand je suis +sorti, tu raccroches!... Je vais chéz le Commissaire"! Il +ouvrit la porte bruyamment, ét la referma de-même. Mais il dit +tout-bas, avant de s'éloigner: "Remue du cùl, ma Petite +Femme!... Courage; Lenfonceur! fraye-moi la bién"! + +"Voila un rusé Scelerat! (dis-je à ma Fille, pendant que +Timorì observait la sortie de Vitnègre): Le Moine t'aurait +tuée, ét il ne neglige rién pour motiver ta mort. "Sauvons-nous! +(me dit-elle). "Non, non: nous sommes asséz pour te +defendre. Feins à Timorì que j'arrive-... Le Jeunehomme +rentra. "Voici mon Papa, arrivé a-propos! "Hâ-oui! (repondit +Timorì), sa présence pare à tout; car j'alais proposer de nous +enfuir. Mais à-présent, voyons ce qui arrivera". Je Lui +montrai Conillette, ét je lui fis entrevoir notre plan, que +Timorì trouva merveilleux!... Le temps s'écoula vite. Nous +entendimes revenir. Timorì reporta la lumière dans la chambre; +nous nous cachames ma Fille ét moi; tandis que le Jeunehomme +s'étendait sur le ventre de Connillette troussée... "Que ton +vit ne m'approche pas! (lui dit-elle), je suis gâtée; que tes +couilles ne me touchent pas le poil; jai des Morpions-!..... +Vitnègre entrait, suivi du Moine, que le Voisinage aux +fenêtres prit pour le Commissaire. + + + + +XV Chapitre. + +Chap. Du Fouteur à la Justine. + + +Le Moine ôta dabord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il +mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux, que ma Fille +tremblante m'étreignit dans ses bras "Hô! qu'il est gros (dit +Vitnègre). "Il a tué deux de mes Soeurs Religieuses, qui +avaient fait chacune deux Enfans de notre Prieur: J'ai tué +toutes les Femmes que j'ai enconnées: il n'y a que ma Mère que +je n'ai pas écalventrée; mais je n'eüs pas de plaisir; La +Vieille Garse ne saigna presque pas! j'eüs peu de plaisir... +Pour ta Femme... hâ. quelle rage!... Mais elle est foutue... +elle sera morte avant que j'aye achevé de l'enconner... Je +l'enculerai expirée... Je t'en apporte le prix: 60-mille +francs en billets de la caisse.... Vitnegre le compta; les +serra. "Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! "Tu te fous +de moi!... Apres, après: elle sera encore chaude".... Je +fremissais! et comme j'avais deux Pistolets chargés, je fus +tenté de brûler la cervelle à ce Monstre: mais il alait avoir +la verole... "Vouléz-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir +le con? sa jolie figure? "Non! cela m'amollirait le vit.... +Conduis-moi sans lumière". Ils vinrent à tâtons. + +Vitnègre précedait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une +Femme seule, ét troussée, il voulut Lui mettre, en soupirant, +sa langue dans le Con. Elle L'en empêchait, quand le Moine +faillit de l'écrâser, en tombant sur la Fille. Vitnègre fut +obligé de se retirer a quatre -- Le 1ér acte du Père Foutàmort +(comme Vitnègre Le nomma), ce fut de mordre le bout des tetons +de sa Monture, en Lui dardant son engin, qui ne pouvait entrer +dans ce vaste Con, encore élargi par une éponge, que la Fille +venait d'en ôter. Conillète fit un cri perçant! et se sentant +dechirer le Con, elle voulut se derober, en égratignant des +deux mains. Foutàmort, qui savait bién qu'elle ne pouvait en +échapper, ét dont le plaisir était d'autant plüs grand à tuer +une Femme, qu'elle était plüs belle ét plüs étroite, ne la +menagea pas: tout en l'écartelant, il lui arracha le bout des +seins avec ses dents. Un profond évanouissement, ou la mort, +fit cesser ses cris... Je me repentis de n'avoir pas dabord +tiré un coup de pistolet à bout-portant dans la tête du +Moine... Mais les Voisins au bruit auraient peutêtre enfoncé +les portes: ce fut ce qui me retint... Foutàmort parvenu au +fond du Con de la Fille écalventrée, dechargea enfin en jurant +ét rugissant. + +"Fous un coup (dit-il à Vîtnègre), avant que j'encule la +Garse"? Le Scelerat vint: mais sentant un cadavre plein de +sang, il se retira. "Elle est morte! (dit-il). Foutàmort la +tâta: "Non; le coeur bat encore: vite que je l'encule". Le cùl +de Conillète était bién plüs étroit que son con; le Moine +haletait. Il en vint cependant à-bout: car il dit à Vitnègre: +"Je n'ai fait qu'un trou des deux". Et il dechargea +horriblement!..... + +Ma Fille épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps. +Vitnègre pleurait: "Ma pauvre Femme! je t'ai livrée à ton +Bourreau! "Ne te L'ai-je pas payée? (dit le Moine): Elle est +bién à moi... Ainsi, va te coucher, ét fous tes 60-mille +livres: tu me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore +chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq à six fois le cùl +ét le con de ma Putain". Vitnègre ala se coucher dans un petit +cabinet, où il s'enferma. + +Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablemt sur sa Victime +expirée.... Enfin épuisé, il ala chercher la lumière, pour en +repaître ses cruels regards... J'ai dit que la Fille était +jolie. "Elle est belle encore! (dit le Monstre): Mais la +figure de la Putain est toute bouleversée; elle ne se +ressemble plus à elle-même... Il lui regarda le Con, en lui +soulevant le cùl... Il la laissa retomber, en éclatant de +rire: "Ma-foi, la Gueuse n'a plus qu'un cùl, ou qu'un Con... +je ne sais lequel... Mais est-elle bién morte"?... Il la +deshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur une +grande table; ala prendre un vaste saladiér; tira un bistouri +[Nous Le voyions par la cloison vîtrée]: "Decharnons-La". Il +lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout-entière, +la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui arracha le +coeur, les poumons, le foie, La vessie, La matrice; La +retourna, Luî enleva la chair des fesses, lui coupa les piéds +chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il serra +dans l'autre. Il La retourna encore; Lui coupa la langue, la +tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite chercher sa +chemise ét un drap du lit, en disant: "Voila un bon regal pour +nos Moines ét pour moi". Le terrible Anthropophage mit le +saladiér dans la chemise; ensevelit le corps dans le drap; fit +lever Vitnègre pour le coudre; puis il Lui dit de publier le +lendemain, que sa Femme se mourait; de La mettre le soir dans +une biére, ét que Lui Moine se chargeait de La faire enterrer. +Et après Lui avoir recomandé de bién effacer au grand jour +toutes les traces de sang, il sortit vërs les 3 heures du +matin, emportant son saladiér de chair humaine. + +Vitnègre pleura dabord. Mais nous ayant entendu remuer, pour +sortir, le Lâche eüt une frayeur si grande, qu'il ala +s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortimes donc tout à +notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous +entendimes les Voisins qui disaient fort-bas: "Il ne l'a pas +tuée; voilà qu'On l'emmène"!... Nous nous mimes à fuir par de +petites ruës, dès que nous fumes dehors, de-peur d'être +suivis. Et bién à-propos! nous entendimes courir. Mais On ne +prenait pas notre chemin. Je remenai ma Fille à sa pension, +laissant là Timorì, pour observer, ét lui promettant de +revenir dans une demi-heure. + +"Voila donc (me dit-elle), quel serait à-présent mon sort, si, +en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre +depart! O mon cher Papa! tout mon corps est à vous, pour en +faire ce que vous voudréz"! Je lui demandai sa bouche. Elle me +darda sa langue; et nous arrivames. Je lui dis de se coucher. +"Non, non! ét mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les +avoir"? J'admirai sa présence d'esprit!... Il était près de 5 +heures. Je courus rejoindre Timorì, qui se promenait devant la +porte. "Rién encore" (me dit-il). Un instant après, nous vimes +sortir Vitnègre. Timorì le suivit, ét j'alai chercher ma +Fille, sa présence nous étant necessaire, si d'officieux +Voisins nous arrêtaient. A mon retour avec ma Fille, ét deux +Crocheteurs, je retrouvaì Timorì, qui nous dit que Vitnègre +avait passé le boulevard. Ma Fille ouvrit: Nous chargeames +quatre malles préparées, mais cachées, nous sortimes sans être +vus, ét nous alames par des rues detournées, chéz mes Affidés. + +Ce fut alors que ma Conquète fut tranquille! Elle se coucha, +ét nous alames reposer chacun chéz nous Timorì ét moi + + + + +XVI Chapitre. + +Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. + + +Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont +agu rrir ma delicieuse Conquette-Ingenue, ma ravi sante +Victoire-Conquette, faire leur fortune, la miénne, en leur +ôtant une fausse delicatesse, & decouvrir une chose admirable, +qu'On ne verra qu'à la fin. La route que je vais prendre; pour +former ces deux Belles & leurs Compagnes, étonnera dabord! +mais en toutes choses, il faut attendre le derniér resultat... +Reprenons ce charmant Recit, en fesant préceder quelques +fouteries préparatoires, qui amèneront les grandes. Mais il +n'y aura plus dans le reste de l'Ouvrage, aucune horreur qui +ressemble à celle du Moine Foutamort. Les horreurs à la Dsds +sont aisées à présenter; c'est la peinture de la douce +volupté, qui est le chéfd'oeuvre du Genie. + +La première visite que reçut Conquète, le lendemain, jour de +son enterrement, ét à la même heure, fut celle de Timorì. Il +La trouva chéz ses Hótes. Il venait Lui raconter, comment, +après étre morte la nuit précedente, elle venait d'étre +enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or, +j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous, +mais sur le derrière, un petit Magasin, où je cachais chaque +N° de mes ANNALES, que supprimait le Gouvernement d'alors. Ma +Fille y devait faire mettre son lit, le soir même: il y aurait +sans-doute été deja; mais elle ne fesait que de se lever. J'y +avais placé pour mon usage, celui de mon Secrétaire, de sa +Soeur, de sa Maítresse ét de sa Bellemère, un Foutoir comode, +dans le ventre duquel on pouvait parfaitement se cacher. +[Vitnègre en avait un tout pareil, dans lequel il se mussait, +quand Un de ses trois Payeurs venait, pour essayer de +depuceler le Con ou le cùl de sa Femme, qu'il appelait, sa +Poule aux oeufs d'or: il voulait tout voir, craignant qu'Un des +Trois ne la Lui enlevât: C'était aussi par volupté; il était +passionné pour la chaussure de sa Femme: Lors donc que +tendrement gamahuchée par Un des trois Bougres (car ils +l'adoraient, ét ils vont bién La regretter); elle émettait, il +lui tirait un souliér, qui se trouvant étroit vërs la pointe, +lui servait de cou: Aussi disait-il à ses Intimes: "Je n'ai +jamais foutu ma Femme qu'en souliér"]. Conquette sentant bién +que Timorì avait bién des choses à luì dire, ét qu'il ne +pouvait parler, prétexta qu'elle avait laissé dans mon magasin +une Lettre à Lui montrer. Elle avait une double cléf: Ils y +descendirent ensemble. + +Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma Fille, sa +voix basse, ét celle de Timorì. Je me cachai dans le Foutoir. +Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la +couvrit du matelassement qui empêchait qu'On ne fût entendu +audehors, ét ils s'assirent sur Moi. + +"Hâ! Madame (dit Timorì), quelles scenes!... Il avait +decouvert que je vous aimais, à mes regards, ét parcequ'un-jour +étant avec Lui chéz vous, pendant qu'Un de vos Acheteurs +vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la derobée une +de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non-seulement +que vous m'aimiéz, mais que je vous fusse connu. Hiër, à 3 +heures, m'ayant trouvé au Caffé, il me dit: "Je ne saurais +depuceler ma Femme; j'ai le Vit trop gros: Tu es beau garson; +je tai choisi, pour La depuceler aujourd'hui, à l'instant; je +te demande seulement six louis, qu'elle aura pour ses +épingles". Je les Lui donnai surlechamp, ét nous partímes... +Vous savéz le reste... Ce matin, après vous avoir quittée, +j'ai été me reposer jusqu'a 10 heures, que j'ai été à mon +Bureau. Maìs passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai +entendu deux Voisines qui se disaient fort-bas: "Le Confesseur +y est! ce n'est donc pas elle qu'On a emmenée cette nuit".... +L'infame m'a ouvert. L'horrible Moine était avec lui. Un Frère +avait apporté la biére bién enveloppée, et il recitait tout-haut +des prières auprès du Cadavre dans le cabinet obscur. +"C'est un Ami (a dit Vitnègre)... Ma pauvre Femme est morte! +"Morte! (ai-je dit). "Elle est expirée dans les bras du +Reverend Père" J'ai fremi de l'expression!... Le Moine a dit: +"J'ai fait toutes les demarches: nous avons la permission de +l'enterrer sans bruit: ce sera pour 3 ou 4 heures". Je suis +sorti... + +En revenant de dîner, vërs les 4 heures, je suis repassé. Deux +Prêtres, quatre Porteurs, le Moine ét le Frère, ont emporté le +corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des +évènemens... Je les observerai. + +Ma belle Amie! On vons croit morte: vous êtes libre: +M'accorderéz-vous vos précieuses faveurs? "Mon Ami! (repondit +modestemt Conquette), je commence par vous remercier de +l'important service que vous m'avéz rendu! mais Un-autre m'en +a rendu un plüs important encore: seul il m'aurait sauvée: Si +mes faveurs étaient encore à Moi, elles seraient à vous. Mais +elles sont a mon premiér Amant, qui caché, a decouvert toute +la trame: Il venait de me deflorer; il me l'a mis encore +après. C'est votre unique Rival: mais il est adoré: son nom, +que je vaìs vous dire, va vous prouver toute mon estime, ét +que vous avéz toute ma confiance: C'est mon Papa"... A ce mot, +Timorì tomba aux genoux de son Amante: "Fille angelique! Fille +divine! (Lui dit-il), je reconnais là votre piété filiale ét +la beauté de votre âme! Foutéz avec votre Père; que lui-seul +vous enconne! Vous seriéz digne de foutre avec Dieu, si Dieu +foutait!... Mais je demande à vous gamahucher, ét si votre +Papa le permet, à vous enculer? "Mon aimable Ami! (lui +repondit Conquette, en le caressant de la main), vous êtes +bién raisonnable"!. + +Timorì se deculota, Lui mit dans la main un vit à pucelage, +plüs petit que le mién, se fit chatouiller les couilles, ét La +voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timorì La renversa, La +troussa, ét lui supa savoureusement le Con... Non, jamais l'On +n'entendit de pareils soupirs!... "Hâ! Timorì.. ta langue vaut +un vit". Elle avait émis dès le troisième coup de langue, ét +dans son delire, elle élevait ses jambes en l'air, fesait +claquer ses jolis talons, haussait du cùl, pour favoriser +l'application de la bouche de son Gamahucheur, ét +l'intromission de la langue qui lui chatouillait le clitoris. +Elle imitait sa Mère, dans ce claquement de talons: car je ne +foutais Celle-ci que de jour, soit en Con, soit en cùl. soit +en bouche, pour être excité par ce qu'elle avait de mieux, la +jambe ét le piéd: Je lui demandais le claquement des talons, +parcequ'il imitait la marche de Femme, son qui me fesait +toujours bander... Lorsque ma Fille eüt amplement dechargé, +elle écarta Timorì. + + + + +XVII Chapitre. + +Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur. + + +La celeste Conquette-Ingenue fut toujrs aussi juste que belle +& sensible: qu'On ne soit donc pas surpris de ce qui va +suivre. + +Elle se mit sur le ventre, ét lui dit: "Mon second Amì! +pommade-moi: Mon premiér Ami a eü le pucelage de mon Bijou; il +est juste que tu aies celui de ma Rosète; mon Papa sûrement +m'approuvera? "O Deesse! (repondit Timorì, en lui inserant de +la pomade dans l'anus avec une canule), que tu es raisonable! +Il aura le Conin, Moi la Rosète, ét nous jouiront chacun d'une +fouterie à nous-seuls". Timorì enfonça, malgré quelques petits +cris de ma chère Fille, et après de vives saccades, il +dechargea, en s'écriant: "Foutre! foutre! quel cùl.. quel +plaisir des Dieux"! Et il se pâma... Il fut épuisé, ét de +sperme ét de forces, par ce coup seul... Aussi se rapela-t-il, +à mon grand contentement, qu'il était atendu à 7 heures. Il +laissa l'amoureuse Conquète-Ingenue étendue sur le lit, après +l'avoir remise sur le dos, afin de Lui donner quelques coups +de langue au Con, pour baisér d'adieu. Il aluma sa bougie, +sortit, ét tira la porte. + +Aussitôt je quittai ma cachette, ét je m'élançai sur mon +adorable Fille, que les trois dardemens de langue avaient +émue, ét dont le Con oscillait vivement. "Quoi! vous étiéz là? +"Oui, ma Divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une +érection terrible! "Adoré Papa, foutéz... foutéz-moi! (ét +c'est la première-fois de sa vie qu'elle prononçait ce mot); +je n'en puis plus moi-même"... Elle me saisit le vit, ét se le +mit dans le Connin: "Pousse! (me disait-elle): Il entre.. +Pousse! vit de Dieu! vit paternel! émets du foutre dáns le Con +de ta Fille"!... En parlant ainsi, elle remuait tellement du +cùl, que je me trouvai biéntôt au fond de son Connin. Vive la +fouterie ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante! +J'avais la bouche, la langue, les blancs tetins de ma Fille, +ses caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au +double dans Une Femme qu'On fout, ses doux propos: "Chër Vit! +Vit divin! comme il me chatouille le Con!... Pousse!.. Hâ! +Bougre! je me pâme... Je dechar...arge du fou...outre!... Ta +langue! chër Amant! Enconneur adoré!... Hò je redecharge, Fous +Sacrébougre! Suce... mordille-moi les tetons"!;;; Je +dechargeai delicieusemt à la seconde émission de ma celeste +Fille. Au fond de son étroit Connin, je me sentis adorablement +pincé par ce que le Vulgaire appelle le clitoris, ét les Gens +de l'art, le bas du conceptoire ou de la Matrice; cet organe +de volupté, qui n'est atteint que par un vit long, me suçait +le bout de l'engin dechargeant... Et cette idée delirante, en +me voyant sur la plüs belle des Femmes, renversée sur le dos, +bién enconnée, se pâmant de plaisir, "Je fous ma Fille... Je +lui decharge dans le Con... Nos foutres mêlés peuvent lui +faire un Enfant tout de moi... Je fais cocù le gueux, le +scelerat de Vituègre! Je fous sa Femme, qu'il croit morte, +qu'il n'a jamais foutue... Nous La foutons, Timorì ét Moi, +l'Un en Con, l'Autre en cùl, tandis que le vil Jeanfoutre se +branle le vit à sa divine intention... Il la croit écartelée +par le Vit-timon de son exécrable Moine... ét son étroit Conin +decharge avec nous, comme celui d'une Princesse, foutue par Un +Jeune Garde-du-corps!... Ces idées, rapidement roulées dans +mon imagination, doublaient, triplaient ma volupté..... + +Ma Fille me fit déconner: "J'en suis pleine, me dit-elle; le +devant, le derrière; il faut que je me purifie". Je courus lui +chercher de l'eau tiède chéz son Hôtesse, Mad. Brideconin, que +je trouvai seule auprès du feu, des tetons blancs comme neige +découverts. Je les baisaí, pris l'eau qui chauffait pour elle. +Son Mari me dit: "Je viéns de le Luì mettre, à l'intention de +votre Fille, la charmante Mad. Poilsoyeux (nom que je lui +avais donné, pour qu'elle ne portât pas celui de son ìnfame +Mari). Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les +charmes secrets de ma Deïté. Il y avait un peu de sang à la +rosette, ét même au Conin. "Hé! quoi, ma Delicieuse, tu as +donc encore souffert? "Oui, mon chër Bourreau: mais le plaisir +l'a toujours emporté, même en cùl"... Conquette purifiee, me +dit: "J'étais si pressée de jouir avec vous, que je n'ai pas +pris le temps, Papa-Sauveur, de vous demander votre sentiment +sur ce qui s'est passé entre Moi ét Timorì? "J'ai aussi bién +des choses à vous dire là-dessus, mon Ange: mais nous alons +souper. Vous avéz besoin de repos, ét Moi aussi; ce sera pour +demain"... Je lui donnai la langue; elle me darda la siénne; +je baisaí les boutons rose de ses tetons, ét nous alames nous +mettre à table. + +Pendant le soupér, je racontai à M. ét Mad. Brideconin ce +qu'il falait qu'ils sçussent de la prétendue mort de Mad. +Poilsoyeux, afin qu'ils ne la compromîssent jamais. Pendant le +repas, notre Porteur-d'eau ét sa Femme placèrent le lit de ma +Fille dans mon magasin; ét dès qu'il fut arrangé, nous y +descendimes ensemble. Ma belle Amie me dit: "Je crois que +j'aurai peur: priéz Mad. Brideconin de venir coucher avec +Moi"? "Je vais rester, ma Reine. "Hâ! j'aime bién mieux cela! +non pour jouir; mais pour que mon Amant-papa s'endorme sur les +tetons de la Femme de Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou +qu'il ne .. qu'un de mes vieux souliérs. "Ma divine Fille? +(repris-je), je vais, dès ce soir, te dire ce que je voulais +remettre à demain. Couchons-nous". + +Je deshabillai ma Deesse come Une Nouvelle-mariée, baisant +tout ce que je decouvrais. Tous-deux au lit, je l'assis sur +mon vit: + + + + +XVIII Chapitre. + +Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée. + + +Ami Lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plüs +savoureuse volupté, en me rappelant ces momens enchanteurs, +que m'a procurés ma Conquette-Ingenue-L**! + +"Appuie lentement, ma Reine; que je t'enfile sans limer"? Elle +le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui dis: "Tu +sais, très-cherie Fille, que j'ai tout vu, tout entendu. Tes +sentimens divins à mon égad, m'ont penetré de reconnaissance +ét d'admiration... J'approuve entièrement que tu ayes donné à +Timorì le pucelage de ton beau cùl. J'accepte avec transport +ton dévoûment pour Moi. Mais, celeste Fille! c'est à ton +interêt, à ton bonheur, que je me propose de le faire servir. +Je ne prétens pas, tel qu'Un Sultan, te garder pour mes +plaisirs exclusifs. Tu auras Un Payeur. Lequel des trois +Hommes auxquels ton pucelage était vendu, aurais-tu préferé? +"Le plüs honnête, incomparable Papa: mais c'est justement +Celui quì l'a le plûs gros. "Je te ferai donc élargir le Bijou +par Un gros Homme de ma connaissance: Il n'est pas aimable: +mais Un Homme aimable pourrait t'épuiser, en te fesant trop +decharger; outre qu'il pourrait te prendre le coeur; ce qu'il +ne faut pas; Un Fouteur préparatoire ne doit te prendre que le +con... Ni Moi, ni Timorì ne te suffirions point; nous n'avons +pas le vit asséz gros; ce ne sont que des vits à pucelage. +Mais j'ai plusieurs Ressources... Je sonderai Celui que tu +préfères; puis les deux Autres, s'il ne fait pas ton affaire. +Je les ai épiés: Je sais leur adresse; je ne nous +compromettraí pas. Je ne te demande que de la soumission? +"Entière! divin Papa". Elle se tremoussa un peu, ét dechargea. +"S'il te surviént beaucoup de temperament, comme je crois +l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu +verras comme tu seras régalée!.... Je ne suis plus d'un âge à +te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de +jolis Jeunesgens, graduant la grosseur des vits". + +Ici, ma provocante Fille s'agita, en me disant: "Mon cher +Vit-papa! permets que je foute en con à l'intention de Timorì, le +Vit de mon cùl? Tu m'as convertie; il m'enconnera, mais en ta +présence. "Oui. oui"... Je la saccadai. Elle s'écria: +"Fourgonne.. Vit de mon cher Timori! fourgonne mon Con! Fais-moi +pâmer! Bougre.. foutre.. Ramonne.. ramonne!... ze deçarze! +Et elle dechargeait, en se roidissant: "Hahaha, mon Papa! +hahaha! hahaháh"! (avec un lông soupir)... Je n'ai jamais eü +tant de plaìsir, qu'à cette decharge... Nous avions de la +lumière: ma Fille se mit sur le bidet, pour se rafraîchir le +Bijou, tandis que je me mettais le vit ét les couilles dans +l'eau froide, pour me faire debander. Je demandai à ma Fille, +Qui lui avait appris les expressions dont elle s'était servie, +en déchargeant? "Des la troisième semaine de notre mariage (me +répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec lui sa Filleule, +femme d'Un Espion de Police: cette Femme, par les ordres de +son Parein, feignait de delirer, quand il l'enfilait; ét voila +quels étaient ses propos, avec beaucoup d'autres, qui +n'auraient pas été placés pour nous, comme Gros-bondon, Chién +de Vit de mulet, Foutàmort le cadet! etc" Nous nous remimes au +lit, ét nous nous endormimes enlacés. + +Le matin, je renouvelai mes instructions à ma Fille. On +frappa. C'était Mad. Brideconin, qui parla. Je me cachai dans +le foutoir. Elle apportait le dejeúnér de Mad. Poilsoyeux. "On +cherche Une Fille du Port-au-bléd (dit-elle), disparue depuis +avanhier-soir. Une de ses Pareilles a dit, qu'elle devait aler +coucher avec Un Homme de 40 ans, qu'elle avait dit Avocat, +mais qui est Chirurgién; qu'ils l'ont tuée à deux pendant la +nuit, ét dissequée. C'est peutêtre votre histoire, qu'On +denature comme ça? Mon Mari doit aler s'informer". Elle +sortit; ét je vins dejeûner avec Conquète. Je la laissai, en +promettant de la voir à dínér. + +Je fus exact. Brideconin était sorti. C'était effectivement de +Conillète, dont il était question. Le Commissaire ét les +Mouchards visitaient toutes les maisons de la ruë: mais On ne +trouvait rién. Je changeai de costume par précaution... Je +revins le soir, ét ne couchai pas. Je me reposai trois nuits, +et laissai reposer Conquete-Ingenue. + +On sait que j'aimais ma Fille autant pour elle-même, que pour +mon plaisir, ét que je n'entendais pas règler son appétit de +19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres +raisons. Je vais me conduire en-consequence. + + + + +XIX Chaître. + +Chap. Du Père Juste, & du Vit Grisonnant. + + +On sera sans-doute surpris de ce qu'On va lire, d'après les +sentimens que je viéns de professer!... Ne me préjuge pas, +Temeràire! Pour me connàître & prononcer, attens. + +Je connaissais Un de ces Gourmets de plaisir, gros homme +vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait +donné souvent à dînér, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y +avait fait enconner la Petite Vitsuçète, sa maîtresse, en me +La tenant lui-méme: Il m'avaìt même procuré la Fille de son +Hótesse, Petit Bijou, séduite par Un Noble, appelé De-Foutâne, +qui L'avait ensuite rendue Putain. Elle nous amusa toute une +aprèsdinée: Montencon ayant grisé la Jolie Adelaïde-Hôchepine, +il eüt la politesse de me la faire enconner le premiér, ét +chatouiller les couilles par sa Maîtresse: Ensuite il +l'encula, également chatouillé par Vitsuçète. Je La refoutis, +après que la Vitsuçète de Montencon me l'eüt lavée. Mais +Celui-ci nous dit: "J'ai mes raisons: J'embouche la jolie +Garse". L'ayant embouchée, ét lui ayant fait avaler son +foutre, en haîne de Foutâne, j'en fus degoûté, ainsi que de la +Vitsuçète, dite la Baiseuse, à Laquelle il en fesait autant: +Je n'y étais plus retourne. Ce fut cet Homme que j'invitai à +dînér dans mon petit Magasin, pour aguerrir ét m'élargir +un-peu ma Fille: (Car j'avais fait donner separément aux trois +Payeurs à gros Vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Perçecül ét +Cognefort) l'espoir de la retrouver, ou sa Pareille. + +Montencon était connu de Conquète, dont il avait foutu la Mère +avant la verole: Il n'en avait que plüs envie de le mettre à +la Fille. Je le trouvaì dans l'escaliér, en arrivant Moi-même. +Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie ét d'admiration, +en voyant Une Femme si belle!... J'avaìs affàire; je ne restai +qu'un moment, en lui disant, que je lui laissais ma Fille pour +compagnie. Il balbucia, en me reconduisant: "Elle est +ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle est chaussée! +ét quel dommage qu'Un Vitnègre ait eü ce pucelage-là? +"Vitnègre? Elle est pucelle. "O mon Ami! puis-je y tenter? ét +tâcher de mettre aumoins une corne à ce Gredin-là? "Fais-y ce +que tu pourras: Mais je doute du succès, avec ton poil gris: +Il n'y a que les Catins blâsées, qui souffrent les Barbons +vigoureux ét libertins: avec les Pucelles sages, il faut être +tendre; ét tu as la figure d'Un Satyre, ou d'Un Reprouvé. Mais +tente-s-y". + +Après mon depart, Montencon essàya dabord de la galanterie. +Mais n'y gâgnant rién, il culbuta Conquète à l'improviste sur +le FOUtoir; ét comme il était vigoureux, il lui approcha, en +la contenant d'une main, le vit des lèvres du Con... Cependant +il ne put l'enfiler; Un coup de cùl en arrière le +debusquait... Il alait La menacer de La poignarder, lorsque je +rentrai. Conquète se rajusta, sans marquer d'humeur. Je dis +tout-bas à Montencon: "Le pucelage? "C'est Un Diable! J'en +serai reduit à me branler! "Tu la foutras". + +Nous nous mimes à table. Conquète parla comme à l'ordinaire à +son Vellivioleur, ét rit même avec lui. Tout-haut, devant Moi, +il lui demanda, D'où-viént elle ne s'était pas laissée +enconner? "Fi-donc! (repondit-elle). Hé! d'où-viént l'aurais-je +souffert? "Parceque je bandais comme Un Carme. "Vous parléz +comme Un Vitnègre"... Montencon ne m'en raconta pas moins ses +entreprises, en termes savoureux: Il loua la beauté de la +Conque, le soyeux du poil, la blancheur des fesses, la fermeté +des tetins, le rosé du bouton, l'éburnité ou l'ivoire du +ventre ét des cuisses: Il extolla le piéd, la jambe de la +Belle... Conquètee, ainsi louée, rougissait, ét n'en était que +plüs modeste. Je repondis, Que j'étais le seul qui foutît ma +Fille, à laquelle j'avais sauvé la vie, ét que j'avais +deflorée, il y avait 8 jours. Et je racontai toute l'histoire. +"Vous La foutéz? "Hé! qui donc La foutra? Je suis deux-fois +son Père"... Montencon se mordit les lèvres. Conquète +m'embrassa. + +Pendant tout le dînér, nous admirions le voluptueux tour de +hanches de Mad. Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait, +pour aler demander un plat, ou qu elle donnait des assiètes. +Elle avait un joli souliér rose à talons vërts, élevés, +minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je Lui +demandai, Si elle était jarretée audessus du genou? +"Certainement! (repondit-elle); toujours. "En ce cas (repris-je), +montréz-nous la plüs jolie jambe qui soit au monde"? Elle +refusait Mais nous l'en pressames tant, que pour se +debarrasser de nos prières, elle mit le piéd sur une chaise, +ét nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire +bander Un Moribond.... Nous entrames en rut, Montencon ét Moi: +mais nous nous moderames. Cependant le grisonant Ribaud, dans +un moment où ma Fille étàit sortie, me proposa de l'enivrer, +en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin-rouge, +aulieu d'eau? Je feignis d'y consentir: Mais avant que +Conquète rentrât, j'alai audevant d'elle, ét l'avertit +de-tout. Puis j'ajoutai: "Ma raisonnable Fille: il faut qu'Il te +le mette; je l'ai amené exprès pour cela; mais je ne savais +comment faire; J'y reflechissais, quand sa proposition m'a +tiré d'embarras. Tu feindras de t'enivrer: J'en ferai autant; +ét par ce moyén, jamais il n'aura un piéd sur toi. Il a +l'engin asséz gros, quoique moyén. Après lui, je t'aurai +Traitdamour., mon ancién secretaire, Un joli Garson, qui +achèvera de t'élargir suffisamment; pour l'engin du Payeur que +tu préfères... Il est averti de ton éxistance, ét je n'ai +demandé que quelques semaines, pour Lui procurer ta vue. +Laisse-toi donc faire, ma Reine: j'empêcherai tout ce qui ne +conviéndrait pas. "Je vous suis soumise; disposéz de Moi +(repondit-elle): Je me suis trop mal trouvée de vous avoir +desobéï"!... Nous rentrames. Entre les deux portes, elle se +decouvrit un teton, ét me le fit baiser. + +Montencon avait arrangé la caraffe en vin de Champagne: +Conquète prévenue le remarqua; s'en procura une autre d'eau, +ét reserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais le +Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux ïeux et +les autres charmes de ma voluptueuse Conquète-Ingenue. + + + + +XX Chapitre. + +Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue! + + +Dès que Mad. Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, +parut dans l'état où Le Montencon La desirait, je la saisis, +la première-fois qu'elle se leva, par la tâille d'une main, ét +de l'autre, je Lui pris le con. (Outre que je desirais +vivement sa possession, je La voulais enhardir, ét préparer +son Bijou à l'admission d'un plüs gros Membre que le mién). Je +la renversai, en demandant un morceau du beurre-frais resté +sur la table. Je lui en mis gros come une noix à l'orifice; ét +je poussai. "Laisséz, laisséz-moi donc! (me disait-elle +doucement). Cependant elle remuait admirablement de la +charnière, ét le foutoir craquait sous nous... Je dechargeai, +en me recriant de plaisir!...... "A toi, Bougre".... + +Montencon debout, son gros Vit bandant à la main, nous +admirait!... J'eüs à-peine deconné, qu'il se précipita sur ma +Fille, dont le conin oscillait encore: ét doublement favorisé +par mon foutre ét par le beurre fraìs, il penetra. Conquète +fit un cri! Je m'avançai alarmé: Mais elle me sourit aussitôt. +"Enfonces-tu? (dis-je au Fouteur). "Oui, oui! sacredieu! (me +repondit-il), ét avec delices!.. Elle me pince le Vit!... +Mais.. quel connin!.. C'est un satin!... Hâ!... hâ!.. je +fous!.. Remue du cül, celeste Houri!... Re..mue, divine +Bougresse!... Con delicieux! remue... sous Moi!.. saccade.. +saccade!.. Je pa..ars!.. je decha..arge!... Hââh!...! Le +Grisonnant se pâma sur les tetons de ma Fille, qui elle-même +nageàit dans le foutre ét la volupté. J'avàis craint qu'elle +ne remuât pas asséz avec Un Etrangér: mais dès qu'elle fut +limée, elle se mit à remuer, à saccader, à osciller des reins, +à decharger avec des soupirs ét des cris... Montencon se remit +à la fourgonner, sans deconner, criant, heurlant de luxure, ét +murmurant par intervales: "Divine Garse!.. fais-toi Putain.. +ét.. je te répons. de ta fortune!.... Il recommença ainsi +trois-fois sans desarçonner. Enfin, il deconna. + +"Voila un coup qui en vaut dix, ét un con qui vaut cent, ét +mille-fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma Petite +Hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!..... Mais refous-la, mon +Ami: Une Femme vaut seize Hommes au jeu couillard; ne la +laissons, ni refroidir, ni ch mer". A ce mot, Conquète-Ingenue, +restée immobile, ét se contractant seulement un-peu, +comme si On la tenàit encore bourrée... d'un vit, sauta du +foutoir, ét courut se laver. Elle trouva de l'eau tiède +préparée. Nous fumes aussitôt à genoux devant notre Divinité, +ét nous lui épongeames l'Un le cùl, l'Autre le con, les fesses +ét les cuisses: car elle était pleine de foutre et d'un-peu de +sang, prenant garde de mouiller ni sa chemise, ni ses bas; +nous la fesions se tenir troussée audessus des reins.... Après +une scrupuleuse ablution, nous l'avons admirée: car elle étàit +ravissante à cùl ét à con decouverts? Nous l'avons fait +marcher ainsi, ét nous avons vu la magie de son divin tour +de-cùl... "Moi (disàit le Grison), en la regardant venir à nous), +ce qui me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; +ce poil soyeux, ét cette raie de corail, quì le sépare en deux +égales parties"!... La Belle se retourna, ét montra d'autres +charmes: "Hâ! (s'écria Montencon ravi), le beau cùl! il n'est +pas inferieur à l'admirable conin"! Elle revenait. "Hâ! le +beau con! Il est digne du divin cùl"! Quand ma Fille fut +auprès de nous, Il lui bàisa le conin: Puis se levant: (car +nous étions restés à genoux pour mieux voir). il l'emporta sur +le foutoir, en me demandant la permission de gamahucher tous +ces charmes-là, avant que je les refoutisse?... Hâ! comme elle +fut gamahuchée!... Il lui chatouilla de sa langue la Rosette, +à la faire tressaillir. Puis il vint au Con. La Belle +chatouillée, se tremoussa, puis émettant, elle hennissàit, +comme Une jeune Cavale, dans la vulve de laquelle On insère +pour la premiere fois l'engin terrible ét perforant de +l'Etalon vigoureux: les fesses potelées de la Jument pucelle +tremblotent; elle frémit de tout son corps, ét répond, par +l'émission de son hippomanès, aux flots de sperme que lui +lance le Dominateur des haras... Telle était ma voluptueuse +Fille, seulement gamahuchée... Montencon deboucha, ét Moi, me +précipitant sur ma Fouterie, cambrée, tenant son cùl à trois +doigts du foutoir, je plongeai brutalement: Elle ne fesait que +doucement osciller. Ce qui ne s'accordant pas avec ma ribaude +impatience, je dis à Montencon: "Arrache-lui sa chaussure, ét +chatouille moi la sous les piéds"? Il le fit: Mais le Coyon +s'amusait à les flaîrer, en disant: "C'est Cypris, ét le +dedans de ses chaussures sent l'ambrosie. "Chatouille donc, +Jeanfoutre"? Il chatouil-La; ét au second soubresaut; je +dechargeai copieusement!... Dans mon éxtâse de plaisir, +j'élevai mon âme vërs la Divinité: "Mon Dieu! je vous remercie +de m'avoir donné Une Fille si parfaite, dont le conin +trémoussant viént de me donner une idée du delice que vous +éprouvéz vous-même, en foutant votre Fille la Nature!... "Dieu +de mon Conin! (balbucia Conquète), sois beni! je re-decharge +encore! le cri de mon Père a fait entrer son vit plûs avant! +"Hô! quel digne Père! quelle pieuse Fille"! (s'écria Montencon +édifié)..... Je deconnai. + +"Mais d'où viént (me demanda le vigoureux Grison, en se +remettant sur ma Fille, ét l'enconnant sans laver), m'as-tu +fait chatouiller le dessous des piéds de ta celeste Fouteuse! +"Je tiéns cette recette d'Un Imprimeur foutant la Femme de son +Confrère de l'aveu du Cocù: "Que lui avéz-vous donc fait, +qu'elle m'a donné tant de plaisir à la fin? "Vous avéz bién vu +qu'elle était dechaussée? Or j'ai ouï-dire, Que les Fils de +mesd. Quillenpoche et Radball, âgés de huit ans, étant entrés +dans la chambre où Un Avocat ét Un Procureur vitoeuvraient +mesd. leurs Mères; les petits Babouins ne voulant pas les +déranger, leurs ôtèrent à chaqu'une une mule delicate, ét leur +chatouillèrent le dessous des piéds: Ce qui fit faire aux deux +Dames des soubresauts, qui leur procurèrent autant de plaisir +qu'elles en donnaient à leurs Opérateurs Aussi depuis se +firent-elles toujours chatouiller les piéds, en pareille +circonstance. "Tu vas me rendre la pareille"... Il saccadait. +"Alons, le foutre de ton Père.. ce foutre dont tu est faite, +amalgamé au tién dans ton sacré conin de Poupée, doit te le +pomader! Et j'ai de la peine"!... Je vis à la rougeur de ma +Fille, qu'elle souffràît. "Deconne, Bougre (dis-je à +l'Enfonceur), ton vit d'Ane, ton vit de Mulet donne les +bouchées trop grosses à ce conichonnet"! Il deconna, ét je mis +un boulète de beurre-frais à l'orifice du Bijou de ma Fille. +"Hô! ça me le rafraîchit" (dit l'aimable Enfant)... Montencon +re-enconna avec fureur. Il entra mieux, ét toucha le fond, +Conquète ayant saqué du cùl: "Hâ! je te sens, petit joli chién +de pinçoir! Alons, Vitnègrète, encorne ton Jeanfoutre de +Vitnègre! Pince.. ét remue du cùl, Garse"! Ces mots grossiërs +me mirent en fureur érotique; je chatouillài sans pitié les +piéds de ma Fille, en lui disant: "Fous, Deesse! Donne-nous +ton joli foutre!... Et toi, Sacrebougre, inonde-la! As-tu +jamais percé con ou conin, qui vaille le connin, le connichet +de ma celeste, de cette divine Putain"?... Conquète saccadait +à desarçonner son Enconneur (comme fesait Mlle Timon sous le +Grand-homme MIRABEAU): Mais Montencon se tenait ferme. +Cependant elle eüt une decharge si convulsive, qu'il fut +presque-deconné. Mais en retombant, le frottement serré du +connin velouté, le fit decharger avec ravissement... + +Il lima quatre-fois sans deconner, ét à la quatrième, lui +ayant chàtouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à +la première. Maìs il fut épuisé. "Hâ! comme Vitnègre es cocù! +(disàit-il en deconnant); car sa Fouteuse de Femme a dechargé +le triple de Moi". Conquète sourit. "Combién? (lui demandai-je). +"Hô! dans les neuf, trois fois-neuf". Je la baisai sur le +front, ét elle ala au bidet. Je vis par-là qu'elle auràit un +vigoureux temperament. Ainsi, je resolus de la faire un-peu +blâser, avant de La livrer à son gros Vit. + +Mad. Vitnègre voulant se rafraîchir quelque-temps le con dans +sa cuvète à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de La +laisser libre? Nous La saluames aussi respectueusement qu'Une +Deesse biénfesante, ét nous sortimes. Montencon me dit: "Je +vous rens grâces: Je serais plüs glorieux d'être son Père, que +de la Reine Marie-Antoinète. Elle est autant audessus des +Fouteries ordinaires, que Mlle CONTAT, ou Mlle LANGE sont +audessus d'une Putain des Pauvres, qui branle les vits +derrière les charrètes sur le quai du Louvre". Nous nous +separames, à ces mots. "Hâ! (disait Montencon, s'éloignant), +comme elle a été foutue"! + + + + +XXI Chapitre. + +Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. + + +Ho! que les Puristes ont dû se recrier au Chapître +précedent!... Hé-bién, Puristes, je m'en fous. + +Le lendemáin, je m'attendais à un-peu de bouderie, ou de +sérieux. Non: Ma Conquète me parla comme à l'ordinaire... Je +fus huit jours, sans cherchér à le Lui mettre.... Le Samedi, +son Bijou bién retabli des fatigues données par Sourcilsgris, +dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se +ressouvint alors de ce que je Lui avàis dit, qu'elle pourràit +se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilète de +volupté, se couvrit d'une caléche, ét sortit le soir. Mais je +L'observàis, ét La fesàis soigneusement observer par Mad. +Brideconin, ou comme je l'appelàis en badinant, Mad. CONBRIDÉ. +Je fus avertí; je La suivis, pour La préserver de malheur. +Elle monta. J'ecoutai à la porte; ét j'entrevis même par une +fente... Conquète se jeta dans les bras de Timorì. Mais il +étàit malade: La Belle fut gamahuchée seulement. Timorì, +aulieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à Lui +racontér la suite des évènemens relatifs à Vitnègre, à +Foutàmort, ét à Conillète: + +"J'ai été voir Vitnègre aujourdhui, aulieu de me rendre à mon +Bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant il +avait été hiër effrayé des menaces de son Moine. Celui-ci +l'avait fait demandér. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute +la Communauté à l'Infirmerie. Parvenu au lit de Foutàmort, +Celui-ci lui a dit: "Gueux! si j'en avais la force, je +t'étoufferais... Mais si je suis pour en mourir, comme On +l'assure, je declarerai tout au Lieutenant-de-Police, ét tu +seras pendu... Tu m'as vendu ta Femme: Elle était si belle, +que j'ai eü un plaisir... infini... à la faire expirer dans +des douleurs plüs fortes que celles de l'accouchement... J'en +bande encore, mais avec des douleurs insupportables... Elle +était si belle, que j'ai voulu en manger: je me suis fait +accomoder son con, sa matrice, ses poumons ses tetons ét sa +tête, que j'avais deguisée: Nos Moines ont mangé, sans le +savoir., son cül, ses fesses, ses mollets, ses piéds, ses +bras, ses mains, ses épaules, son coeur, son foie, etc... Tous, +eux ét moi, nous avons la verole! Or, ta Femme, belle, +fraîche, pucelle encore, ne l'avait pas.... Voici ce que tu as +fait, Coquin: Touché d'une fausse compassion, tu as fait +évader ta Femme, que je t'avais payée pour la foutre à mort, +ét tu lui as substitué une Putain... C'est une insigne +coquinerie... Si j'en reviéns, j'aurai ta Femme; si je meurs, +tu seras pendu"... Vitnègre s'est donné à tous le Diables que +c'était vous qu'il avait livrée. Le Moine, qui venait d'être +frotté de mercure, ét dont la langue enflait, a fait signe +qu'il n'en croyait rién. Le Chirurgién a tiré Vitnegre à-part: +"Avéz-vous quelqu'affaire à regler avec ce Scelerat? il n'a +pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a +une verole si terrible, que j'ai été obligé de le froter au +triple ds Autres, que voila dans leurs lits, ét qui commencent +à saliver. Je le connais; c'est Un Monstre à ôter du monde, ét +tout-à-l'heure, il ne pourra parlér. "Empêchéz qu'il n'écrive? +"Hô! ne craignéz rién! l'enflure luì.. gâgne les ïeux; il n'y +voit plus, ét la langue commence à lui sortir de la bouche... +Il.. souffre.. (lui tâtant le pouls) comme un Damné.. ét il +n'a pas une demi-heure à vivre"... Alors, Vitnègre enhardi, a +dit au Moine; "Gueux! Infame!... c'est la Putain Connillète, +que je t'ai donnée, que tu as fait manger à tes Moines, ét +dont tu as dévoré la matrice verolée"! Le Moine s'est soulevé, +ét a lancé à Vitnègre un si terrible coup de poing, qu'il +l'aurait tué, si la colonne du lit n'avait pas amorti une +partie du coup, qui cependant a renversé Vitnègre. On l'a fait +sortir. Mais il a appris ce matin, par le Chirurgién, que la +langue du Moine, devenue grosse comme celle d'un Boeuf, l'avait +étouffé un quart-d'heure aprés... On a brûlé sans lire, tout +ce qu'il avait écrit durant sa maladie. + +Voila ce que Vitnègre tranquilisé, viént de me raconter. Il +est tard: je ne saurais vous reconduire: Partéz, ma belle +Amie". + +Tel fut le recit de Timorì, fait à ma Fille, que j'entendis +tout-entier, ét qu'elle me repetera. Elle s'en revint la tête +remplie d idées noires. Je La suivàis à vingt pas, La couvant +des ïeux, pour La préserver de toute mauvaise rencontre. Je +bandais comme Un Carme, en voyant son joli tour de hanches... + +Elle rentra. Je La précedai dans mon magasin, ét je me cachai. +Elle revint avec de la lumière ét de l'eau tiède. Elle se lava +la motte, ét soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe +plus, le Scelerat!... Je suis encore effrayée"! Je frappai un +petit coup sur une comode. Conquète leva les ïeux, ét me vit. +Je Lui contai tout ce qu'elle venàit de fàire. Je Lui causai +un effroi salutaire, qui La guerit de l'envie de retourner +seule chéz Timorì, en Lui disant, que j'avàis aperçu Vitnègre +sur le quai des Ormes. J'ajoutai: "Vous aliéz pour être +bàisée; vous le seréz; car je couche avec vous". Elle +begueulait, disant que le recit de Timorì Lui avàit ôté ses +desirs. Je ne L'écoutai pas; je me mis au Lit, ét elle vint se +coucher auprès de moi. + + + + +XX Chapitre. + +Chap. De la Fouteuse mise en appêtit. + + +L'appêtit viént en mangeant (dit le Proverbe): & l'On va voir +combién il a raison, pour Conquète! + +Dès que ma Fille fut à ma portée, je m'encrai sur ses appas, +Lui suçai les tetons, ét L'enconnai. Je ne sais par quel +motif, humeur ou volupté, ma divine Enfant ne remua pas. Je +fis de-même, ét La tins emmanchée, sans me donner aucun +mouvement... Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans +déconner. Conquète, qui s'y était prêtée, s'endormit comme +moi, sans-doute; puisqu'en m'eveillant, sur les 2 heures, je +me retrouvai dans son Bijou. Je m'agitai pour-lors. Elle me +serra dans ses bras, remua vivement du cùl, ét me dit: "Chër +Amant? pou..ousse". Et elle saccada de toute la force de ses +rein... Elle dechargea... J'émis aussi... "Hâ.. mon Dieu (dit-elle), +c'est mon Papa, qui me.. caracole... "Qui te fous, ma +Deesse. "Ah.. il n'y a que vous, pour ces choses-là... Je ne +vous contrarierai plus; car vous avéz plüs d'esprit que moi... +J'ai eü un plaisir.... que je ne dois qu'à vous... Chër Papa, +recommencéz; que je decharge à votre intention? Je vous +adore... Je La re-enconnai vigoureusement, en Lui disant: "Et +fous comme tout-à-l'heure, à l'intention de ton Amant"... Elle +remua du cùl comme Cleopâtre ou Messaline, ét elle se mit à +dire, en saccadant: "Bougre de Timori.. fous... fous... +fous-moi... Fous ta Garse... fais cocu mon sacré-gueux de Pere... +dont je suis la Femme.. la Maîtresse.. la Putain... Ah.. je +sens ton vit, au fond de mon con... Ta langue... ta langue?... +Je me pâme... Je de...cha.arge.... Foutre... Ah-a-a-ah... je +n'en puis plus........... Et en finissant, elle ala se laver +le con...... + +Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. "Remue du +cùl, du con! (Lui dis-je): Trémousse des fesses... Je sens ton +pinçoir... Hô! que tu fous bién, Fille de mon Vit, pour Une +Novice!... Ayéz un mouvement encore plûs rapide?... Bon... +excellent!... Quels reins élastiqs"!.... Elle fit trois +soubresauts, ét déchargea, en disant: "O mon Dieu! mettéz une +tône de foutre dans les couilles de mon Père, ét que son vit +divin le decharge au fond de mon con"! Dieu l'exauça, car +j'émis aussitôt, ét nos foutres se mêlèrent. J'en esperai Un +Adonis... Elle resta ensuite immobile, ét moi aussi. Elle fit +une copieuse ablution. Je me rafraîchis le vit ét les +couilles; puis nous nouz recouchames. Je La re-enconnai. + +Je fus-là plüs d'une heure, Lui suçotant ses boutons de roses, +Lui dardotant ét Lui fesant dardoter la Langue; La fesant +dechargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne +pouvais me résoudre à déconner.... Tout-à-coup ma Fille, que +je croyais épuisée, se met à trémousser du cùl, à +convulsionner du con, comme fesait autrefois sa Mère, mais +mieux que Celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la +decharge.! Desorte que je La limai tant qu'elle voulut... Elle +me disait: "Papa! je ne parlerai pas d'Un Vitnègre, qui n'a de +plaisir sur Une Femme, qu'autant qu'il brutalise sa Monture: +mais vous foutéz plüs tendremt plüs delicieusement, que Timorì +ne caresse: Vous liméz mon con comme Un Dieu!... A votre +intention cette decharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es +dans le con de ta Fille! Remue du cùl, Papa! Tu me fous.. tu +me fous.. tu m'enco..onnes!... Fous, Bougre! fous ta Fille! +Incestue, Jeanfoutre!... Enfonce, enfon..once,.. dans le +con..on de ta Fi..ille.. pâ..âmée"!... Et elle resta comme +morte, pendant une longue decharge..... + +Je La relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière-fois +de cette nuit-là. Elle se ranima: "Fous, Maquereau! Je suis ta +Putain, ta Raccrocheuse... ta sacrée-Salope... ta passionnée +Fouteuse.., ta tendre Fille... Engrosse-moi? (remuant du cùl +avec fureur): mets-moi dans le con un Garson.. une Garse! si +une Fille, tu La.. dépuceleras un-jour... si un Fils, il me +foutra... "Adorable fureur! (m'écriai-je)... Tiéns, Fille +adorée, voila du fontre". J'émis delicieusement; ét ma +Fouteuse dechargea plüs delicieusement encore... "Hâ! quelle +nuit! (me dit-elle)... Timorì ne me l'auràit pas donnée si +voluptueuse"...... Elle s'ablua: je lavai, ét nous endormimes. + + + + +XXIII Chapitre. + +Chap. De la Tendresse Filiale: Amour paternel. + + +Etre reservée, modeste, ou voluptueuse & fouteuse à-propos, +c'est la véritable sagesse. + +Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le +re-mettre à Mad.. Poilsoyeux, ét il en fut très-étonné! Elle +étàit aussi modeste, aussi retenue avec Lui, qu'avant qu'il +l'eût foutue. C'est qu'elle suivàit mon avis, de ne pas +laisser prendre un piéd sur elle, par les faveurs accordées, +ou ravies.... Un-jour qu'elle se baissait, pour arranger le +feu, il lui prit le con. Elle Lui donna un soufflet. Je dis à +Montencon: "Moi, qui la connais, je ne Lui touche jamais les +fesses, ou le poil du conin, sans sa permission, ét sans +qu'elle m'àit dit: "Hé-bién, faites donc vîte"! Quand je Lui +demande cette faveur, elle est parée, chaussée comme les +Grâces.. Je commence par Lui demander à Lui baiser le piéd. +Puis Lui glissant la main sur la jambe, je Lui dis: "Tu l'as +si jolie! que je La baise"?... Je pousse à la cuisse, en +disant: "Quel satin"! Je Lui passe delicatement la main sur la +motte, ét je m'écrie: "Ma Reine? qu'en te voyant marcher dans +la ruë, ét tortiller si joliment du cùl! faire bander tous les +Hommes; bisquer de jalousie toutes les Femmes, je puisse me +dire: "Je viéns de patiner, de baiser ces foutatifs appas"... +Je te suivrai; j'entendrai les Hommes dire, Que je la foutrais +bién! Je verrai les Femmes penser: Sacrée Coquette! cette +parure, ce goût, ce tour de cùl signifient: Je veux étre +foutue? Vits, foutéz-moi? "Bougresses! (Leur repondrai-je +tout-bas), je méprise vos cons ét vous! Je ne bande que pour +le beau connin que vous jalouséz"... Ma Fille sourit à ces +propos; se laisse patiner, puis baiser tetons, fesses ét +connin"... Montencon m'admira, ét demanda pardon à Conquète, +qui n'avait entendu ce que je venais de dire, qu'avec une +modeste rougeur. + +Un jour de fête, que je L'avais conduite avec précaution chéz +Une Amie, ét que j'étais retourné La chercher le soir, la +suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit +bander si fort, qu'en rentrant, je Lui hâpai le con. Elle se +defendit, parcqu'elle entendait aler ét venir Mad. Brideconin. +"En ce moment, Deesse, je suis si enragé de lubricité, par ta +marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre." +Et je grinçais des dents, Lui tenant toujours le poil du con, +ce poil soyeux qui Lui formait une Longue ét superbe perruque +à la Louis-XIV. "Hé-bién! (me dit-elle), alons: Mais ne me +chiffonnéz donc pas? "En déshabillér, Reine". Je Lui tenais +toujours le con, ét je La suivais à chaque pas qu'elle fesait. +Elle me donna un joli baisér à langue dardée, pour me +remercier de ce que je Lui permettais de se mettre en +deshabillér. "Ne me quittéz pas le poil: ça me prépare". Une +pareille complaisance me La fesait adorer. En un instant, elle +fut en corpset, en court jupon piqué, les tetons bién +découverts: "Ma chaussure est-elle asséz voluptueuse? ou +vouléz-vous des mules, avec d'autres bas? "Des mules". Je La +dechaussai d'une main, Lui chatouillant toujours le con. Hâ! +quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa debout. +Je Lui mis le piéd dans une mule rose delicieuse, à talons +roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que le +bout du talon. Je Lui quittai la motte, qu'elle lava. Ensuite +elle fit par la chambre quelques-tours, pour m'exciter +davantage. Me voyant hors de moi: "Je veux te griller"! (me +dit-elle). Tandis que je déculotais, elle s'assit, croisa ses +genoux, ét fit badiner la mule du piéd en l'air... + +Je n'en pouvais plus... Me voyant prêt à m'élancer sur elle, +Conquète vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes, appuya +ses deux coudes sur mes epaules, ét s'enfila doucement elle-même, +sans toucher mon vit de sa main delicate. Elle descendit +ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à son +pincevit: "Ne remue pas! (me dit ma Reine), je veux me foutre +moi-même"! Quand elle sentìt le plàisir, la divine Fouteuse +trop émue, s'abandonna de tout le poids de son corps, en me +disant: "Cher Vit... pou..ousse"! Elle mit sa bouche brûlante +sur la miénne, donna le mouvement interieur à son con, me +darda sa Langue, ét se pâma, en me lançant toute son âme.... +Je dechargeai, avec un si delicieux frémissement, qu'elle +foutait encore, au bout de cinq minutes d'émission. "Hâ! +Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure... et se... prolonge +avec toi"... Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes +premières decharges, où je perdais connaissance, ét je crus +que j'alais expirer de volupté dans son con. Je le dis, en +déchargeant. Mon Enconnée n'en fretilla que plüs vivement: "Un +Fils?... une Fille?... ou tous-deux au fond de mon con (me +disàit-elle), chër Vit de mon Père"!... Je juràis, je sacràis, +je divinisàis ma Fille: "Con celeste.. Con divin.. Con de mon +vit.. est-ce Moi?.. est-ce Un Roi?.. est-ce Un Prince?.. est-ce +le beau Commis aux Aîdes, qui t'avons foutue dans le con de +ta Putain de Mère?... Hâ, mon vit te rend ma fille, en mêlant +mon foutre au tién... Divine, sacrée Garse.. Adorable +Bougresse enculée, il faut que je t'encule aussi? "Non: ton +foutre m'est trop précieux, pour que je le perde sciemment: +Fous-moi en con, tant que tu le voudras; maìs non en cùl, en +bouche ou en tetons". Je l'approuvai avec respect. + +Je Lui dis ensuite, pourquoi je la suivais toujours, en La +menant chéz son Amie, ou en La ramenant: "Mon premiér motif +est de mieux voir le dangér. Le second, d'entendre les +discours des Hommes ét des Jeunesgens que tu fais bander. L'Un +dit: Quel mouvement de cùl!... O Garse! si nous étions seuls +ici, je me jetterais sur toi, ét je t'enconnerais... "Je l'ai +entendu (me dit en souriant Mad. Poilsoyeux). "Un-autre (ce +soir) se secoue le vit en pleine ruë: Maman.. (dit-il), +delicieuse Maman.. je me branle... je decharge... à ta divine +intention. "Je l'ai entendu: j'ai souri. Il a aussitôt ajouté: +Hô, si vous êtes putain... une divine Putain? cinquante louis +pour trois coups en une heure?... ou chéz moi, ou chéz +vous?... Je demeure ruë de-Bussi au 3me, n° 16. "Un joli Fat +(repris-je), disait asséz haut: Mon vît dans sa bouche, ét ma +langue dans son con... Et il se branlait, branlait, branlait. +"Je l'ai vu, ét je Lui ai donné un petit coup d'éventail sur +le vit... Il m'a bién touchée! Il m'occupait: Peutêtre est-il +cause que j'ai montré un-peu d'humeur, quand à notre arrivée, +vous m'avéz pris le con". + +A ces mots, nous recomençames une scène, comme celle que je +viéns de raconter; si ce n'est que je renvesai ma Fille sur le +dos. "Vit-papa... (me dit-elle), tu es le Fat... c'est le Fat +qui me fout... Tu me fais foutre par tous-ceux qui m'ont +desirée... Je décharge à l'intention du Fat... son vit dans ma +bouche, ses couillètes sur mes tetons, ét l'engin de mon Père +au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre... +(convulsivant du con)... Je déchar..ge"....... Jamais elle +n'avait eü autant de passion. Elle était même raisonnée: car +entre deux décharges, elle me dit: "Vos lèvres sont +appêtissantes; elles me rappèlent: aulieu que celles de +Montencon... Je ne veux plus qu'il m'encon..o..o..ne (dit-elle +en s'agitant): Langue en bouche: mon con pa..art"......... Hâ, +si j'avais-là l'Homme aux cinquante louis, moi qui ne suis pas +effrontée, je crois que je ferais la Putain, que je les +exigerais d'avance, comme Vitnègre disait que c'est l'usage +des Filles, que je Le déculoterais, ét que mon con martyrisé +gâgnerait la somme"? + + + + +XXIV Chapitre. + +Chap. Du Chefdoeuvre de Tendresse-paternelle. + + +Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les +emportemens du libertinage que dans le delire de la +jouissance, effect d'un vigoureux Tempéramt. + +J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement. +Cependant je La voyais haletante de volupté. Je courus au +carrefour Bussi, n° 16, au 3e. Je trouvai le Jeunehomme aux +cinquante Louis: Je Le reconnus: Il me remit. "Je suis le Père +de la Jeune-Dame à Laquelle vous avéz offert 50 Louis. "Je les +Lui tiéns: Trois coups en une heure? "Soit: En ma présence? +"Et de tout Paris, si vous vouléz. Mais, Bougre, ne va pas me +jouer! "Non: Mais une heure, sans bruit? "Foi d'Homme! +Partons"... Il prit les 50 Louis. + +Arrivés tous-deux, je dis à ma Fille: "Voici l'Homme qui t'a +plu: Tu as besoin de 50 Louis: Il te les apporte: Il les faut +gâgner"? Conquète rougit, sans rién répondre. L'Homme se +deculota, Lui vint prendre les tetons, le con. Il me dit: +"Serréz les 50 Louis; ce con satiné, ces tetons touchés les +valent". Je les serraì, tandis qu'il renversàit ma Fille sur +le foutoir. Elle fit un cri: "O Monsieur... mon chër +Monsieur... ne me faìtes pas trop de mal? "Seriéz-vous donc +pucelle? "Hélas! oui"... Il L'enconna avec fureur. Elle +soupira, criota, pinça du con, dechargea. "Elle est adorable" +(disait le Fouteur enragé: car il foutit, ét re-foutit, sans +pitié, come sans deconner, ses trois coups de suite. Ma Fille, +tantôt Le caressait, tantôt Lui demandait grâce: mais elle +déchargeait toujours... Il déconna ravi... Et voyant quelques +gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient fait +couler, il dit. "Oui, vous êtes d'honnêtes-gens: Un pareil +pucelage n'est pas asséz pàyé de 50 Louis: Je vais en envoyer +50 autres, Papa... (Ma Fille était disparue pour s'abluer). +"Oui, si je n'étais pas marié (ajouta-t-il attendri), je +l'épouserais, ét pour son pucelage, ét pour son amour... Vous +aléz recevoir 50 Louis: Je La regrèterai toujours, ét ne La +verrai jamais. Il partit. Ma Fille me remercia, ét me dit, +qu'elle était rassasiée. Je Lui remettais les 50 Louis: "Non +(me dit-elle), chër papa, c'est pour nos dépenses". Les 50 +autres Louis arrivèrent, ét je ne pus jamais L'obliger à en +mettre dans sa bourse plûs de six. Je déposaì les 94 autres à +sa portée dans mon Magasin. + +Le Lendemain, à mon arrivée, ma Fille me dit: "Je brûle +aujourdhui: Savéz-vous la demeure du Fat, ou du Vit découvert? +"Non; ce sont des Sots. "Hé-bién, sortons: L'Un ou L'Autre me +verra sans-doute, ét vous Le suivréz. "Divine Fille.. épuisé +dans ton celeste connin, j'ai toujours les mêmes desirs; ét si +je voulais mourir de plaîsir, ét dans le plaisir, je te +prierais de remuér du cùl, ét de me laisser expirer au fond de +ton con satiné... Foutons?... "Un seul coup. Vous m'êtes trop +chër ét trop necessaire, pour que je ne vous ménage pas". En +montant sur le ventre de ma Fille, ét tandis qu'elle +m'arrangeait le vit a l'entrée de son con, je Lui disais: "Te +quitter, pour en suivre Un, est trop scabreux, ét malheur peut +arriver... Et comme elle ne s'agitait pas: "Tu me ménages?... +Remue du cùl, Mignone? saccade? décharge?... C'est mon seul +coup... Mais j'ai de quoi te satisfaire... Il le faut même, +avant qu'Un de tes trois gros Vits te martyrise". Elle remua +du cùl ét du con, comme Marie-Antoinette foutue en levrète à +la Conciergerie, par un Poliçon de Gendarme... Nous +dechargeames, Conquète, comme La Reine, Moi, comme Le +Gendarme... Je sortis. Elle lava. + + + + +XXV Chapitre. + +Chap. Du bon Père qui fait foutre sa Fille. + + +Aléz au but, & bravéz le reste: c'est un con, qu'il s'agit +d'élârgir; il faut donc qu'il soit foutu..... + +On sait que j'avais à moi Un certain Tràìtdamour, mon +secretaire, frère de Minone ét amant de Connète, qu'il m'avait +fait dépuceler, l'ayant trop-gros. C'était Un vigoureux Garson +de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'alai chercher: +"Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec Une Femme +charmante, que je veux régaler, ét à Laquelle je veux donner +haute opinion de Moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour: Mais tu +L'auras vue avant de La foutre, pour La mieux servir. "Bon, +bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à Connète, ni +à ma Soeur, ét je n'en fous point d'Autres"... Nous arrivames. + +Je Lui fis voir, par une portière, Conquète, qu'il ne +connaissait pas. Hô.. qu'elle est.. provoquante... +foutative?... J'entrai seul: "Detetonne-toi; trousse-toi +toi-même (dis-je à Mad. Poilsoyeux): Tu es vue par Un Jeunehomme +de vingt ans, beau comme l'Amour. "Mon Fat? "Ton Fat: Il se +nomme Traitd'amour. Ainsi, montre tout, en abluant. Je +retourne auprès de Lui". De-retour auprès de mon Etalon, je +Lui dis: "Regarde La bién: Elle va s'abluer, ét montrer con ét +cùl"... L'Ame de mon Gendre momentané passa dans ses ïeux. +Conquète se découvrit les tetons, épongea légèrement les bouts +d'eau-rose. Ensuite elle se troussa audessus des reins, se +parfuma le cùl ét le con avec une autre fine éponge; tendit le +cùl, se faça bién le con: Puis elle se renversa sur le +foutoir, avant de fermer les rideaux. Je Les alai tirer, en +disant à Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai +sur La delicieuse Poilsoyeux; ét L'enconnai. Traitdamour me +chatouilla Les couilles. J'émis avec fureur: Ma Fouteuse se +recriait de volupté... Je me hâtai de déconner. + +Tràìtdamour attendàit tout deculoté, Il se précipita sur ma +Fille, ét je dis, en me penchant sur La tête de L'Enconnant: +"Alons, alons, ma Belle! les reins souples? j'ai repris une +vigueur nouvelle"? Traìtdamour cependant enfonçait à-peine son +beau vit dans cet étroit bijou, encore que mon foutre y servît +de pommade. Conquète, de-nouveau depucelée. Criotait, en +soupirotant, ét neanmoins remuant vivement du cùl, à chaque +dardement de vit. + +Je rebandais. Mais Tràìtdamour foutit trois coups, ét fit +trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je Le tirai, +pour Le forcer à reprendre haleine. "Je vais pendant ce +temps-là (Lui dis-je très-bas), faire une petite partie de +Trou-Madame. "Je vois (me dit-il de-même), vous ne bandiéz plus +asséz roide, ét je suis votre Boutentrain? Mais elle a Le con +plein de foutre"... Ma Fille se lavait... Je roidissais +de-plûs-en-plûs, par la vue des cuisses de neige, de la jambe +fine, du piéd parfait, du cùl, du con, du ventre d'ivoire, du +nombril bién-fait, des tetons de ma Fouteuse. Je dis tout-haut +à Tràìtdamour: "Beau Fouteur, montre-toi; que ma Deesse voye +le superbe Vit dont je La régale"? Traìtdamour parut son Tràìt +à la main. Ce n'était pas le Fat; mais Il était plûs beau. Ma +Fille sourit: Puis baîssant la vue sur le Vit majeur, La Belle +dit en soupirant, ét Le pressant de sa main blanche ét +potelée: "C'est donc toi, qui m'as fait tant de mal... ét de +plaîsir"?... Tràìtdamour me La renversa; Lui fit écarter les +cuisses; me coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en +disant: "Votre Belle a la main trop douce; pourrait vous +mettre à nage, ét il faut enconner roide... Pousséz, mon +Maître... piquéz des deux..! la Cavale est belle... Alons, +Deesse enconnée, hausséz le con.. Remuéz du cùl... C'est Un +Homme-d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre +honorable"... Cette harangue fit sourire la Foutue, qui, pour +en déguiser la cause, s'écria: "Hâ, monsieur Vitnègre, que de +cornes vous voila!... "Alons, Deesse (reprìt Tràìtdamour), +songéz qu'il faut que vous fassiéz les trois-quarts de +l'ouvrage... Du mouvement?... Bon... hâ! ça va d'amitié.. ét.. +vous remuéz du cùl comme une Princesse... Alons, des reins +souples? Avec votre connin satine, vous mettéz votre Fouteur +aux Anges!... Roide, mon Maître? aidéz-vous.. votre jolie +Monture va comme une Jument barbe... Gzee.. gzee.. Un coup de +fouet... Hâ! quels soubresauts... Ma-foi, elle decharge... +Piquéz des deux... Comme elle trémousse des fesses, la celeste +petite Amie? comme elle en donne!... Que je vous chatouille +les couilles, pour vous y faire correspondre?... Vous +partéz?... Quels coups de cùl?... Quels soupirs?... Elle +redecharge"?...... Ma modeste Fille ne jurait jamais que +très-emue, ét dans le delire de la volupté: Aussi, en cette +occasion, elle sincopa, en s'écriant: "Bou..ougre?.. +fous..ous-moi? Mon... con a.. toute.. mon âme!... Je fous.. je +fons... en foutre... je decha..arge... Que.. n'ai-je.. deux +vits.. dans.. mon.. sacré con? "Il est trop étroit, ma Belle +(Lui répondit Tràìtdamour); sans quoi l'On s'arrangerait à +vous donner ce plaisir-là... Mais On pourra quelque-jour vous +enculer, pendant que votre Fouteur vous enconnera"... + +Après une delicieuse décharge, je me crus épuisé. Je deconnai +surlechamp. Ma Fille trémoussait encore. Tràìtdamour sauta sur +ce con fumant, ét tout en Le re-enconnant, il me disait: "Vous +avéz foutu ma Petite Soeur; je L'ai foutue aussi, après vous: +Vous m'avéz dépucelé Connète ma Future: Dites-moi si Leurs +cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est un +satin?..... Mais, à en juger par le soyeux du poil, j'augure +que l'interieur du con de ma jolie Chapelière de la ruë +Bordet, en approchera... Ma Reine.. vous fais-je mal? "Et +plaisir... Va.. va..a va..a donc? je fous. "Hahahâh, quel +satin.. quelles delices?... J'enconne.. je fous.. je +decha..arge... Remue.. divine.. sacrée.. celeste Enconnée?... +Hô, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond du conin?... +Pince.. serre.. sacrée petite Convulsionnaire.. fais-moi.. +convulsiver dans ton joli con?... Tu veux du foutre.. +Deesse?... Quatre decharges de-suite vont t'inonder le conin.. +conichon.. conichonnet?... Voila ma seconde... "Fous.. saccade +(murmurait ma Fille).. ne.. me quitte.. pas chër Vitdamour? +"Ne la quitte pas après avoir dechargé (dis-je à mon ancien +Secretaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton +gros vit?... Qu'elle est jolie, en foutant?... (disais-je à +Tràìtdamour); je rebande... Elle a l'air d'une Deesse?... +Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la?... Elle +gigote encore... Bon.. bon? Elle se pâme?... Hâ, qu'elle est +jolie, pâmée!..... "Elle n'émet plus? "Elle a émis quatre fois +dans le con, sans la desenconner, Quatre ét trois c'est sept +(disait Tràìtdamour, en me La lavant): vous aléz la refoutre: +ça me reposera; j'irai à mes douze. "Vous vous feréz mal (me +dit Conquète); voila quatre fois que vous m'enconnéz +aujourd'hui; le reste de ses 12 me suffira: ça fera mes 16"? +Pour toute réponse, je me La fis renverser: Elle me darda sa +Langue, ét je La foutis roide... Traìtdamour la prit ensuite, +ét ne La quitta plus, quoiqu'elle L'en priât, qu'il n'eût +arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se +leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant: "Emmenéz cet +impàyable Jeunehomme, ét me laisséz libre: J'ai besoin de +rafraîchir sur le bidet plûs d'une demi-heure mon pauvre Bijou +martyrisé".... Nous La laissames; j'alai prendre ét faire +prendre à Tràìtdamour un bouillon chéz Mad. Brideconin, que je +priai d'en tenir un prêt pour Mad. Poilsoyeux. Ce qui La +surprit... Conquète rafraichie arriva, ét parut aussi décente, +aussi modeste, que si elle n'avait pas foutu. Tràìtdamour +partit, sans être instruit: Mad. Brideconin étant prévenue de +ne jamais decouvrir les relations entre ma Fille ét moi. + + + + +XXVI Chapitre. + +Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, et à l'Auteur. + + +Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries +majeures. Si je les avais ràpportées sans préparation, elles +auraient étonné: Mais qu'On sache que j'étais sûr, en les +commençant, non-seulement d'avoir pour mes Filles deux des +trois Payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de Les faire +préceder par la jolie Chapeliére de la rue Bordet, qui, vendue +au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les +trois. Il était donc essenciel, pour éviter qu'elles ne +fussent estropiées, de Les faire prodigieusemt élargir, en +évitant neanmoins de Les prodiguer à trop de Déchargeurs en +con. L'On verra comme je m'y prendrai pour cela. + +On trouvera dans le Recit un Episode, à chaque Seance, tant +pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour +raconter quelques Avantures, que j'ai cru devoir supprimer au +commencement. Chaque historiette lue ou racontée, ne sortira +pas du genre. Rién de plus déplacé, dans un Ouvrage comme +celui-ci, qu'une Dissertation philosophique; elle y deviént +insipide, et par-là même dégoûte de la phlosophie. Mon but +moral, qui en vaut bién un-autre, est de donner à Ceux qui ont +le temperament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse +servir convenablement une Epouse qui n'est plus belle. C'est +ce que j'ai vu faire à plusieurs Hommes, qui se servaient pour +cela du Livre cruel ét si dangereux de Justine, ou les +Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je +veux préserver les Femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine +non moins savoureuse, non moins emportée que la +Justine, mais sans barbarie, empêchera desormais les Hommes +d'avoir recours à celle-ci. La publication de la Concurrante +antidotale est urgente, et je me deshonore volontiérs aux ieux +des Sots, des Puristes ét des Irréfléchis, pour La donner à +mes Concitoyéns. + +L'Ouvrage aura II Parties: Après le Recit formant la Ire, +succèderont des LETTRES, non moins assaisonnées, composant la +IIde. Les Filles de Cupidonnet Lui racontent les parties-de-plaisir +que Leur fesaient faire leurs Entreteneurs; parties +oú, dans le delire de l'ivresse, Leurs Payeurs les fesaient +quelquefois posséder par 12 Hommes... Mais toutes ces Lettres +ne sont pas érotiques: il en est d'intéressantes par un autre +motif; tel est celui d'une Resurrection, avec la decouverte +importante de l'origine de Conquette-Ingenue, ét de Victoire-Conquette, +noms de deux Filles que les miénnes ont remplacées: +Ce qui me justifiera d'une certaine chose, qui sans-doute a +déja effarouché plus d'un Lecteur... Je n'en dirai pas +davantage là-dessus. + +On ne peut trop multíplier les observations sur les Scènes que +je vais mettre sous la vue du Lecteur: Pour remplacer la +JUSTINE, ét faire préferer l'ANTI-JUSTINE, il faut que +celle-ci surpasse l'Autre en volupté, autant qu'elle Lui cède en +cruauté: Il faut qu'un seul Chapitre lu par un Homme, sur +l'inspection de la Table, Lui fasse exploiter sa Femme, Jeune +ou Vieille, Laide ou Jolie, pourvu que la Dame ait fait bidet, +ét qu'elle soit bién chaussée. + + + + +XXVII Chapitre. + +Chap. Du commencement des grandes Fouteries. + + +Egayée come elle l'avait été hièr, ma Fille devait ávoir +besoin de repos le lendemain: Elle avait le Bijou si fatigué, +qu elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment +auprès de Mad. Brideconin, depeur que Persone ne vînt le lui +patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique +guérie dès le 3me jour, de se trouver seule avec moi. Elle +amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était jamais +branlée. + +Le Dimanche, à une heure, elle ala pour la dernière-fois chéz +son Amie... Avant de partir, elle me présenta son joli Piéd à +baiser, ét me livra sans bégueulerie le Poil de son conin. Je +La conduisis jusqu'à la porte, promettant de La revenir +prendre avant 5 heures: ce qui la fit rougir: mais j'observai +qu'en montant, me croyant parti, elle souriait. + +Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi, +m'apercevant qu'elle était observée par un Homme, que je pris +pour Un des Payeurs de Vitnègre: Mais Il ne pouvait +reconnaître que son joli tour-de-cúl ét sa marche provocante, +tant elle était bién encalèchée. J'observais l'Inconnu: Je +demandai à ma Fille, Si c'était-là Celui-ci qu'elle préferait? +-- Oui- (me dit-elle). Alors, je La nommai distinctemt, Ma +Fille. Et l'Homme s'éloigna. + +J'avais averti Tràìtdamour. Il avait une cléf de mon Magasin, +ét nous L'y trouvames. Je Le crus seul, malgré la +recomandation que je Lui avais faite, de m'amener quatre +Acteurs des deux-sexes. Je Lui dis en riant, que je bandàis, +ét que je voulàis enconner. "Quoi! (dit Conquète), est-ce que +vous aléz faire tous-deux comme l'autre fois?... Je ne suis +pas disposée, je vous en avertis. "Nous vous disposerons, ma +Belle (Lui dit ironiquement Tràìtdamour, qui La crut ma +Putain): voyéz-moi ce vit-là?"... Et il Lui en montra un +superbe... "Laisséz-moi dabord vous lècher le conin, +Ma'm'selle?... Mon Maître vous enconnera, quand vous seréz +préparée? J'ai tout disposé, pour lui donner aujourdhui, ainsi +qu'à vous, un plaisir de Fermiér-general". Il La renversa +brutalement, ét La gamahucha, en Lui disant, comme s'il +L'avàit menacée: "Ne résistéz pas! car je vous ferais mal"... +Mais Mad. Poilsoyeux, comme toutes les Femmes à grand +temperament, aimàit, dans la fouterie ét ses accessoires, une +sorte de brutalite. Ainsi, en croyant La contraindre, il La +servait admirablement... La Belle commençait à décharger... + +Tandis que je roidissàis avec oscillation, à la vue du systole +ét du diastole des fesses ét du con de ma Fille, j'aperçus +derrière un rideau de l'alcove quelque-chose qui remuait. +J'alai voir. C'étaient Minone ét Connète, auxquelles deux +Garsons amis, de Traìtdamour, excités par ce qu'ils voyaient, +lèchaient le con. Je Leur fis entendre par signes, de ne pas +bruïr, ét je Les encourageai d'un geste. + +Cependant Tràìtdamour fellait ou suçàit le conin de Mad. +Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se +dérangea, me tìra sur la Belle, ét insera mon vit bandant en +ce conin rempucelé par sept jours de repos. "Qu'avéz-vous à me +donner à vous suçer? (dit-il à l'Enconnée). Elle Lui présenta +l'index de la main-droite qu'il se mit à suçer, après +neanmoins avoir appelé sa Soeur ét sa Maîtresse, en Leur +disant: "Ici, Bougresses, ét qu'On montre son +savoir-faire"?... L'Une (Minone) qui avait la main aussi douce que ma +Fille avàit le con, me chatouilla les couilles; l'Autre +(Connète), fourrait un doigt pommadé dans le cùl de ma +Fouteuse, pour La faire tressaillir sous moi... Mad. +Poilsoyeux hennissàit de plaîsir. Elle me dardait sa langue, +en m'appelant son chër Fat.. son chër Centlouis.. son chër +Payeur à gros vit.. son chër Traitdamour... Enfin, enivrée de +fureur érotique, elle s'écria: "Vitnègre?... Jeanfoutre... +Fous-moi? Pinçe-moi?... Que ton gros vit de Mulâtre me +pourfende ét m'encule"?... Et elle déchargea comme une +Energumène. En ce moment, j'avàis dans la bouche la Langue +fretillante de mon Enconnée; Une des deux Filles me +chatouillàit de la siénne le trou du cùl ét les couilles; +l'Autre me suçait dans la raie du dos entre les deux épaules, +précisément sur le sensorium... Je croyais connaître le +plàîsir de la décharge: mais je ne l'avàis jamais éprouvé, +comme cette fois-ci; ét de ce coup, je fus rendu.... "Quelles +delices"! + +Tràìtdamour m'enleva de sur ma Fille, ét se précipita dans son +con. "Voila un connin? (disàit-il, en poussant ét retirant, +alant toujours plûs avant, à chaque saccade): Il y a de la +difference de ce connin aux autres cons, comme du satin à la +tapisserie de Bergame"... Les Jeunesfilles n'avàient plus +besoin de chatouiller, quand Tràìtdamour foutait; il avàit +asséz de feu pour Lui-même, ét ne fesàit que trop bién +trémousser sa Monture. Je fis signe aux deux Garsons, +Brisemotte ét Cordàboyau, d'étaler les Filles, l'Une sur un +vieux sofa, l'Autre sur un Lit-de-sangle àyant un simple +matelas, ét de Les foutre à la portée du regard de la Belle au +con soyeux. Par un effet du hasard, ma Fille émettàit sous +Tràìtdamour pour la seconde-fois, ét les deux Enconnées +déchargèrent au même instant, ainsi que les trois Hommes. La +belle Poilsoyeux, en roidissant les jarrêts, fesàit: "Hi +hi-hi-héhé?.,. Minone: "Han-han-hanh"?... Connète: "Houhi-houhin +houah-houah-houâh"?... Les trois Hommes disaient ensemble; +Tràìtdamour: "Remue du cùl, Deesse"?.. Cordàboyau: "Remue du +cùl, Garse"? Brisemotte: "R mu du cùl, petite Putain"?... En +déchargeant, ils s'écriàient: "Foutre... "Foutre... "Foutre... +Tràìtdamour: "Hâ, Deesse... Cordàboyau: Hâ, Bougresse... +Brisemotte: "Hâ, Mâtine"! chacun suivant son caractère ét sa +politesse.... + +Mad. Poilsoyeux fut la plûs longue à décharger; les deux +Autres étàient déconnées ét lavéès, qu'elle émettàit encore. +Enfin elle cessa. Tràìtdamour La lava: Et me voyant rebander: +"Vous la foutréz sans-doute autant que la dernière-fois? (me +demanda-t-il). "Très-certainement! (repondis-je). Je ne suis +vigoureux qu'avec cette Jeune-beauté: Je la foutrais jusqu'à +extinction de vie ét dessiccation de couilles; ét tu vas voir +ce que je vaux. Qu'On m'anime seulement par la vue +d'enconnages redoublés"? + + + + +XXVIII Chapitre. + +Chap. De l'Enculo-connillerie. + + +Ma reponse fit sourire Traîtdamour, qui sans-doute n'y ajouta +aucune foi. + +"Hé-bién (reprit Tràìtdamour), je vais vous donner un plaisir, +que vous n'avéz jamais eü, ni ces Bougres-là non-plûs. Je +tiéns cette pratique de l'Abbé Chouanche, ancién Genovefain, +qui m'a souvent enculé, avant que j'eüsse de la barbe au +menton ét du poil au vit.. Un-jour, voyant que je m'ennuyais +de son culetage, il me dit d'aler lui chercher la petite +Cùlfràyé la cadète, jolie come un coeur, ét non encore vendue à +un Lord. Il envoyait 12 francs à la Mère, ét la Fille devait +en recevoir autant. L'Abbé la fit s'appuyer un coude sur une +commode; il se mit derrière elle, ét l'encula: J'étais devant, +ét il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits se +sentaient, ou la Jeune-garse tortillait du cùl de-façon, que +nous croyions le sentir. Chouanche la fesait tantôt pousser du +con sur moi, ét alors son vit déculant à-moitié, il avait +l'agrément de la re-enculer, quand elle foulait du cùl sur +lui. Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli +jeu dura, tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne +dechargeait pas: il se reservait pour mon cúl. En-consequence, +il fit metttre la jolie Cùlfrayé sur le dos; je l'enconnai; +l'Abbé m'encula, ét nous déchargeames tous-trois.... Nous ne +prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop +fatigante pour la Foutue. Mais il payait la jolie Bougresse... +Payéz-vous Madame?... "Non certes: c'est une honnête-femme. +"Je m'en suis aperçu à sa fouterie: Une Putain ne fout pas +comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une experience +fisique sur Une de ces deux Fillètes... Alons, Minone.. Alons, +Connète? laquelle des deux veut étre enculée ét enconnée +tout-à-la-fois ét en-même-temps? Qu'elle se trousse"? + +Durant cet entretién, qui La laissàit tranquile, Conquète +s'étàit couvert le con ét les tetons. Les deux Filles étàient +assises à-côté d'elle, détetonnées. Elle Leur baisa le +boutonnet, ét Leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs +fichus. (Mad. Poilsoyeux redevenàit toujours modeste, dès +qu'On ne La foutàit plus)........ Les deux Filles répondirent +ensemble: "Moi... Moi! "L'Une après l'Autre (dit +Tràìtdamour)... Vous avéz ici de la pomade, ou du beurre-frais? +"Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné): +Tenéz, ma pomade est-là... ét voici du beurre. "Gardons ce +beurre-frais pour vous, belle Dame, aussi belle au cùl ét au +con, qu'au visage (reprit Tràìtdamour). Minone se pomandàit la +rosète. "C'est donc toi qui passes la premiére, ma Soeur? "Oui, +si c'est tòi qui me dépuçèles le cùl? "J'y suis pucelle aussi +(s'écria Connète). "Ce ne sera pas moi qui aurai ton puçelage +d'arrière (répondit Traìtdamour à sa Soeur): Mon vit est +aujourdhui entièrement reservé à Madame: Et quoique le +culetage m'ait toujours fait peine, Agent ou Patient, le cùl +satiné de Madame me tente autant que l'étroit fourreau de son +con, qui se rempuçèle en une semaine, ou seulement en fesant +bidet à l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été +enculée (à-genoux, il Lui regardàit au cùl), ét que c'est +aussi un puçelage"? Conquète rougissàit. + +Les deux Camarades de Tràìtdamour tirèrent au premiér-Roi, à +qui dépucelerait le cùl de Minone: car tous-deux Le voulàient +avoir. Ce fut Cordàboyau (un Bellot à vit moyén), que le sort +favorisa. Il se pomada le vít jusqu'à la racine. Tràìtdamour +fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordàboyau devant son +cùl, ét Brisemotte (un Beau à gros Vit) devant son con. Il La +fit ainsi enfiler des deux côtés; les Jeunesgens se La +poussant L'Un sur l'Autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel +plaîsir á Minone, qu'elle se recriàit: "Dieu.. que j'ai de +delices... c'est... une fouterie de Princesse...... On dit.. +que la Reine.. fout ainsi entre.. DArtois et Waudreuîl.. ce +derniér a.. le cùl.... "Alons (dit Traìtdamour), tachéz de +décharger tous-trois en-même-temps"?... Cordaboyau poussait; +il retint la Gàrse par les hanches, pour enfoncer plûs àvant; +Brisemotte en fit autant; desorte que rendue immobile, elle +s'agitait néanmoins en tout sens. "Examïnez bién.. (dis je à +Conquète-Ingenue), pour faire la même chose à votre tour: car +il faut que vous experimentiéz tous les genres de fouterie". +Elle considéra le jeu, à-tràvers les bâtons de son éventail. +Minone hâletaît. Connète ébahie restait immobile à La +contempler: "Que fais-tu là, toi, Bougresse? (Lui dit +Tràìtdamour, notre grand Maître-des-cerémonîes): Patine-nous +Madame... Suce-lui le bout des tetins... Gamahuche-la; elle a +le con propre comme un visage de Mariée"........... + +Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la Reîne de +la Fête, que je vais décrire. + +Connète, tandis que Minone travaillait, & qu'elle était +travaillée, decouvrit les tetons de Mad. Poilsoyeux, & les +siéns: Elle en suça les bouts; elle se les fit suçer. Ce +chatouillement de la bouche de Conquète, aussi satinée que son +con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse: Elle trousse +Mad. Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui +chatouille le haut de la mote. La Belle émoustillée, regardait +cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux Fouteurs qu'elle +était prête à decharger. Ils redoublent le fourgonnage. Elle +s'écrie: "Vits de Dieu"! Et elle se pâme. L'Enculeur & +l'Enconneur l'inondaient de foutre; il ruisselait des deux +côtés... Ma Fille, vivement gamahuchée par Connète, est hors +d'elle-même, & cette modeste Beauté dit à la Jeunefille: -- +Ote-Toi-, Garse! Un Fouteur? un fouteur?... deux... cent +Fouteurs-?... Traìtdamour l'entend: Il derange Connète +acharnée, en la tirant par la jolie crinière de son con blond: +Il emplit le trou-du-cúl de Mad. Vitnègre de beurre-fraîs; +s'en frote le Vit decaloté; se met le bas-ventre sur ses +fesses, enfile la rosette, sans écouter les petits cris de +l'Enculée; l'étreint vigoureusement, se retourne, en se +mettant sur le dos, le vit dans le cùl de la Belle jusqu'à la +garde, son con bién facé:..... Il crie à son Maître: "A ce con +beant qui vous supe! Enconnéz roide... Piquéz des deux... la +Garse est enculée, & je vas vous donner les mouvemens..... +Pardon, Deesse! je ne me connais plus...... Connète? boulonne, +boulonne les Couilles de mon Maître"...... + +Cependant j'enconnais ma delicieuse Fille: Et sentant le vit +de Traìtdamour, qui m'étrecissait encore le passage, & qui +donnait au connin des oscillations, que jamais Con n'a eúes, +je déliraí, en m'écriant: -- Chién de Vinègre! cocù tout-à-la-fois +du con & du cul-. Cette idée m'enflâmait, & sa brutalité +m'empêcha de décharger trop-tôt. Je parvins au charmant +pinçoir du fond du conin. Il me suça. Le vit de Traîtdamour me +communiquait tous ses mouvemens, & en fesait faire d'insolites +à mon adorable Fouteuse. Deja préparée par la langue de +Connète, elle s'écrie: -- Ha-ha-hôh!... ze déça-arze.... +Foutre! -- En voila.. du Foutre.. plein votre con... Reine des +Vits.. et des Dieux s'écria Traìtdamour-!..... Et je sentais +les oscillations de son gros Vit qui éjaculait.... Enfin, je +déchargeaí moi-même. Ma Fille, inondée de foutre tremoussait +rapidement: -- Con satiné de mon Vit (m'écriai-je), que tu es +delicieux-!... Mad. Vitnegre émettait encore, quand +Traitdamour decula..... + +Ce mouvement la fit redecharger... Le Bougre se lavait +d'eau-tiède. Conquète, dans le Con de laquelle je laissais osciller +mon vit, après decharge, gigotait, tremoussait, tremblotait +sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traìtdamour +toujours bandant, était revenu vers nous. -- Fous-la-moi +tout-chaud (lui dis-je); elle decharge encore.... Et toi (dis-je à +Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du Bourdon-d'amour-. +Elle m'obeït. Mais Minone, deculée, deconnée, lavée, était +libre: Elle vint remplacer Connète, en me demandant, Si cela +ne signifiait pas tout uniment, de chatouiller les Couilles de +son Frère, pendant qu'il foutait ma Maîtresse?... Cordàboyau +cependant & Brisemotte hápaient Connète, le premier, cette +fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une +perspective encourageante à ma Fille. + +Mais tout finit. Mad. Vitnègre cessa de decharger. On la +deconna: Traitdamour la mit an bidet: Elle se couvrit +modestemt le Con & les Tetons; puis elle dit aux deux +Fillètes: -- Mes Bonnes-amies, alons aîder mon Hôtesse, pour le +souper-? Elles y coururent. -- Si vous n'avéz préparé (dit ma +Fille), que pour notre soupér ordinaire, je vous avertis qu'il +faut le double. -- Je n'ai pas asséz donc (repondit mad. +Brideconin). -- Vîte au Rôtisseur de vis-à-vis (reprit la Belle +Vitnègre); & du bon vin? ou je ne boiraí que de l'eau. Un bon +mariage paiera tout-ça-... On ala chéz le Successeur d'Ellès, +qui promit un copieux soupér pour dans une heure. + +Conquète rentra auprès de nous avec les deux jolies Filles. -- +Rebandéz-vous? (me dit Traitdamour): Il ne faut pas laisser +languir nos cons, avec l'expectative d'un bon soupér? -- Je +brûle, à la vue du tour-de-cùl, & du piéd de ma Deesse: mais +je ne suis pas roide lui repondis-je. Traitdamour: Je roule +dans ma tête une idée, qui vous roidira. + + + + +XXX Chapitre. + +Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse négre. + + +-- Alons, Garses, dit Traitdamour à sa Soeur et à sa Maitresse, +nues? Et vous, Bougres, deshabilléz-vous-?..... Il se mettait +nu lui-même. -- Mais il nous faut encore une Actrice... Je +viéns de voir monter une jolie Drôlesse, qui ferait notre +affaire? -- C'est mad. Brideconin, l'Hôtesse de notre belle +Dame, dit Connète. -- Non, non, mon Amie: C'est une petite +Brune de fond de la cour, cadète d'une grande belle Blonde, +que nous aurons peutêtre un-jour, & qui se nome Conindoré: La +Cadète s'appèle Rosemauve, & passe pour très-rusée. Mais On la +dit amoureuse comme une Chate, quoiqu'elle soit peutêtre +pucelle encore; car sa Mère la couve des ieux. Cependant quand +un Homme l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner +sa langue. -- Je la counais! dit modestement la belle +Poilsoyeux; & elle m'a... m'a... Traitd. Quoi? Deesse? -- Mais, +donné sa jolie langue, &... -- Et quoi? -- Gam*******. -- +Gamahuchée... Va la chercher, Connète. -- Non! dit vivement +Conquette, j'y vais moi-même-. Elle sortit, & ayant rencontré +Rosemauve qui redescendait, parcequ'elle n'avait pas trouvé un +vieil Oncle asséz riche, dont elle recreait l'impotente +lubricité, en lui chatouillant le Croupion, le Scrotum & les +Testicules; ce qui le fesait bandocher, la Belle Poilsoyeux la +mit au fait, obtint son aveu, & l'introduisit. + +Les deux Filles & les trois Hommes étaient nus comme la main: +Sans rién dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous-cinq à +la deshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui +baigna Cul, Con, Cuisses, Piéds... Puis Traitdamour lui dit: -- +Ma Belle, il faut; en Tout, faìre comme ma Soeur & mon Amie-. +Aussitôt commença la Danse-nègre; où chaque Fille fesait tous +les mouvemens d'une Noire ardente, qui fuit le Vit dont elle +brûle d'être enconnée, que le Vit attrape, & qui saccade alors +en tremoussant du cùl, comme si le Vit la fourgonnait. Les +Garsons poursuivaient les Garses le vit en main; & dès qu'ils +les avaient attrappées, elles se retournaient pour l'enconage, +ou ils paraissaient les foutre en levrette; culetant, +criotant, jurotant, comme s'ils eússent perforé les cons. La +Danseuse prenait le vit, aulieu de la main; l'Homme la +saisissait par la barbe du con. Ils se fesaient ainsi tourner +de-temps-en-temps. + +Je bandais roide. Je fis trousser ma Fille audessus des reins, +& je lui dis: -- Conque de Vénus, imite tous les mouvemens de +cul et de con que tu vois-... Elle était excitée; elle se mit +au-milieu de la danse, & les executa rapidement... Traitdamour +me voyant en rut, & ses Camarades bién-disposés, leur dit: -- +Au foutoir-... Il laissa Rosemauve, sa Danseuse, qui en parut +toute mortifiée! -- Votre tour va venir, ma belle Danseuse-. Il +étendit ma Fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillérs +sous le cul: -- Alons, ma Toute-éveillée, dit-il à Rosemauve, +gamahuchéz-moi ce conin-là, pendant que je vous le mettraí en +levrette, ou vous enculeraí, à votre choix? -- On ne dépucèle +pas une Vierge en levrette (repondit-elle vivement): encule-moi, +s'il le faut, tandis que je gamahucheraí ce conin +d'amour-... Elle gamahucha la belle Epouse de mr Vitnègre avec +fureur, & Traitdamour perça sans pitié, par des efforts +redoublés, le cul virginal de la Gamahuchante. La belle +Poilsoyeux appela le Vit? le Vit? + +Je n'y pouvais plus tenir. Je derangeai la Rosemauve enculée, +pour me précipiter dans le con de ma Fille haletante de +volupté..... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eüs la +delicieuse surprise de me sentir gamahuchea le Cùl, ainsi que +la racine des Couilles, par la bouche & la langue veloutées de +Rosemauve!... Je cocufiai mons Vitnègre aussi copieusement, +que si j'avais eü les couilles d'un Dieu!... On abluait: -- +Avec la permission de ma Deesse (à Conquète), il faut que je +m'acquitte avec Rosemauve-?... Tout le monde s'écria: -- Non, +non, Dimanche-? Je ne les écoutai pas; j'enfilai la Pucelle, +qui criota, sanglorina, & ils furent Temoins de ma nouvelle +victoire. Mais Conquète me gronda serieusement.. On ala +souper. + +La conversation fut sage, rassise. Brideconin, sa Femme en +étaient édifiés... Mais je ne tarderaí pas à les mettre de nos +amusemens... Au dessert, Traitdamour me demanda une Histoire +dans genre de nos Amusemens? Je lui donaí à lire une Lettre, +adressée à Vitnègre, par Un de ses Trois Payeurs, Lettre que +j'avais trouvée dans une des malles de ma Fille. La voici: + + + + +XXXI Chapitre. + +Chap De la Piochée, du Pioché, du Piochard. + + +Nous avons Un de nos Confrèrs, qui avait une Maîtresse de +seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétens +jouir de ta Femme à la miénne, quand une-fois je l'auraí +devirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à-peu-près +come le Pére dont je vais parler. J'aime à écrire ces +histoires-là; elles me font bander. Le Père de la Jeunefille +était Un riche Marchand, qui l'avait delicatement élevée: mais +il était devenu si pauvre, qu'il ne pouvait plus la nourrir, +ni Un Fils de douze ans. La Fille áyant plu à mon Confrère, il +la voulut acheter. Le Père la lui vendit douze-mille francs. +Mais comme Piochencùl (ç'est le nom du Confrère), est un +libertin fort blâsé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce +ragoût est de faire trousser & laver la Fille par son Père, +avant d'en jouir. Le Père prend ensuite le vit du Fouteur, & +le dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son Père +l'avait pomadée la première-fois. Pendant l'acte, il l'excite +à remuer du cùl, à serrer le Fouteur dans ses bras, &c. Quand +elle est deconnée, le Père lave le vit de son Gendre, le cùl, +le con de sa Fille, & les essuie. + +Dans la conversation, Piochencùl apprit biéntôt que Piochée +avait un Frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement +ressemblant à sa Mère, qui avait été très-jolie femme. Dès que +mon Confrère le sut, il l'acheta, comme sa Soeur, & pomadé par +le Père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre la +Soeur avec plûs de vigueür, il la fit laver par le Père, +gamahucher par le jeune Frère, & il l'enconna, quand elle fut +prête à decharger... Par la suite, il n'encula plus le joli +Enfant: "Bougre! dit-il au Père, je ne bande plus asséz pour +enconner ta Fille, sans être excité; encule moi là ton petit +Garson; cela me fera roidir"? Le Père est forçé par son +interét, d'obéir au Blâsé: Ce qui fait tellement bander le +vieux Satyre, qu'il enconne, & même encule la Jeunefille.... + +Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le Garson a eú 15 ans, +il lui a fait enconner sa Soeur: Il la fout ensuite sans laver, +pendant que le Père encule le Jeunehomme. D'autres fois le +Frère encule sa Soeur, tandis que le vieux Bougre l'enconne.... +Voila. quelle est la vie que mène mon vieux Confrère, & qu'il +trouve delicieuse à son âge... La Fille est delicate & jolie. +Le Garson est beau. Le Père est affreux. La Fille est devenue +grosse. Le Financiér croit, avec raison, que c'est du jeune +Frère. Il desire que ce soit une Fille, esperant qu'elle sera +jolie, comme tous les Enfans incestueux. Car il faut savoir +que ce joli Garson est fils d'Un Frère-aîné, qui, dévenu +éperdûment amoureux de sa Mère, donna la courante à son Père, +en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le +Père fut obligé de se lever souvent, & le Fils, à chaque +sortie, ala auprès de sa Mère, qu'il enconna six-fois aumoins +pendant la nuit... Voila d'où provenait le beau Garson, +ressemblance de sa Mère avec une telle perfection, que vêtu +des habits de la Belle, qui n'est plus, on le prend pour elle. +C'est en consequence, qu un Amant, piocheur de la Mère, +entretint le Jeunehomme sur le même piéd que sa feuë +Maîtresse, à-condicïon que pour la jouïssance, il prendraìt +les habits de sa Mère, en porteraìt le nom, mad. Brouète-vît; +qu'il feraìt la petite voîx, diraìt Mon cón, aulieu de Mon +cùl; tandís que luí Vîtacon, se feraìt íllusïon, en dîsant à +sa Maîtresse: -- Alons, ma chère Brouètevît, venez que je vous +le mette en levrète-? + + + + +XXXI. Chap. Suite des Mêmes. Piochéte. Dix ans après. + + +Je vais donner la suites de cette avanture. + +Piòchée eút effectivement une Fille, qui a 14 ans aujourdhuì, +et qui est jolîe comme sa Grand'mère. Elle sert aux plaîsîrs +du vieux Traîtant, qui ne pouvant plus encònner, s'en faìt +caresser, tandís que la Mère lui suce le vît. C'est dans les +extases de ce plaîsir lông ét difficile, causé par le +chatouillement que fesait éprouver à son vit paralytîtique le +palaîs de Piôchée, qu'il conçut le dessein de faire depuceler +Piôchète à 14 ans, par Piôché l'Adònis, son père ét son Oncle, +que justement la jeune Enfant aîmaìt ìncestueusement; puîs +enculer alternativement. "Bande, Bougre, (dit-il à l'Adónîs), +et ne decharge pas! Tu me depuceleras ta petîte Gàrse de +Fille,... dês que tón Grandpère t'aúrà decúlé". Là Petíte fut +gámàhuúchée pár le vîeúx Singe; púîs pomadée pàr sa Mère. Són +Père, deculé, bién bandant vint súr elle, et lúy darda son vit +dans le conin, dónt la Mère écartàit les bàbines. Le Fouteur +n'enlràit pas; la Petîte dechîrée se recrîàit; le víeùx Satyre +émótiónné, bándòchàit, en s'écrîant: "Hô! pousse dónc, Mâtin! +ô pousse dónc, Bougre! Fends, ponrfends le connichon de ta +Fille!... et mêts-y Une petite Garse, que nous deflorerons +un-jour! Gzée, gzée, mon Etalon! fàîs-môy des Caváles"!.... Et le +vieùx Decharnè, par un phenomène, émít quelques gouttes d'un +foutre clàìr, dans là bouche de Piôchée, au moment où Adónîs +forçant toutes les barricàdes, màlgré les crîs de sa Fille, +lúy dechargeàit au fónd de són cònnìn ensánglánté! Le belître +en fut si glorieux, qu'il fit à Piochette mille écus de +rentes, et autànt à Piôchée, oûtre ce qu'elles avàient dejà. +Son grand delîce, pendant qu'iï faìt servîr la bouche de la +Mère de cón à son vît, qui ne decharge plus, est de voir +piôcher Piôchette, non-seulement pvr le vigoureux Adonis +Piôché, qui piôche, sòìt en cón, sòìt en cúl, maìs de faire +alòrs enculer le Père qui fout sa Fille, par le Grandpère +qu'encule un Laquàîs, sur le cùl duquel est assise Pîôchée, +foutue par un autre Laquàîs..... Il a sóin qu'On fasse suîvre +au vîeux Piôchard un regime échauffant, afin que ce Monstre +tantôt encónne sa Fîlle, tantôt encule son Fîls. Pendant cette +sçène, l'impuíssant Ribaud patíne les tetons et le connín du +Tendrón, ou-bién la gamahúche. Il luí prend quelquefóîs des +vertigôts de faire enconner la Mère, enculer Adónis par douze +de ses Amís en un-seule seance. La Jeunepersone est alôrs nuë +en perspectíve, montrant le cúl aux Encúleurs, et le cón aux +Encónneurs.... C'est le víeux Píôchard qui insère les vîts +dans le cón ou dans le cúl. + +Tu vòîs par-là quel parti nous pouvons tîrer de ta Femme, +lorsqu'une-fòîs elle sera depuçelée. Tu ne seras pas prìvé; tu +mettras les vîts dans le cón et dans le cúl de ta Femme; tu en +seras le maquereau, et quand elle sera bién élargie des deux +trous, peutêtre te permettra-t-on de la foutre en cn ou même +en cón. Lélargisseur. + +P.-s. J'apprens par une dernière visite, faite à Pîòchencùl +que Pîôchette a effectivement eú la plüs joliîe petìte Fîlle; +On me l'a móntrée; elle a 3 ans. Màîs ce quì êst le cômble dú +lìbertinàge, le vîeûx Pîûchencùl lúy fàit dejà teter son vît +flasque, pendant que la jeune Mère lúy chatoille les coüilles. +Je luy en demandáí la ràîsón?" Je profite, repondil- du temps +où l'Enfant n'a pas encore de discernement, nì de degoût à me +súçer". Que dìs-tú dù vîeùx Bóugre? + + + + +XXXII Chapitre. + +Chap. Du Conin goûté. + + +Voila quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à Conquète, +si vous n'étiéz pas décédée, ét que vous fussiéz restée +l'épouse de Vitnègre-. Expressions qui étonnèrent Tout le +monde, hors ma Fille, & les Brideconnin. + +Cette Lettre, qui avàit été lue après le champagne, avàit mis +les Jeunes-gens en rut. On descendit au magasin, pendant que +les Hôtes serraient les débris du soupér. Là, Tràitdamour, +demi-grisé, me dit, en me designant ses Camarades: -- Comment +ces Bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre bonheur, & +de ce qu'est le Connin de votre Maîtresse, s'ils n'en tâtent +pas?... Je n'entens nullement qu'ils y déchargent; maîs +seulement qu'ils y plongent rapidement leurs vits, pour en +palper le satiné. Dès qu'un des Enconneurs sera retiré, le +mieux en état de nous-deux, vous ou moi, achèvera Madame, & la +fera decharger? -- Je le veux bién (repondis-je). Cordàboyau +bandant roìde se présenta. Nous renversames ma Fille sur le +foutoir, nous la troussames, & nous declarames que nous nous +tenions prêts à le desarçonner, dès qu'il aurait senti le +velouté de l'étroit connin de notre Fouterie, & que le +clignotement de ses ieux annoncerait l'éruptíon du foutre. -- +En ce cas (s'écria le Bougre), que l'Une de ces trois Garses +se couche-là le Con pomadé, pour que mon vit convulsivant s'y +précípite & decharge-? On pomada Rosemauve. Cordàboyau enconna +lentemt Conquète, dont le satiné le fit se recrier... mais il +plongea jusqu'au fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. +Aussitôt Brisemote & Traìtdamour l'enlevèrent comme une plume, +en jurant, Le sacrébougre! il va partir... Et ils le mirent +sur la brune Rosemauve bién écartée, & Conète dirigea le vit. +Cette Fille, la plüs chaude des Garses, si Mad. Vitnègre ne +l'eût pas surpassée, engloutit le vit en trois coups de cul +sans intervale. Cordàboyau dechargea en heurlant de volupté, +Rosemauve l'étreignant avec une delicieuse fureur. + +Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, & j'enfonçais dans +le Con humide de ma Deesse, qui suffisamment limée, dechargea +deux-fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel... +Elle gigotait, criotait, soupirotait. -- Hâ! (s'écria +Traìtdamour), vous êtes le Dieu de son Con, chër Maître! il se +fond en jus d'amour, quand vous le perforéz! Voyéz comme elle +en donne, l'adorable Enfant?.. Alons, celeste Coquine, +tremousse, tremousse! Fous, divine Garse! decharge-... + +Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conète pemadée, fut +étendue sur le foutoir... Il enconna ma Fille. La grosseur du +vit & sa roideur lui arrachaient de sourds gemissemens; elle +travaìllait de toutes ses forces, mais le terrible Engin avait +encore plüs de trois pouces pour toucher le fond. Taut-à-coup +nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder +d'un torrent de sperme, le Connin qu'il martyrise. Nous ne +pouvions l'enlever & l'arracher, son vit lapait comme celui +d'un gros Dogue, dans la vulve enflamée d'une grande Levrète. +En ce péril, nous implorames Traìtdamour & Moi, la pudeur de +Conquète? L'adorable Fouteuse, fidelle à nos vits. donna un +coup-de-cul en-arrière, & se decona. Traìtdamour plongea +rapidemt son braquemart en furie dans le Con béant..... + +Brisemote enragé se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait +pas, & la foutit en levrète, avec tant de brutalité, qu'il la +fit crier autant de douleur, que de plaîsir... Et voyant +Conète se lever: -- Reste-là, Garse! lui cria-t-il: Je suis +dans une rage, par ce Con velouté que fout Traìtdamour, que +j'enconnerais la ruë Maubué & celle de la Tannerie-... En-effet, +Rosemauve deconnée, il fondit sur Conète, la fit crier; +enfila Minone sans intervale, & reprit Rosemauve.... -- Que +n'ai-je-là notre Putain d'Hôtesse! la Garse boite avec grâce, +elle a de blancs tetons: qu'on me l'appelle-?... Nous lui +préparions Rosemauve, qu'il encula. + +Pendant ce temps-là, Traìtdamour se delectait sur Mad. +Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, & dechargeait sans-cesse, +parceque son Enconneur ne la deconnait pas. -- Que la +Bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les petons +de ma Deesse; ça la fera me secouer. -- Alons! m'écriai-je, que +Minone lui chatouille le haut de la motte, la douce main de +Conète les couilles du cruel Pourfendeur, & Moi je +chatouilleraí les píéds delicats de la belle Enconnée-? Ce qui +s'executa: de violens soubresauts, des cris, des blasphèmes de +volupté, Foutu Dieu... Sacre-Dieu... Dieu-con... Dieu-vit... +marquaient l'égarement des deux Conoeuvrans. + +Cependant Cordàboyau flairait la chaussure mignone de +Conquéte-Ingenue, & alait y mettre son vit: -- Laisse-donc! lui +dit Rosemauve, tout-enculée qu'elle était; cela est +insensible; mon Con est libre; que ne le fous-tu-? Le Bougre +lui mit le ventre en l'air, & tandis que Brisemote lá +sousaccadait en cul, Cordàboyau lui saccada le Con. + +Je bandais si fort, en entendant & voyant tout-cela, que +j'alais enconner Minone ou Conète. Ma Fille qui dechargeait, +me dit tendremt: -- Un autre Con... que le mién... peut-il vous +tenter-?... Cette tendresse vraîment filiale, me toucha au +coeur. -- Ote-toi (dis-je à Traìtdamour); tu dois avoir +dechargé-? Il deconna: Et Moi, ému d'un amour-paternel sans +bornes, j'enconnaí ma Fille, sans laver. -- Mêlons nos trois +foutres (lui disaîs-je en enfonçant): que ton Con filial +engouffre le Vit-paternel avec delices!... Remue du cul, +adorable Enfant! Rens-moi tout le foutre que j'aí dechargé +dans le Con de ta Mère,... pour te faire!... Hâ! comme la +Garse remuait du cul, oscillait du con, le jour où je +l'engrossaí de toi! Elle était chaussée, parée, un-peu +chiffonnée, & si chaude, qu'elle se mit sur moi & s'euconna. +Pour m'exciter davantage, elle me disait, en saccadant: +Pousse... Enfonce... mon Con est frayé... je viéns d'étre +foutue par ce beau Commis aux Aîdes, dont tu es si jaloux... +Et elle saccadait... Pour moi,... je foutis avec fureur,... +comme je te fous à-pésent... C'est moi qui t'aí engendrée, +enfoutrée dans son Con satiné,... quoique tu ressemble à +Louis-XV, qui,... dit-on, l'a aussi foutue... -- Mon cher +Père... ô Vit divin! (répondit Ingénue, oppressée de foutre & +de tendresse), je sens.. à mon insatiable Connin.. que je suis +votre fille.... je le sens au plaîsir.. que me fait la celeste +idée que mon... Pére me fout.... Décha--argeons ensemble, chër +Papa!.. j'aí... plûs de.. foutre avec toi, qu'avec +tout-autre?... Hâ! hâ!.. fourgonne... fourgonne, Vit-papa... Le +foutre... est long... à venir... J'ai tant foutu!... Mais je +n'en ai que plûs de plaisir... Hâ! hâ!... foutre!... Dieu! +Delices!... Vitnègre!... ô Monstre, qui me dechirais, sans me +pouvoir en--filer, que n'es-tu sur moi... ton Vit noir me +pourfendant le Con... Foutàmort... enfondre-moi.....: Chër +Papa... Dieu-fouteur... je pars... je decha--a--arge... à +l'intention... de... Foutàmort-.... Et elle se pâma, dans un +égarement, un delire ineffables. + +Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, & elle +me fesait une jolie bronette de ses cuisses & de son Con. Je +dis qu'On la rechaussât, & à chaque coup de cul, elle fit +claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme fesait sa +Mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son piéd. Ce +spectacle parut si delicieux à mes trois Droles, qu'ils +enconnèreut en furieux, Traítdamour Rosemauve, Cordàboyau +Conète, & Brisemote Minone. & qu'ils les firent crier comme +des Depucelées. + +Dès que j'eús émis, je dis à mon Secrétaire, de déconner, de +m'enlever, & de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma +Fille palpitait. Je la montraí se chatouillant elle-même le +Con. Traìtdamour rebanda come un Enragé; il se précipita sur +elle. -- Enculéz-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle), +il me semble que ça me fera mieux... -- Decharger ('écria le +Bougre): Vous avéz le Con trop fatigué-. Et il lui perça le +cul sans mouiller. -- Je vais... redecharger (lui dit-elle, en +continuant de se branler elle-même). -- Attendéz! attendéz! +(lui cria le jeune & vigoureux Perforeur); je vous branleraí, +en vous enculant-. Conquète enculée & branlée, roucouloit de +plaîsir... + +En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur +Rosemauve, abandonnée par Traìtdamour, pour ma Fille: Elle se +fit enculer & branler. Cordàboyau retourna Connète, & lui en +fit autant. Minone libre ala gamahucher ma Fille, que son +Frère tenait enculée; & moi, je branlaí Minone. Les trois +Bougresses se recriaient, que l'enculage branlé était divin. + +Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le Con de +Minone, que j'avais à-peine la force de branler, tombant de +sommeil, & bandant encore pour toutes-quatre: il me devenait +indifferent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote +m'avança Rosemauve tout-enculée. J'alais enconner la vive +Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce Con +noir, & me présenta son Con. -- Que je te voye! (s'écria +Conquète, en s'arrachant du cul le vit de Traìtdamour), si +Cupidonet doit mourir en rut, c'est dans mon Con!... Elle se +mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras & m'engouffra. -- Hâ! +(s'écria Brisemote, qui nous portait tous-quatre), que n'ai-je +le vit asséz long, pour les enculer toutes-trois? + +Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au +Dimanche suivant. Conquète, après avoir fait amplement bidet, +se coucha modestemt. Je ne pouvais marcher. Mes trois +Gaillards remenèrent leurs Belles, & revinrent me prendre, +pour me porter chéz moi, où ils me mirent au lit. + + + + +XXXIII Chapitre. + +Chap. De la Fouteuse sensée. Histoire. + + +Le lendemain, après mon travaíl, je vins voir ma Fille. Elle +était dans mon magazin. Elle m'embrassa la première, & me dit, +& me dit: -- Au nom de Dieu, chër Papa, ménagéz-vous! j'ai +besoin de votre tendresse-paternelle, plûsque jamais... Que +deviéndrais-je, si je vons perdais? Vous êtes le meilleur des +Pères: vous me donnéz le necessaire & la volupté. J'aí un +Bijou insatiable: mais votre Traìtdamour l'emplit & le +satisfait audelà de toute vraisemblance. Je suis bién sensible +au don que vous m'en avéz fait. Aussi la reconnaissance & la +tendresse sont pour vous; je ne lui donne que du... -- Foutre, +mon adorable Fille... Tu es toujours égalemt mondeste. -- J'aí +aussi beaucoup d'obligation à Traìtdamour d'avoir amené sa +petite Soeur & sa jolie Maîtresse: surtout d'avoir donné +Celle-ci à ses deux vaillans Camarades, pour me rester plüs entiér, +& vous soulager d'autant, vu mon extréme chalenr. Ces +Jeunesfilles sont de bonnes petites Creatures, & valent mieux +que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite.... +Menagéz-vous, chër Papa. Ne voyéz que moi: c'est bién asséz. +Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces. +Traìtdamour me donnera le surplûs de ce qu'il me faut. En ne +jouissant que les Dimanches, les Garsons, les Petites, +tout-comme nous, l'appetit & le plaisir seront plüs grands; nous +passerons une demi-journée delicieuse... Mais je suis jalouse +de vous & du beau Traitdamour; ne le mettéz qu'à moi. +Avertisséz-les tous de cela. C'est mon caractère que la +jalousie. Et-puis, où trouveriéz-vous une Femme ou Fille qui +me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par +volupté que par delicatesse: car j'ai cet Endroit que vous +avéz la bonté de trouver charmant, toujours si chaud, que je +ne le mets jamais dans l'eau s qu'avec une volupté qui +approche de la Jouissance. Ne me le mettéz donc pas de la +semaine, pour avoir plüs de plaisir, sans vous tuer, le +Dimanche. Ne me touchéz ni le Bijou, ni le sein? -- Non +(répondis-je): durant la semaine, je ne baiseraí que ton joli +piéd. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au +trumeau de ma cheminée! -- Rién de si flateur, répondit-elle, +que d'être ainsi adorée, jusque dans sa parure: Aussi mon piéd +est-il soigné, comme vous l'adoréz. Je le lave à l'eau-rose +deux-fois le jour matin & soir, & après avoir marché. -- Hâ! +celeste Fouteuse, que je le baise, que je le baîse? -- Point de +ces mos-là? dans la semaine: ils vous excitent.... Baiséz +votre idole? j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs; mais +restéz-en là.... Du-reste, je suis à vous: Vendéz-moi, livréz-moi, +quand vous le voudréz; je me donnerai avec plaisir pour +vous; comme Une autre Ocyrhoé. [lacune. Je me privaí donc, +malgré moi: mais par nécessit; je me contraignais. [Autre +lacune... Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à +talons-vërts, à laquelle je rendais mon hommage tous les jours +en l'honneur de la Fille la plüs pieuse & la plüs devouée quî +ait jamais existé. Conquète-Ingénue, à quî je le edis le +samedi, en fut transportée de joie. Elle darda sa langue, me +fit sucer ses tetons, palper son poil soyeux, se mit à genoux, +& dit avec ferveur: -- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir +fait naître d'un si bon Père! Nous ne vous offensons pas; je +rens à mon Papa en plaisirs delicieus les soins qu'il a pris +de mon enfance. Je suis le baume & le charme de sa vie; il est +le baume & le charme de la miénne. Bénisséz-nous-? Elle fit +trois signesdecroix, baîsa la terre, & se releva, en disant: +Doux Jesus, qui le mettiéz à Madelène, elle était aussi votre +fille; & en amour, vous le savéz par experience, rién n'est si +voluptueux que l'inceste-!... Je fus si édifié de cette +prière, que je me propose de la faire recommencer, à la fin de +nos parties. + +Un-instan aprês, à 8 heures-&-demie, toute la petite Société, +Traìtdamour, Minone sa soeur, Conète sa maîtresse, Rosemauve, +Cordàboyau & Brisemote, vinrent prendre langue pour la reünion +du lendemain. Je donnaí le mot & les retins à soupér. Il y +avait un excellent gigot de 18 livres, & du vin de Bourgogne, +avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les émoustiller +tous, & moi-même, je fis lire par Rosemauve, devant nos Hôtes, +l'Histoire suivante: + + + + +XXXIV Chapitre. + +Chap. De l'Homme-à-queûe. + + +Vous aiméz les Histoires, dis-je, ne voulant pas manger de +pâté; nour aurons demain toute autre chose à faire: je vais +en-conter une, pendant que vous achèveréz de souper-. Un rire +d'aise préceda le silence. + +Il y avait à Sens, une Veuve encore belle, quoique mère de six +Filles, dont l'Aînée, qui atteignait vingt ans, é se nommait +Adelaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore +dixneuf; la tsoisìème, Julie, en avait près de dixhuit; +Justine dixsept; Aglaë seize, ét enfin Emilie la Cadète quinze +ans. Quant à la Maman, mariée à treize, accouchée de son Aînée +à quatorze, elle avait trentequatre ans. Mad. Linârs (c'est +son nom), avait en-outre deux Nièces de quinze ét vingtdeux +ans, Lucie et Annète-Bar, une jolie Femmedechambre de dixhuit, +outre une Cuisinière, grande ét belle Fille de vingt ans. Le +Mari avàit mal-fait ses affaires, avant que de mourir. La +Veuve ne soutenàit sa nombreuse Famille qu'avec le revenu de +sa dot, qui rapportàit cinq à six-mille livres. On étàit gêné; +car les Nièces n'avàient que quinze-cents livres de rentes +entre elles-deux. C'étàit onze Jeunespersones à entretenir +avec 7500 francs. + +Il parut alors à Sens un gros ét bel Homme dont la phisionomie +annonçàit trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passàit +pour très-riche. Et en-effet, il l'étàit. Ses bras ét sa +poitrine étàient couverts de poils. Il avàît le regard dur ét +presque féroce: mais son sourire l'adoucissàit, ét il souriàit +toujours, en voyant de jolies Femmes. L'Aînée des Dlles Linars +étàit charmante: Fysitére la vit ét en devint éperdûment +amoureux, quoiqu'il eût alors dans son séràil une Femme-mariée +enlevée à Paris, de l'aveu du Mari même; la Soeur d'icelui, +vendue par son Père, ét une superbe Carmelite, leur cousine, +qui s'étàit livrée elle-même, parcequ'elle était hysterique. +Mais toutes ces Maîtresses étaient alors enceintes, ét +Fysitère n'en jouissàit, que pour avoir des Enfans. Il ala +chéz Mad. Linars, pour Lui demander en mariage Adelaïde. + +Le Velu, en voyant onze Femmes dans une seule maison, +tressaillit d'àise... Il étala sa fortune, ét proposa +d'épouser l'Aînée. Trente-mille francs de rente qu'il prouva +(il en avàit bién davantage)! Le firent accepter sur-le-champ. +Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, ét fit des +présens, tant à sa Prétendue qu'à la Mère, aux Bellessoeurs, à +Lucie ét Annéte-Bar, les deux Nièces, ainsi qu'à Geoline ét à +Maréte, la Femmedechambre ét la Cuisinière. Ce fut avec ces +présens qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques +préliminaires, qui fassent mieux connaître ce Personage. + +Fysitère était Un de ces Hommes poilus, qui descendent d'un +mélange de notre Espèce, avec celle d'Hommes-à-queûe de +l'Isthme de Panama, ét de l'Ile de Borneo. Il étàit vigoureux +comme dix Hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en auràit +batu dix à armes égales, ét qu'il Lui falàit, à Lui-seul, +autant de Femmes qu'à dix Hommes. + +A Paris, il avàit acheté la Femme d'un nommé Guae, un +scelerat, qui La Lui avàit vendue ét L'avàit livrée. Fysitère +La tenàit exactement renfermée depuis. Il jouissàit de cette +Infortunée, la plüs provoquante des Femmes, ét qui avait +beaucoup de temperament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la +fatiguàit tellement.r qu'elle lui avàit donné le conseil +d'acheter de leur Père sa Soeur-cadète, nommée Doucète, qui +partagerait le travàìl. Il le fit. Mais ces deux Femmes +avàíent été biéntôt sur les dents. Heureusement un Confesseur +de Nones decouvrit alors pour le Velu, la Religieuse +histerique, cousine des deux Victimes: il La tira de son +Couvent, sous prétexte de Lui faire prendre les eaux, ét La +livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques +semàines. Ce qui avàit reposé ses deux Cousines. + +C'est à cette époque que l'Homme-à-queûe étàit venu à Sens, ét +qu'il avàit vu la Famille Linars. Avant qu'il eût Mad. Guae, +On Lui amenàit trois Filles Couturières chaque matin. Mais les +précautions qu'il étàit obligé de prendre pour sa santé, avec +des Creatures qu'il làissàit libres, Le degoûtèrent de cette +jouissance. Dailléurs, comme il avàit formé le projet de +multiplier l'Espèce des Hommes-à-queûe ét d'en peupler l'Ile +entìére de Borneo, Pays originàire, il voulàít pouvoir +surveíller tous les Enfans qui Lui naîtràient. Ses trois +Femmes étant grosses, il ne voulàit plus Les fatiguér. Quand +il fut lié avec Mad. Linars, il aurait bién cherché à deflorer +sa Future, ou à se donner Une des Nièces; ou la Cuisiniére, ou +la Femmedechambre. Mais il trouva que tout-cela avàit ses +inconveniens. Il reserva ce-supplément de ressources, pour +aprês son marìage. La Première qu'il attaqua, ce fut sa +Bellemère future. Il Lui fit un-jonr un présent de deux-mille +écus en espèces: Et La voyant dans l'extase de la +reconnaissance, il iui mit la maìn sous la jupe, en Lui +disant: "Autant tous les six mois, si Je vous Le mets. Et ne +craignéz pas de faire du tort à votre Fille! Elle n'en aura +que trop de reste... Comme il étàit extrémement fort, tout en +parlant, il La renversàit, L'enfilàit. La Dame se trouva prise +sans l'avoir prévu. Elle fut rabatelée une dixaîne de fois, +tant Elle étàit vigoureusement contenue... Enfin devenue +libre, Elle Luì dit; "Hô, quel Homme! "Je suis tel (repondit-il), +que votre Fille ét vous, quand vous m'auréz toutes-deux, +me donneréz vous-même des Maîtresses, pour vous reposer". La +Dame, qui aìmàit le jeu d'amour, sourit, en rougissant +d'esperance ét de plaisîr. + +Elle fnt exploitée tous les jours, en attendant celui du +mariage de sa Fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour +Une jeune Vierge, Elle pria l'inépuisable Fysîtère de La +menager? "Six-fois: repondit-il, pas plûs, si vous me +promettez de me recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, +l'Aînée de vos Nièces? "Non; mais je vous donnerai Geoline, ou +Marète, celle que je pourrai avoir le plus facilement... Le +soir des noces, Fysitèré, quoiqu'il eût toutes les nuits +fourbi Mad. Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa +Mariée. Il L'enIeva commé une plume, dès qu'on eüt soupé, se +jeta sur Elle, ét Lui fit pousser des cris effrayans. La Mère +alarmée, accoutut avec Geoline, au moment où Fysitère, sans +trop s'embarrasser des gèmissemens de la Jeunepersone, La +recommençàit. La Mère Le laissa L'achever. Puìs, sur +l'instante prìère de sa Fille, Elle La retira du lit, pour +laver le sang ét le suc d'homme, dont sa conque martyrisée +était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, ét La viola, +malgré ses clameurs. Il La retint sous Lui quatre à cinq +fois.:. Elle profita d'un intervala, pour s'échapper Mais +Fysitère menaça Mad. Liuars, si elle ne remplaçàit pas sa +Fille, de tourmenter Celle-ci jusqu'au jour... La Dame étàìt +fatiguée: Elle ala chercher Marète, qu'elle enferma dans la +chambre-nuptiale. Fysitère La viola, ét La contint sous Lui +quatre-fois: puis il Lui permit de dormir. + +Dans le Jour, il assoupit les plaintes des deux Filles-domestiques, +ét même il Les gâgna, en leur constituant Douze-cents +francs de rente à chaqu'une. Mais elles demandèrent du +repos, pour la nuit suivante.... Le soir, Fysitère ramona +six-fois sa Nouvelle-Epouse, qui prit un-peu de gout à la chose: +puis sa Mère reposée, fut à son tour fourgonnée six âutres +fois. Ce qui suffit à l'Homme-à-queûe. + +Le soir du troisième jour, il ne ramona sa Femme qu'une-fois; +car Elle demanda grâce. Il eüt ensuite Geoline, six fois; puis +Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se règla. +Il eüt le quatrème soir, sa Femme, une fois; sa Bellemère +quatre; Geoline trois; Maréte quatre: douze en tout. Il en +agit ainsi pendant deux mois. + +"Mais, Lui dit Mad. Linars, vous vous èpuiséz! A quoi bon nous +Le mettre tant de fois? "Mon but est de faìre des Enfans, pour +en repeupler une Ile des Indes, dont les Hommes de mon Espèce +sont originaires. Dès que vous seréz grosses, je ne vous Le +mettrai plus; vous m'en donneréz d'Autres; mais surtout vos +Filles ét vos Nièces, parceque vous êtes toutes d'un beau +sang. Je Leur ferai à chaqu'une six-mille francs de revenu, ét +douze-cents francs seulement aux Etrangères que vous +procureréz-... Mad. Linars fut très-étonnée de cette +proposition! Mais les six-mille francs de revenu pour ses +Filles ét ses Nièces La tentèrent. + +Aubout des deux mois, ét de six semaines de mariage, Mad. +Linars, la Nouvelle-Epouse, Geoline ét Marète se trouvèrent +enceintes. Fysitère Leur déclara, qu'il ne les verràit plus, +qu'aprês Leurs couches. Et il pressa Mad. Linars de Lui donner +ses Nièces, ét deux de ses filles?... Elle fut obligèe d'y +consentir. Elle Les conduisàît elle-même, aprês Les avoir +instruites, ét assistàít à Leur defloration, calmant leurs +cris par ses discours ét ses caresses. "Ma ràisonable Enfant, +disàit-elle à Lucie renversèe sur le dos, ét qu'On troussàit, +il est doux d'avoir 6 mille fr. de rentes?... Cinq-cents +francs par mois, ajoutà-t-elle en La pomadant?.. Et foncières, +ma chère Nièce! dirigeant le gros Membre dans sa fente". Aussi +la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas. + +Vint ensuite Aunête la seconde. Sa Mère L'exhorta, La pomada, +inserant son index onctué le plüs profondement possible, pour +fràyer la route. Elle introduisit le Membre dans la fente +ainsi prèparée. Cependaut Annète perforée, jeta les hauts-cris. +Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont Mad. Linars +caressàit la queùe poilue, qui fretillait vivement. Hâ! Maman! +(Lui dit-il), mets-toi sur moi, ét te l'enfonce dans ta +conque; tu auras bién du plaisir"! Elle le fit, ét fut si +ravie, qu'elle appela sa Fille-aînée ét les Chambrières, pour +Leur procurer les mêmes delices. + +Annète suffisamment ramonée, ét demandant grâce, Geoline la +remmenà, pour laver le sang ét le sperme, dont son Bijou étàìt +barbouillé: ét Mad. Linars ala chercher Sophie, sa seconde +Fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs +mains jointes. Mad. Linârs La pomada; puis elle intromit. +Geoline s'enfila avec la queùe poilue, au refus d'Alaïde +l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissemens, an +premiér Assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut +cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queùe-à-poil +durant toute la séance. + +Fysitère n'avàit joui que neuf fois: Il Lui en falàit trois +encore. On ala Lui querir Julie la troisîème Soeur, âgée de +dixsept ans. Sa Mère La pomada. Ce qui ne l'empêcha pas de +crier, parcequ'elle était fort étroite. Julie ét sa cousine +Annète furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les +quinze premiérs jours. Lucie fut prise tout-de-suite, ét +Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rién, aimant +le piaisìr. Quant à Julie ét Annette, il s'écoula trois mois +avant qu'elles fusseut enceintes... Marète se farfouillàit +avec la queùe poilue, pendant les assauts de Julie. + +Lorsqu'il fut bién décidé que les quatre Belles avàient le sac +rempli, Mad. Linars fut requise de donner ses trois dernières +Filles, ét une Cousine du côtè-gauche, fille hors mariage de +son Mari, nommée Naturelle-Linars? Elles Lui furent livrëes, +et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avàìt pas quatorze ans +accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré +leurs cris ét la dechirure de leurs jeunes appas. Naturelle +avàit vingt-un ans: ce fut une delicieuse jouissance, que +l'Homme-à-queûe fatigué avàit réservée pour la dernière. +Celle-ci fut engrossée surlechamp; ét les trois Autres, malgré +leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du mois. +Elles étàient regulièrement fourgonnées trois fois par nuit: +mais soìt qu'elles eüssent moins de temperament, soit qu'étant +plüs étroites, elles souffrîssent toujours, elles furent +ravies, lorsqu'elles fudeclarèes enceintes. L'Homme-à-queûe +avàit en ce moment de fecondées, 14 Femelles, qui Lui +promettàient aumoins 14 Enfans. + +A cette époque, Mad. Linars accoucha d'une Fille. Un moìs-ét-demi +aprês, Adelaïde, ou Mad. A-queue, mit également une Fille +au monde. Puis Geoline ét Marète eürent chaqu'une un Garson. +Annète èt Lucie chaqu'une une Fille. Toutes-six voulurent +nourrir. Ce qui fut executé dans une Terre écartée, du-côté de +Seignelài, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la +petite Rivière de Serin. + +Cependant comme les Unes nourrissàient, ét que les Autres +étàient encore enceintes, il falàit de nouvelles Femmes à +Fysitère. Il demanda permission à Mad. Linars de reféconder +ses trois premières Concubines, Màd. Guae, sa soeur Doucète, ét +la Carmelite, qui n'étàit plus hystere, depuis ses couches. La +Bellemère y consentit avec la plüs grande joie: car Elle étàit +fort embarrassée pour trouver à son Gendre des Sujets +fecondables. Elle avàit deja bién marqué les quatres Pucelles +les moins làides du Village, ét même une cinquième la plüs +jolie, femme mariée, sterile avec son Mari; Elle les avàit +presque gâgnées, au moyén des douze-cents francs par année, +mais Elle n'etait pas encore sûre de leur discrétion... Les +trois Concubines étàient mandées. Elles arrivèrent. + +Dès le même soir, Elles furent mises toutes.trois dans un +grand lit propre à cinq Persones: Fysitère s'y coucha au +milieu: Il Les palpa Toutes; puis il prit Mad. Guae, la plüs +voluptueuse, qu'il fourgonna trois-fois avec fureur. Il saisit +ensuite Doucette, que ses tendres gemissemens Lui firent +ramoner en Enragé. En la quittant, il sauta sur la Carmelite, +qu'il exploita six fois, sans desarçonner. Mais Elle l'assura +qu'Elle étàit tguerie de sa maladie, ét Elle Le pria de se +parrager également entr'elles trois? Ce qui fut arrêté. + +Le lendemain, Mad. Linars, qui avàit tout écouté pendant la +nuit, demanda aux trois Parentes, Comment elles appartenàient +à Fysìteres! Mad. Guae repondit: "Nous alons vous faire notre +Histoire qui vous paraîtra singulière! en.même-temps qu'elle +vous donnera une idée juste de notre Mari à Toutes, qui est Un +Homme d'une nature particulière. Mad. Linars ne demanda pàs +mieux que de l'entendre: Mais elle fit observer à Mad. Guae, +que ce Recit ne seraìt pàs moins agreable aux 12 autres Femmes +de Fysitère? Mad. Guae en convint, ét Adelaïde, Sophie, Julie, +Justine Aglaé, Emilie, Lucie, Annète, Geoline, Marète, +Naturelle, appelées par Mad. Linars, vinrent avec elle +assister à la narration que fit la belle Mad. Guae, +en-présence de Doucette sa soeur, ét de de Victoire la Carmelite +leur cousine. + + + + +XXXV Chapitre. + +Chap. Des la Garse insatiable. + + +"Vous me voyéz; J'ai toujours été desirée des Hommes: A huit +ans, un Ouvriér qui travaillàit dans la maison à de la +menuiserie, me prit le bijou; ét comme je ne criai pas, il me +mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, ét me les +inonda, en dechargeant. Je le dis à ma Mère, qui me lava les +fesses, ala menacer le Menuisiér, ét le fit deguerpir... Ce +debut annonce que le Recit sera un-peu libre; mais il faut +être sincère. + +"A dix ans, mon Père déculoté m'asséyàit à crû sur ses cuisses +nues, fesàit aler son membre entre les miénnes, comme le +batant d'une cloche, ét, bién échauffé, il alàit enfiler ma +Mère, une jeune Tante soeur de Celle-ci, ou ma Gouvernante. + +"A treize ans, j'avàis le Bijou cotonné, ét si joli, que mon +Père venàit me Le lècher la nuit pendant mon sommeil. Enfin il +me sentit riposter à ses coups de langue, ét comprit que +j'avàis du plaisir. Il dardàit plüs fort, ét je partàis... +Aussitôt mon Père se mettàit sur moi, me suçàit mes petîts +Tetons naissans, posàit son membre à l'orifice de ma petite +Conque, ét me barbouillàit toute la Mote de sperme.. Il me +lavàit à l'eau-rose. + +"A quìnze ans, un Jeunehome, frère de ma Maîtresse de modes, +me prit le Con à la poignée, an moment où je regardàis par la +fenêtre, ét voulut me chatouiller le Clitoris avec son doigt: +mais il me fit mal, ét je Lui donnai un soufflet. + +"A cette époque, mon Père n'osàit plus m'asseoir à cùl-nu sur +ses genoux, ni me faire decharger en me lèchant le Con; il se +retiràit dès que je donnàis le premiér signe d'éveil: Mais +comme j'ai le piéd joli, ét que M. Dardevit, aìnsi que tous +les Hommes delicats, est infiniment sensible à cet attràit-là, +il fesàit faire mes chaussures par un habile Cordonniér, Celui +de ma Mère ét de la Marquise De-Marignì; le Voluptueux ne me +les donnàit neuves, que lorsque j'alàis chéz Lui; il me les +fesàit mettre aprês un pédiluve, avec des bas de fin coton, me +fesàit marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour mieux voir +ma jambe ét mon piéd, qu'il baisàit; il me fesàit ensuite +asseoir, me tiràit un soliér, s'en coîfàit le vît, me fesàit +Lui patiner les couilles avec mon piéd chaussé, poussàit de +profonds soupirs, cognàit au planchér, ce qui fesàit monter +Mad. Mezières voisine d'audessous; Elle Lui arrachàit mon +souliér, ou ma mule; Elle se renversàit sur le dos; il La +troussàit, èt La fourgonnàit, en me fesant relever ma jupe en +perspective d'une glasse jusqu'au genou. "Votre Père me fàit +ce qu'il ne peut vous faire, me disàit La Mezières, parceque +tu es sa Fille; mais c'est Toj qui Le fais bander... Hâ! si Tu +Luì montrais ton joli Conin, comme il me rabâteleràìt, ét me +donneràit des coups de vit en Con"! Touchée de ce langage, +souvent je me troussàis, ét montràis une mote à poil folet ét +soyeux, que mon Père trouvait adorable! Je m'en apercevais aux +vives estocades qu'il donnait à la Dame... En La quittant, il +venaít me rechausser. Mais quelquefois La Mezières L'en +empêchait, ét furieuse de luxure, Elle me renversait, me +lèchait le Connin, ét mettait dans le sién la pointe de mon +solliér, ou de ma mule, comme un Godmiché... Pendant ce temps-là, +mon Père me palpait doucement les fesses ou les tetons. +"Tu La foutras, Bougre (tu La depuceleras, ét biéntôt! ét Elle +deviéndra grosse de Toi, si Tu ne La maries"! Ce propos, +souvent repeté, fit que je demandai vivement à me marier. + +"J'avais un Oncle, mari de ma Tante. L'escaliér de leur +demeure était obscnr. Un-jour que je le montais, mon Oncle me +suivait. Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, ét +me hâpa ce qu'il nommait mon Connôt. Je me recriai! "Tais-Toi +donc (me dit-il): vas-tu troubler mon ménage"?... Je me tus. +Et il me patìna le Connôt, le cùl, d'une main, les tetons de +l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit serrer en +jurant, ét tout en me suçant les tetons, me dechargea dans les +doigts. + +"J'entrai toute rouge chéz ma Tante. Mais je ne dis mot. Quand +je m'en retournai, mon Oncle me guettait; il m'accompagna, ét +me dit: "Tu veux Te marier; J'ai un Parti, ét il n'y a que moi +qui puis gâgner ton Père; Je Le gâgnerai, si je te le mets +seulement trois fois avant le mariage, ét lorsqu'il sera bién +sûr? "Que me mettréz,vous? (je fesais l'ignorante, puisque +j'avaîs vu mon Père ét La Mezières). Nous étions dans l'alée. +Il mit son vít à l'air, ét m'empoigna le Con: "Ceci, dans ce +que je te tiéns". Je me debarrassai, ét ne repondis rién. +J'étais à la porte de mon Père: J'entrai. Il était absent: +J'attendis. + +"Seule avec moì-même, je resolus de pressentir mon Père, à son +arrivée, sur mon mariage? Il arriva: Je fus moins sevère avec +Lui qu'à mon ordinaire, ét lorsque je l'embrassai, aulieu des +ieux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la +langue, comme je l'avais vu faire à La Mezières. Il me mit la +main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai, +en Lui disant: "Je voudrais me marier? Et comptéz que vous +seréz bién caressé, si vous y consentéz? "De tout mon coeur, à +cette condition... As-tu un Parti? "Mon oncle en a Un, que je +n'ai jamais vu. "Bon! ce n'est pas une amourète... Il faut +dabord que je Te gamahuche aujourd'hui? "Qu'est-ce que c'est? +"Te lêcher-là (me prenant le Bijou). Je fis une petite +grimace. "Alons, prens cette éponge fine, ét lave le bién, +à-cause du joli poil, qui commence à l'ombrager? Le plaisir que +tu auras, te dedommagera de la contrainte que Tu te fais? Il +me suça légèrement les bouts des tetons, pendant que mes +fesses, mon cùl et mon Connin nageaient dans un bain tiéde. + +"Mon amoureux Père ne me donna pas le temps de reflechir: Dês +qu'une serviète fine eüt pompé l'eau, il me renversa sur le +piéd de son lit, troussee audessus des reins, appliqua sa +bouche sur la fente de mon Connôt, qu'il lècha vivement, en +dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de +decharge. Ce quì arriva aubout d'un demi-quart d'heure. En me +sentant prête à émettre, mon Père me quitta, me mit gros comme +une noix de beurre frais dans le bas de la fente du Connôt, +m'y insera son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada: Je +dechargeais, et J'avais tant de plaisir, que je Le secondai, +malgré quelques douleurs. Heureusement le vit de mon Père +n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir +complet; car il penetra si avant, qu'il me chatouilla le fond; +ét au moyén de ce que j'étais très-étroite, il m'emplissâit le +con, comme si j'y avais eü un Vit de Mulet... Voilà comme je +fus depucelée. + +Je priai mon Père, pendant qu'il me lavait le Con, de ne pàs +differer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon +Oncle; ét je Lui en dis la raison. "Il ne faut qu'il te le +mette! me repondit-il vivement: Le Bougre a le Vît trop gros: +il t'élargirait! Au lieu qu'aprés moi, ton Futur, on tout +autre Fouteur, Te trouvera comme Pucelle". Je promis qu'il +n'obtiéndrait rién. "Des bagatelles cependant, reprit mon +Père: Branle-Le, quand il Te prendra le Con. Tu pourrais même +Te laisser enculer, s'il était asséz raisonable pour s'en +tenir-là. "Comment fait-on ça? "Je vais Te le montrer". Et il +m'encula. J'eüs du plaisir; car je dechargeai. Mon Père me dit +ensuite: "Quant à mon consentement, envoie-moi ton Prétendu: +Si c'est Un certain Drôle que je soupçonne, Tu n'en deviéndras +pas folle, ét... Suffit". Je m'en retournai contente chéz mon +Oncle, où sa Femme ét Lui me présentèrent leur Protegé, une +sorte de Mulâtre, qu'ils nommèrent M. Guae. + +Dês le même soir, ayant eü, avec ce M. Guae, un entretién +très-vif, pendant lequel je Le vis prêt à me prendre le Con, +sa laìdeur ét sa sotise ne me rebutèrent pas, attendu que mon +Oncle ét ma Tante m'avaient prèvenue qu'il était terrible pour +les Femmes; ce qui m'avait bién tentée! aucontraire, je Lui +dis, Que j'avais obtenu le consentement de mon Père, ét qu'il +pouvaìt se présenter. Il me pria de Le conduire, n'en étant +pas connu. Je remis au lendemain midi. + +"Nous arrivames au moment où mon Père alaìt sortir. Guae +m'avaìt pris le cùl dans l'escaliér, ét m'avaìt fait empoigner +son Vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étaìs +ravissante! Je présentae Guae, comme mon Futur. Sa figure +hideuse ét basse fit sourire mon Père, dont elle calma la +jalousie. Il nous dit: "Mes Enfans, j'ai une affaire pressée: +mais elle sera courte; attendéz mon retour". Aprês son depart, +Guae me dit: "Il paraît, à son ton, qu'il vous tiéndra sa +parole, de consentir? "Je le crois; car il ne se contraint +pas, quand une chose Lui deplaît. "Ma Belle! (ajouta Guae, +dont l'oeil noir petillait de luxure, permettéz de vous Le +mettre icy, sur le piéd du Lit de votre Père?... Consentéz-y"? +Je ne demandaìs pas mieux, à-cause de mon depucelage, ét +parceque le Bijou me demangeàit, depuis que mon Père m'avàit +perforée: Mais je repondis: "Hô-non! mon Père n'auràit qu'à +rentrer! "Hé! quand il rentrerait? vous voir enfilée, ne +feràit que hâter notre mariage". + +"Il me renversa sur le piéd du Lit. Je me defeudis gaûchement. +Il me mit le Vit entre les babines du Con, ét poussàit à +m'enfondrer... Mais il ne put penetrer, quoiqu'il se mouillât +le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me decharger +une chopine de sperme sur la mote, le ventre ét les cuisses. + +"Je me debarrassae, pour aler laver. "Hô! vous êtes bién +Pucelle!, me disàit Guae, en se reculotant. Comme je +m'essuyàis, j'aperçus mon Père caché... Je n'en fis pas +semblant Un instant aprês mon retour vers Guae, ce Père rusé +entra auprês de nous. Guae me demanda en mariage? Mon Père Lui +repondit, Qu'il me laissaìt la maîtresse absolue. Et il signa +les bans. Il dit ensuite à Guae, qu'il avàit à me parler, ét +qu'il le priàit de s'en retourner seul; qu'il me remèneràit +chéz ma Tante, à Laquelle il avàit à parler aussi. Guae s'en-ala. + +"Dês qu'Il fut sorti, mon Père me dit: "As-tu été foutue"? Et +il me prit le Con à la poignée. "Vous avéz bién entendu que +non. "Où donc a-t-il dechargé? "Sur le poil. "Un-peu entre les +lêvres? "Oui. "Il suffit: On peut devenir enceinte avec cela +seulement, êt Tu n'äs plus rién à craindre. Mais va Le voir +chéz Lui, ét qu'il ait toute-facilité. En attendant, je vais +en frayer encore un peu-. Il me renversa, ét a-l'aîde du +beurre-frais, il m'enfila... avec quelque facilité: ce qu'il +repeta trois-fois, excité par ce qu'il venait de voir, ét +parceque j'étais extrêmement bién chaussée, en soliérs de soie +neufs. Je dechargeae trois fois a chaque enconnage, comme +dísaìt mon Père. Cela fit neuf fois. Mon Père me dit, que +j'avais beaucoup de temperament, ét que j'alàis être une bonne +Fouteuse!... Je me lavae soigneusement, ét il me remena. + +"Nous trouvâmes Guae chéz ma Tante. J'étaìs plütót mise en +appêtit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon Père: +Je dis bas à mon Prétendu: "Aléz chéz vous; j'ae à vous +parler". Il y courut. Mon Père parlaìt à ma Tante, prenant des +mesures pour accelerer: car il craignait, à la manière dont +j'avais dechargé, que je ne devinsse grosse de Lui; ét il le +desirait en-même-temps: Mais il falait que je fûsse mariée... +Ma Tante sortit avec Lui. + +"J'alais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un +enconnage complet, lorsque mon Oncle rentra. J'étais si +envoluptée, que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me deplût. +Il ferma la porte au verrouil, ét vint à moi: "Tu vas donc te +marier? me dit-il: Alons, il faut en decoudre à nous-deux? +Aussi-bién Guae a le Membre si gros, qu'il te feraìt souffrir +le maryre". (Ceci acheva de me determiner)... Il me saisit. +"Laisséz-moi! Laisséz-moi! dis-je faiblement). Mon Oncle ne +m'écouta pas, ét voyant que je ne criais, ni n'égratignais, il +me renversa sur le Lit, me troussa, ét dirigea son vit dans le +vagin de mon Con. J'eüs l'art de paraître me defendre, en le +secondant. Il me fit mal; je criae, ét m'apercevant que les +cris Le facilitaient, je me mis à crier de toutes mes forces. +Ce qui Le fit enfoncer jusqu'a la garde, avec tant de plaisir +de ma part, que mes gemissemens étaient de volupté. Je me +debattais, mais mon Con supait le gros Vit, donnant de si bons +cups de cùl, que je dechargeae avec des convulsions terribles, +et des contractions des trompes qui pinçoient le gland de mon +Oncle. Il se recrîa,... ét se pâma de plaisir... "Hâ! pour une +Pucelle, que Tu fous bién! me dit-il ensuite: Que sera-ce donc +un.jour?... Recommençons"... Il me recommença trois-fois, +malgré mes pleurs; car je sentis qu'il falait pleurer... + +Quand il fut rassasié; il deconna. "O celeste Fouterie, me +dit-il, si le merite de ton Con était connu, Il ferait ta +fortune! "Oui! vous me L'avéz bién accomodé! répondis-je en +sanglotant, sur un bidet préparé par mon Oncle. Il ôta le +verrou, jeta l'eau mélée de sang ét de foutre; puis craignant +le retour de sa Femme, il sortit, en disant: "Remerciéz-moi! +sans cette préparation, Guae vous aurait estropiée; et revenéz +à moi, s'il le faut"? + +Je ne fus point effrayée de ce Langage. Dês qu'il fut sorti, +j'essuyai bién-vite mes larmes, ét je pris un air riant. Ma +Tante revint. Je La prévîns de l'attaque de son Mari, mais non +du succês, pour Lui faire presser mon mariage; La priant de ne +Lui en rién temoigner, depeur qu'Il ne levât le masque. Je +promis de toujours bién me defendre, comme je venais de faire; +ét tout en parlant, le Con étant venu à me redemanger, je +courus chéz Guae, esperant que préparée comme je l'étais, il +me L'enfoncerait enfin. Il m'attendait. + +"J'ai bién des choses à vous dire"... Ce fut mon debut. Il ne +me laissa pas continuer; il me prit la Motte: "Foutons dabord, +me dit-il, en me renversant. Je n'en fus pas fâchée; car je ne +savais trop que Lui dire de-nouveau. Je me defendis +gaûchement, comme avec mon Oncle ét mon Père. Mais quoique je +fusse élargie, ses tentatives furent encore inutiles. Je +n'osais Lui dire de prendre du beurre, depeur de paraître +instruite: Je m'attendais qu'il y songerait. Cela ne Lui vint +point en pensée. "Tu ês diablement Pucelle! me dit-il, en me +tutoyant... Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du +derrière, ét m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis. +Je poussais des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en +m'empalant, que je ne pouvais remuer. Je Le secondae, pour +souffrir moins, ét mes ripostes me firent decharger. Je +croyais avoir un timon de carrosse dans le cùl... Le retiré ne +fut pas sans plaisir... "Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, +même en cùl! Suffit"! Il me demanda ensuite pardon: "Votre +beau Con, votre beau cùl, vos blancs tetins m'avaient mis +comme un Enragé; ne pouvant vous enconer, je vous ai enculée: +Pardon, ma belle Maîtresse! j'ae plüs d'un projet, pour vous +dedomager". Le cùl me fesait mal: Guae me le mit dans l'eau +tiéde; puis il me le baisa, me le lècha, alant quelquefois au +Con. Il rebanda: mais je voulus m'en-aler. Il fut obligé de me +remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce +qui n'empêcha pas qu'il ne me fit Le branler dans le carrosse, +Lui ayant le néz dans une mule mignone, qu'il m'avait arrachée +du piéd, ét dans laquelle Il dechargea. Dans le delire du +plaisir, Il me dît: "Ma Reine: j'ae le Vit trop gros pour Toi; +choisis de l'oeil un joli Jeunehomme pour Te depuceler, ét je +trouverae le moyén de Te Le faìre avoir, sans Te +compromettre". Ceci me fit plaisir.... Guae me descendit, ét +me porta. Je me mis au Lit; le sommeil calma mon cùl. + +"Le lendemain, j'alae chéz mon Père, auquel je racontae tout +ce que Guae m'avait fait, ét dit. "Bon! me repondit-il: Tu as +du temperament: Tu seras foutue, en con, en cùl, en bouche, ét +Tu seras heureuse... Vous seréz mariés dans huit jours, ét je +t'aurae un Fouteur plüs gros que moi. En attendant, je vais Te +Le mettre; On ne saurait trop élargir un Connin si mignon". +Mon père m'enconna, recomença trois fois. "Tu ês toujours +Pucelle! me dit-il. "Et pourtant, m'écriae-je, mon vilain +Oncle, avec son gros Membre, m'a hier violée trois fois! +"Trois-fois! reprit mon Père: quel Connichonnet as-tu donc? On +pourra vendre mille fois ton Pucelage!... Il faut que je Te +refoute". Et il me refoutit... + +"Tandis que je me rinçais le Con avec de l'eau tiéde, mon Père +s'était mis à la fenêtre, ét causait avec un jeune Procureur +son voisin, gros ét beau garson de 30 ans. Le Con lavé, j'alae +regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune Procureur +m'ayant aperçue, je me retirae. "Quelle est donc cette celeste +Persone? demànda-t-il. Mon Père ne repondit que par un geste, +qui, je crois, signifiait que j'étais sa Maîtresse. Ils +gesticulèrent encore. Puis le Procureur disparut. Mon Père me +dit aussitôt: "Veux-tu que ce bel Homme Te Le mette, en +payant? "Hô! hô! mon Père! "Appelle-moi Monsieur, devant +Lui"!... On frappa. Mon Père ouvrit; ét j'entendîs qu'il +disait tout-bas au Jeunehomme: "Aportéz-vous les 50 Louis? +"Les voilà. "Mademoiselle? me dit àlors mon Père; vous savéz +que je vous aime pour vous même: Voici un bel Homme de mes +Amis, qui veut vous faire un présent; je sors; temoignéz-Lui +votre reconnaissance". Mon Père se cacha, ét le Procureur le +crut sorti. + +"As-tu été foutue aujourdhuy, me dit-il, en venant pour me +prendre les Tetons. Je Le regalae d'un soufflet. "Apprenéz que +je suis icy chéz mon Père. "Vous êtes Mademoiselle..... "Oui, +Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un +mariage de raison, ou d'interêt. Mais mon Père ayant été +instruit que mon Futur est... monstrueux;... ce bon Père a... +pris sur Lui de... me faire prépârer. Je vous ae cru son Ami; +j'ae consenti, aprês vous avoir vu". Le Procureur était à mes +genoux. Il me demanda mille pardons! "Soyéz donc honnête? +repris-je. Alors il me caressa. Je Luy rendis enfin un baisér. +Il me renversa. Il avait le Vit comme mon Oncle, mais il était +moins adroit. "De la pomade! Luy criai-je: Mon Prétendu +m'ayant fait entrer chéz Luy par surprise, il ferma les +portes, ét voulut me violer... Ne le pouvant, il me pomada, ét +ne réüssit pas encore. Vous, pomadéz-...moy"... En parlant +ainsi, ses tentatives me fesaient decharger. Je soupirais de +volupté. Mon Père crut que c'était de douleur. Il arriva; me +pomada; dirigea le Vit de mon Fouteur dans mon Con, ét dit, à +Lui: "Pousséz". A Moi: Soulève le cùl; étreins dans tes bras; +seconde ton Depuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe +en-avant; passe tes jambes sur ses reins, ét serre, en remuant +du cùl... Bon! Bon! Saccadéz, vous!... Bon"! "Hâ Dieu! quel +plaisir! s'écriait le Fouteur: comme Elle a... le Con +étrait!... le... mouvement... delicieux"! Je Lui dardae ma +langue, en murmurant, "Mon coeur!.. Mon Roi!... Mon Dieu! je +t'adore!... "Hâ! la chère Petite Amie! elle est tendre!... Je +decharge! Je La fous... Hâh!... "Il me fout, mon Père!... Tous +les Hommes foutent-ils?... Hâh!... Mon Père!... quel +plaisir!... Mon âme... va sortir par... le trou qu'il me +fait"!... Je dechargeais, en me roidissant. "Hô! la Petite +Reine!... s'écria le jeune Procureur: Elle decharge!... Mon +Pére... donnez La moi pòur Femme; je l'ae depucelée; je +L'épouse"?..... + +"Mon Pére, qui avait ses desseins sur Moí; refusa. Il en +resulta que le Procureur enragé, s'acharna sur Moi, ét me +foutit 18 fois... Mon Père fut obligé de l'ôter de sur Moi, ét +de Le porter chéz Luy; il ne pouvait marcher... Quant à Moi, +j'étais à-peine fatiguée. Mon Con lavé, rafraîchi, il n'y +parut plus. Au retour de mon Père, Le voyant tout ému, à la +vue de mes Tetons, je Lui dis: "Si vous bandéz, satisfaites-vous, +en me foutant deux ou troìs fois?" O quelle scêne! +s'écria-t-il: Mais Tu as un Con ét un temperament impayables! +ils feront notre fortune... Voyons si Tu dechargeras encore: +foutons"?... En m'enconnaut, il me loua fort de m'être avouée +sa fille, ét du soufflet donné! "Les Fouteurs dedaignent les +Foutues; mais ave Toi, ce sera le contraire; je veux te mettre +audessus de ces Bougres-là! "Je decharge! m'écriae-je. "Et moì +aussi! repondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois +fois, ét toujours je dechargeae.. Je lavae, en Lui disant: +"J'épuiserais dix Hommes". Je Lui recommandae d'instruire mon +Futur de ce qu'il falait faire, pour m'enconner. Je Lui dardae +ma langue, ét je partis. + +"J'avaís été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon +Père. Je retournaís chéz ma Marchande. Mais tous les Hommes +que je rencontrais, me tentaient. "Que les Putains sont +heureuses! (pensae-je) elles attaquent qui elles veulent"! +Tout-à-coup une idée me viént: "Alons chéz Guae; je Lui dirae +de me pomader: Qu'il m'estropie; mais qu'il me foute". J'y +volae. + +Il était avèc un beau Jeunehomme, qu'il fit cacher, au bruit +de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae +me reçut mysterieusement, ét me conduisit dans la Pièce-obscure, +où je Luy avais vu cacher le Jeunehomme. "Ma Reine! +ma belle Future (me dit-il), je crois que je pourrae vous +enfiler aujourdhuy: Ayéz seulement de la complaisance? "Oui! +mais, pomadéz... Ma Tante... "J'entens.. j'entens"... Je +sentis qu'il me remettait à une main plüs douce. On me prit +les Tetons, le Con; On me darda la langue. Je caressae. On me +troussa. Je fis beau Con. L'On se mit sur Moi, je sentis qu'On +m'ìnserait un morceau de beurre-fraìs à l'entrée de la vulve, +ou trou du Con. On poussa. Je ripostae un-peu. L'On entra. Je +secondae, m'apercevant avec étonnement, qu'On ne me fesait +presque pas mal. Enfin l'On parvint au fond sans m'avoir +blessée, ét l'On y dechargea. L'abondance ét la douce chaleur +du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des +élans, des transports incroyables! Je m'écriais: "Chër Amant! +divin Amant... j'expire... de bonheur... ét de volupté... Je +t'adore"!... + +"Le Jeunehomme deconna. Il me suça les Tetons, les Lêvres, me +fit darder la Langue. Ce que je fis tendrement... Aussitôt Il +me re-enconna avec fureur. J'eüs autant de plaisir que la +première fois... Bref, il me recommençait sans-cesse, ét ce +fut Guae qui Le renvoya: car pour Moi, deja foutue 25 fois +dans la journée, je crois que j'aurais laìssé aler ces deux +Hommes jusqu'à 50, si tousdeux avaient pu me Le mettre. Guae +me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un +fiacre, pendant que je me lavais le Con. "Hé-bién, ma +charmante Reine, T'ai-je bién foutue? me dit-il. Je rougis. +"Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de T'enculer? +"Hô-non, non! (m'écriae-je avec effroy). "Hé-bién, branle-Moi +des deux mains, comme te voilà, le cùl dans l'eau". Je branlae +son Vit, qu'à-peine je pouvais empoigner. Quand le foutre fut +prêt à venir, il heurlait de plaisir. "Ta bouche? (me disait-il), +ta bouche... ou je T'encule"? Je decalotai le gland, je +le pressai de mes lêvres. Le foutre arrive, ét depeur qu'il ne +tombe dans mes Tetons, j'ouvre la bouche, ét il m'est lancé au +fond du gosiér. Je l'avale comme un Laìt-de-poule. Il y en eüt +une chopine: "Foutre! foutre... (s'écriait Guae), je me +pâme,.. Hâ... celeste Garse... Tu vaux mieux que toute la +Terre... Est-ce bon? "Ce qui fait tant de plaisir en-bas, doit +faire du bién en-haut. "Hâ, divine Putain... je T'en +nourrirae". Le fiacre arrivait; Guae m'y porta. + +"On me L'avait mis 37 fois. Le Frère de ma Marchande se trouva +seul à la maison, lors de mon retour. "Mademoiselle +Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle pour Moi?... On +dit que vous aléz vous marier? Vous devriéz bién favoriser un +Jeunehomme qui vous adore, aux dépens du Futur? C'est Un Veuf, +Un Laìd... Vous ètes Pucelle, ét si jolie?... Dailleurs, il +l'a três-gros (dit votre Oncle), ét il vous fera bién mal? Si +un plûs menu que le sién vous préparait? Voyéz? (Il mit à +l'àir un vit charmant); c'est un veritable croque-pucelage, +sans faire mal.... Je sais m'y prendre: Le Mary de ma Soeur èst +Un Bandàlaîse, ét elle se fait de-temps-en-temps ôter par Moi +les Aràignées du Bijou". Ce langage me plut, ét son vit me +tentàit: Je luy repondis, en riant: "Je n'ai pas d'Araignêes à +ôter". Il vit, à mon àir que je n'étais pas de mauvaise-humeur. +Il me prit les Tetons. "Finisséz donc, Libertin! (Luy +dis-je doucement et sans presque Le repousser). Il me prit la +Motte. "O c'est trop fort, ceci... Vouléz-vous bién finir"!... +Il était deculoré; il bandait ròide; il me renversa sur le Lit +de sa Soeur, me retroussa, ét se mit sur Moi tandis que je +disais nonchalamment: Hé-mais... c'est donc une violence"! ét +que je me defendais d'une maniére qui me lìvrait. Il me dit: +"Hâ! celeste Innocente! je vous Le mettrae"!... Il m'enfila. +Je ripostais, en haussant du cùl, comme pour Le repousser. Il +n'en dardàit son vit que plüs fort. "Non! (s'écriàit-il en +dechargeant), il n'êst rién tel que d'enconner +l'Innocence"!... Cependant cràignant que je ne Me derobasse, +il Me foutit trois-coups sans deconner, (ce qui fit mes 40 +fois dans la journée), ét ne Me quítta, qu'en entendant du +Monde.... Je courus Me laver. + +"C'était la Marchande. Elle dît à son Frère: "Heureusement que +c'êst avec Convelouté! Toute-autre aurait sauté le pas, +Poliçon?... Mais L'as-Tu attaquée? "Oui. En ce cas, Tu dois +n'en pouvoir plus... Viéns que je Te soulage"? Il y avait +encore de l'huile dans la Lampe: Le Jeunehomé mit le verrouil, +nous enfermant ainsi Tous-trois, ét il se jeta sur sa Soeur, +qu'il enfila d'un seul traìt. Hâ! quels coups-de-cùls elle +donnait! "Lime (Luy disait-elle)... je decha...arge... Sors +à-moitié, ét... rentre... vivement... Fous-Moy vingt fois... en +une"... Je Les voyais. Ranimée par-là, mon insatiable Connôt +redesiraît un vìt, lorsqu'On frappa doucement. J'ouvris, en +tirant le verrou plüs doucement encore. J'esperais que ce +serait le Mari de ma Marchande, qui depuis longtemps brûlait +de me Le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre +Pièce. Point-du-tout! C'était un beau Jeunehomme, qui avait +beaucoup d'air de Celui par quî Guae venait de Me faire +foutre. + +"Mademoiselle (me dit-il), se nomme Agnès-Convelouté? "Oui, +Monsieur. "Mademoìselle êst la Prétendue de M. Guae? "Mais, +oui, Monsieur. "Aiméz-vous, fort ce M. Guae? "Monsieur, la +raison, ét non la passion, fait mon mariage. "En ce cas, +Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine, en vous revelant +un secret? "Quel êst-il, Monsieur? "C'êst que tout-à-l'heure, +vous avéz cru être possedée par votre Futur... "Quel conte +vous me faites-là, Monsieur? "J'étais présent, mais caché, +Mademoiselle: son Timon de carrosse ne pouvant vous perforer, +il m'a vendu votre Pucelage cent Louys, ét c'êst moy qui vous +ai deflorée... Me préfereriéz-vous? "Ce que vous me dites êst +impossible, Monsieur! "Cela êst: Il l'a trop gros; On viént de +vous Le mettre, ét c'ést Moi. (Je le savais bién). "Il n'êst +qu'un mot à dire, Monsieur: Pouvéz-vous m'épouser? +"Mademoiselle, je suis marié à une Vieille de 78 ans, qui m'a +fait ma fortune, ét je suis obligé d'attendre qu'elle soit +morte. "Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'épouserais M. +Guae. "Vouléz-vous être ma maîtresse? "Cela ne conviéndrait +pas. "De son consentement? "Comme vous m'avéz eüe dejà, ét que +ce soit de son consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il +ignorât que je le sais... "Hô! de tout mon coeur! Ceci marque +votre honnêteté... Etes-vous seule? "Non; la Marchande êst là. +"Pourrais-je vous avoir à coucher? "Hâ-ciel! Je ne saurais +decoucher que sous le prétexte d'aler veiller mon Père, en Le +supposant indisposé: Ainsi, cela êst impossible. "J'irae, si +vous le permettéz, parler tout-unîment à votre Père: Je suis +riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le prix de vos +faveurs, qu'à Un vil Malheureux, comme Guae? "Hé-bién, parléz +à mon Père. "Je reviéndrae vous chercher, s'il m'accorde ma +demande? "Mais ne revenéz pas seul: Je veux voir Quelqu'un à +Luy, ét que je connaisse? "Vous seréz tranquilisée". + +Il ala chéz mon Père: Il luy raconta comment Guae n'ayant pu +me depuceler, Lui avait vendu mon Pucelage cent Louys, en +quatre seances, vingtcinq Louys par chaqu'une, dont la +première était payée: Qu'il m'avait enconnée, en me pomadant. +ét qu'il avait trouvé mon Bijou si delicieux, si satiné, qu'il +n'en voulait plus d'autre; Qu'il m'avait demandé de coucher +avec Moy, ét que c'était par mon conseil, qu'il s'adressait à +Luy. Il offrit ensuite les 75 Louys restans pour les trois +nuits suivantes. Mon Père repondit: "Puisque Guae a voulu être +cócu, qu'ainsi soit. Je consens que vous couchiéz icy avec ma +Fille, si vous avéz cueilli sa Rose; ce qu'elle me dira. Aléz +La chercher, avec un Billet, par lequel je vais La demander". +Et il écrivit. Puis il accompagna le Galánt jusqu'à la porte +de ma Marchande, que son Frère foutait encore. + +"Cependant je M'amusais à voir conniller le Frère ét la Soeur. +J'étais en feu, quand le Jeunehomme reparut, avec le Billet de +mon Père: je vis par la fenêtre, Celui-cì quì nous attendait +dans le carrosse de mon Depuceleur prétendu. Je partis, en +avertissant que j'alais veiller mon Père malade- A notre +arrivée, le Galant pàya un heau soupér, ét remit vingtcinq +écus-d'or à mon Père. On mangea; On but; puis je fus mise au +Lit. Le Jeunehomme exigea que mon Père me deshabillât, ét me +lavât la Motte. S'étant ensuite Lui-même mis nu, en un +instànt, il entra dans une chemise, fort large, ét qu'il avait +apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon Père, pour +qu'il Lui mît le vit dans le trou de mon Con; puis il +poussa... Il eüt autant de peine que chéz Guae (ce qui +m'étonna Moi-même!) Aussi dit-il: "Elle a reellement le Connin +étroit: Elle se repucelerait en huit jours, si On La laissait +tranquile". Il me foutit six coups; mon Père, couché à-côté de +nous, Lui mettant tonjours le vit dans mon Con. Il s'endormit +ensuite, ét Moy aussi. + +"Le lendemain-matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui Me +refit. Je refusae la voiture pour retourner chéz ma Marchande. +On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï-dire, que le +foutre avalé chaud, était excellent pour la poitrine, +fortifiait, ét blanchissait le teint. Je voulais aler en +avaler ma chopine en suçant le Vit de Guae. J'y courus, dês +que je me vis libre. Il alait sortir. "Je viéns vous donner du +plaisir (Luy dis-je), mais sans en prendre: vous m'avéz trop +fatiguée hiër". Alons, ma Toute-belle, que faut-il faire? Vous +enculer? vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous +enoreiller, vous encoller, vous entetonner, vous decharger sur +le nombril, me faire serrer le Vit entre vos deux mollets, +faire un Con de votre solliér, ou de votre jolie mule: Tout, +je ferae tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parceque +nous sommes, vous trop belle, ét Moi trop beau"? Aulieu de +repondre à ce Langage, qui était de l'Arabe pour Moy, j'avais +deboutonné sa culote, ét je Le branlais d'une main, ét +chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il se +recriait de plaisir; "Déesse!... Sacrée Garse!... Divine +Putain!... Branle!... branle!... Chatouille! chatouille les +couilles?... Hô! hô! quelles delices!... Bougresse!... +Gueuse!... Putain!... Divinité! le foutre... viént"!... A ce +mot, j'embouchae le gros Vit, le palpotant de ma Languè ét du +Palaìs. Ce fut àlors que Guae en delire blasphêma; "Foutu +Dieu! Bougre de Dieu! Sacré Con de la Vierge Marie! Con de la +Magdelène connillé par Jesus! Con de Sainte Thècle, de Sainte +Theodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cecile, d'Agnès-Sorel, +de Marion-Delorme, de Ninon, de La-Daubigné, de La-Vallière, +de La-Pompadour, de La Duté, de La Lange, de La +jolie Mars, de l'adorable et provocante Mèzéray, de la jeune +et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valéz pas... +cette Bouche-là... Je fou..ou..ous... Je.. decha..a..arge!... +Ava..ale!... gorge-Toi de foutre, ma Reine"! Il deboucha +vivement, quoique je Luy suçasse encore lé Vit. "C'êst trop de +plaisir! (dit-il); On mourrait". Il me fit prendre quelques +cuillerées de café. pour me rincer la bouché. Puis je me remis +à Le branler. Il me suça les Tetons, me fit Luy darder ma +Langue, ét voulut me gamahucher. Je m'y refusae, devant être +foutue le soir.... Il rebandait. Je secouai, je chatouillai; +le foutre revint, ét j'en avalai une nouvelle dose. Ce qui eüt +lieu trois fois de-suite. Le manque de temps nous obligea seul +de nous separer. + +"Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, ét me +conduisit chéz mon Père. On y soupa, coucha ét foutit comme la +veille. Le lendemain, après le chocolat, j'alai faire mon +déjeûner de foutre chéz Guae. J'en pris quatre doses... +De-retour chéz ma Marchande, son Mary. sans-doute instruit par le +Frère de sa Femme, voulut me le mettre. Je m'y refusae +absolument. Il s'en plaignit à sa Femme, qui m'en fit des +reproches. Mais Luy ayant dit que mon Prétendu me l'avait mis +six fois, en gardant mon Père avec Moi, elle fit mes excuses à +son Mary, en Le priant d'attendre son tour. + +"Le soir, On vint me prendre. Mad. Viédase ma Marchande, Me +dit à l'oreille: "Tâche de ne pas être foutue; afin que mon +Mary puisse Te le mettre demain? il s'en meurt"?... Je trouvae +mon Amant chéz mon Père. En soupant, On parla de Guae, Mon +Amanr dit, qu'ayant été enconnée devant Luy, je ne devais pas +redouter la grossesse. "C'êst pourquoi (ajouta-t-il, +j'enfourne à plein Con, ét decharge au fond. "Je vous mets le +vit dans le Connin de ma Fille avec plaisir (dit mon Père); +afin de mieux cocufier ce Jean-foutre de Guae, qui vous a +vendu son Pucelage. "C'êst ce qui me met aussi en fureur +érotique, quand jé fous sa Future (reprìt mon Galant): Je +pense: Encore une corne à ce bougre de Guae... ét je me trouve +intarissable... Il m'a même passé une idée par la tête: C'êIt +de vous donner à chaqu'un 50 Louys, pour que vous foutiéz +ensemble tous-deux; pour que le Mâtin soit recocu, ét surcocu? +"Top! (s'écria mon Père); àprès votre affaire faite. Vous me +mettréz le vit dans le Con de ma Fille... "Non! non! +(m'êcriai-je). "Vous me La tiéndréz, si elle recalcitre. "Je +n'ai pas ces idées (Leur dis-je): Si je remue du cùl, comme je +le fais, àlors que mon Amant Me fout, c'êst que je l'aime: +Qüant à M. Guae, je Luy dois beaucoup de reconnaissance! il +êst ma Nourrice, ét c'êst Luy que je téte". On ne comprit pas +le sens de ce mot. On Me coucha. + +"Au Lit, mon Amant me foutit six fois. A la sixiême, mon +Fouteur dit à mon Père: "Mets-Toy sur ta Fille. ét fous.La: Je +vais T'introduire le vit"? Mon Pére me grimpa, le Jeunehomme +Luy mit le vit dans mon con, ét il poussa. Comme j'étais +amoureuse de Luy plûsque de tout autre Homme, je remuai de la +charnière, comme Une Princesse foutant avec un Page... Le +Jeunehomme ranimé, entra dans un tel érotisme, en nous voyant +decharger, qu'il nous fit mettre sur le côté, èt il m'encula, +tout enconnée que j'étais... J'alai laver, ét nous dormîmes. + +Le matin, au dejeûnér, le Jeunehomme paraissait yvre de joye! +"Hâ! qu'il êst cocu, le Bougre! (s'écriait-il.)... Bonhomme, +voilà un effet de cent Louys: Il faudra que Tu La foutes, +àprês le Mariage, ét il y aura vingtcìnq Louys à chaque fois". +Il partit, ét je courus chéz Guae, que je commençais à aimer +presque autant que mon Père. + +"Il Me reçut avec transport, Me traìtant de divine Garse, de +celeste Putain... Il M'alaita de foutre six copieuses fòis. Ce +qui me mit dans un tel érotisme, que je retournai chéz mon +Père: "Ton Procureur? (Luy dis-je essoufflée): Il doit être +remis, depuis l'autre jour? Je brûle... Cours-y, si Tu +M'aimes". Il y vola, en M'appelant, Cleopâtre! Clepâtre!... Il +trouva le Jeune Procureur à la fenêtre, son vit bandant à la +main. "Je viéns de voir entrer votre Fille (Luy dit-il), ét +j'alaìs Me branler à son intention. "Gardéz-vous en bién! +Apportéz un petit présent, ét venéz le Luy mettre? "Vingtcinq +Louis? "C'êst trop pour une Pratique: Un Louys par coup. +"Soit: mais je n'en remettrai pas: Elle gâgnera peutêtre la +somme". Il vint avec Moi. En entrant, il jeta la bourse sur le +piéd du Lit. "Alons, ma Fille (Me dit mon Père), Tu ês à tes +pièces; autant de coups foutus, autant de Louys: Mais il ne +faut pas tuer Un Amy! Il alait se branler à ton intention, +quand je suis entré". A ce mot, je Me jetai à son cou, ét Luy +dardai ma langue) en dîsant: "Chër! Chër Amy! "Hâ je T'adore i +(Me repondit-il). Et il Me prit les Tetons, le Con. Je Me +renversai. Il se mit sur Moi. Je Me fourai son vit dans le +Con, ét en quatre coups de cùl, je Le mis au fond. Il +dechargea, en Me sentant émettre... Il Me foutit dix coups. +"J'ai quinze Louys à-compte (Luy dit mon Père, en Le voyant +laver ét se reculoter: Vous reviendréz quad il vous plaîra". + +"Nous en étions à l'avantveille du Mariage. Tous les matins, +Guae m'avait alaitée, ou plütôt affoutrée; ce qui M'avait +rendu la peau plüs blanche, le teint plüs brìllant, le Con +plüs satiné, ét me donnait un temperament si violent, que je +n'étais à Mon aise, qu'un VIT au CON. Le Jeunehomme dit, en +dejeûnant: "Guae doit être surpris de ne pas Me revoir! Cela +pourrait faire tort dans son idée, au Con de ma belle +Fouteuse: Ainsi, je veux Luy acheter la première nuit de sa +Mariée, puisque l'impayable Agnès veut absolument l'épouser. +(Je le Luy avàis dit, en foutant). Mon Père applaudit. Mais en +Me reconduisant chéz Guae, que j'alàis teter, ce bon Père +ajouta: "Tu n'ês pas une Mariée ordinaire: ce qui éteindràit +la soìf d'Une-autre, n'êt qu'une goutte de foutre, pour Toy: +J'ai une idée, C'ést de M'arranger à Te regaler, aprèsdemain, +en Te Le fesant mettre jusqu'à extinction de forces, par +Tous-ceux qui T'ont foutue; Moy dàbord; Ton Oncle; Ton Procureur; +le Frère de Ta Marchande, ét peutêtre son Mary: S'il se trouve +quelques nouveaux Bougres, ils T'enculeront, sous prétexte de +reserver Ton Pucelage à Ton Epoux: c'êst un delice que +d'enculer une Mariée, le jour de ses noces, ét ils le pàyeront +bién. Je M'arrangerai avec Guae pour tout-cela". Nous +arrivions. J'embrassai mon Père transportée de reconnaissance, +en Le priant de tâcher de Me suivre secrêtement, pour Me voir +teter. J'entrai, puìs je L'introduisis. + +"Guae courut à Moy, en se deculotant. Il Me baisa dabord pied, +jambe, cùl, con ét Tetons: Il Me fit ensuite Luy darder ma +langue; àprês quoy, il Me mit son Vit en main. Je Le secouais +vivement, lorsqu'il Me dit: "Garse, je suis raisonnable: Je ne +T'enconne pas; il faut que Ton Père ét Ton Oncle te foutent le +jour du Mariage: Je T'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits +frais, dont celuy qui T'a depucelée sera Un... Hâ! l'idée que +Ton Père T'enconne va Me faire Te decharger une pinte de +foutre, ét Te l'entonner dans le gosiér"... Alons, Garse, je +sens que ça viént: embouche-Moi le Vit... Hâ-hâ-hâ... le +Bou...ougre fout... sa Fille... Ton Père Te fout, Garse! Te +fout, Putain... Hâ! je decharge, à cette divine Idée!... +Hónh"!... Il se pâma presque... Pendant l'interruption forcée, +j'alai prendre Mon Père à sa cachette: "Fous-Moy, Luy dis-je; +puisqu'il le faut pour le bonheur de Mon chër Prétendu! "Hâ! +Deesse! (s'écria Guae, en se précipìtant à genoux, Tu incestue +pour Moy! je T'adorerai toute ma vie"... Il intromit le vit +paternel. Remue du cùl! (Me criàit-il), saccade! "Je +de..cha..arge (Luy dis-je)... Viéns, chër Amy.. que je Te +branle"? Guae blasphêmaìt de plaisir, en sentant venir le +foutre... Il M'emboucha, sans que Mon Père me quittât, ét +en-même.temps, j'avalai du foutre, j'en reçus dans le Con, ét +j'en donnai. Mon Père Me foutit quatre coups, èt Guae M'avàit +embouchée quatre fois, quand On frappa. Guae courut ouvrir, +tandis que je Me rinçaìs bouche ét con. C'était mon Oncle. +"Vous arrivéz à point (Luy dit-il): On essàye Ma Future, ét +vous aléz L'essàyer". Mon Père expliqua la chose; Guae Me +renversa sur le foutoir, ét mon Oncle M'enconna. Il Me foutit +six coups, je tetai six nouvelles foìs le VIT de Guae; aprês +quoy, On Me làîssa respirer. Il fut ensuite convenu, que douze +Fouteurs me passeràìent sur le corps le jour de mon Mariage, +en con ou en cùl, à mon choix, ét que Guae, qui seul auràìt la +bouche, Me feràit foutre la nuit, ét dans l'obscurité, par +trois VITS nouveaux de son choix. Mon Oncle emerveillé, +s'écria: "Mais elle sera Putain? "C'êst ce qu'il Me faut, pour +que je l'adore.... Et ne vous en faîtes faute, ny son Père, ny +vous; puisque vous seréz les seuls qui ne payeréz pas". En +achevant ces Mots, il se prosterna devant Moy, en Me traîtant +de Deesse. + +"Je retournai chéz ma Marchande. Son Mary, ét elle-même Me +tourmentaient, pour que le Premiér M'eût une seule foìs avant +Mariage. Ils Me pressèrent plüs fort que jamaîs; ét je cédai. +La Femme Me mit dans le con le VIT de son Mary. Je ne fus +foutue qu'une fois, cet Homme étant faible, ét sa Femme le +voulant être après Moy. Ce fut de ma main, qu'elle regut dans +son Con brûlant le VIT Marital..... Cette operation faite, ét +repetée, je Les quittais, en Leur disant Adieu. Ils +pleuraient: "Ce qui Me console de ta perte (Me disait ma +Marchande), c'est que mon chër Mary T'a foutue... Ta +voluptueuse idée Me lé fera mettre plüs souvent". Je partais, +quand le Frère entra. Sa Soeur Luy dit ce qui venait de se +passer. Il ne repondit rién: Mais il Me ramena du-côté du Lit, +M'y renversa, ét Me foutit devant eux, sans prononcer une +parole. Il voulait Me recomencer. Je M'y refusai, en +L'invitant, ainsi que son Beaufrère, à venir Me le mettre le +surlendemain jour de mon Mariage. On Me remercia. + + + + +XXXVI Chapitre. + +Chap. De l'Homme-Poilu, la Convelouté, Linars &c. + + +"A mon arrivée chéz mon Père, je Luy con-racontai Tout ce que +je venais de faire. "Il ne faut pas (Me dit-il), quand On a +tant d'ouvrage pàyé, en faire qui ne rapporte rién. Il viént +de M'arriver Un Homme d'asséz agreable figure, três-vigoureux, +car il êst brun ét tout poilu, qui offre une forte somme, pour +t'avoir cette Nuyt? "Que rién ne vous empêche de Le prendre! +(repondis-je en souriant): Je ne suis pas fatiguée par si peu +de chose". + +"Mon Père rassuré Me fit deshabiller nue, prendre un bain +tiéde, puis un froid, mettre au Lit, avec une chemise large; +Me fit avaler un excellent consommé: ensuite il Me laissa +dormir. Il était àlors 5 heures du soir. A minuit, je +M'éveillai, en Me sentant lècher le con. Je priai l'Homme de +se montrer? Il leva la tète, et je vis un Basané d'une fort +belle figure. Je souris. Il Me suça les Térons, en Me disant +des choses agreables: "Vous avéz un beau Con... une superbe +Motte... un Ventre de Pucelle... un Cùl d'albâtre... des +Tétons blancs comme neige.... un col degagé... des lêvres +voluptueuses... de belles dents... les plüs beaux ieux... les +cils, les sourcils ét les cheveux comme la Deesse de la +Beauté... la jambe parfaite... le pied le mieux fait... Quand +je vous aurai foutue, je vous dirai le reste". + +"Mon Père Me dit de Me lever pour souper. Le Basané Me porta +toute-nue dans ses bras auprês du feu: Là, je vis Guae avec +grande surprise! Je mis mon corpset souple; Fysitère (le +Basané) Me laça, Me priant de bién faire refluer mes Tetons. +Mon Père Me chaussa une Jambe ét un Piéd, Guae l'autre Jambe +ét l'autre Piéd, en bas ét en solliérs de soye d'une +éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon Fouteur voulut +que je restasse les Tetons decouverts. Nous soupâmes. J'avaís +appêtit, Le Basané but ét mangea comme Un Hercule. En sortant +de table, il dit à mon Père ét à mon Futur: "Vous ne M'avéz +pas trompé; Elle êst audessus de vos éloges. Sí l'interieur du +Con ressemble à l'exterieur, Elle êst à Moy, coûte qui coûte. +"Voyons votre Vit (repondit Guae).... Elle ne sera que trop +parfaite!... Voici le mién; ét vous savez que je n'ai pu +l'enconner, puisque c'êst ce qui vous a fait parler à M. +Convelouté mon beaupère. "Je verrai si Elle a le merite de ce +beau nom... Mais vous avéz un Vit épouvantable, M. Guae!... +Empoignéz-le, la Belle, que je voye comme il êst bién +bandant"? Je saisis le Vit de Guae, qui se recria de +plaisir... "Je bande (reprit Fysitère): Mais faites bander +votre Père, ét comparons". Je Luy prîs cependant le Membre, +qui grossit en le serrant dans ma main. On compara ensuite. +Guae l'avait le triple de l'Homme-velu, qui Luy-même était le +double de mon Père. "Je voudrais Luy dire un mot"? (demanda +Guae furieux de luxure). Il Me poussa vërs une fenêtre. Me +cacha derrière le rideau, et me dechargea dans la bouche. Mon +Pére seul devina ce que Guae venait de me faire. Pour Moy, je +fus singulièrement fortifiée par cette bavaroise! Je +brûlais... Aussi, je fus ravîe, lorsque Fysitère dit: "Il faut +dabord que je la foute habillée". Il Me porta sur le piéd du +Lit, ôta ses culores, ét nous laissa voir un corps velu, comme +celuy d'un Singe. Il me fit Luy prendre son braquemart, ét Me +dit: "Introduis-moi cela dans le trou de ton con, ét tève du +cùl come il faut, à chaque fois que je pousserai". Je +M'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri: car il Me +dechirait, étant plüs gros que mon Oncle, ét que tous les vits +qui M'avaient foutue. "Ce n'est rién (Me disait-il): je te +deflore... je te depucèle: Remue du cùl". Je remuais de mon +mieux, tout en soupirant, ét Luy rendant en coups de cùl, tous +ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes trompes Luy +pincèrent la tête du gland. Il heurla de volupté. "Garse +adorable! (s'écriait-il), ton Con satiné pince le vit! Ta +fortune est faite, ainsi que celle de ton Père ét du Futur, +qui t'ont vendue à Moi!... Alons, fous bién"!... Je remuai, je +tortillai du cùl, je soubresautai, de la manière dont Me le +disaient mon Père, ét Guae Luy-même. "Je suis ravi! (s'écriait +le Basané): Elle decharge!... Hâ! Elle me fera un petit +Bougre-à-queûe!.... Il dit à mon Futur: "Viens-ça, Jean-foutre: +Passe-moi la main sous le croupion, ét chatòuille-moi +d'une main ce que tu y trouveras, ét les couiiles de l'autre"? +Guae obéït. J'ai su depuis qu'au croupion, le Basané avait une +queûe, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps, +ét que ce fut cette queûe que mon Futur chatouilla).... "Je ne +quite pas d'une heure ce con celeste! (disait l'Homme-à-queûe, +en Me saccadant): chatouille, chatouille, Bougre! les couilles +ét ma queûe"! Il dechargea six fois, sans deconner... Je +demandai àlors à laver. Mon Futur M'épongea le con, ét Me le +baisa, en l'appelant Con d'Or. Mon Père Me suça les Tetons. +Guae dit au Basané: "Elle êst à vous: Mais je bande comme un +Carme: permettéz que je L'encule?... "L'enculer, non; c'êst du +foutre perdu. Encore moins l'enconner; je veux qu'Elle Me +fasse un Petit-à-queûe: Mais si Elle avalait le foutre, comme +j'ai vu certaines Femmes temperamenteuses, je consentirais que +tu l'embouchasses". A ce mot, je saisis le Vit de mon Futur, +ét je l'aurais avalé, s'il n'avait pas eté si gros. Il me +dechargea au fond du gosiér, en rugissant, ét le foutre Me +descendit bouillonnant dans l'estomac. "Hâ! Elle aime le +foutre! (s'écria le Basane); Elle a toutes les perfections!... +Et Elle sera aussi longtemps belle, que feconde!..... Alons, +Papa, embouche-la aussi: De tous les foutres, le paternel est +le meilleur". Je Me jetai sur mon Père, Le renversai sur le +Lit, saisit son vit bandant, que je fis aler ét venir dans ma +bouche, jusqu'à ce qu'il dechargeât. Je suçai son foutre avec +delices... "Bon! (s'écria le Poilu); Elle est dans les bons +principes; Elle est impayable"! Le Basané Me deshabillait, Me +dechaussait: Mon Père ét Guae Luy aîdaient. Je fus mise nue, +patinée, baisée du haut-en-bas, tandis que je Me rinçais la +bouche: On Me passa la grande chemise; l'Homme-à-queûe velu ét +tout-nu, y entra, Me suça les Tetons, Me fit Luy darder la +Langue, puis dit à mon Futur de Luy intromettre le vit dans +mon Con. + +"Le Basané Me foutit six nouveaux coups, sans deconner. Je Me +sentis fatiguée: Je voulus laver. Je restai une heure sur le +bidet le Con dans l'eau. Le Basané qui, pendant tout ce emps-là +s'était amusé à faire bander Guae, ét à Luy faire Me +decharger trois fois dans la bouche, M'appela, en Me disant: +"Tu es asséz rafraîchie; reviéns sur le foutoir, que je te +donne le bouquet"? Il se le fit introduire par mon Père; qui +Me dit: "Courage, mon Enfant! Voicy un Fouteur qui en vaut +dix: Mais je tâcherai de Te faire soulager, si cela continue". +Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence, +que je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le Basané dit, que +le bouquet etait te double des autres assauts. "Hé! combién +donc l'aléz-vous foutre de coups? (Luy demanda mon Père). +"Vingtquatre est ma dose. "C'êt trop, ét Elle ne ferait pas +d'Enfans: Elle a une Cadete, aussi jolie que l'Aînée est +belle; je vous La donnerai, pour soulager sa Soeur? "Je +l'accepte! (s'écria Fysitère): Et il m'en faudra bién +d'Autres! car je ne les fout plus, dês qu'Elles sont plèínes, +ni pendant qu'Elles alaitent leurs petits. La jeune Garse +est-elle là? (Or il Me foutait toujours).. "Non: Vous ne pouvéz +l'avoir que demain-soir. "En ce cas, j'achève de foutre Celle-ci +mes 24 coups: Je déconne; qu'elle lave; Elle n'en a plus +que cinq. Si son Futur se trouve en état, qu'il luy donne à +teter du foutre cela la fortifiera"? Aussitôt Guae M'apporta +ses couilles à chatouiller, ét son Vit à branler. Je M'en +aquittai si bién, qu'il hennit aubout de quelques minutes, ét +qu'à-peine eüs-je embouché son Vit, qu'Il dechargea, en +sacrant. "Elle a toutes les qualités... Elle est parfaite! +(s'écriait le Poilu, en Me re-enconnant): Si sa petite Soeur la +vaut, ce sont deux connins impayables"! Il acheva de Me foutre +cinq foîs, sans deconner. Je puis Me rendre le temoignage, que +je dechargeai, à chaque assaut, plütôt deux ét trois-fois +qu'une: Aussi Fysitère en était-il émerveillé! ét Me nommait-il +la seule Fouteuse digne de luy. Mon Père Luy dit alors: "Cé +ne sera pas encore asséz de ma Cadete: Mais j'ai votre +affaire: Il Me reste une Nièce Religieuse, qui a des vapeurs +hysteriques; je vous La donnerai, pour reposer mes Filles? "Je +leur ferai à Toutes-trois 12 mille francs de rentes (repondit +le Basané). Amenéz-les moi chaque soir, demain excepté, que +j'ai à fourgonner une grande Blonde, qui a ouì parler de moy, +ét qui veut en tâter. Il s'en-ala. + +"Cette scêne changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midy, +qu'On M'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaye. +Ma Soeur y était, ainsi que ma Cousine la Carmelite hysterique, +mon Père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyén d'une +permission de prendre les Eaux, qu'Il sollicitait depuis +long-temps. J'eüs reellement pitié du Connichon de ma Soeur +Doucette, ét je resolus de le voir dans la journée. Mon Père +Me le montra, ét le gamahucha devant Moy, en allegant le motif +de prévenir une maladie. Hâ! qu'il étaît mignon!... Je +l'aurais gamahuché, à mon tour. sans ma coîfure d'Epousée, car +son joly petit Foutre virginal Me tentait... Notre Père La +prévint qu'il falait qu'Elle Me soulageât la nuit de mes +noces, ét l'aimable Enfant y consentit avec naïveté. Je vis +aussi le Con de ma Cousine la Carmelite, ou la belle Victoire-Londò. +Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe +perruque noire. Elle entra en fureur érotique dês qu'On le Luy +eüt touché du bout du doigt, ét mon pauvre Père fut obligé de +le Luy mettre devant ma Soeur, ét devant Moy. Ce qui ne La +calma que pour un instant. Nous appelames mon Oncle, qui La +foutit trois fois. Puis le Jeunehomme fut introduit. Ensuite +le Procureur. Tous ceux qui devaient Me le mettre ce jour-là. +Les Enculeurs vinrent aprês. Elle fut foutue, refoutue, +enculée, re-enculée, ét calmée. Mais On n'appela pas M. Guae; +j'en étais jalouse... Pendant ce temps-là, mon Père branlait +ma Soeur; l'enculage de la Religieuse Le fit entrer dans une +telle érection, qu'il La poussa dans un cabinet, où je Les +suìvis, La renversa, et La depucela. J'insérai le vit paternel +dans le joly Connin, en disant à Doucète, que c'était une +ponction necessaire. + +"On lavait la Religieuse. M'étant aperçue que Guae la +convoitait, je Luy temoignai une jalousie qui le flata. Il Me +promit de reserver son foutre azuré, ét son gros Vit pour ma +bouche, en attendant que les Enfans M'eüssent élargi le Con. +"Mais vous m'aviéz vendue )Luy dis-je), avant de m'avoir +livrée à l'Homme velu, pour être foutue ét enculée ma nuit des +noces: Combién de Fouteurs ét d'Enculeurs devais-je avoir? +"Six, à 2 mille écus chaqu'un. "Vous voyéz que je n'ai besoin +que de repos: Mais il ne faut pas manquer une aussi jolie +somme: Vous avéz demandé le silence ét l'obscurité? "Ouy, ma +Reyne adorée: Je ne me suis engagé qu'à te faire voir toute-nue +sans chemise, comme en jouant avec Toy, nu aussi, dans la +chambre. Au-reste, le silence ét l'obscurité sant essenciels, +puisqu'ils eüssent passé pour Moy. Les six Bougres placés +chaqu'un dans une chambre separée, devaient répàître leurs +regards de tes charmes, ét t'esperer chaqu'un comme possesseur +unique, à un signal donné. "Tout-cela se fera. Je serai +remplacée par 3 Persones. Nous donnerons le plüs delicat ét le +plüs petit vit à ma Soeur: Le plüs vigoureux ét le plüs brutal +à la Carmelite: Je vaîs vous avoir ma Marchande, qui ne +demandera pas mieux que d'être foutue, sans être compromise. +Vous arrangeréz tout, pour qu'elles reçóivent chaqu'une deux +Hommes; ce qui sera d'autant plüs facile, que vous n'auréz que +les Hommes à tromper: ce qui sera facile". Guae admira mon +entente ét mon économie! Il Me promit une soumission entière à +mes ordres, ét Me demanda la permission d'appeler ma Soeur, ou +la Religieuse, pour Le branler. Je Les appelai Toutes-deux. Je +dis à la Carmelite, en Luy decouvrant les Tetons, de prendre +le Vit ét les couilles de mon Mary. Je mis ensuite ma Soeur en +position, troussée jusqu'audessus des reins, ét comme Elle +avait le plüs joly cùl du monde, Elle montra le derrière. Je +Me mis à côté d'Elle, troussé de-méme, je montrai le devant. +Guae chatouillé par une main douce, ét jouissant d'une triple +perspective aussi belle, en y comprenant la superbe gorge de +la Religieuse, ne tarda pas à hennir de plaisir. Biéntôt il +entra en fureur, ét il alait enconner la Religieuse, si je ne +Luy avais sauté sur le Vit, que j'embouchai. Il Me dechargea +dans le gosiér, en rugissant. Nous sortimes Tous-quatre, pour +aler danser, ét ma Soeur, ma Cousine ét Moy nous fumes reçues +avec transport. + +"Mes 6 Fouteurs pour la nuit suivante, étaient de la noce: +Guae qui se fût bién gardé de Me Les montrer, si j'avais dû +Les avoir, s'en fit une fête, quand ce furent d'Autres qu'On +Leur alait livrer. Il Me Les designa. C'étaient 6 Monstres de +laìdeur. Guae trouva le moyén de Les faire mettre nue +successivement dans une Pièce isolée, sous le prétexte de Les +froter d'un baume fortifiant. Le Premiér était un squelete +decharné, ayant le vit comme mon Père. Il avait un long néz +qui touchalt à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des +verrues noires sur le corps. Je te reservai pour ma Soeur, +à-cause de son vit, n'esperant pas mieux. Il se nommait Widewit. + +"Le Second était un gros petit Homme, três-ventru, ayant le +vit de mon Oncle, la peau comme une Ecrevice cuite, pour néz +une grosse bèterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée, +ét les lèvres hâlées, gersées des gros Mangeurs. Ce fut le +second de Doucette, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait +en russe Wiwitencoff de-la-Cowilardière. + +"Le Troisième était fait come un Héron ét un Dromadaire: Il +était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur +ses épaules une colline en cône aigü; son visage était noir ét +sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes +que par d'énorme genoux: Tout ce qui manquait à ces parties se +retrouvait dans son Vit, plüs gros que celui de notre +Homme-à-queûe, ét moins que le double Wit de Gwae. Je destinai +Towtenwit à ma Marchande, qui était chaude, large ét sterile. + +"Le Quatrième etait un gros Marchand de bléd, aussi large que +haut, tout noir, tout bourgeanné, ayant quelques livres de +cowilles, ét un vit trèslong, gros comme celui de mon Oncle. +Je destinai Witplongeardow à ma Cousine, à-cause de ses +couilles. + +"Le Cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de +Crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit +come Gwae (il devait m'enculer, de convention faite): Son +regard était affreux, sa bouche degoûtante, ét son néz encore +plûs: Witcrwel fut voué au large Con de ma Marchande. + +"Le sixième ét derniér était grand, voûté, noir, bancroche, +roux, chassieux; il avait un wit à bourelet, tant il était +long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour +m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente Cousine. + +"Le soir arrivé, l'On Me mit au Lit, ét chaqu'un des six +Monstres crut qu'il alait avoir le plaisir d'être mon +bourreau. Guae Me conduisit dans la chambre nuptiale, ét parut +Me mettre au Lit: Mais il nous disrribua dans quatre Pieces, +ét les lumières furent exactement retirées. Quant à Moy, +j'étàis restée debout, fesaut à chaqu'une des Lieutenantes de +mon Con, le portrait ét l'éloge du beau Jeunehomme qu'elles +alaient presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en +conscience de Leur donner des plaìsirs imaginaires, à defaut +de la realité. "Ma Toute-belle! (dis-je à ma Soeur), avec quel +plaisir tu me sacrifierais ton repos, si tu voyais le +jeunehomme charmant, qui doit froisser. tes appas? C'est un +Sylphe; c'est un Amour"..... J'alai ensuite à la Religieuse: +"Tu vas sentir le difference de la couchète de ta cellule, au +lit d'un Nouvelle-mariée, ma chaude Cousine: Un Bel-homme, un +gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer +pour Moy"... Je me rendis ensuite auprês de ma Marchande; +"Vous aléz être rassasiée de ce que vous aiméz tant, mon +aimable Maitresse: Un Jeunehomme superbe, ét... peutètre deux, +qui me desirent avèc emportement, vont me le mettre dans votre +Con brûlant, jusqu'à-extinction de forces. Les Vits sont gros! +ainsi faites-vous pomader comme une Pucelle, ét remuéz du cùl, +pour avaler plüs vîte ces énormes morceaux"... Ma Marchande me +remercia, en me priant de La mettre promptement aux prises. Je +courus Luy chercher Toutenwit, le Troisiême... Mais je vais +mettre de l'ordre dans mes recits. + +"Guae m'attendait. Dês que je parus, il me fit parler, ét +conduisit par la main Wìdewit, le premiér Monstre, auprês de +ma Soeur. "Mon chër Mary (dis-je doucement, la tête appuyée sur +l'oreiller de Celle-cy), menagéz-moy? "Oui, oui; mais ne parle +pas: j'ai decouvert que toute la Noce nous écoutait, à-cause +de mon gros Vit"..... Durant ce court Dialogue, Witdewit, +deshabillé d'avance, fourageait deja ma Soeur. Guae par mes +ordres, prit ensuite Witplongeardow le Quatriême, ét Le +conduisit, avec les mêmes précautions, auprês de la +Religieuse: Je parlai sur son oreillér... Towtenwit le +Troisiême, fut le lot de ma Marchande. Les 3 Autres avaient +rendéz-vous quelques heures plütard.. Il faut à-présent donner +chaque scêne particulière, en 6 Tableaux de la NUIT DE LA +MARIEE + + + + +XXXVII Chapitre. + +Chap. Des six Fouteurs pour troìs Foutues. + + +"Hâpée par le Monstre, Qu'elle croyait un Ange, ma timide Soeur +soupirait. J'entendais qu'On la gamahuchait, qu'elle +dechargeait. "Je me meurs! (murmura-t-elle). "Comme tu as la +voix douce, belle Mariée! (luy dit Widewit bién bas). Et +aussitôt il grimpa sur elle, ét l'enconna. La pauvre Petite, +quoique depucelée, fit un cri! Je parlai pour la deguiser. Le +vieux Monstre la menageait ét la caressait. Elle le secondait +de tout son pouvoir, ét redechargea. Grâces à moi, elle avait +lé même plaisir que si elle eût foutu avec Un beau Garson.... +La voyant bién enfilée, j'alai à la Religieuse. + +"Witplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet: +je m'en doutai aux gemissemens de la pauvre Martyre. Je le dis +à Guae, qui le desarçonna, ét luy donva quelquec soufflets. +J'entendis qu'il luy disait bién bas: "Bougre! vas-tu +m'estropier ma Femme? Ton bovrrelet"? Le Fouteur le prit, ét +la Foutue n'eüt plus que du plaisir. + +"Je courus à ma Marchande, que Toutenwit ne pouvait enconner +par maladresse. Je mis la tête sur l'oreillér, ét je dis en +soupirant: "Priéz donc mon Père de vous l'introduire"?... +Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, ét +tout ala bién. + + +"Chaqu'une des 3 Belles fut foutue deux-fois en con. Ensuite, +comme de-concert, les 3 Bougres retournérent la medaille. +Toutes-trois avaient leur pucelage de cùl. Ma Marchande crut +qu'On alait le luy mettre en levrette; mais les deux Autres ne +s'attendaient à rién. On leur perça le cùl à toutes-trois au +même instant, ét elles s'écrièrent, malgré la defense, +toutes-à-la-fois: DOUC. Hô le fondement! LA RELIG. Hô l'anus! LA +MARCH. Hô le tròu du cùl!... On n'y fit pas attention. +Heureusement ma Soeur avait le cùl large; elle souffrit moins. +Quant à la Religieuse, que Witplongeardow enculait sans +bourrelet, elle avait une aune de vit dans ses entrailles, ét +elle sentait celui de son Enculeur luy chatouiller le nombril. +Elle souffrait beaucoup de son farfouillage; car il retirait +ét reenfonçait brutalement. Elle n'éüt de plaisir qu'à la +decharge, par la douce chaleur du foutre, qui luy onctua le +gros boyau. Ma Marchande était la plüs maltraitée par +Towtenwit. Elle avait le trou-du-cùl aussi étroit, qu'elle +avait le Con large: le Vit enorme la pourfendait. Elle jurait +entre ses dents. Enfin la decharge l'abreuva, et elle fut +soulagée. + +"Les 3 Vieillards en avaient autant qu'il leur en falait. Guae +vint les faire retirer, de-sorte qu'ils ne se rencontrassent +pas... On étuva les 3 cons ét les 3 cùls: On fit les lîts, On +changea les draps, recoucha la triple Mariée, ét Guae +introduisit les trois nouveaux Acteurs. + +"Il ala chercher Wiwitencoff, que je mis dans les bras ét sur +le ventre de ma Soeur. Un peu agguerrie, elle caresse +tendrement le Monstre, qui l'enconna, le vit introduit par +Guae, qui profita de l'occasion, pour patiner ma Soeur, ét la +chatouiller. Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre +Petite, que son Fouteur s'ecria, croyant parler à moi: "Hâ! +que tu es putain"!... Voyant Guae acharné sur ma Soeur, +j'întroduisais les deux Autres. Je donnais Perceawant à la +Religieuse, ét j'eüs soin qu'il eût son bourrelet. "Voilà une +main bién douce qui me touche", dit-il en voulant saisir la +miénne); mais j'échappai. "Remue du cùl, Bougresse, (disait-il +à sa Monture); je te tiéns, je suis dans ton con; ainsi tu ne +saurais m'échaper. Je ne suis pas ton Mary; j'ai payé pour +coucher avec toy, ét te depuceler; ainsi tu es ma Putain. +Fous, Garse, ét remue du cul; j'ai payé pour ça".... Guae +l'entendit. Il vint à luy, le saisit à l'étouffer. "Tu manques +à nos conventions! (luy dìt-il); je ne les tiéndrai pas non-plûs: +fous-moy le camp, Malhonnête-homme! "Ouy; mais quand je +l'aurai enculée". Et il encula la Carmelite, malgré les coups +de poing dont Guae le gourmait. La Religieuse, poussait dés +cris horribles... J'étais aupres de ma Marchande, que +j'accouplais avec le gros Witerwel. Il ne devait qu'enculer: +mais la chaude Coquine se dirigea elle-même le vit dans le +con. "Tu n'es donc pas pucelle, Garse, crut-il me dire, que tu +connais si bién la route des vits?... Alons, fous, Putain, ét +comme il faut! j'ay payé ton Maquereau de Mary"! Comme elle +ripostait bién, il alait disant: "Hô! elle est putain! elle +est putain! j'ay le reste des autres"! Et tout en dechargeant, +il la pinça, la souffleta. Elle se recria! "En bouche, sacree +Putain? (dit-il en deconnant); ét tu avaleras mon foutre; sans +quoy je t'assomme"! Guae, qui venait de laisser enculer la +Carmelite, ét de chasser son brutal Fouteur, entendit le +grabuge; il accourut, apostropha le sale Bougre d'un violent +coup de poing, en luy disant: "Lave-toy donc au-moins, sacré +Mâtin, avant de l'emboucher! Je ne l'embouche jamais que je ne +me sois lavé le vit à l'eau-rose, ét que je ne l'aye ensuite +trempé dans du lait. Execrable Bougre! vray Desades, tu veux +luy faire soulever le coeur?... Mais tu as manqué aux +conditions; tu ne merites plus de l'avoir. "Voila cent +louys... "Ils seront pour elle. Lave-toy... Voilà de +l'eau-rose... Voicy du lait..... Alons, souffre, m'Amie: Voilà tes +cent louys". Le vieux Reître, cru Un beau Jeunehomme, +emhoucha, encula, entetonna tant qu'il voulut. "Hâ que tu es +putain, sacrée Chiénne"! (repetait-il).... Guae se mourait +d'envie de luy montrer qu'il ne m'avait pas eüe. En le mettant +à ta porte, il me fit trouver sur son passage toute-habillée. +Ce fut comme une vision; car je m'enfuis. "Hâ je suis fait! +(s'ecria le Monstre): le Scelerat m'a donné une Putain, aulieu +de sa Femme"!... Et il jura, sacra.... Quant à moy, pendant +ces scènes, j'assistais à la fouterie de ma jeune Soeur. La +pauvre Petite fut enconnée, embouchée, enculée comme les +Autres, par son Adorè Witwitencoff de-la-Cowillardière, qui +ala jusqu'à extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, +c'est que, lorsqu'i se sentait épuisé, il se fesait sucer le +vit bien approprié à l'eau-chaude, et baiser les couilles par +sa jolie Monture. Il luy mettait encore couilles èt vit sur le +cùl ou les tetons: Puis il se fesait donner au gland un suçon. +Il bandait alors, ét enculait. Au derniér culetage, il eüt un +priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le +cùl de ma Soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae, +qui la decula, en enlevant son Enculeur. On le porta évanoni +dans sa voiture. Arrivé chéz Luy, des cordiaux, que demanda +Guae, ranimèrent le vieuu Libertin: "Hâ! (s'écria-t-il), je +vis encore! je voulais mourir dans son cùl!.... je bande +encore... Qu'On me La rende... que je L'enfile... ét.. que... +j'expire.".... Et il expira...... + +["Hâ! la belle mort! (s'écria Traìtdamour ét toute la +Compagnie en dit autant)... Mad. Guae acheva. + +"Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Gnae, à son +retour, était furieux de Luxure: Il voulait toutes nous +enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea: Il m'emboucha; +encula ma Soeur ét ma Cousine, enconna ma Marchande, qui en fut +estropiée pour un mois, ét L'engrossa, deux choses qui +L'empêchèrent d'être achetée par Fysitére. Pour Guae, je suis +sa Maîtresse, ét son gros Vit me fortifie par son foutre qui +me nourrit. Je serai enconnée par Luy, de convention faite +avec Fysitère, apres mon douzième Enfant. + + + + +XXXVIII Chapitre. + +Chap. De la Conclusion de l'Histoire des 3 Garses. + + +"Persone ne sait comment l'Homme-caud decouvrit que Guae avait +vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux. Il me +demanda. J'étais au Lit. Ce fut la reponse de Guae. "Je le +crois! (repondit Fysitère), ét Un Homme est mort d'épuisement +dans ses bras. "Elle a vaqué toute la nuit: mais c'est pour +autre chose: Sa Cousine la Religieuse ayant été un-peu +courtisée dans le jour, ses vapeurs hysteriques l'ont reprise +la nuit, par un rêve, où elle croyait être foutue. J'ai été +appelé. N'ayant pu l'enconner, je l'ai enculée. "Je me fous de +son cùl: Mais si Tu l'avait enconnée. "Quant à ma Femme. elle +dort; ét vous pouvéz voir à la fraîcheur de son con ét de son +cùl, que je ne luy ai pas touché. "Voyons dabord la Carmelite? +"Elle dort aussi". Ils y alèrent. Guae la decouvrit, sans +l'éveiller. Elle etait couchée sur le côté, ne pouvant se +tenir sur le dos, à-cause de son cùl, qui luy fesait mal. Elle +l'avait en marmelade. "Comme Tu les accomodes!... Et le +con?.... Il n'êst pas si maltraité... "Je l'ai un-peu fatiguée +par mes inutiles efforts; ét-puis elle s'êst branlée. "Voyons +la Mariée"?... Ils vinrent à Moy. On sait que je me repucelais +par le bain, ét un-peu de repos. Mon con ét mon cùl furent +trouvés si appêtissans, si jolis, que Fysitère les baisa +tous-deux. Puis Il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement +cloîtré, pour nous sequestrer, pendant tout le temps que nous +Luy ferions des Enfans, Moy, ma Soeur, ét ma Cousine. Il ne vit +Doucette qu'habillée! ét elle l'enchanta. Il nous emmena +toutes-trois, en disant, que jusqu'à notre grossesse bién +declarée, On ne nous verrait qu'à un parloir. + +"Fysitère êst extrêmement riche. Il donne 20-mille francs par +an à Guae pour Moy, 40-mille à mon Père pour ma Soeur ét ma +Cousine. Le soir, aprês un excellent soupér, il nous fit +coucher Toutes-trois ensemble dans un large Lit, où il se mit +avec nous. Il me foutit dabord. Puis ma Soeur. Ensuite la +Carmelite, qui le fut deux-fois sans deconner. Il me reprìt. +Puis ma Soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8-fois chaqu'une +dans la nuit. Ce qui fesait les 24 de Fysitère. Quand il en +foutait Une, les deux Autres luy chatouillaient, Une la queûe +du cùl, la Seconde les couilles. + +"Nous devinmes grosses Toutes-trois à-la-fois. Alors il nous +declara, qu'il ne nous le mettrait plus qu'aprês nos coûches +ét l'alaitement. Il vint icy. Il vous vit, Madame; il vous +foutit. Il épousa votre Fille-Aînée, enconna les 5 Autres, +fourbit vos deux Nièces, ramona la Bâtarde de votre Mary, +viola vos 2 Chambrières, êt vous engrossa Toutes. Durant ce +temps-là, nous accouchâmes, nous alaitâmes, nous nous +trouvâmes libres, ét il nous refout. Tâchéz d'être libres +aussi, quand nous serons prises afin qu'Il nous refoute +alternativement. + +"Telle èst notre Histoire: voìlà ce que nous savons sur +l'Homme à-queûe. J'ajoûterai seulement, que dans le temps où +M. Fysitère ne nous l'a plus mis, nous àyant des desirs, nous +avons eü recours à mon Père, à mon Oncle, à Guae, au +Procureur, ét à mon premiér Galant, qui nous ont fourbies, +Guae en bouche, les Autres en con. Cependant nous avons Toutes +voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement; +son Vit, gros comme l'Enfant, frayait le passage, ét son +foutre l'onctuaìt. + +"Après nos coûches, nous avons prié mon Père de nous choisir +de jolis petits Garsons non pubères, mais bandans roide, pour +nous ramoner le con: ces Enfans, dont les petits víts huilés +entraient calotés, ne dechargeaient pas, ét cependant +farfouillaient agreablement dans le connôt". + +Les 12 BELLES furent très-excitées par ce Recit, ét QUELQUES-UNES +alèrent surlechamp ét successivement se faire ramoner par +Fysitère, qui fut trés-étonné de cette boutade! Il se servit +de ses 2 Queûes, en expediant ainsi 2 à-la-fois, Une dessous, +Une dessus. + +Cette bourasque appaisée, Fysitère revint à ses Us ét +coutûmes. Mais biéntôt ses 3 Coucheuses parurent enceintes. Il +les pria, ainsi que Mad. Linars, de luy en procurer 3 ou 4 +Autres, pour luy faire des Enfans, en attendant leur liberté? +Mad. Guae seule en procura 3, Une Tetonnette, son Amie d'étant +fille, ét deux Soeurs, Biénouverte, grande blonde, avec +Dardenbauche, aimable ét vive brunette, três-caressante, +dechargeant comme quatre. Tetonnette était Une de ces Brunes à +peau blanche, qui ont toujours Une si belle gorge. Fysitère +assura les 12-cents fr. de rentes à ces 3 Filles, se chargea +de leur ample entretién durant tout le temps de leur +fecondité, les fit coucher au grand Lit, ét les depucela 8 +fois chaqu'une la première nuit. Il commença pàr Dardenbouche, +là plüs jeune. Elle étàit si amoureuse, bién-que pucelle, +qu'elle ripostà, dès le premiér coup de vit. Elle soutint les +8 Assauts de-suite avec Un couràge héroïque... Fysitère prit +ensuite Biénouverte. Elle fut plüs modérée. Elle crià, +quoique-peu étroite; pàrceque ne dechàrgeànt pàs dàbord, Elle +ne s'humectait que fàiblement le Conin. Elle étàit pucelle +neanmoins. Malgré sà langueur, elle fut foutue 8 fois, comme +Dardenbòuche; Fysitère auràit eü peur d'en mortifier Une... Il +prit ensuite la belle Tetonnette. Il l'enfilà plüs +difficilement que Biénouverte: màis elle remuà si +delicieusement du cùl, ses tetons étàient si appêtissans, Elle +avàit le connin si étrait, qu'Elle donnà autant de plàisir que +Dardenbouche.... + +Aprês les 24 Assauts, Fisitère làissà dormir. Le lendemain-màtin, +3 Valets-de-chàmbre entrèrent, pour lui demànder ses +ordres? Il s'éveillà; màis il feignit de dormir, là bouche sur +là gorge de Tetonnette, ét une màin sur les Tetons de +chàqu'une des 2 Autres. "Voilà Un Bougre biénheureux! (dit Un +des Vàlets). "Oui"! (repondit Un-Autre). Et ils se mirent +Tous-trois à se brànler. Alors FYSITERE feignànt de +s'éveiller, leur dit: "Je vous ai entendus, Jean-foutres: Vous +ne les enconneréz pàs; je veux qu'elles ne soient grosses que +de Moy: màis tournez-les sur le ventre, et m'en enculéz Une +chaqu'un". Il n'avàit pàs achevé, que les 3 Belles poussèrent +un cri simultàné, causé pàr les 3 vits, qui leur entràient +dàns le cùl. FYSITERE les exhorta à là pàtience, pàr l'idée +d'une bonne oeUVRE; il les assurà que ces 2 Hommes alàient +dechàrger pàr tèrre. Elles se rendirent à cette Ràison, ét +cùletèrent à Quî mieux mieux. + + +Explicit L'HOMME-A-QUEUE. + + +A cette longue Histoire, Tous & Toutes se recrièrent: -- Nous +ne sommes que de la Saint- Jean, auprês de ces Fouteurs & de +ces Fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain-! -- N'aléz pas +vous branler, Bougres! (leur dis-je). -- Nous nous en garderons +bién! notre foutre n'est pas à nous; il est à nos Belles. Qui +était étonné de nous entendre parler ainsi devant ma Fille, +c'étaient Brideconnin & sa Femme... Mais ils en verront bién +d'autres. + + +SUJETS DES ESTAMPES. + + +I. Cupidonet, & Jenovefette. + +L'Adolescente à quatre, troussée, ét le jeune Cupidonnet +à-genoux, la couvrant cynîquement, tâchant de l'enfiler. Elle se +cambre les reins, pour être atteinte: "Hausse, hausse le cul". +p. 5 + +II. Cupidonnet, & le Con soyeux. + +Cupidonnet sur Madelène, âgee de díx-sept ans, dont il lèche +le con poilu: Elle est sur le dos, les jambes ecartees, et se +prête en poussant sur la bouche de son jeune Frère, qui la +gamahuche. "Darde ta langue dedans, chër petit Ami". p. 9 + +III. La Mère foutue. + +Cupidonnet enconnnant une Femme de quarante ans, au lit, les +draps à-terre: Il enconne pour la prémière-fois, et parait se +pâmer. La Femme: "Jamàis... jamais... vous ne m'avez donné +tant de pláisir". p. 12 + +IV. Cupidonnet, & la belle Marie. + +Cupidonnet evanoui, le vit en l'air après avoir decharge dans +le con de sa Soeur la belle, mariée à Paris, & parée, un-jour +de Vierge, Marie detetonnée, & con & cul visibles. Elle dit: +"Hâ.. Grand-Dieu.. c'est Cupidonnet." p. 16 + +V. Cupidonnnet, & l'Orlogère. + +Cupidonnet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle +O logère, à laquelle son Mari, couché de l'autre côte d'elle, +dit: "Courage, ma Femme.. hausse le cul". p. 20 + +VI. Cupidonnet, avec sa Femme le cul decouvert. 20 + +Il est appele par sa Femme debout, mais courbée sur un lit, +troussee audessus des reins, & montrant le plùs beau cul: Il +court à elle, le vit bandant. "Si j'ai la verole (pense-t-elle), +fous-moi en cul". + +VII. Cupidonnet, & Conquette. + +Cupidonnet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un +garde-sel: Elle est à-découvert, & se tremousse toute +endormie, quand elle sent la langue entre les lèvres de son +conin à poil naissant. "Hâ.. hâ.. hâ.. ça m'chatouille". p. 25 + +VIII. Conquette, et Cupidonnet. + +Conquette qui vient d'être gamahuchée, & que Cupidonnet le vit +bandant, tâche d'enconner. p. 30 "Hâ! ce joli gamahuchage, +tant que vous voudriez". + +IX. Cupidonnet, et Victoire. + +Cupidonnet tenant Victoire troussée jusqu'aux dessus du genou, +& se fesant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: "Mignone.. +serre moi le doigt, fort... fort". p. 32 + +X. Conquette, Culant, Vitnegre. + +Conqette assise devant le feu, entre Vitnègre & Culant +deculotés, bandans; Elle troussée: p. 36 "Alons, Bougresse. +branle-nous Tous-deux". + +XI. Cupidonnet, Conqette, Vitnègre, le Moine. + +Cupidonnet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre le vit à +l'air, montrant à nu les appas de sa Femme: Un Moine debout +dans le cabinet, vu par le Père de Conquette, caché derrière +un Sofa, & qui n'est pas vu. Le Moine tenant en main son vit +monstrueux, regarde la scène: "Troussee, Putain, audessus des +reins". p. 39 + +XII. Cupidonnet, et Conquette en levrette. + +Conquette le ventre appuyé sur le piéd d'un lit: Cupidonnet +l'a troussée audessus des reins; elle cambre la tâille, & il +l'enfile en levrette. "Remue du Croupion... mon Ange". p. 44 + +XIII. Conquette, Vitnègre, un Payeur. + +Vitnègre debout à-côté du lit, caché par un rideau, tandis +qu'Un-autre le remplace sur sa Femme. Le Mari dit à Celle-ci: +"Decharges-tu"? p. 48 + +XIV. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le Jeunehomme. + +Cupidonnet caché: Vitnègre une lumière en mains trouvant le +Jeunehomme sur sa Femme troussée: "He-bien, est-elle +enconnée". (dit-il). p. 53 + +XV. Le Fouteur à la Justine. + +Le Moine Foutàmort, ayant mis Conillette nue, expirée & +dechirée sur une table, lui cerne les Tetons avec un bistouri, +&c: "Decharnons-la." p. 56 + +XVI. Cupidonnet, Conqette, Timorí. + +Cupidonet caché dans le sofa, avançant la tête, pendant que +Conquette gamahauchee par Timori, lève les jambes en l'air, & +fait claquer ses talons: "Hâ.. Timori.. ta langue vaut un +vit". p. 62 + +XVII. Conquette enculée. + +Cupidonet sous un Sofa: Timorì enculant Conquettte, courbée, +dont le cul est bien perfore: L'Enculeur s'ecrie: "Quel cul? +quel plaisir des Dieux". p. 63 + +XVIII. Conquette s'enconnant du Vit paternel. 67 + +Cupidonnet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la +Table-de-nuit: Il est sur le côté, le vit bién bandant: Il dit à sa +Fille nue, cherchant à s'enfiler: "Appuie lentement, ma +Reine". + +XIX. Montencon, Cupidonnet, Hochepine, Vitsuçete. + +Montencon embouchant Adelaide Hochepine en presence de +Cupidonnet & et de Vit suçète. "J'embouche la jolie Garse". p. +70 + +XX. Cupidonnet, Conquette, Montencou. + +Cupidonnet sortant du con de Conquette: Montencon le vit en +main, alant se mettre sur elle dont le con & les cuisses sont +bien à-decouvert. "A toi, Bougre". p. 7 + +XXI. Les Moines verolés. + +Tous les lits sont couverts de robes monacales: Vitnègre assis +auprès du lit de Foutàmort, qui lui montre un tableau, +représentant une Femme à laquelle il viént de ne faire qu'un +trou du cul & de la mote, & dont il cerne les Tetons: "Je me +suis fait accommoder son con". p. 81 + +XXII. Le Sommeil enconné. + +Cupidonnet encormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort +également encounée. En commençant à s'éveiller, elle dit: "Hâ! +Mon dieu! c'est mon Papa, qui me..." p. 83 + +XXIII. Cupidonet, Conquette. + +Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tetons +decouverts: Il vient de se mettre le vit à l'air: Elle joue +avec sa mule mignone, qu'elle fait badiner avec le bout de son +piéd: "Je veux te griller". p. 88 + +XXIV. Conquette, Cupidonnet, Centlouis. + +Centlouis prenant les tetons & le con de Conquette, en +présence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante +louis. p. 91 "Ce con satiné, ces tetons touchés les valent". + +XXV. Conquet:, Cupidonnet, Traitdamour. p. 95 + +Conquette renversée, troussée audessus du nombril, & à +laquelle Cupidonnet présente Traìtamour, qui tient à la main & +montre son gros & superbe vit. Conquette avançant sa main, +pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de +mal... & de plaisir"... + +XXVI. Cupidonnet, Conquette, Traitdamour, Minone, Connète. + +Cupidonnet foutant Conquette, qui lui darde sa langue: +Traitdamour tenant les tetons de sa Soeur, qui lèche le trou du +cul du Fouteur; tandis que Connète le suce dans la raie du +dos: "Quels delices!... Je suis rendu"... p. 100 + +XXVII. Minone, Connette, Cordàhoyau, Brisemotte (1 grouppe). +108 + +Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis +que Cordàboyau enconne Minone, que Brisemotte encule couchée +sur le côté. "C'est une Fouterie de Princesse...". + +XXVIII. Cupidonnet, Conquette, Traitamour. 110 (2 grouppe): + +Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculéé sur lui!: +Cupidonnet dans le con de la Belle, ainsi limée entre deux +feux: "Piquez... des deux: la Garse est enculée".... + +XXIX. La Danse Negre. 114 + +Cupidonnet habillé, mais le vit à l'air, regardant la danse, +dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses. +Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle Actrice; +Cordaboyau avec Connette; Brisemote avec Minone; Tous six nus +de la tête aux piéds: Ils figurent les mouvemens voluptueux; +un Couple paraît prêt d'enconner; Un-autre d'enculer; le +Troisième, en se contournant, met les Tetons sous la bouche, +le vit sous la main, & montre le con qui l'appète. "Alons! Du +mouvement, Garses"? + +XXX. La Piochée, & ses Piocheurs. 117 + +La Piochée sur le Foutoir; Piocheur-père enculant Piocheur-fils; +Piochencul les excitant, & se fesant bander, à l'aîde de +la main & des Tetons de la Jeunefille. "Bougre... encule ton +petit Garson". + +XXXI. Piochette. 119 + +Le vieux Piochencul patinant les Tetins de Piochette, âgée de +14 ans, & fille du Frère & de la Soeur, pendant que ces 2 +Individus sont enconés, & que le vieux Piocheur grand-père +encule son Fils. "Tu me depuceleras ta Fille, dès que ton +Grand-père t'aura deculé". + +XXXII. Les Gourmets de Con. 123 + +Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme Gourmet du +satiné de son con, est enlevé de sur elle, prêt à decharger, +par Traitdamour & Brisemote, le vit bandant et decaloté, pour +le plonger tout-brandi dans le Con de Rosemauve, étendue sur +un Foutoir haussant du cul: "Le Sacrébougre alait partir".... + +XXXIII. Honnête Entretién du Pere et de la Fille. + +Cupidonnet prenant le con de sa Fille d'une main, les Tetons +de l'autre: Elle dît: 133 "Mon Dieu: je vous remercie d'un si +bon Père". + +XXXIV. L'Homme enfilant deux cons d'une volte. + +L'Homme-à-queûe foutant Sophie-Linars de son vit, tandis que +Geoline s'enconne avec la queûe velue qu'il a au croupion. +Celle-ci dit: 141 "Et moi, je vais me servir de cette queûe +raide". + +XXXV. La Fouteuse insatiàble. 157 + +La belle Agnès, livrèe par son Père, enfilèe par le jeune +Procureur, qui se loue de ses delicieux mouvemens: Elle +s'ècrie, en dechargeant: "Hâ... mon âme va sortir... par le +trou qu'il me fait". + +XXXVI. Indicibles Fouteries! 175 + +Agnès, après souper, ayant un corpset refluant, cachèe +derrière un rideau de fenêtre, desorte que l'Homme-à-queüe +seul, qui lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient +d'une-main le vit de son Père; de l'autre, elle retient à +l'entrèe de sa bouche, & presse de ses lêvres, le Gros Membre +de Guae qui decharge, & lui lance le Fontre au fond du gosier. +Fysitère leur dit: "Il faut dabord que je foute +habillèe.......". + +XXXVII. Les Six Fouteurs des Trois Foutues. + +Agnès, Doucette, la Carmelite, & la Marchande-de-modes +maîtresse d'Agnês-Conveloutè. La 1re en deshabiller de gaze +transparente, avec le chapeau de Marièe; les 3 autres nues, +sont instruites par Agnês, [] Coupure. Six Vieillards, le Vit +en main, nus, endoctrinès separement par Guae, nu assi, â +l'entrée d'une autre pièce, où il les attire les Uns aprês les +Autres.... Le premier est Un grand, maigre, dont le nez touche +au menton; vit ordinaire. Le second, gros, très-ventru; le nez +comme une grosse betterave (le vit long. Le troisième monte +sur de longues jambes sèches; ayanr un pain-de sucre sur les +èpaules; le Vit gros comme celui de l'Homme-a-queûe aumoins. +Le quatrième aussi large que haut, a le vit de l'Oncle +d'Agnês. Le cinquième a la tête monstrueuse, le ventre comme +un tonnneau, le Vit comme celui de Guae. Le sixième est grand, +voûté, bancroche; ayant un bourelet à son long Vit. Quant au +laid Guae, On voit son Vit, gros comme Un Timon de carrosse +soulever sa chemise... "Chaqu'un des 6 monstres crut qu'il +alait avoir le Plaisir d'être mon Bourreau". 183 + +XXXVIII. Fysitère au grand lit avec ses 3 Fouteuses. + +Elles sont nues: Fysitère nu enconne Doucette; Agnès lui +chatouille les couilles; la Carmelite lui branle le queûe +velue, dont elle se dispose à s'enfiler. Le mot est pris de +l'Histoire par Agnês "Nous fumes ainsi foutues 8 fois +chaqu'une dans la nuit; ce qui fesait les 24, ordinaire de +Fysitère" p. 192 + + +Table des Chapitres + + +La Préface. 3 + +I. Chapitre De l'Enfant qui bande. 5 + +II. Chap. Du Con soyeux. 8 + +III. Chap. De la Mère foutue! 11 + +IV. Chap. D'un autre Beaufrére Cocu. 14 + +V. Chap. Du bon Mari spartiate. 18 + +VI. Chap. De l'Epouse qui se fait enculer. 20 + +VII. Chap. Du Conin au Poil-Follet. 25 + +VIII. Chap. Des Conditions de mariage. 28 + +IX. Chap. Des Dedommagemens. 31 + +X. Chap. De l'infame Mari. 33 + +XI. Chap. Pucelage destiné aux gros Vits, pris par un petit. +39 + +XII. Chap. Du plus delicieux des Incestes. 41 + +XIII. Chap. Du Con & du Cul vendus. 46 + +XIV. Chap. Le Jeunehomme, la Fille, le Moine. 51 + +XV. Chap. Du Fouteur à la Justine. 54 + +XV.I Chap. Foutoir: Petit Magasin: Enterrement: Amour. 58 + +XVII. Chap. Du Pucelage du Cul: Le Père enconneur. 63 + +XVIII. Chap. Des Avis paternels, tenant sa Fille enconnée. 67 + +XIX. Chap. Du Père juste, & du Vit grisonnant. 70 + +XX. Chap. Du, Hâ, comme elle fut foutue! 74 + +XXI. Chap. Du Ressouvenir, & De l'Episode. 80 + +XXII. Chap. De la Fouteuse mise en appêtit. 83 + +XXIII. Chap. De la Tendresse Filiale: & de l'Amour Paternel. +86 + +XXIV. Chap. Du Chefd'oeuvre de Tendresse-paternelle. 91 + +XXV. Chap. Du bon Pere qui fait foutre sa fille. 93 + +XXVI. Chap. d'AVIS três-utile au Lecteur, & à l'Auteur. 98 + +XXVII. Chap. Du commencement des grandes Fouteries. 101 + +XXVIII. Chap. De l'Enculo-connillerie. 106 + +XXIX. Chap. D'une nouvelle Actrice: Danse Nêgre. 112 + +XXX. Chap. Le Pioché, la Piochée, le Piochard. 116 + +XXXI. Chap. Suite des Mêmes, Piochette. 119 + +XXXII. Chap. Du Conin goûté. 122 + +XXXIII. Chap. La Fouteuse sensée. 130 + +XXXIV. Histoire de l'Homme-â-Queûe. 134 + +XXXV. Chap. de la Garse insatiable. 144 + +XXXVI. Chap. Des Fouteries de la Convelouté, &c. 174 + +XXXVII. Chap. Des six Fouteurs pour trois Foutues. 185 + +XXXVIII. Chap. Conclusinn de l'Histoire des trois Foutues. 191 + +XXXIX. Chap. Du Fauteuil. 207 + + +Fin de la Table de la I Partie. + + + + +EPILOGUE de la Ire PARTIE. + + +Jaî lóngtemps hésité, si je publierais cet Ouvrage posthúme du +trop fameux Avocat Lingüët. Tout consideré, le câsement deja +commencé, j'ai resolú de ne tirer que quelques Exemplaires, +pour mettre deux ou tròis Amîs éclaîrés, et autant de Femmes +d'esprît, à-portée de juger sainement de son effet, et s'il ne +fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale à laquelle On +veut le faire servìr de contre-pòison? Je ne suis pas asséz +depouroú de sens, pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est Un +pòîson: màîs ce n'est pas là ce dont il s'agît. Serà-ce le +côntre-pòîson de la fatale JUSTINE? Voilà ce que je veux +consulter, à des Hommes, à des Femmes desinteressés, quì +jugeront de l'effet que le Livre imprimé prodúîra súr eux et +súr elles. L'Auteùr a prétendú élóîgner de la crüaúté, de la +sòîf dú sàng et de la mort de la Femme pòssedées: A-t-il +reüssi? Il a prétendú ranimer les Marîs blâsés, pour les faire +joüïr de leurs Femmes avec goût, à l'aîde de la lecture d'ún +demi-Chapître de son Ouvrage: A-t-il atteint ce bùt? C'est ce +qu'On decidera. + +On a vû, par la Table seule, combién cet Ouvrage est sálàce! +mâîs il le falàìt pour produîre l'effet attendû. Jügéx-le, mes +Amîs, et cràîgnéz de m'indüïre én erreur! + +L'ANTI-JUSTINE aurà VII ou VIII Partîes comme celle-cy. + + +FIN de la I. Partie. + + + + + + +L'ANTI-JUSTINE, + +OU + +LES DELICES DE L'AMOUR. + + +Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem. + + +Avec Figures. + + +[Seconde Partie.] + + +AU PALAIS-ROYAL + +Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connu + +1798. + + + + +Je suis parvenu au IId Volume de cet Ouvrage, destiné à +ranimer les Maris blasés, auxquels leurs Femmes n'inspirent +plus rién: Tel est le but des nequices de cet excellente +Production! que le nom de Lingüet rendra immortelle. + + +L'ANTI-JUSTINE. + + + + +XXXIX Chapitre. + +Chap. Du Fauteuil. + + +Le Dimanche arrivé, il y eút un joli dînér, qui fut servi dans +mon Magasin. J'y avais fait mettre, oûtre le Lît & le vîeux +sofa, un 3me Foutoir commode, que j'avais trouvé par-hazard +chéz un Serruriér de la ruë de-la-Parcheminerie, qui l'avait +acheté pour le fér & l'aciér seulemt, à l'inventaire de +certain Duc. J'en fis l'histoire à ma Société: + +"Ce Fauteuil, ou Foutoir, se monte. Le Serruriér le monta +un-jour, pour en voir le mecanisme. Il alait s'y asseoir, au 1er. +La jeune Femme trè-potelée de son vîeux Voisin Aupetit le +Perruquiér arriva. La jolie Voisine essoufflée, se jeta sur le +diable de Fauteuil. Aussitôt elle fut saisie par les bras. Un +ressort la troussa, & un-autre lui écarta les cuissee. +Un-autre lui fit faire beau con; un troisième la fit osciller. -- +Hé! qu'est-ce donc que ce machin-là? s'écriait-elle. -- Ma +bonne-foi si je le savais! repondit le Serruriér: j'aí monté +la Machine pour la connaître; maîs je voîs que c'est celle +avec laquelle le Duc de-Fronsac essayait les Filles +recalcitrantes, que des Parens maladroits lui avaient vendues. +Si vous vouléz, ma Voisine, je vais vous essáyer? -- Alons +donc! Est-ce qu'On viole jamais Une Femme malgré elle? Je +mordraîs-... L'Homme-de-forge se deculote; se met sur elle. La +Traquenardée veut le mordre. Un ressort asséz doux lui fait +ouvrir la bouche, & en l'angoissant un-peu, la force à darder +sa langue. Le Suppôt de Vulcain profite de tout-cela, & enfile +la Perruquière, qui ne put l'empêcher, ni même crier... +L'operation faite, la machine se trouva aubout de ses +rouleaux, & Mad. Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors +qu'elle se mit à pleurasser, à criasser, comme si elle avait +été au-desespoir. -- Grand'bête! (lui dit le Cyclope), je vous +aí trop bién operée, pour que vous ne deveniéz pas grosse: +vous auréz un Enfant, que votre vîeux Jeanfoutre ne vous +aurait jamaîs fait. Maîs il faut un-peu de ruse: Dês +aujourdhui dites-lui que vous achevéz une neuvaine à St +Julién, qu'il vous travaille ç'te nuît, & que le Saint benîra +ses travaux. Remuéz du cul, quand il vous le mettra; dites-lui +des foutèses, & s'il dechargeote un-peu, pâméz-vous, en disant +qu'il vous inonde-. Mad. Aupetit s'en-ala munie de ces +instructions, qu'elle mit en pratique. Le Fauteuil me fut +prêté le lendemain. + +Le Cyclope m'áyant vu passer, m'appela, me montra la Machine, +me la vanta, & me mit au-fait de son usage. Elle me fut donnée +à-l'essaì, & je la destinaí aux Begueules, s'il nous en venait +à nos Orgyes. Je remis à monter la machine, quand il seraît +à-propos, afin de ne pas en éventer le secret. Nous nous y +assimes trois en dînant, Mad. Poilsoyeux, une jolie Chapelière +de la ruë Bordet ou Bordel, amenée par Traìtdamour, & nommée +Tendrelys; j'étais au-milieu. In petto je reservais le +Fauteuil monté à la jolie Tendrelys, encore pucelle, quoique +Traìtdamour lui eût quelquefois dechargé entre cuisses; ou, si +la Chapelière était docile, à Rosemauve, ou à sa Soeur Rosalbe +la blonde, ou enfin à notre Hôtesse Mad. Brideconin, que je +voulais mettre de nos fêtes, ainsi que son Mari, voulant le +faire cocu en sa présence.. Nous dînames bién, mais sans trop +manger, ni trop boire. Nous avions dailleurs de la volaîlle, & +toutes choses de facile digestion. On ne tardera pas à voir +comment j'executerai tous mes projets. + + + + +XL Chapitre. + +Chap. Des Cons Rasés. + + +En sortant de table, Traìtdamour nous dit: -- Toute la semaine, +il m'a roulé dans la tête de rendre le connin de Mad. +Conquette-Ingenue-Pòilsóyeux ce qu'il doit être; c'est-à-dire, +PUCEL: car je suîs sûr que depuîs huit jours qu'elle n'a +foutú, il s'est retréci en Diable!.. Brisemote, Cordaboyau, +vîts implacables, trousséz-moi Minone & Conète; il ne serait +pas seant qu'elles se troussassent elles-mêmes-. On les +troussa jusqu'audessus du nombril. Pas un pòil! Je les ai +rasées ce matin (dit Traìtdamour, pour voir l'effet, avant de +proposer la même chose à notre Deesse. Vous voyéz comme elles +sont propres? Tout le corps l'est de-même: Elles se sont +baignées tous les jours, depuis qu'elles savent que la belle +Fouteuse met tous les jours son Con dans l'onde limpide, & y +plonge entiér son corps appêtissant. Elles m'ont assuré que, +lorsqu'elles étaient en chaleur, l'eau-fraîche dans laquelle +trempaient leurs Cons brûlans, leur donnait un plaîsir presque +fouteùr... Maîs vôyéz-moi ces Cons-là? Ne dirait-On pas des +connins de Fillètes de 12 à 13 ans? On en convint. + +En-consequence, je priae ma Fille de se laisser raser la Mote. +Elle se cacha le visage dans mon sein. Traìtdamour aussitôt la +renversa sur un Foutòir, le Con au grand jour. -- C'est +pourtant domage! (dit-il eu le maniotant;; la perruque en est +superbe!... Je vais dabord employer les cîseaux: Nous mettrons +ce pòil sóyeux sous verre dans un câdre doré: ce seront de +précieuses Reliques-. Il coupa. Ensuite il tira d'une jolîe +boîte une savonnète parfumée, & savonna longtemps le Connin. +Comme cette operation excitait Conquète, elle me pria +d'appuyer mes lêvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, +pendant tout le temps qu'On fit la barbe à son Con, & +lorsqu'il fut rasé, On le lui lava d'eau-rose; On lui sècha +les cuisses avec des linges doux, & Tendrelys mit le beau pôil +de la depouille sous le verre-à-câdre. Puis le Conin sans +barbe fut livré à l'admiration de l'Assemblée. Tout le Monde, +surtout les Filles, jusqu'à la modeste Tendrelys, qui, disait-elle, +n'était venue que pour voir, & rougissait de tout, le +trouvaient si appêtissant, qu'elles demandèrent à le baîser, & +qu'elles se jetèrent dessus. La jolîe Chapeliére cola ses +lêvres vermeilles sur le Con rasé, & sa langue ala dans la +fente exciter la volupté: Rosemauve, qui arrivait, vint sur +elle comme Une Enragée, la debusqua, & gamahucha si vivemt la +Deesse, qu'elles émîrent toutes-deux. Les Hommes éurent leur +tour; ils sucèrent le Conôt dechargeant, & le firent decharger +encore.. Pour Mòi, j'admiraîs, les deux mains plongées dans +les Tetîns de Tendrelys, qui les avait charmans, & n'ôsait se +deffendre, -- Hâ! quelle partie? me dit-elle. -- Tu ne vòîs +rién! lui repondit Minone. + +En-effet, Traìtdamour áyant fait retirer les Gamahucheurs du +Con de Conquette-Ingenue, qu'ils ne quittaîent pas, dit à ses +Camarades: -- Imitéz-mòi-? Aussitôt tous les vits en érection +furent à l'aîr. -- Alons! alons! au Con! au Con-! Tendrelys +baissait ses beaux ieux: maîs Conquette ètendue sur le +Foutóîr, la Mote legèremt branlée par Rosemauve, soulevait la +tête pour vòîr les vîts. -- Laquelle enconnéz-vous, me dit mon +vigoureux Secretaire: Laquelle enconnéz-vous de la voluptieuse +Conquette, de moi, ou de la pucelle Tendrelys-? J'hésitaîs +pour ma reponse, lorsque tout-a-coup j'entendis ma Fille +s'écrier faiblemt: "Le vît! le vît"? Traìtdamour se précipita +sous elle, la prit sur son dós, me la présentant oscillante: -- +Enconnéz, me dit-il, la Fouteuse fait beau con-... J'enfonçae. +Je bandaìs si ròide, que je la fis crîer en la perforant. Maîs +elle foutit aussitôt, en me disant: -- Bon... (haussant le +cùl), bon!... Hâ! que tu bandes bién!.... Fous... fou---- +fourgonne... Fou---fourage, chër Pap.. je dech----a----a---- +(Traìtdamour la secouait) arge-... Je dechargeaîs aussi. Son +delicîeux Connin me pinçait. La Deesse m'enivrait. Traìtdamour +la fesait osciller, comme le Corax de PETRONE son Maître +Eumolpe... Cependant Brisemote avait mis sur son dos Rosemauve +nue, que foutait Cordabóyau sans chemîse: Les 2 petites +Enragées Mînone & Connette nues comme la maîn, venaîent de +mettre Tendrelys nue comme elles, & la tenaîent entr'elles, se +frotant le côn sur ses cuisses d'albâtre, en lui chatouillant +l'Une la mòte, l'Autre le trou du cùl: Elles dechargérent +Toutes-trôîs avec les 2 Foutûes: "Grand-Dieu! s'écîa la jolîe +Chapelîére, comme vous savéz être heureux"! + + + + +XLI Chapitre. + +Chap. Vit inatendu. + + +En ce moment, l'On entendit frapper des maîns à la porte. +(C'était un signal que j'avaîs donné.) J'avaîs deconné; j'alaí +ouvrir. C'était le Cyclope. Il ne devait pas entrer: maîs il +me poussa Un Homme qui avait les îeux bandés & les maîns lîées +derrière le dôs. Il était couvert d'un grand surtout de laine +blanche, sous lequel îl était nú sans chemîse. Je le prîs par +le corps: je le poussaí vërs le Foutòîr à Fronsac, sur lequel +Traìtdamour jeta sa Soeur; On le monta, & dês que l'Enfant fut +prîse, On fit tomber sur elle, en lúi arrachant son +couvretout, l'Inconnu que je venaîs d'intrôdúire. Quand il fut +nú, son grôs Vît épouvanta tout le Monde, & il se fit Un Hâ! +universel. Conquette le reconnut, & pâlit. (Observéz que Tous +pouvaîent parler, excepté Conquette & Môi). Minone (la +Traquenardée), fut la seule que ce Vît, qui ne le cedait qu'à +Foutamort, n'effráya pas. Elle le saisit courageusement, & lui +mit la tête entre les lêvres de son Côn, en lúi dîsant: -- +Pousse, Bougre-. Il estocada, comme un Beliér de siége. Maîs +il ne penetrait pas. -- Soulève du cùl, Pútain! lúi dit le +Brutal; je suîs trop-haut-. Minone souleva. Le Vît trouva +l'ouvertúre; & quôîqu'elle ne fût que la môîtié de qu'il lùi +falait, il la força. Minone souffrait le martyre. La sueur & +les larmes sillonnaîent ses joues. Enfin, le grós Vît, parvenú +au fond, injecta son baume-de-vîe, & adoucit, en les onctuant, +les paròîs dilacerés: Mînone qui venait de clamer de douleur, +s'exclama de plaîsir: -- Hâh! hâh!.. il m'inonde!... je fous... +je decharge... je me pâme-! Et la jolîe Petite remuait du cùl +comme Une Garse, foutue par Un Moine au bordel. + +Nous étions dabord tous stupefaits d'admiration! Puîs nous +bandames tous comme des Enragés. Brîsemote le mit en levrette +à Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traìtdamour +consulta mes îeux, en me designant Conquette ou Tendrelys: je +permis la Ire, ajoutant fort-bas: -- Il fout ta Soeur; fous-mòi +sa Femme. -- C'est Vîtnègre-! Et îl se jeta comme Un Fúrieux +sur l'Epouse du Jeanfoutre, si brutalemt enconnée, qu'elle en +crîa... Maîs elle dechargea presqu'aussitôt: ce qui changea sa +douleur en plaîsir. "Toute Femme qui decharge comme ça, +balbúcîait Traìtdamour, en la fourgonnant, est bonne; il n'y a +que Celles qui ne dechargent jamaîs, qui sont mechantes-. + +Cependant Vîtnègre refoutait, sans deconner, & Mînone +redechargeait: Rosemauve hennissait sous Brîsemote; Conette +sous Cordaboyau; Tendrelys émue, appúyée sur mon épaule, me +présentait sa jolîe bouche, & Conquette martyrisée par +Traìtdamour, pleurant, cùletant, émettant, crîotant de doleur +& de volúpté, envîait encore les tòurmens de Mînone. Son +Fouteùr me crîa: -- Sacre-Dieu! pomadéz donc,... & depúceléz-mòî... +cette Garse de Tendrelys-? L'aîmable Enfant me lança Un +lông regard, en se mettant la maîn devant le Còn, comme pour +le deffendre. Nous avîons-là du beûrre-fraîs; j'onctúaí le +Connîn, renversae la Vîerge sur Un Foutòîr, malgré ses tendre +prîères, & mon vít pénetra. -- Aumoîns, me dîsait-elle, en le +sentant entrer, vous ne me lîvreréz pas au Bourreau de Mînone, +nî à ces au----tres-là? ---- Remue du cùl, Bougresse! lúi crîa +l'împitòyable Traìtdamour. Est-ce comme ça qu'On fout? Regarde +ma Belle, & ces... 3 autres ---- Garses?... Tiéns, ---- Putaîn +---- pucelle, ---- nous de----char----geons! ---- La pauvre +Petite, à cette exhortatîon énergique, gigota sous mòî comme +elle put. Je pénetraîs doucemt; je caressaîs, dardotant la +langue, dîsotant des tendresses... ---- Vous la menéz tróp +bellemt, s'écrîa Traìtdamour, fouragéz cómme mói, ou cómme ce +Côcú, que voila sur le Fauteuil?... Tenéz? il mord les Tetôns +qu'il ne saurait patiner?.. Ne va pas lúî faire trop de mal, +Bougre! c'est ---- ma Soeur, & ---- je t'assommeraîs.... Je de---- +charge..... ---- Hâ! qu'il me devôre, s'écrîa Mînone; pourvû +qu'il ---- me foute!.... Je decha----arge-.... "Je fous..? je +décha----arge! s'écrîa Rosemauve. ---- Je dechârge!... crîa +Conette. ---- Hâhahah-! fit Conquette... Pour Tendrelys, dont +j'ateignaîs le fond du Connin, elle dít: ---- Ze suîs +depúcelée! ze deçarze!... Que dìra Maman? ---- Elle ne le verra +pas, jolîe Fouteuse: Le vit de mon Maître conserve les +púcelages (crîa Traitdam.) + +En ce moment, Vîtnègre deconna Mînone trop fatiguée. On lúi +pomada Rosemauve, que Brîsemote deconnait (car les tourmens de +la courageuse Mînoue avaîent épouvanté toutes nos Bellles. Le +Vît de Mulet l'enconna plüs vîte; maîs elle n'en souffrit pas +moîns: Elle pleura, sanglota, & enfin... dechargea.... Elle +fut ramonée 3-foîs sans deconner. Mînone l'avait été quatre. + +C'était le tour de Conète. Elle fut pomadée avec plüs de soin +que Rosemauve; & cependant elle jeta les hauts-crîs: Si elle +n'avait pas été sur le Fronsac, elle aurait desarçonné son +Bourreau.... Elle dechargea enfin, & les plaîsirs succedèrent. +Maîs On ne s'attendait pas à l'effet qu'ils produisîrent! + +C'est que Mad. Poilsoyeux eüt envîe du gros Vît de son Mari. +Elle demanda tout-bas et voulàit qu'On la mît sur le Fronsac, +aumoment où Vîtnègre deconna la Conète, quoique Celle-ci eût +le Con aussi barbouillé de sang que de foutre. Maîs +Traìtdamout la hâpant, la renversant & l'enconnant, lui dit +tout-bas: ---- Garse! je suîs jaloux de toî pour mon Maître & +pour moî: je t'étrangleraîs plütôt, que de te laîsser foutre +par ton Cocù de Mari en ma présence. -- Pardon! Vît dívin! +leurs douleurs m'ont tentée! Fourgonne-moi, à m'en ôter +l'envie? Car je ne compte plus que sur toi: voila M. Lingüet +qui donne son fou----outre... je decha----arge.... à la ---- +sacrée Ma----âtine... de Teudrelys... -- Hâ! Reîne des Pútaîns, +tu es jalouse! Tiéns, tiéns, voila des coups de Vît dans ton +Connin-dieu... Hah!... hah!... ze redeza----arze-! murmura-t-elle... + +Cependant, que fesait Vîtnègre? Il prenait du repos & quelques +liqueûrs brûlantes, tout en patinant les Tetons de ses 3 +Foutües, qui le branlaîent pour s'amuser. Tout-à-coup Mlle +Lîngüet dit à son Foutant: "Maîs ce Bougre est Un-autre Guae? +il faut qu'il me restaure? Qu'On lui lave bién le Vît à l'ëau-rose; +je veux le teter, comme fesait Mad. Guae le gros Vît de +son Mari-? Nous ne pouvions nous refuser à Une proposition +aussi raîsonnable. On lava le Vît monstrüeux; 2 des 3 Garses +soutinrent Vîtnègre de chaque côté, en lúi livrant leurs +Tetons; Rosemauve lúi chatoüilla les covilles & le trou du +cùl; Traìtd'amour se coucha par-terre sur le dos sous ma Fille +à genoux qu'il enconna; Mlle Lîngüet baisa 5-à-6-foîs le gros +Vit, tout en ripostant aux saccades de son Fouteûr: Prête à +decharger, elle emboucha, fesant aler & venir l'énorme Wit du +bord de ses lêvres de corail, au fond de son gosiér satiné. En +dechargeant, elle mordit... Telle la voluptüeuse Femelle du +Serpent-Geant écrase dans sa gueule, la tête de son Mâle trop +amoureux... Vitnègre mordú se recria de volupté! Il émit Un +torrent, quoiqu'il eût deja foutú 9 coups, & Mlle Lingüet fut +inondée de foutre au même instant dans la bouche & dans le +con... Elle voulut teter 3-foîs Vitnègre, que les 3 Garses qui +le chatoüillaîent, secouaîent tellemt, qu'il rebandait +aussitôt. Dailleurs, il s'écriait à tout-momt: -- Ma Femme +n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le sens au +veloûté de son palaîs-?... Et cette idée le fesait decharger à +flots... Mlle Lingüet fut obligée de cesser ce jeù, dans +lequel On voulait faire expirer Vitnègre; maîs Mlle Conquette-Lingüet +avait sucé le double Wit avec tant de fureùr, qu'elle +avait la bouche tout en feù... On obligea Winègre d'encùler +ses 3 Foutües; ce qui lui fit 15 copieuses decharges, parceque +les Belles de-relaîs lui manipulaîent impitoyablemt les +covilles.. Les excessives douleurs de l'encùlage n'en +effráyérent Auqu'Une; aucontraire, les tourmens de la Patiente +excitaîent leur passion, & elles la pinçaîent; pour la forcer +à s'agiter, & à faciliter ainsi l'intromission du gros Wit +dans son cùl. + +Vitnégre n'en pouvait plus. Ce fut précisémt ce qui excita +Mlle Lingüet: Elle exigea de nous qu'il dechargeât Une 16me +fois, & que ce fût dans son cùl, à elle? Traìtdamour se vit +obligé de ceder. On manipula Vitnègre, On lúi chatoüilla les +covilles; On l'assura qu'il alait encùler Mlle Lingüet sa +Femme. A ne nom, il érectionna. On lui fit sucer les Tetons de +Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt +On coucha l'Encùlande sur le ventre; On lui beûrra la rosette, +puîs le rectom avec Une grosse canule; Tendrelys prit +délicatemt le gros Wit avec ses doîgts de rose; pour le +diriger dans l'anùss, tandis-que Minone & Conéte écartaîent +chaqu'Une Une Fesse: Rosemauve, prête à manipuler les +covilles, fráyait avec son doîgt beûré l'entrée du Wit-monstre +dans le cùl de la Patiente... Enfin, il penetra, en +dechirant... Mad. Vitnègre poussait des cris sourds, que son +Mari crut reconnaître. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. +Alors l'Encùlée jeta Un cri,... qui logea le Monstre +tout-entiér dans son gros-boyau.... Vitnègre ne doutant presque +plus, y fourgonnait avec rage.. Il ne decùla pas après +avoir-dechargé; Rosemauve lui chatoüillait les couilles, l'anùs, & +s'appûyant du con sur son cùl, foutait avec lui, en poussant à +chaque-foîs... Vitnègre dechargea 3-ondées de foutre dans les +boyaux de sa Femme; ce qui fesait 18 pour la seance. Il tomba +en faiblesse à la dernière... + +On le tîra du cûl de Mlle Lingüet, qui ala se le mettre dans +l'eau-fraîche, pour se le raffermir. On jeta Vitnégre dans Une +aûge d'eau-de-puîts qui était dans la cour, pour lui faire +reprendre ses sens: Le Cyclope parut. On porta Vitnègre dans +son Fiacre. Il le le remena. -- Saís-tu quî j'aí foutu (lui +dîsait-il en route), dans ton sacré Fronsac?..... Ah! comme +elle fout!... Elle a bién appris, depuîs qu'elle m'a +quitté!... Je l'aí foutúe 16-foîs, tant en con, qu'en bouche & +eu cûl-... Le Serruriér, après avoir remis Vitnègre à sa +Filleule, s'évada. + +Vitnêgre rencontra le Serruriér quelques moîs aprês. -- Veux-tu +m'y remener? lui dit-il. -- C'est l'impossible, répondit le +Cyclope; tout est disparu. -- Ah! la Garse! si je la retenaîs, +je passeraîs le reste de ma vîe dans son cûl & dans son con-. +Ainsi finit cette Aventúre. + + + + +XLII Chapitre. + +Chap. La Jalousie de deux Connins. + + +Nous restions tous sept émerveillés des 16 +enconnades-embouchades-enculades de Vitnègre! quand Traîtdamour regardant +la jolie Chapelière, nüe comme toutes les Autres, lui dit: -- +Te voila depucelée, Mignone, & mon divin Maître a cueilli ta +rose? C'est Un grand honneur & bonheur à toi & à moi! Je te +regarde à-présent comme les Devôts regardent leur +Vierge-Marîe, qui, foutûe par l'Ange-Gabriël, puîs par le +Saintesprit, dont elle fut la Pûtain, n'en était que plûs +vierge: Te voila consacree au vit de mon Maître; conserve-lui +religieusemt ton Connin, ou ne le prête qu'avec sa +permission... A-présent, celeste Mignone, votre jolie Mote va +être savonnée & rasée-? Tendrelys objecta sa Mère, qui toutes +les nuits lui visitait le Con, pour voir si l'On ne touchait +pas à son pucelage, deja vendu, & qu'On devait biéntôt livrer. +-- Je m'en-fous, Deesse, repondit Traìtdamour, en me voyant +monter le Fronsac; On lui dira tout-. Et il la poussa sur le +Fauteuil, qui l'étreignit. Il la savonna, & prépara son +rasoir. + +En ce moment, artiva Mlle Conquette-Ingenue-Lingüet, qui +venait de se laver le cùl à l'eau-de-puîts, pour se le +raffermir. -- On va donc aussi raser le con de Mlle? (dit-elle +avéc un-peu d'humeur). -- Ah! ma belle Deesse! empêchéz-en, +à-cause de Maman, qui ne saura ce que ça veut dire? s'écria +Tendrelys suppliante, en lui baisant une main, qu'elle était +parvenue à saisir. -- Non, Mlle, je ne m'y opposeraí pas! +Votre con rasé laessera mieux voir à votre Maman que mon +Infidèle vous a deflorée... Nous verrons aussi, aprês qu'On +lui aura enlevé cette charmante perruque, si votre Bijou, +Mlle, l'emporte sur le mién, tout fatigué qu'il est? -- Ah! +mon adorable Amie! il n'est pas besoin de cela: Rién ne vous +égale. -- Alons, Mr, raséz donc? Et je crois bién qu'aprês, +mon infidèle Amant qui a depucelé cette jolie conque, vous +permettra bién de vous y loger-? Traîtdamour tout en coupant +la belle Toison-d'Or, représentait à Conquette-Ingénue, que +tous les Pucelages m'étaient devolus, & que j'étais obligé en +conscience de les prendre, sous peine de mortifier la +Neophite. Conquette ne savait que repondre: mais elle bouda. +Je m'approchaí d'elle, & comme elle était nue, je lui baisaí +les Tetons, & lui mit mon vit en main. -- Vous aimeriéz mieux +qu'il fût entre les jolis doigts de Tendrelys! -- Non: Persone +ne me faît bander comme vous; mais aprês vous, Tendrelys. On +lui rase la Mote; il le faut bién, pour comparer vos Cons +celestes, abstraction faite de la fatigue du vôtre. On les +gamahuchera dabord: Ensuite je verraí auquel des 2 mon +Vit-Sultan donnera le mouchoir: Le mieux rempucelé l'obtiéndra. + +Mlle Conquète fit une petite grimace de Jolie-femme sûre +d'elle-même, & se tût. Le Rasemote acheva. Le Connin de +Tendrelys fut lavé à l'eau-rose; Mlle Lingüet fit rafraîchir +le sién, & les deux Cons furent comparés... Ils furent +desinteressémt trouvés égaux. Ce qui était bién donner la +supériorité au Conin de la belle Conquète, deja tant foutüe... +Ce fut l'avis general. Rosemauve, Minone vinrent se comparer. +Mais leurs Cons étaient loin d avoir cette physionomie +virginale de ceux de ma Fille & de Tendrelys. -- Vos Cons sont +aimables (leur dit Traîtdamour), cent-fois audessus des +Conasses de Putains; mais ils ne peuvent se comparer à ces 2 +Connins de Houris-. Conquette se pavana. Mais genereuse comme +elle l'était, elle prit vîte son parti. -- Puisque nos Cons +sont égaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche, +lui patinant le Con, redépuceléz la, & que votre Lieutenant me +refoute, s'il en a la force-. Elle n'avait pas achevé la +derniére sillabe, qu'elle était enconnée. -- Fous-la! me +cria-t-elle, fous la Garse-! J'enfilaí la jolie Nymphe... Mais +prête à decharger, Mlle Conquéte-Ingenuë entra en fureur +érotique (& je compris par-là comment les Héros de Dsds, +sur-le-point d'émettre, deviénnent cruëls), l'Enconnée s'écriait: +-- Foutéz-moi tous cette Putain de Tendrelys!... Brisemote! ne +fais qu'un trou de son cùl & de son con-!... Elle dechargea; & +un-peu calméé, elle se mit à dire: -- Pardon! pardon, ma +petite Soeur!... c'est le foutre.. qui me portait à la tête, & +me rendait cruelle!... Qu'On lui conserve son joli con... +toujours pucel,... pour les plaisirs de mon... Papa- +fouteur;... c'est bién asséz.. du mién qui est... +martyrisé!... Alons pousse... fous... ne me ménage plus! +(dit-elle à son Bourreau)..... Et elle se mit à coupdecùler plûs +fort que jamais. Ce qui fit re-enconner Rosemauve & Conète, +dont les cùls étaient moins malades que celui de Minone: Cette +bonne Soeur de Traîtdamour vint me chatouiller les covilles, & +j'émis. + + + + +XLIII Chapitre. + +Chap. Minone et Conette jadis depucelées: Vieille. + + +Cette scène achevée, il y eút du répos. Nous avions legèremt +dîné, exprês pour faire colation. Nous mangeames des fraîses +au vin-muscat, avec des pains-mólets du Pont-Michel: Puis nous +primes d'excellent café, fait par Traîtdamour, & nous goûtames +aux liqueurs. Ensuite, nous jasames... -- Mon Ami (me dit +Conquète-Ingenue, en montrant Minone & Conète), vous avéz eú +ces 2 jolies Compagnes, ainsi que Rosemauve, & vous venéz de +depuceler Tendrelys sous nos ieux: Faites-nous le recit de +votre première-fois, & dites-nous coment vous les avéz +seduites? -- Ah! oui, oui? s'écriérent Tendrelys, Rosemauve, & +tout le Monde. -- Je feraí ce recit très-volontiéts; mais +à-condition qu'On ira chercher Mad. Brideconin notre hôtesse, +pour qu'elle y assiste: Nous comencerons à l'apprivoiser +par-là-? Mes 3 Sacripands, pour quî elle était un Morceau nouveau, +ne demandérent pas mieux: Ils l'enlevérent à son Mari, qui en +ce moment, lui tenait les tetons; sans même daigner lui +repondre, l'assirent à-cru sur les mains jointes de deux, +tandis que le 3me la soutenait par-derrière, & l'apportérent +ainsi moitié troussée & detetonnée. On la pósa sur le Fronsac, +& si je n'en avais empêché, On lui fesait une históire, aulieu +d'écouter la miénne. Lórsque tout fut tranquille, je +commençaí: + +-- Je m'étais mis en pension chéz la Bellemère de Traìtdamour, +blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma Femme courait la +Provînce avec un Galant; le même qui la foutait avec tant de +passion, qu'il se mettait dans sa chemise, pour la palper & +l'enconner mieux. Traìtdamour m'apportait á dînér les +jours-ouvrables; maîs j'alais dîner à la maison de la bonne +Mère-Wallon les Dimanches & Fêtes. Un-jour, que nous y alìons +ensemble, il me pria de montrer à écrire à sa petite Soeur? Je +le voulus bién. En montrant à Minone, J'avais souvent sous les +ieux ses tetons naissans, blancs come lys... [-- Faites entrer +mon Mari; je suis bién-aise qu'il ait sa part de cette +histoire-là-? interrompit la Brideconin. Aussitôt Traitdamour, +sur un signe de mes ieux, l'ala chercher; tandis que sur +un-autre signe, Brisemote & Cordaboyau prirent l'Un la mote, +l'Autre les tetons de la Dame. Elle était ainsi ráyonnante +entre 2 Mâles, quand son Mari parut. Brideconin fut dabord +ébaubi: puis il n'en fit ni un ni deux, il ala s'emparer du +con de Rosemauve, & des tetons de Conette; Traitdamour prit le +con & les tetons de sa Soeur: Quant à moi, je fis asseoir +Conquette & Tendrelys l'Une sur l'Autre entre mes jambes, +laissant de-temps-en-temps tomber mes mains sur la gorge de ma +Fille, oú de sa jolie Rivale... Je repris:] + +"Je dis à Traitdamour, en-particuliér: -- Il ne faut plus que +je montre à la Petite; elle me fait tròp bander, & je la +foutrais au Ier jour. -- Ah! mon chër Maître! quel bonhr pour +elle & pour moi, si vous la depuceliéz! La pauvre Orpheline! +elle n'a aucun plaîsir! (c'est que leur Mère était morte, & +que le Père, remarié à une Bonne-amie de feue son Epouse, à +l'instante prière de Celle-ci, avait mourant lui-même, laissé +pour bellemère aux 2 Orphelins la Bonne-amie de leur tendre +Mère). Je repondis, Que cela était bién difficil!... que la +petite Soeur parlerait. -- Non, je vous en repous: Minone a deja +des desirs pour vous. Elle m'a dit, qu'elle aimait bién quand +vous lui tonchiéz le Chose par-dessus la jupe- Ce discours +m'enhardit. + +Un-Dimanche que j'étais seul avec Minone, à la faire écrire, +je ne pus résister à l'envie de lui baiser sa jolie bouche; +puis un tetin; & de-là má main descendit rapidemt à son +Connichon sans pòil. J'éprouvaí une érection terrible! Mon vit +me gênait. Je me deboutonnaí. Il s'élança audehors. -- Qu'est-ce +que c'est que ça? me dit la Petite. -- Un vit, mon Enfant. -- +A quoi cela sert-il? -- A mettre dans un Con. -- Mais j'aí un +Connin, à ce que dit mon Frère, & ma Bellemère a une Connasse. +Depuis qu'il est grand, & qu'il a ce qu'il nomme du Foutre, il +met son engin dans la Connasse de ma Bellemère, que ça fait +tremousser & crioter... Il a voulu me le fourrer, à moi: mais +j'ai le conin trop étroit, ou il a l'engin trop gros: jamais +il n'a pu... Ma Bellemère l'a surpris, & elle l'a bién grondé! +Il lui a dit: -- Alons, foutéz-nous la paix: venéz que je vous +enconne, vieille Truande: car je ne saurais m'en passer, en ce +moment-. Et elle s'est aussitôt renversée sur son lit, en se +troussant; il l'a, ce qu'il appelle foutue... Hô! comme elle +gigotait! comme elle jurait des B. & des F. comme elle était +contente!... Et il me disait: -- Voi, Minone, comme c'est bon! +Comme la vieille Garse se deméne, en supant le bâton de +sucre-d'orge... Montre-moi ton petit connin, que je decharge à ton +intension-..... + +Ce recit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je +demandaí à la Petite, S'il y avait du beurre à la maison? Elle +m'en donna. J'alais la beurrer, quand la Bellemère, bonne-femme +au possible, rentra, áyant oublié son éventail. Elle vit +mon trouble, & la rougeur de la Petite. Elle me dit: -- Gage +que vous alez la tourmenter?... Ça n'est pas mûre. Venéz-. La +Vieille m'entraîna sur le piéd de son lit, se troussa, me tira +sur elle, & m'engloutit, malgré ma defense..... Pour sauver le +pucelage de sa Bellefille, elle me retint une heure à +conâiller. Je ne dechargeaí cependant qu'une-fois, contre la +Vieile une dizaine; car je m'aperçus qu'elle m'aimait. Ensuite +elle s'en-ala, sans laver, en disant? -- J'en marche mieux, la +charnière graissée-. + +Dès qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout +vu, à la fenêtre: je la troussaí audessus des reins; je lui +beurraí le connin, & je rebandaí roide. Je dis à la Petite, en +la commençant, de se cambrer la tâille, pour mettre son petit +trou bién à la portée du vit qui l'alait percer? Elle le +présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l'aîde des +douloureuses oscillations de son joli cùl, & parceque la +decharge était retardée par le degoût que m'avait causé le Con +gris de la Vieille, je parvins en levrette jusques au fond; +car je sentis sa celeste petite matrice me pincer... L'Enfant +s'agitait par mes ordres, mais sans décharger. + +Son Frére arriva dans ce moment. Il fut transporté de joie... +-- Ah! vous la depuceléz! quel honneur & quel bonheur, pour +elle & pour moi!... Decharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma +petite Soeur? -- Elle ne decharge pas (repondis-je), la chère +Mignone; elle souffre: mais c'est avec un courage!.. Voi ce +tortillonnemt de croupion-... Traitdàmour touché, glissa une +main sous le ventre de la Petite, & lui chatouilla le haut de +la fente de sa motinette imberbe... Les ieux de l'Enfant se +vîtrèrent; elle se roidit. & tournant sa j lie bouche de mon +côté, elle me darda sa petite langue, déchargea pour la Ire_ +fois, & se pâma... Je déchargeaí comme elle: je n'avais jamais +eú tant de plaisir... + +Quand j eús deconné, son Frère me demanda, Si j'en étais +jalous? -- Oui, de tout Autre que de toi -- Hé-bien, votre +foutre va servir de pomade à son joli conichet-. Cependant +Minone voulut pisser. Son Frère la renversa sur le dos, au pi +d du lit, & l'enconna vìgoureusemt, malgré la grosseur de son +Membre. La Petite cria. -- Remue du cùl, & decharge avec +delices, pauvre Orpheline, lui disait-il, en la saccadant; tu +es enconée avec amour-. La Petite dechargea 3-fois; mais elle +n'en pouvait plus... Il me lava, & je la re-enconnaí... J'eús +encore plûs de plaisir, parceque la Petite avait aquis de +l'usage, & que le gros Vit de son Frère avait fráyé la +route... Depuis ce jour-là, nous foutimes Minone tous les +Dimanches & Fêtes. La Bellemère s'en-aperçut pour moi; mais +elle ne dit mot. + +Enfin un-jour Traitdamour me demanda, Si je voudrais aussi +montrer à écrire à Conète, sa Maîtresse pour le mariage, +depuis que la Mère de Tendrelys, qui craignait un depucelemt, +lui avait absolumt ôté toute esperance. -- Soit (lui repondis-je). +Je montraí donc à Conète. Aubout de 2 mois, cette +Jeunefille étant un-jour à la fenêtre, fort panchée en-dehors, +& montrant une jambe fine, que mes ieux devoraient, Minone qui +prenaìt son exemple d'écriture, le remarqua. Je lui tenais les +tetins, & la priais de me prendre les couilles. Elle me +quitte; va vers Connète; lui dít tout-bas, -- Laisse-toi +faire- .... La trousse; me mène sur elle; lui beurre le con & à moi +le vit; lui dit: -- Cambre-toi, ma Fille-... Et à moi: -- +Enfiléz jùste; vous voila dedans-... Conète se cambra, & +suivit toutes les indications de son Amie: Desorte que quoique +la Púcelle fût très-étroite, je penetrais. Traitdamour arriva. +Il nous fit ôter de la fenêtre; se coucha sur le ventre au +piéd du lit; fit étendre sa Maîtresse sur son dos, cùl sur +cùl: Il me dit d'enconner, le vit dirigé par la màin de sa +Soeur; et á chaque sacade que je donnais, il me repoussait d'un +coup de son cùl le con de sa Maîtresse, à me faire avancer +d'un pouce. Conète éprouvait des souffrances inouïes.... Mais +étant parvenu au fond, par un violent coup-de-croupion de +Traitdamour, qui ne donna plus que de petits coups de +trot-de-cheval, Conète clignota de l'euil, et biéntôt émit avec +d'ineffables delices..... + +Je croyais que Traitdamour alait se jeter sur elle et +l'enconner tout-chaud? -- Non, me dit-il; c'est ma Future: si +j'avais le bonheur qu'elle me fît un Petit de vous, cela +ennoblirait ma Race-. Et il foutit sa Soeur, pendant que je +refoutais sa Maîtresse. Aussi depuis aí-je partagé avec lui Ce +que j'avais de plüs précieux-. + + + + +XLIV Chapitre. + +Chap. Du Bouquet de Fouterie. + + +Il le merite! Il le merite! (s'écrièrent tous les Hommes, et +surtout Brideconin, qui patinait à 2 mains le Con de +Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'Un +le Con, l'Autre les tetons de sa Femme... Mon Recit fesait +bander tous mes Droles comme des Carmes, malgré les fatigues +de la journée. Les Belles, même Celles éconnées par Vìtnègre, +étaient en rut. -- Comme vous avéz su les rendre aimables! (me +dit Conquette, en me dardant sa langue). -- Ah-oui! (ajouta +Tendrelys, en me baisant de-même).... En cet instant, Mad. +Brideconnin était tiraîllée par Brisemote et Cordaboyau, qui +tous-2 la voulaient enfiler à-la-fóis. -- Je n'aí qu'un chose, +mes chërs Amis! si j'en avais 2, ils seraient bién à votre +service; mais l'Un après l'Autre-... Elle fut empallée par +tous-2, Cordaboyau en con, Brisemote en cùl. Brideconnin +s'écrie: -- On enconne, On encule ma Femme! Moi, je fous +Celle-ci-. Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le +plüs furieux des Ribauds, saisit Conquette: Je crus qu'il +l'alait enconer. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur +son vit, tenue par-dessous les bras par Conête et Minone; elle +se baissait avec lenteur sur le Vit bandant dirigé par la main +de Tendrelys, Conquète s'enculant ainsi elle-même par le seul +poids de son beau Corps. Lorsque le gros Vit fut enfoncé +jusqu'à la garde, Traitdamour me dit: -- Alons! le plüs beau +des cons vous appelle-.... Je me précipitaí dans le bijou de +ma Fille, la jolie Tendrelys me dirigeant le vit. Mad. +Brideconnin, putaîn comme Persone, puisqu'à cet instant, On +lui bourrait les 2 trous, fit 3 signes-de-croix. On luí +demanda, Ce qu'elle avait: -- On me fout devant mon Mari; mais +je suis sur le Fauteuil à ressort, qui m'empêche de me +defendre: Mon Mari voyant que je le fais coquú, me fait +coquète; c'est dans l'ordre: Mais notre Maître, fout,... +enconne sa Fille enculée! -- Sa fille?... sa fille-!... +(s'écria-t-On 5-fois). -- Oui, sa Fille (balbucia Rosemauve, +qui dechargeait sous Brideconnin): Aprês?... -- Ah! dirent les +4 Fouteurs et les 4 Fouteuses, ceci nous met en rage de +vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'à extinction +de forces-. Et les Enconeurs, les Enconnées; les Enculeurs, +les Enculées, s'agitaient à quî mieux, dessus, dessous, comme +des Diables & des Diablesses dans un benîtiér. Tendrelys me +chatouillait les couilles & celles de Traìtdamour; Minone +celles de Brisemote et de Cordaboyau; Conète celles de +Brideconnin, et fourráit son index dans le trou du cùl de +Rosemauve. Le Fouteur qui n'était pas accoutumé à ce rafinemt, +se recriait de volupté: -- Ah que vous foutéz bién ici! +(disait-il en dechargeant); On ne fait que connailler +ailleurs. -- Oh! vous anéz bién raison, mon Mari? (lui repondit +sa Femme en dechargeant aussi), onc je ne fus ramonée comme je +le suis en ce moment, par les deux Vits qui Vous plantent +chacun une corne, l'Vn dans mon con, l'Autre dans mon cul-. + +Conquète remarquant que j'alais mieux, lorsque Tendrelys me +chatouillait les couilles, l'en remercia tendremt: -- Chère +Amie?... ma main en fera... autant à ton Fouteur,... quand tu +seras enconnée... Et Vous, ma chère Hotesse, Vous êtes donc +bién foutue-?... Ce joli mot, foutue, avait tant de grâces +dans la belle bouche de Conquète, que je l'alais refourgonner, +si Traitdamour, qui la deculait et qui alait laver, ne m'avait +pas prié instanment de la lui laisser enconner... Mais j'étais +trop ému pour rester spectateur; j'ordonnaí à Tendrelys de me +faire beau con? Minone et Conète la renversèrent sur le dos et +lui écartèrent les cuisses. Ma Fille, avant d'être enconnée +par son Fouteur, voulut inserer mon vit; elle baisa la +Patiente sur la bouche, en lui disant: -- Tendrelys! remue du +cul, et donne bién du plaisir à mon Père-! Et comme elle avait +remarqué que le mot foutue, m'avait fait beaucoup +d'impression, dans sa bouche, elle s'écria, tout en secondant +son Enconneur: -- Fou...ou... outre!..... Sacré Vit!... +perce-moi... dechire-moi le conot!... mon Père! poignarde... +estropie ta Tendrelys!... ze decha... arge-!........... Ah! +cette Femme si modeste, s'écria la Bridecononin, comme elle +fout-!... Ce fut le Bouquet. On ala souper. + + + + +XLV Chapitre. + +Soupér d'Adieux; Graces que dit Mad. Vitnegre. + + +On soupa. Les tetons étaient couverts; les propos furent +decens..... -- Mais, me dìt Minone, On dit que vous avéz-eú 8 +jolies Femmes connues, et On les nomme? -- Hôh! Interrompit +Conquète, ne faites plus lire de ces Histoires-là: La journée +de volupté est finie, et nous sommes à-présent des Persones +ordinaires. -- Il faut donc les remettre, repondit Traitdamour, +pour une interruption de seance-. + +Comme on se disposait à sortir, et qu'il n'y avait plus de +dangér de nous faire bandocher, On me pria d'exiger que nos 6 +Cons et nos 12 Tetons fussent mis à l'air, et baisés à +discrétion pour les Adieux? J'y consentis. Aussitôt Conquète, +Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conète et La-Brideconin, furent +defichutées, troussées et renversées sur les foutoirs par les +4 Dernières, qui se defichutèrent, se troussèrent et se +renversèrent elles-mêmes. On leur lecha le Con; Les 5 Hommes +sucérent les 12 Tetons: Les Belles prirent, décalotérent et +baisérent les 5 Vits, embouchérent seulemt le mién, en disant: +Vit incomparable..... adieu... pour Huit jours... + +On alait sortir, quand On vit la belle Epouse de Vitnègre se +prosterner toute detetonnée, en s'écriant: + +"Sainte & jolíe Vierge MARIE; que PANTHERE, branlait, +gamahuchait, enculait, entetonnait, embouchait, & qu'il +enconna enfin une nuit, à-côté du Cornard endormi le bon S. +Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jesus, ce bon fouteur +de la Putain publique la belle Madelene, Marquise de Bethanie, +dont le vagabond JESUS était en-outre le souteneur, autrement +le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte Garse, +enculait encore S. Jean son giton: S.te & jolie MARIE, Vierge +comme moi, nous vous remercions de cette heureuse journée de +fouterie. Faites-nous la grâce, par les merites de votre Fils, +d'en avoir une pareille Dimanche-prochain!.... Et vous, Sainte +MADELENE, que foutait l'Abbé JESUS, ainsi que Jean l'enculé, +Obtenéz-moi la grâce de foutre autant que vous, soit en con, +soit en cul, 15 ou 20 fois par jour, sans être épuisée, mais +toujours dechargeant...... Vous foutiéz avec des Pharisiens, +avec Herode, & même avec Ponce-Pilate, pour avoir de-quoi +nourrir le gourgandin JESUS, votre greluchon, & les Vagabonds +qui lui servaient de Chouans: Obtenéz-moi de votre Maquereau +JESUS, qui étant dieu, a sans-doute quelque pouvoir, d'avoir, +sous peu, ce riche Entreteneur, qui est un-jour descendu de +carrosse bandant à mon intension, comme je revenais de chéz +mon Amie Mad. Congrêlé; à-celle-fin, qu'au-moyén de l'argent +que je gâgnerai, à votre imitation, avec mon con, mon cùl, mes +tetons & ma langue dardée, je puisse soulager mon digne Père, +dans sa vieillesse; non-seulement en foutant avec lúi, pour +lúi donner le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la +pieuse Fille d'Eresictton le famelique, ou la pieuse Ocyrhoé, +fille du Centaure Chiròn, qui toutes-deux devinrent cavales, +c'est-à-dire Montures d'Hommes ou saintes Putains!... Modèle +des Maquereaux, doux JESUS! fouteur acharné, Greluchon +complaisant de la brûlante & exemplaire Putain Madelène, qui +était si amoureuse de votre Vit divin & de vos sacrées +Couilles, maintenéz, par votre toutepuissance, mon conin +toujours étroit & satiné, mes tetons toujours fermes, ma peau, +mon cùl, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes +épaules, mon dos ou mes arrière-tetons, toujours blancs, mes +reins toujours élastiques; les Vits de mes Amans, celui de mon +Père compris, toujours roides, leurs couilles toujours +pleines; car vous teniéz en cela du saint Roi David, si fort +suivant le coeur de Dieu, parcequ'il était le premiér fouteur +de son temps!... Faites, ô JESUS! que mes hauts talons, qui me +prêtent tant de grâces, & font bander tant de monde, ne me +donnent jamais de cores aux piéds, mais que ces piéds +tentatifs restent toujours foutatifs, comme ils le sont!... +Amen! -- Amen! s'écria toute la Société, Vits et Cons. + +Tout le monde sortit édifié de la piété éclairée de ma Fille, +et en s'en-alant, on disait: -- Voilà ce qui s'appelle +connaitre la vraie religion, et prier Dieu comme il conviént, +en Lui demandant des choses raisonnables! Hoh! c'est une Fille +exemplaire-! + + + + +XLVI Chapitre. + +Chapitre. Premiere Negociacion du con de ma Fille. + + +Le surlendemain, quand je vis Conquette [que j'avais évitée le +Lundi], je La trouvai coîffée en batant-l'oeil: Ce qui, avec +ses grands ieux à longs cils La rendait charmante... Elle +avait des souliérs de coutil de soie neufs, qu'elle essayait. +Je me jetai à ses genoux, en Lui disant: -- Coquette: Ton piéd +est le mieux-fait possible; mais il est un-peu grand, & ce +soliér bién pointu, ces talons minces, très-élevés, le font +paraître plüs petit de-moitié: Il est divin!.... & je bande... +comme tu vois?.... -- Mon cher Papa: comme je sais à quel point +vous m'àdoréz, j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de +vous la préter pour orner vòtre cheminée... Voici les blancs +d'hiër, avec lesquels j'ai tant été..... ce que vous +savéz....... Voyéz la jolie forme que leur a donnée mon piéd? +Ils sont plûs voluptueux qu'avant d'avoir été mis... Je +flairai avidemt le dedans de ces divins soliers: -- Hah! je +bande! m'écriai-je; Les sacrés-bougres sont embaumés... Je +suis perdu... j'aurai la colique, si je ne t'enconne une +pauvre fois?... Laisseras-tu decharger par-terre ce +Vit-paternel? -- Mon cher Papa, mettéz-vous le cùl & les couilles +dáns cette grande terrine, préparée pour mon cón & mon cùl; +l'eau froide vous ferait debander. C'est mon remède quand j'ai +le còn brûlant-. Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et +je Le fis: Elle cacha ses piéds comme une Dame Espagnole, et +je fus calmé. -- J'en ai fait autant tout-à-l'heure: Timori +vìént de venir: J'étais encore au lit; Il m'a pris les tetons, +puis le còn: La vue de son Vit, qui bandait ròide, m'a fait +impression. Mais mon coeur n'a rién senti. Cependant il voulait +me gamahucher, me priant de le branler après? -- Je ne suis +pas une Putain. -- Tu es bien fròide-? (C'est que reellement +je ne l'aime plus; vous êtes mon amant, cher Père? & +Traìtdamour est votre lieutenant dans mon còn; il est votre +double Vit, & c'est encore Vous qui me foutéz, quand il me +l'enfonce)... J'ai cependant eú des remords de ma dúreté: Je +lui ai saisi le Vit, & me le mettant dans la bouche bién +decaloté, je l'y ai fait decharger, avalant son foutre avec +delices. Ce qui m'a fortifiée. Mon chocolat m'a rincé la +bouche...... Mais revenons. Si Vous vouléz que votre Fille +cherie ait ún plaisir ineffable, caressez-La, quand on La +fout. Langue en bouche, la siénne dans la vôtre... Vous +prenant les couillètes, vous serrant le vit à la poignée, elle +dechargerait au double? -- Hoh! tu es trop adorable... Foutons +un petit coup? -- Je m'étais rafraichi le con: mais tu y remets +le feu, cher Papa, et le foutre seul peut l'éteindre... +Foutons... Enconne ta Fille... Mais va doucemt, que je +decharge plusieurs-fois, tout en te racontant quelque-chose-. + +Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer +lentemt, par de petits coups-de-cul insensibles. La fraîcheur +de l'eau m'avait fait roidir, ét retardait l'émission. Enfin, +elle ne fut plus maîtresse de se retenir; elle coupdecula, +elle saccada, en s'écriant: -- Ze deça--arse-!... Elle resta +ensuite immobile, en me disant: -- J'ai oublié de vous remettre +l'adresse que l'Entreteneur d'avant-hier m'a glissée, pour +l'aler voir, ét... foutre avec Lui... Hah! fourgonne... je +redeçarge... Tu pars... Hah divin Père!... Et elle se mit à +soubresauter, en gigotant, comme jamais ne gigota Fouteuse... +Après une copieuse decharge, elle reprit: -- La voila. Dis-Lui, +ou écris-Lui, Que je ne vais chéz Persone. Et laissez-Lui +votre adresse. -- "Oui, Deesse Fututrix", Lui repondis-je. La +Brideconin nous apporta notre excellent chocolat; et je +partis. + +Aprês les affaires, j'alai chéz le futur Fouteur de ma Fille. +Je Le trouvai: je Lui donnai un mot de Conquette-Ingenue, par +lequel elle Lui marquait, Que s'il avait un mot a repondre, il +pouvait tout dire a son Père... Je fus bién reçu. Le Richard +me dit, Qu'il demandait une Maîtresse aimable, et qui sût +donner, en foutant, bién du plaisir. -- Monsieur (Lui repondis-je), +ma Fille a été mal-mariée; elle peut vous apartenir, +à-condition qu'elle gardera son logement voisin du mién. Vous y +mangeréz, coucheréz avec elle, sans que je m'en mêle. Quant à +la volupté, ét aux mouvemens. du cûl ou des reins, un Mari +libertin ne Lui a donné que de trop douloureuses Leçons... +Mais en vous La livrant, je veux que son sort soit assuré, +qu'il s'améliore même un-peu chaque année... Je vous répons +d'être alors le Gardién de sa fidelité. Dailleurs, elle est +sage: L'assûrance d'un sort independant de son monstre de +Mari, peut seule La déterminer-. Ceci convint fort! et la +decision definitive fut remise après un voyage d'affaires et +d'argent, dont il devait être de-retour dans 8 ou 10 jours. + +Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette-Ingenue. -- Mon +Papa, repondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me sufiréz +vous ét Lui; vous seréz mes deux pères. Je renoncerai même à +votre beau Secrétaire, si vous me promettéz de n'enconner que +Moi? Oû trouveréz-vous un Con qui vaille le mién?... Garde-moi +tout ton foutre, comme tout ton coeur, ô le plûs ribaud des +Papas-? Ie vis qu'elle était jalouse, ét je l'en aimai +avantage. Mais j'étais encore trop libertin, pour me borner à +foutre uniquemt Celle que j'aimais le mieux. + +La Brideconin nous apporta de la limonade. Elle boitait de +naissance, mais d'une maniére voluptueuse. Elle êtait coifée +en cheveux, ét quoique grêlée, três-provoquante. Ie le dis à +ma Fille. Conquète-Ingenue me repondit: -- Dês avant nos +parties, son Mari voulait me le mettre; mais il me deplaît. La +Femme a demandé, depuis qu'ils ont tout vu, á me gamahucher. +Tous-deux m'adorent. Je ne leur avais, jusqu'au boulevari +d'hiër, laissé baîser que mon piéd. Le Mari enconne sa Femme +dês que je le veux. C'est un amusement que je me donnais dans +la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir en vue de +Brideconin, les jupes troussées jusqu'au mollet; il est +tellement excité par ma mi-jambe ét mon piéd, qu'il se jète +sur la Putain, ét la fout tant que je veux; en haussant +toujours un-peu la jupe. Enfin, s'il aperçoit un commencemt de +la cuisse, il heurle de luxure. Un-jour, trop échauffée par ce +que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le découvrant. +Le Fouteur s'est mis â braire, en fourgonnant avec fureur. Il +dechargeait, refourgonnair, ét alait se tuer, quand sa Femme +me regarda.... Elle se hâta de decharger, ét vint me baisser +les jupes. Alors Brideconin épuisé se trouva mal-. A ce recit +de Conquète, je rebandais. Mais je me remis le Vit et les +Couilles dans l'eau, ét bién rafistolé, je sortis sans +finaler. Nous fumes Tous sages le reste de la semaine. + + + + +XLVII Chapitre. + +Chapitre du Rabachages á Faire bandocher. + + +Le Dimanche arrivé, tout notre Monde accourut, à-l'exception +de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, & +d'elle-même: Traîtdamour ne l'avait pas trouvée chéz elle, & +il était déja fâché. Maîs il fut ravi, en entrant avec sa Soeur +& sa Maîtresse, de la voir auprès d'Ingenue, qui lui suçait le +sein decouvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cùl & +le con. Cordaboyau & Brîsemote arrivèrent les derniérs. On se +mit à Table, dês que Cordaboyau, envoyé chéz Rosemauve, eút +annoncé, qu'elle ne viéndrait pas. Il remit en-même-temps un +Billet de la Malade pour ma Fille. Ingenue le parcourut bas +dabord: puis elle nous le passa. Traítdamour lut par mes +ordres. Le voici: + +Divine Amie! Reçoi les actions de grâces que je rens à ton +Conin et à tes Soliérs... Hiër jeudi fêtedieu (la Lettre était +du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as prêtée, +pour faire bander un Clerc de No aire, amant de ma Soeur +Rosalbe, à laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi ton +grand bonnet battantl'oeil, qui me va si bién, à cause de mes +grands yeux noirs, la robe, la jupe blanches sur fond rose, +comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tourdecùl. Dans +la rüe des Cinqdiamans, j'entendis derrière moi: "C'est +elle!... Oui, c'est elle! c'est ma Deesse"!... On m'aborde. +"Hâ! ma Belle! vous voila si prês de chéz moi, que vous y +monteréz, puisque votre Père y est venu"?... Il m'a pris le +bras; je me suis laissée mener; pensant bién qu'en me +reconnaissant, il me laisserait aler, surtout aprês m'avoir +foutue. Point! il ne se desabuse pas!... Il est vrai qu'il +m'avait introduite dans un appartement au premiér à très +sombre jour. Il tombe à mes genoux, ou plütôt aux vôtres "Vos +traìts, belle Saxancour, sont un peu differens de ce qu'ils +m'avaient paru; mais vous n'en êtes pas moins une Brune +adorable. C'est que j'ai toujours plûs regardé vos piéds, dont +je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi +les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de +votre parure... M'aimeréz-vous"? J'ai cru devoir repondre, +"Ouî. "Hâ! je suis trop heureux"! Il m'a pris mille baisérs, +en me fesant darder la langue, m'a patiné les tetons, saisi la +mote, renversée sur un large sofa, troussée, foutue... J'ai +remué du cùl! je lui ai donné du plaisir... hâ! vous me +connaisséz?... Ça fait, il m'a présenté à laver, m'a fait lui +verser de l'eau sur le vit, m'a essuyé còn et cùl, m'a baisé +la mote et les fesses: puis a dit à sa Femme de charge: "Le +dînér est-il prêt? "Dans un demi-quart d'heure. "Aprês le +verre d'Alicaute, descendons, ma Belle"! Nous sommes descendus +chéz le Notaire voisin. Six-mille francs par an, 500 francs +par moi, d'avance.... J'ai signé la minute, ét je suîs +remontée dotée, comme j'étaîs descendue foutue. Nous avons +dîné tête-à-tête. Des que les Domestiques ont été retirés, il +m'a fait mettre à nud mes tetons; puîs il m'a enyvrée de +champagne. Il s'êst lavé le vit dans un verre mousseux. Je +l'aí aussitôt avalé... Enchanté de ce traìt, il m'a mis son +vit sur les lêvres. Je le lui aí embouché, suçé! Il s'êst +recrié de plaîsir, en me dîsant: "Tu ês ma deesse, la putain +faite pour moi. Je ne veux pas te decharger en bouche; je veux +garder mon foutre pour ton Còn. Montre-le moi, que je le +baîse; ét adieu jusqu'à demain... Mon carrosse? (a-t-il dit à +sa Femmedecharge, qui m'épongeait le cùl ét le côn]. Il m'a +remenée. + +J'auraî mon apportement chéz lui ce soìr. Je suîs restée tard +au lit, y étant toute embaumée, et envelopée dans deux peaux +de veaux, qui m'ont été apportées hîër-soìr encore chaudes; +afin d'avóír la peau des cuîsses ét des fesses presqu'aussi +satinée que vous. Ainsi, belle Conquète! je vous dòis ma +fortune. J'en remercie votre adorable Cón, ét surtout votre +voluptueuse chaussure. En chemin, mon genereux Fouteur m'a +promis que dans três-peu de temps, il me ferait enculer en sa +présence, par un joli Jockey, auquel il s'êst deja fàit +enculer Lui-même 2-fois, dans deux circonstances, où il avait +ressenti au trou du cùl un violent prurit. C'a été son +expression. Adieu... ou Avit, ô divine Fouteuse! + +Nous fumes tous ébahis! Tendrelys embrassa Conquète-Ingenue, +en s'écriant: -- Hâ! si l'On vous connaîssait-!... Je voulais +aler détromper mon Gendre volé. Ma Fille m'en empêcha: -- Il +n'était l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas +infidèle; il a tout ce qu'il lui faut-. Tendrelys applaudit à +cette réponse: -- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins-, +ajouta-t-elle. + +La Brideconin, pour être plûs à nos parties, qui lui donaient +des plaisirs inconnus, avait fait venir chéz elle, ce jour-là, +Une Soeur de son Mari, fort-grêlée; mais la plûs provocante +Tetonnière de 18 ans qu'On puisse voir. La Garse ne croyait +pas que la Laideron tenterait, toutes nos Dames étant jolies, +& 2 parfaitemt belles. Ce fut cette Tetonière, faite-au-tour, +à tâille guêpée, comme les Comtoises, qui nous servit. Mais +dês qu'elle eüt fait bander, pour lui éviter de la peine, les +Hommes alèrent chercher les assiètes...... Au dessert, On me +somma de raconter l'histoire des Cons depucelés dont avait +parlé Minone, & que Mad. Ingenue-Conquète m'avait empêché de +faire à soupér, depeur qu'elles ne fussent trop savoureuses? +J'y consentis. + + +HISTOIRE des Phénixs dénichés. + + +"Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, ét baisant les +tetons de mon active Fouteuse, vous conter comment j'ai +depucelé Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; +Rosalie-Con-Rose, ainsi que Suzonète sa soeur-cadète; +Manon-Aurore-Sourismignard; Léonor-Robé, femme de Margâne le +Parfumeur; la Seconde ét la Troisième Consfriands, Saccadine ét +Voixflûtée. + +La première-fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle +était en deshabillér brun, bas fins de coton, soliérs de +maroquin noir; talons plüs hauts que ceux de Conquète. Elle me +donna des desirs violens; je la suivis: c'était le soir: Elle +entra dans l'alée à-côté de la boutique de sa Mère. L'escaliér +était obscur. J'étais sur ses talons. Elle ouvrit le premiér, +dont les volets étaient fermés. Nuit profonde. J étais entré +avec elle. "Hâ! c'est vous, Monsieur Copahü, dit-elle en +m'entendant réspirer... Je Lui mis la main sous la jupe. "Hô! +voila toujours come vous faites!... Laissons donc les volets +fermés". Je cherchais un Lit. Elle y recula. Je L'y renversai. +"Mon dieu! aléz, que vous êtes tèrible"! Et elle s'arrangeàit +néanmoins commodément pour tous-deux. J'insère. Elle riposte, +en disant: "Il faut bién faire comme ça, sans quoi vous dites +qu'On ne vous aime pas". La jouissance fut delicieuse, quoique +simple ét sans accessoires. Mais Victoire était si belle, ét +je L'avais tant desirée!... Je voulais sortir sans être connu. +On frappa. Je suivis ma Monture effrayée qui courait ouvrir, +quoique je La retînsse. en disant: "C'est mà Mère, ou mà Soeur: +Restéz ou sortéz, come il vous conviéndra"? "Je sors". Elle + + +[ici s'arrête le volume imprimé] + + + + + + +Transcription en français moderne: + + +Quelle excuse peut se donner à lui-même, l'homme qui publie un +ouvrage, tel que celui qu'on va lire? J'en ai cent, pour une. +Un auteur doit avoir pour lui le bonheur de ses lecteurs.. Il +n'est rien qui contribue autant au bonheur, qu'une lecture +agréable. Fontenelle disait: "Il n'est point de chagrin qui +tienne contre une heure de lecture". Or, de toutes les +lectures la plus entraînante est celle des ouvrages érotiques, +surtout lorsqu'ils sont accompagnés de figures expressives. +Blasé sur les femmes depuis longtemps, la Justine de Dsds me +tomba sous la main. Elle me mit en feu; je voulus jouir, et ce +fut avec fureur: je mordis les seins de ma monture; je lui +tordis la chair des bras... Honteux de ces excès, effets de ma +lecture, je me fis moi-même un Erotikon savoureux, mais non +cruel, qui m'excita au point de me faire enfiler une bossue +bancroche, haute de deux pieds. Prenez, lisez, et vous en +ferez autant. + + +L'ANTI-JUSTINE. + + + + +Personne n'a été plus indigné que moi des sales ouvrages de +l'infâme DsDs; c'est-à-dire, de Justine, Aline, le Boudoir, la +Théorie du Libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scélérat +ne présente les délices de l'amour, pour les hommes, +qu'accompagnées de tourments, de la mort même, pour les +femmes. Mon but est de faire un livre plus savoureux que les +siens, et que les épouses pourront faire lire à leurs maris, +pour en être mieux servies; un livre où les sens parleront au +coeur; où le libertinage n'ait rien de cruel pour le sexe des +Grâces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort; +où l'amour ramené à la nature, exempt de scrupules et de +préjugés, ne présente que des images riantes et voluptueuses. +On adorera les femmes, en le lisant: on les chérira, en les +enconnant; mais l'on en abhorra davantage le vivodisséqueur, +le même qui fut tiré de la Bastille avec une longue barbe +blanche le 14 juillet 1789. Puisse l'ouvrage enchanteur que je +publie, faire tomber les siens! + + +Mauvais livre fait dans de bonnes vues. + +Moi, Jean-Pierre Linguet, maintenant détenu à la Conciergerie, +déclare, que je n'ai composé cet ouvrage, tout savoureux qu'il +est, que dans des vues utiles; l'inceste, par exemple, ne s'y +trouve, que pour équivaloir, au goût corrompu des libertins, +les affreuses cruautés, par lesquelles Dsds les stimule. + + +Floréal, an 2. + +Chapitre I De l'enfant qui bande. + + +Je suis né dans un village près de Reims, et je me nomme +Cupidonet. Dès mon enfance, j'aimais les jolies filles. +J'avais surtout un faible pour les jolis pieds et les jolies +chaussures; en quoi je ressemblais au Grand-Dauphin, fils de +Louis XIV, et à Thevenard, acteur de l'Opéra. + +La première fille qui me fit bander, fut une jolie paysanne, +qui me portait à vêpres la main posée à nu sur mes fesses; +elle me chatouillait les couillettes, et me sentant bander, +elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal: +car elle était chaude, parce qu'elle était sage. + +La première fille à laquelle je fis des attouchements, en +conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma +première puînée, qui s'appelait Jenovefette. J'avais huit +soeurs, cinq aînées d'un premier lit, et trois puînées. La +seconde de celles-là, était jolie au possible; il en sera +question. La quatrième avait le poil du Bijou tellement +soyeux, que c'était une volupté seulement de le toucher. Les +autres étaient laides. Mes puînées étaient toutes trois +provoquantes. + +Or ma mère préférait Jenovefette, la plus voluptueusement +jolie, et dans un voyage qu'elle fit à Paris, elle lui apporta +des souliers délicats. Je les lui vis essayer, et j'eus une +violente érection. Le lendemain dimanche, Jenovefette mit des +bas fins blancs et neufs de coton, un corset qui lui pinçait +la taille; et avec son lubrique tour de cul, elle faisait +bander, quoique si jeune, mon père lui-même; car il dit à ma +mère de la renvoyer. (J'étais caché sous le lit, pour mieux +voir le soulier et le bas de la jambe de ma jolie cadette)... +Dès que ma soeur fut sortie, mon père renversa ma mère, et la +carillonna sur le pied du lit sous lequel j'étais, en lui +disant: + +-- Oh! prenez garde à votre fille chérie! Elle aura un furieux +tempérament, je vous en avertis... Mais elle a de qui tenir; +car je baise bien! et voilà que vous m'en donnez, du jus de +con, comme une princesse... + +Je m'aperçus que Jenovefette écoutait et voyait... Mon père +avait raison. Ma jolie cadette fut depuis dépucelée par son +confesseur; ensuite foutue par tout le monde. Mais elle n'en +est que plus sage à présent... Dans l'après-dîner, Jenovefette +vint au jardin, où j'étais seul. Je l'admirai; je bandai. +L'ayant abordée, je lui pressai la taille, sans parler; je lui +touchai le pied, les cuisses, un connin imberbe et joli, s'il +en fut jamais! Jenovefette ne disait mot. Alors, je la fis +mettre à quatre; c'est-à-dire, sur les mains et sur les +genoux, et, à l'imitation des chiens, je la voulais enfiler +ainsi, en hennequinant et saccadant de toutes mes forces, +comme fait le chien, et lui comprimant fortement les aines de +mes deux mains: je lui faisais cambrer les reins, de sorte que +son connin était aussi à ma portée que le trou de son cul: je +l'atteignis donc et je mis le bout entre les lèvres, en +disant: + +-- Hausse, hausse le cul, que j'entre. + +Mais on sent aussi qu'un connichon aussi jeune, ne pouvait +admettre un vit, qui ne décalottait pas encore (Il me fallait +une connasse, comme je l'aurai bientôt). Je ne pus +qu'entr'ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne déchargeai +point, je n'étais pas assez formé... Ne pouvant enfiler, je me +mis, aussi à l'imitation de mes modèles, à lécher le jeune +connin... Jenovefette sentit un chatouillement agréable sans +doute; car elle ne s'ennuyait pas du jeu, et elle me donna +cent baisers sur la bouche, lorsque je fus debout. On +l'appela, et elle courut. + +Comme elle n'avait pas encore de gorge, dès le lendemain elle +se mit des tétons postiches, sans doute parce qu'elle avait +ouï vanter ceux de sa mère, ou de ses aînées. Je les +remarquai: je la fis chausser, et l'ayant placée commodément +sur son lit, je m'escrimai près de deux heures. Je crois en +vérité qu'elle émit; car elle s'agitait comme une petite +enragée à mon lèchement de con... Dès le surlendemain, on +l'envoya en apprentissage à Paris, où elle remplit l'horoscope +tiré par mon père. + +Chapitre II Du con soyeux. + + +Mes autres soeurs étaient l'une sérieuse; elle me retint dans +les bornes; mais j'ai depuis foutu ses deux filles à Paris. Ma +troisième était encore trop jeune: ç'a été une superbe fille à +dix-huit ans! Je me rejetai néanmoins sur cette enfant, +lorsque je m'aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était +inabordable. Il me fallait un con, depuis que j'en avais palpé +un: je patinai Babiche. Enfin un dimanche, qu'elle était bien +arrangée, et que ma mère l'avait baignée, je la gamahuchai. + +Ce fut à cette bénigne opération, que je fus surpris par +l'ardente Madeleine au con soyeux. Elle nous examina longtemps +avant de nous troubler, et voyant que la petite avait du +plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remîmes +décemment. Madeleine ne dit mot. Elle renvoya Babiche. Puis +elle hasarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la +paille de la grange, où j'avais attiré Babiche; et lorsque je +fus par terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, +jambe de çà, jambe de là. Par hasard, je portai la main sous +ses jupes, et j'y trouvai l'admirable con soyeux. Ce poil +divin détermina mon goût pour elle. Je devins fou du con de +Madeleine Linguet: je lui demandai à le baiser! + +-- Petit coquin! (me dit-elle), attends un moment. + +Elle alla au puits, tira un seau d'eau, et s'accroupit +dessus... Elle revint, et badina encore. Enflammé, hors de +moi, je lui dis, dans ma petite fureur érotique: + +-- Il faut que je lèche ce joli trou. + +Elle se mit sur le dos, les jambes écartées. Je léchai; la +belle Madeleine hocha du cul. + +-- Darde ta langue dedans, cher petit ami! (me disait-elle). + +Et je dardais, et elle haussait la motte. Je fourgonnais avec +rage!... Elle eut tant de plaisir, qu'elle se récria. Je +bandais comme un petit carme; et comme je ne déchargeais pas, +j'avais toujours la même ardeur. Aussi m'adorait-elle. Obligée +de me quitter, Madeleine me donna des friandises, que je +mangeai avec Babiche. + +Un soir, ma soeur au con soyeux me dit: + +-- Cupidonet! ta jolie broquette est toujours bien roide, quand +tu me lèches! Il me semble que si nous étions dans le même +lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite +marmotte, que tu aimes tant à sucer, et dont le poil est si +doux! j'aurais sûrement bien du plaisir! et peut-être toi +aussi? Viens c'te nuit... + +Quand tout le monde fut endormi, je me glissai dans le lit de +ma grande soeur. Elle me dit: + +-- J'ai vu mon père, un jour qu'il venait de caresser ma soeur +la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta mère, sa +grosse broche bien roide, et lui fendre la marmotte: je vas te +montrer; tu feras comme lui. + +-- Et moi aussi, je l'ai vu. + +-- Bon! bon! + +Elle se disposa, me plaça sur elle, me dit de pousser, et +riposta. Mais elle était pucelle, et quoique bandant roide, je +ne pus introduire; je me faisais mal. Pour Madeleine Linguet, +elle déchargea sans doute; car elle se pâma. + +Oh! que je regrettai ce joli con soyeux, que je léchais et +fourgonnais depuis six mois! Mon père, Claude Linguet, qui ne +me ressemblait pas, éloignait ses filles, dès qu'elles +l'avaient fait bander. On prétend que Madeleine avait tenté de +se le faire mettre par lui... Quoi qu'il en soit, trois jours +après, elle partit pour la capitale, où notre frère aîné, +l'ecclésiastique, lui avait trouvé une place de gouvernante +d'un chanoine de Saint-Honoré. Ce cafard ne tarda pas à +connaître ce qu'elle valait. Il y avait une porte dérobée, de +lui seul connue, qui donnait dans la chambre de ses +gouvernantes, qu'il allait patiner durant la nuit. Mais il +n'avait jamais trouvé de con aussi joli, que le con soyeux de +Mlle Linguet! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, et il +n'eut plus de repos qu'il ne l'eût foutu. Une nuit, qu'elle +dormait d'autant plus fort qu'elle en faisait semblant, il la +gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le chanoine +monte sur elle, et l'enconne. Elle le pressa dans ses bras, en +remuant du cul. + +-- Ha! Mignonne! (lui dit-il), que tu as le mouvement bon!... +Mais n'as-tu pas de mal? car je te crois un peu putain?... + +Sa chemise et les draps ensanglantés lui prouvèrent qu'elle +était pucelle. Il l'adora! Elle foutit saintement avec ce +saint homme pendant deux ans, et le mit au tombeau. Cependant +il la dota. Ce qui fit qu'elle épousa le fils du premier mari +de ma mère. + +Chapitre III De la mère foutue! + + +Comme après le mariage de Madeleine et son retour à Reims +j'étais un peu plus formé, je désirai vivement de le lui +mettre. Depuis plus de deux ans, j'en étais réduit à patiner +et gamahucher ma soeur Babiche, avec quelques-unes de nos +cousines germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces +connins imberbes rétrécissaient... Je demandai un rendez-vous +nocturne à la nouvelle Mme Bourgelat! Elle me l'accorda pour +le soir même. Nous étions à notre ferme, et son mari venait de +partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l'appelait. Je +ne sais par quelle aventure, cette même nuit, mon père se +trouva incommodé. Ma mère, après l'avoir secouru, craignant de +le gêner, alla se mettre auprès de sa bru. Celle-ci, la voyant +endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi, +tandis que de mon côté, j'allais à elle. Nous ne nous +rencontrâmes pas, malheureusement!... Je me mis à côté de la +femme que je trouvai dans le lit. Elle était sur le dos: je la +montai, toute endormie; et l'enconnai. J'étais surpris +d'entrer aussi largement! Elle me serra dans ses bras, hocha +quelques coups de cul, moitié assoupie, en disant: + +-- Jamais! jamais vous ne m'avez donné tant de plaisir!... + +Je déchargeai aussi; mais je m'évanouis sur ses tétons encore +fermes, parce qu'elle n'avait pas nourri, et qu'on ne les lui +avait jamais patinés. Mme Bourgelat revint auprès de nous, au +moment où je m'évanouissais. + +Elle fut bien étonnée des mots que venait de prononcer sa +doublement belle-mère! Elle comprit que je l'avais foutue, et +elle me reporta dans mon lit encore évanoui... Ainsi donc +c'est dans le con maternel que je venais d'émettre ma première +semence!... Ma mère, entièrement éveillée, dit à Madeleine: + +-- Mais, que faites-vous donc, ma fille? + +J'étais revenu à moi. Ma soeur retourna au lit de ma mère, qui +lui dit tout bas: + +-- Ma bru! vous avez de drôles de façons? + +-- Mon mari (répondit Mme Bourgelat), me fait souvent mettre +dessus; je rêvais, et je l'ai fait. Eveillée, je suis sautée +du lit. + +Ma mère crut cela. + +Cependant le coup porta: Mme Linguet devint grosse, et +accoucha secrètement d'un fils, beau comme Adonis; et elle eut +l'adresse de le substituer à un garçon de son fils, cet enfant +étant mort en naissant. C'est de lui dont il sera un jour +question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon +neveu. + +Huit jours s'écoulèrent. Après quoi, bien remis de mon +évanouissement, j'eus un autre rendez-vous. Mais admirez mon +malheur! Nous avions été entendus d'une grosse tétonnière, +notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mme +Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammelasse, qui m'aimait, +car elle se branlait souvent à mon intention, et qui +d'ailleurs n'était pas méchante, se contenta de dire à mon +frère, de fermer les nuits la porte de sa chambre à la clef, +et de la cacher, pour cause... Il le fit. Mais jugez de mon +étonnement, quand au lieu d'un con soyeux, et de tétons ronds +et délicats, je patinai une connasse à crins de cheval, et +deux gros ballons bien gonflés. Elle se le mit; je poussai, et +j'eus assez de plaisir. Mais je fus encore prêt à m'évanouir. + +Enfin, je le mis à Madeleine, dans le grenier à foin. J'allais +comme un fou, en l'enconnant. Mais au troisième coup de cul +qu'elle donna, je m'évanouis... + +Chapitre IV D'un autre beau-frère cocu. + + +Madeleine évita de m'accorder des faveurs, dont les suites +l'effrayaient! Mais je ne sentis pas longtemps cette +privation. Huit jours après la dernière scène, je partis pour +venir à Paris. J'y allais pour apprendre. Mais il ne sera pas +ici question de mes études. Je fus logé chez la belle Marie, +la seconde de mes aînées. + +J'avais, pour mon pucelage, fait cocu mon père; j'avais +cornifié mon frère utérin, en faisant décharger, et foutant +enfin avec émission une soeur paternelle, qu'il avait épousée, +et que j'engrossai: car Bourgelat n'a jamais eu que cet +enfant, venu au monde neuf mois après ma fouterie au grenier à +foin. Mais j'avais encore bien de l'ouvrage, avec huit soeurs, +dont six, ou du moins cinq, étaient souverainement +enconnables. Mais revenons à Marie, la plus belle de toutes... +Un jour de Vierge, Marie était parée, chaussée avec ce goût +particulier aux jolies femmes, et un superbe bouquet +ombrageait ses blancs tétins. Elle me fit bander. J'avais +quatorze ans; j'avais déjà foutu et engrossé trois femmes; car +Mammelasse avait une fille, qu'elle se vantait que je lui +avais faite, et qui ressemblait comme deux gouttes d'eau à +Jenovefette Linguet. Ainsi, je n'eus pas des désirs vagues; je +tendais directement au con de ma provoquante aînée. Après le +dîner, elle alla dormir, dans une alcôve obscure, et s'étendit +sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son mari, dont la +culotte blanche était juste, et elle voulait lui donner le +plaisir de le lui mettre parée. Je me cachai pour les guetter. +Mais mon beau-frère, après avoir pris les tétons et le con de +ma soeur, avoir admiré ce dernier, en éclairant l'alcôve, se +réserva sans doute pour la nuit suivante. Il se retira +doucement. Je lui vis prendre sa canne, son chapeau, et +sortir. J'allai pousser un verrou. En revenant, je refermai +les rideaux; le mari les avait laissés ouverts, et sa femme +troussée. Je me mis sur elle déculotté, bien bandant, et +j'enfilai sa fente, suçant tantôt ses tétons découverts, +tantôt ses lèvres entr'ouvertes. Elle me croyait son mari. Un +bout de langue me chatouilla. J'étais entré tout calotté. Le +filet, que je n'avais pas encore coupé, recourbait mon vit, et +le faisait paraître gros comme celui de l'époux. Je poussai. +Ma belle s'agita, et mon long vit atteignit le fond. Alors ma +soeur, demi-pâmée, se trémoussa. Je déchargeai... et je +m'évanouis... + +Ce fut ce qui me fit reconnaître. La belle savoura les +dernières oscillations de mon vit. Mais dès qu'elle eut +éprouvé tout le charme d'une copieuse décharge, elle se +déconna en me jetant sur le côté. Elle ouvrit les deux rideaux +de l'alcôve; et, me regardant: + +-- Ha! Grand Dieu! c'est Cupidonet! Il m'a déchargé tout au +fond! Il s'est évanoui de plaisir!... + +Je revenais à moi. Elle me gronda, en me demandant qui m'avait +appris cela? + +-- Ta beauté (lui dis-je), adorable soeur. + +-- Mais si jeune? + +Je lui racontai alors toute ma vie: comme j'avais patiné, +léché le connin de Jenovefette: comme j'avais gamahuché, enfin +enfilé le con soyeux de Madeleine; foutu Mme Linguet, la +croyant Mme Bourgelat: comment Mammelasse s'était fait +enconner par moi; comment, ne pouvant me passer de con, je +léchottais le connichon de Babiche; comment j'avais engrossé +les trois femmes que j'avais enconnées. + +-- Ah ciel!... Mais tu es bien indiscret! + +-- Je ne le suis avec toi, que parce que tu es ma soeur aînée, +que je t'ai foutue (le récit que je venais de débiter, les +tétons de ma soeur, sa chaussure me faisaient rebander), et que +je vais, divine Marie, te foutre encore. + +-- Mais mon mari... + +-- J'ai poussé le verrou... + +Elle me pressa la tête contre son beau sein, en me disant tout +bas: + +-- Petit coquin, fais-moi aussi un enfant?... + +Je la re-enconnai, j'émis sans m'évanouir. La belle Marie +n'avait pas encore eu d'enfants: je fus père de Mlle +Beauconnin, fille unique de mon beau-frère de ce nom. + +[Je passerai toutes les fouteries communes; ce n'est qu'à +force de volupté, de tableaux libidineux, tels que les +savoureuses jouissances qui vont suivre, qu'on peut combattre +avantageusement dans le coeur et l'esprit des libertins blasés, +les goûts atroces éveillés par les abominables productions de +l'infâme et cruel de Dsds! Ainsi, je réserve toute ma chaleur +pour décrire des jouissances ineffables, au-dessus de tout ce +qu'a pu inventer l'imagination exquisement bourrelle de +l'auteur de Justine.] + +Chapitre V Du bon mari spartiate. + + +Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viens +de promettre, rapporter en peu de mots, une aventure +extraordinaire, que j'eus, rue Saint-Honoré, à vingt ans +accomplis, en faisant mon droit. + +J'étais voisin vis-à-vis d'un vieil horloger, qui avait une +femme jeune et charmante. C'était sa troisième. La première +l'avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans; c'était +une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à l'aide d'une +soeur plus jeune, par laquelle la dame se faisait remplacer au +lit dans ses moindres indispositions, pour que son mari ne +foutît jamais avec dégoût. Cette excellente épouse ayant cessé +de vivre, l'horloger avait épousé, âgé de soixante ans, la +jolie, la délicieuse Fidelette, putative d'un architecte, et +fille naturelle d'un marquis. La beauté de cette troisième +femme n'avait pas d'égale, pour le moelleux et le provoquant. +Son mari l'adorait; mais il n'était plus jeune! Cependant, +comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu'elle +paraissait désirer. Mais il n'atteignait pas le but, et +Fidelette était chaque jour plus triste. Enfin, un soir, ce +bon mari lui dit: + +-- Mon ange! je t'adore, tu le sais! Cependant tu es triste, et +je crains pour tes jours précieux! Tout ce que je fais ne te +flatte en rien? Parle! c'est un ami tendre qui t'en conjure! +Dis-moi ce que tu désires? Tout, tout ce qui sera en mon +pouvoir, va t'être accordé! + +-- Oh! tout (dit la jeune femme). + +-- Oui, tout, fût-ce... Est-ce à ton coeur? est-ce à ton divin +connin, qu'il manque quelque chose? + +-- Tu remplis mon coeur, cher mari! Mais j'ai des sens trop +chauds, et, quoique blonde cendrée, mon bijou a des +démangeaisons... terribles! + +-- T'est-il indifférent qui le satisfasse; ou aurais-tu un +goût? + +-- Sans aimer, j'ai un goût... un caprice... Mais je n'aime que +toi. + +-- Qui excite ta main, que je vois en ce moment chercher ton +gentil petit chose? + +-- Tiens! ce voisin... qui me regarde... et dont... je me suis +déjà plainte... + +-- J'entends!... Tu as dû me trouver bien bouché!... Passe au +bain, mon ange adoré.. je reviens dans l'instant. + +Il courut me trouver. + +-- Jeune voisin! On dit que vous aimez Mme Folin l'horlogère? + +-- Ma foi, on dit vrai; je l'adore. + +-- Venez. + +-- Il en arrivera ce qu'il pourra. Allons. + +Il me prit la main, et nous allâmes chez lui. + +-- Déshabillez-vous; passez dans ce bain, que ma femme quitte. +Voilà de mon linge. Régalez-la en nouvelle mariée - ou +ménagez-vous pour différentes nuits; à votre choix et au +sien.... J'adore ma Fidelette; mais, pour cette épouse chérie, +je suis content dès que je la vois satisfaite, heureuse. Quand +vous l'aurez foutue, que son petit connin aura bien déchargé, +je l'enconnerai à mon tour, pour lui porter mon petit présent. + +Et il me fit entrer dans le lit où sa femme était depuis le +bain. Il s'en allait. + +-- Mon cher mari! (s'écria cette timide Colombe), tu me laisses +seule avec un inconnu! Oh! reste! et si tu m'aimes, sois +témoin des plaisirs que je ne devrai qu'à toi!... + +Et elle nous baisa tous deux sur la bouche... Le lit était +vaste. Le bon Folin s'y mit avec nous... Je grimpai sur le +ventre de la jeune épouse, aux flambeaux allumés, au vu du +mari, et j'enconnai roide... Elle répercutait avec fureur. + +-- Courage, ma femme! (criait l'excellent mari, en me +chatouillant les bourses) ... Décharge, ma fille! Hausse le +cul!.. darde ta langue... ton fouteur va t'inonder!... Toi, +jeune vit, plonge... plonge!... Lime... Lime-la... + +Nous déchargeâmes comme deux anges... Je la foutis six fois +dans la nuit, et les deux époux furent très contents de moi... +J'ai eu cette jouissance céleste, et plus qu'humaine, +jusqu'aux couches de Fidelette, qui perdit la vie, en la +donnant au fruit de notre fouterie. + +Chapitre VI De l'épouse qui se fait enculer. + + +Je passerai sous silence mes connilleries avec ma femme +clandestine, puisque je n'ai jamais avoué ce mariage. +Conquette-Ellès était une jolie grêlée, faite au tour, ayant +un con tellement insatiable, que je fus obligé de lui mettre +la bride sur le cou, et de la laisser foutre avec qui elle +voudrait. Elle était fille d'un traiteur de la rue Saint-Jacques, +et soeur du libraire PetiteBeauté. Elle est morte +syphilisée, longtemps après m'avoir donné deux filles... Ah! +qu'elle foutait bien! jamais femme enconnée n'a brouetté son +cavalier comme Conquette!... Elle est la seule créature que +j'aie enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut +douteuse. Elle me donna ensuite le cul de sa soeur cadette, en +me disant que c'était encore le sien. Et je le croyais. Mais +la jeune personne se faisant enconner, je m'aperçus de la +tricherie, dont je ne témoignai rien... Cela fut délicieux! +mais ce n'est que de la fouterie ordinaire... Quand ma +belle-soeur fut mariée, ma femme séduisit sa coiffeuse, à laquelle +elle recommanda bien de se faire enculer, alléguant que j'y +étais accoutumé. Mais cette fille m'ayant averti dans la +journée, je l'enconnai la nuit, sans que Conquette s'en +aperçût. J'eus ainsi successivement six coiffeuses, toutes +jolies, pendant douze ans, ma femme, qui les payait, croyant +me cacher, par ce moyen, qu'elle avait la vérole. Ce fut ainsi +que j'attendis les connins délicieux qui m'étaient destinés +par la nature... C'est après la dernière coiffeuse, que +Conquette mourante, ayant remarqué qu'un de mes cadets +courtisait ma fille-nièce Beauconnin, qu'on ne voulait pas lui +donner, et qu'il en était aimé, proposa à Mariette de se le +laisser mettre par son amant! Mais, craignant que le jeune +homme ne pût la dépuceler, elle me dit que la dernière +coiffeuse m'envoyait une de ses élèves, qu'il fallait +enconner, et sans parler, parce que, ma nièce couchant dans la +chambre voisine, il y avait des raisons pour ne pas envoyer +l'élève-coiffeuse dans la mienne... Pourvu que je foutisse un +jeune con, que m'importait? J'allai nu au lit. Je trouvai des +tétons naissants, un connin qui tressaillait. Je dépucelai... +J'avais enconné trois fois, lorsqu'on vint me faire retirer. +Je crus que c'était la convention. Mais, ayant écouté, je fus +très étonné d'entendre éperonner de nouveau ma monture, et ma +femme instruire, en les encourageant, son neveu et sa +nièce!... Je me remis dans mon lit tout pensif... Le +lendemain, je demandai une explication à Conquette. + +-- Eh bien, quoi? (me répondit-elle) vous avez dépucelé votre +nièce Beauconnin avant que son cousin le lui mît parce que je +craignais qu'il ne pût la déflorer... + +Je fus enchanté! J'avais eu les prémices de la fille que +j'avais implantée un jour de Vierge dans le con de la belle +Marie Linguet. Mais je dissimulai ma joie. C'était un +excellent pronostic pour les plaisirs dont je me flattais de +jouir depuis longtemps! et dont le moment approchait. J'y +touche enfin. + +Chapitre VII Du connin au poil follet. + + +On sait que j'avais deux filles, ou que du moins ma +clandestine les avait; car je me rappelle qu'elle prétendait +que ses véritables filles étaient mortes en nourrice, et +que... et que... Elle parlait du Roi... d'une princesse... +Mais elle était si menteuse que c'eût été une folie de la +croire. + +Conquette-Ingénue, ma fille aînée, me causait des désirs dès +l'âge de dix ans. Pendant que sa mère non encore vérolée +couchait et foutait avec un galant, elle envoyait Conquette +dans mon lit. Cette enfant avait la plus jolie conque. Je me +fis une règle dès lors de la lui baiser tous les soirs, après +lui avoir écarté les cuisses, durant son premier sommeil. +J'introduisais légèrement la langue, mais sans lécher. Je +m'endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur +mes cuisses, et mon vit pressé entre les siennes. Dans le +jour, j'enconnais, ou la maîtresse d'un certain Mivière, +avocat, ou une jolie bossue toujours bien chaussée, qui +demeurait dans la maison; ou une boiteuse des deux côtés, mais +d'une délicieuse figure, et prête à se marier. Elle s'était +laissée déflorer par son futur, et depuis ce temps-là, elle ne +ménageait plus un très joli con blond. Quand ces trois +fouteries me laissaient chômer trop longtemps, je fourgonnais, +le vit serré entre les cuisses de Conquette-Ingénue, qui, se +sentant gênée, l'empoignait toute endormie, et me faisait +éjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque chose, et +parla. On la mit dans un cabinet fermé. + +Elle apprit à dessiner. Lorsqu'elle eut treize à quatorze ans, +après une interruption de plus de deux ans, je me trouvai +veuf, et elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite +chambre à côté de la mienne. Elle était grandie, faite au +tour; elle avait le pied le plus parfait. Je la fis chausser +par l'artiste le plus habile, sur la forme de sa mère, qui +était celle de la marquise de Marigni. Puis je devins +éperdument amoureux de mon ouvrage. + +Mais personne jamais ne fut plus chaste que cette céleste +fille; quoique ses mères, soit réelle ou putative, fussent +putains, et soient toutes deux mortes de la vérole. +Conquette-Ingénue ne souffrait pas qu'on prît sur elle la moindre +liberté... La Providence le voulut sans doute, pour qu'elle en +fût un jour plus désirable et plus voluptueuse... Ainsi, je me +trouvai réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu'elle +avait profond, heureusement! Je profitais de son premier somme +pour la découvrir, admirer son délicieux connin, qu'un joli +poil follet commençait d'ombrager, et la gamahucher +modérément. Ce ne fut qu'à la dixième nuit, que je la sentis +me riposter. Je redoublai les coups de langue, et elle +émit.... La lumière était éteinte, quand Ingénue s'éveilla, en +disant: + +-- Ah! Ah! Ah! ça me chatouille! Ahh!... + +Elle crut qu'elle avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune +soeur, couchée avec elle, de plusieurs coups de coude, comme si +elle eût pensé que cette enfant l'avait chatouillée. + +Je me remis dans mon lit, enchanté que ma fille eût déchargé. +Cette émission me fit espérer qu'ayant éveillé son +tempérament, je pourrais l'enconner bientôt, en faire ma +maîtresse, et me trouver le plus heureux des hommes. Mais que +j'étais loin de compte! et combien de vits devaient tenter de +martyriser ce divin connin avant le mien! Hélas! il fut prêt +d'essuyer une Iliade de malheurs!..... Quoi qu'il en soit, ç'a +été ma véritable inclination, la plus constante, la plus +voluptueuse, que cette adorable fille, qui n'a eu de rivale +que sa soeur... Non (je le dis, d'après l'expérience), il n'est +pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit +bandant, jusqu'au fond du con satiné d'une fille chérie, +surtout si remuant du cul avec courage, elle décharge +copieusement! Heureux! heureux qui cocufie, et fait cocufier +un gendre également détesté de tous deux! + +Conquette-Ingénue eut ses règles la semaine suivante de celle +où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement +nubile. Mais, éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur +essentielle. Ma soeur Marie, qui me connaissait, la mit en +apprentissage de modes et du commerce de la bijouterie, chez +une jolie marchande, dont le mari était chef de bureau; et le +bijou de la belle Conprenant me dédommagea, mais sans m'en +consoler, des rigueurs de celui de ma fille. Je le mis aussi à +ma nièce Beauconnin, alors mariée à son cousin. Et, sans ce +double soulagement, aurais-je pu m'empêcher de violer la +provocante Conquette-Ingénue? Eperdument amoureux d'elle, +n'osant lui prendre de jour son joli poil follet, et ne +l'ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder +dans la rue, par une fenêtre à large rebord, ce qui lui +mettait à découvert un pied exquisement chaussé, une partie de +la plus belle jambe; de sorte qu'en me baissant, je voyais la +cuisse, et le connin dans certains mouvements, ou lorsqu'elle +se disposait à descendre. Je bandais comme un carme. Mais en +ce moment arrivaient à point nommé, ou la maîtresse de +Conquette-Ingénue, ou ma jolie nièce Beauconnin, que j'allais +enfiler dans ma chambre, après avoir dit à ma fille de se +remettre à la fenêtre, pour les voir arriver; et, au moyen de +ma porte entr'ouverte, je voyais le pied provoquant, la jambe +voluptueuse de celle qui me faisait bander, en foutant soit sa +maîtresse, soit sa cousine. + +Quatre ans s'écoulèrent ainsi; et je n'eus plus de fouteries. +Alors, plus amoureux que jamais de Conquette-Ingénue, qui +était superbe à dix-huit ans, je résolus de la faire coucher +quelquefois chez moi, en la retenant tard, sous prétexte d'une +indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi +profond. Ainsi, dès qu'elle était endormie, je la gamahuchais, +et je la faisais copieusement décharger. Elle avait une motte +superbe, ombragée d'un poil noir doux et soyeux. Je brûlais +d'envie de le lui mettre. Mais elle s'éveillait toujours en +déchargeant. Aussi me disait-elle: + +-- Je ne fais que chez vous de singuliers rêves, qui me rendent +toute je ne sais comment!... + +La seule chose que je me permisse était de demander à baiser +son joli pied chaussé; quelquefois sa jambe. J'allai un jour, +en la tourmentant beaucoup, jusqu'à obtenir de toucher le poil +satiné de son bijou. Mais elle fut ensuite si fort +effarouchée, craignant que je ne parvinsse à la déflorer avant +mariage, qu'elle précipita, aidée de sa maîtresse Mme +Conprenant, un mauvais établissement avec un infâme. Ce fut ce +que j'ai eu tant de peine à lui pardonner!... Mais la pauvre +enfant en a trop souffert... elle s'en est assez repentie... +son charmant connin a depuis trop bien mérité de moi, pour que +des torts de jeunesse et d'inexpérience ne soient pas oubliés. +J'y étais obligé d'ailleurs par un autre motif: c'est que je +dois à cet exécrable mariage d'indicibles délices (comme on va +le voir), ainsi que ma fortune présente. + +Chapitre VIII Des conditions de mariage. + + +Le dimanche suivant, Conquette-Ingénue étant chez moi, suivant +son usage, elle ne put s'empêcher de voir que je bandais à +n'en pouvoir plus! Elle tremblait pour sa virginité!... Je lui +avais baisé le pied, la jambe; mais elle avait défendu son +connin. Tout à coup je me lève, et m'appuyant sur le dossier +de sa chaise, je plonge les deux mains dans son corset; je lui +prends les tétons.... Ah! qu'ils étaient jolis!... petits, +mais fermes! et d'une blancheur... Elle ne put se dérober... +Elle me déclara pour lors sérieusement, qu'elle voulait se +marier. A ce mot, je passai devant elle, le vit à l'air et +bien bandant. Elle devint rouge comme une cerise. Elle +bouillait. Enflammé d'amour et de luxure, je lui notifiai, que +je ne signerais rien, qu'à la condition de la dépuceler +auparavant. Elle se récria!... Je lui pris le con par force. +Elle se recueillit, et me dit: + +-- Signez du moins pour ceci! + +-- Oui; si je te gamahuche. + +Elle ne m'entendait pas. Je m'expliquai, ajoutant: + +-- Et jusqu'à la décharge, ou le plaisir, de ta part, +inclusivement! + +Elle réfléchit... Puis soupirant: + +-- Ah! combien vous me l'avez fait! Mes rêves étaient causés +par vous!... + +Elle se mit à la renverse sur le lit, en me disant: + +-- Satisfaites-vous! et... ne me... trompez pas!... +Gamahuchez... mais je veux être pucelle le jour de mon mariage +avec M. Vitnègre; c'est un homme veuf, et Mme Conprenant dit +qu'il s'y connaît. + +Pendant ce discours, je rassasiais mes yeux d'abord de la vue +du plus ravissant des connins; de celle d'un ventre uni comme +l'ivoire; d'une cuisse d'albâtre; d'un cul de satin. + +-- Dépêchez-vous! + +-- J'inventorie ce que nous devons livrer à ce M. Vitnègre, et +tout est bien conditionné, une chose que je te dirai exceptée. +Gamahuchons. + +J'étais enragé! Je la léchais avec fureur, guettant l'instant +de l'émission de sa liqueur virginale, pour me jeter sur elle, +et l'enfiler. Elle émit dès le sixième coup de langue; de +sorte que je ne le pouvais croire. Mais bientôt ses +trémoussements m'en convainquirent. Alors, quittant le connin, +je me jetai sur elle. Enivrée de plaisir, il est certain +qu'elle m'aurait laissé tout faire; mais son jeune connichon, +quoique bien humecté de son foutre et de ma salive, ne put +être pénétré. L'expérience qu'il faut, pour enfiler certaines +pucelles, de la pommade ou du beurre frais, ne m'était pas +encore acquise... A la fin, elle me saisit le vit, pour me +débusquer. Pressé, de sa main douce et blanche, il déchargea, +et couvrit d'un foutre azuré son con, son ventre, ses cuisses +et sa main. Propre comme elle le fut toujours, elle se +débarrasse, et court se laver. + +-- Qui ne dirait (m'écriai-je en la voyant s'éponger cul, +cuisses et conniche), que je l'ai enconnée!... + +-- Ah! si vous étiez raisonnable! (répondit Conquette-Ingénue) +ce joli gamahuchage, tant que vous voudriez; car j'ai eu bien +du plaisir! + +-- Voilà un joli mot! + +Et je lui fis darder la langue dans ma bouche, moi lui tenant +le connin. + +-- Mais (reprit-elle), pas ce qui m'a salie, dans ce que je +viens de laver! je veux être honnête femme. + +-- Tu dois ton joli con à ton père, ma charmante fille! + +-- Si vous étiez plus riche, je renoncerais au mariage, et je +me dévouerais à vos plaisirs. Mais il me faut un mari, pour +cesser de vous être à charge. + +Touché, je la baisai des pieds à la tête, soulier, jambe, +front, oeil, bouche, cou, tétons, cuisses, cul, enfin motte, +jusqu'à ce qu'elle déchargeât... Ensuite, je signai tout ce +qu'elle voulut... Elle était adorée, en ce moment.. Elle se +maria, sans me revoir, et m'évita pendant trois mois. Une +pareille conduite me rendit furieux contre elle, et je jurai +de la foutre et faire foutre, si elle retombait entre mes +mains, mille et une fois, avant que de lui pardonner!... Mais +savais-je alors qu'elle était malheureuse? + +Chapitre IX Des dédommagements. + + +Victoire-Conquette, ma seconde fille, était en province, +depuis la mort de sa mère, chez sa tante Jenovefette, alors +mariée avec son dernier entreteneur. N'ayant plus de con à ma +dévotion, je redemandai Victoire. En attendant qu'elle +arrivât, je m'accommodai de deux petits connins encore +imberbes, ou du moins à poil follet, que je parvins à +perforer, en les pommadant. C'étaient la soeur et la maîtresse +de mon secrétaire, qui lui-même me les livra, comme on le +verra par la suite. Nous foutions jusqu'à sa vieille belle-mère; +ne voulant pas aller aux putains. + +Dès que Victoire fut arrivée, je la fis chausser comme sa +soeur, à talons minces élevés; et cette enfant, qui atteignait +quinze ans, me fit autant bander que son aînée. Mais je ne +cherchai pas à la déflorer; elle ne me servait qu'à me mettre +en humeur, et à me faire enconner plus vigoureusement et +Minone, et Conette, soeur et maîtresse de Traitdamour mon +secrétaire, ou leur belle-mère. Pour cela, quand Victoire +rentrait parée, chaussée, je la saisissais par la jupe, et je +l'asseyais sur mes genoux, à crû, moi déculotté, quand je le +pouvais; je me faisais caresser, donner de petits coups de +langue. Si j'étais à crû, mon vit lui allait entre les cuisses +comme le battant d'une cloche; si elle n'était pas troussée, +comme elle était fort innocente, je me faisais empoigner le +vit, en lui disant: + +-- Mignonne, serre-moi le doigt, fort! fort! + +Minone, Conette, ou la belle-mère arrivaient toujours, +Traitdamour en allant chercher une dès qu'il me voyait +m'enfermer avec Victoire. En les entendant, je remettais la +charmante enfant dans sa chambre par une porte dérobée; +j'ouvrais, et je foutais délicieusement, les couilles +chatouillées par Traitdamour. Il enconnait ensuite la même, +soeur ou belle-mère, et je lui maniais les couilles. + +Je me serais contenté de cette vie pendant longtemps, quoique +toujours amoureux de Conquette-Ingénue, devenue Mme Vitnègre, +si mes soeurs Marie et Jenovefette n'eussent trouvé indécent +que je gardasse Victoire seule chez moi. Elles m'obligèrent à +la mettre en apprentissage pour le linge chez des dévotes +qu'elles m'indiquèrent. Mme Beauconnin l'y conduisit. +Heureusement que la chère enfant m'avait, depuis quelques +jours, donné la connaissance d'une grande et superbe femme +séparée, son amoureuse éperdue, sans que la naïve Victoire +s'en doutât, et que cette belle femme m'en croyant amoureux +aussi, foutît sous moi avec fureur. Car elle m'appelait alors +son papa, et me disait: + +-- Enconne; enconne... enconne ta... provocante Victoire! ta... +passionnée, ta... tendre fille! + +Chapitre X De l'infâme mari. + + +Mais le moment approche où je dois recouvrer Conquette-Ingénue. +Mon désir le plus vif, même dans les bras de Mme +Moresquin (l'amie de Victoire), était de faire Vitnègre cocu! +Un jour, ma Conquette me rencontra sur le pont Notre-Dame. +Elle était malheureuse; elle vint se jeter dans mes bras. Je +fus si ému, que toute mon ancienne colère s'évapora. Ma +délicieuse fille était encore embellie dans les douleurs. Mon +premier mouvement fut de lui prendre le con. Mais nous étions +dans la rue... J'allai la voir dès le lendemain soir, à +l'heure où elle m'avait dit que son mari, ou plutôt son +monstre, n'y était jamais. Je la trouvai seule en effet; et +dès cette première visite, elle m'avoua qu'elle avait un +amant. Ravi de cette confidence, qui m'annonçait le cocuage de +Vitnègre, je la flattai, je l'amadouai; je l'engageai à se le +laisser mettre par Timori (son galant). Mais je compris +bientôt que c'était, des deux côtés, un amour absolument +platonique, où Conquette-Ingénue se consolait, auprès d'un +bandalaise, des brutalités d'un débauché. Elle aimait à parler +de son amant. Et, comme j'étais le seul avec qui elle le pût +en sûreté, que je promis de leur procurer des entrevues, je +fus chéri. + +A la seconde visite, Conquette me découvrit quelques infamies +récentes de Vitnègre. Un jour qu'elle se baissait, pour +ramasser quelque chose, il lui fit prendre le con par un de +ses amis. Elle s'écria. + +-- Ce n'est rien qu'un con de pris (dit froidement Vitnègre)... + +(à son ami): + +-- Ne t'avais-je pas bien dit qu'elle avait le poil du con plus +satiné que de la soie?... Eh bien! le dedans est plus doux +encore... + +Conquette voulut se retirer. Il la retint brutalement, la fit +mettre sur lui, la troussa jusqu'aux cuisses, et lui tint le +con, s'efforçant de le faire voir, ou de la branler, pendant +tout le temps qu'il fut à raconter combien, quand elle le +voulait, elle donnait de plaisir à son caresseur. + +-- Mais (ajouta-t-il), elle est comme les putains; il faut la +rosser, pour lui faire faire son devoir. + +Il voulut ensuite lui découvrir la gorge. Elle s'échappa. Mais +il l'atteignit d'un coup de pied... Quelques jours après, le +même étant venu dîner, après le café, Vitnègre s'étant aperçu +que sa femme, après avoir pissé, avait fait bidet, dit à +Culant son ami: + +-- Voilà un con bien propre! il faut le gamahucher tous les +deux, d'adresse ou de force! Mais, dans ce dernier cas, ne +t'étonne pas du bruit!... Pour le premier, voilà une clef; +elle ouvre la porte du cabinet qui donne sur le corridor. Tu +entreras quand, lassé, je dirai très haut: + +-- Allons, Madame, faites-moi beau con, et recommençons. Et +donne-t'en! car je voudrais que toute la Terre foutît la +garce; elle n'est pas assez large... + +Conquette fut rappelée. Le mari la fit asseoir au milieu +devant le feu, mit à l'air son vit, ses couilles de mulâtre, +et dit à son ami d'en faire autant. Comme il hésitait: + +-- Déculotte-le tout à l'instant, bougresse, ou je t'arrache +les poils du con à la poignée! + +Et il y porta la main. Elle fit un cri. Culant mit aussitôt à +l'air son vit et ses couilles, en demandant grâce pour elle. + +-- Allons, bougresse, branle-nous tous deux, un de chaque +main!... + +-- Je suis son maître (ajouta le scélérat); elle m'est +abandonnée. + +Conquette pleurait. L'ami demanda encore grâce pour elle... + +-- Eh bien, qu'elle me suce le vit, là, à genoux devant moi, +que je lui décharge dans la bouche! Je déchargeais dans celle +de ma première femme, qui en est morte, et c'était mon délice. + +Culant observa, que ce serait gâter la plus jolie des bouches. + +-- Hé bien donc, je vais la gamahucher. + +-- Je banderais trop! (dit Culant) passez dans ce cabinet. + +Vitnègre y poussa Conquette, et se substitua Culant. Puis il +sortit pour aller jouer. Culant gamahucha, et n'osa foutre +Conquette, ayant le vit si petit, qu'il ne pouvait être pris +pour Vitnègre. Mais il déchargea six fois, et Conquette le +double. Il se retira, en lui donnant un coup de poing, afin +qu'elle fût persuadée que c'était Vitnègre. Mais le soir, à sa +rentrée, le monstre dit à sa femme: + +-- Eh bien, bougresse? as-tu été assez gamahuchée? ce n'était +pas moi; je ne t'aurais fait l'honneur de décharger six fois; +c'était mon ami. Mais, garce, tu l'as reconnu, puisque tu en +as déchargé douze, et que tu ne bandes pas pour moi. Et le bon +coup de poing qu'il t'a donné, hein? l'as-tu senti? (l'infâme +éclata de rire). Allons, garce de bâtarde d'avocat, te voilà +putain; j'entends que ton con me rapporte. + +Effrayée, Conquette se promit de le quitter. Ce fut le +lendemain qu'elle me rencontra, et de ce moment elle prit de +la fermeté contre le monstre. + +Ce récit de ma fille, quoique plus gazé dans sa bouche, +m'avait révolté! je lui promis un prompt secours... Mais en +même temps il me faisait bander en carme, comme tous les +récits de brutalités libidineuses. Je demandai des faveurs. On +rougit; mais on me laissa baiser un joli soulier vert, qu'on +portait pour la première fois. Je m'en tins là. Cependant, à +la visite du lendemain, je glissai, en riant, une main dans +son dos; insensiblement j'en vins aux tétons, qu'elle +défendit, mais qui me restèrent enfin. Je me fis ensuite +donner de ses cheveux; puis, voulant voir jusqu'où je pourrais +la mener, sans l'effaroucher, je la tourmentai pour avoir une +petite touffe des poils de son con soyeux. Elle me la donna; +mais en tremblant que son mari ne s'en aperçût! Pour la +remettre, je la fis parler de son amant; et pendant cet +entretien, de libertés en libertés, je parvins au con. Elle +était si parfaitement á son sujet, que je crois en vérité +qu'elle s'imagina que c'était Timori qui lui tenait la +motte!... Je lui dis, en la patinant, que je lui avais trouvé +une pension, pour quand elle aurait quitté Vitnègre. Elle +rougit de plaisir, et m'embrassa. Je lui dardai ma langue, et +elle me fit sentir la sienne... Ravi, j'allais lui demander le +récit de la manière dont elle avait été dépucelée, quand, +Vitnègre s'étant fait entendre, je me jetai dans le cabinet +obscur, me proposant de m'évader par la porte du corridor. +Mais je fus étrangement surpris de voir un moine introduit par +cette porte! Il ne m'aperçut pas; je me cachai derrière un +grand sofa. Vitnègre entra aussitôt par la porte de la pièce +que je quittais: + +-- Mon révérend Père, voulez-vous la foutre avant dîner?... + +Le moine, qui dévorait des yeux la belle Conquette à travers +les vitrages, parut concentré... Au bout d'un moment, il +répondit: + +Chapitre XI Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit. + + +-- Non: comme nous en sommes convenus, passez dans la chambre +éclairée; faites-moi voir, en badinant avec elle, tétons, cul +et con; je me réserve pour la nuit. + +-- Oh! ce coup-ci serait par-dessus le marché. + +-- Non: j'aime à foutre au lit, à suçoter langue et tétons; à +enconner, enculer, entétonner, etc., à mordre, arracher les +bouts... Allez... Ayez le vit à l'air, et qu'elle soit bien +chaussée... De la brutalité! + +Vitnègre rentra déculotté auprès de sa femme toujours +tremblante devant lui. + +-- Allons, bougresse, il me faut du plaisir! Vois comme je +bande, à la vue de ce joli soulier vert!... J'ai entendu hier +un jean-foutre derrière toi qui disait qu'il aurait voulu +décharger dedans... A bas ce fichu, que je voie tes tétons... +Comme ils sont jolis! blancs!... fermes! Ah! garce! +j'arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les +gâter!... Marche.... Quel tour de croupion foutatif!... +Troussée, putain, au-dessus des reins et du nombril, que je +voie ce mécanisme-là!... Marche en avant, présentant le con... +Retourne-t'en montrant le cul... Ah! le joli mouvement!... +Continue, garce à cul et à con, jusqu'à ce que je te dise, +Holà... (Elle fit ainsi cent tours, montrant alternativement +son cul, son con)... + +Cependant le moine disait: + +-- Ce bougre-là n'a pas le vit si gros que moi, et il n'a pu la +dépuceler! Oh! comme elle criera cette nuit!... Mais je n'y +tiendrais pas; je la tuerais; elle crierait à faire venir le +voisinage... Je m'en vais. + +Et il sortit doucement, en murmurant: + +-- Elle est à tuer; elle le sera!... + +Au même instant, Vitnègre dit: + +-- Holà, garce engarcée. + +Et il vint dans le cabinet... + +-- Qu'en dites-vous? (dit-il) la voulez-vous essayer? + +Je bandais à n'en pouvoir plus. Je répondis bien bas pour le +moine: + +-- Oui. + +Vitnègre alla chercher sa femme; et, la poussant brutalement: + +-- Allons, de par Dieu, garce, putain, que je te foute... Ah! +comme tu vas crier! Mais songe, sacré connin de poupée, à ne +pas faire venir ici les voisines! ou je les laisse tous +entrer, sans me déranger de sur ton sacré ventre!... + +En achevant ces mots, il me la renversa troussée sur le +foutoir mis là exprès, et se retira. Je me précipitai sur ma +fille, qui se sentant enfilée presque sans douleur, ne criait +pas. + +-- Crie donc! (lui dis-je bien bas). + +Et elle cria à tue-tête, en se reconnaissant enconnée par un +étranger. Dès que j'eus déchargé délicieusement, en lui +faisant osciller le con, je m'échappai, avant que les voisines +arrivassent; et comme elle continuait à crier, je les envoyai +à son secours. On la trouva debout. + +-- C'est ma femme que je baisais (dit Vitnègre). Regardez-y; il +en est encore tout barbouillé. Mais elle est du naturel des +chattes; elle mord et crie, quand on la fait bien aise. + +Les voisines rirent, et se retirèrent. Vitnègre dîna, et fut +assez honnête; il craignait que sa femme n'eût connu qu'elle +était foutue par un moine, et qu'elle ne parlât. Je dînais +dans un cabaret en face. Je le vis sortir, et aussitôt je +retournai chez ma fille, qui me conta tout. Je me tus d'abord. + +Je lui fis raconter la manière dont je croyais qu'elle avait +été dépucelée; parce que ce récit avait du haut goût pour moi, +et qu'il me ranimerait assez, pour me la faire foutre encore. +Elle le fit, dès que je l'eus mise en goût, en lui rappelant +de son amant. + +-- Notre première nuit et les trois suivantes ont valu chacune +cinq cents louis à Vitnègre, à ce qu'il m'a dit par la suite. +Dès que nous fumes arrivés à sa demeure, il alluma quatre +bougies, qu'il mit autour du lit, sur lequel il me renversa +troussée jusqu'aux reins. Il me tourna, retourna, m'examinant, +me baisant partout. Il me faisait lever les jambes en l'air, +puis mettre debout sur le lit. + +-- Remue du cul (me disait-il), ainsi, ainsi (me montrant), +comme si je te foutais. + +Je lui observai que cela était indécent. + +-- Bast! une femme est la putain de son mari... + +Il me gamahucha. Il s'écria de toutes ses forces: + +-- Elle décharge! + +Et il me fit empoigner son gros membre, de la couleur et de la +grosseur de celui d'un cheval. + +-- Allons! allons, que je te foute, à présent. + +Il se jeta sur moi. Mais il ne put rien. + +-- Foutre! Celles qui disent que ton père t'a dépucelée sont +des garces! tu es pucelle comme quatre. Je voudrais que tout +le monde fût là, pour en être témoin... + +Il me pommada... devant, derrière. Il éteignit les bougies +(mon pucelage était vendu), et il parut se coucher. Mais ce +fut un autre; car toute la nuit je fus tourmentée par un gros +membre, qui ne put rien... + +Depuis le mot de son récit, Elle décharge! elle décharge! +j'avais glissé une main entre les cuisses de ma fille, sans +qu'elle s'en plaignît. Ici, je lui happais le con. + +-- Ah! Papa! ne me ménagerez-vous donc pas plus que les autres, +un jour où... j'ai été dépucelée! + +-- Dépucelée! Ah! céleste fille!... Est-il bien vrai? + +-- Jamais on n'est entré... dans ce que vous me tenez... +qu'aujourd'hui! + +-- O fille adorée! je suis un dieu, et non pas un homme... Mais +tu m'as fait trop bander: ta précieuse faveur!... ou... +j'aurais... une colique spermatique épouvantable! + +Et je l'enlevai vivement dans mes bras; je la portai dans le +cabinet obscur. + +Chapitre XII Du plus délicieux des incestes. + + +-- Vous voilà tous! (me dit-elle); et mon papa lui-même ne me +recherche que pour ce trou-là! + +-- Et pour ton cul, tes tétons, ta bouche, tes yeux, ta taille +voluptueuse, ton tour provocant, ta jambe, ton pied foutatif, +ton âme naïve et virginale, malgré tout ce qu'on a fait, pour +te rendre putain. + +En parlant ainsi, je la troussais par derrière, courbée +qu'elle était sur le foutoir, et je me disposais à le lui +mettre en levrette; mais il la fallut pommader. Elle reprit: + +-- Mais c'est ma faute! ces récits-là enflamment tous les +hommes. Timori n'a été prêt à me déflorer qu'une seule fois; +et ce fut après ce même récit moins détaillé. + +Cependant elle faufuyait, pour que je ne l'enfilasse pas. Je +m'en plaignis tendrement: + +-- Tu veux donc me rendre malade, ma chère enfant? + +Elle s'attendrit; ses beaux grands yeux bleus devinrent +humides; elle se cambra, pour me l'insérer elle-même, et me +dit, en me secondant, malgré quelque douleur, adoucie par la +pommade: + +-- Quand ma soeur et moi nous vous l'avons vu tant de fois +mettre ainsi à ma mère, sur le pied de votre lit, vous criiez +de plaisir!.... n'allez pas en faire autant! Vitnègre peut +revenir! + +Je lui promis le silence, telles délices que j'éprouvasse... +J'enconnais. Ma belle faisait de petits mouvements de +contraction du connin. Jamais satin ne fut aussi doux que +l'intérieur de ce connin céleste; connin encore imberbe n'est +pas plus étroit! + +-- Ah! si ton gueux avait connu le prix de ton divin con, il +t'aurait défoncée, eusses-tu dû en périr! + +-- Non: comme il l'a trop gros, il craignait de m'avachir. Il +se branle, ou me fait le branler, en me tenant le poil, ou une +fesse, et décharge... en... blasphémant (Elle se contracta, et +déchargea). + +Je partis alors délicieusement, en me récriant, malgré ma +promesse. + +-- Remue du croupion (ne cessais-je de dire), remue du connin, +mon ange!... Bon... bon!... encore! encore!... + +Et elle se contractait, en redéchargeant, au point que le fond +de son con me pinçait, et me suçait le bout du vit... Je +déchargeai trois fois sans déconner; et elle, peut-être dix +fois. Ce que je sentais à ses trémoussements convulsifs. +Enfin, elle se pâma... Je déconnai, dès qu'elle cessa +d'émettre. Elle se lava aussitôt, craignant que Vitnègre, en +arrivant, ne lui prît et ne lui flairât le con, suivant son +usage, même devant le monde qu'il amenait. + +Pour nous reposer, nous allâmes causer à la lumière. Je lui +révélai là toute l'aventure du moine, pour lequel Vitnègre lui +avait fait si longtemps tenir en vue tétons, cul, connin. Je +lui peignis la grosseur du vit du moine, le double de celui de +son monstre; la joie barbare qu'avait marquée l'exécrable +moine, à côté duquel j'étais caché, de la pourfendre et de la +tuer, la nuit prochaine, avec son vit comme un timon de +carrosse... Elle se jeta dans mes bras: + +-- O mon cher papa? sauve-moi! et je te suis dévouée à jamais! + +-- Je te sauverai... + +Je lui expliquai comment et pourquoi le gros moine s'en était +allé; l'assurant que je l'aurais poignardé, s'il avait +entrepris de la violer sur-le-champ. Je lui détaillai comment +son abominable mari me l'avait livrée, comptant la donner au +moine, auquel elle était vendue. + +-- Tu sais, ma ravissante fille comme je te l'ai mis? c'est +moi, contre tout espoir et toute vraisemblance, qui ai ravi à +nos ennemis, ton céleste pucelage! + +Conquette me donna un joli baiser sur la bouche. + +-- Mais comment me sauveras-tu? + +-- Je viendrai te prendre dans une heure; je t'emmènerai; tu +coucheras dans ta pension. Aussitôt que tu seras en sûreté, je +ferai entrer dans le cabinet obscur, avec ta clef, et coucher +dans ton lit, la jolie putain du Port-au-Blé, déjà prévenue, +comme pour y coucher avec moi. Je guetterai. Dès que Vitnègre +et le moine seront arrivés, je m'échapperai. J'écouterai; et +nous verrons demain. + +Ma fille fut ravie. Je la sauverai: mais j'aurais dû l'emmener +au moment même. Au lieu de cela, je m'amusai à lui faire +raconter la seconde et la troisième nuit de son mariage. + + +Chapitre XIII Du con et du cul vendus. + + +Voici comme ma céleste fille reprit la narration que je +désirais: + +-- Le second soir, Vitnègre recommença les mêmes choses. Il me +prenait légèrement la gorge: + +-- Ferme comme un gland! (disait-il)... + +Il me plaçait comme s'il m'avait montrée à quelqu'un (ce qui +n'était que trop réel!). Après avoir mis en vue ma conque, il +me tournait pour faire voir mes fesses. + +-- Elle est encore pucelle (dit-il, comme s'il se fût parlé à +lui-même); pour la perforer, il faudrait la pommader en +diable, et se pommader à soi-même le v... + +Il me gamahucha violemment; et quand j'eus émis suffisamment, +selon lui, il me laissa reposer. Après un court sommeil, je +m'éveillai couchée sur le ventre, ayant sur moi un homme, qui +s'efforçait de m'introduire dans le fondement un fort gros +membre. Mais quoiqu'il n'eût aucun égard à mes soupirs +douloureux, il ne put jamais s'ouvrir le passage par la +rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcée très bas +à quelqu'un). J'entendis ensuite, dans cette pièce-ci: + +-- Il faudrait qu'un v... moins gros que le mien me la fraye... +Voyons, toi! Trop gros, de beaucoup!... + +Je n'y comprenais rien. Je m'endormis, et ne m'éveillai plus. + +Le lendemain, dans la journée, Vitnègre m'ayant beurré la +rosette, et plongé son membre dans l'huile d'olive, me fit +coucher sur le ventre et retrousser. Il se mit sur moi, en +disant: + +-- Il faut que j'en tâte de ce ragoût de bougre. + +Je lui représentai, qu'il m'avait essayée toute la nuit. + +-- Ça va jusqu'à toi (me répondit-il), et ça te passe.... Ah! +que d'argent me vaudraient ces deux bijoux-là, s'ils étaient +connus! + +Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans +succès, et finit, parce qu'une copieuse déch--ge... lui ôta sa +roideur et ses forces... + +Le troisième soir, il répéta encore tout ce qu'il m'avait +fait... A mon réveil, dans mon premier somme, je me trouvai +sur le dos, ayant un homme sur moi, qui m'attaquait le bijou +de toutes ses forces. Je m'écriai! Vitnègre me dit: + +-- Décharges tu, ma fille? + +On me quitta, et Vitnègre ajouta: + +-- Si tu cries comme au feu dès que je voudrai te le mettre, +nous voilà bien!.. Allons, empoigne-moi le vit, que je +déch-- ge... Chatouille-moi les couilles de l'autre main... Tiens, +comme je fais à ton c-n. Va, va, va... vaah (Il ne m'appelait +encore ni putain, ni garce; ce ne fut qu'au bout de six +semaines). + +Mais ce n'était pas lui que je maniais; j'en ai fait +l'observation depuis. On émit six fois de suite, je secouai +cet homme plus d'une heure. Il en fut une autre à me +gamahucher. Je n'en pouvais plus!... Il me fit ensuite lui +pisser dans la bouche, et n'en perdit pas une goutte, il avala +tout. Il me laissa enfin.... Si je n'avais pas été dans une +sécurité parfaite, je me serais bien aperçue, que Vitnègre le +reconduisait, en disant: + +-- L'opération, l'opération! + +Mais me doutais-je de rien?... + +Je rebandais, malgré quatre décharges, et déjà je disais à ma +fille: + +-- Connin céleste, je n'en puis plus!... Je ne te cacherai pas, +ma délicieuse amie, qu'outre ma passion pour toi, qui est +inexprimable comme ta beauté, j'ai un excitatif puissant: +c'est de faire cocu Vitnègre. Je voudrais, s'il était possible +sans triturer tes charmes divins, que toute la Terre te passât +par le con, pour qu'il fût le cornard universel... Viens me +donner le bonheur! + +Et je l'emportais, quand nous entendîmes tourner la clef. Je +me cachai aussitôt dans le cabinet obscur... C'était Vitnègre, +qui rentrait avec un jeune homme. Nous entendîmes clairement, +qu'il lui disait avant d'entrer: + +-- Tu as le vit comme il le faut; c'est ce qui me fait te +donner pour six bougres de louis un pucelage qui en vaut +mille. Il est essentiel que je te surprenne, et veuille la +tuer. Tu me supplieras, et je n'accorderai sa grâce, qu'autant +qu'elle te secondera, pour l'enconner. Mes gros vits +s'ennuient de ne pouvoir la foutre ou l'enculer. Ils me paient +une grosse pension. Aussi je la nourris bien, et tu vois comme +elle est mise. Tu me l'enconneras d'abord: c'est le plus +pressé. Demain, tu l'enculeras. Sache que son mari l'adore; +s'il la rudoie, c'est pour la rendre souple à toutes ses +volontés. Elle me vaut trente mille francs, en trois mois de +mariage. Entrons; elle va te ravir: mais point de pitié! + +Tel fut le discours du monstre.... Je poussai Conquette devant +moi; je la conduisis à sa pension, d'où elle revint avec moi. +Il était nuit. Je pris Conillette, la putain, arrangée, +appétissante. Conquette nous précédait. Rassurée par ma +présence, elle ouvrit le cabinet obscur. Elle entra. Nous la +suivions. Je dis à Conillette de s'étendre foutativement sur +le pied du lit... Cependant ma fille se présentait. Elle fut +reçue avec transport. Le jeune homme, appelé Lenfonceur, et +Vitnègre lui-même, la couvrirent de louanges. On ne lui baisa +que la main. Vitnègre, néanmoins, qui (de même que les trois +fouteurs à gros vits, et le moine), était fou de sa chaussure +à talons minces élevés, lui baisa le pied. Il lui dit ensuite: + +-- Ah ça, ma fille, allons-y par la douceur. Il serait +malheureux pour moi de renoncer à te le mettre; il faut se +faire une raison: mon vit est trop gros; non préparée, il te +déchirerait. Voici un vit mieux proportionné, qui va te +perforer, sans décharger; ainsi percée, mon gros vit pénétrera +cette nuit au fond de ton con. Vois-moi ce vit-là!... + +Et il mit à l'air le vit de l'Enfonceur, ou plutôt de +Timori... Il fallait que Vitnègre eût découvert, on ne sait +comment, l'inclination de sa femme inspirée par le beau blond, +pour en user comme on va le voir. + + +Chapitre XIV Le jeune homme, la fille, le moine. + + +Ma fille, en reconnaissant son amant, que son mari lui amenait +pour l'enconner, avait rougi de pudeur, ou de désir. Elle +trouva moyen de venir à moi, pour me dire: + +-- Faites disparaître la fille; on ne l'emploiera que cette +nuit. + +Je vis bien qu'elle voulait être foutue par son galant. Je +cachai la putain. Voici maintenant le récit de ce qui va se +passer. + +Dès que Conillette se fut commodément arrangée derrière le +grand sofa, Conquette retourna auprès des deux hommes, qui la +rapportèrent au foutoir, assise à cul nu sur leurs mains +unies. + +-- Allons, ma petite garce de femme (lui disait Vitnègre), tu +vas pourtant être dépucelée, foutue! Mais ce n'est rien! c'est +quand tu auras un gros vit, cette nuit!... + +Il la troussait, l'arrangeait. + +-- Lenfonceur, que je te mette le vit dedans! + +-- Non, non; ma belle se le mettra elle-même. + +-- Tu as raison. Il faut qu'elle s'y accoutume. + +Vitnègre sortit, et j'observai qu'il laissait la porte +ouverte. J'en augurai quelque noirceur. Mais j'étais là... +Timori, bien bas, dit à ma fille: + +-- Vous le mettrai-je, ma bonne amie? + +-- Non, non! il est allé chercher des écoutants [ce mot glaça +Timori]. + +-- Mais il vous estropiera? + +-- Je ne couche pas ici. + +Alors l'amant satisfait, se mit à la gamahucher doucement. +Cependant la Voluptueuse déchargea... + +Elle était aux anges, quand j'entendis Vitnègre revenir. Je +crus qu'il amenait le moine. Il entra, passa rapidement, suivi +de trois voisines, auxquelles il disait: + +-- Je vas vous montrer ça. + +Effectivement, il leur montra quelque chose dans sa chambre... +Cependant mon amoureuse fille, gamahuchée par un amant aimé, +fit un profond soupir. Les trois voisines prêtèrent l'oreille. + +-- Ce n'est rien (dit Vitnègre); ma femme est rentrée, et je ne +le savais pas. C'est pour elle cette étoffe-là. + +-- Oh! il faut la lui montrer! (s'écrièrent les trois +voisines). + +Le monstre retint celle qui allait la chercher. Il prit la +lumière, en disant: + +-- Je vais auparavant voir si elle ne dort pas. + +Il ne fut qu'à la porte, où il s'arrêta d'un air de surprise +et d'horreur!... Il recula. Mais les trois voisines avaient vu +comme lui, par-dessus son épaule, Conquette troussée, étendue +à la renverse sur le pied du lit, la tête d'un homme entre ses +cuisses... Il les fit sortir par le corridor, en se frappant +le front... + +Il avait rempli son but. Si sa femme criait pendant la nuit, +les trois voisines, qui se croyaient bien au fait, y +mettraient les autres. Si Mme Vitnègre périssait écalventrée +par le timon du moine (qui, étant extrêmement riche, devait la +payer 60 mille francs, et qui en avait déjà tué plusieurs, +choisissant toujours les plus étroites), ce serait la morte +qui aurait tort... Cependant Vitnègre rentrait auprès des deux +amants, qui avaient changé de position: Lenfonceur, après +avoir déchargé par terre, s'était remis sur le ventre de ma +fille: + +-- Eh bien? (dit l'infâme mari) est-elle enfilée? bien +enconnée?... Déchargez-vous? décharge-t-elle? + +Nous avons déchargé (répondit Timori-Lenfonceur). + +-- Je vas sortir (reprit Vitnègre). Ramone-la-moi encore +pendant une bonne demi-heure, que je serai dehors... Et ne +vous étonnez pas de ce que vous allez entendre. J'ai mes +raisons. + +Il alla dans le corridor, dont il ouvrit doucement la porte, +et se mit à crier sourdement, comme s'il avait bourré sa femme +à coups de pieds: + +-- Ah garce! ah putain!... Tu fous, sacrée salope! Quand je +suis sorti, tu raccroches!... Je vais chez le commissaire! + +Il ouvrit la porte bruyamment, et la referma de même. Mais il +dit tout bas, avant de s'éloigner: + +-- Remue du cul, ma petite femme!... Courage, Lenfonceur! +fraye-moi la bien! + +-- Voilà un rusé scélérat! (dis-je à ma fille, pendant que +Timori observait la sortie de Vitnègre) Le moine t'aurait +tuée, et il ne néglige rien pour motiver ta mort. + +-- Sauvons-nous! (me dit-elle). + +-- Non, non; nous sommes assez pour te défendre. Feins à Timori +que j'arrive... + +Le jeune homme rentra. + +-- Voici mon papa, arrivé à propos! + +-- Ah oui! (répondit Timori), sa présence pare à tout; car +j'allais proposer de nous enfuir. Mais, à présent, voyons ce +qui arrivera. + +Je lui montrai Conillette, et je lui fis entrevoir notre plan, +que Timori trouva merveilleux!... Le temps s'écoula vite. Nous +entendîmes revenir. Timori reporta la lumière dans la chambre; +nous nous cachâmes ma fille et moi; tandis que le jeune homme +s'étendait sur le ventre de Conillette troussée... + +-- Que ton vit ne m'approche pas! (lui dit-elle) je suis gâtée; +que tes couilles ne me touchent pas le poil; j'ai des +morpions!... + +Vitnègre entrait, suivi du moine, que le voisinage aux +fenêtres prit pour le commissaire. + + +Chapitre XV Du fouteur à la Justine. + + +Le moine ôta d'abord sa robe. Mais nous l'avions tous vu. Il +mit ensuite à l'air un vit, si monstrueux que ma fille +tremblante m'étreignit dans ses bras. + +-- Oh! qu'il est gros (dit Vitnègre). + +-- Il a tué deux de mes soeurs religieuses, qui avaient fait +chacune deux enfants de notre Prieur. J'ai tué toutes les +femmes que j'ai enconnées; il n'y a que ma mère que je n'ai +pas écalventrée; mais je n'eus pas de plaisir; la vieille +garce ne saigna presque pas! j'eus peu de plaisir... Pour ta +femme... Ah, quelle rage!... Mais elle est foutue... elle sera +morte avant que j'aie achevé de l'enconner... Je l'enculerai +expirée... Je t'en apporte le prix: 60 mille francs en billets +de la caisse... + +Vitnègre le compta; les serra. + +-- Si je pouvais l'enconner une pauvre fois! + +-- Tu te fous de moi!... Après, après; elle sera encore +chaude... + +Je frémissais! et comme j'avais deux pistolets chargés, je fus +tenté de brûler la cervelle à ce monstre; mais il allait avoir +la vérole... + +-- Voulez-vous, avant qu'elle soit abîmée, lui voir le con? sa +jolie figure? + +-- Non! cela m'amollirait le vit.... Conduis-moi sans lumière. + +Ils vinrent à tâtons. + +Vitnègre précédait, pour éloigner Lenfonceur. Trouvant une +femme seule, et troussée, il voulut lui mettre, en soupirant, +sa langue dans le con. Elle l'en empêchait, quand le moine +faillit de l'écraser, en tombant sur la fille. Vitnègre fut +obligé de se retirer a quatre. Le premier acte du Père +Foutamort (comme Vitnègre le nomma), ce fut de mordre le bout +des tétons de sa monture, en lui dardant son engin, qui ne +pouvait entrer dans ce vaste con, encore élargi par une +éponge, que la fille venait d'en ôter. Conillette fit un cri +perçant! Et, se sentant déchirer le con, elle voulut se +dérober, en égratignant des deux mains. Foutamort, qui savait +bien qu'elle ne pouvait en échapper, et dont le plaisir était +d'autant plus grand à tuer une femme, qu'elle était plus belle +et plus étroite, ne la ménagea pas; tout en l'écartelant, il +lui arracha le bout des seins avec ses dents. Un profond +évanouissement, ou la mort, fit cesser ses cris... Je me +repentis de n'avoir pas d'abord tiré un coup de pistolet à +bout portant dans la tête du moine... Mais les voisins au +bruit auraient peut-être enfoncé les portes; ce fut ce qui me +retint... Foutamort, parvenu au fond du con de la fille +écalventrée, déchargea enfin en jurant et rugissant. + +-- Fous un coup (dit-il à Vitnègre), avant que j'encule la +garce! + +Le scélérat vint; mais, sentant un cadavre plein de sang, il +se retira. + +-- Elle est morte! (dit-il). + +Foutamort la tâta: + +-- Non; le coeur bat encore; vite que je l'encule. + +Le cul de Conillette était bien plus étroit que son con; le +moine haletait. Il en vint cependant à bout, car il dit à +Vitnègre: + +-- Je n'ai fait qu'un trou des deux. + +Et il déchargea horriblement!... + +Ma fille, épouvantée, m'étreignait par le milieu du corps. +Vitnègre pleurait: + +-- Ma pauvre femme! je t'ai livrée à ton bourreau! + +-- Ne te l'ai-je pas payée? (dit le moine) Elle est bien à +moi... Ainsi, va te coucher, et fous tes 60 mille livres; tu +me gênes. Pour moi, pendant qu'elle est encore chaude, je vas, +pour mon argent, foutre cinq à six fois le cul et le con de ma +putain. + +Vitnègre alla se coucher dans un petit cabinet, où il +s'enferma. + +Aussitôt Foutamort s'acharna inépuisablement sur sa victime +expirée... Enfin, épuisé, il alla chercher la lumière, pour en +repaître ses cruels regards... J'ai dit que la fille était +jolie. + +Elle est belle encore! (dit le monstre) Mais la figure de la +putain est toute bouleversée; elle ne se ressemble plus à +elle-même... + +Il lui regarda le con, en lui soulevant le cul... Il la laissa +retomber, en éclatant de rire: + +-- Ma foi, la gueuse n'a plus qu'un cul, ou qu'un con... je ne +sais lequel... Mais est-elle bien morte? + +Il la déshabilla, l'emporta nue dans l'autre pièce, la mit sur +une grande table; alla prendre un vaste saladier; tira un +bistouri [Nous le voyions par la cloison vitrée]. + +-- Décharnons-la. + +Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout +entière, la chair des cuisses; lui fendit le ventre, lui +arracha le coeur, les poumons, le foie, la vessie, la matrice; +la retourna, lui enleva la chair des fesses, lui coupa les +pieds chaussés, qu'il mit dans une poche, les mains, qu'il +serra dans l'autre. Il la retourna encore; lui coupa la +langue, la tête, ôta la chair des bras. Il vint ensuite +chercher sa chemise et un drap du lit, en disant: + +-- Voilà un bon régal pour nos moines et pour moi. + +Le terrible anthropophage mit le saladier dans la chemise; +ensevelit le corps dans le drap; fit lever Vitnègre pour le +coudre; puis il lui dit de publier le lendemain que sa femme +se mourait; de la mettre le soir dans une bière, et que lui +moine se chargeait de la faire enterrer. Et, après lui avoir +recommandé de bien effacer au grand jour toutes les traces de +sang, il sortit vers les 3 heures du matin, emportant son +saladier de chair humaine. + +Vitnègre pleura d'abord. Mais, nous ayant entendu remuer pour +sortir, le lâche eut une frayeur si grande qu'il alla +s'enclore dans son petit cabinet. Nous sortîmes donc tout à +notre aise. Comme nous traversions la petite cour, nous +entendîmes les voisins qui disaient fort bas: + +-- Il ne l'a pas tuée; voilà qu'on l'emmène!... + +Nous nous mimes à fuir par de petites rues, dès que nous fumes +dehors, de peur d'être suivis. Et bien à-propos! nous +entendîmes courir. Mais on ne prenait pas notre chemin. Je +remenai ma fille à sa pension, laissant là Timori, pour +observer, et lui promettant de revenir dans une demi-heure. + +-- Voilà donc (me dit-elle), quel serait à présent mon sort, +si, en vous accordant mes faveurs, je n'avais pas reculé votre +départ! O mon cher papa! tout mon corps est à vous, pour en +faire ce que vous voudrez! + +Je lui demandai sa bouche. Elle me darda sa langue; et nous +arrivâmes. Je lui dis de se coucher. + +-- Non, non! et mes malles.. mes bijoux; si nous pouvions les +avoir? + +J'admirai sa présence d'esprit!... Il était près de 5 heures. +Je courus rejoindre Timori, qui se promenait devant la porte. + +-- Rien encore (me dit-il). + +Un instant après, nous vîmes sortir Vitnègre. Timori le +suivit, et j'allai chercher ma fille, sa présence nous étant +nécessaire, si d'officieux voisins nous arrêtaient. A mon +retour avec ma fille et deux crocheteurs, je retrouvai Timori, +qui nous dit que Vitnègre avait passé le boulevard. Ma fille +ouvrit. Nous chargeâmes quatre malles préparées, mais cachées; +nous sortîmes sans être vus, et nous allâmes par des rues +détournées, chez mes affidés. + +Ce fut alors que ma Conquette fut tranquille! Elle se coucha, +et nous allâmes reposer chacun chez nous, Timori et moi. + + +Chapitre XVI Foutoir; petit magasin; enterrement; amour. + + +Nous en sommes aux fouteries par excellence; à celles qui vont +aguerrir ma délicieuse Conquette-Ingénue, ma ravissante +Victoire-Conquette, faire leur fortune, la mienne, en leur +ôtant une fausse délicatesse, et découvrir une chose +admirable, qu'on ne verra qu'à la fin. La route que je vais +prendre, pour former ces deux belles et leurs compagnes, +étonnera d'abord! mais en toutes choses, il faut attendre le +dernier résultat... Reprenons ce charmant récit, en faisant +précéder quelques fouteries préparatoires, qui amèneront les +grandes. Mais il n'y aura plus, dans le reste de l'ouvrage, +aucune horreur qui ressemble à celle du moine Foutamort. Les +horreurs à la Dsds sont aisées à présenter; c'est la peinture +de la douce volupté qui est le chef-d'oeuvre du génie. + +La première visite que reçut Conquette, le lendemain, jour de +son enterrement, et à la même heure, fut celle de Timori. Il +la trouva chez ses hôtes. Il venait lui raconter comment, +après être morte la nuit précédente, elle venait d'être +enterrée. Mais Il ne pouvait parler devant le monde. Or, +j'avais dans cette même maison, à quelques marches au-dessous, +mais sur le derrière, un petit magasin, où je cachais chaque +numéro de mes Annales, que supprimait le gouvernement d'alors. +Ma fille y devait faire mettre son lit, le soir même. Il y +aurait sans doute été déjà; mais elle ne faisait que de se +lever. J'y avais placé pour mon usage, celui de mon +secrétaire, de sa soeur, de sa maîtresse et de sa belle-mère, +un foutoir commode, dans le ventre duquel on pouvait +parfaitement se cacher. [Vitnègre en avait un tout pareil, +dans lequel il se mussait, quand un de ses trois payeurs +venait, pour essayer de dépuceler le con ou le cul de sa +femme, qu'il appelait, sa poule aux oeufs d'or; il voulait tout +voir, craignant qu'un des trois ne la lui enlevât. C'était +aussi par volupté; il était passionné pour la chaussure de sa +femme. Lors donc que, tendrement gamahuchée par un des trois +bougres (car ils l'adoraient, et ils vont bien la regretter), +elle émettait, il lui tirait un soulier qui, se trouvant +étroit vers la pointe, lui servait de con. Aussi disait-il à +ses intimes: + +-- Je n'ai jamais foutu ma femme qu'en soulier. + +Conquette, sentant bien que Timori avait bien des choses à lui +dire, et qu'il ne pouvait parler, prétexta qu'elle avait +laissé dans mon magasin une lettre à lui montrer. Elle avait +une double clef. Ils y descendirent ensemble. + +Je venais d'y arriver. J'entendis la marche de ma fille, sa +voix basse, et celle de Timori. Je me cachai dans le foutoir. +Ils entrèrent. Conquette ferma soigneusement la porte, la +couvrit du matelassement qui empêchait qu'on ne fût entendu au +dehors, et ils s'assirent sur moi. + +"Ah! Madame (dit Timori), quelles scènes!... Il avait +découvert que je vous aimais, à mes regards, et parce qu'un +jour étant avec lui chez vous, pendant qu'un de vos acheteurs +vous caressait sous son nom, il me vit baiser à la dérobée une +de vos chaussures. Mais il paraissait ignorer non seulement +que vous m'aimiez, mais que je vous fusse connu. Hier, à 3 +heures, m'ayant trouvé au café, il me dit: + +-- Je ne saurais dépuceler ma femme; j'ai le vit trop gros. Tu +es beau garçon; je t'ai choisi, pour la dépuceler aujourd'hui, +à l'instant; je te demande seulement six louis, qu'elle aura +pour ses épingles. + +Je les lui donnai sur-le-champ, et nous partîmes... Vous savez +le reste... Ce matin, après vous avoir quittée, j'ai été me +reposer jusqu'à 10 heures, que j'ai été à mon bureau. Mais, +passant devant sa porte, j'y ai frappé. J'ai entendu deux +voisines qui se disaient fort bas: + +-- Le confesseur y est! ce n'est donc pas elle qu'on a emmenée +cette nuit... + +L'infâme m'a ouvert. L'horrible moine était avec lui. Un frère +avait apporté la bière bien enveloppée, et il récitait tout +haut des prières auprès du cadavre dans le cabinet obscur. + +-- C'est un ami (a dit Vitnègre)... Ma pauvre femme est morte! + +-- Morte! (ai-je dit) + +-- Elle est expirée dans les bras du révérend père. + +J'ai frémi de l'expression!... Le moine a dit: + +-- J'ai fait toutes les démarches; nous avons la permission de +l'enterrer sans bruit; ce sera pour 3 ou 4 heures. + +Je suis sorti... + +En revenant de dîner, vers les 4 heures, je suis repassé. Deux +prêtres, quatre porteurs, le moine et le frère, ont emporté le +corps, sans chanter. Il est inhumé. Nous verrons la suite des +événements... Je les observerai. + +-- Ma belle amie! On vous croit morte: vous êtes libre. +M'accorderez-vous vos précieuses faveurs? + +-- Mon ami! (répondit modestement Conquette) je commence par +vous remercier de l'important service que vous m'avez rendu! +mais un autre m'en a rendu un plus important encore. Seul il +m'aurait sauvée. Si mes faveurs étaient encore à moi, elles +seraient à vous. Mais elles sont à mon premier amant, qui, +caché, a découvert toute la trame. Il venait de me déflorer; +il me l'a mis encore après. C'est votre unique rival: mais il +est adoré; son nom, que je vais vous dire, va vous prouver +toute mon estime, et que vous avez toute ma confiance. C'est +mon papa... + +A ce mot, Timori tomba aux genoux de son amante: + +-- Fille angélique! Fille divine! (lui dit-il) je reconnais là +votre piété filiale et la beauté de votre âme! Foutez avec +votre père; que lui seul vous enconne! Vous seriez digne de +foutre avec Dieu, si Dieu foutait!... Mais je demande à vous +gamahucher, et, si votre papa le permet, à vous enculer! + +-- Mon aimable ami! (lui répondit Conquette, en le caressant de +la main) vous êtes bien raisonnable! + +Timor se déculotta, lui mit dans la main un vit à pucelage, +plus petit que le mien, se fit chatouiller les couilles, et la +voulut branler. Elle s'y refusa. Alors Timori la renversa, la +troussa, et lui supa savoureusement le con... Non, jamais l'on +n'entendit de pareils soupirs!... + +-- Ah! Timori... ta langue vaut un vit. + +Elle avait émis dès le troisième coup de langue, et, dans son +délire, elle élevait ses jambes en l'air, faisait claquer ses +jolis talons, haussait du cul, pour favoriser l'application de +la bouche de son gamahucheur, et l'intromission de la langue +qui lui chatouillait le clitoris. Elle imitait sa mère, dans +ce claquement de talons; car je ne foutais celle-ci que de +jour, soit en con, soit en cul, soit en bouche, pour être +excité par ce qu'elle avait de mieux, la jambe et le pied. Je +lui demandais le claquement des talons, parce qu'il imitait la +marche de femme, son qui me faisait toujours bander... Lorsque +ma fille eut amplement déchargé, elle écarta Timori. + + +Chapitre XVII Du pucelage du cul: le père enconneur. + + +La céleste Conquette-Ingénue fut toujours aussi juste que +belle et sensible: qu'on ne soit donc pas surpris de ce qui va +suivre. + +Elle se mit sur le ventre, et lui dit: + +-- Mon second ami! pommade-moi. Mon premier ami a eu le +pucelage de mon bijou; il est juste que tu aies celui de ma +rosette; mon papa sûrement m'approuvera! + +-- O déesse! (répondit Timori, en lui insérant de la pommade +dans l'anus avec une canule) que tu es raisonnable! Il aura le +connin, moi la rosette, et nous jouirons chacun d'une fouterie +à nous seuls. + +Timori enfonça, malgré quelques petits cris de ma chère fille, +et après de vives saccades, il déchargea, en s'écriant: + +-- Foutre! foutre! quel cul.. quel plaisir des Dieux! + +Et il se pâma... Il fut épuisé, et de sperme et de forces, par +ce coup seul... Aussi se rappela-t-il, à mon grand +contentement, qu'il était attendu à 7 heures. Il laissa +l'amoureuse Conquette-Ingénue étendue sur le lit, après +l'avoir remise sur le dos, afin de lui donner quelques coups +de langue au con, pour baiser d'adieu. Il alluma sa bougie, +sortit, et tira la porte. + +Aussitôt je quittai ma cachette, et je m'élançai sur mon +adorable fille, que les trois dardements de langue avaient +émue, et dont le con oscillait vivement. + +-- Quoi! vous étiez là? + +-- Oui, ma divine. Il encule; moi j'enconne. Tu me causes une +érection terrible! + +-- Adoré Papa, foutez... foutez-moi! (et c'est la première fois +de sa vie qu'elle prononçait ce mot) je n'en puis plus moi-même... + +Elle me saisit le vit, et se le mit dans le connin: + +-- Pousse! (me disait-elle) Il entre.. Pousse! vit de Dieu! vit +paternel! émets du foutre dans le con de ta fille!... + +En parlant ainsi, elle remuait tellement du cul, que je me +trouvai bientôt au fond de son connin. Vive la fouterie +ordinaire! c'est la meilleure manière des quarante! J'avais la +bouche, la langue, les blancs tétins de ma fille, ses +caresses, la vue de son charmant visage, toujours joli au +double dans une femme qu'on fout, ses doux propos: + +-- Cher vit! vit divin! comme il me chatouille le con!... +Pousse!... Ah! bougre! je me pâme... Je déchar...arge du +fou...outre!... Ta langue! cher amant! Enconneur adoré!... Oh +je redécharge! Fous, sacré bougre! Suce... mordille-moi les +tétons!... + +Je déchargeai délicieusement à la seconde émission de ma +céleste fille. Au fond de son étroit connin, je me sentis +adorablement pincé par ce que le vulgaire appelle le clitoris, +et les gens de l'art, le bas du conceptoire ou de la matrice; +cet organe de volupté, qui n'est atteint que par un vit long, +me suçait le bout de l'engin déchargeant... Et cette idée +délirante, en me voyant sur la plus belle des femmes, +renversée sur le dos, bien enconnée, se pâmant de plaisir, + +-- Je fous ma fille... Je lui décharge dans le con... Nos +foutres mêlés peuvent lui faire un enfant tout de moi... Je +fais cocu le gueux, le scélérat de Vitnègre! Je fous sa femme, +qu'il croit morte, qu'il n'a jamais foutue... Nous la foutons, +Timori et moi, l'un en con, l'autre en cul, tandis que le vil +jean-foutre se branle le vit à sa divine intention... Il la +croit écartelée par le vit-timon de son exécrable moine... et +son étroit connin décharge avec nous, comme celui d'une +princesse, foutue par un jeune garde du corps!... + +Ces idées, rapidement roulées dans mon imagination, +doublaient, triplaient ma volupté... + +Ma fille me fit déconner: + +-- J'en suis pleine, me dit-elle; le devant, le derrière; il +faut que je me purifie. + +Je courus lui chercher de l'eau tiède chez son hôtesse, Mme +Brideconnin, que je trouvai seule auprès du feu, des tétons +blancs comme neige découverts. Je les baisai, pris l'eau qui +chauffait pour elle. Son mari me dit: + +-- Je viens de le lui mettre, à l'intention de votre fille, la +charmante Mme Poilsoyeux (nom que je lui avais donné, pour +qu'elle ne portât pas celui de son infâme mari). + +Je rentrai. Je lavai moi-même avec une fine éponge les charmes +secrets de ma déité. Il y avait un peu de sang à la rosette, +et même au connin. + +-- Eh! quoi, ma délicieuse, tu as donc encore souffert? + +-- Oui, mon cher bourreau; mais le plaisir l'a toujours +emporté, même en cul... + +Conquette, purifiée, me dit: + +-- J'étais si pressée de jouir avec vous que je n'ai pas pris +le temps, papa-sauveur, de vous demander votre sentiment sur +ce qui s'est passé entre moi et Timor? + +-- J'ai aussi bien des choses à vous dire là-dessus, mon ange; +mais nous allons souper. Vous avez besoin de repos, et moi +aussi; ce sera pour demain... + +Je lui donnai la langue; elle me darda la sienne; je baisai +les boutons rose de ses tétons, et nous allâmes nous mettre à +table. + +Pendant le souper, je racontai à M. et Mme Brideconnin ce +qu'il fallait qu'ils sussent de la prétendue mort de Mme +Poilsoyeux afin qu'ils ne la compromissent jamais. Pendant le +repas, notre porteur d'eau et sa femme placèrent le lit de ma +fille dans mon magasin; et, dès qu'il fut arrangé, nous y +descendîmes ensemble. Ma belle amie me dit: + +-- Je crois que j'aurai peur; priez Mme Brideconnin de venir +coucher avec moi! + +-- Je vais rester, ma reine. + +-- Ah! j'aime bien mieux cela! non pour jouir; mais pour que +mon amant-papa s'endorme sur les tétons de la femme de +Vitnègre, pendant qu'il se morfondra, ou qu'il ne ... qu'un de +mes vieux souliers. + +-- Ma divine fille? (repris-je) je vais, dès ce soir, te dire +ce que je voulais remettre à demain. Couchons-nous. + +Je déshabillai ma déesse comme une nouvelle-mariée, baisant +tout ce que je découvrais. Tous deux au lit, je l'assis sur +mon vit. + + +Chapitre XVIII Des avis paternels, tenant sa fille enconnée. + + +Ami lecteur! j'éprouve encore les oscillations de la plus +savoureuse volupté, en me rappelant ces moments enchanteurs, +que m'a procurés ma Conquette-Ingénue-L**! + +-- Appuie lentement, ma reine; que je t'enfile sans limer! + +Elle le fit. Lorsqu'elle fut parfaitement enconnée, je lui +dis: + +-- Tu sais, très chérie fille, que j'ai tout vu, tout entendu. +Tes sentiments divins à mon égard, m'ont pénétré de +reconnaissance et d'admiration... J'approuve entièrement que +tu aies donné à Timori le pucelage de ton beau cul. J'accepte +avec transport ton dévouement pour moi. Mais, céleste fille! +c'est à ton intérêt, à ton bonheur, que je me propose de le +faire servir. Je ne prétends pas, tel qu'un sultan, te garder +pour mes plaisirs exclusifs. Tu auras un payeur. Lequel des +trois hommes auxquels ton pucelage était vendu aurais-tu +préféré? + +-- Le plus honnête, incomparable papa; mais c'est justement +celui qui l'a le plus gros. + +-- Je te ferai donc élargir le bijou par un gros homme de ma +connaissance. Il n'est pas aimable; mais un homme aimable +pourrait t'épuiser, en te faisant trop décharger; outre qu'il +pourrait te prendre le coeur; ce qu'il ne faut pas; un fouteur +préparatoire ne doit te prendre que le con... Ni moi, ni +Timori ne te suffirions point; nous n'avons pas le vit assez +gros; ce ne sont que des vits à pucelage. Mais j'ai plusieurs +ressources... Je sonderai celui que tu préfères; puis les deux +autres, s'il ne fait pas ton affaire. Je les ai épiés. Je sais +leur adresse; je ne nous compromettrai pas. Je ne te demande +que de la soumission! + +-- Entière! divin papa. + +Elle se trémoussa un peu, et déchargea. + +-- S'il te survient beaucoup de tempérament, comme je crois +l'entrevoir, j'aurai soin que tu ne manques pas de vits. Tu +verras comme tu seras régalée!... Je ne suis plus d'un âge à +te rassasier de volupté. Ainsi, je te le ferai mettre par de +jolis jeunes gens, graduant la grosseur des vits. + +Ici, ma provocante fille s'agita, en me disant: + +-- Mon cher vit-papa! permets que je foute en con à l'intention +de Timori, le vit de mon cul! Tu m'as convertie; il +m'enconnera, mais en ta présence. + +-- Oui. oui... + +Je la saccadai. Elle s'écria: + +-- Fourgonne.. vit de mon cher Timori! fourgonne mon con! +Fais-moi pâmer! bougre.. foutre.. Ramone.. ramone!... ze déçarze! + +Et elle déchargeait, en se roidissant: + +-- Ahahah, mon papa! Ahahah! Ahahahh! (avec un long soupir)... + +Je n'ai jamais eu tant de plaisir qu'à cette décharge... Nous +avions de la lumière; ma fille se mit sur le bidet pour se +rafraîchir le bijou, tandis que je me mettais le vit et les +couilles dans l'eau froide, pour me faire débander. Je +demandai à ma fille, Qui lui avait appris les expressions dont +elle s'était servie, en déchargeant? "Dès la troisième semaine +de notre mariage (me répondit-elle), Vitnègre fit coucher avec +lui sa filleule, femme d'un espion de police; cette femme, par +les ordres de son parrain, feignait de délirer, quand il +l'enfilait; et voilà quels étaient ses propos, avec beaucoup +d'autres, qui n'auraient pas été placés pour nous, comme +gros-bondon, chien de vit de mulet, Foutamort le cadet! etc. Nous +nous remîmes au lit, et nous nous endormîmes enlacés. + +Le matin, je renouvelai mes instructions à ma fille. On +frappa. C'était Mme Brideconnin, qui parla. Je me cachai dans +le foutoir. Elle apportait le déjeuner de Mme Poilsoyeux. + +-- On cherche une fille du Port-au-Blé (dit-elle), disparue +depuis avant-hier soir. Une de ses pareilles a dit, qu'elle +devait aller coucher avec un homme de 40 ans, qu'elle avait +dit avocat, mais qui est chirurgien; qu'ils l'ont tuée à deux +pendant la nuit, et disséquée. C'est peut-être votre histoire, +qu'on dénature comme ça? Mon mari doit aller s'informer. + +Elle sortit; et je vins déjeuner avec Conquette. Je la +laissai, en promettant de la voir à dîner. + +Je fus exact. Brideconnin était sorti. C'était effectivement +de Conillette dont il était question. Le commissaire et les +mouchards visitaient toutes les maisons de la rue; mais on ne +trouvait rien. Je changeai de costume par précaution... Je +revins le soir, et ne couchai pas. Je me reposai trois nuits, +et laissai reposer Conquette-Ingénue. + +On sait que j'aimais ma fille autant pour elle-même, que pour +mon plaisir, et que je n'entendais pas régler son appétit de +19 ans, sur mes forces de 40. Mais j'avais encore d'autres +raisons. Je vais me conduire en conséquence. + + +Chapitre XIX Du père juste, et du vit grisonnant. + + +On sera sans doute surpris de ce qu'on va lire, d'après les +sentiments que je viens de professer!... Ne me préjuge pas, +téméraire! Pour me connaître et prononcer, attends. + +Je connaissais un de ces gourmets de plaisir, gros homme +vigoureux, lubrique à l'excès, nommé Montencon. Il m'avait +donné souvent à dîner, rue Troussevaché, où il demeurait, m'y +avait fait enconner la petite Vitsucette, sa maîtresse, en me +la tenant lui-même. Il m'avait même procuré la fille de son +hôtesse, Petit Bijou, séduite par un noble, appelé de Foutâne, +qui l'avait ensuite rendue putain. Elle nous amusa toute une +après-dîner; Montencon ayant grisé la jolie Adélaïde +Hochepine, il eut la politesse de me la faire enconner le +premier, et chatouiller les couilles par sa maîtresse. Ensuite +il l'encula, également chatouillé par Vitsucette. Je la +refoutis, après que la Vitsucette de Montencon me l'eut lavée. +Mais celui-ci nous dit: + +-- J'ai mes raisons. J'embouche la jolie garce. + +L'ayant embouchée, et lui ayant fait avaler son foutre, en +haine de Foutâne, j'en fus dégoûté, ainsi que de la +Vitsucette, dite la Baiseuse, à laquelle il en faisait autant. +Je n'y étais plus retourné. Ce fut cet homme que j'invitai à +dîner dans mon petit magasin, pour aguerrir et m'élargir un +peu ma fille (car j'avais fait donner séparément aux trois +payeurs à gros vits de Vitnègre, MM. Lélargisseur, Percecul et +Cognefort, l'espoir de la retrouver, ou sa pareille). + +Montencon était connu de Conquette, dont il avait foutu la +mère avant la vérole. Il n'en avait que plus envie de le +mettre à la fille. Je le trouvai dans l'escalier, en arrivant +moi-même. Je l'introduisis. Il demeura immobile de joie et +d'admiration, en voyant une femme si belle!... J'avais +affaire; je ne restai qu'un moment, en lui disant, que je lui +laissais ma fille pour compagnie. Il balbutia, en me +reconduisant: + +-- Elle est ravissante! Quel goût dans sa parure! Comme elle +est chaussée! et quel dommage qu'un Vitnègre ait eu ce +pucelage-là! + +-- Vitnègre? Elle est pucelle. + +-- O mon ami! puis-je y tenter? et tâcher de mettre au moins +une corne à ce gredin-là? + +-- Fais-y ce que tu pourras. Mais je doute du succès, avec ton +poil gris. Il n'y a que les catins blasées, qui souffrent les +barbons vigoureux et libertins; avec les pucelles sages, il +faut être tendre; et tu as la figure d'un satyre, ou d'un +réprouvé. Mais tente-z-y. + +Après mon départ, Montencon essaya d'abord de la galanterie. +Mais n'y gagnant rien, il culbuta Conquette à l'improviste sur +le foutoir; et, comme il était vigoureux, il lui approcha, en +la contenant d'une main, le vit des lèvres du con... Cependant +il ne put l'enfiler; un coup de cul en arrière le +débusquait... Il allait la menacer de la poignarder, lorsque +je rentrai. Conquette se rajusta, sans marquer d'humeur. Je +dis tout bas à Montencon: + +-- Le pucelage? + +-- C'est un diable! J'en serai réduit à me branler! + +-- Tu la foutras. + +Nous nous mimes à table. Conquette parla comme à l'ordinaire à +son vellivioleur, et rit même avec lui. Tout haut, devant moi, +il lui demanda, d'où vient elle ne s'était pas laissée +enconner? + +-- Fi donc! (répondit-elle). Eh! d'où vient l'aurais-je +souffert? + +-- Parce que je bandais comme un carme. + +-- Vous parlez comme un Vitnègre... + +Montencon ne m'en raconta pas moins ses entreprises, en termes +savoureux. Il loua la beauté de la conque, le soyeux du poil, +la blancheur des fesses, la fermeté des tétins, le rosé du +bouton, l'éburnité ou l'ivoire du ventre et des cuisses: Il +extolla le pied, la jambe de la belle... Conquette, ainsi +louée, rougissait, et n'en était que plus modeste. Je +répondis, Que j'étais le seul qui foutît ma fille, à laquelle +j'avais sauvé la vie, et que j'avais déflorée, il y avait 8 +jours. Et je racontai toute l'histoire. + +-- Vous la foutez? + +-- Eh! qui donc la foutra? Je suis deux fois son père... + +Montencon se mordit les lèvres. Conquette m'embrassa. + +Pendant tout le dîner, nous admirions le voluptueux tour de +hanches de Mme Poilsoyeux, à chaque fois qu'elle se levait, +pour aller demander un plat, ou qu'elle donnait des assiettes. +Elle avait un joli soulier rose à talons verts, élevés, +minces; des bas de soie blancs neufs, à coins roses. Je lui +demandai si elle était jarretée au-dessus du genou? + +-- Certainement! (répondit-elle) toujours. + +-- En ce cas (repris-je), montrez-nous la plus jolie jambe qui +soit au monde! + +Elle refusait. Mais nous l'en pressâmes tant que, pour se +débarrasser de nos prières, elle mit le pied sur une chaise, +et nous montra, jusqu'au dessus du genoux, une jambe à faire +bander un moribond... Nous entrâmes en rut, Montencon et moi; +mais nous nous modérâmes. Cependant le grisonnant Ribaud, dans +un moment où ma fille était sortie, me proposa de l'enivrer, +en mettant du champagne, qu'il avait apporté, dans son vin +rouge, au lieu d'eau. Je feignis d'y consentir. Mais, avant +que Conquette rentrât, j'allai au devant d'elle, et l'avertit +de tout. Puis j'ajoutai: + +-- Ma raisonnable fille, il faut qu'il te le mette; je l'ai +amené exprès pour cela; mais je ne savais comment faire. J'y +réfléchissais, quand sa proposition m'a tiré d'embarras. Tu +feindras de t'enivrer. J'en ferai autant; et, par ce moyen, +jamais il n'aura un pied sur toi. Il a l'engin assez gros, +quoique moyen. Après lui, je t'aurai Traitdamour, mon ancien +secrétaire, un joli garçon, qui achèvera de t'élargir +suffisamment pour l'engin du Payeur que tu préfères... Il est +averti de ton existence, et je n'ai demandé que quelques +semaines pour lui procurer ta vue. Laisse-toi donc faire, ma +reine; j'empêcherai tout ce qui ne conviendrait pas. + +-- Je vous suis soumise; disposez de moi (répondit-elle). Je me +suis trop mal trouvée de vous avoir désobéi!... + +Nous rentrâmes. Entre les deux portes, elle se découvrit un +téton, et me le fit baiser. + +Montencon avait arrangé la carafe en vin de Champagne. +Conquette, prévenue, le remarqua; s'en procura une autre +d'eau, et réserva le vin, pour griser Montencon lui-même. Mais +le Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux yeux +et les autres charmes de ma voluptueuse Conquette-Ingénue. + + +Chapitre XX Du, Ah, comme elle fut foutue! + + +Dès que Mme Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, +parut dans l'état où le Montencon la désirait, je la saisis, +la première fois qu'elle se leva, par la taille d'une main, et +de l'autre, je lui pris le con (Outre que je désirais vivement +sa possession, je la voulais enhardir, et préparer son bijou à +l'admission d'un plus gros membre que le mien). Je la +renversai, en demandant un morceau du beurre frais resté sur +la table. Je lui en mis gros comme une noix à l'orifice; et je +poussai. + +-- Laissez, laissez-moi donc! (me disait-elle doucement) + +Cependant elle remuait admirablement de la charnière, et le +foutoir craquait sous nous... Je déchargeai, en me récriant de +plaisir!... + +-- A toi, bougre... + +Montencon, debout, son gros vit bandant à la main, nous +admirait!... J'eus à peine déconné qu'il se précipita sur ma +fille, dont le connin oscillait encore; et, doublement +favorisé par mon foutre et par le beurre frais, il pénétra. +Conquette fit un cri! Je m'avançai, alarmé. Mais elle me +sourit aussitôt. + +-- Enfonces-tu? (dis-je au fouteur) + +-- Oui, oui! sacredieu! (me répondit-il) et avec délices!.. +Elle me pince le vit!... Mais... quel connin!... C'est un +satin!... Ah!... Ah!... je fous!... Remue du cul, céleste +houri!... Re..mue, divine bougresse!... Con délicieux! +remue... sous moi!... saccade... saccade!... Je pa..ars!... je +décha..arge!... Ahah!...! + +Le grisonnant se pâma sur les tétons de ma fille, qui +elle-même nageait dans le foutre et la volupté. J'avais craint +qu'elle ne remuât pas assez avec un étranger; mais, dès +qu'elle fut limée, elle se mit à remuer, à saccader, à +osciller des reins, à décharger avec des soupirs et des +cris... Montencon se remit à la fourgonner, sans déconner, +criant, hurlant de luxure, et murmurant par intervalles: + +-- Divine garce!... fais-toi putain... et... je te réponds... +de ta fortune!.. + +Il recommença ainsi trois fois sans désarçonner. Enfin, il +déconna. + +-- Voilà un coup qui en vaut dix, et un con qui vaut cent, et +mille fois tous ceux que je t'ai fait enconner, même ma petite +hôtesse! On ne le quitte qu'à regret!... Mais refous-la, mon +ami. Une femme vaut seize hommes au jeu couillard; ne la +laissons ni refroidir, ni chômer. + +A ce mot, Conquette-Ingénue, restée immobile, et se +contractant seulement un peu, comme si on la tenait encore +bourrée... d'un vit, sauta du foutoir, et courut se laver. +Elle trouva de l'eau tiède préparée. Nous fumes aussitôt à +genoux devant notre divinité, et nous lui épongeâmes l'un le +cul, l'autre le con, les fesses et les cuisses, car elle était +pleine de foutre et d'un peu de sang, prenant garde de +mouiller ni sa chemise, ni ses bas; nous la faisions se tenir +troussée au-dessus des reins.... Après une scrupuleuse +ablution, nous l'avons admirée; car elle était ravissante à +cul et à con découverts! Nous l'avons fait marcher ainsi, et +nous avons vu la magie de son divin tour de cul... + +-- Moi (disait le Grison, en la regardant venir à nous), ce qui +me transporte, c'est ce con noir, sur une peau de lis; ce poil +soyeux, et cette raie de corail, qui le sépare en deux égales +parties!... + +La belle se retourna, et montra d'autres charmes: + +-- Ah! (s'écria Montencon ravi) le beau cul! il n'est pas +inférieur à l'admirable connin! + +Elle revenait. + +-- Ah! le beau con! Il est digne du divin cul! + +Quand ma fille fut auprès de nous, il lui baisa le connin. +Puis, se levant (car nous étions restés à genoux pour mieux +voir), il l'emporta sur le foutoir, en me demandant la +permission de gamahucher tous ces charmes-là, avant que je les +refoutisse... Ah! comme elle fut gamahuchée!... Il lui +chatouilla de sa langue la rosette, à la faire tressaillir. +Puis il vint au con. La belle, chatouillée, se trémoussa, puis +émettant, elle hennissait, comme une jeune cavale, dans la +vulve de laquelle on insère pour la première fois l'engin +terrible et perforant de l'étalon vigoureux; les fesses +potelées de la jument pucelle tremblotent; elle frémit de tout +son corps, et répond, par l'émission de son hippomanès, aux +flots de sperme que lui lance le dominateur des haras... Telle +était ma voluptueuse fille, seulement gamahuchée... Montencon +déboucha, et moi, me précipitant sur ma fouterie, cambrée, +tenant son cul à trois doigts du foutoir, je plongeai +brutalement. Elle ne faisait que doucement osciller. Ce qui ne +s'accordant pas avec ma ribaude impatience, je dis à +Montencon: + +-- Arrache-lui sa chaussure, et chatouille-moi-la sous les +pieds! + +Il le fit. Mais le couillon s'amusait à les flairer, en +disant: + +-- C'est Cypris, et le dedans de ses chaussures sent +l'ambroisie. + +-- Chatouille donc, jean-foutre! + +Il chatouilla; et, au second soubresaut, je déchargeai +copieusement!... Dans mon extase de plaisir, j'élevai mon âme +vers la divinité: + +-- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donné une fille si +parfaite, dont le connin trémoussant vient de me donner une +idée du délice que vous éprouvez vous-même, en foutant votre +fille la Nature!... + +-- Dieu de mon connin! (balbutia Conquette) sois béni! je +re-décharge encore! le cri de mon père a fait entrer son vit plus +avant! + +-- Oh! quel digne père! quelle pieuse fille! (s'écria Montencon +édifié)... + +Je déconnai. + +-- Mais d'où vient (me demanda le vigoureux grison, en se +remettant sur ma fille, et l'enconnant sans laver), m'as-tu +fait chatouiller le dessous des pieds de ta céleste fouteuse! + +-- Je tiens cette recette d'un imprimeur foutant la femme de +son confrère de l'aveu du cocu. + +-- Que lui avez-vous donc fait, qu'elle m'a donné tant de +plaisir à la fin? + +-- Vous avez bien vu qu'elle était déchaussée? Or j'ai ouï dire +que les fils de mesdames Quillenpoche et Radball, âgés de huit +ans, étant entrés dans la chambre où un avocat et un procureur +vitoeuvraient mesdames leurs mères, les petits babouins, ne +voulant pas les déranger, leurs ôtèrent à chacune une mule +délicate, et leur chatouillèrent le dessous des pieds. Ce qui +fit faire aux deux dames des soubresauts qui leur procurèrent +autant de plaisir qu'elles en donnaient à leurs opérateurs. +Aussi depuis se firent-elles toujours chatouiller les pieds en +pareille circonstance. + +-- Tu vas me rendre la pareille... + +Il saccadait. + +-- Allons, le foutre de ton père... ce foutre dont tu es faite, +amalgamé au tien dans ton sacré connin de poupée, doit te le +pommader! Et j'ai de la peine!... + +Je vis à la rougeur de ma fille qu'elle souffrait. + +-- Déconne, bougre (dis-je à l'Enfonceur), ton vit d'âne, ton +vit de mulet donne les bouchées trop grosses à ce +connichonnet! + +Il déconna, et je mis une boulette de beurre frais à l'orifice +du bijou de ma fille. + +-- Oh! ça me le rafraîchit (dit l'aimable enfant)... + +Montencon re-enconna avec fureur. Il entra mieux, et toucha le +fond, Conquette ayant saqué du cul: + +-- Ah! je te sens, petit joli chien de pinçoir! Allons, +Vitnégrette, encorne ton jean-foutre de Vitnègre! Pince.. et +remue du cul, garce! + +Ces mots grossiers me mirent en fureur érotique; je +chatouillai sans pitié les pieds de ma fille, en lui disant: + +-- Fous, déesse! Donne-nous ton joli foutre!... Et toi, sacré +bougre, inonde-la! As-tu jamais percé con ou connin, qui +vaille le connin, le connichet de ma céleste, de cette divine +putain?... + +Conquette saccadait à désarçonner son enconneur (comme faisait +Mlle Timon sous le grand homme Mirabeau). Mais Montencon se +tenait ferme. Cependant elle eut une décharge si convulsive +qu'il fut presque déconné. Mais, en retombant, le frottement +serré du connin velouté le fit décharger avec ravissement... + +Il lima quatre fois sans déconner, et, à la quatrième, lui +ayant chatouillé les couilles, il émit aussi copieusement qu'à +la première. Mais il fut épuisé. "Ah! comme Vitnègre est cocu! +(disait-il en déconnant) car sa fouteuse de femme a déchargé +le triple de moi. + +Conquette sourit. + +-- Combien? (lui demandai-je). + +-- Oh! dans les neuf, trois fois neuf. + +Je la baisai sur le front, et elle alla au bidet. Je vis par +là qu'elle aurait un vigoureux tempérament. Ainsi, je résolus +de la faire un peu blaser, avant de la livrer à son gros vit. + +Mme Vitnègre, voulant se rafraîchir quelque temps le con dans +sa cuvette à bidet, nous pria, avec une modeste rougeur, de la +laisser libre. Nous la saluâmes aussi respectueusement qu'une +déesse bienfaisante, et nous sortîmes. Montencon me dit: + +-- Je vous rends grâces. Je serais plus glorieux d'être son +père que de la reine Marie-Antoinette. Elle est autant au-dessus +des fouteries ordinaires, que Mlle Contat ou Mlle Lange +sont au-dessus d'une putain des pauvres, qui branle les vits +derrière les charrettes sur le quai du Louvre. + +Nous nous séparâmes, à ces mots. + +-- Ah! (disait Montencon, s'éloignant), comme elle a été +foutue! + + +Chapitre XXI Du ressouvenir, et de l'épisode. + + +Oh! que les puristes ont dû se récrier au chapitre +précédent!... Eh bien, puristes, je m'en fous. + +Le lendemain, je m'attendais à un peu de bouderie, ou de +sérieux. Non. Ma Conquette me parla comme à l'ordinaire... Je +fus huit jours, sans chercher à le lui mettre... Le samedi, +son bijou bien rétabli des fatigues données par Sourcilsgris, +dit Montencon, elle y sentit un chatouillement. Elle se +ressouvint alors de ce que je lui avais dit, qu'elle pourrait +se laisser enconner par Timori. Elle fit une toilette de +volupté, se couvrit d'une calèche, et sortit le soir. Mais je +l'observais, et la faisais soigneusement observer par Mme +Brideconnin, ou comme je l'appelais en badinant, Mme Conbridé. +Je fus averti; je la suivis, pour la préserver de malheur. +Elle monta. J'écoutai à la porte; et j'entrevis même par une +fente... Conquette se jeta dans les bras de Timori. Mais il +était malade. La belle fut gamahuchée seulement. Timori, au +lieu de la caresser, comme elle s'y attendait, se mit à lui +raconter la suite des événements relatifs à Vitnègre, à +Foutamort, et à Conillette: + +-- J'ai été voir Vitnègre aujourd'hui, au lieu de me rendre à +mon bureau, étant malade. Je l'ai trouvé malade lui-même, tant +il avait été hier effrayé des menaces de son moine. Celui-ci +l'avait fait demander. Vitnègre est accouru. Il a trouvé toute +la communauté à l'infirmerie. Parvenu au lit de Foutamort, +celui-ci lui a dit: + +-- Gueux! si j'en avais la force, je t'étoufferais... Mais si +je suis pour en mourir, comme On l'assure, je déclarerai tout +au Lieutenant de Police, et tu seras pendu... Tu m'as vendu ta +femme. Elle était si belle que j'ai eu un plaisir... infini... +à la faire expirer dans des douleurs plus fortes que celles de +l'accouchement... J'en bande encore, mais avec des douleurs +insupportables... Elle était si belle que j'ai voulu en +manger: je me suis fait accommoder son con, sa matrice, ses +poumons ses tétons et sa tête, que j'avais déguisée. Nos +moines ont mangé, sans le savoir, son cul, ses fesses, ses +mollets, ses pieds, ses bras, ses mains, ses épaules, son +coeur, son foie, etc... Tous, eux et moi, nous avons la vérole! +Or, ta femme, belle, fraîche, pucelle encore, ne l'avait +pas... Voici ce que tu as fait, coquin. Touché d'une fausse +compassion, tu as fait évader ta femme, que je t'avais payée +pour la foutre à mort, et tu lui as substitué une putain... +C'est une insigne coquinerie... Si j'en reviens, j'aurai ta +femme; si je meurs, tu seras pendu... + +Vitnègre s'est donné à tous les diables que c'était vous qu'il +avait livrée. Le moine, qui venait d'être frotté de mercure, +et dont la langue enflait, a fait signe qu'il n'en croyait +rien. Le chirurgien a tiré Vitnègre à part: + +-- Avez-vous quelque affaire à régler avec ce scélérat? il n'a +pas 2 heures à vivre, à la manière dont enfle sa langue. Il a +une vérole si terrible, que j'ai été obligé de le frotter au +triple des autres, que voilà dans leurs lits, et qui +commencent à saliver. Je le connais; c'est un monstre à ôter +du monde, et tout à l'heure, il ne pourra parler. + +-- Empêchez qu'il n'écrive! + +-- Oh! ne craignez rien! l'enflure lui... gagne les yeux; il +n'y voit plus, et la langue commence à lui sortir de la +bouche... Il... souffre... (lui tâtant le pouls) comme un +damné... et il n'a pas une demi-heure à vivre... + +Alors, Vitnègre, enhardi, a dit au moine: + +-- Gueux! Infâme!... c'est la putain Conillette que je t'ai +donnée, que tu as fait manger à tes moines, et dont tu as +dévoré la matrice vérolée! + +Le moine s'est soulevé, et a lancé à Vitnègre un si terrible +coup de poing, qu'il l'aurait tué, si la colonne du lit +n'avait pas amorti une partie du coup, qui cependant a +renversé Vitnègre. On l'a fait sortir. Mais il a appris ce +matin, par le chirurgien, que la langue du moine, devenue +grosse comme celle d'un boeuf, l'avait étouffé un quart d'heure +après... On a brûlé, sans lire, tout ce qu'il avait écrit +durant sa maladie. + +-- Voilà ce que Vitnègre, tranquillisé, vient de me raconter. +Il est tard; je ne saurais vous reconduire. Partez, ma belle +amie. + +Tel fut le récit de Timori, fait à ma fille, que j'entendis +tout entier, et qu'elle me répétera. Elle s'en revint la tête +remplie d'idées noires. Je la suivais à vingt pas, la couvant +des yeux, pour la préserver de toute mauvaise rencontre. Je +bandais comme un carme, en voyant son joli tour de hanches... + +Elle rentra. Je la précédai dans mon magasin, et je me cachai. +Elle revint avec de la lumière et de l'eau tiède. Elle se lava +la motte, et soupira, en se disant à elle-même: "Il n'existe +plus, le scélérat!... Je suis encore effrayée! Je frappai un +petit coup sur une commode. Conquette leva les yeux, et me +vit. Je lui contai tout ce qu'elle venait de faire. Je lui +causai un effroi salutaire, qui la guérit de l'envie de +retourner seule chez Timorì, en lui disant que j'avais aperçu +Vitnègre sur le quai des Ormes. J'ajoutai: + +-- Vous alliez pour être baisée; vous le serez; car je couche +avec vous. + +Elle bégueulait, disant que le récit de Timori lui avait ôté +ses désirs. Je ne l'écoutai pas; je me mis au lit, et elle +vint se coucher auprès de moi. + + +Chapitre XXII De la fouteuse mise en appétit. + + +L'appétit vient en mangeant (dit le proverbe); et l'on va voir +combien il a raison, pour Conquette! + +Dès que ma fille fut à ma portée, je m'ancrai sur ses appas, +lui suçai les tétons, et l'enconnai. Je ne sais par quel +motif, humeur ou volupté, ma divine enfant ne remua pas. Je +fis de même, et la tins emmanchée, sans me donner aucun +mouvement... Je m'endormis, après m'être mis sur le côté, sans +déconner. Conquette, qui s'y était prêtée, s'endormit comme +moi, sans doute; puisqu'en m'éveillant, sur les 2 heures, je +me retrouvai dans son bijou. Je m'agitai pour lors. Elle me +serra dans ses bras, remua vivement du cul, et me dit: + +-- Cher amant! pou..ousse". + +Et elle saccada de toute la force de ses reins... Elle +déchargea... J'émis aussi... + +-- Ah... mon Dieu (dit-elle), c'est mon papa, qui me... +caracole... + +-- Qui te fous, ma déesse. + +-- Ah... il n'y a que vous, pour ces choses-là... Je ne vous +contrarierai plus; car vous avez plus d'esprit que moi... J'ai +eu un plaisir... que je ne dois qu'à vous... Cher papa, +recommencez; que je décharge à votre intention! Je vous +adore... + +Je la re-enconnai vigoureusement, en lui disant: + +-- Et fous comme tout à l'heure, à l'intention de ton amant... + +Elle remua du cul comme Cléopâtre ou Messaline, et elle se mit +à dire, en saccadant: + +-- Bougre de Timori... fous... fous... fous-moi... Fous ta +garce... fais cocu mon sacré gueux de père... dont je suis la +femme... la maîtresse... la putain... Ah... je sens ton vit, +au fond de mon con... Ta langue... ta langue!... Je me pâme... +je dé...cha.arge... Foutre... Ah-a-a-ah... je n'en puis +plus... + +Et, en finissant, elle alla se laver le con... + +Dès qu'elle fut de retour, je remontai sur elle. + +-- Remue du cul, du con! (lui dis-je) Trémousse des fesses... +Je sens ton pinçoir... Oh! que tu fous bien, fille de mon vit, +pour une novice!... Ayez un mouvement encore plus rapide!... +Bon... excellent!... Quels reins élastiques!... + +Elle fit trois soubresauts, et déchargea, en disant: + +-- O mon Dieu! mettez une tonne de foutre dans les couilles de +mon père, et que son vit divin le décharge au fond de mon con! + +Dieu l'exauça, car j'émis aussitôt, et nos foutres se +mêlèrent. J'en espérai un Adonis... Elle resta ensuite +immobile, et moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me +rafraîchis le vit et les couilles; puis nous nous recouchâmes. +Je la re-enconnai. + +Je fus là plus d'une heure, lui suçotant ses boutons de roses, +lui dardotant et lui faisant dardoter la langue; la faisant +déchargeoter, pâmoter, chatouilloter mes couilles. Je ne +pouvais me résoudre à déconner... Tout à coup ma fille, que je +croyais épuisée, se met à trémousser du cul, à convulsionner +du con, comme faisait autrefois sa mère, mais mieux que +celle-ci... Je rebandai roide, mais loin de la décharge! De sorte +que je la limai tant qu'elle voulut... Elle me disait: + +-- Papa! je ne parlerai pas d'un Vitnègre, qui n'a de plaisir +sur une femme qu'autant qu'il brutalise sa monture; mais vous +foutez plus tendrement, plus délicieusement, que Timori ne +caresse. Vous limez mon con comme un dieu!... A votre +intention cette décharge-ci... Papa! Papa, fourgonne! tu es +dans le con de ta fille! Remue du cul, papa! Tu me fous... tu +me fous... tu m'enco..onnes!... Fous, bougre! fous ta fille! +incestue, jean-foutre!... Enfonce, enfon..once... dans le +con..on de ta fi..ille... pâ..âmée!... + +Et elle resta comme morte, pendant une longue décharge... + +Je la relimai, voulant décharger aussi, pour la dernière fois +de cette nuit-là. Elle se ranima: + +-- Fous, maquereau! Je suis ta putain, ta raccrocheuse... ta +sacrée salope... ta passionnée fouteuse... ta tendre fille... +Engrosse-moi! (remuant du cul avec fureur) mets-moi dans le +con un garçon... une garce! si une fille, tu la... +dépucelleras un jour... si un fils, il me foutra... + +-- Adorable fureur! (m'écriai-je)... Tiens, fille adorée, voilà +du foutre. + +J'émis délicieusement; et ma fouteuse déchargea plus +délicieusement encore... + +-- Ah! quelle nuit! (me dit-elle)... Timori ne me l'aurait pas +donnée si voluptueuse... + +Elle s'ablua; je lavai, et nous endormîmes. + + +Chapitre XXIII De la tendresse filiale; amour paternel. + + +Etre réservée, modeste, ou voluptueuse et fouteuse à propos, +c'est la véritable sagesse. + +Je ne raconte pas les bagatelles... Montencon ne put le +re-mettre à Mme Poilsoyeux, et il en fut très étonné! Elle était +aussi modeste, aussi retenue avec lui, qu'avant qu'il l'eût +foutue. C'est qu'elle suivait mon avis, de ne pas laisser +prendre un pied sur elle, par les faveurs accordées, ou +ravies.... Un jour qu'elle se baissait, pour arranger le feu, +il lui prit le con. Elle lui donna un soufflet. Je dis à +Montencon: + +-- Moi, qui la connais, je ne lui touche jamais les fesses, ou +le poil du connin, sans sa permission, et sans qu'elle m'ait +dit: "Eh bien, faites donc vite!" Quand je lui demande cette +faveur, elle est parée, chaussée comme les Grâces... Je +commence par lui demander à lui baiser le pied. Puis, lui +glissant la main sur la jambe, je lui dis: "Tu l'as si jolie! +que je la baise!..." Je pousse à la cuisse, en disant: "Quel +satin!" Je lui passe délicatement la main sur la motte, et je +m'écrie: "Ma reine! qu'en te voyant marcher dans la rue, et +tortiller si joliment du cul! faire bander tous les hommes, +bisquer de jalousie toutes les femmes, je puisse me dire: 'Je +viens de patiner, de baiser ces foutatifs appas...' Je te +suivrai; j'entendrai les hommes dire: 'Que je la foutrais +bien!' Je verrai les femmes penser: 'Sacrée coquette! cette +parure, ce goût, ce tour de cul signifient: Je veux être +foutue! Vits, foutez-moi!' 'Bougresses! (leur répondrai-je +tout bas), je méprise vos cons et vous! Je ne bande que pour +le beau connin que vous jalousez'..." + +Ma fille sourit à ces propos; se laisse patiner, puis baiser +tétons, fesses et connin... Montencon m'admira, et demanda +pardon à Conquette, qui n'avait entendu ce que je venais de +dire, qu'avec une modeste rougeur. + +Un jour de fête, que je l'avais conduite avec précaution chez +une amie, et que j'étais retourné la chercher le soir, la +suivant à quatre pas, son lubrique tour de fesses me fit +bander si fort qu'en rentrant, je lui happai le con. Elle se +défendit, parce qu'elle entendait aller et venir Mme +Brideconnin. + +-- En ce moment, déesse, je suis si enragé de lubricité, par ta +marche voluptueuse, que je te foutrais devant toute la Terre. + +Et je grinçais des dents, lui tenant toujours le poil du con, +ce poil soyeux qui lui formait une longue et superbe perruque +à la Louis XIV. + +-- Eh bien! (me dit-elle), allons: Mais ne me chiffonnez donc +pas? + +-- En déshabillé, reine. + +Je lui tenais toujours le con, et je la suivais à chaque pas +qu'elle faisait. Elle me donna un joli baiser à langue dardée, +pour me remercier de ce que je lui permettais de se mettre en +déshabillé. + +-- Ne me quittez pas le poil; ça me prépare. + +Une pareille complaisance me la faisait adorer. En un instant, +elle fut en corset, en court jupon piqué, les tétons bien +découverts: + +-- Ma chaussure est-elle assez voluptueuse? ou voulez-vous des +mules, avec d'autres bas? + +-- Des mules. + +Je la déchaussai d'une main, lui chatouillant toujours le con. +Ah! quelle jambe blanche! quelle propreté! Elle se chaussa +debout. Je lui mis le pied dans une mule rose délicieuse, à +talons roses aussi, minces, élevés, à falbalas d'or, ainsi que +le bout du talon. Je lui quittai la motte, qu'elle lava. +Ensuite elle fit par la chambre quelques tours, pour m'exciter +davantage. Me voyant hors de moi: + +-- Je veux te griller! (me dit-elle). + +Tandis que je déculottais, elle s'assit, croisa ses genoux, et +fit badiner la mule du pied en l'air... + +Je n'en pouvais plus... Me voyant prêt à m'élancer sur elle, +Conquette vint sur moi troussée, me fit tenir ses jupes, +appuya ses deux coudes sur mes épaules, et s'enfila doucement +elle-même, sans toucher mon vit de sa main délicate. Elle +descendit ainsi graduellement jusqu'à ce que je touchasse à +son pincevit: + +-- Ne remue pas! (me dit ma reine) je veux me foutre moi-même! + +Quand elle sentit le plaisir, la divine fouteuse, trop émue, +s'abandonna de tout le poids de son corps, en me disant: + +-- Cher vit... pou..ousse! + +Elle mit sa bouche brûlante sur la mienne, donna le mouvement +intérieur à son con, me darda sa langue, et se pâma, en me +lançant toute son âme... Je déchargeai, avec un si délicieux +frémissement, qu'elle foutait encore, au bout de cinq minutes +d'émission. + +-- Ah! Fouterie adorée, l'éclair du bonheur dure... et se... +prolonge avec toi... + +Je sentis, en cet instant, l'émotion de mes premières +décharges, où je perdais connaissance, et je crus que j'allais +expirer de volupté dans son con. Je le dis, en déchargeant. +Mon enconnée n'en frétilla que plus vivement: + +-- Un fils?... une fille?... ou tous deux au fond de mon con +(me disait-elle), cher vit de mon père!... + +Je jurais, je sacrais, je divinisais ma fille: + +-- Con céleste... Con divin... Con de mon vit... est-ce moi?... +est-ce un roi?... est-ce un prince?... est-ce le beau commis +aux aides, qui t'avons foutue dans le con de ta putain de +mère?... Ah, mon vit te rend ma fille, en mêlant mon foutre au +tien... Divine, sacrée garce... Adorable bougresse enculée, il +faut que je t'encule aussi? + +-- Non; ton foutre m'est trop précieux, pour que je le perde +sciemment. Fous-moi en con, tant que tu le voudras; mais non +en cul, en bouche ou en tétons. + +Je l'approuvai avec respect. + +Je lui dis ensuite pourquoi je la suivais toujours, en la +menant chez son amie, ou en la ramenant: + +-- Mon premier motif est de mieux voir le danger. Le second, +d'entendre les discours des hommes et des jeunes gens que tu +fais bander. L'un dit: "Quel mouvement de cul!... O garce! si +nous étions seuls ici, je me jetterais sur toi, et je +t'enconnerais..." + +-- Je l'ai entendu (me dit en souriant Mme Poilsoyeux). + +-- Un autre (ce soir) se secoue le vit en pleine rue: "Maman... +(dit-il) délicieuse maman... je me branle... je décharge... à +ta divine intention." + +-- Je l'ai entendu; j'ai souri. Il a aussitôt ajouté: "Oh, si +vous êtes putain... une divine putain? cinquante louis pour +trois coups en une heure?... ou chez moi, ou chez vous?... Je +demeure rue de Bussi au 3ème, n° 16." + +-- Un joli fat (repris-je), disait assez haut: "Mon vit dans sa +bouche, et ma langue dans son con..." Et il se branlait, +branlait, branlait. + +-- Je l'ai vu, et je lui ai donné un petit coup d'éventail sur +le vit... Il m'a bien touchée! Il m'occupait. Peut-être est-il +cause que j'ai montré un peu d'humeur, quand, à notre arrivée, +vous m'avez pris le con. + +A ces mots, nous recommençâmes une scène, comme celle que je +viens de raconter; si ce n'est que je renversai ma fille sur +le dos. + +-- Vit-papa... (me dit-elle) tu es le fat... c'est le fat qui +me fout... Tu me fais foutre par tous ceux qui m'ont +désirée... Je décharge à l'intention du fat... son vit dans ma +bouche, ses couillettes sur mes tétons, et l'engin de mon père +au fond de mon connin... J'avale son... joli foutre... +(convulsivant du con)... Je déchar..ge... + +Jamais elle n'avait eu autant de passion. Elle était même +raisonnée; car, entre deux décharges, elle me dit: + +-- Vos lèvres sont appétissantes; elles me rappellent; au lieu +que celles de Montencon... Je ne veux plus qu'il +m'encon..o..o..ne (dit-elle en s'agitant). Langue en bouche; +mon con pa..art... Ah, si j'avais là l'homme aux cinquante +louis, moi qui ne suis pas effrontée, je crois que je ferais +la putain, que je les exigerais d'avance, comme Vitnègre +disait que c'est l'usage des filles, que je le déculotterais, +et que mon con martyrisé gagnerait la somme! + + +Chapitre XXIV Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle. + + +Conquette était naturellement sage; elle n'éprouvait les +emportements du libertinage que dans le délire de la +jouissance, effet d'un vigoureux tempérament. + +J'étais épuisé par deux coups foutus avec trop d'emportement. +Cependant je la voyais haletante de volupté. Je courus au +carrefour Bussi, n° 16, au 3ème. Je trouvai le jeune homme aux +cinquante louis. Je le reconnus; il me remit. + +-- Je suis le père de la jeune dame à laquelle vous avez offert +50 louis. + +-- Je les lui tiens. Trois coups en une heure? + +-- Soit. En ma présence? + +-- Et de tout Paris, si vous voulez. Mais, bougre, ne va pas me +jouer! + +-- Non. Mais une heure, sans bruit? + +-- Foi d'homme! Partons... + +Il prit les 50 louis. + +Arrivés tous deux, je dis à ma fille: + +-- Voici l'homme qui t'a plu. Tu as besoin de 50 louis. Il te +les apporte. Il les faut gagner! + +Conquette rougit, sans rien répondre. L'homme se déculotta, +lui vint prendre les tétons, le con. Il me dit: + +-- Serrez les 50 louis; ce con satiné, ces tétons touchés les +valent. + +Je les serrai, tandis qu'il renversait ma fille sur le +foutoir. Elle fit un cri: + +-- O monsieur... mon cher monsieur... ne me faites pas trop de +mal! + +-- Seriez-vous donc pucelle? + +-- Hélas! oui... + +Il l'enconna avec fureur. Elle soupira, criota, pinça du con, +déchargea. + +-- Elle est adorable (disait le fouteur enragé; car il foutit, +et re-foutit, sans pitié, comme sans déconner, ses trois coups +de suite). + +Ma fille, tantôt le caressait, tantôt lui demandait grâce: +mais elle déchargeait toujours... Il déconna ravi... Et voyant +quelques gouttes de sang, que ses brusques estocades avaient +fait couler, il dit: + +-- Oui, vous êtes d'honnêtes gens. Un pareil pucelage n'est pas +assez payé de 50 louis. Je vais en envoyer 50 autres, papa... +(Ma fille était disparue pour s'abluer). Oui, si je n'étais +pas marié (ajouta-t-il attendri), je l'épouserais, et pour son +pucelage, et pour son amour... Vous allez recevoir 50 louis. +Je la regretterai toujours, et ne la verrai jamais. + +Il partit. Ma fille me remercia, et me dit qu'elle était +rassasiée. Je lui remettais les 50 louis. + +-- Non (me dit-elle), cher papa, c'est pour nos dépenses. + +Les 50 autres louis arrivèrent, et je ne pus jamais l'obliger +à en mettre dans sa bourse plus de six. Je déposai les 94 +autres à sa portée dans mon magasin. + +Le Lendemain, à mon arrivée, ma fille me dit: + +-- Je brûle aujourd'hui. Savez-vous la demeure du fat, ou du +vit découvert? + +-- Non; ce sont des sots. + +-- Eh bien, sortons. L'un ou l'autre me verra sans doute, et +vous le suivrez. + +-- Divine fille... épuisé dans ton céleste connin, j'ai +toujours les mêmes désirs; et, si je voulais mourir de +plaisir, et dans le plaisir, je te prierais de remuer du cul, +et de me laisser expirer au fond de ton con satiné... +Foutons!... + +-- Un seul coup. Vous m'êtes trop cher et trop nécessaire pour +que je ne vous ménage pas. + +En montant sur le ventre de ma fille, et tandis qu'elle +m'arrangeait le vit à l'entrée de son con, je lui disais: + +-- Te quitter, pour en suivre un, est trop scabreux, et malheur +peut arriver... + +Et comme elle ne s'agitait pas, + +-- Tu me ménages?... Remue du cul, mignonne! Saccade! +Décharge!... C'est mon seul coup... Mais j'ai de quoi te +satisfaire... Il le faut même, avant qu'un de tes trois gros +vits te martyrise. + +Elle remua du cul et du con, comme Marie-Antoinette foutue en +levrette à la Conciergerie par un polisson de gendarme... Nous +déchargeâmes, Conquette, comme la reine, moi, comme le +gendarme... Je sortis. Elle lava. + + +Chapitre XXV Du bon père qui fait foutre sa fille. + + +Allez au but, et bravez le reste: c'est un con, qu'il s'agit +d'élargir; il faut donc qu'il soit foutu... + +On sait que j'avais à moi un certain Traitdamour, mon +secrétaire, frère de Minone et amant de Connète, qu'il m'avait +fait dépuceler, l'ayant trop gros. C'était un vigoureux garçon +de vingt ans. Il demeurait à deux pas. Je l'allai chercher: + +-- Veux-tu foutre quatre ou cinq bons coups, avec une femme +charmante, que je veux régaler, et à laquelle je veux donner +haute opinion de moi? Ainsi, tu n'auras pas de jour. Mais tu +l'auras vue avant de la foutre, pour la mieux servir. + +-- Bon, bon! il y a quinze jours que je ne l'ai mis, ni à +Connète, ni à ma soeur, et je n'en fous point d'autres... + +Nous arrivâmes. + +Je lui fis voir, par une portière, Conquette, qu'il ne +connaissait pas. + +-- Oh... qu'elle est... provoquante... foutative!... + +J'entrai seul: + +-- Dététonne-toi; trousse-toi toi-même (dis-je à Mme +Poilsoyeux). Tu es vue par un jeune homme de vingt ans, beau +comme l'Amour. + +-- Mon fat? + +-- Ton fat. Il se nomme Traitdamour. Ainsi, montre tout, en +abluant. Je retourne auprès de lui. + +De retour auprès de mon étalon, je lui dis: + +-- Regarde-la bien. Elle va s'abluer, et montrer con et cul... + +L'âme de mon gendre momentané passa dans ses yeux. Conquette +se découvrit les tétons, épongea légèrement les bouts d'eau-rose. +Ensuite elle se troussa au-dessus des reins, se parfuma +le cul et le con avec une autre fine éponge; tendit le cul, se +faça bien le con. Puis elle se renversa sur le foutoir, avant +de fermer les rideaux. Je les allai tirer, en disant à +Traitdamour de me suivre dans un instant. Je me jetai sur la +délicieuse Poilsoyeux; et l'enconnai. Traitdamour me +chatouilla les couilles. J'émis avec fureur. Ma fouteuse se +récriait de volupté... Je me hâtai de déconner. + +Traitdamour attendait tout déculotté. Il se précipita sur ma +fille, et je dis, en me penchant sur la tête de l'enconnant: + +-- Allons, allons, ma belle! les reins souples! j'ai repris une +vigueur nouvelle! + +Traitdamour cependant enfonçait à peine son beau vit dans cet +étroit bijou, encore que mon foutre y servît de pommade. +Conquette, de nouveau dépucelée, criotait en soupirotant, et +néanmoins remuant vivement du cul, à chaque dardement de vit. + +Je rebandais. Mais Traitdamour foutit trois coups, et fit +trois copieuses éjaculations avant de déconner. Je le tirai, +pour le forcer à reprendre haleine. + +-- Je vais pendant ce temps-là (lui dis-je très bas), faire une +petite partie de Trou-Madame. + +-- Je vois (me dit-il de même), vous ne bandiez plus assez +roide, et je suis votre Boutentrain! Mais elle a le con plein +de foutre... + +Ma fille se lavait... Je roidissais de plus en plus, par la +vue des cuisses de neige, de la jambe fine, du pied parfait, +du cul, du con, du ventre d'ivoire, du nombril bien fait, des +tétons de ma fouteuse. Je dis tout haut à Traitdamour: + +-- Beau fouteur, montre-toi; que ma déesse voie le superbe vit +dont je la régale! + +Traitdamour parut son trait à la main. Ce n'était pas le fat; +mais il était plus beau. Ma fille sourit. Puis, baissant la +vue sur le vit majeur, la belle dit en soupirant, et le +pressant de sa main blanche et potelée: + +-- C'est donc toi qui m'as fait tant de mal... et de +plaisir!... + +Traitdamour me la renversa; lui fit écarter les cuisses; me +coucha sur elle; me mit l'engin dans la brèche, en disant: + +-- Votre belle a la main trop douce; elle pourrait vous mettre +à nage, et il faut enconner roide... Poussez, mon maître... +piquez des deux!... la cavale est belle... Allons, déesse +enconnée, haussez le con... Remuez du cul... C'est un homme +d'esprit qui va vous humecter la matrice de son foutre +honorable... + +Cette harangue fit sourire la foutue, qui, pour en déguiser la +cause, s'écria: + +-- Ah, monsieur Vitnègre, que de cornes vous voilà!... + +-- Allons, déesse (reprit Traitdamour), songez qu'il faut que +vous fassiez les trois quarts de l'ouvrage... Du mouvement!... +Bon... Ah! ça va d'amitié... et... vous remuez du cul comme +une princesse... Allons, des reins souples! Avec votre connin +satiné, vous mettez votre fouteur aux anges!... Roide, mon +maître! aidez-vous... votre jolie monture va comme une jument +barbe... Gzee... gzee... Un coup de fouet... Ah! quels +soubresauts... Ma foi, elle décharge... Piquez des deux... +Comme elle trémousse des fesses, la céleste petite amie! comme +elle en donne!... Que je vous chatouille les couilles, pour +vous y faire correspondre!... Vous partez!... Quels coups de +cul!... Quels soupirs!... Elle redécharge!... + +Ma modeste fille ne jurait jamais que très émue, et dans le +délire de la volupté. Aussi, en cette occasion, elle syncopa, +en s'écriant: + +-- Bou..ougre!... fous..ous-moi! Mon... con a... toute... mon +âme!... Je fous... je fonds... en foutre... je décha..arge... +Que... n'ai-je... deux vits... dans... mon... sacré con! + +-- Il est trop étroit, ma belle (lui répondit Traitdamour); +sans quoi l'on s'arrangerait à vous donner ce plaisir-là... +Mais on pourra quelque jour vous enculer, pendant que votre +fouteur vous enconnera... + +Après une délicieuse décharge, je me crus épuisé. Je déconnai +sur-le-champ. Ma fille trémoussait encore. Traitdamour sauta +sur ce con fumant, et, tout en le re-enconnant, il me disait: + +-- Vous avez foutu ma petite soeur; je l'ai foutue aussi, après +vous. Vous m'avez dépucelé Connète ma future. Dites-moi si +leurs cons valent celui que votre bonté me fait enfiler? c'est +un satin!..... Mais, à en juger par le soyeux du poil, +j'augure que l'intérieur du con de ma jolie chapelière de la +rue Bordet en approchera... Ma reine... vous fais-je mal? + +-- Et plaisir... Va... va..a va..a donc! je fous. + +-- Ahahahh, quel satin.. quelles délices!... J'enconne... je +fous... je décha..arge... Remue... divine... sacrée... céleste +enconnée!... Oh, l'aimable petite pincette qu'elle a au fond +du connin!... Pince... serre... sacrée petite +convulsionnaire... fais-moi... convulsiver dans ton joli +con!... Tu veux du foutre... Déesse?... Quatre décharges de +suite vont t'inonder le connin... connichon... +connichonnet!... Voilà ma seconde... + +-- Fous... saccade (murmurait ma fille)... ne... me quitte... +pas, cher vitdamour! + +-- Ne la quitte pas après avoir déchargé (dis-je à mon ancien +secrétaire); qu'elle sente les dernières oscillations de ton +gros vit!... Qu'elle est jolie, en foutant!... (disais-je à +Traitdamour); je rebande... Elle a l'air d'une déesse!... +Laisse-la achever... Farfouille... Lime.. lime-la!... Elle +gigote encore... Bon... bon! Elle se pâme?!... Ah, qu'elle est +jolie, pâmée!..... + +-- Elle n'émet plus? + +-- Elle a émis quatre fois dans le con, sans la désenconner. + +-- Quatre et trois, c'est sept (disait Traitdamour, en me la +lavant); vous allez la refoutre; ça me reposera; j'irai à mes +douze. + +-- Vous vous ferez mal (me dit Conquette); voilà quatre fois +que vous m'enconnez aujourd'hui; le reste de ses 12 me +suffira; ça fera mes 16! + +Pour toute réponse, je me la fis renverser. Elle me darda sa +langue, et je la foutis roide... Traitdamour la prit ensuite, +et ne la quitta plus, quoiqu'elle l'en priât, qu'il n'eût +arrosé de foutre cinq nouvelles fois ce beau con.... Elle se +leva aussitôt qu'elle fut déconnée, en me disant: + +-- Emmenez cet impayable jeune homme, et me laissez libre. J'ai +besoin de rafraîchir sur le bidet plus d'une demi-heure mon +pauvre bijou martyrisé... + +Nous la laissâmes; j'allai prendre et faire prendre à +Traitdamour un bouillon chez Mme Brideconnin, que je priai +d'en tenir un prêt pour Mme Poilsoyeux. Ce qui la surprit... +Conquette rafraîchie arriva, et parut aussi décente, aussi +modeste, que si elle n'avait pas foutu. Traitdamour partit, +sans être instruit, Mme Brideconnin étant prévenue de ne +jamais découvrir les relations entre ma fille et moi. + + +Chapitre XXVI D'avis très utile au lecteur, et à l'auteur. + + +Nous en sommes enfin au temps si souvent annoncé des fouteries +majeures. Si je les avais rapportées sans préparation, elles +auraient étonné. Mais qu'on sache que j'étais sûr, en les +commençant, non seulement d'avoir pour mes filles deux des +trois payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de les faire +précéder par la jolie chapelière de la rue Bordet, qui, vendue +au plus douteux, devait m'instruire de la moralité de tous les +trois. Il était donc essentiel, pour éviter qu'elles ne +fussent estropiées, de les faire prodigieusement élargir, en +évitant néanmoins de les prodiguer à trop de déchargeurs en +con. L'on verra comme je m'y prendrai pour cela. + +On trouvera dans le récit un épisode, à chaque séance, tant +pour varier la scène, et reposer l'imagination, que pour +raconter quelques aventures, que j'ai cru devoir supprimer au +commencement. Chaque historiette lue ou racontée ne sortira +pas du genre. Rien de plus déplacé, dans un ouvrage comme +celui-ci, qu'une dissertation philosophique; elle y devient +insipide, et par là même dégoûte de la philosophie. Mon but +moral, qui en vaut bien un autre, est de donner à ceux qui ont +le tempérament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse +servir convenablement une épouse qui n'est plus belle. C'est +ce que j'ai vu faire à plusieurs hommes, qui se servaient pour +cela du livre cruel et si dangereux de Justine, ou les +Malheurs de la Vertu. J'en ai un plus important encore; je +veux préserver les femmes du délire de la cruauté. L'Anti-Justine, +non moins savoureuse, non moins emportée que la +Justine, mais sans barbarie, empêchera désormais les hommes +d'avoir recours à celle-ci. La publication de la concurrente +antidotale est urgente, et je me déshonore volontiers aux yeux +des sots, des puristes et des irréfléchis, pour la donner à +mes concitoyens. + +L'ouvrage aura deux parties. Après le récit formant la +première, succéderont des lettres, non moins assaisonnées, +composant la seconde. Les filles de Cupidonnet lui racontent +les parties de plaisir que leur faisaient faire leurs +entreteneurs; parties où, dans le délire de l'ivresse, leurs +payeurs les faisaient quelquefois posséder par 12 hommes... +Mais toutes ces lettres ne sont pas érotiques: il en est +d'intéressantes par un autre motif; tel est celui d'une +résurrection, avec la découverte importante de l'origine de +Conquette-Ingénue, et de Victoire-Conquette, noms de deux +filles que les miennes ont remplacées. Ce qui me justifiera +d'une certaine chose, qui sans doute a déjà effarouché plus +d'un lecteur... Je n'en dirai pas davantage là-dessus. + +On ne peut trop multiplier les observations sur les scènes que +je vais mettre sous la vue du lecteur. Pour remplacer la +Justine, et faire préférer l'Anti-Justine, il faut que +celle-ci surpasse l'autre en volupté, autant qu'elle lui cède en +cruauté. Il faut qu'un seul chapitre lu par un homme, sur +l'inspection de la table, lui fasse exploiter sa femme, jeune +ou vieille, laide ou jolie, pourvu que la dame ait fait bidet, +et qu'elle soit bien chaussée. + + +Chapitre XXVII Du commencement des grandes fouteries. + + +Egayée comme elle l'avait été hier, ma fille devait avoir +besoin de repos le lendemain. Elle avait le bijou si fatigué +qu'elle ne pouvait quitter sa chaise. Elle resta constamment +auprès de Mme Brideconnin, de peur que personne ne vînt le lui +patiner. Le reste de la semaine, elle évita également, quoique +guérie dès le troisième jour, de se trouver seule avec moi. +Elle amassait elle-même du tempérament; car elle ne s'était +jamais branlée. + +Le dimanche, à une heure, elle alla pour la dernière fois chez +son amie... Avant de partir, elle me présenta son joli pied à +baiser, et me livra sans bégueulerie le poil de son connin. Je +la conduisis jusqu'à la porte, promettant de la revenir +prendre avant 5 heures; ce qui la fit rougir; mais j'observai +qu'en montant, me croyant parti, elle souriait. + +Je fus exact. En la ramenant, je la fis marcher devant moi, +m'apercevant qu'elle était observée par un homme, que je pris +pour un des payeurs de Vitnègre. Mais il ne pouvait +reconnaître que son joli tour de cul et sa marche provocante, +tant elle était bien encaléchée. J'observais l'inconnu. Je +demandai à ma fille si c'était là celui-ci qu'elle préférait? + +-- Oui (me dit-elle). + +Alors, je la nommai, distinctement, ma fille. Et l'homme +s'éloigna. + +J'avais averti Traitdamour. Il avait une clef de mon magasin, +et nous l'y trouvâmes. Je le crus seul, malgré la +recommandation que je lui avais faite de m'amener quatre +acteurs des deux sexes. Je lui dis, en riant, que je bandais, +et que je voulais enconner. + +-- Quoi! (dit Conquette) est-ce que vous allez faire tous deux +comme l'autre fois?... Je ne suis pas disposée, je vous en +avertis. + +-- Nous vous disposerons, ma belle (lui dit ironiquement +Traitdamour, qui la crut ma putain); voyez-moi ce vit-là!... + +Et il lui en montra un superbe... + +-- Laissez-moi d'abord vous lécher le connin, Ma'm'selle?... +Mon maître vous enconnera, quand vous serez préparée! J'ai +tout disposé, pour lui donner aujourd'hui, ainsi qu'à vous, un +plaisir de fermier général. + +Il la renversa brutalement, et la gamahucha, en lui disant, +comme s'il l'avait menacée: + +-- Ne résistez pas! car je vous ferais mal... + +Mais Mme Poilsoyeux, comme toutes les femmes à grand +tempérament, aimait, dans la fouterie et ses accessoires, une +sorte de brutalité. Ainsi, en croyant la contraindre, il la +servait admirablement... La belle commençait à décharger... + +Tandis que je roidissais avec oscillation, à la vue du systole +et du diastole des fesses et du con de ma fille, j'aperçus +derrière un rideau de l'alcôve quelque chose qui remuait. +J'allai voir. C'étaient Minone et Connète, auxquelles deux +garçons amis de Traitdamour, excités par ce qu'ils voyaient, +léchaient le con. Je leur fis entendre, par signes, de ne pas +bruire, et je les encourageai d'un geste. + +Cependant Traitdamour fellait ou suçait le connin de Mme +Poilsoyeux. Lorsqu'elle fut suffisamment en humeur, il se +dérangea, me tira sur la belle, et inséra mon vit bandant en +ce connin rempucelé par sept jours de repos. + +-- Qu'avez-vous à me donner à vous sucer? (dit-il à +l'enconnée). + +Elle lui présenta l'index de la main droite qu'il se mit à +sucer, après néanmoins avoir appelé sa soeur et sa maîtresse, +en leur disant: + +-- Ici, bougresses, et qu'on montre son savoir-faire!... + +L'une (Minone), qui avait la main aussi douce que ma fille +avait le con, me chatouilla les couilles; l'autre (Connète) +fourrait un doigt pommadé dans le cul de ma fouteuse, pour la +faire tressaillir sous moi... Mme Poilsoyeux hennissait de +plaisir. Elle me dardait sa langue, en m'appelant son cher +fat... son cher Centlouis... son cher payeur à gros vit... son +cher Traitdamour... Enfin, enivrée de fureur érotique, elle +s'écria: + +-- Vitnègre!... Jean-foutre... Fous-moi! Pince-moi!... Que ton +gros vit de mulâtre me pourfende et m'encule!... + +Et elle déchargea comme une énergumène. En ce moment, j'avais +dans la bouche la langue frétillante de mon enconnée; une des +deux filles me chatouillait de la sienne le trou du cul et les +couilles; l'autre me suçait dans la raie du dos entre les deux +épaules, précisément sur le sensorium... Je croyais connaître +le plaisir de la décharge; mais je ne l'avais jamais éprouvé, +comme cette fois-ci; et, de ce coup, je fus rendu.... -- +Quelles délices! + +Traitdamour m'enleva de sur ma fille, et se précipita dans son +con. + +-- Voilà un connin! (disait-il, en poussant et retirant, allant +toujours plus avant, à chaque saccade) Il y a de la différence +de ce connin aux autres cons, comme du satin à la tapisserie +de Bergame... Les jeunes filles n'avaient plus besoin de +chatouiller, quand Traitdamour foutait; il avait assez de feu +pour lui-même, et ne faisait que trop bien trémousser sa +monture. Je fis signe aux deux garçons, Brisemote et +Cordaboyau, d'étaler les filles, l'une sur un vieux sofa, +l'autre sur un lit de sangle ayant un simple matelas, et de +les foutre à la portée du regard de la belle au con soyeux. +Par un effet du hasard, ma fille émettait sous Traitdamour +pour la seconde fois, et les deux enconnées déchargèrent au +même instant, ainsi que les trois hommes. La belle Poilsoyeux, +en roidissant les jarrets, faisait: + +-- Hi hi-hi-héhé!... + +Minone: + +-- Han-han-hanh!... + +Connète: + +-- Houhi-houhin houah-houah-houâh!... + +Les trois hommes disaient ensemble: Traitdamour: + +-- Remue du cul, déesse!... + +Cordaboyau: + +-- Remue du cul, garce! + +Brisemote: + +-- Remue du cul, petite putain!... + +En déchargeant, ils s'écriaient: + +-- Foutre... + +-- Foutre... + +-- Foutre... + +Traitdamour: + +-- Ah, déesse... + +Cordaboyau: + +-- Ah, bougresse... + +Brisemote: + +-- Ah, mâtine! + +chacun suivant son caractère et sa politesse... + +Mme Poilsoyeux fut la plus longue à décharger; les deux autres +étaient déconnées et lavées, qu'elle émettait encore. Enfin +elle cessa. Traitdamour la lava. Et me voyant rebander: + +-- Vous la foutrez sans doute autant que la dernière fois? (me +demanda-t-il). + +-- Très certainement! (répondis-je). Je ne suis vigoureux +qu'avec cette jeune beauté. Je la foutrais jusqu'à extinction +de vie et dessiccation de couilles; et tu vas voir ce que je +vaux. Qu'on m'anime seulement par la vue d'enconnages +redoublés! + + +Chapitre XXVIII De l'enculo-connillerie. + + +Ma réponse fit sourire Traitdamour, qui sans doute n'y ajouta +aucune foi. + +-- Eh bien (reprit Traitdamour), je vais vous donner un +plaisir, que vous n'avez jamais eu, ni ces bougres-là non +plus. Je tiens cette pratique de l'abbé Chouanche, ancien +Genovefain, qui m'a souvent enculé, avant que j'eusse de la +barbe au menton et du poil au vit. Un jour, voyant que je +m'ennuyais de son culetage, il me dit d'aller lui chercher la +petite Culfrayé la cadette, jolie comme un coeur, et non encore +vendue à un Lord. Il envoyait 12 francs à la mère, et la fille +devait en recevoir autant. L'abbé la fit s'appuyer un coude +sur une commode; il se mit derrière elle, et l'encula. J'étais +devant, et il me la fit enconner. Nous limions; nos deux vits +se sentaient, ou la jeune garce tortillait du cul de façon que +nous croyions le sentir. Chouanche la faisait tantôt pousser +du con sur moi, et alors son vit déculant à moitié, il avait +l'agrément de la re-enculer quand elle foulait du cul sur lui. +Je presque-déconnais alors, puis je re-enconnais. Ce joli jeu +dura tant que Chouanche put retenir son foutre. Car il ne +déchargeait pas; il se réservait pour mon cul. En conséquence, +il fit mettre la jolie Culfrayé sur le dos; je l'enconnai; +l'abbé m'encula, et nous déchargeâmes tous trois... Nous ne +prendrons pas la manière du Genovefain; elle est trop +fatigante pour la foutue. Mais il payait la jolie bougresse... +Payez-vous, Madame?... + +-- Non certes: c'est une honnête femme. + +-- Je m'en suis aperçu à sa fouterie. Une putain ne fout pas +comme Madame... En ce cas, je vais vous donner une expérience +physique sur une de ces deux fillettes... Allons, Minone... +Allons, Connète! laquelle des deux veut être enculée et +enconnée tout à la fois et en même temps! Qu'elle se trousse! + +Durant cet entretien, qui la laissait tranquille, Conquette +s'était couvert le con et les tétons. Les deux filles étaient +assises à côté d'elle, dététonnées. Elle leur baisa le +boutonnet, et leur couvrit la gorge de sens-froid avec leurs +fichus (Mme Poilsoyeux redevenait toujours modeste, dès qu'on +ne la foutait plus)... Les deux filles répondirent ensemble: + +-- Moi... Moi! + +-- L'une après l'autre (dit Traitdamour)... Vous avez ici de la +pommade, ou du beurre frais? + +-- Oui (répondit en rougissant la belle Consatiné). Tenez, ma +pommade est là... et voici du beurre. + +-- Gardons ce beurre frais pour vous, belle dame, aussi belle +au cul et au con qu'au visage (reprit Traitdamour). + +Minone se pommadait la rosette. + +-- C'est donc toi qui passes la première, ma soeur? + +-- Oui, si c'est toi qui me dépucelles le cul? + +-- J'y suis pucelle aussi (s'écria Connète). + +-- Ce ne sera pas moi qui aurai ton pucelage d'arrière +(répondit Traitdamour à sa soeur). Mon vit est aujourd'hui +entièrement réservé à Madame. Et, quoique le culetage m'ait +toujours fait peine, agent ou patient, le cul satiné de Madame +me tente autant que l'étroit fourreau de son con, qui se +rempucelle en une semaine, ou seulement en faisant bidet à +l'eau froide. Je suis sûr que Madame n'a jamais été enculée (à +genoux, il lui regardait au cul), et que c'est aussi un +pucelage? + +Conquette rougissait. + +Les deux camarades de Traitdamour tirèrent au premier roi à +qui dépucellerait le cul de Minone; car tous deux le voulaient +avoir. Ce fut Cordaboyau (un bellot à vit moyen) que le sort +favorisa. Il se pommada le vit jusqu'à la racine. Traitdamour +fit coucher Minone sur le côté. Il mit Cordaboyau devant son +cul, et Brisemote (un beau à gros vit) devant son con. Il la +fit ainsi enfiler des deux côtés; les jeunes gens se la +poussant l'un sur l'autre à qui mieux. Ce qui donnait un tel +plaisir à Minone, qu'elle se récriait: + +-- Dieu... que j'ai de délices... c'est... une fouterie de +princesse... On dit... que la Reine... fout ainsi entre... +d'Artois et Vaudreuil... ce dernier a... le cul... + +-- Allons (dit Traitdamour), tachez de décharger tous trois en +même temps! + +Cordaboyau poussait; il retint la garce par les hanches, pour +enfoncer plus avant; Brisemote en fit autant; de sorte que, +rendue immobile, elle s'agitait néanmoins en tout sens. + +-- Examinez bien.. (dis je à Conquette-Ingénue) pour faire la +même chose à votre tour; car il faut que vous expérimentiez +tous les genres de fouterie. + +Elle considéra le jeu, à travers les bâtons de son éventail. +Minone haletait. Connète, ébahie, restait immobile à la +contempler. + +-- Que fais-tu là, toi, bougresse? (lui dit Traitdamour, notre +grand maître des cérémonies) Patine-nous Madame... Suce-lui le +bout des tétins... Gamahuche-la; elle a le con propre comme un +visage de mariée... + +Ces mots, énergiquement prononcés, mirent en danse la reine de +la fête, que je vais décrire. + +Connète, tandis que Minone travaillait, et qu'elle était +travaillée, découvrit les tétons de Mme Poilsoyeux, et les +siens. Elle en suça les bouts; elle se les fit sucer. Ce +chatouillement de la bouche de Conquette, aussi satinée que +son con, mit la jeune Connète en fureur amoureuse. Elle +trousse Mme Poilsoyeux; lui insère sa langue dans le con; lui +chatouille le haut de la motte. La belle, émoustillée, +regardait cependant Minone. Celle-ci avertit ses deux fouteurs +qu'elle était prête à décharger. Ils redoublent le +fourgonnage. Elle s'écrie: + +-- Vits de Dieu! + +Et elle se pâme. L'enculeur et l'enconneur l'inondaient de +foutre; il ruisselait des deux côtés... Ma fille, vivement +gamahuchée par Connète, est hors d'elle-même, et cette modeste +beauté dit à la jeune fille: + +-- Ote-toi, garce! Un fouteur! Un fouteur!... deux... cent +fouteurs!... + +Traitdamour l'entend. Il dérange Connète acharnée, en la +tirant par la jolie crinière de son con blond. Il emplit le +trou du cul de Mme Vitnègre de beurre frais; s'en frotte le +vit décalotté; se met le bas-ventre sur ses fesses, enfile la +rosette, sans écouter les petits cris de l'enculée; l'étreint +vigoureusement, se retourne, en se mettant sur le dos, le vit +dans le cul de la belle jusqu'à la garde, son con bien facé... +Il crie à son maître: + +-- A ce con béant qui vous supe! Enconnez roide... Piquez des +deux... la garce est enculée, et je vas vous donner les +mouvements... Pardon, déesse! je ne me connais plus... +Connète! boulonne, boulonne les couilles de mon maître... + +Cependant j'enconnais ma délicieuse fille. Et, sentant le vit +de Traitdamour qui m'étrécissait encore le passage, et qui +donnait au connin des oscillations que jamais con n'a eues, je +délirai, en m'écriant: + +-- Chien de Vitnègre! cocu tout à la fois du con et du cul. + +Cette idée m'enflammait, et sa brutalité m'empêcha de +décharger trop tôt. Je parvins au charmant pinçoir du fond du +connin. Il me suça. Le vit de Traitdamour me communiquait tous +ses mouvements, et en faisait faire d'insolites à mon adorable +fouteuse. Déjà préparée par la langue de Connète, elle +s'écrie: + +-- Ah-ah-ohh!... ze déça-arze.... Foutre! + +-- En voilà... du foutre... plein votre con... Reine des +vits... et des dieux, s'écria Traitdamour!... + +Et je sentais les oscillations de son gros vit qui +éjaculait... Enfin, je déchargeai moi-même. Ma fille, inondée +de foutre, trémoussait rapidement: + +-- Con satiné de mon vit (m'écriai-je), que tu es délicieux!... + +Mme Vitnègre émettait encore, quand Traitdamour décula... + +Ce mouvement la fit redécharger... Le bougre se lavait d'eau +tiède. Conquette, dans le con de laquelle je laissais osciller +mon vit après décharge, gigotait, trémoussait, tremblotait +sous moi. Connète m'avait quitté les couilles. Traitdamour, +toujours bandant, était revenu vers nous. + +-- Fous-la-moi tout chaud (lui dis-je); elle décharge encore... +Et toi (dis-je à Connète), boulonne-lui la bouteille-à-miel du +bourdon d'amour. + +Elle m'obéit. Mais Minone, déculée, déconnée, lavée, était +libre. Elle vint remplacer Connète, en me demandant si cela ne +signifiait pas tout uniment de chatouiller les couilles de son +frère pendant qu'il foutait ma maîtresse?... Cordaboyau +cependant et Brisemote happaient Connète, le premier, cette +fois enconnant, tandis que l'autre enculait, pour donner une +perspective encourageante à ma fille. + +Mais tout finit. Mme Vitnègre cessa de décharger. On la +déconna. Traitdamour la mit au bidet. Elle se couvrit +modestement le con et les tétons; puis elle dit aux deux +fillettes: + +-- Mes bonnes amies, allons aider mon hôtesse, pour le souper! + +Elles y coururent. + +-- Si vous n'avez préparé (dit ma fille) que pour notre souper +ordinaire, je vous avertis qu'il faut le double. + +-- Je n'ai pas assez donc (répondit Mme Brideconnin). + +-- Vite au rôtisseur de vis-à-vis (reprit la belle Vitnègre); +et du bon vin! ou je ne boirai que de l'eau. Un bon mariage +paiera tout ça... + +On alla chez le successeur d'Ellès, qui promit un copieux +souper pour dans une heure. + +Conquette rentra auprès de nous avec les deux jolies filles. + +-- Rebandez-vous? (me dit Traitdamour) Il ne faut pas laisser +languir nos cons avec l'expectative d'un bon souper! + +-- Je brûle, à la vue du tour de cul et du pied de ma déesse; +mais je ne suis pas roide, lui répondis-je. + +Traitdamour: + +-- Je roule dans ma tête une idée, qui vous roidira. + + +Chapitre XXIX D'une nouvelle actrice. Danse nègre. + + +-- Allons, garces, dit Traitdamour à sa soeur et à sa maîtresse, +nues! Et vous, bougres, déshabillez-vous!... + +Il se mettait nu lui-même. + +-- Mais il nous faut encore une actrice... Je viens de voir +monter une jolie drôlesse, qui ferait notre affaire? + +-- C'est Mme Brideconnin, l'hôtesse de notre belle dame, dit +Connète. + +-- Non, non, mon amie. C'est une petite brune de fond de la +cour, cadette d'une grande belle blonde, que nous aurons +peut-être un jour, et qui se nomme Connindoré. La Cadette s'appelle +Rosemauve, et passe pour très rusée. Mais on la dit amoureuse +comme une chatte, quoiqu'elle soit peut-être pucelle encore; +car sa mère la couve des yeux. Cependant, quand un homme +l'embrasse, elle ne fait aucune difficulté de donner sa +langue. + +-- Je la connais! dit modestement la belle Poilsoyeux; et elle +m'a... m'a... + +Traitdamour: + +-- Quoi? déesse? + +-- Mais, donné sa jolie langue, et... + +-- Et quoi? + +-- Gam*******. + +-- Gamahuchée... Va la chercher, Connète. + +-- Non! dit vivement Conquette, j'y vais moi-même. + +Elle sortit, et, ayant rencontré Rosemauve qui redescendait, +parce qu'elle n'avait pas trouvé un vieil oncle assez riche, +dont elle recréait l'impotente lubricité, en lui chatouillant +le croupion, le scrotum et les testicules; ce qui le faisait +bandocher, la belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son +aveu, et l'introduisit. + +Les deux filles et les trois hommes étaient nus comme la main. +Sans rien dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous cinq à +la déshabiller. On lui enleva jusqu'à sa chemise. On lui +baigna cul, con, cuisses, pieds... Puis Traitdamour lui dit: + +-- Ma belle, il faut, en tout, faire comme ma soeur et mon amie. + +Aussitôt commença la danse nègre; où chaque fille faisait tous +les mouvements d'une Noire ardente qui fuit le vit dont elle +brûle d'être enconnée, que le vit attrape, et qui saccade +alors en trémoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait. +Les garçons poursuivaient les garces le vit en main; et dès +qu'ils les avaient attrapées, elles se retournaient pour +l'enconnage, ou ils paraissaient les foutre en levrette; +culetant, criotant, jurotant, comme s'ils eussent perforé les +cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main; l'homme +la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi +tourner de temps en temps. + +Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des +reins, et je lui dis: + +-- Conque de Vénus, imite tous les mouvements de cul et de con +que tu vois... + +Elle était excitée; elle se mit au milieu de la danse, et les +exécuta rapidement... Traitdamour, me voyant en rut, et ses +camarades bien disposés, leur dit: + +-- Au foutoir... + +Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute +mortifiée! + +-- Votre tour va venir, ma belle danseuse. + +Il étendit ma fille sur le sofa, dont il lui mit un des +oreillers sous le cul: + +-- Allons, ma toute éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchez-moi +ce connin-là, pendant que je vous le mettrai en levrette, +ou vous enculerai, à votre choix? + +-- On ne dépucelle pas une vierge en levrette (répondit-elle +vivement): encule-moi, s'il le faut, tandis que je +gamahucherai ce connin d'amour... + +Elle gamahucha la belle épouse de M. Vitnègre avec fureur, et +Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le +cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela: + +-- le vit! le vit! + +Je n'y pouvais plus tenir. Je dérangeai la Rosemauve enculée, +pour me précipiter dans le con de ma fille haletante de +volupté... J'enconnais vigoureusement, lorsque j'eus la +délicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que +la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutées +de Rosemauve!... Je cocufiai Monsieur Vitnègre aussi +copieusement que si j'avais eu les couilles d'un Dieu!... On +abluait. + +-- Avec la permission de ma déesse (à Conquette), il faut que +je m'acquitte avec Rosemauve!... + +Tout le monde s'écria: + +-- Non, non, dimanche! Je ne les écoutai pas; j'enfilai la +pucelle, qui criota, sanglotina, et ils furent témoins de ma +nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sérieusement. On +alla souper. + +La conversation fut sage, rassise. Brideconnin, sa femme, en +étaient édifiés... Mais je ne tarderai pas à les mettre de nos +amusements... Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire +dans le genre de nos amusements! Je lui donnai à lire une +lettre, adressée à Vitnègre, par un de ses trois payeurs, +lettre que j'avais trouvée dans une des malles de ma fille. La +voici: + + +Chapitre XXX De la Piochée, du Pioché, du Piochard. + + +Nous avons un de nos confrères, qui avait une maîtresse de +seize ans, dont il jouissait à sa manière, comme je prétends +jouir de ta femme à la mienne, quand une fois je l'aurai +dévirginée. Tu seras alors présent à nos fouteries, à peu près +comme le père dont je vais parler. J'aime à écrire ces +histoires-là; elles me font bander. Le père de la jeune fille +était un riche marchand, qui l'avait délicatement élevée; mais +il était devenu si pauvre qu'il ne pouvait plus la nourrir, ni +un fils de douze ans. La fille ayant plu à mon confrère, il la +voulut acheter. Le père la lui vendit douze mille francs. Mais +comme Piochencul (c'est le nom du confrère) est un libertin +fort blasé, il lui faut un ragoût pour le ranimer. Ce ragoût +est de faire trousser et laver la fille par son père, avant +d'en jouir. Le père prend ensuite le vit du fouteur, et le +dirige dans le con sans poil de la jolie Piochée. Son père +l'avait pommadée la première fois. Pendant l'acte, il l'excite +à remuer du cul, à serrer le fouteur dans ses bras, etc. Quand +elle est déconnée, le père lave le vit de son gendre, le cul, +le con de sa fille, et les essuie. + +Dans la conversation, Piochencul apprit bientôt que Piochée +avait un frère beau comme Adonis; c'est-à-dire parfaitement +ressemblant à sa mère, qui avait été très jolie femme. Dès que +mon confrère le sut, il l'acheta, comme sa soeur, et, pommadé +par le père, il l'encula. Peu de jours après, voulant foutre +la soeur avec plus de vigueur, il la fit laver par le père, +gamahucher par le jeune frère, et il l'enconna, quand elle fut +prête à décharger... Par la suite, il n'encula plus le joli +enfant: + +-- Bougre! dit-il au père, je ne bande plus assez pour enconner +ta fille, sans être excité; encule-moi là ton petit garçon; +cela me fera roidir! + +Le père est forcé, par son intérêt, d'obéir au blasé. Ce qui +fait tellement bander le vieux satyre qu'il enconne, et même +encule la jeune fille... + +Il y a 4 ou 5 ans que cela dure. Quand le garçon a eu 15 ans, +il lui a fait enconner sa soeur. Il la fout ensuite sans laver, +pendant que le père encule le jeune homme. D'autres fois le +frère encule sa soeur, tandis que le vieux bougre l'enconne... +Voilà quelle est la vie que mène mon vieux confrère, et qu'il +trouve délicieuse à son âge... La fille est délicate et jolie. +Le garçon est beau. Le père est affreux. La fille est devenue +grosse. Le financier croit, avec raison, que c'est du jeune +frère. Il désire que ce soit une fille, espérant qu'elle sera +jolie, comme tous les enfants incestueux. Car il faut savoir +que ce joli garçon est fils d'un frère aîné, qui, devenu +éperdument amoureux de sa mère, donna la courante à son père, +en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le +père fut obligé de se lever souvent, et le fils, à chaque +sortie, alla auprès de sa mère, qu'il enconna six fois au +moins pendant la nuit... Voilà d'où provenait le beau garçon, +ressemblance de sa mère avec une telle perfection, que, vêtu +des habits de la belle, qui n'est plus, on le prend pour elle. +C'est en conséquence qu'un amant, piocheur de la mère, +entretint le jeune homme sur le même pied que sa feu +maîtresse, à condition que, pour la jouissance, il prendrait +les habits de sa mère, en porterait le nom, Mme Brouette-vit; +qu'il ferait la petite voix, dirait mon con, au lieu de mon +cul; tandis que lui, Vitacon, se ferait illusion, en disant à +sa maîtresse: + +-- Allons, ma chère Brouettevit, venez que je vous le mette en +levrette! + + +Chapitre XXXI Suite des mêmes. Piochète. Dix ans après. + + +Je vais donner la suite de cette aventure. + +Piochée eut effectivement une fille, qui a 14 ans aujourd'hui, +et qui est jolie comme sa grand'mère. Elle sert aux plaisirs +du vieux traitant qui, ne pouvant plus enconner, s'en fait +caresser, tandis que la mère lui suce le vit. C'est dans les +extases de ce plaisir long et difficile, causé par le +chatouillement que faisait éprouver à son vit paralytique le +palais de Piochée, qu'il conçut le dessein de faire dépuceler +Piochète à 14 ans, par Pioché l'Adonis, son père et son oncle, +que justement la jeune enfant aimait incestueusement; puis +enculer alternativement. + +-- Bande, bougre (dit-il à l'Adonis), et ne décharge pas! Tu me +dépucelleras ta petite garce de fille... dès que ton grand-père +t'aura déculé. La petite fut gamahuchée par le vieux +singe; puis pommadée par sa mère. Son père, déculé, bien +bandant, vint sur elle, et lui darda son vit dans le connin, +dont la mère écartait les babines. Le fouteur n'entrait pas; +la petite déchirée se récriait; le vieux satyre, émotionné, +bandochait, en s'écriant: + +-- Oh! pousse donc, mâtin! ô pousse donc, bougre! Fends, +pourfends le connichon de ta fille!... et mets-y une petite +garce, que nous déflorerons un jour! Gzée, gzée, mon étalon! +fais-moi des cavales!... + +Et le vieux décharné, par un phénomène, émit quelques gouttes +d'un foutre clair, dans la bouche de Piochée, au moment où +Adonis, forçant toutes les barricades, malgré les cris de sa +fille, lui déchargeait au fond de son connin ensanglanté! Le +bélître en fut si glorieux qu'il fit à Piochette mille écus de +rentes, et autant à Piochée, outre ce qu'elles avaient déjà. +Son grand délice, pendant qu'il fait servir la bouche de la +mère de con à son vit, qui ne décharge plus, est de voir +piocher Piochette, non seulement par le vigoureux Adonis +Pioché, qui pioche, soit en con, soit en cul, mais de faire +alors enculer le père, qui fout sa fille, par le grand-père +qu'encule un laquais, sur le cul duquel est assise Piochée, +foutue par un autre laquais... Il a soin qu'on fasse suivre au +vieux Piochard un régime échauffant, afin que ce monstre +tantôt enconne sa fille, tantôt encule son fils. Pendant cette +scène, l'impuissant Ribaud patine les tétons et le connin du +tendron, ou bien la gamahuche. Il lui prend quelquefois des +vertigôts de faire enconner la mère, enculer Adonis par douze +de ses amis en une seule séance. La jeune personne est alors +nue en perspective, montrant le cul aux enculeurs, et le con +aux enconneurs... C'est le vieux Piochard qui insère les vits +dans le con ou dans le cul. + +Tu vois par-là quel parti nous pouvons tirer de ta femme, +lorsqu'une fois elle sera dépucelée. Tu ne seras pas privé; tu +mettras les vits dans le con et dans le cul de ta femme; tu en +seras le maquereau, et quand elle sera bien élargie des deux +trous, peut-être te permettra-t-on de la foutre en con ou même +en cul. Lélargisseur. + +P.-S. J'apprends par une dernière visite faite à Piochencul +que Piochette a effectivement eu la plus jolie petite fille; +on me l'a montrée; elle a 3 ans. Mais, ce qui est le comble du +libertinage, le vieux Piochencul lui fait déjà téter son vit +flasque, pendant que la jeune mère lui chatouille les +couilles. Je lui en demandai la raison? + +-- Je profite, répondit-il, du temps où l'enfant n'a pas encore +de discernement, ni de dégoût à me sucer. + +Que dis-tu du vieux bougre? + + +Chapitre XXXII Du connin goûté. + + +-- Voilà quel aurait été votre sort, Madame, dis-je à +Conquette, si vous n'étiez pas décédée, et que vous fussiez +restée l'épouse de Vitnègre. + +Expressions qui étonnèrent tout le monde, hors ma fille, et +les Brideconnin. + +Cette lettre, qui avait été lue après le champagne, avait mis +les jeunes gens en rut. On descendit au magasin, pendant que +les hôtes serraient les débris du souper. Là, Traitdamour, +demi-grisé, me dit, en me désignant ses camarades: + +-- Comment ces bougres-là peuvent-ils avoir une idée de notre +bonheur, et de ce qu'est le connin de votre maîtresse, s'ils +n'en tâtent pas?... Je n'entends nullement qu'ils y +déchargent; mais seulement qu'ils y plongent rapidement leurs +vits, pour en palper le satiné. Dès qu'un des enconneurs sera +retiré, le mieux en état de nous deux, vous ou moi, achèvera +Madame, et la fera décharger! + +-- Je le veux bien (répondis-je). + +Cordaboyau, bandant roide, se présenta. Nous renversâmes ma +fille sur le foutoir, nous la troussâmes, et nous déclarâmes +que nous nous tenions prêts à le désarçonner, dès qu'il aurait +senti le velouté de l'étroit connin de notre fouterie, et que +le clignotement de ses yeux annoncerait l'éruption du foutre. + +-- En ce cas (s'écria le bougre), que l'une de ces trois garces +se couche-là le con pommadé, pour que mon vit convulsivant s'y +précipite et décharge! + +On pommada Rosemauve. Cordaboyau enconna lentement Conquette, +dont le satiné le fit se récrier... mais il plongea jusqu'au +fond. On l'observait. Il clignota de l'oeil. Aussitôt Brisemote +et Traitdamour l'enlevèrent comme une plume, en jurant: + +-- Le sacré bougre! il va partir... + +Et ils le mirent sur la brune Rosemauve bien écartée, et +Conette dirigea le vit. Cette fille, la plus chaude des +garces, si Mme Vitnègre ne l'eût pas surpassée, engloutit le +vit en trois coups de cul sans intervalle. Cordaboyau +déchargea en hurlant de volupté, Rosemauve l'étreignant avec +une délicieuse fureur. + +Cependant, ce que je voyais m'avait roidi, et j'enfonçais dans +le con humide de ma déesse qui, suffisamment limée, déchargea +deux fois, avant que je l'humectasse de mon foutre paternel... +Elle gigotait, criotait, soupirotait. + +-- Ah! (s'écria Traitdamour) vous êtes le dieu de son con, cher +maître! il se fond en jus d'amour, quand vous le perforez! +Voyez comme elle en donne, l'adorable enfant!... Allons, +céleste coquine, trémousse, trémousse! Fous, divine garce! +décharge... + +Ce fut ensuite le tour de Brisemote. Conette, pommadée, fut +étendue sur le foutoir... Il enconna ma fille. La grosseur du +vit et sa roideur lui arrachaient de sourds gémissements; elle +travaillait de toutes ses forces, mais le terrible engin avait +encore plus de trois pouces pour toucher le fond. Tout à coup +nous nous apercevons que le perfide Brisemote veut inonder, +d'un torrent de sperme, le connin qu'il martyrise. Nous ne +pouvions l'enlever et l'arracher, son vit lapait comme celui +d'un gros dogue dans la vulve enflammée d'une grande levrette. +En ce péril, nous implorâmes, Traidamour et moi, la pudeur de +Conquette! L'adorable fouteuse, fidèle à nos vits, donna un +coup de cul en arrière, et se déconna. Traitdamour plongea +rapidement son braquemart en furie dans le con béant... + +Brisemote, enragé, se jeta sur Rosemauve, qui ne s'y attendait +pas, et la foutit en levrette, avec tant de brutalité qu'il la +fit crier autant de douleur que de plaisir... Et, voyant +Conette se lever: + +-- Reste-là, garce! lui cria-t-il. Je suis dans une rage, par +ce con velouté que fout Traitdamour, que j'enconnerais la rue +Maubué et celle de la Tannerie... + +En effet, Rosemauve, déconnée, il fondit sur Conette, la fit +crier; enfila Minone sans intervalle, et reprit Rosemauve... + +-- Que n'ai-je là notre putain d'hôtesse! la garce boite avec +grâce, elle a de blancs tétons: qu'on me l'appelle!... + +Nous lui préparions Rosemauve, qu'il encula. + +Pendant ce temps-là, Traitdamour se délectait sur Mme +Vitnègre, qui se plaignotait tendrement, et déchargeait sans +cesse, parce que son enconneur ne la déconnait pas. + +-- Que la bougresse qui est libre (nous dit-il), chatouille les +petons de ma déesse; ça la fera me secouer. + +-- Allons! m'écriai-je, que Minone lui chatouille le haut de la +motte, la douce main de Conette les couilles du cruel +pourfendeur, et moi je chatouillerai les pieds délicats de la +belle enconnée! + +Ce qui s'exécuta: de violents soubresauts, des cris, des +blasphèmes de volupté, Foutu Dieu... Sacredieu... Dieu-con... +Dieu-vit... marquaient l'égarement des deux conoeuvrants. + +Cependant Cordaboyau flairait la chaussure mignonne de +Conquette-Ingénue, et allait y mettre son vit: + +-- Laisse donc! lui dit Rosemauve, tout enculée qu'elle était; +cela est insensible; mon con est libre; que ne le fous-tu? + +Le bougre lui mit le ventre en l'air, et, tandis que Brisemote +la sousaccadait en cul, Cordaboyau lui saccada le con. + +Je bandais si fort, en entendant et voyant tout cela, que +j'allais enconner Minone ou Conette. Ma fille, qui +déchargeait, me dit tendrement: + +-- Un autre con... que le mien... peut-il vous tenter?... + +Cette tendresse vraiment filiale, me toucha au coeur. + +-- Ote-toi (dis-je à Traitdamour); tu dois avoir déchargé! + +Il déconna. Et moi, ému d'un amour paternel sans bornes, +j'enconnai ma fille, sans laver. + +-- Mêlons nos trois foutres (lui disais-je en enfonçant); que +ton con filial engouffre le vit paternel avec délices!... +Remue du cul, adorable enfant! Rends-moi tout le foutre que +j'ai déchargé dans le con de ta mère... pour te faire!... Ah! +comme la garce remuait du cul, oscillait du con, le jour où je +l'engrossai de toi! Elle était chaussée, parée, un peu +chiffonnée, et si chaude qu'elle se mit sur moi et s'enconna. +Pour m'exciter davantage, elle me disait en saccadant: +"Pousse... Enfonce... mon con est frayé... je viens d'être +foutue par ce beau commis aux Aides, dont tu es si jaloux..." +Et elle saccadait... Pour moi... je foutis avec fureur... +comme je te fous à présent... C'est moi qui t'ai engendrée, +enfoutrée dans son con satiné... quoique tu ressembles à Louis +XV qui... dit-on, l'a aussi foutue... + +-- Mon cher père... ô vit divin! (répondit Ingénue, oppressée +de foutre et de tendresse) je sens... à mon insatiable +connin... que je suis votre fille... je le sens au plaisir... +que me fait la céleste idée que mon... père me fout.... Décha--argeons +ensemble, cher papa!... j'ai... plus de... foutre +avec toi, qu'avec tout autre?... Ah! Ah!.. fourgonne... +fourgonne, vit-papa... Le foutre... est long... à venir... +J'ai tant foutu!... Mais je n'en ai que plus de plaisir... Ah! +Ah!... foutre!... Dieu! Délices!... Vitnègre!... ô monstre, +qui me déchirais, sans me pouvoir en--filer, que n'es-tu sur +moi... ton vit noir me pourfendant le con... Foutamort... +enfondre-moi... Cher papa... dieu-fouteur... je pars... je +décha--a--arge... à l'intention... de... Foutamort... + +Et elle se pâma, dans un égarement, un délire ineffables. + +Cependant elle avait croisé ses jambes sur mes reins, et elle +me faisait une jolie brouette de ses cuisses et de son con. Je +dis qu'on la rechaussât, et, à chaque coup de cul, elle fit +claquer l'un contre l'autre ses hauts talons, comme faisait sa +mère, pour me rappeler en foutant la beauté de son pied. Ce +spectacle parut si délicieux à mes trois drôles qu'ils +enconnèrent en furieux, Traitdamour Rosemauve, Cordaboyau +Conette, et Brisemote Minone, et qu'ils les firent crier comme +des dépucelées. + +Dès que j'eus émis, je dis à mon secrétaire de déconner, de +m'enlever, et de me porter sur un fauteuil. Il m'obéit. Ma +fille palpitait. Je la montrai se chatouillant elle-même le +con. Traitdamour rebanda comme un enragé; il se précipita sur +elle. + +-- Enculez-moi, s'il vous plaît, Monsieur (lui dit-elle), il me +semble que ça me fera mieux... + +-- Décharger (s'écria le bougre). Vous avez le con trop +fatigué. + +Et il lui perça le cul sans mouiller. + +-- Je vais... redécharger (lui dit-elle, en continuant de se +branler elle-même). + +-- Attendez! attendez! (lui cria le jeune et vigoureux +perforeur); je vous branlerai, en vous enculant. + +Conquette enculée et branlée, roucoulait de plaisir... + +En ce moment, Brisemote, qui finissait Minone, se jeta sur +Rosemauve, abandonnée par Traitdamour, pour ma fille. Elle se +fit enculer et branler. Cordaboyau retourna Connète, et lui en +fit autant. Minone, libre, alla gamahucher ma fille, que son +frère tenait enculée; et moi, je branlai Minone. Les trois +bougresses se récriaient que l'enculage branlé était divin. + +Pour moi, j'étais sur mon fauteuil, un doigt dans le con de +Minone, que j'avais à peine la force de branler, tombant de +sommeil, et bandant encore pour toutes quatre; il me devenait +indifférent laquelle j'enconnasse. Je le dis. Brisemote +m'avança Rosemauve tout enculée. J'allais enconner la vive +Brune. Minone se retourna, mit ses fesses d'albâtre sur ce con +noir, et me présenta son con. + +-- Que je te voie! (s'écria Conquette, en s'arrachant du cul le +vit de Traitdamour) si Cupidonnet doit mourir en rut, c'est +dans mon con!... + +Elle se mit sur Minone, m'étreignit dans ses bras et +m'engouffra. + +-- Ah! (s'écria Brisemote, qui nous portait tous quatre) que +n'ai-je le vit assez long pour les enculer toutes trois! + +Ainsi finit cette belle soirée. La partie fut remise au +dimanche suivant. Conquette, après avoir fait amplement bidet, +se coucha modestement. Je ne pouvais marcher. Mes trois +gaillards remenèrent leurs belles, et revinrent me prendre, +pour me porter chez moi, où ils me mirent au lit. + + +Chapitre XXXIII De la fouteuse sensée. Histoire. + + +Le lendemain, après mon travail, je vins voir ma fille. Elle +était dans mon magasin. Elle m'embrassa la première, et me +dit: + +-- Au nom de Dieu, cher papa, ménagez-vous! j'ai besoin de +votre tendresse paternelle plus que jamais... Que deviendrais-je +si je vous perdais? Vous êtes le meilleur des pères; vous +me donnez le nécessaire et la volupté. J'ai un bijou +insatiable; mais votre Traitdamour l'emplit et le satisfait au +delà de toute vraisemblance. Je suis bien sensible au don que +vous m'en avez fait. Aussi la reconnaissance et la tendresse +sont pour vous; je ne lui donne que du... + +-- Foutre, mon adorable fille... Tu es toujours également +modeste. + +-- J'ai aussi beaucoup d'obligation à Traitdamour d'avoir amené +sa petite soeur et sa jolie maîtresse; surtout d'avoir donné +celle-ci à ses deux vaillants camarades pour me rester plus +entier et vous soulager d'autant, vu mon extrême chaleur. Ces +jeunes filles sont de bonnes petites créatures, et valent +mieux que Rosemauve, qui cependant n'est pas sans mérite... +Ménagez-vous, cher papa. Ne voyez que moi; c'est bien assez. +Une partie, tous les huit jours, suffira pour vos forces. +Traitdamour me donnera le surplus de ce qu'il me faut. En ne +jouissant que les dimanches, les garçons, les petites, tout +comme nous, l'appétit et le plaisir seront plus grands; nous +passerons une demi-journée délicieuse... Mais je suis jalouse +de vous et du beau Traitdamour; ne le mettez qu'à moi. +Avertissez-les tous de cela. C'est mon caractère que la +jalousie. Et puis, où trouveriez-vous une femme ou fille qui +me vaille? Toujours propre, abluée à chaque pipi, autant par +volupté que par délicatesse; car j'ai cet endroit, que vous +avez la bonté de trouver charmant, toujours si chaud que je ne +le mets jamais dans l'eau qu'avec une volupté qui approche de +la jouissance. Ne me le mettez donc pas de la semaine, pour +avoir plus de plaisir, sans vous tuer, le dimanche. Ne me +touchez ni le bijou, ni le sein! + +-- Non (répondis-je); durant la semaine, je ne baiserai que ton +joli pied. Et je veux toujours avoir une de tes chaussures au +trumeau de ma cheminée! + +-- Rien de si flatteur, répondit-elle, que d'être ainsi adorée +jusque dans sa parure. Aussi mon pied est-il soigné, comme +vous l'adorez. Je le lave à l'eau-rose deux fois le jour matin +et soir, et après avoir marché. + +-- Ah! céleste fouteuse, que je le baise, que je le baise! + +-- Point de ces mots-là! dans la semaine: ils vous excitent... +Baisez votre idole! j'y ai autant de sensibilité qu'ailleurs; +mais restez-en-là... Du reste, je suis à vous. Vendez-moi, +livrez-moi, quand vous le voudrez; je me donnerai avec plaisir +pour vous; comme une autre Ocyrhoé. + +[lacune] + +Je me privai donc, malgré moi; mais par nécessité; je me +contraignais. + +[autre lacune] + +Mais j'avais à ma cheminée sa chaussure rose à talons verts, à +laquelle je rendais mon hommage tous les jours en l'honneur de +la fille la plus pieuse et la plus dévouée qui ait jamais +existé. Conquette-Ingénue, à qui je le dis le samedi, en fut +transportée de joie. Elle darda sa langue, me fit sucer ses +tétons, palper son poil soyeux, se mit à genoux, et dit avec +ferveur: + +-- Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir fait naître d'un si +bon père! Nous ne vous offensons pas; je rends à mon papa en +plaisirs délicieux les soins qu'il a pris de mon enfance. Je +suis le baume et le charme de sa vie; il est le baume et le +charme de la mienne! Bénissez-nous! + +Elle fit trois signes de croix, baisa la terre, et se releva, +en disant: + +-- Doux Jésus, qui le mettiez à Madeleine, elle était aussi +votre fille; et en amour, vous le savez par expérience, rien +n'est si voluptueux que l'inceste!... + +Je fus si édifié de cette prière que je me propose de la faire +recommencer, à la fin de nos parties. + +Un instant après, à 8 heures et demie, toute la petite +société, Traitdamour, Minone sa soeur, Conette sa maîtresse, +Rosemauve, Cordaboyau et Brisemote, vinrent prendre langue +pour la réunion du lendemain. Je donnai le mot et les retins à +souper. Il y avait un excellent gigot de 18 livres, et du vin +de Bourgogne, avec un pâté chaud. Après le repas, voulant les +émoustiller tous, et moi-même, je fis lire par Rosemauve, +devant nos hôtes, l'histoire suivante: + + +Chapitre XXXIV De l'homme-à-queue. + + +-- Vous aimez les histoires, dis-je, ne voulant pas manger de +pâté; nous aurons demain toute autre chose à faire: je vais en +conter une, pendant que vous achèverez de souper. + +Un rire d'aise précéda le silence. + +Il y avait à Sens, une veuve encore belle, quoique mère de six +filles, dont l'aînée, qui atteignait vingt ans et se nommait +Adélaïde. La seconde, Sophie, n'en comptait pas encore +dix-neuf; la troisième, Julie, en avait près de dix-huit; Justine +dix-sept; Aglaé seize, et enfin Emilie, la cadette, quinze +ans. Quant à la maman, mariée à treize, accouchée de son aînée +à quatorze, elle avait trente-quatre ans. Mme Linars (c'est +son nom) avait en outre deux nièces de quinze et vingt-deux +ans, Lucie et Annette-Bar, une jolie femme de chambre de +dix-huit, outre une cuisinière, grande et belle fille de vingt +ans. Le mari avait mal fait ses affaires, avant que de mourir. +La veuve ne soutenait sa nombreuse famille qu'avec le revenu +de sa dot, qui rapportait cinq à six mille livres. On était +gêné; car les nièces n'avaient que quinze cents livres de +rentes entre elles deux. C'était onze jeunes personnes à +entretenir avec 7500 francs. + +Il parut alors à Sens un gros et bel homme dont la physionomie +annonçait trente ans, encore qu'il n'en eût que 20. Il passait +pour très riche. Et, en effet, il l'était. Ses bras et sa +poitrine étaient couverts de poils. Il avait le regard dur et +presque féroce; mais son sourire l'adoucissait, et il souriait +toujours en voyant de jolies femmes. L'aînée des demoiselles +Linars était charmante; Fysitère la vit et en devint +éperdument amoureux, quoiqu'il eût alors dans son sérail une +femme mariée enlevée à Paris, de l'aveu du mari même; la soeur +d'icelui, vendue par son père, et une superbe carmélite, leur +cousine, qui s'était livrée elle-même, parce qu'elle était +hystérique. Mais toutes ces maîtresses étaient alors +enceintes, et Fysitère n'en jouissait que pour avoir des +enfants. Il alla chez Mme Linars, pour lui demander en mariage +Adélaïde. + +Le velu, en voyant onze femmes dans une seule maison, +tressaillit d'aise... Il étala sa fortune, et proposa +d'épouser l'aînée. Trente mille francs de rente qu'il prouva +(il en avait bien davantage!) le firent accepter sur-le-champ. +Il rendit ensuite des visites jusqu'au mariage, et fit des +présents, tant à sa prétendue qu'à la mère, aux belles-soeurs, +à Lucie et Annette-Bar, les deux nièces, ainsi qu'à Geoline et +à Marète, la femme de chambre et la cuisinière. Ce fut avec +ces présents qu'il attaqua leur vertu... Mais il faut quelques +préliminaires, qui fassent mieux connaître ce personnage. + +Fysitère était un de ces hommes poilus qui descendent d'un +mélange de notre espèce avec celle d'hommes-à-queue de +l'isthme de Panama, et de l'île de Bornéo. Il était vigoureux +comme dix hommes ordinaires; c'est-à-dire, qu'il en aurait +battu dix à armes égales, et qu'il lui fallait, à lui seul, +autant de femmes qu'à dix hommes. + +A Paris, il avait acheté la femme d'un nommé Guae, un +scélérat, qui la lui avait vendue et l'avait livrée. Fysitère +la tenait exactement renfermée depuis. Il jouissait de cette +infortunée, la plus provoquante des femmes, et qui avait +beaucoup de tempérament, dix à 12 fois par jour. Ce qui la +fatiguait tellement qu'elle lui avait donné le conseil +d'acheter de leur père sa soeur cadette, nommée Doucète, qui +partagerait le travail. Il le fit. Mais ces deux femmes +avaient été bientôt sur les dents. Heureusement, un confesseur +de nonnes découvrit alors pour le velu la religieuse +hystérique, cousine des deux victimes; il la tira de son +couvent, sous prétexte de lui faire prendre les eaux, et la +livra au Fysitère, qu'elle occupa seule pendant quelques +semaines. Ce qui avait reposé ses deux cousines. + +C'est à cette époque que l'homme-à-queue était venu à Sens, et +qu'il avait vu la famille Linars. Avant qu'il eût Mme Guae, on +lui amenait trois filles couturières chaque matin. Mais les +précautions qu'il était obligé de prendre pour sa santé, avec +des créatures qu'il laissait libres, le dégoûtèrent de cette +jouissance. D'ailleurs, comme il avait formé le projet de +multiplier l'espèce des hommes-à-queue et d'en peupler l'île +entière de Bornéo, pays originaire, il voulait pouvoir +surveiller tous les enfants qui lui naîtraient. Ses trois +femmes étant grosses, il ne voulait plus les fatiguer. Quand +il fut lié avec Mme Linars, il aurait bien cherché à déflorer +sa future, ou à se donner une des nièces; ou la cuisinière, ou +la femme de chambre. Mais il trouva que tout cela avait ses +inconvénients. Il réserva ce supplément de ressources pour +après son mariage. La première qu'il attaqua, ce fut sa +belle-mère future. Il lui fit un jour un présent de deux mille écus +en espèces. Et, la voyant dans l'extase de la reconnaissance, +il lui mit la main sous la jupe, en lui disant: + +-- Autant tous les six mois, si je vous le mets. Et ne craignez +pas de faire du tort à votre fille! Elle n'en aura que trop de +reste... + +Comme il était extrêmement fort, tout en parlant, il la +renversait, l'enfilait. La dame se trouva prise sans l'avoir +prévu. Elle fut rabatelée une dizaine de fois, tant elle était +vigoureusement contenue... Enfin devenue libre, elle lui dit: + +-- Oh, quel homme! + +-- Je suis tel (répondit-il) que votre fille et vous, quand +vous m'aurez toutes deux, me donnerez vous-même des +maîtresses, pour vous reposer. + +La dame, qui aimait le jeu d'amour, sourit, en rougissant +d'espérance et de plaisir. + +Elle fut exploitée tous les jours, en attendant celui du +mariage de sa fille. Quand ce jour fut arrivé, effrayée pour +une jeune vierge, elle pria l'inépuisable Fysitère de la +ménager! + +-- Six fois, répondit-il, pas plus, si vous me promettez de me +recevoir ensuite, ou de me donner Lucie, l'aînée de vos +nièces? + +-- Non; mais je vous donnerai Geoline, ou Marète, celle que je +pourrai avoir le plus facilement... + +Le soir des noces, Fysitère, quoiqu'il eût toutes les nuits +fourbi Mme Linars, était impatient à trépigner, d'avoir sa +mariée. Il l'enleva comme une plume, dès qu'on eut soupé, se +jeta sur elle, et lui fit pousser des cris effrayants. La +mère, alarmée, accourut avec Geoline, au moment où Fysitère, +sans trop s'embarrasser des gémissements de la jeune personne, +la recommençait. La mère le laissa l'achever. Puis, sur +l'instante prière de sa fille, elle la retira du lit, pour +laver le sang et le suc d'homme dont sa conque martyrisée +était remplie. Fysitère saisit alors Geoline, et la viola, +malgré ses clameurs. Il la retint sous lui quatre à cinq +fois... Elle profita d'un intervalle pour s'échapper. Mais +Fysitère menaça Mme Linars, si elle ne remplaçait pas sa +fille, de tourmenter celle-ci jusqu'au jour... La dame était +fatiguée. Elle alla chercher Marète, qu'elle enferma dans la +chambre nuptiale. Fysitère la viola, et la contint sous lui +quatre fois; puis il lui permit de dormir. + +Dans le jour, il assoupit les plaintes des deux filles +domestiques, et même il les gagna, en leur constituant douze +cents francs de rente à chacune. Mais elles demandèrent du +repos, pour la nuit suivante... Le soir, Fysitère ramona six +fois sa nouvelle épouse, qui prit un peu de goût à la chose; +puis sa mère, reposée, fut à son tour fourgonnée six autres +fois. Ce qui suffit à l'homme-à-queue. + +Le soir du troisième jour, il ne ramona sa femme qu'une fois; +car elle demanda grâce. Il eut ensuite Geoline, six fois; puis +Marète, cinq fois. Ce qui fut la dose à laquelle il se régla. +Il eut, le quatrième soir, sa femme, une fois; sa belle-mère +quatre; Geoline trois; Marète quatre: douze en tout. Il en +agit ainsi pendant deux mois. + +-- Mais, lui dit Mme Linars, vous vous épuisez! A quoi bon nous +le mettre tant de fois? + +-- Mon but est de faire des enfants, pour en repeupler une île +des Indes, dont les hommes de mon espèce sont originaires. Dès +que vous serez grosses, je ne vous le mettrai plus; vous m'en +donnerez d'autres; mais surtout vos filles et vos nièces, +parce que vous êtes toutes d'un beau sang. Je leur ferai à +chacune six mille francs de revenu, et douze cents francs +seulement aux étrangères que vous procurerez... + +Mme Linars fut très étonnée de cette proposition! Mais les six +mille francs de revenu pour ses filles et ses nièces la +tentèrent. + +Au bout des deux mois, et de six semaines de mariage, Mme +Linars, la nouvelle épouse, Geoline et Marète se trouvèrent +enceintes. Fysitère leur déclara qu'il ne les verrait plus +qu'après leurs couches. Et il pressa Mme Linars de lui donner +ses nièces, et deux de ses filles?... Elle fut obligée d'y +consentir. Elle les conduisait elle-même, après les avoir +instruites, et assistait à leur défloration, calmant leurs +cris par ses discours et ses caresses. + +-- Ma raisonnable enfant, disait-elle à Lucie renversée sur le +dos, et qu'on troussait, il est doux d'avoir 6 mille fr. de +rente!... Cinq cents francs par mois! ajouta-t-elle en la +pommadant... Et foncières, ma chère nièce! (dirigeant le gros +membre dans sa fente). + +Aussi la belle Lucie, quoique vierge, ne cria-t-elle pas. + +Vint ensuite Annette, la seconde. Sa mère l'exhorta, la +pommada, insérant son index onctué le plus profondément +possible, pour frayer la route. Elle introduisit le membre +dans la fente ainsi préparée. Cependant Annette, perforée, +jeta les hauts cris. Mais ils n'arrêtèrent pas Fysitère, dont +Mme Linars caressait la queue poilue, qui frétillait vivement. + +-- Ah! maman! (lui dit-il) mets-toi sur moi, et te l'enfonce +dans ta conque; tu auras bien du plaisir! + +Elle le fit, et fut si ravie qu'elle appela sa fille aînée et +les chambrières, pour leur procurer les mêmes délices. + +Annette suffisamment ramonée, et demandant grâce, Geoline la +remmena, pour laver le sang et le sperme, dont son bijou était +barbouillé; et Mme Linars alla chercher Sophie, sa seconde +fille. Geoline et Marète l'apportèrent nue assise sur leurs +mains jointes. Mme Linars la pommada; puis elle intromit. +Geoline s'enfila avec la queue poilue, au refus d'Adélaïde, +l'épouse. Sophie ne poussa que quelques gémissements au +premier assaut; elle riposta aux deux autres. Elle fut +cependant ensanglantée. Geoline se fourgonna de la queue à +poil durant toute la séance. + +Fysitère n'avait joui que neuf fois. Il lui en fallait trois +encore. On alla lui quérir Julie, la troisième soeur, âgée de +dix-sept ans. Sa mère la pommada. Ce qui ne l'empêcha pas de +crier, parce qu'elle était fort étroite. Julie et sa cousine +Annette furent les deux qui n'émirent pas dans le coït, les +quinze premiers jours. Lucie fut prise tout de suite, et +Sophie trois jours après. Mais elles n'en dirent rien, aimant +le plaisir. Quant à Julie et Annette, il s'écoula trois mois +avant qu'elles fussent enceintes... Marète se farfouillait +avec la queue poilue pendant les assauts de Julie. + +Lorsqu'il fut bien décidé que les quatre belles avaient le sac +rempli, Mme Linars fut requise de donner ses trois dernières +filles, et une cousine du côté gauche, fille hors mariage de +son mari, nommée Naturelle-Linars! Elles lui furent livrées, +et Justine, Aglaé, Emilie même, qui n'avait pas quatorze ans +accomplis, se virent enfilées dans une seule nuit, malgré +leurs cris et la déchirure de leurs jeunes appas. Naturelle +avait vingt-et-un ans; ce fut une délicieuse jouissance, que +l'homme-à-queue, fatigué, avait réservée pour la dernière. +Celle-ci fut engrossée sur-le-champ; et les trois autres, +malgré leur jeunesse, ne l'échappèrent pas dans le cours du +mois. Elles étaient régulièrement fourgonnées trois fois par +nuit; mais soit qu'elles eussent moins de tempérament, soit +qu'étant plus étroites, elles souffrissent toujours, elles +furent ravies lorsqu'elles furent déclarées enceintes. +L'homme-à-queue avait en ce moment, de fécondées, 14 femelles, +qui lui promettaient au moins 14 enfants. + +A cette époque, Mme Linars accoucha d'une fille. Un mois et +demi après, Adélaïde, ou Mme A-queue, mit également une fille +au monde. Puis Geoline et Marète eurent chacune un garçon. +Annette et Lucie chacune une fille. Toutes six voulurent +nourrir. Ce qui fut exécuté dans une terre écartée, du côté de +Seignelai, éloignée des routes, comme de l'Yonne, mais sur la +petite rivière de Serin. + +Cependant, comme les unes nourrissaient, et que les autres +étaient encore enceintes, il fallait de nouvelles femmes à +Fysitère. Il demanda permission à Mme Linars de reféconder ses +trois premières concubines, Mme Guae, sa soeur Doucète, et la +carmélite, qui n'était plus hystérique depuis ses couches. La +belle-mère y consentit avec la plus grande joie; car elle +était fort embarrassée pour trouver à son gendre des sujets +fécondables. Elle avait déjà bien marqué les quatre pucelles +les moins laides du village, et même une cinquième, la plus +jolie, femme mariée, stérile avec son mari; elle les avait +presque gagnées, au moyen des douze cents francs par année, +mais elle n'était pas encore sûre de leur discrétion... Les +trois concubines étaient mandées. Elles arrivèrent. + +Dès le même soir, elles furent mises toutes trois dans un +grand lit propre à cinq personnes; Fysitère s'y coucha au +milieu: Il les palpa toutes; puis il prit Mme Guae, la plus +voluptueuse, qu'il fourgonna trois fois avec fureur. Il saisit +ensuite Doucette, que ses tendres gémissements lui firent +ramoner en enragé. En la quittant, il sauta sur la carmélite, +qu'il exploita six fois, sans désarçonner. Mais elle l'assura +qu'elle était guérie de sa maladie, et elle le pria de se +partager également entre elles trois! Ce qui fut arrêté. + +Le lendemain, Mme Linars, qui avait tout écouté pendant la +nuit, demanda aux trois parentes comment elles appartenaient à +Fysitère! Mme Guae répondit: + +-- Nous allons vous faire notre histoire qui vous paraîtra +singulière! En même temps qu'elle vous donnera une idée juste +de notre mari à toutes, qui est un homme d'une nature +particulière. + +Mme Linars ne demanda pas mieux que de l'entendre. Mais elle +fit observer à Mme Guae que ce récit ne seraì t pas moins +agréable aux 12 autres femmes de Fysitère! Mme Guae en +convint, et Adélaïde, Sophie, Julie, Justine, Aglaé, Emilie, +Lucie, Annette, Geoline, Marète, Naturelle, appelées par Mme +Linars, vinrent avec elle assister à la narration que fit la +belle Mme Guae, en présence de Doucette sa soeur, et de +Victoire, la carmélite leur cousine. + + +Chapitre XXXV De la garce insatiable. + + +-- Vous me voyez; j'ai toujours été désirée des hommes. A huit +ans, un ouvrier qui travaillait dans la maison à de la +menuiserie me prit le bijou; et, comme je ne criai pas, il me +mit son membre entre les cuisses, me les fit serrer, et me les +inonda, en déchargeant. Je le dis à ma mère, qui me lava les +fesses, alla menacer le menuisier, et le fit déguerpir... Ce +début annonce que le récit sera un peu libre; mais il faut +être sincère. + +A dix ans, mon père déculotté m'asseyait à crû sur ses cuisses +nues, faisait aller son membre entre les miennes, comme le +battant d'une cloche, et, bien échauffé, il allait enfiler ma +mère, une jeune tante soeur de celle-ci, ou ma gouvernante. + +A treize ans, j'avais le bijou cotonné, et si joli que mon +père venait me le lécher la nuit pendant mon sommeil. Enfin, +il me sentit riposter à ses coups de langue, et comprit que +j'avais du plaisir. Il dardait plus fort, et je partais... +Aussitôt mon père se mettait sur moi, me suçait mes petits +tétons naissants, posait son membre à l'orifice de ma petite +conque, et me barbouillait toute la motte de sperme... Il me +lavait à l'eau-rose. + +A quinze ans, un jeune homme, frère de ma maîtresse de modes, +me prit le con à la poignée, au moment où je regardais par la +fenêtre, et voulut me chatouiller le clitoris avec son doigt; +mais il me fit mal, et je lui donnai un soufflet. + +A cette époque, mon père n'osait plus m'asseoir à cul nu sur +ses genoux, ni me faire décharger en me léchant le con; il se +retirait dès que je donnais le premier signe d'éveil. Mais +comme j'ai le pied joli, et que M. Dardevit, ainsi que tous +les hommes délicats, est infiniment sensible à cet attrait-là, +il faisait faire mes chaussures par un habile cordonnier, +celui de ma mère et de la Marquise de Marigni; le voluptueux +ne me les donnait neuves que lorsque j'allais chez lui; il me +les faisait mettre après un pédiluve, avec des bas de fin +coton, me faisait marcher chaussée, mettre à la fenêtre, pour +mieux voir ma jambe et mon pied, qu'il baisait; il me faisait +ensuite asseoir, me tirait un soulier, s'en coiffait le vit, +me faisait lui patiner les couilles avec mon pied chaussé, +poussait de profonds soupirs, cognait au plancher, ce qui +faisait monter Mme Mézières, voisine d'au-dessous. Elle lui +arrachait mon soulier, ou ma mule. Elle se renversait sur le +dos; il la troussait, et la fourgonnait, en me faisant relever +ma jupe en perspective d'une glace jusqu'au genou. + +-- Votre père me fait ce qu'il ne peut vous faire, me disait la +Mézières, parce que tu es sa fille; mais c'est toi qui le fais +bander... Ah! si tu lui montrais ton joli connin, comme il me +rabatellerait, et me donnerait des coups de vit en con! + +Touchée de ce langage, souvent je me troussais, et montrais +une motte à poil follet et soyeux, que mon père trouvait +adorable! Je m'en apercevais aux vives estocades qu'il donnait +à la dame... En la quittant, il venait me rechausser. Mais +quelquefois la Mézières l'en empêchait, et, furieuse de +luxure, elle me renversait, me léchait le connin, et mettait +dans le sien la pointe de mon soulier, ou de ma mule, comme un +godmiché... Pendant ce temps-là, mon père me palpait doucement +les fesses ou les tétons. + +-- Tu la foutras, bougre (tu la dépucelleras, et bientôt! et +elle deviendra grosse de toi, si tu ne la maries! + +Ce propos, souvent répété, fit que je demandai vivement à me +marier. + +J'avais un oncle, mari de ma tante. L'escalier de leur demeure +était obscur. Un jour que je le montais, mon oncle me suivait. +Au beau milieu, il me glissa la main sous la jupe, et me happa +ce qu'il nommait mon connôt. Je me récriai! + +-- Tais-toi donc (me dit-il); vas-tu troubler mon ménage?... + +Je me tus. Et il me patina le connôt, le cul, d'une main, les +tétons de l'autre; me mit son membre dans la main, me le fit +serrer en jurant, et, tout en me suçant les tétons, me +déchargea dans les doigts. + +J'entrai toute rouge chez ma tante. Mais je ne dis mot. Quand +je m'en retournai, mon oncle me guettait; il m'accompagna, et +me dit: + +-- Tu veux te marier. J'ai un parti, et il n'y a que moi qui +puis gagner ton père; je le gagnerai, si je te le mets +seulement trois fois avant le mariage, et lorsqu'il sera bien +sûr? + +-- Que me mettrez-vous? (je faisais l'ignorante, puisque +j'avais vu mon père et la Mézières). + +Nous étions dans l'allée. Il mit son vit à l'air, et +m'empoigna le con: + +-- Ceci, dans ce que je te tiens. + +Je me débarrassai, et ne répondis rien. J'étais à la porte de +mon père. J'entrai. Il était absent: J'attendis. + +Seule avec moi-même, je résolus de pressentir mon père, à son +arrivée, sur mon mariage. Il arriva. Je fus moins sévère avec +lui qu'à mon ordinaire, et, lorsque je l'embrassai, au lieu +des yeux, j'appuyai sur ses lèvres. Il fut ravi. Je dardai la +langue, comme je l'avais vu faire à la Mézières. Il me mit la +main entre les cuisses, mais sur les jupes. Je m'abandonnai, +en lui disant: + +-- Je voudrais me marier! Et comptez que vous serez bien +caressé, si vous y consentez! + +-- De tout mon coeur, à cette condition... As-tu un parti? + +-- Mon oncle en a un, que je n'ai jamais vu. + +-- Bon! ce n'est pas une amourette... Il faut d'abord que je te +gamahuche aujourd'hui? + +-- Qu'est-ce que c'est? + +-- Te lécher là (me prenant le bijou). + +Je fis une petite grimace. + +-- Allons, prends cette éponge fine, et lave le bien, à cause +du joli poil, qui commence à l'ombrager! Le plaisir que tu +auras, te dédommagera de la contrainte que tu te fais! + +Il me suça légèrement les bouts des tétons, pendant que mes +fesses, mon cul et mon connin nageaient dans un bain tiède. + +Mon amoureux père ne me donna pas le temps de réfléchir. Dès +qu'une serviette fine eut pompé l'eau, il me renversa sur le +pied de son lit, troussée au-dessus des reins, appliqua sa +bouche sur la fente de mon connôt, qu'il lécha vivement, en +dardant sa langue, jusqu'à ce que je donnasse des symptômes de +décharge. Ce qui arriva au bout d'un demi-quart d'heure. En me +sentant prête à émettre, mon père me quitta, me mit gros comme +une noix de beurre frais dans le bas de la fente du connôt, +m'y inséra son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada. Je +déchargeais, et j'avais tant de plaisir que je le secondai, +malgré quelques douleurs. Heureusement, le vit de mon père +n'était pas gros, mais il était long; il me donna un plaisir +complet; car il pénétra si avant qu'il me chatouilla le fond; +et au moyen de ce que j'étais très étroite, il m'emplissait le +con, comme si j'y avais eu un vit de mulet... Voilà comme je +fus dépucelée. + +Je priai mon père, pendant qu'il me lavait le con, de ne pas +différer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon +oncle; et je lui en dis la raison. + +-- Il ne faut qu'il te le mette! me répondit-il vivement. Le +bougre a le vit trop gros: il t'élargirait! Au lieu qu'après +moi, ton futur, on tout autre fouteur, te trouvera comme +pucelle. + +Je promis qu'il n'obtiendrait rien. + +-- Des bagatelles cependant, reprit mon Père. Branle-le, quand +il te prendra le con. Tu pourrais même te laisser enculer, +s'il était assez raisonnable pour s'en tenir là. + +-- Comment fait-on ça? + +-- Je vais te le montrer. + +Et il m'encula. J'eus du plaisir; car je déchargeai. Mon père +me dit ensuite: + +-- Quant à mon consentement, envoie-moi ton prétendu: Si c'est +un certain drôle que je soupçonne, tu n'en deviendras pas +folle, et... Suffit. + +Je m'en retournai contente chez mon oncle, où sa femme et lui +me présentèrent leur protégé, une sorte de mulâtre, qu'ils +nommèrent M. Guae. + +Dès le même soir, ayant eu, avec ce M. Guae, un entretien très +vif, pendant lequel je le vis prêt à me prendre le con, sa +laideur et sa sottise ne me rebutèrent pas, attendu que mon +oncle et ma tante m'avaient prévenue qu'il était terrible pour +les femmes; ce qui m'avait bien tentée! Au contraire, je lui +dis que j'avais obtenu le consentement de mon père, et qu'il +pouvait se présenter. Il me pria de le conduire, n'en étant +pas connu. Je remis au lendemain midi. + +Nous arrivâmes au moment où mon père allait sortir. Guae +m'avait pris le cul dans l'escalier, et m'avait fait empoigner +son vit; ce qui me donnait un coloris brillant; j'étais +ravissante! Je présentai Guae comme mon futur. Sa figure +hideuse et basse fit sourire mon père, dont elle calma la +jalousie. Il nous dit: + +-- Mes enfants, j'ai une affaire pressée; mais elle sera +courte; attendez mon retour. + +Après son départ, Guae me dit: + +-- Il paraît, à son ton, qu'il vous tiendra sa parole, de +consentir? + +-- Je le crois; car il ne se contraint pas, quand une chose lui +déplaît. + +-- Ma belle! (ajouta Guae, dont l'oeil noir pétillait de luxure) +permettez de vous le mettre ici, sur le pied du lit de votre +père!... Consentez-y! + +Je ne demandais pas mieux, à cause de mon dépucelage, et parce +que le bijou me démangeait, depuis que mon père m'avait +perforée. Mais je répondis: + +-- Oh non! mon père n'aurait qu'à rentrer! + +-- Eh! quand il rentrerait? vous voir enfilée ne ferait que +hâter notre mariage. + +Il me renversa sur le pied du lit. Je me défendis gauchement. +Il me mit le vit entre les babines du con, et poussait à +m'enfondrer... Mais il ne put pénétrer, quoiqu'il se mouillât +le gland. Il redoubla d'efforts, qui aboutirent à me décharger +une chopine de sperme sur la motte, le ventre et les cuisses. + +Je me débarrassai, pour aller laver. + +-- Oh! vous êtes bien pucelle! me disait Guae, en se +reculottant. Comme je m'essuyais, j'aperçus mon père caché... +Je n'en fis pas semblant. Un instant après mon retour vers +Guae, ce père rusé entra auprès de nous. Guae me demanda en +mariage. Mon père lui répondit qu'il me laissait la maîtresse +absolue. Et il signa les bans. Il dit ensuite à Guae qu'il +avait à me parler, et qu'il le priait de s'en retourner seul; +qu'il me remènerait chez ma tante, à laquelle il avait à +parler aussi. Guae s'en alla. + +Dès qu'il fut sorti, mon père me dit: + +-- As-tu été foutue? + +Et il me prit le con à la poignée. + +-- Vous avez bien entendu que non. + +-- Où donc a-t-il déchargé? + +-- Sur le poil. + +-- Un peu entre les lèvres? + +-- Oui. + +-- Il suffit. On peut devenir enceinte avec cela seulement, et +tu n'as plus rien à craindre. Mais va le voir chez lui, et +qu'il ait toute facilité. En attendant, je vais en frayer +encore un peu. + +Il me renversa, et à l'aide du beurre frais, il m'enfila... +avec quelque facilité; ce qu'il répéta trois fois, excité par +ce qu'il venait de voir, et parce que j'étais extrêmement bien +chaussée, en souliers de soie neufs. Je déchargeai trois fois +à chaque enconnage, comme disait mon père. Cela fit neuf fois. +Mon père me dit que j'avais beaucoup de tempérament et que +j'allais être une bonne fouteuse!... Je me lavai +soigneusement, et il me remena. + +Nous trouvâmes Guae chez ma tante. J'étais plutôt mise en +appétit que rassasiée, par le triple fourgonnage de mon père. +Je dis bas à mon prétendu: + +-- Allez chez vous; j'ai à vous parler. + +Il y courut. Mon père parlait à ma tante, prenant des mesures +pour accélérer; car il craignait, à la manière dont j'avais +déchargé, que je ne devinsse grosse de lui; et il le désirait +en même temps. Mais il fallait que je fusse mariée... Ma tante +sortit avec lui. + +J'allais sortir aussi, pour laisser essayer à Guae un +enconnage complet, lorsque mon oncle rentra. J'étais si +envoluptée que je n'en fus pas fâchée, quoiqu'il me déplût. Il +ferma la porte au verrou et vint à moi: + +-- Tu vas donc te marier! me dit-il. Allons, il faut en +découdre à nous deux! Aussi bien Guae a le membre si gros, +qu'il te ferait souffrir le martyre (Ceci acheva de me +déterminer)... + +Il me saisit. + +-- Laissez-moi! Laissez-moi! (dis-je faiblement). + +Mon oncle ne m'écouta pas, et, voyant que je ne criais, ni +n'égratignais, il me renversa sur le lit, me troussa, et +dirigea son vit dans le vagin de mon con. J'eus l'art de +paraître me défendre, en le secondant. Il me fit mal; je +criai, et, m'apercevant que les cris le facilitaient, je me +mis à crier de toutes mes forces. Ce qui le fit enfoncer +jusqu'à la garde, avec tant de plaisir de ma part que mes +gémissements étaient de volupté. Je me débattais, mais mon con +supait le gros vit, donnant de si bons coups de cul que je +déchargeai avec des convulsions terribles et des contractions +des trompes qui pinçaient le gland de mon oncle. Il se +récria... et se pâma de plaisir... + +-- Ah! pour une pucelle, que tu fous bien! me dit-il ensuite. +Que sera-ce donc un jour?... Recommençons... + +Il me recommença trois fois, malgré mes pleurs; car je sentis +qu'il fallait pleurer... + +Quand il fut rassasié, il déconna. + +-- O céleste fouterie, me dit-il, si le mérite de ton con était +connu, il ferait ta fortune! + +-- Oui! vous me l'avez bien accommodé! répondis-je en +sanglotant, sur un bidet préparé par mon oncle. + +Il ôta le verrou, jeta l'eau mêlée de sang et de foutre; puis +craignant le retour de sa femme, il sortit, en disant: + +-- Remerciez-moi! sans cette préparation, Guae vous aurait +estropiée; et revenez à moi, s'il le faut! + +Je ne fus point effrayée de ce langage. Dès qu'il fut sorti, +j'essuyai bien vite mes larmes, et je pris un air riant. Ma +tante revint. Je la prévins de l'attaque de son mari, mais non +du succès, pour lui faire presser mon mariage; la priant de ne +lui en rien témoigner, de peur qu'il ne levât le masque. Je +promis de toujours bien me défendre, comme je venais de faire; +et tout en parlant, le con étant venu à me redémanger, je +courus chez Guae, espérant que, préparée comme je l'étais, il +me l'enfoncerait enfin. Il m'attendait. + +-- J'ai bien des choses à vous dire... + +Ce fut mon début. Il ne me laissa pas continuer; il me prit la +motte. + +-- Foutons d'abord, me dit-il, en me renversant. + +Je n'en fus pas fâchée; car je ne savais trop que lui dire de +nouveau. Je me défendis gauchement, comme avec mon oncle et +mon père. Mais, quoique je fusse élargie, ses tentatives +furent encore inutiles. Je n'osais lui dire de prendre du +beurre, de peur de paraître instruite. Je m'attendais qu'il y +songerait. Cela ne lui vint point en pensée. + +-- Tu es diablement pucelle! me dit-il, en me tutoyant... + +Il me tourna sur le ventre, me cracha au trou du derrière, et +m'y enfonça son engin, avec des efforts infinis. Je poussais +des cris horribles! mais il me tenait si ferme, en m'empalant, +que je ne pouvais remuer. Je le secondai, pour souffrir moins, +et mes ripostes me firent décharger. Je croyais avoir un timon +de carrosse dans le cul... Le retirer ne fut pas sans +plaisir... + +-- Tu vaux ton pesant d'or! me dit Guae, même en cul! Suffit! + +Il me demanda ensuite pardon: + +-- Votre beau con, votre beau cul, vos blancs tétins m'avaient +mis comme un enragé; ne pouvant vous enconner, je vous ai +enculée. Pardon, ma belle maîtresse! j'ai plus d'un projet, +pour vous dédommager. + +Le cul me faisait mal. Guae me le mit dans l'eau tiède; puis +il me le baisa, me le lécha, allant quelquefois au con. Il +rebanda; mais je voulus m'en aller. Il fut obligé de me +remener en fiacre; je ne pouvais marcher qu'avec douleur. Ce +qui n'empêcha pas qu'il ne me fit le branler dans le carrosse, +lui ayant le nez dans une mule mignonne, qu'il m'avait +arrachée du pied, et dans laquelle il déchargea. Dans le +délire du plaisir, il me dit: + +-- Ma reine: j'ai le vit trop gros pour toi; choisis de l'oeil +un joli jeune homme pour te dépuceler, et je trouverai le +moyen de te le faire avoir, sans te compromettre. + +Ceci me fit plaisir... Guae me descendit, et me porta. Je me +mis au lit; le sommeil calma mon cul. + +Le lendemain, j'allai chez mon père, auquel je racontai tout +ce que Guae m'avait fait, et dit. + +-- Bon! me répondit-il. Tu as du tempérament. Tu seras foutue, +en con, en cul, en bouche, et tu seras heureuse... Vous serez +mariés dans huit jours, et je t'aurai un fouteur plus gros que +moi. En attendant, je vais te le mettre; on ne saurait trop +élargir un connin si mignon. + +Mon père m'enconna, recommença trois fois. + +-- Tu es toujours pucelle! me dit-il. + +-- Et pourtant, m'écriai-je, mon vilain oncle, avec son gros +membre, m'a hier violée trois fois! + +-- Trois fois! reprit mon père; quel connichonnet as-tu donc? +On pourra vendre mille fois ton pucelage!... Il faut que je te +refoute. Et il me refoutit... + +Tandis que je me rinçais le con avec de l'eau tiède, mon père +s'était mis à la fenêtre, et causait avec un jeune procureur +son voisin, gros et beau garçon de 30 ans. Le con lavé, +j'allai regarder, en soulevant le rideau. Mais le jeune +procureur m'ayant aperçue, je me retirai. + +-- Quelle est donc cette céleste personne? demanda-t-il. + +Mon père ne répondit que par un geste qui, je crois, +signifiait que j'étais sa maîtresse. Ils gesticulèrent encore. +Puis le procureur disparut. Mon père me dit aussitôt: + +-- Veux-tu que ce bel homme te le mette, en payant? + +-- Oh! oh! mon père! + +-- Appelle-moi Monsieur, devant lui!... + +On frappa. Mon père ouvrit; et j'entendis qu'il disait tout +bas au jeune homme: + +-- Apportez-vous les 50 louis? + +-- Les voilà. + +-- Mademoiselle? me dit alors mon père; vous savez que je vous +aime pour vous même: Voici un bel homme de mes amis, qui veut +vous faire un présent; je sors; témoignez-lui votre +reconnaissance. + +Mon père se cacha, et le procureur le crut sorti. + +As-tu été foutue aujourd'hui, me dit-il, en venant pour me +prendre les tétons. + +Je le régalai d'un soufflet. + +-- Apprenez que je suis ici chez mon père. + +-- Vous êtes Mademoiselle... + +-- Oui, Monsieur. Je dois être mariée dans huit jours. C'est un +mariage de raison, ou d'intérêt. Mais mon père ayant été +instruit que mon futur est... monstrueux... ce bon père a... +pris sur lui de... me faire préparer. Je vous ai cru son ami; +j'ai consenti, après vous avoir vu. + +Le procureur était à mes genoux. Il me demanda mille pardons! + +-- Soyez donc honnête! repris-je. + +Alors il me caressa. Je lui rendis enfin un baiser. Il me +renversa. Il avait le vit comme mon oncle, mais il était moins +adroit. + +-- De la pommade! lui criai-je. Mon prétendu m'ayant fait +entrer chez lui par surprise, il ferma les portes, et voulut +me violer... Ne le pouvant, il me pommada, et ne réussit pas +encore. Vous, pommadez-...moi... + +En parlant ainsi, ses tentatives me faisaient décharger. Je +soupirais de volupté. Mon père crut que c'était de douleur. Il +arriva; me pommada; dirigea le vit de mon fouteur dans mon +con, et dit, à lui: + +-- Poussez. (A moi) Soulève le cul; étreins dans tes bras; +seconde ton dépuceleur, à chaque coup, par un coup de croupe +en avant; passe tes jambes sur ses reins, et serre, en remuant +du cul... Bon! Bon! Saccadez, vous!... Bon! + +-- Ah Dieu! quel plaisir! s'écriait le fouteur; comme elle a... +le con étroit!... le... mouvement... délicieux! + +Je lui dardai ma langue, en murmurant: + +-- Mon coeur!.. Mon roi!... Mon Dieu! je t'adore!... + +-- Ah! la chère petite amie! elle est tendre!... Je décharge! +Je la fous... Ah!... + +-- Il me fout, mon père!... Tous les hommes foutent-ils?... +Ahh!... Mon père!... quel plaisir!... Mon âme... va sortir +par... le trou qu'il me fait!... + +Je déchargeais en me roidissant. + +-- Oh! la petite reine!... s'écria le jeune procureur. Elle +décharge!... Mon père... donnez-la-moi pour femme; je l'ai +dépucelée; je l'épouse!... + +Mon père, qui avait ses desseins sur moi, refusa. Il en +résulta que le procureur enragé, s'acharna sur moi, et me +foutit 18 fois... Mon père fut obligé de l'ôter de sur moi, et +de le porter chez lui; il ne pouvait marcher... Quant à moi, +j'étais à peine fatiguée. Mon con lavé, rafraîchi, il n'y +parut plus. Au retour de mon père, le voyant tout ému, à la +vue de mes tétons, je lui dis: + +-- Si vous bandez, satisfaites-vous, en me foutant deux ou +trois fois! + +-- O quelle scène! s'écria-t-il. Mais tu as un con et un +tempérament impayables! ils feront notre fortune... Voyons si +tu déchargeras encore; foutons!... + +En m'enconnant, il me loua fort de m'être avouée sa fille, et +du soufflet donné! + +-- Les fouteurs dédaignent les foutues; mais avec toi, ce sera +le contraire; je veux te mettre au-dessus de ces bougres-là! + +-- Je décharge! m'écriai-je. + +-- Et moi aussi! répondit-il en me saccadant. + +Il me re-enconna trois fois, et toujours je déchargeai... Je +lavai, en lui disant: + +-- J'épuiserais dix hommes. + +Je lui recommandai d'instruire mon futur de ce qu'il fallait +faire pour m'enconner. Je lui dardai ma langue, et je partis. + +J'avais été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon père. +Je retournais chez ma marchande. Mais tous les hommes que je +rencontrais me tentaient. + +-- Que les putains sont heureuses! (pensai-je) elles attaquent +qui elles veulent! + +Tout à coup une idée me vient: + +-- Allons chez Guae; je lui dirai de me pommader. Qu'il +m'estropie; mais qu'il me foute. + +J'y volai. + +Il était avec un beau jeune homme, qu'il fit cacher, au bruit +de mes talons. Mais j'entrevis par le trou de la serrure. Guae +me reçut mystérieusement, et me conduisit dans la pièce +obscure, où je lui avais vu cacher le jeune homme. + +-- Ma reine! ma belle future (me dit-il), je crois que je +pourrai vous enfiler aujourd'hui. Ayez seulement de la +complaisance! + +-- Oui! mais, pommadez... Ma tante... + +-- J'entends... j'entends... + +Je sentis qu'il me remettait à une main plus douce. On me prit +les tétons, le con; on me darda la langue. Je caressai. On me +troussa. Je fis beau con. L'on se mit sur Moi, je sentis qu'on +m'insérait un morceau de beurre frais à l'entrée de la vulve, +ou trou du con. On poussa. Je ripostai un peu. L'on entra. Je +secondai, m'apercevant, avec étonnement, qu'on ne me faisait +presque pas mal. Enfin l'on parvint au fond sans m'avoir +blessée, et l'on y déchargea. L'abondance et la douce chaleur +du foutre me firent partir aussi, mais avec un plaisir, des +élans, des transports incroyables! Je m'écriais: + +-- Cher amant! divin amant... j'expire... de bonheur... et de +volupté... Je t'adore!... + +Le jeune homme déconna. Il me suça les tétons, les lèvres, me +fit darder la langue. Ce que je fis tendrement... Aussitôt il +me re-enconna avec fureur. J'eus autant de plaisir que la +première fois... Bref, il me recommençait sans cesse, et ce +fut Guae qui le renvoya; car, pour moi, déjà foutue 25 fois +dans la journée, je crois que j'aurais laissé aller ces deux +hommes jusqu'à 50, si tous deux avaient pu me le mettre. Guae, +me voyant quelque difficulté à marcher, envoya chercher un +fiacre, pendant que je me lavais le con. + +-- Eh bien, ma charmante reine, t'ai-je bien foutue? me dit-il. + +Je rougis. + +-- Loin d'être épuisé, je me meurs encore d'envie de t'enculer! + +-- Oh non, non! (m'écriai-je avec effroi). + +-- Eh bien, branle-moi des deux mains, comme te voilà, le cul +dans l'eau. + +Je branlai son vit, qu'à peine je pouvais empoigner. Quand le +foutre fut prêt à venir, il hurlait de plaisir. + +-- Ta bouche! (me disait-il), ta bouche... ou je t'encule! + +Je decalottai le gland, je le pressai de mes lèvres. Le foutre +arrive, et, de peur qu'il ne tombe dans mes tétons, j'ouvre la +bouche, et il m'est lancé au fond du gosier. Je l'avale comme +un lait de poule. Il y en eut une chopine: + +-- Foutre! foutre... (s'écriait Guae) je me pâme... Ah... +céleste garce... Tu vaux mieux que toute la Terre... Est-ce +bon? + +-- Ce qui fait tant de plaisir en bas, doit faire du bien en +haut. + +-- Ah, divine putain... je t'en nourrirai. + +Le fiacre arrivait; Guae m'y porta. + +On me l'avait mis 37 fois. Le frère de ma marchande se trouva +seul à la maison, lors de mon retour. + +-- Mademoiselle Convelouté! me dit-il, que vous êtes cruelle +pour moi!... On dit que vous allez vous marier? Vous devriez +bien favoriser un jeune homme qui vous adore, aux dépens du +futur! C'est un veuf, un laid... Vous êtes pucelle, et si +jolie?... D'ailleurs, il l'a très gros (dit votre oncle), et +il vous fera bien mal! Si un plus menu que le sien vous +préparait? Voyez! (Il mit à l'air un vit charmant) c'est un +véritable croque-pucelage, sans faire mal... Je sais m'y +prendre. Le mari de ma soeur est un bandalaise, et elle se fait +de temps en temps ôter par moi les araignées du bijou. + +Ce langage me plut, et son vit me tentait: Je lui répondis, en +riant: + +-- Je n'ai pas d'araignées à ôter. + +Il vit, à mon air que je n'étais pas de mauvaise humeur. Il me +prit les tétons. + +-- Finissez donc, libertin! (lui dis-je doucement et sans +presque le repousser). Il me prit la motte. + +-- O c'est trop fort, ceci... Voulez-vous bien finir!... + +Il était déculotté; il bandait roide; il me renversa sur le +lit de sa soeur, me retroussa, et se mit sur moi tandis que je +disais nonchalamment: + +-- Eh mais... c'est donc une violence! + +et que je me défendais d'une manière qui me livrait. Il me +dit: + +-- Ah! céleste innocente! je vous le mettrai!... + +Il m'enfila. Je ripostais, en haussant du cul, comme pour le +repousser. Il n'en dardait son vit que plus fort. + +-- Non! (s'écriait-il en déchargeant) il n'est rien tel que +d'enconner l'innocence!... + +Cependant, craignant que je ne me dérobasse, il me foutit +trois coups sans déconner (ce qui fit mes 40 fois dans la +journée), et ne me quitta qu'en entendant du monde... Je +courus me laver. + +C'était la marchande. Elle dit à son frère: + +-- Heureusement que c'est avec Convelouté! Toute autre aurait +sauté le pas, polisson!... Mais l'as-tu attaquée? + +-- Oui. En ce cas, tu dois n'en pouvoir plus... Viens que je te +soulage? + +Il y avait encore de l'huile dans la lampe: Le jeune homme mit +le verrou, nous enfermant ainsi tous trois, et il se jeta sur +sa soeur, qu'il enfila d'un seul trait. Ah! quels coups de culs +elle donnait! + +-- Lime (lui disait-elle)... je décha...arge... Sors à moitié, +et... rentre... vivement... Fous-moi vingt fois... en une... + +Je les voyais. Ranimée par là, mon insatiable connôt +redésirait un vit, lorsqu'on frappa doucement. J'ouvris, en +tirant le verrou plus doucement encore. J'espérais que ce +serait le mari de ma marchande, qui depuis longtemps brûlait +de me le mettre. Je me proposais de le pousser dans une autre +pièce. Point du tout! C'était un beau jeune homme, qui avait +beaucoup d'air de celui par qui Guae venait de me faire +foutre. + +-- Mademoiselle (me dit-il) se nomme Agnès-Convelouté? + +-- Oui, Monsieur. + +-- Mademoiselle est la prétendue de M. Guae? + +-- Mais, oui, Monsieur. + +-- Aimez-vous, fort ce M. Guae? + +-- Monsieur, la raison, et non la passion, fait mon mariage. + +-- En ce cas, Mademoiselle, je ne vous ferai pas de peine en +vous révélant un secret? + +-- Quel est-il, Monsieur? + +-- C'est que, tout à l'heure, vous avez cru être possédée par +votre futur... + +-- Quel conte vous me faites-là, Monsieur? + +-- J'étais présent, mais caché, Mademoiselle; son timon de +carrosse ne pouvant vous perforer, il m'a vendu votre pucelage +cent louis, et c'est moi qui vous ai déflorée... Me +préféreriez-vous? + +-- Ce que vous me dites est impossible, Monsieur! + +-- Cela est. Il l'a trop gros; on vient de vous le mettre, et +c'est moi (Je le savais bien). + +-- Il n'est qu'un mot à dire, Monsieur. Pouvez-vous m'épouser? + +-- Mademoiselle, je suis marié à une vieille de 78 ans, qui m'a +fait ma fortune, et je suis obligé d'attendre qu'elle soit +morte. + +-- Et si je devenais grosse, Monsieur?... J'épouserais M. Guae. + +-- Voulez-vous être ma maîtresse? + +-- Cela ne conviendrait pas. + +-- De son consentement? + +-- Comme vous m'avez eue déjà, et que ce soit de son +consentement, je m'y prêterais; pourvu qu'il ignorât que je le +sais... + +-- Oh! de tout mon coeur! Ceci marque votre honnêteté... +Etes-vous seule? + +-- Non; la marchande est là. + +-- Pourrais-je vous avoir à coucher? + +-- Ah ciel! Je ne saurais découcher que sous le prétexte +d'aller veiller mon père, en le supposant indisposé. Ainsi, +cela est impossible. + +-- J'irai, si vous le permettez, parler tout uniment à votre +père. Je suis riche; il vaudrait mieux que je vous donnasse le +prix de vos faveurs, qu'à un vil malheureux, comme Guae? + +-- Hé bien, parlez à mon père. + +-- Je reviendrai vous chercher, s'il m'accorde ma demande! + +-- Mais ne revenez pas seul. Je veux voir quelqu'un à lui, et +que je connaisse! + +-- Vous serez tranquillisée". + +Il alla chez mon père. Il lui raconta comment Guae n'ayant pu +me dépuceler, lui avait vendu mon pucelage cent louis, en +quatre séances, vingt-cinq louis par chacune, dont la première +était payée; qu'il m'avait enconnée, en me pommadant, et qu'il +avait trouvé mon bijou si délicieux, si satiné, qu'il n'en +voulait plus d'autre; qu'il m'avait demandé de coucher avec +moi, et que c'était par mon conseil qu'il s'adressait à lui. +Il offrit ensuite les 75 louis restants pour les trois nuits +suivantes. Mon père répondit: + +-- Puisque Guae a voulu être cocu, qu'ainsi soit. Je consens +que vous couchiez ici avec ma fille, si vous avez cueilli sa +rose; ce qu'elle me dira. Allez la chercher, avec un billet, +par lequel je vais la demander. + +Et il écrivit. Puis il accompagna le galant jusqu'à la porte +de ma marchande, que son frère foutait encore. + +Cependant je m'amusais à voir conniller le frère et la soeur. +J'étais en feu quand le jeune homme reparut, avec le billet de +mon père; je vis, par la fenêtre, celui-ci qui nous attendait +dans le carrosse de mon dépuceleur prétendu. Je partis, en +avertissant que j'allais veiller mon père malade. A notre +arrivée, le galant paya un beau souper, et remit vingt-cinq +écus d'or à mon père. On mangea; on but; puis je fus mise au +lit. Le jeune homme exigea que mon père me déshabillât, et me +lavât la motte. S'étant ensuite lui-même mis nu, en un +instant, il entra dans une chemise, fort large, et qu'il avait +apportée, afin de me palper mieux. Il appela mon père, pour +qu'il lui mît le vit dans le trou de mon con; puis il +poussa... Il eut autant de peine que chez Guae (ce qui +m'étonna moi-même!). Aussi dit-il: + +-- Elle a réellement le connin étroit. Elle se repucellerait en +huit jours si on la laissait tranquille. + +Il me foutit six coups; mon père, couché à côté de nous, lui +mettant toujours le vit dans mon con. Il s'endormit ensuite, +et moi aussi. + +Le lendemain matin, il fit faire d'excellent chocolat, qui me +refit. Je refusai la voiture pour retourner chez ma marchande. +On ne se douterait pas pourquoi! J'avais ouï dire que le +foutre, avalé chaud, était excellent pour la poitrine, +fortifiait, et blanchissait le teint. Je voulais aller en +avaler ma chopine en suçant le vit de Guae. J'y courus, dès +que je me vis libre. Il allait sortir. + +-- Je viens vous donner du plaisir (lui dis-je), mais sans en +prendre; vous m'avez trop fatiguée hier. + +-- Allons, ma toute belle, que faut-il faire? vous enculer? +vous encuisser, vous endosser, vous enaisseller, vous +enoreiller, vous encoller, vous entétonner, vous décharger sur +le nombril, me faire serrer le vit entre vos deux mollets, +faire un con de votre soulier, ou de votre jolie mule. Tout, +je ferai tout, hors vous enconner; je ne le saurais, parce que +nous sommes, vous trop belle, et moi trop beau! + +Au lieu de répondre à ce langage, qui était de l'arabe pour +moi, j'avais déboutonné sa culotte, et je le branlais d'une +main, et chatouillant par instinct les couilles de l'autre. Il +se récriait de plaisir: + +-- Déesse!... Sacrée garce!... Divine putain!... Branle!... +branle!... Chatouille! chatouille les couilles!... Oh! oh! +quelles délices!... Bougresse!... Gueuse!... Putain!... +Divinité! le foutre... vient!... + +A ce mot, j'embouchai le gros vit, le palpotant de ma langue +et du palais. Ce fut alors que Guae en délire blasphéma: + +-- Foutu Dieu! Bougre de Dieu! Sacré con de la Vierge Marie! +Con de la Madeleine connillé par Jésus! Con de Sainte Thècle, +de Sainte Théodore, de Sainte Catherine, de Sainte Cécile, +d'Agnès Sorel, de Marion Delorme, de Ninon, de la Daubigné, de +la Vallière, de la Pompadour, de la Duté, de la Lange, de la +jolie Mars, de l'adorable et provocante Mézéray, de la jeune +et naïve Hopkins, de la belle Henry, vous ne valez pas... +cette bouche-là... Je fou..ou..ous... Je... décha..a..arge!... +Ava..ale!... gorge-toi de foutre, ma reine! + +Il déboucha vivement, quoique je lui suçasse encore le vit. + +-- C'est trop de plaisir! (dit-il) on mourrait. + +Il me fit prendre quelques cuillerées de café, pour me rincer +la bouché. Puis je me remis à le branler. Il me suça les +tétons, me fit lui darder ma langue, et voulut me gamahucher. +Je m'y refusai, devant être foutue le soir... Il rebandait. Je +secouai, je chatouillai; le foutre revint, et j'en avalai une +nouvelle dose. Ce qui eut lieu trois fois de suite. Le manque +de temps nous obligea seul de nous séparer. + +Le soir, à 9 heures, une voiture vint me prendre, et me +conduisit chez mon père. On y soupa, coucha et foutit comme la +veille. Le lendemain, après le chocolat, j'allai faire mon +déjeuner de foutre chez Guae. J'en pris quatre doses... De +retour chez ma marchande, son mari. Sans doute instruit par le +frère de sa femme, voulut me le mettre. Je m'y refusai +absolument. Il s'en plaignit à sa femme, qui m'en fit des +reproches. Mais, lui ayant dit que mon prétendu me l'avait mis +six fois, en gardant mon père avec moi, elle fit mes excuses à +son mari, en le priant d'attendre son tour. + +"Le soir, on vint me prendre. Mme Viédase, ma marchande, me +dit à l'oreille: + +-- Tâche de ne pas être foutue; afin que mon mari puisse te le +mettre demain? Il s'en meurt!... + +Je trouvai mon amant chez mon père. En soupant, on parla de +Guae; mon amant dit qu'ayant été enconnée devant lui, je ne +devais pas redouter la grossesse. + +-- C'est pourquoi (ajouta-t-il), j'enfourne à plein con, et +décharge au fond. + +-- Je vous mets le vit dans le connin de ma fille avec plaisir +(dit mon père); afin de mieux cocufier ce jean-foutre de Guae, +qui vous a vendu son pucelage. + +-- C'est ce qui me met aussi en fureur érotique, quand je fous +sa future (reprit mon galant). Je pense: encore une corne à ce +bougre de Guae... et je me trouve intarissable... Il m'a même +passé une idée par la tête. C'est de vous donner à chacun 50 +louis, pour que vous foutiez ensemble tous deux; pour que le +mâtin soit recocu, et surcocu! + +-- Top! (s'écria mon père) après votre affaire faite. Vous me +mettrez le vit dans le con de ma fille... + +-- Non! non! (m'écriai-je). + +-- Vous me la tiendrez, si elle récalcitre. + +-- Je n'ai pas ces idées (leur dis-je). Si je remue du cul, +comme je le fais, alors que mon amant me fout, c'est que je +l'aime. Quant à M. Guae, je lui dois beaucoup de +reconnaissance! il est ma nourrice, et c'est lui que je tète. + +On ne comprit pas le sens de ce mot. On me coucha. + +Au lit, mon amant me foutit six fois. A la sixième, mon +fouteur dit à mon père: + +-- Mets-toi sur ta fille, et fous-la. Je vais t'introduire le +vit. + +Mon père me grimpa, le jeune homme lui mit le vit dans mon +con, et il poussa. Comme j'étais amoureuse de lui plus que de +tout autre homme, je remuai de la charnière, comme une +princesse foutant avec un page... Le jeune homme, ranimé, +entra dans un tel érotisme, en nous voyant décharger, qu'il +nous fit mettre sur le côté, et il m'encula, tout enconnée que +j'étais... J'allai laver, et nous dormîmes. + +Le matin, au déjeuner, le jeune homme paraissait ivre de joie! + +-- Ah! qu'il est cocu, le bougre! (s'écriait-il.)... Bonhomme, +voilà un effet de cent louis. Il faudra que tu la foutes, +après le mariage, et il y aura vingt-cinq louis à chaque fois. + +Il partit, et je courus chez Guae, que je commençais à aimer +presque autant que mon père. + +Il me reçut avec transport, me traitant de divine garce, de +céleste putain... Il m'allaita de foutre six copieuses fois. +Ce qui me mit dans un tel érotisme que je retournai chez mon +père: + +-- Ton procureur? (lui dis-je essoufflée) Il doit être remis, +depuis l'autre jour? Je brûle... Cours-y, si tu m'aimes. + +Il y vola, en m'appelant: + +-- Cléopâtre! Cléopâtre!... + +Il trouva le jeune procureur à la fenêtre, son vit bandant à +la main. + +-- Je viens de voir entrer votre fille (lui dit-il), et +j'allais me branler à son intention. + +-- Gardez-vous en bien! Apportez un petit présent, et venez le +lui mettre! + +-- Vingt-cinq louis? + +-- C'est trop pour une pratique. Un louis par coup. + +-- Soit; mais je n'en remettrai pas. Elle gagnera peut-être la +somme. + +Il vint avec moi. En entrant, il jeta la bourse sur le pied du +lit: + +-- Allons, ma fille (me dit mon père), tu es à tes pièces; +autant de coups foutus, autant de louis. Mais il ne faut pas +tuer un ami! Il allait se branler à ton intention, quand je +suis entré. + +A ce mot, je me jetai à son cou, et lui dardai ma langue, en +disant: + +-- Cher! Cher ami! + +-- Ah je t'adore! (me répondit-il). + +Et il me prit les tétons, le con. Je me renversai. Il se mit +sur moi. Je me fourrai son vit dans le con, et, en quatre +coups de cul, je le mis au fond. Il déchargea, en me sentant +émettre... Il me foutit dix coups. + +-- J'ai quinze louis à compte (lui dit mon père, en le voyant +laver et se reculotter). Vous reviendrez quand il vous plaira. + +Nous en étions à l'avant-veille du mariage. Tous les matins, +Guae m'avait allaitée, ou plutôt affoutrée; ce qui m'avait +rendu la peau plus blanche, le teint plus brillant, le con +plus satiné, et me donnait un tempérament si violent, que je +n'étais à mon aise qu'un VIT au CON. Le jeune homme dit, en +déjeunant: + +-- Guae doit être surpris de ne pas me revoir! Cela pourrait +faire tort, dans son idée, au con de ma belle fouteuse. Ainsi, +je veux lui acheter la première nuit de sa mariée, puisque +l'impayable Agnès veut absolument l'épouser (Je le lui avais +dit, en foutant). + +Mon père applaudit. Mais, en me reconduisant chez Guae, que +j'allais téter, ce bon père ajouta: + +-- Tu n'es pas une mariée ordinaire; ce qui éteindrait la soif +d'une autre n'est qu'une goutte de foutre pour toi; j'ai une +idée, c'est de m'arranger à te régaler, après-demain, en te le +faisant mettre, jusqu'à extinction de forces, par tous ceux +qui t'ont foutue; moi d'abord; ton oncle; ton procureur; le +frère de ta marchande, et peut-être son mari. S'il se trouve +quelques nouveaux bougres, ils t'enculeront, sous prétexte de +réserver ton pucelage à ton époux; c'est un délice que +d'enculer une mariée, le jour de ses noces, et ils le payeront +bien. Je m'arrangerai avec Guae pour tout cela. + +Nous arrivions. J'embrassai mon père transportée de +reconnaissance, en le priant de tâcher de me suivre +secrètement, pour me voir téter. J'entrai, puis je +l'introduisis. + +Guae courut à moi, en se déculottant. Il me baisa d'abord +pied, jambe, cul, con et tétons: Il me fit ensuite lui darder +ma langue; après quoi, il me mit son vit en main. Je le +secouais vivement, lorsqu'il me dit: + +-- Garce, je suis raisonnable. Je ne t'enconne pas; il faut que +ton père et ton oncle te foutent le jour du mariage. Je +t'aurai ensuite, pour la nuit, trois vits frais, dont celui +qui t'a dépucelée sera un... Ah! l'idée que ton père t'enconne +va me faire te décharger une pinte de foutre, et te l'entonner +dans le gosier... Allons, garce, je sens que ça vient; +embouche-moi le vit... Ah-ah-ah... le bou...ougre fout... sa +fille... Ton père te fout, garce! te fout, putain... Ah! je +décharge, à cette divine idée!... Honh!... + +Il se pâma presque... Pendant l'interruption forcée, j'allai +prendre mon père à sa cachette: + +-- Fous-moi, lui dis-je; puisqu'il le faut pour le bonheur de +mon cher prétendu! + +-- Ah! déesse! (s'écria Guae, en se précipitant à genoux), tu +incestues pour moi! je t'adorerai toute ma vie... + +Il intromit le vit paternel. + +-- Remue du cul! (me criait-il), saccade! + +-- Je dé..cha..arge (lui dis-je)... Viens, cher ami... que je +te branle! + +Guae blasphémait de plaisir, en sentant venir le foutre... Il +m'emboucha, sans que mon père me quittât, et, en même temps, +j'avalai du foutre, j'en reçus dans le con, et j'en donnai. +Mon père me foutit quatre coups, et Guae m'avait embouchée +quatre fois, quand on frappa. Guae courut ouvrir, tandis que +je me rinçais bouche et con. C'était mon oncle. + +-- Vous arrivez à point (lui dit-il). On essaye ma future, et +vous allez l'essayer. + +Mon père expliqua la chose; Guae me renversa sur le foutoir, +et mon oncle m'enconna. Il me foutit six coups, je tétai six +nouvelles fois le vit de Guae; après quoi on me laissa +respirer. Il fut ensuite convenu que douze fouteurs me +passeraient sur le corps le jour de mon mariage, en con ou en +cul, à mon choix, et que Guae, qui seul aurait la bouche, me +ferait foutre la nuit, et dans l'obscurité, par trois vits +nouveaux de son choix. Mon oncle émerveillé, s'écria: + +-- Mais elle sera putain! + +-- C'est ce qu'il me faut, pour que je l'adore.... Et ne vous +en faites faute, ni son père, ni vous; puisque vous serez les +seuls qui ne payerez pas. + +En achevant ces mots, il se prosterna devant moi, en me +traitant de déesse. + +Je retournai chez ma marchande. Son mari et elle-même me +tourmentaient pour que le premier m'eût une seule fois avant +mariage. Ils me pressèrent plus fort que jamais; et je cédai. +La femme me mit dans le con le vit de son mari. Je ne fus +foutue qu'une fois, cet homme étant faible, et sa femme le +voulant être après moi. Ce fut de ma main qu'elle reçut dans +son con brûlant le vit marital... Cette opération faite, et +répétée, je les quittais, en leur disant adieu. Ils +pleuraient: + +-- Ce qui me console de ta perte (me disait ma marchande), +c'est que mon cher mari t'a foutue... Ta voluptueuse idée me +le fera mettre plus souvent. + +Je partais, quand le frère entra. Sa soeur lui dit ce qui +venait de se passer. Il ne répondit rien. Mais il me ramena du +côté du lit, m'y renversa, et me foutit devant eux, sans +prononcer une parole. Il voulait me recommencer. Je m'y +refusai, en l'invitant, ainsi que son beau-frère, à venir me +le mettre le surlendemain, jour de mon mariage. On me +remercia. + +Chapitre XXXVI De l'homme-poilu, la Convelouté, Linars etc. + + +A mon arrivée chez mon père, je lui con-racontai tout ce que +je venais de faire. + +-- Il ne faut pas (me dit-il), quand on a tant d'ouvrage payé, +en faire qui ne rapporte rien. Il vient de m'arriver un homme +d'assez agréable figure, très vigoureux, car il est brun et +tout poilu, qui offre une forte somme, pour t'avoir cette +nuit! + +-- Que rien ne vous empêche de le prendre! (répondis-je en +souriant) Je ne suis pas fatiguée par si peu de chose. + +Mon père, rassuré, me fit déshabiller nue, prendre un bain +tiède, puis un froid, mettre au lit, avec une chemise large; +me fit avaler un excellent consommé; ensuite il me laissa +dormir. Il était alors 5 heures du soir. A minuit, je +m'éveillai, en me sentant lécher le con. Je priai l'homme de +se montrer! Il leva la tète, et je vis un basané d'une fort +belle figure. Je souris. Il me suça les tétons, en me disant +des choses agréables: + +-- Vous avez un beau con... une superbe motte... un ventre de +pucelle... un cul d'albâtre... des tétons blancs comme +neige.... un col dégagé... des lèvres voluptueuses... de +belles dents... les plus beaux yeux... les cils, les sourcils +et les cheveux comme la déesse de la Beauté... la jambe +parfaite... le pied le mieux fait... Quand je vous aurai +foutue, je vous dirai le reste. + +Mon père me dit de me lever pour souper. Le basané me porta +toute nue dans ses bras auprès du feu. Là, je vis Guae avec +grande surprise! Je mis mon corset souple; Fysitère (le +basané) me laça, me priant de bien faire refluer mes tétons. +Mon père me chaussa une jambe et un pied, Guae l'autre jambe +et l'autre pied, en bas et en souliers de soie d'une +éblouissante blancheur. On se mit à table. Mon fouteur voulut +que je restasse les tétons découverts. Nous soupâmes. J'avais +appétit, Le basané but et mangea comme un hercule. En sortant +de table, il dit à mon père et à mon futur: + +-- Vous ne m'avez pas trompé; elle est au-dessus de vos éloges. +Si l'intérieur du con ressemble à l'extérieur, elle est à moi, +coûte qui coûte. + +-- Voyons votre vit (répondit Guae)... Elle ne sera que trop +parfaite!... Voici le mien; et vous savez que je n'ai pu +l'enconner, puisque c'est ce qui vous a fait parler à M. +Convelouté mon beau-père. + +-- Je verrai si elle a le mérite de ce beau nom... Mais vous +avez un vit épouvantable, M. Guae!... Empoignez-le, la belle, +que je voie comme il est bien bandant! + +Je saisis le vit de Guae, qui se récria de plaisir... + +-- Je bande (reprit Fysitère). Mais faites bander votre père, +et comparons. + +Je lui pris cependant le membre, qui grossit en le serrant +dans ma main. On compara ensuite. Guae l'avait le triple de +l'homme velu, qui lui-même était le double de mon père. + +-- Je voudrais lui dire un mot (demanda Guae furieux de +luxure). + +Il me poussa vers une fenêtre, me cacha derrière le rideau, et +me déchargea dans la bouche. Mon père seul devina ce que Guae +venait de me faire. Pour moi, je fus singulièrement fortifiée +par cette bavaroise! Je brûlais... Aussi, je fus ravie, +lorsque Fysitère dit: " + +-- Il faut d'abord que je la foute habillée. + +Il me porta sur le pied du lit, ôta ses culottes, et nous +laissa voir un corps velu, comme celui d'un singe. Il me fit +lui prendre son braquemart, et me dit: + +-- Introduis-moi cela dans le trou de ton con, et lève du cul +comme il faut, à chaque fois que je pousserai. + +Je m'enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri; car il me +déchirait, étant plus gros que mon oncle, et que tous les vits +qui m'avaient foutue. + +-- Ce n'est rien (me disait-il); je te déflore... je te +dépucelle. Remue du cul. + +Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, et lui rendant en +coups de cul, tous ses coups de vits. Il parvint au fond. Mes +trompes lui pincèrent la tête du gland. Il hurla de volupté. + +-- Garce adorable! (s'écriait-il) ton con satiné pince le vit! +Ta fortune est faite, ainsi que celle de ton père et du futur, +qui t'ont vendue à moi!... Allons, fous bien!... + +Je remuai, je tortillai du cul, je soubresautai, de la manière +dont me le disaient mon père, et Guae lui-même. + +-- Je suis ravi! (s'écriait le basané) Elle décharge!... Ah! +Elle me fera un petit bougre-à-queue!... + +Il dit à mon futur: + +-- Viens-ça, jean-foutre. Passe-moi la main sous le croupion, +et chatouille-moi d'une main ce que tu y trouveras, et les +couilles de l'autre! + +Guae obéit (J'ai su depuis qu'au croupion, le basané avait une +queue, de la même forme qu'un vit, mais velue comme son corps, +et que ce fut cette queue que mon futur chatouilla).... + +-- Je ne quitte pas d'une heure ce con céleste! (disait +l'homme-à-queue, en me saccadant) chatouille, chatouille, +bougre! les couilles et ma queue! + +Il déchargea six fois, sans déconner... Je demandai alors à +laver. Mon futur m'épongea le con, et me le baisa, en +l'appelant Con d'Or. Mon père me suça les tétons. Guae dit au +basané: + +-- Elle est à vous. Mais je bande comme un carme; permettez que +je l'encule?... + +-- L'enculer, non; c'est du foutre perdu. Encore moins +l'enconner; je veux qu'elle me fasse un petit-à-queue. Mais si +elle avalait le foutre, comme j'ai vu certaines femmes +tempéramenteuses, je consentirais que tu l'embouchasses. + +A ce mot, je saisis le vit de mon futur, et je l'aurais avalé, +s'il n'avait pas été si gros. Il me déchargea au fond du +gosier, en rugissant, et le foutre me descendit bouillonnant +dans l'estomac. + +Ah! Elle aime le foutre! (s'écria le basané) Elle a toutes les +perfections!... Et elle sera aussi longtemps belle, que +féconde!..... Allons, papa, embouche-la aussi. De tous les +foutres, le paternel est le meilleur. + +Je me jetai sur mon père, le renversai sur le lit, saisit son +vit bandant, que je fis aller et venir dans ma bouche, jusqu'à +ce qu'il déchargeât. Je suçai son foutre avec délices... + +-- Bon! (s'écria le poilu) Elle est dans les bons principes; +elle est impayable! + +Le basané me déshabillait, me déchaussait: Mon Père et Guae +lui aidaient. Je fus mise nue, patinée, baisée du haut en bas, +tandis que je me rinçais la bouche. On me passa la grande +chemise; l'homme-à-queue velu et tout nu y entra, me suça les +tétons, me fit lui darder la langue, puis dit à mon futur de +lui intromettre le vit dans mon con. + +Le basané me foutit six nouveaux coups, sans déconner. Je me +sentis fatiguée. Je voulus laver. Je restai une heure sur le +bidet le con dans l'eau. Le basané, qui, pendant tout ce +temps-là, s'était amusé à faire bander Guae, et à lui faire me +décharger trois fois dans la bouche, m'appela, en me disant: + +-- Tu es assez rafraîchie; reviens sur le foutoir, que je te +donne le bouquet! + +Il se le fit introduire par mon père; qui me dit: + +-- Courage, mon enfant! Voici un fouteur qui en vaut dix. Mais +je tâcherai de te faire soulager, si cela continue. + +Je fus encore foutue six fois; mais avec tant de véhémence que +je n'en pouvais plus. Sur ma plainte, le basané dit, que le +bouquet était le double des autres assauts. + +-- Eh! combien donc l'allez-vous foutre de coups? (lui demanda +mon père). + +-- Vingt-quatre est ma dose. + +-- C'est trop, et elle ne ferait pas d'enfants. Elle a une +cadette, aussi jolie que l'aînée est belle; je vous la +donnerai, pour soulager sa soeur! + +-- Je l'accepte! (s'écria Fysitère) Et il m'en faudra bien +d'autres! car je ne les fous plus dès qu'elles sont pleines, +ni pendant qu'elles allaitent leurs petits. La jeune garce +est-elle là? (Or il me foutait toujours)... + +-- Non: Vous ne pouvez l'avoir que demain soir. + +-- En ce cas, j'achève de foutre celle-ci mes 24 coups. Je +déconne; qu'elle lave. Elle n'en a plus que cinq. Si son futur +se trouve en état, qu'il lui donne à téter du foutre, cela la +fortifiera! + +Aussitôt Guae m'apporta ses couilles à chatouiller, et son vit +à branler. Je m'en acquittai si bien qu'il hennit au bout de +quelques minutes, et qu'à peine eus-je embouché son vit qu'il +déchargea, en sacrant: + +-- Elle a toutes les qualités... Elle est parfaite! (s'écriait +le poilu, en me re-enconnant) Si sa petite soeur la vaut, ce +sont deux connins impayables! + +Il acheva de me foutre cinq fois, sans déconner. Je puis me +rendre le témoignage que je déchargeai, à chaque assaut, +plutôt deux et trois fois qu'une. Aussi Fysitère en était-il +émerveillé! et me nommait-il la seule fouteuse digne de lui. +Mon père lui dit alors: + +-- Ce ne sera pas encore assez de ma cadette. Mais j'ai votre +affaire. Il me reste une nièce religieuse qui a des vapeurs +hystériques; je vous la donnerai, pour reposer mes filles! + +-- Je leur ferai à toutes trois 12 mille francs de rentes +(répondit le basané). Amenez-les-moi chaque soir, demain +excepté, que j'ai à fourgonner une grande blonde qui a ouï +parler de moi et qui veut en tâter. Il s'en alla. + +Cette scène changea tous nos projets. Je dormis jusqu'à midi, +qu'on m'habilla. Je fus mariée à une heure. La noce fut gaie. +Ma soeur y était, ainsi que ma cousine la carmélite hystérique, +mon père ayant trouvé le secret de l'avoir, au moyen d'une +permission de prendre les eaux qu'il sollicitait depuis +longtemps. J'eus réellement pitié du connichon de ma soeur +Doucète, et je résolus de le voir dans la journée. Mon père me +le montra, et le gamahucha devant moi, en alléguant le motif +de prévenir une maladie. Ah! qu'il était mignon!... Je +l'aurais gamahuché, à mon tour, sans ma coiffure d'épousée, +car son joli petit foutre virginal me tentait... Notre père la +prévint qu'il fallait qu'elle me soulageât la nuit de mes +noces, et l'aimable enfant y consentit avec naïveté. Je vis +aussi le con de ma cousine la carmélite, ou la belle +Victoire-Londo. Il n'était pas si mignon, mais il avait une superbe +perruque noire. Elle entra en fureur érotique dès qu'on le lui +eut touché du bout du doigt, et mon pauvre père fut obligé de +le lui mettre devant ma soeur, et devant moi. Ce qui ne la +calma que pour un instant. Nous appelâmes mon oncle, qui la +foutit trois fois. Puis le jeune homme fut introduit. Ensuite +le procureur. Tous ceux qui devaient me le mettre ce jour-là. +Les enculeurs vinrent après. Elle fut foutue, refoutue, +enculée, re-enculée, et calmée. Mais on n'appela pas M. Guae; +j'en étais jalouse... Pendant ce temps-là, mon père branlait +ma soeur; l'enculage de la religieuse le fit entrer dans une +telle érection qu'il la poussa dans un cabinet, où je les +suivis, la renversa, et la dépucela. J'insérai le vit paternel +dans le joli connin, en disant à Doucète que c'était une +ponction nécessaire. + +On lavait la religieuse. M'étant aperçue que Guae la +convoitait, je lui témoignai une jalousie qui le flatta. Il me +promit de réserver son foutre azuré et son gros vit pour ma +bouche, en attendant que les enfants m'eussent élargi le con. + +-- Mais vous m'aviez vendue (lui dis-je), avant de m'avoir +livrée à l'homme velu, pour être foutue et enculée ma nuit des +noces. Combien de fouteurs et d'enculeurs devais-je avoir? + +-- Six, à 2 mille écus chacun. + +-- Vous voyez que je n'ai besoin que de repos. Mais il ne faut +pas manquer une aussi jolie somme: Vous avez demandé le +silence et l'obscurité? + +-- Oui, ma reine adorée. Je ne me suis engagé qu'à te faire +voir toute nue sans chemise, comme en jouant avec toi, nu +aussi, dans la chambre. Au reste, le silence et l'obscurité +sont essentiels, puisqu'ils eussent passé pour moi. Les six +bougres, placés chacun dans une chambre séparée, devaient +repaître leurs regards de tes charmes, et t'espérer chacun +comme possesseur unique, à un signal donné. + +-- Tout cela se fera. Je serai remplacée par 3 personnes. Nous +donnerons le plus délicat et le plus petit vit à ma soeur. Le +plus vigoureux et le plus brutal à la carmélite: Je vais vous +avoir ma marchande, qui ne demandera pas mieux que d'être +foutue, sans être compromise. Vous arrangerez tout pour +qu'elles reçoivent chacune deux hommes; ce qui sera d'autant +plus facile que vous n'aurez que les hommes à tromper; ce qui +sera facile. + +Guae admira mon entente et mon économie! Il me promit une +soumission entière à mes ordres, et me demanda la permission +d'appeler ma soeur, ou la religieuse, pour le branler. Je les +appelai toutes deux. Je dis à la carmélite, en lui découvrant +les tétons, de prendre le vit et les couilles de mon mari. Je +mis ensuite ma soeur en position, troussée jusqu'au-dessus des +reins, et, comme elle avait le plus joli cul du monde, elle +montra le derrière. Je me mis à côté d'elle, troussée de même, +je montrai le devant. Guae, chatouillé par une main douce, et +jouissant d'une triple perspective aussi belle, en y +comprenant la superbe gorge de la religieuse, ne tarda pas à +hennir de plaisir. Bientôt il entra en fureur, et il allait +enconner la religieuse si je ne lui avais sauté sur le vit, +que j'embouchai. Il me déchargea dans le gosier, en rugissant. +Nous sortîmes tous quatre, pour aller danser, et ma soeur, ma +cousine et moi nous fumes reçues avec transport. + +Mes 6 fouteurs pour la nuit suivante étaient de la noce. Guae, +qui se fût bien gardé de me les montrer, si j'avais dû les +avoir, s'en fit une fête quand ce furent d'autres qu'on leur +allait livrer. Il me les désigna. C'étaient 6 monstres de +laideur. Guae trouva le moyen de les faire mettre nus +successivement dans une pièce isolée, sous le prétexte de les +frotter d'un baume fortifiant. Le premier était un squelette +décharné, ayant le vit comme mon père. Il avait un long nez +qui touchait à son menton, les joues creuses, l'oeil vif, des +verrues noires sur le corps. Je le réservai pour ma soeur, à +cause de son vit, n'espérant pas mieux. Il se nommait Widevit. + +Le second était un gros petit homme, très ventru, ayant le vit +de mon oncle, la peau comme une écrevisse cuite, pour nez une +grosse betterave, de gros sourcils gris, une bouche évasée, et +les lèvres hâlées, gercées des gros mangeurs. Ce fut le second +de Doucète, si je ne trouvais pas mieux. On l'appelait en +russe Wivitencoff de la Cowilardière. + +Le troisième était fait comme un héron et un dromadaire: Il +était juché sur de longues jambes sans mollets; il portait sur +ses épaules une colline en cône aigu; son visage était noir et +sec; ses cuisses grêles n'étaient distinguées de ses jambes +que par d'énormes genoux. Tout ce qui manquait à ces parties +se retrouvait dans son vit, plus gros que celui de notre +homme-à-queue, et moins que le double vit de Guae. Je destinai +Towtenvit à ma marchande, qui était chaude, large et stérile. + +Le quatrième était un gros marchand de blé, aussi large que +haut, tout noir, tout bourgeonné, ayant quelques livres de +couilles, et un vit très long, gros comme celui de mon oncle. +Je destinai Vitplongeardow à ma cousine, à cause de ses +couilles. + +Le cinquième avait le visage de la teinte d'un ventre de +crapaud, la tête monstrueuse, le ventre de Desessarts, le vit +comme Guae (il devait m'enculer, de convention faite). Son +regard était affreux, sa bouche dégoûtante, et son nez encore +plus. Vitcrwel fut voué au large con de ma marchande. + +Le sixième et dernier était grand, voûté, noir, bancroche, +roux, chassieux; il avait un vit à bourrelet, tant il était +long; aussi en avait-il apporté un, qu'il devait écarter, pour +m'enculer. Perceawant fut le second de mon ardente cousine. + +Le soir arrivé, l'on me mit au lit, et chacun des six monstres +crut qu'il allait avoir le plaisir d'être mon bourreau. Guae +me conduisit dans la chambre nuptiale, et parut me mettre au +lit. Mais il nous distribua dans quatre pièces, et les +lumières furent exactement retirées. Quant à moi, j'étais +restée debout, faisant, à chacune des lieutenantes de mon con, +le portrait et l'éloge du beau jeune homme qu'elles allaient +presser dans leurs bras. Je me croyais obligée en conscience +de leur donner des plaisirs imaginaires, à défaut de la +réalité. + +-- Ma toute belle! (dis-je à ma soeur) avec quel plaisir tu me +sacrifierais ton repos, si tu voyais le jeune homme charmant +qui doit froisser tes appas! C'est un sylphe; c'est un +amour... + +J'allai ensuite à la religieuse: + +-- Tu vas sentir la différence de la couchette de ta cellule au +lit d'un nouvelle mariée, ma chaude cousine. Un bel homme, un +gros vit... Crie, mais ne parle pas, puisque tu vas passer +pour moi... + +Je me rendis ensuite auprès de ma marchande: + +-- Vous allez être rassasiée de ce que vous aimez tant, mon +aimable maîtresse. Un jeune homme superbe, et... peut-être +deux, qui me désirent avec emportement, vont me le mettre dans +votre con brûlant, jusqu'à extinction de forces. Les vits sont +gros! ainsi faites-vous pommader comme une pucelle, et remuez +du cul, pour avaler plus vite ces énormes morceaux... + +Ma marchande me remercia, en me priant de la mettre +promptement aux prises. Je courus lui chercher Toutenvit, le +troisième... Mais je vais mettre de l'ordre dans mes récits. + +Guae m'attendait. Dès que je parus, il me fit parler, et +conduisit par la main Wìdevit, le premier monstre, auprès de +ma soeur. + +-- Mon cher mari (dis-je doucement, la tête appuyée sur +l'oreiller de celle-ci), ménagez-moi! + +-- Oui, oui; mais ne parle pas; j'ai découvert que toute la +noce nous écoutait, à cause de mon gros vit... + +Durant ce court dialogue, Vitdevit, déshabillé d'avance, +fourrageait déjà ma soeur. Guae, par mes ordres, prit ensuite +Vitplongeardow, le quatrième, et le conduisit, avec les mêmes +précautions, auprès de la religieuse. Je parlai sur son +oreiller... Towtenvit, le troisième, fut le lot de ma +marchande. Les 3 autres avaient rendez-vous quelques heures +plus tard.. Il faut à présent donner chaque scène +particulière, en 6 tableaux de la NUIT DE LA MARIEE. + + +Chapitre XXXVII Des six fouteurs pour trois foutues. + + +"Happée par le monstre, qu'elle croyait un ange, ma timide +soeur soupirait. J'entendais qu'on la gamahuchait, qu'elle +déchargeait. + +-- Je me meurs! (murmura-t-elle). + +-- Comme tu as la voix douce, belle mariée! (lui dit Widevit +bien bas). + +Et aussitôt il grimpa sur elle, et l'enconna. La pauvre +petite, quoique dépucelée, fit un cri! Je parlai pour la +déguiser. Le vieux monstre la ménageait et la caressait. Elle +le secondait de tout son pouvoir, et redéchargea. Grâce à moi, +elle avait le même plaisir que si elle eût foutu avec un beau +garçon... La voyant bien enfilée, j'allai à la religieuse. + +Vitplongeardow s'était avisé de ne pas mettre son bourrelet; +je m'en doutai aux gémissements de la pauvre martyre. Je le +dis à Guae, qui le désarçonna, et lui donna quelques +soufflets. J'entendis qu'il lui disait bien bas: + +-- Bougre! vas-tu m'estropier ma femme? Ton bourrelet! + +Le fouteur le prit, et la foutue n'eut plus que du plaisir. + +Je courus à ma marchande, que Toutenvit ne pouvait enconner, +par maladresse. Je mis la tête sur l'oreiller, et je dis en +soupirant: + +-- Priez donc mon père de vous l'introduire!... + +Guae, qui me suivait doucement, vint faire l'intromission, et +tout alla bien. + +Chacune des 3 belles fut foutue deux fois en con. Ensuite, +comme de concert, les 3 bougres retournèrent la médaille. +Toutes trois avaient leur pucelage de cul. Ma marchande crut +qu'on allait le lui mettre en levrette; mais les deux autres +ne s'attendaient à rien. On leur perça le cul à toutes trois +au même instant, et elles s'écrièrent, malgré la défense, +toutes à la fois: + +-- Doucète: Oh le fondement! + +-- La religieuse: Oh l'anus! + +-- La marchande: Oh le trou du cul!... + +On n'y fit pas attention. Heureusement ma soeur avait le cul +large; elle souffrit moins. Quant à la religieuse, que +Vitplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de +vit dans ses entrailles, et elle sentait celui de son enculeur +lui chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son +farfouillage; car il retirait et re-enfonçait brutalement. +Elle n'eut de plaisir qu'à la décharge, par la douce chaleur +du foutre, qui lui onctua le gros boyau. Ma marchande était la +plus maltraitée, par Towtenvit. Elle avait le trou du cul +aussi étroit qu'elle avait le con large; le vit énorme la +pourfendait. Elle jurait entre ses dents. Enfin la décharge +l'abreuva, et elle fut soulagée. + +Les 3 vieillards en avaient autant qu'il leur en fallait. Guae +vint les faire retirer, de sorte qu'ils ne se rencontrassent +pas... On étuva les 3 cons et les 3 culs. On fit les lits, on +changea les draps, recoucha la triple mariée, et Guae +introduisit les trois nouveaux acteurs. + +Il alla chercher Wivitencoff, que je mis dans les bras et sur +le ventre de ma soeur. Un peu aguerrie, elle caressa tendrement +le monstre, qui l'enconna, le vit introduit par Guae, qui +profita de l'occasion pour patiner ma soeur, et la chatouiller. +Ce qui fit tellement tressaillir la pauvre petite que son +fouteur s'écria, croyant parler à moi: + +-- Ah! que tu es putain!... + +Voyant Guae acharné sur ma soeur, j'introduisais les deux +autres. Je donnais Perceawant à la religieuse, et j'eus soin +qu'il eût son bourrelet. + +-- Voilà une main bien douce qui me touche + +dit-il en voulant saisir la mienne; mais j'échappai. + +-- Remue du cul, bougresse, (disait-il à sa monture); je te +tiens, je suis dans ton con; ainsi tu ne saurais m'échapper. +Je ne suis pas ton mari; j'ai payé pour coucher avec toi, et +te dépuceler; ainsi tu es ma putain. Fous, garce, et remue du +cul; j'ai payé pour ça... + +Guae l'entendit. Il vint à lui, le saisit à l'étouffer. + +-- Tu manques à nos conventions! (lui dit-il) je ne les +tiendrai pas non plus; fous-moi le camp, malhonnête homme! + +-- Oui; mais quand je l'aurai enculée. + +Et il encula la carmélite, malgré les coups de poing dont Guae +le gourmait. La religieuse poussait des cris horribles... +J'étais auprès de ma marchande, que j'accouplais avec le gros +Vitcrwel. Il ne devait qu'enculer; mais la chaude coquine se +dirigea elle-même le vit dans le con. + +-- Tu n'es donc pas pucelle, garce (crut-il me dire), que tu +connais si bien la route des vits?... Allons, fous, putain, et +comme il faut! j'ai payé ton maquereau de mari! + +Comme elle ripostait bien, il allait disant: + +-- Oh! elle est putain! elle est putain! j'ai le reste des +autres! + +Et, tout en déchargeant, il la pinça, la souffleta. Elle se +récria! + +-- En bouche, sacrée putain? (dit-il en déconnant) et tu +avaleras mon foutre; sans quoi je t'assomme! + +Guae, qui venait de laisser enculer la carmélite, et de +chasser son brutal fouteur, entendit le grabuge; il accourut, +apostropha le sale bougre d'un violent coup de poing, en lui +disant: + +-- Lave-toi donc au moins, sacré mâtin, avant de l'emboucher! +Je ne l'embouche jamais que je ne me sois lavé le vit à +l'eau-rose, et que je ne l'aie ensuite trempé dans du lait. +Exécrable bougre! vrai de Sade, tu veux lui faire soulever le +coeur?... Mais tu as manqué aux conditions; tu ne mérites plus +de l'avoir. + +-- Voilà cent louis... + +-- Ils seront pour elle. Lave-toi... Voilà de l'eau-rose... +Voici du lait... Allons, souffre, m'amie. Voilà tes cent +louis. + +Le vieux reître, cru un beau jeune homme, emboucha, encula, +entétonna tant qu'il voulut. + +-- Ah que tu es putain, sacrée chienne! (répétait-il)... + +Guae se mourait d'envie de lui montrer qu'il ne m'avait pas +eue. En le mettant à ta porte, il me fit trouver sur son +passage toute habillée. Ce fut comme une vision; car je +m'enfuis. + +Ah je suis fait! (s'écria le monstre) le scélérat m'a donné +une putain au lieu de sa femme!... + +Et il jura, sacra... Quant à moi, pendant ces scènes, +j'assistais à la fouterie de ma jeune soeur. La pauvre petite +fut enconnée, embouchée, enculée comme les autres, par son +adoré Vitvitencoff de la Cowillardière, qui alla jusqu'à +extinction de forces. Il m'adorait. Ce qui le tua, c'est que, +lorsqu'il se sentait épuisé, il se faisait sucer le vit bien +approprié à l'eau chaude, et baiser les couilles par sa jolie +monture. Il lui mettait encore couilles et vit sur le cul ou +les tétons. Puis il se faisait donner au gland un suçon. Il +bandait alors, et enculait. Au dernier culetage, il eut un +priapisme, et crut ne faire que bander. Il fourgonna dans le +cul de ma soeur jusqu'à ce qu'il s'évanouît. J'appelai Guae, +qui la décula, en enlevant son enculeur. On le porta évanoui +dans sa voiture. Arrivé chez lui, des cordiaux, que demanda +Guae, ranimèrent le vieux libertin: + +-- Ah! (s'écria-t-il) je vis encore! je voulais mourir dans son +cul!... je bande encore... Qu'on me la rende... que je +l'enfile... et... que... j'expire... Et il expira..." + + +[Ah! la belle mort! s'écria Traitdamour, et toute la compagnie +en dit autant...] + + +Mme Guae acheva. + +"Voilà comme s'est passée la nuit de mon mariage. Guae, à son +retour, était furieux de luxure: Il voulait toutes nous +enculer, puis nous emboucher. On s'arrangea. Il m'emboucha; +encula ma soeur et ma cousine, enconna ma marchande, qui en fut +estropiée pour un mois, et l'engrossa, deux choses qui +l'empêchèrent d'être achetée par Fysitère. Pour Guae, je suis +sa maîtresse, et son gros vit me fortifie par son foutre qui +me nourrit. Je serai enconnée par lui, de convention faite +avec Fysitère, après mon douzième enfant." + + +Chap. XXXVIII De la conclusion de l'histoire des 3 garces. + + +"Personne ne sait comment l'homme-caud découvrit que Guae +avait vendu la première nuit de ses noces. Il arriva furieux. +Il me demanda. J'étais au lit. Ce fut la réponse de Guae. + +-- Je le crois! (répondit Fysitère), et un homme est mort +d'épuisement dans ses bras. + +-- Elle a vaqué toute la nuit; mais c'est pour autre chose. Sa +cousine la religieuse ayant été un peu courtisée dans le jour, +ses vapeurs hystériques l'ont reprise la nuit, par un rêve, où +elle croyait être foutue. J'ai été appelé. N'ayant pu +l'enconner, je l'ai enculée. + +-- Je me fous de son cul. Mais si tu l'avais enconnée. + +-- Quant à ma femme, elle dort; et vous pouvez voir à la +fraîcheur de son con et de son cul que je ne lui ai pas +touché. + +-- Voyons d'abord la carmélite! + +-- Elle dort aussi. + +Ils y allèrent. Guae la découvrit, sans l'éveiller. Elle était +couchée sur le côté, ne pouvant se tenir sur le dos, à cause +de son cul qui lui faisait mal. Elle l'avait en marmelade. + +-- Comme tu les accommodes!... Et le con?... Il n'est pas si +maltraité... + +-- Je l'ai un peu fatiguée par mes inutiles efforts; et puis +elle s'est branlée. + +-- Voyons la mariée!... + +Ils vinrent à moi. On sait que je me repucelais par le bain et +un peu de repos. Mon con et mon cul furent trouvés si +appétissants, si jolis, que Fysitère les baisa tous deux. Puis +il signifia au cupide Guae qu'il avait un logement cloîtré +pour nous séquestrer pendant tout le temps que nous lui +ferions des enfants, moi, ma soeur, et ma cousine. Il ne vit +Doucète qu'habillée! et elle l'enchanta. Il nous emmena toutes +trois, en disant que jusqu'à notre grossesse bien déclarée, on +ne nous verrait qu'à un parloir. + +Fysitère est extrêmement riche. Il donne 20 mille francs par +an à Guae pour moi, 40 mille à mon père pour ma soeur et ma +cousine. Le soir, après un excellent souper, il nous fit +coucher toutes trois ensemble dans un large lit, où il se mit +avec nous. Il me foutit d'abord. Puis ma soeur. Ensuite la +carmélite, qui le fut deux fois sans déconner. Il me reprit. +Puis ma soeur. Bref, nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune +dans la nuit. Ce qui faisait les 24 de Fysitère. Quand il en +foutait une, les deux autres lui chatouillaient, une la queue +du cul, la seconde les couilles. + +Nous devînmes grosses toutes trois à la fois. Alors il nous +déclara qu'il ne nous le mettrait plus qu'après nos couches et +l'allaitement. Il vint ici. Il vous vit, Madame; il vous +foutit. Il épousa votre fille aînée, enconna les 5 autres, +fourbit vos deux nièces, ramona la bâtarde de votre mari, +viola vos 2 chambrières, et vous engrossa toutes. Durant ce +temps-là, nous accouchâmes, nous allaitâmes, nous nous +trouvâmes libres, et il nous refout. Tâchez d'être libres +aussi, quand nous serons prises, afin qu'il nous refoute +alternativement. + +Telle est notre histoire; voilà ce que nous savons sur l'homme +à queue. J'ajouterai seulement que, dans le temps où M. +Fysitère ne nous l'a plus mis, nous ayant des désirs, nous +avons eu recours à mon père, à mon oncle, à Guae, au +procureur, et à mon premier galant, qui nous ont fourbies, +Guae en bouche, les autres en con. Cependant nous avons toutes +voulu avoir Guae, à la première douleur pour l'accouchement; +son vit, gros comme l'enfant, frayait le passage, et son +foutre l'onctuait. + +Après nos couches, nous avons prié mon père de nous choisir de +jolis petits garçons non pubères, mais bandant roide, pour +nous ramoner le con: ces enfants, dont les petits vits huilés +entraient calottés, ne déchargeaient pas, et cependant +farfouillaient agréablement dans le connôt". + +Les 12 belles furent très excitées par ce récit, et quelques-unes +allèrent sur-le-champ et successivement se faire ramoner +par Fysitère, qui fut très étonné de cette boutade! Il se +servit de ses 2 queues, en expédiant ainsi 2 à la fois, une +dessous, une dessus. + +Cette bourrasque apaisée, Fysitère revint à ses us et +coutumes. Mais bientôt ses 3 coucheuses parurent enceintes. Il +les pria, ainsi que Mme Linars, de lui en procurer 3 ou 4 +autres, pour lui faire des enfants, en attendant leur liberté! +Mme Guae seule en procura 3, une Tétonnette, son amie d'étant +fille, et deux soeurs, Bienouverte, grande blonde, avec +Dardenbouche, aimable et vive brunette, très caressante, +déchargeant comme quatre. Tétonnette était une de ces brunes à +peau blanche qui ont toujours une si belle gorge. Fysitère +assura les 12 cents fr. de rentes à ces 3 filles, se chargea +de leur ample entretien durant tout le temps de leur +fécondité, les fit coucher au grand lit, et les dépucela 8 +fois chacune la première nuit. Il commença par Dardenbouche, +là plus jeune. Elle était si amoureuse, bien que pucelle, +qu'elle riposta, dès le premier coup de vit. Elle soutint les +8 assauts de suite avec un courage héroïque... Fysitère prit +ensuite Bienouverte. Elle fut plus modérée. Elle cria, quoique +peu étroite; parce que, ne déchargeant pas d'abord, elle ne +s'humectait que faiblement le connin. Elle était pucelle +néanmoins. Malgré sa langueur, elle fut foutue 8 fois, comme +Dardenbouche; Fysitère aurait eu peur d'en mortifier une... Il +prit ensuite la belle Tétonnette. Il l'enfila plus +difficilement que Bienouverte; mais elle remua si +délicieusement du cul, ses tétons étaient si appétissants, +elle avait le connin si étroit, qu'elle donna autant de +plaisir que Dardenbouche... + +Après les 24 assauts, Fysitère laissa dormir. Le lendemain +matin, 3 valets de chambre entrèrent, pour lui demander ses +ordres? Il s'éveilla; mais il feignit de dormir, là bouche sur +là gorge de Tétonnette, et une main sur les tétons de chacune +des 2 autres. + +-- Voilà un bougre bienheureux! (dit un des valets) + +-- Oui! (répondit un autre). + +Et ils se mirent tous trois à se branler. Alors Fysitère, +feignant de s'éveiller, leur dit: + +-- Je vous ai entendus, jean-foutres. Vous ne les enconnerez +pas; je veux qu'elles ne soient grosses que de moi; mais +tournez-les sur le ventre, et m'en enculez une chacun. + +Il n'avait pas achevé que les 3 belles poussèrent un cri +simultané, causé par les 3 vits qui leur entraient dans le +cul. Fysitère les exhorta à là patience, par l'idée d'une +bonne oeuvre; il les assura que ces 2 hommes allaient décharger +par terre. Elles se rendirent à cette raison, et culetèrent à +qui mieux mieux." + + +Explicit L'HOMME-A-QUEUE. + + +A cette longue histoire, tous et toutes se récrièrent: + +-- Nous ne sommes que de la Saint-Jean, auprès de ces fouteurs +et de ces fouteuses-là! Que ne sommes-nous à demain! + +-- N'allez pas vous branler, bougres! (leur dis-je) + +-- Nous nous en garderons bien! notre foutre n'est pas à nous; +il est à nos belles. Qui était étonné de nous entendre parler +ainsi devant ma fille, c'étaient Brideconnin et sa femme... +Mais ils en verront bien d'autres. + + + + +SUJETS DES ESTAMPES. + + +I. Cupidonet et Jenovefette. + +L'adolescente à quatre, troussée, et le jeune Cupidonet à +genoux, la couvrant cyniquement, tâchant de l'enfiler. Elle se +cambre les reins, pour être atteinte: "Hausse, hausse le cul". +p. 5 + +II. Cupidonet et le con soyeux. + +Cupidonet sur Madeleine, âgée de dix-sept ans, dont il lèche +le con poilu. Elle est sur le dos, les jambes écartées, et se +prête en poussant sur la bouche de son jeune frère, qui la +gamahuche. "Darde ta langue dedans, cher petit ami". p. 9 + +III. La mère foutue. + +Cupidonet enconnant une femme de quarante ans, au lit, les +draps à terre. Il enconne pour la première fois, et paraît se +pâmer. La Femme: "Jamais... jamais... vous ne m'avez donné +tant de plaisir". p. 12 + +IV. Cupidonet et la belle Marie. + +Cupidonet, évanoui, le vit en l'air après avoir déchargé dans +le con de sa soeur la Belle, mariée à Paris, et parée, un jour +de Vierge, Marie dététonnée, et con et cul visibles. Elle dit: +"Ah... Grand Dieu... c'est Cupidonet." p. 16 + +V. Cupidonet et l'horlogère. + +Cupidonet au lit, sans couvertures ni draps, foutant la belle +horlogère, à laquelle son mari, couché de l'autre côté d'elle, +dit: "Courage, ma femme... hausse le cul". p. 20 + +VI. Cupidonet, avec sa femme le cul découvert. + +Il est appelé par sa femme debout, mais courbée sur un lit, +troussée au-dessus des reins, et montrant le plus beau cul. Il +court à elle, le vit bandant. "Si j'ai la vérole (pense-t-elle), +fous-moi en cul". p. 20 + +VII. Cupidonet et Conquette. + +Cupidonet gamahuchant Conquette la nuit, sa lampe sur un +garde-sel. Elle est à découvert, et se trémousse toute +endormie, quand elle sent la langue entre les lèvres de son +connin à poil naissant. "Ah... Ah... Ah... ça m'chatouille". +p. 25 + +VIII. Conquette et Cupidonet. + +Conquette, qui vient d'être gamahuchée, et que Cupidonet, le +vit bandant, tâche d'enconner. "Ah! ce joli gamahuchage, tant +que vous voudriez". p. 30 + +IX. Cupidonet et Victoire. + +Cupidonet tenant Victoire troussée jusqu'aux dessus du genou, +et se faisant empoigner le vit, qu'elle ne voit pas: +"Mignonne... serre-moi le doigt, fort... fort". p. 32 + +X. Conquette, Culant, Vitnègre. + +Conquette assise devant le feu, entre Vitnègre et Culant +déculottés, bandants; elle troussée: "Allons, bougresse. +branle-nous tous deux". p. 36 + +XI. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le moine. + +Cupidonet dans un cabinet obscur, voyant Vitnègre le vit à +l'air, montrant à nu les appas de sa femme. Un moine, debout +dans le cabinet, vu par le père de Conquette, caché derrière +un sofa, et qui n'est pas vu. Le moine tenant en main son vit +monstrueux, regarde la scène: "Troussée, putain, au-dessus des +reins". p. 39 + +XII. Cupidonet et Conquette en levrette. + +Conquette, le ventre appuyé sur le pied d'un lit. Cupidonet +l'a troussée au-dessus des reins; elle cambre la taille, et il +l'enfile en levrette. "Remue du croupion... mon ange". p. 44 + +XIII. Conquette, Vitnègre, un payeur. + +Vitnègre debout à côté du lit, caché par un rideau, tandis +qu'un autre le remplace sur sa femme. Le mari dit à celle-ci: +"Décharges-tu"? p. 48 + +XIV. Cupidonet, Conquette, Vitnègre, le jeune homme. + +Cupidonet caché; Vitnègre une lumière en main trouvant le +jeune homme sur sa femme troussée: "Hé bien, est-elle +enconnée". (dit-il). p. 53 + +XV. Le fouteur à la Justine. + +Le moine Foutamort, ayant mis Conillette nue, expirée et +déchirée sur une table, lui cerne les tétons avec un bistouri, +etc.: "Décharnons-la." p. 56 + +XVI. Cupidonet, Conquette, Timori. + +Cupidonet, caché dans le sofa, avançant la tête, pendant que +Conquette, gamahuchée par Timori, lève les jambes en l'air, et +fait claquer ses talons: "Ah... Timori... ta langue vaut un +vit". p. 62 + +XVII. Conquette enculée. + +Cupidonet sous un sofa; Timori enculant Conquette, courbée, +dont le cul est bien perforé: L'enculeur s'écrie: "Quel cul! +quel plaisir des Dieux". p. 63 + +XVIII. Conquette s'enconnant du vit paternel. + +Cupidonet au lit avec Conquette, deux flambeaux sur la table +de nuit. Il est sur le côté, le vit bien bandant. Il dit à sa +fille nue, cherchant à s'enfiler: "Appuie lentement, ma +reine". p. 67 + +XIX. Montencon, Cupidonet, Hochepine, Vitsucette. + +Montencon embouchant Adélaïde Hochepine en présence de +Cupidonet et de Vitsucette. "J'embouche la jolie garce". p. 70 + +XX. Cupidonet, Conquette, Montencon. + +Cupidonet sortant du con de Conquette. Montencon, le vit en +main, allant se mettre sur elle dont le con et les cuisses +sont bien à découvert. "A toi, bougre". p. 7 + +XXI. Les moines vérolés. + +Tous les lits sont couverts de robes monacales. Vitnègre assis +auprès du lit de Foutamort, qui lui montre un tableau, +représentant une femme à laquelle il vient de ne faire qu'un +trou du cul et de la motte, et dont il cerne les tétons: "Je +me suis fait accommoder son con". p. 81 + +XXII. Le sommeil enconné. + +Cupidonet endormi, le vit dans le con de Conquette, qui dort +également enconnée. En commençant à s'éveiller, elle dit: "Ah! +Mon Dieu! c'est mon papa, qui me..." p. 83 + +XXIII. Cupidonet, Conquette. + +Cupidonet devant Conquette assise, en court jupon, les tétons +découverts: Il vient de se mettre le vit à l'air. Elle joue +avec sa mule mignonne, qu'elle fait badiner avec le bout de +son pied: "Je veux te griller". p. 88 + +XXIV. Conquette, Cupidonet, Centlouis. + +Centlouis prenant les tétons et le con de Conquette, en +présence de Cupidonet, auquel il dit de serrer les cinquante +louis: "Ce con satiné, ces tétons touchés les valent". p. 91 + +XXV. Conquette, Cupidonet, Traitdamour. + +Conquette renversée, troussée au-dessus du nombril, et à +laquelle Cupidonet présente Traitdamour, qui tient à la main +et montre son gros et superbe vit. Conquette avançant sa main, +pour prendre le vit: "C'est donc toi qui m'as fait tant de +mal... et de plaisir"... p. 95 + +XXVI. Cupidonet, Conquette, Traitdamour, Minone, Connète. + +Cupidonet foutant Conquette, qui lui darde sa langue. +Traitdamour tenant les tétons de sa soeur, qui lèche le trou du +cul du fouteur; tandis que Connète le suce dans la raie du +dos: "Quels délices!... Je suis rendu"... p. 100 + +XXVII. Minone, Conette, Cordaboyau, Brisemote (1er groupe). + +Connète chatouille les couilles de Cupidonet debout, tandis +que Cordaboyau enconne Minone, que Brisemote encule couchée +sur le côté. "C'est une fouterie de princesse...". p. 108 + +XXVIII. Cupidonet, Conquette, Traitdamour (2ème groupe): + +Conquette sur Traitdamour, qui la tient enculée sur lui! +Cupidonet dans le con de la belle, ainsi limée entre deux +feux: "Piquez... des deux; la garce est enculée"... p. 110 + +XXIX. La danse nègre. + +Cupidonet habillé, mais le vit à l'air, regardant la danse, +dans laquelle il pousse Conquette nue par les fesses. +Traitdamour danse avec Rosemauve, une nouvelle actrice; +Cordaboyau avec Conette; Brisemote avec Minone; tous six nus +de la tête aux pieds. Ils figurent les mouvements voluptueux; +un couple paraît prêt d'enconner; un autre d'enculer; le +troisième, en se contournant, met les tétons sous la bouche, +le vit sous la main, et montre le con qui l'appète. "Allons! +Du mouvement, garces!" p. 114 + +XXX. La Piochée et ses piocheurs. + +La Piochée sur le foutoir; Piocheur-père enculant Piocheur-fils; +Piochencul les excitant, et se faisant bander, à l'aide +de la main et des tétons de la jeune fille. "Bougre... encule +ton petit garçon". p. 117 + +XXXI. Piochette. + +Le vieux Piochencul patinant les tétins de Piochette, âgée de +14 ans, et fille du frère et de la soeur, pendant que ces 2 +individus sont enconnés, et que le vieux Piocheur grand-père +encule son fils. "Tu me dépucelleras ta fille, dès que ton +grand-père t'aura déculé". p. 119 + +XXXII. Les gourmets de con. + +Conquette enconnée par Cordaboyau, seulement comme gourmet du +satiné de son con, est enlevé de sur elle, prêt à décharger, +par Traitdamour et Brisemote, le vit bandant et décalotté, +pour le plonger tout brandi dans le con de Rosemauve, étendue +sur un foutoir haussant du cul: "Le sacré bougre allait +partir"... p. 123 + +XXXIII. Honnête entretien du père et de la fille. + +Cupidonet prenant le con de sa fille d'une main, les tétons de +l'autre. Elle dit: "Mon Dieu: je vous remercie d'un si bon +père". p. 133 + +XXXIV. L'homme enfilant deux cons d'une volte. + +L'homme-à-queue foutant Sophie Linars de son vit, tandis que +Geoline s'enconne avec la queue velue qu'il a au croupion. +Celle-ci dit: "Et moi, je vais me servir de cette queue +raide". p. 141 + +XXXV. La fouteuse insatiable. + +La belle Agnès, livrée par son père, enfilée par le jeune +procureur, qui se loue de ses délicieux mouvements; elle +s'écrie, en déchargeant: "Ah... mon âme va sortir... par le +trou qu'il me fait". p. 157 + +XXXVI. Indicibles fouteries! + +Agnès, après souper, ayant un corset refluant, cachée derrière +un rideau de fenêtre, de sorte que l'homme-à-queue seul, qui +lui prend le con, ne voit pas son visage: Elle tient d'une +main le vit de son père; de l'autre, elle retient à l'entrée +de sa bouche, et presse de ses lèvres, le gros membre de Guae +qui décharge, et lui lance le foutre au fond du gosier. +Fysitère leur dit: "Il faut d'abord que je foute habillée...". +p. 175 + +XXXVII. Les six fouteurs des trois foutues. + +Agnès, Doucète, la carmélite, et la marchande de modes, +maîtresse d'Agnès Convelouté. La 1re en déshabillé de gaze +transparente, avec le chapeau de mariée; les 3 autres nues, +sont instruites par Agnès [Coupure.] Six vieillards, le vit en +main, nus, endoctrinés séparément par Guae, nu aussi, à +l'entrée d'une autre pièce, où il les attire les uns après les +autres... Le premier est un grand, maigre, dont le nez touche +au menton; vit ordinaire. Le second, gros, très ventru; le nez +comme une grosse betterave; le vit long. Le troisième monté +sur de longues jambes sèches; ayant un pain de sucre sur les +épaules; le vit gros comme celui de l'homme-à-queue au moins. +Le quatrième aussi large que haut, a le vit de l'oncle +d'Agnès. Le cinquième a la tête monstrueuse, le ventre comme +un tonneau, le vit comme celui de Guae. Le sixième est grand, +voûté, bancroche; ayant un bourrelet à son long vit. Quant au +laid Guae, on voit son vit, gros comme un timon de carrosse, +soulever sa chemise... "Chacun des 6 monstres crut qu'il +allait avoir le plaisir d'être mon bourreau". p. 183 + +XXXVIII. Fysitère au grand lit avec ses 3 fouteuses. + +Elles sont nues. Fysitère nu enconne Doucète; Agnès lui +chatouille les couilles; la carmélite lui branle le queue +velue, dont elle se dispose à s'enfiler. Le mot est pris de +l'histoire par Agnès "Nous fumes ainsi foutues 8 fois chacune +dans la nuit; ce qui faisait les 24, ordinaire de Fysitère" p. +192 + + +Table des Chapitres + + +La Préface. 3 + +I. Chapitre De l'enfant qui bande. 5 + +II. Chap. Du con soyeux. 8 + +III. Chap. De la mère foutue! 11 + +IV. Chap. D'un autre beau-frère cocu. 14 + +V. Chap. Du bon mari spartiate. 18 + +VI. Chap. De l'épouse qui se fait enculer. 20 + +VII. Chap. Du connin au poil follet. 25 + +VIII. Chap. Des conditions de mariage. 28 + +IX. Chap. Des dédommagements. 31 + +X. Chap. De l'infâme mari. 33 + +XI. Chap. Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit. +39 + +XII. Chap. Du plus délicieux des incestes. 41 + +XIII. Chap. Du con et du cul vendus. 46 + +XIV. Chap. Le jeune homme, la fille, le moine. 51 + +XV. Chap. Du fouteur à la Justine. 54 + +XVI. Chap. Foutoir. Petit magasin. Enserrement. Amour. 58 + +XVII. Chap. Du pucelage du cul. Le père enconneur. 63 + +XVIII. Chap. Des avis paternels, tenant sa fille enconnée. 67 + +XIX. Chap. Du père juste, et du vit grisonnant. 70 + +XX. Chap. Du, Ah, comme elle fut foutue! 74 + +XXI. Chap. Du ressouvenir, et de l'épisode. 80 + +XXII. Chap. De la fouteuse mise en appétit. 83 + +XXIII. Chap. De la tendresse filiale; et de l'amour paternel. +86 + +XXIV. Chap. Du chef-d'oeuvre de tendresse paternelle. 91 + +XXV. Chap. Du bon père qui fait foutre sa fille. 93 + +XXVI. Chap. d'AVIS très utile au lecteur, et à l'auteur. 98 + +XXVII. Chap. Du commencement des grandes fouteries. 101 + +XXVIII. Chap. De l'enculo-connillerie. 106 + +XXIX. Chap. D'une nouvelle actrice. Danse nègre. 112 + +XXX. Chap. Le Pioché, la Piochée, le Piochard. 116 + +XXXI. Chap. Suite des mêmes, Piochette. 119 + +XXXII. Chap. Du connin goûté. 122 + +XXXIII. Chap. La fouteuse sensée. 130 + +XXXIV. Histoire de l'homme-à-queue. 134 + +XXXV. Chap. de la garce insatiable. 144 + +XXXVI. Chap. Des fouteries de la Convelouté, etc. 174 + +XXXVII. Chap. Des six fouteurs pour trois foutues. 185 + +XXXVIII. Chap. Conclusion de l'histoire des trois foutues. 191 + +XXXIX. Chap. Du fauteuil. 207 + +Fin de la table de la 1re partie. + + +EPILOGUE de la Ire PARTIE. + + +J'ai longtemps hésité si je publierais cet ouvrage posthume du +trop fameux avocat Linguet. Tout considéré, le casement déjà +commencé, j'ai résolu de ne tirer que quelques exemplaires, +pour mettre deux ou trois amis éclairés, et autant de femmes +d'esprit, à portée de juger sainement de son effet, et s'il ne +fera pas autant de mal que l'oeuvre infernale à laquelle on +veut le faire servir de contrepoison! Je ne suis pas assez +dépourvu de sens pour ne pas sentir que l'ANTI-JUSTINE est un +poison: mais ce n'est pas là ce dont il s'agit. Sera-ce le +contrepoison de la fatale JUSTINE? Voilà ce que je veux +consulter, à des hommes, à des femmes désintéressés, qui +jugeront de l'effet que le livre imprimé produira sur eux et +sur elles. L'auteur a prétendu éloigner de la cruauté, de la +soif du sang et de la mort de la femme possédées. A-t-il +réussi? Il a prétendu ranimer les maris blasés, pour les faire +jouir de leurs femmes avec goût, à l'aide de la lecture d'un +demi-chapitre de son ouvrage. A-t-il atteint ce but? C'est ce +qu'on décidera. + +On a vu, par la table seule, combien cet ouvrage est salace! +mais il le fallait pour produire l'effet attendu. Jugez-le, +mes amis, et craignez de m'induire en erreur! + +L'ANTI-JUSTINE aura VII ou VIII parties comme celle-ci. + + +FIN de la 1re partie. + + + + + + + + +L'ANTI-JUSTINE, + +OU + +LES DELICES DE L'AMOUR + + +Par M. LINGUET, Av. au et en Parlem. + + +Avec Figures. + + +[Seconde Partie.] + + +AU PALAIS-ROYAL + +Chez feue la Veuve GIROUARD, très-connue. + +1798 + + + + +Je suis parvenu au second volume de cet ouvrage, destiné à +ranimer les maris blasés, auxquels leurs femmes n'inspirent +plus rien. Tel est le but des nequices de cette excellente +production! que le nom de Linguet rendra immortelle. + + +L'ANTI-JUSTINE. + + + + +Chapitre XXXIX Du fauteuil. + + +Le dimanche arrivé, il y eut un joli dîner, qui fut servi dans +mon magasin. J'y avais fait mettre, outre le lit et le vieux +sofa, un 3me foutoir commode, que j'avais trouvé par hasard +chez un serrurier de la rue de la Parcheminerie, qui l'avait +acheté pour le fer et l'acier seulement, à l'inventaire de +certain duc. J'en fis l'histoire à ma société: + +"Ce fauteuil, ou foutoir, se monte. Le serrurier le monta un +jour, pour en voir le mécanisme. Il allait s'y asseoir, au +1er. La jeune femme très potelée de son vieux voisin Aupetit, +le perruquier, arriva. La jolie voisine, essoufflée, se jeta +sur le diable de fauteuil. Aussitôt elle fut saisie par les +bras. Un ressort la troussa, et un autre lui écarta les +cuisses. Un autre lui fit faire beau con; un troisième la fit +osciller. + +-- Eh! qu'est-ce donc que ce machin-là? s'écriait-elle. + +-- Ma bonne foi si je le savais! répondit le serrurier; j'ai +monté la machine pour la connaître; mais je vois que c'est +celle avec laquelle le duc de Fronsac essayait les filles +récalcitrantes, que des parents maladroits lui avaient +vendues. Si vous voulez, ma voisine, je vais vous essayer? + +-- Allons donc! Est-ce qu'on viole jamais une femme malgré +elle? Je mordrais... + +L'homme-de-forge se déculotte; se met sur elle. La +traquenardée veut le mordre. Un ressort assez doux lui fait +ouvrir la bouche, et, en l'angoissant un peu, la force à +darder sa langue. Le suppôt de Vulcain profite de tout cela, +et enfile la perruquière, qui ne put l'empêcher, ni même +crier... L'opération faite, la machine se trouva au bout de +ses rouleaux, et Mme Aupetit ne fut plus contenue. C'est alors +qu'elle se mit à pleurasser, à criasser, comme si elle avait +été au désespoir. + +-- Grand'bête! (lui dit le Cyclope) je vous ai trop bien opérée +pour que vous ne deveniez pas grosse; vous aurez un enfant, +que votre vieux jean-foutre ne vous aurait jamais fait. Mais +il faut un peu de ruse. Dès aujourd'hui dites-lui que vous +achevez une neuvaine à Saint Julien, qu'il vous travaille ç'te +nuit, et que le Saint bénira ses travaux. Remuez du cul, quand +il vous le mettra; dites-lui des foutaises, et, s'il +déchargeote un peu, pâmez-vous, en disant qu'il vous inonde. + +Mme Aupetit s'en alla munie de ces instructions, qu'elle mit +en pratique. Le fauteuil me fut prêté le lendemain. + +Le Cyclope, m'ayant vu passer, m'appela, me montra la machine, +me la vanta, et me mit au fait de son usage. Elle me fut +donnée à l'essai, et je la destinai aux bégueules, s'il nous +en venait à nos orgies. Je remis à monter la machine quand il +serait à-propos, afin de ne pas en éventer le secret. Nous +nous y assîmes trois en dînant, Mme Poilsoyeux, une jolie +chapelière de la rue Bordet ou Bordel, amenée par Traitdamour, +et nommée Tendrelys; j'étais au milieu. In petto je réservais +le fauteuil monté à la jolie Tendrelys, encore pucelle, +quoique Traitdamour lui eût quelquefois déchargé entre +cuisses; ou, si la chapelière était docile, à Rosemauve, ou à +sa soeur Rosalbe la blonde, ou enfin à notre hôtesse Mme +Brideconnin, que je voulais mettre de nos fêtes, ainsi que son +mari, voulant le faire cocu en sa présence... Nous dînâmes +bien, mais sans trop manger, ni trop boire. Nous avions +d'ailleurs de la volaille, et toutes choses de facile +digestion. On ne tardera pas à voir comment j'exécuterai tous +mes projets. + + +Chapitre XL Des cons rasés. + + +En sortant de table, Traitdamour nous dit: + +-- Toute la semaine, il m'a roulé dans la tête de rendre le +connin de Mme Conquette-Ingénue-Poilsoyeux ce qu'il doit être; +c'est-à-dire, PUCEL; car je suis sûr que depuis huit jours +qu'elle n'a foutu, il s'est rétréci en diable!... Brisemote, +Cordaboyau, vits implacables, troussez-moi Minone et Conette; +il ne serait pas séant qu'elles se troussassent elles-mêmes. + +On les troussa jusqu'au-dessus du nombril. Pas un poil! + +-- Je les ai rasées ce matin (dit Traitdamour), pour voir +l'effet, avant de proposer la même chose à notre déesse. Vous +voyez comme elles sont propres! Tout le corps l'est de même. +Elles se sont baignées tous les jours depuis qu'elles savent +que la belle fouteuse met tous les jours son con dans l'onde +limpide et y plonge entier son corps appétissant. Elles m'ont +assuré que, lorsqu'elles étaient en chaleur, l'eau fraîche +dans laquelle trempaient leurs cons brûlants, leur donnait un +plaisir presque fouteur... Mais voyez-moi ces cons-là? Ne +dirait-on pas des connins de fillettes de 12 à 13 ans? + +On en convint. + +En conséquence, je priai ma fille de se laisser raser la +motte. Elle se cacha le visage dans mon sein. Traitdamour +aussitôt la renversa sur un foutoir, le con au grand jour. + +-- C'est pourtant dommage! (dit-il en le maniotant); la +perruque en est superbe!... Je vais d'abord employer les +ciseaux. Nous mettrons ce poil soyeux sous verre dans un cadre +doré; ce seront de précieuses reliques. + +Il coupa. Ensuite il tira d'une jolie boîte une savonnette +parfumée, et savonna longtemps le connin. Comme cette +opération excitait Conquette, elle me pria d'appuyer mes +lèvres sur sa bouche. Elle me dardota sa langue, pendant tout +le temps qu'on fit la barbe à son con, et lorsqu'il fut rasé, +on le lui lava d'eau-rose; on lui sécha les cuisses avec des +linges doux, et Tendrelys mit le beau poil de la dépouille +sous le verre à cadre. Puis le connin sans barbe fut livré à +l'admiration de l'assemblée. Tout le monde, surtout les +filles, jusqu'à la modeste Tendrelys, qui, disait-elle, +n'était venue que pour voir, et rougissait de tout, le +trouvaient si appétissant qu'elles demandèrent à le baiser, et +qu'elles se jetèrent dessus. La jolie chapelière colla ses +lèvres vermeilles sur le con rasé, et sa langue alla dans la +fente exciter la volupté. Rosemauve, qui arrivait, vint sur +elle comme une enragée, la débusqua, et gamahucha si vivement +la déesse qu'elles émirent toutes deux. Les hommes eurent leur +tour; ils sucèrent le connôt déchargeant, et le firent +décharger encore... Pour moi, j'admirais, les deux mains +plongées dans les tétins de Tendrelys, qui les avait +charmants, et n'osait se défendre. + +-- Ah! quelle partie! me dit-elle. + +-- Tu ne vois rien! lui répondit Minone. + +En effet, Traitdamour, ayant fait retirer les gamahucheurs du +con de Conquette-Ingénue, qu'ils ne quittaient pas, dit à ses +camarades: + +-- Imitez-moi! + +Aussitôt tous les vits en érection furent à l'air. + +-- Allons! allons! au con! au con! + +Tendrelys baissait ses beaux yeux; mais Conquette, étendue sur +le foutoir, la motte légèrement branlée par Rosemauve, +soulevait la tête pour voir les vits. + +-- Laquelle enconnez-vous (me dit mon vigoureux secrétaire), +laquelle enconnez-vous de la voluptueuse Conquette, de moi, ou +de la pucelle Tendrelys? + +J'hésitais pour ma réponse, lorsque tout à coup j'entendis ma +fille s'écrier faiblement: + +-- Le vit! le vit! + +Traitdamour se précipita sous elle, la prit sur son dos, me la +présentant oscillante: + +-- Enconnez (me dit-il), la fouteuse fait beau con... + +J'enfonçai. Je bandais si roide que je la fis crier en la +perforant. Mais elle foutit aussitôt, en me disant: + +-- Bon... (haussant le cul), bon!... Ah! que tu bandes +bien!.... Fous... fou----fourgonne... Fou----fourrage, cher +pap... je déch----a----a---- (Traitdamour la secouait) arge... + +Je déchargeais aussi. Son délicieux connin me pinçait. La +déesse m'enivrait. Traitdamour la faisait osciller, comme le +Corax de Pétrone son maître Eumolpe... Cependant Brisemote +avait mis sur son dos Rosemauve nue, que foutait Cordaboyau +sans chemise. Les 2 petites enragées Minone et Conette, nues +comme la main, venaient de mettre Tendrelys nue comme elles, +et la tenaient entre elles, se frottant le con sur ses cuisses +d'albâtre, en lui chatouillant l'une la motte, l'autre le trou +du cul. Elles déchargèrent toutes trois avec les 2 foutues: +"Grand Dieu! s'écria la jolie chapelière, comme vous savez +être heureux"! + + +Chapitre XLI Vit inattendu. + + +En ce moment, l'on entendit frapper des mains à la porte. +(C'était un signal que j'avais donné.) J'avais déconné; +j'allai ouvrir. C'était le Cyclope. Il ne devait pas entrer; +mais il me poussa un homme qui avait les yeux bandés et les +mains liées derrière le dos. Il était couvert d'un grand +surtout de laine blanche, sous lequel il était nu sans +chemise. Je le pris par le corps; je le poussai vers le +foutoir à Fronsac, sur lequel Traitdamour jeta sa soeur; on le +monta, et, dès que l'enfant fut prise, on fit tomber sur elle, +en lui arrachant son couvre-tout, l'inconnu que je venais +d'introduire. Quand il fut nu, son gros vit épouvanta tout le +monde, et il se fit un Ah! universel. Conquette le reconnut, +et pâlit. (Observez que tous pouvaient parler, excepté +Conquette et moi.) Minone (la traquenardée) fut la seule que +ce vit, qui ne le cédait qu'à Foutamort, n'effraya pas. Elle +le saisit courageusement, et lui mit la tête entre les lèvres +de son con, en lui disant: + +-- Pousse, bougre. + +Il estocada, comme un bélier de siège. Mais il ne pénétrait +pas. + +-- Soulève du cul, putain! lui dit le brutal; je suis trop +haut. + +Minone souleva, le vit trouva l'ouverture; et, quoiqu'elle ne +fût que la moitié de qu'il lui fallait, il la força. Minone +souffrait le martyre. La sueur et les larmes sillonnaient ses +joues. Enfin, le gros vit, parvenu au fond, injecta son baume +de vie, et adoucit, en les onctuant, les parois dilacérées. +Minone, qui venait de clamer de douleur, s'exclama de plaisir: + +-- Ahh! Ahh!... il m'inonde!... je fous... je décharge... je me +pâme! + +Et la jolie petite remuait du cul comme une garce, foutue par +un moine au bordel. + +Nous étions d'abord tous stupéfaits d'admiration! Puis nous +bandâmes tous comme des enragés. Brisemote le mit en levrette +à Rosemauve; Cordaboyau enfila Conette par-devant; Traitdamour +consulta mes yeux, en me désignant Conquette ou Tendrelys: je +permis la première, ajoutant fort bas: + +-- Il fout ta soeur; fous-moi sa femme. + +-- C'est Vitnègre! + +Et il se jeta comme un furieux sur l'épouse du jean-foutre, si +brutalement enconnée qu'elle en cria... Mais elle déchargea +presque aussitôt; ce qui changea sa douleur en plaisir. + +-- Toute femme qui décharge comme ça (balbutiait Traitdamour), +en la fourgonnant, est bonne; il n'y a que celles qui ne +déchargent jamais, qui sont méchantes. + +Cependant Vitnègre refoutait, sans déconner, et Minone +redéchargeait; Rosemauve hennissait sous Brisemote; Conette +sous Cordaboyau; Tendrelys, émue, appuyée sur mon épaule, me +présentait sa jolie bouche, et Conquette, martyrisée par +Traitdamour, pleurant, culetant, émettant, criotant de douleur +et de volupté, enviait encore les tourments de Minone. Son +fouteur me cria: + +-- Sacredieu! pommadez donc... et dépucelez-moi... cette garce +de Tendrelys! + +L'aimable enfant me lança un long regard, en se mettant la +main devant le con, comme pour le défendre. Nous avions là du +beurre frais; j'onctuai le connin, renversai la vierge sur un +foutoir, malgré ses tendres prières, et mon vit pénétra. + +-- Au moins, me disait-elle, en le sentant entrer, vous ne me +livrerez pas au bourreau de Minone, ni à ces au...tres-là!... + +-- Remue du cul, bougresse! (lui cria l'impitoyable +Traitdamour) Est-ce comme ça qu'on fout? Regarde ma belle, et +ces... 3 autres... garces!... Tiens... putain... pucelle... +nous dé...char...geons!... + +La pauvre petite, à cette exhortation énergique, gigota sous +moi comme elle put. Je pénétrais doucement; je caressais, +dardotant la langue, disotant des tendresses... + +-- Vous la menez trop bellement (s'écria Traitdamour), +fourragez comme moi, ou comme ce cocu, que voilà sur le +fauteuil!... Tenez! il mord les tétons qu'il ne saurait +patiner!... Ne va pas lui faire trop de mal, bougre! c'est... +ma soeur, et... je t'assommerais... Je dé...charge... + +-- Ah! qu'il me dévore (s'écria Minone); pourvu qu'il... me +foute!... Je décha...arge... + +-- Je fous!... je décha...arge! s'écria Rosemauve. + +-- Je décharge!... cria Conette. + +-- Ahhahah! fit Conquette... + +Pour Tendrelys, dont j'atteignais le fond du connin, elle dit: + +-- Ze suis dépucelée! ze déçarze!... Que dira maman? + +-- Elle ne le verra pas, jolie fouteuse. Le vit de mon maître +conserve les pucelages (cria Traitdamour). + +En ce moment, Vitnègre déconna Minone trop fatiguée. On lui +pommada Rosemauve, que Brisemote déconnait (car les tourments +de la courageuse Minone avaient épouvanté toutes nos belles. +Le vit de mulet l'enconna plus vite; mais elle n'en souffrit +pas moins: Elle pleura, sanglota, et enfin... déchargea.... +Elle fut ramonée 3 fois sans déconner. Minone l'avait été +quatre. + +C'était le tour de Conette. Elle fut pommadée avec plus de +soin que Rosemauve; et cependant elle jeta les hauts cris. Si +elle n'avait pas été sur le Fronsac, elle aurait désarçonné +son bourreau... Elle déchargea enfin, et les plaisirs +succédèrent. Mais on ne s'attendait pas à l'effet qu'ils +produisirent! + +C'est que Mme Poilsoyeux eut envie du gros vit de son mari. +Elle demanda tout bas et voulait qu'on la mît sur le Fronsac, +au moment où Vitnègre déconna la Conette, quoique celle-ci eût +le con aussi barbouillé de sang que de foutre. Mais +Traitdamour, la happant, la renversant et l'enconnant, lui dit +tout bas: + +-- Garce! je suis jaloux de toi pour mon maître et pour moi; je +t'étranglerais plutôt que de te laisser foutre par ton cocu de +mari en ma présence. + +-- Pardon! Vit divin! leurs douleurs m'ont tentée! Fourgonne-moi, +à m'en ôter l'envie! Car je ne compte plus que sur toi; +voilà M. Linguet qui donne son fou...outre... je +décha...arge... à la... sacrée ma...âtine... de Tendrelys... + +-- Ah! reine des putains, tu es jalouse! Tiens, tiens, voilà +des coups de vit dans ton connin-dieu... Ahh!... Ahh!... ze +redéza...arze! murmura-t-elle... + +Cependant, que faisait Vitnègre? Il prenait du repos et +quelques liqueurs brûlantes, tout en patinant les tétons de +ses 3 foutues, qui le branlaient pour s'amuser. Tout à coup +Mlle Linguet dit à son foutant: "Mais ce bougre est un autre +Guae! il faut qu'il me restaure! Qu'on lui lave bien le vit à +l'eau-rose; je veux le téter, comme faisait Mme Guae le gros +vit de son mari! Nous ne pouvions nous refuser à une +proposition aussi raisonnable. On lava le vit monstrueux; deux +des trois garces soutinrent Vitnègre de chaque côté, en lui +livrant leurs tétons; Rosemauve lui chatouilla les couilles et +le trou du cul; Traitdamour se coucha par terre sur le dos +sous ma fille à genoux qu'il enconna; Mlle Linguet baisa 5 à 6 +fois le gros vit, tout en ripostant aux saccades de son +fouteur. Prête à décharger, elle emboucha, faisant aller et +venir l'énorme vit du bord de ses lèvres de corail, au fond de +son gosier satiné. En déchargeant, elle mordit... Telle la +voluptueuse femelle du serpent géant écrase dans sa gueule la +tête de son mâle trop amoureux... Vitnègre, mordu, se récria +de volupté! Il émit un torrent, quoiqu'il eût déjà foutu 9 +coups, et Mlle Linguet fut inondée de foutre au même instant +dans la bouche et dans le con... Elle voulut téter 3 fois +Vitnègre, que les 3 garces qui le chatouillaient, secouaient +tellement qu'il rebandait aussitôt. D'ailleurs, il s'écriait à +tout moment: + +-- Ma Femme n'est pas morte! c'est elle que j'embouche; je le +sens au velouté de son palais!... + +Et cette idée le faisait décharger à flots... Mlle Linguet fut +obligée de cesser ce jeu, dans lequel on voulait faire expirer +Vitnègre; mais Mlle Conquette-Linguet avait sucé le double vit +avec tant de fureur qu'elle avait la bouche tout en feu... On +obligea Vitnègre d'enculer ses 3 foutues; ce qui lui fit 15 +copieuses décharges, parce que les belles de relais lui +manipulaient impitoyablement les couilles... Les excessives +douleurs de l'enculage n'en effrayèrent aucune; au contraire, +les tourments de la patiente excitaient leur passion, et elles +la pinçaient pour la forcer à s'agiter, et à faciliter ainsi +l'intromission du gros vit dans son cul. + +Vitnègre n'en pouvait plus. Ce fut précisément ce qui excita +Mlle Linguet. Elle exigea de nous qu'il déchargeât une 16ème +fois, et que ce fût dans son cul, à elle! Traitdamour se vit +obligé de céder. On manipula Vitnègre, on lui chatouilla les +couilles; on l'assura qu'il allait enculer Mlle Linguet sa +femme. A ce nom, il érectionna. On lui fit sucer les tétons de +Rosemauve, comme ceux de Conquette. Il banda roide. Aussitôt +on coucha l'enculande sur le ventre; on lui beurra la rosette, +puis le rectum avec une grosse canule; Tendrelys prit +délicatement le gros vit avec ses doigts de rose pour le +diriger dans l'anus, tandis que Minone et Conette écartaient +chacune une fesse. Rosemauve, prête à manipuler les couilles, +frayait avec son doigt beurré l'entrée du vit-monstre dans le +cul de la patiente... Enfin, il pénétra, en déchirant... Mme +Vitnègre poussait des cris sourds, que son mari crut +reconnaître. Ce qui lui fit redoubler ses estocades. Alors +l'enculée jeta un cri... qui logea le monstre tout entier dans +son gros boyau... Vitnègre, ne doutant presque plus, y +fourgonnait avec rage... Il ne décula pas après avoir +déchargé; Rosemauve lui chatouillait les couilles, l'anus, et +s'appuyant du con sur son cul, foutait avec lui, en poussant à +chaque fois... Vitnègre déchargea 3 ondées de foutre dans les +boyaux de sa femme; ce qui faisait 18 pour la séance. Il tomba +en faiblesse à la dernière... + +On le tira du cul de Mlle Linguet, qui alla se le mettre dans +l'eau fraîche, pour se le raffermir. On jeta Vitnègre dans une +auge d'eau de puits qui était dans la cour, pour lui faire +reprendre ses sens. Le Cyclope parut. On porta Vitnègre dans +son fiacre. Il le remena. + +-- Sais-tu qui j'ai foutu (lui disait-il en route) dans ton +sacré Fronsac?... Ah! comme elle fout!... Elle a bien appris, +depuis qu'elle m'a quitté!... Je l'ai foutue 16 fois, tant en +con, qu'en bouche et en cul... + +Le serrurier, après avoir remis Vitnègre à sa filleule, +s'évada. + +Vitnègre rencontra le serrurier quelques mois après. + +-- Veux-tu m'y remener? lui dit-il. + +-- C'est l'impossible, répondit le Cyclope; tout est disparu. + +-- Ah! la garce! si je la retenais, je passerais le reste de ma +vie dans son cul et dans son con. + +Ainsi finit cette aventure. + + + + +Chapitre XLII La jalousie de deux connins. + + +Nous restions tous sept émerveillés des 16 +enconnades-embouchades-enculades de Vitnègre! quand Traitdamour, +regardant la jolie chapelière, nue comme toutes les autres, +lui dit: + +-- Te voilà dépucelée, mignonne, et mon divin maître a cueilli +ta rose! C'est un grand honneur et bonheur à toi et à moi! Je +te regarde à présent comme les dévots regardent leur Vierge +Marie, qui, foutue par l'ange Gabriel, puis par le +Saint-Esprit, dont elle fut la putain, n'en était que plus vierge. +Te voilà consacrée au vit de mon maître; conserve-lui +religieusement ton connin, ou ne le prête qu'avec sa +permission... A présent, céleste mignonne, votre jolie motte +va être savonnée et rasée! + +Tendrelys objecta sa mère, qui toutes les nuits lui visitait +le con pour voir si l'on ne touchait pas à son pucelage, déjà +vendu, et qu'on devait bientôt livrer. + +-- Je m'en fous, déesse, répondit Traitdamour, en me voyant +monter le Fronsac; on lui dira tout. + +Et il la poussa sur le fauteuil, qui l'étreignit. Il la +savonna, et prépara son rasoir. + +En ce moment, arriva Mlle Conquette-Ingénue-Linguet, qui +venait de se laver le cul à l'eau de puits, pour se le +raffermir. + +-- On va donc aussi raser le con de mademoiselle? (dit-elle +avec un peu d'humeur) + +-- Ah! ma belle déesse! empêchez-en, à cause de maman, qui ne +saura ce que ça veut dire! s'écria Tendrelys suppliante, en +lui baisant une main, qu'elle était parvenue à saisir. + +-- Non, mademoiselle, je ne m'y opposerai pas! Votre con rasé +laissera mieux voir à votre maman que mon infidèle vous a +déflorée... Nous verrons aussi, après qu'on lui aura enlevé +cette charmante perruque, si votre bijou, mademoiselle, +l'emporte sur le mien, tout fatigué qu'il est! + +-- Ah! mon adorable amie! il n'est pas besoin de cela. Rien ne +vous égaler. + +-- Allons, monsieur, rasez donc! Et je crois bien qu'après, mon +infidèle amant qui a dépucelé cette jolie conque vous +permettra bien de vous y loger! + +Traitdamour, tout en coupant la belle Toison-d'Or, +représentait à Conquette-Ingénue que tous les pucelages +m'étaient dévolus, et que j'étais obligé en conscience de les +prendre, sous peine de mortifier la néophyte. Conquette ne +savait que répondre; mais elle bouda. Je m'approchai d'elle, +et, comme elle était nue, je lui baisai les tétons, et lui mit +mon vit en main. + +-- Vous aimeriez mieux qu'il fût entre les jolis doigts de +Tendrelys! + +-- Non. Personne ne me fait bander comme vous; mais, après +vous, Tendrelys. On lui rase la motte; il le faut bien, pour +comparer vos cons célestes, abstraction faite de la fatigue du +vôtre. On les gamahuchera d'abord. Ensuite je verrai auquel +des deux mon vit-sultan donnera le mouchoir. Le mieux +rempucelé l'obtiendra. + +Mlle Conquette fit une petite grimace de jolie femme sûre +d'elle-même, et se tût. Le rasemotte acheva. Le connin de +Tendrelys fut lavé à l'eau-rose; Mlle Linguet fit rafraîchir +le sien, et les deux cons furent comparés... Ils furent +désintéressément trouvés égaux. Ce qui était bien donner la +supériorité au connin de la belle Conquette, déjà tant +foutue... Ce fut l'avis général. Rosemauve, Minone vinrent se +comparer. Mais leurs cons étaient loin d'avoir cette +physionomie virginale de ceux de ma fille et de Tendrelys. + +-- Vos cons sont aimables (leur dit Traitdamour), cent fois +au-dessus des connasses de putains; mais ils ne peuvent se +comparer à ces deux connins de houris. + +Conquette se pavana. Mais, généreuse comme elle l'était, elle +prit vite son parti. + +-- Puisque nos cons sont égaux, me dit-elle, en baisant +Tendrelys sur la bouche, lui patinant le con, redépucelez-la, +et que votre lieutenant me refoute, s'il en a la force. + +Elle n'avait pas achevé la dernière syllabe, qu'elle était +enconnée. + +-- Fous-la! me cria-t-elle, fous la garce! + +J'enfilai la jolie nymphe... Mais, prête à décharger, Mlle +Conquette-Ingénue entra en fureur érotique (et je compris par +là comment les héros de Dsds, sur le point d'émettre, +deviennent cruels); l'enconnée s'écriait: + +-- Foutez-moi tous cette putain de Tendrelys!... Brisemote! ne +fais qu'un trou de son cul et de son con!... + +Elle déchargea; et, un peu calmée, elle se mit à dire: + +-- Pardon! pardon, ma petite soeur!... c'est le foutre... qui me +portait à la tête, et me rendait cruelle!... Qu'on lui +conserve son joli con... toujours pucel... pour les plaisirs +de mon... papa-fouteur... c'est bien assez.. du mien qui +est... martyrisé!... Allons pousse... fous... ne me ménage +plus! (dit-elle à son bourreau)... Et elle se mit à +coupdeculer plus fort que jamais. Ce qui fit re-enconner +Rosemauve et Conette, dont les culs étaient moins malades que +celui de Minone: Cette bonne soeur de Traitdamour vint me +chatouiller les couilles, et j'émis. + + +Chapitre XLIII Minone et Conette jadis dépucelées. Vieille. + + +Cette scène achevée, il y eut du repos. Nous avions légèrement +dîné, exprès pour faire collation. Nous mangeâmes des fraises +au vin muscat, avec des pains mollets du Pont-Michel. Puis +nous prîmes d'excellent café, fait par Traitdamour, et nous +goûtâmes aux liqueurs. Ensuite, nous jasâmes... + +-- Mon ami (me dit Conquette-Ingénue, en montrant Minone et +Conette), vous avez eu ces deux jolies compagnes, ainsi que +Rosemauve, et vous venez de dépuceler Tendrelys sous nos yeux: +Faites-nous le récit de votre première fois, et dites-nous +comment vous les avez séduites? + +-- Ah! oui, oui! s'écrièrent Tendrelys, Rosemauve, et tout le +monde. + +-- Je ferai ce récit très volontiers; mais à condition qu'on +ira chercher Mme Brideconnin notre hôtesse, pour qu'elle y +assiste: Nous commencerons à l'apprivoiser par là! + +Mes trois sacripants, pour qui elle était un morceau nouveau, +ne demandèrent pas mieux. Ils l'enlevèrent à son mari, qui, en +ce moment, lui tenait les tétons; sans même daigner lui +répondre, l'assirent à cru sur les mains jointes de deux, +tandis que le 3ème la soutenait par-derrière, et l'apportèrent +ainsi moitié troussée et dététonnée. On la posa sur le +Fronsac, et, si je n'en avais empêché, on lui faisait une +histoire, au lieu d'écouter la mienne. Lorsque tout fut +tranquille, je commençai: + +Je m'étais mis en pension chez la belle-mère de Traitdamour, +blanchisseuse, rue d'Ablon, pendant que ma femme courait la +province avec un galant; le même qui la foutait avec tant de +passion qu'il se mettait dans sa chemise pour la palper et +l'enconner mieux. Traitdamour m'apportait à dîner les jours +ouvrables; mais j'allais dîner à la maison de la bonne mère +Wallon les dimanches et fêtes. Un jour que nous y allions +ensemble, il me pria de montrer à écrire à sa petite soeur! Je +le voulus bien. En montrant à Minone, j'avais souvent sous les +yeux ses tétons naissants, blancs comme lys... + +[Faites entrer mon mari; je suis bien aise qu'il ait sa part +de cette histoire-là! interrompit la Brideconnin. Aussitôt +Traitdamour, sur un signe de mes yeux, l'alla chercher; tandis +que, sur un autre signe, Brisemote et Cordaboyau prirent l'un +la motte, l'autre les tétons de la dame. Elle était ainsi +rayonnante, entre deux mâles, quand son mari parut. +Brideconnin fut d'abord ébaubi; puis il n'en fit ni un ni +deux, il alla s'emparer du con de Rosemauve, et des tétons de +Conette; Traitdamour prit le con et les tétons de sa soeur. +Quant à moi, je fis asseoir Conquette et Tendrelys l'une sur +l'autre entre mes jambes, laissant de temps en temps tomber +mes mains sur la gorge de ma fille, ou de sa jolie rivale... +Je repris:] + +Je dis à Traitdamour, en particulier: + +-- Il ne faut plus que je montre à la petite; elle me fait trop +bander, et je la foutrais au premier jour. + +-- Ah! mon cher maître! quel bonheur pour elle et pour moi, si +vous la dépuceliez! La pauvre orpheline! elle n'a aucun +plaisir! (c'est que leur mère était morte, et que le père, +remarié à une bonne amie de feu son épouse, à l'instante +prière de celle-ci, avait mourant lui-même, laissé pour +belle-mère aux deux orphelins la bonne amie de leur tendre mère) + +Je répondis que cela était bien difficile!... que la petite +soeur parlerait. + +-- Non, je vous en réponds. Minone a déjà des désirs pour vous. +Elle m'a dit qu'elle aimait bien quand vous lui touchiez la +chose par-dessus la jupe. + +Ce discours m'enhardit. + +Un dimanche que j'étais seul avec Minone, à la faire écrire, +je ne pus résister à l'envie de lui baiser sa jolie bouche; +puis un tétin; et de là ma main descendit rapidement à son +connichon sans poil. J'éprouvai une érection terrible! Mon vit +me gênait. Je me déboutonnai. Il s'élança au dehors. + +-- Qu'est-ce que c'est que ça? me dit la petite. + +-- Un vit, mon enfant. + +-- A quoi cela sert-il? + +-- A mettre dans un con. + +-- Mais j'ai un connin, à ce que dit mon frère, et ma +belle-mère a une connasse. Depuis qu'il est grand, et qu'il a ce +qu'il nomme du foutre, il met son engin dans la connasse de ma +belle-mère, que ça fait trémousser et crioter... Il a voulu me +le fourrer, à moi: mais j'ai le connin trop étroit, ou il a +l'engin trop gros: jamais il n'a pu... Ma belle-mère l'a +surpris, et elle l'a bien grondé! Il lui a dit: 'Allons, +foutez-nous la paix; venez que je vous enconne, vieille +truande: car je ne saurais m'en passer, en ce moment.' Et elle +s'est aussitôt renversée sur son lit, en se troussant; il l'a, +ce qu'il appelle foutue... Oh! comme elle gigotait! comme elle +jurait des b. et des f.! comme elle était contente!... Et il +me disait: 'Vois, Minone, comme c'est bon! Comme la vieille +garce se démène, en supant le bâton de sucre d'orge... +Montre-moi ton petit connin, que je décharge à ton intention....' + +Ce récit de Minone acheva de me faire bander outre mesure. Je +demandai à la petite, s'il y avait du beurre à la maison? Elle +m'en donna. J'allais la beurrer, quand la belle-mère, bonne +femme au possible, rentra, ayant oublié son éventail. Elle vit +mon trouble, et la rougeur de la petite. Elle me dit: + +-- Gage que vous allez la tourmenter?... Ça n'est pas mûre. +Venez. + +La vieille m'entraîna sur le pied de son lit, se troussa, me +tira sur elle, et m'engloutit, malgré ma défense... Pour +sauver le pucelage de sa belle-fille, elle me retint une heure +à connailler. Je ne déchargeai cependant qu'une fois, contre +la vieille une dizaine; car je m'aperçus qu'elle m'aimait. +Ensuite elle s'en alla, sans laver, en disant: + +-- J'en marche mieux, la charnière graissée. + +Dès qu'elle fut partie, je fis mettre Minone, qui avait tout +vu, à la fenêtre; je la troussai au-dessus des reins; je lui +beurrai le connin, et je rebandai roide. Je dis à la petite, +en la commençant, de se cambrer la taille, pour mettre son +petit trou bien à la portée du vit qui l'allait percer! Elle +le présenta de son mieux. Avec des peines infinies, à l'aide +des douloureuses oscillations de son joli cul, et parce que la +décharge était retardée par le dégoût que m'avait causé le con +gris de la vieille, je parvins en levrette jusque au fond; car +je sentis sa céleste petite matrice me pincer... L'enfant +s'agitait par mes ordres, mais sans décharger. + +Son frère arriva dans ce moment. Il fut transporté de joie... + +-- Ah! vous la dépucelez! quel honneur et quel bonheur, pour +elle et pour moi!... Décharge-t-elle?... As-tu du plaisir, ma +petite soeur? + +-- Elle ne décharge pas (répondis-je), la chère mignonne; elle +souffre; mais c'est avec un courage!... Vois ce +tortillonnement de croupion... + +Traitdamour, touché, glissa une main sous le ventre de la +petite, et lui chatouilla le haut de la fente de sa mottinette +imberbe... Les yeux de l'enfant se vitrèrent; elle se roidit, +et, tournant sa jolie bouche de mon côté, elle me darda sa +petite langue, déchargea pour la première fois, et se pâma... +Je déchargeai comme elle; je n'avais jamais eu tant de +plaisir... + +Quand j'eus déconné, son frère me demanda, si j'en étais +jaloux? + +-- Oui, de tout autre que de toi + +-- Eh bien, votre foutre va servir de pommade à son joli +connichet. + +Cependant Minone voulut pisser. Son frère la renversa sur le +dos, au pied du lit, et l'enconna vigoureusement, malgré la +grosseur de son membre. La petite cria. + +-- Remue du cul, et décharge avec délices, pauvre orpheline, +lui disait-il, en la saccadant; tu es enconnée avec amour. + +La petite déchargea 3 fois; mais elle n'en pouvait plus... Il +me lava, et je la re-enconnai... J'eus encore plus de plaisir, +parce que la petite avait acquis de l'usage et que le gros vit +de son frère avait frayé la route... Depuis ce jour-là, nous +foutîmes Minone tous les dimanches et fêtes. La belle-mère +s'en aperçut pour moi; mais elle ne dit mot. + +Enfin un jour Traitdamour me demanda, si je voudrais aussi +montrer à écrire à Conette, sa maîtresse pour le mariage, +depuis que la mère de Tendrelys, qui craignait un +dépucellement, lui avait absolument ôté toute espérance. + +-- Soit (lui répondis-je). + +Je montrai donc à Conette. Au bout de deux mois, cette jeune +fille étant un jour à la fenêtre, fort penchée en-dehors, et +montrant une jambe fine, que mes yeux dévoraient, Minone, qui +prenait son exemple d'écriture, le remarqua. Je lui tenais les +tétins, et la priais de me prendre les couilles. Elle me +quitte; va vers Connète; lui dit tout bas: + +-- Laisse-toi faire... + +la trousse; me mène sur elle; lui beurre le con et à moi le +vit; lui dit: + +-- Cambre-toi, ma fille... + +Et à moi: + +-- Enfilez juste; vous voilà dedans... + +Conette se cambra, et suivit toutes les indications de son +amie. De sorte que, quoique la pucelle fût très étroite, je +pénétrais. Traitdamour arriva. Il nous fit ôter de la fenêtre; +se coucha sur le ventre au pied du lit; fit étendre sa +maîtresse sur son dos, cul sur cul. Il me dit d'enconner, le +vit dirigé par la main de sa soeur; et, à chaque saccade que je +donnais, il me repoussait d'un coup de son cul le con de sa +maîtresse, à me faire avancer d'un pouce. Conette éprouvait +des souffrances inouïes... Mais, étant parvenu au fond, par un +violent coup de croupion de Traitdamour, qui ne donna plus que +de petits coups de trot de cheval, Conette clignota de l'oeil, +et bientôt émit avec d'ineffables délices... + +Je croyais que Traitdamour allait se jeter sur elle et +l'enconner tout chaud! + +-- Non (me dit-il); c'est ma future; si j'avais le bonheur +qu'elle me fît un petit de vous, cela ennoblirait ma race. + +Et il foutit sa soeur, pendant que je refoutais sa maîtresse. +Aussi depuis ai-je partagé avec lui ce que j'avais de plus +précieux. + + + + +Chapitre XLIV Du bouquet de fouterie. + + +-- Il le mérite! Il le mérite! (s'écrièrent tous les hommes, et +surtout Brideconnin, qui patinait à deux mains le con de +Rosemauve, tandis que Brisemote et Cordaboyau maniaient l'un +le con, l'autre les tétons de sa femme...) + +Mon récit faisait bander tous mes drôles comme des carmes, +malgré les fatigues de la journée. Les belles, même celles +éconnées par Vitnègre, étaient en rut. + +-- Comme vous avez su les rendre aimables! (me dit Conquette, +en me dardant sa langue). + +-- Ah oui! (ajouta Tendrelys, en me baisant de même).... + +En cet instant, Mme Brideconnin était tiraillée par Brisemote +et Cordaboyau, qui tous deux la voulaient enfiler à la fois. + +-- Je n'ai qu'un chose, mes chers amis! si j'en avais deux, ils +seraient bien à votre service; mais l'un après l'autre... + +Elle fut empalée par tous deux, Cordaboyau en con, Brisemote +en cul. Brideconnin s'écrie: + +-- On enconne, on encule ma femme! Moi, je fous celle-ci. + +Et il renverse Rosemauve, qu'il empale. Traitdamour, le plus +furieux des ribauds, saisit Conquette. Je crus qu'il l'allait +enconner. Point! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit, +tenue par-dessous les bras par Conette et Minone; elle se +baissait avec lenteur sur le vit bandant dirigé par la main de +Tendrelys, Conquette s'enculant ainsi elle-même par le seul +poids de son beau corps. Lorsque le gros vit fut enfoncé +jusqu'à la garde, Traitdamour me dit: + +-- Allons! le plus beau des cons vous appelle.... + +Je me précipitai dans le bijou de ma fille, la jolie Tendrelys +me dirigeant le vit. Mme Brideconnin, putain comme personne, +puisqu'à cet instant, on lui bourrait les 2 trous, fit 3 +signes de croix. On lui demanda ce qu'elle avait: + +-- On me fout devant mon mari; mais je suis sur le fauteuil à +ressort, qui m'empêche de me défendre. Mon mari, voyant que je +le fais cocu, me fait cocuette; c'est dans l'ordre. Mais notre +maître, fout... enconne sa fille enculée! + +-- Sa fille?... sa fille!... (s'écria-t-on 5 fois). + +-- Oui, sa fille (balbutia Rosemauve, qui déchargeait sous +Brideconnin). Après?... + +-- Ah! dirent les 4 fouteurs et les 4 fouteuses, ceci nous met +en rage de vit.... en rage de con... et nous foutrons jusqu'à +extinction de forces. + +Et les enconneurs, les enconnées; les enculeurs, les enculées, +s'agitaient à qui mieux, dessus, dessous, comme des diables et +des diablesses dans un bénitier. Tendrelys me chatouillait les +couilles et celles de Traitdamour; Minone celles de Brisemote +et de Cordaboyau; Conette celles de Brideconnin, et fourrait +son index dans le trou du cul de Rosemauve. Le fouteur, qui +n'était pas accoutumé à ce raffinement, se récriait de +volupté: + +-- Ah que vous foutez bien ici! (disait-il en déchargeant). On +ne fait que connailler ailleurs. + +-- Oh! vous avez bien raison, mon mari! (lui répondit sa femme +en déchargeant aussi), oncques je ne fus ramonée comme je le +suis en ce moment, par les deux vits qui vous plantent chacun +une corne; l'un dans mon con, l'autre dans mon cul. + +Conquette, remarquant que j'allais mieux lorsque Tendrelys me +chatouillait les couilles, l'en remercia tendrement: + +-- Chère amie!... ma main en fera... autant à ton fouteur... +quand tu seras enconnée... Et vous, ma chère hôtesse, vous +êtes donc bien foutue!... + +Ce joli mot, foutue, avait tant de grâces dans la belle bouche +de Conquette que je l'allais refourgonner, si Traitdamour, qui +la déculait et qui allait laver, ne m'avait pas prié +instamment de la lui laisser enconner... Mais j'étais trop ému +pour rester spectateur; j'ordonnai à Tendrelys de me faire +beau con! Minone et Conette la renversèrent sur le dos et lui +écartèrent les cuisses. Ma fille, avant d'être enconnée par +son fouteur, voulut insérer mon vit; elle baisa la patiente +sur la bouche, en lui disant: + +-- Tendrelys! remue du cul, et donne bien du plaisir à mon +père! + +Et, comme elle avait remarqué que le mot foutue m'avait fait +beaucoup d'impression, dans sa bouche, elle s'écria, tout en +secondant son enconneur: + +-- Fou...ou... outre!... Sacré vit!... perce-moi... déchire-moi +le connot!... mon père! poignarde... estropie ta Tendrelys!... +ze décha... arge!... + +-- Ah! cette femme si modeste, s'écria la Brideconnin, comme +elle fout!... Ce fut le bouquet. On alla souper. + + + + +Chapitre XLV Souper d'adieux; grâces que dit Mme Vitnègre. + + +On soupa. Les tétons étaient couverts; les propos furent +décents..... + +-- Mais, me dit Minone, on dit que vous avez eu 8 jolies femmes +connues, et on les nomme! + +-- Oh! interrompit Conquette, ne faites plus lire de ces +histoires-là. La journée de volupté est finie, et nous sommes +à présent des personnes ordinaires. + +-- Il faut donc les remettre, répondit Traitdamour, pour une +interruption de séance. + +Comme on se disposait à sortir, et qu'il n'y avait plus de +danger de nous faire bandocher, on me pria d'exiger que nos 6 +cons et nos 12 tétons fussent mis à l'air, et baisés à +discrétion pour les adieux! J'y consentis. Aussitôt Conquette, +Tendrelys, Rosemauve, Minone, Conette et la Brideconnin, +furent défichutées, troussées et renversées sur les foutoirs +par les 4 dernières, qui se défichutèrent, se troussèrent et +se renversèrent elles-mêmes. On leur lécha le con; les 5 +hommes sucèrent les 12 tétons. Les belles prirent, +décalottèrent et baisèrent les 5 vits, embouchèrent seulement +le mien, en disant: + +-- Vit incomparable... adieu... pour huit jours... + +On allait sortir, quand on vit la belle épouse de Vitnègre se +prosterner toute dététonnée, en s'écriant: + +-- Sainte et jolie Vierge Marie; que Panthère branlait, +gamahuchait, enculait, entétonnait, embouchait, et qu'il +enconna enfin, une nuit, à côté du cornard endormi, le bon +Saint Joseph; duquel cocufiage provint le doux Jésus, ce bon +fouteur de la putain publique, la belle Madeleine, marquise de +Béthanie, dont le vagabond Jésus était en outre le souteneur, +autrement le maquereau, lequel, au grand regret de la sainte +garce, enculait encore Saint Jean, son giton. Sainte et jolie +Marie, vierge comme moi, nous vous remercions de cette +heureuse journée de fouterie. Faites-nous la grâce, par les +mérites de votre fils, d'en avoir une pareille dimanche +prochain!... Et vous, Sainte Madeleine, que foutait l'abbé +Jésus, ainsi que Jean l'enculé, obtenez-moi la grâce de foutre +autant que vous, soit en con, soit en cul, 15 ou 20 fois par +jour, sans être épuisée, mais toujours déchargeant... Vous +foutiez avec des Pharisiens, avec Hérode, et même avec +Ponce-Pilate, pour avoir de quoi nourrir le gourgandin Jésus, votre +greluchon, et les vagabonds qui lui servaient de Chouans. +Obtenez-moi de votre maquereau Jésus, qui, étant dieu, a sans +doute quelque pouvoir, d'avoir, sous peu, ce riche +entreteneur, qui est un jour descendu de carrosse bandant à +mon intention, comme je revenais de chez mon amie Mme +Congrêlé; à celle fin qu'au moyen de l'argent que je gagnerai, +à votre imitation, avec mon con, mon cul, mes tétons et ma +langue dardée, je puisse soulager mon digne père dans sa +vieillesse; non seulement en foutant avec lui, pour lui donner +le plaisir, mais en me laissant vendre, comme la pieuse fille +d'Eresictton le famélique, ou la pieuse Ocyrhoé, fille du +centaure Chiron, qui toutes deux devinrent cavales, c'est-à-dire +montures d'hommes ou saintes putains!... Modèle des +maquereaux, doux Jésus! fouteur acharné, greluchon complaisant +de la brûlante et exemplaire putain Madeleine, qui était si +amoureuse de votre vit divin et de vos sacrées couilles, +maintenez, par votre toute puissance, mon connin toujours +étroit et satiné, mes tétons toujours fermes, ma peau, mon +cul, mes fesses, mes bras, mes mains, mon cou, mes épaules, +mon dos ou mes arrière-tétons, toujours blancs, mes reins +toujours élastiques; les vits de mes amants, celui de mon père +compris, toujours roides, leurs couilles toujours pleines; car +vous teniez en cela du saint roi David, si fort suivant le +coeur de Dieu, parce qu'il était le premier fouteur de son +temps!... Faites, ô Jésus! que mes hauts talons, qui me +prêtent tant de grâces, et font bander tant de monde, ne me +donnent jamais de cors aux pieds, mais que ces pieds tentatifs +restent toujours foutatifs, comme ils le sont!... Amen! + +-- Amen! s'écria toute la société, vits et cons. + +Tout le monde sortit édifié de la piété éclairée de ma fille, +et, en s'en allant, on disait: + +-- Voilà ce qui s'appelle connaître la vraie religion, et prier +Dieu comme il convient, en lui demandant des choses +raisonnables! Oh! c'est une fille exemplaire! + + + + +Chapitre XLVI Première négociation du con de ma fille. + + +Le surlendemain, quand je vis Conquette (que j'avais évitée le +lundi), je la trouvai coiffée en battant-l'oeil; ce qui, avec +ses grands yeux à longs cils, la rendait charmante... Elle +avait des souliers de coutil de soie neufs, qu'elle essayait. +Je me jetai à ses genoux, en lui disant: + +-- Conquette, ton pied est le mieux fait possible, mais il est +un peu grand, et ce soulier bien pointu, ces talons minces, +très élevés, le font paraître plus petit de moitié. Il est +divin!... et je bande... comme tu vois!... + +-- Mon cher papa, comme je sais à quel point vous m'adorez, +j'ai voulu consacrer cette chaussure, avant de vous la prêter +pour orner votre cheminée... Voici les blancs d'hier, avec +lesquels j'ai tant été... ce que vous savez... Voyez la jolie +forme que leur a donnée mon pied! Ils sont plus voluptueux +qu'avant d'avoir été mis... + +Je flairai avidement le dedans de ces divins souliers: + +-- Ahh! je bande! m'écriai-je; les sacrés bougres sont +embaumés... Je suis perdu... j'aurai la colique si je ne +t'enconne une pauvre fois!... Laisseras-tu décharger par terre +ce vit paternel? + +-- Mon cher papa, mettez-vous le cul et les couilles dans cette +grande terrine, préparée pour mon con et mon cul; l'eau froide +vous ferait débander. C'est mon remède quand j'ai le con +brûlant. + +Ce qu'elle me disait me parut raisonnable, et je le fis. Elle +cacha ses pieds comme une dame espagnole, et je fus calmé. + +-- J'en ai fait autant tout à l'heure. Timori vient de venir. +J'étais encore au lit; il m'a pris les tétons, puis le con. La +vue de son vit, qui bandait roide, m'a fait impression. Mais +mon coeur n'a rien senti. Cependant il voulait me gamahucher, +me priant de le branler après: 'Je ne suis pas une putain' -- +'Tu es bien froide!' (C'est que réellement je ne l'aime plus; +vous êtes mon amant, cher père! et Traitdamour est votre +lieutenant dans mon con; il est votre double vit, et c'est +encore vous qui me foutez, quand il me l'enfonce)... J'ai +cependant eu des remords de ma dureté. Je lui ai saisi le vit, +et me le mettant dans la bouche bien décalotté, je l'y ai fait +décharger, avalant son foutre avec délices. Ce qui m'a +fortifiée. Mon chocolat m'a rincé la bouche... Mais revenons. +Si vous voulez que votre fille chérie ait un plaisir +ineffable, caressez-la, quand on la fout. Langue en bouche, la +sienne dans la vôtre... Vous prenant les couillettes, vous +serrant le vit à la poignée, elle déchargerait au double! + +-- Oh! tu es trop adorable... Foutons un petit coup! + +-- Je m'étais rafraîchi le con; mais tu y remets le feu, cher +papa, et le foutre seul peut l'éteindre... Foutons... Enconne +ta fille... Mais va doucement, que je décharge plusieurs fois, +tout en te racontant quelque chose. + +Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer +lentement, par de petits coups de cul insensibles. La +fraîcheur de l'eau m'avait fait roidir, et retardait +l'émission. Enfin, elle ne fut plus maîtresse de se retenir; +elle coupdecula, elle saccada, en s'écriant: + +-- Ze déça--arge!... + +Elle resta ensuite immobile, en me disant: + +-- J'ai oublié de vous remettre l'adresse que l'entreteneur +d'avant-hier m'a glissée, pour l'aller voir, et... foutre avec +lui... Ah! fourgonne... je redéçarge... Tu pars... Ah divin +père!... + +Et elle se mit à soubresauter, en gigotant, comme jamais ne +gigota fouteuse... Après une copieuse décharge, elle reprit: + +-- La voilà. Dis-lui, ou écris-lui, que je ne vais chez +personne. Et laissez-lui votre adresse. + +-- Oui, déesse Fututrix, lui répondis-je. + +La Brideconnin nous apporta notre excellent chocolat; et je +partis. + +Après les affaires, j'allai chez le futur fouteur de ma fille. +Je le trouvai; je lui donnai un mot de Conquette-Ingénue, par +lequel elle lui marquait que s'il avait un mot à répondre, il +pouvait tout dire à son père... Je fus bien reçu. Le richard +me dit qu'il demandait une maîtresse aimable, et qui sût +donner, en foutant, bien du plaisir. + +-- Monsieur (lui répondis-je), ma fille a été mal mariée; elle +peut vous appartenir, à condition qu'elle gardera son logement +voisin du mien. Vous y mangerez, coucherez avec elle, sans que +je m'en mêle. Quant à la volupté, et aux mouvements du cul ou +des reins, un mari libertin ne lui a donné que de trop +douloureuses leçons... Mais, en vous la livrant, je veux que +son sort soit assuré, qu'il s'améliore même un peu chaque +année... Je vous réponds d'être alors le gardien de sa +fidélité. D'ailleurs, elle est sage. L'assurance d'un sort +indépendant de son monstre de mari peut seule la déterminer. + +Ceci convint fort! et la décision définitive fut remise après +un voyage d'affaires et d'argent, dont il devait être de +retour dans 8 ou 10 jours. + +Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette-Ingénue. + +-- Mon papa, répondit-elle, pour peu qu'il me foute, vous me +suffirez, vous et lui; vous serez mes deux pères. Je +renoncerai même à votre beau secrétaire, si vous me promettez +de n'enconner que moi! Où trouverez-vous un con qui vaille le +mien?... Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton coeur, ô le +plus ribaud des papas! + +Je vis qu'elle était jalouse, et je l'en aimai avantage. Mais +j'étais encore trop libertin pour me borner à foutre +uniquement celle que j'aimais le mieux. + +La Brideconnin nous apporta de la limonade. Elle boitait de +naissance, mais d'une manière voluptueuse. Elle était coiffée +en cheveux, et, quoique grêlée, très provocante. Je le dis à +ma fille. Conquette-Ingénue me répondit: + +-- Dès avant nos parties, son mari voulait me le mettre; mais +il me déplaît. La femme a demandé, depuis qu'ils ont tout vu, +à me gamahucher. Tous deux m'adorent. Je ne leur avais, +jusqu'au boulevari d'hier, laissé baiser que mon pied. Le mari +enconne sa femme dès que je le veux. C'est un amusement que je +me donnais dans la semaine; je n'avais besoin que de m'asseoir +en vue de Brideconnin, les jupes troussées jusqu'au mollet; il +est tellement excité par ma mi-jambe et mon pied, qu'il se +jette sur la putain, et la fout tant que je veux; en haussant +toujours un peu la jupe. Enfin, s'il aperçoit un commencement +la cuisse, il hurle de luxure. Un jour, trop échauffée par ce +que je voyais, je me donnai de l'air au con, en le découvrant. +Le fouteur s'est mis â braire, en fourgonnant avec fureur. Il +déchargeait, refourgonnait, et allait se tuer, quand sa femme +me regarda... Elle se hâta de décharger, et vint me baisser +les jupes. Alors Brideconnin épuisé se trouva mal. + +A ce récit de Conquette, je rebandais. Mais je me remis le vit +et les couilles dans l'eau, et, bien rafistolé, je sortis sans +finaler. Nous fûmes tous sages le reste de la semaine. + + + + +Chapitre XLVII Du rabachage à faire bandocher. + + +Le dimanche arrivé, tout notre monde accourut, à l'exception +de Rosemauve, qui se dit malade. Tendrelys vint seule, et +d'elle-même. Traitdamour ne l'avait pas trouvée chez elle, et +il était déjà fâché. Mais il fut ravi, en entrant avec sa soeur +et sa maîtresse, de la voir auprès d'Ingénue, qui lui suçait +le sein découvert!... Il l'en remercia, en lui baisant le cul +et le con. Cordaboyau et Brisemote arrivèrent les derniers. On +se mit à table, dès que Cordaboyau, envoyé chez Rosemauve, eut +annoncé qu'elle ne viendrait pas. Il remit en même temps un +billet de la malade pour ma fille. Ingénue le parcourut bas +d'abord; puis elle nous le passa. Traidamour lut par mes +ordres. Le voici: + + +'Divine amie! Reçois les actions de grâces que je rends à ton +connin et à tes souliers... Hier jeudi fête-Dieu (la lettre +était du vendredi), j'avais mis la chaussure que tu m'as +prêtée, pour faire bander un clerc de notaire, amant de ma +soeur Rosalbe, à laquelle je le voulais enlever. J'avais aussi +ton grand bonnet battant-l'oeil, qui me va si bien, à cause de +mes grands yeux noirs, la robe, la jupe blanche sur fond rose, +comme toi. Je m'avisai de me donner ton joli tour de cul. Dans +la rue des Cinq-diamants, j'entendis derrière moi: "C'est +elle!... Oui, c'est elle! c'est ma déesse!..." On m'aborde. +"Ah! ma belle! vous voilà si près de chez moi, que vous y +monterez, puisque votre père y est venu!..." Il m'a pris le +bras; je me suis laissée mener; pensant bien qu'en me +reconnaissant, il me laisserait aller, surtout après m'avoir +foutue. Point! il ne se désabuse pas!... Il est vrai qu'il +m'avait introduite dans un appartement au premier à très +sombre jour. Il tombe à mes genoux, ou plutôt aux vôtres. "Vos +traits, belle Saxancour, sont un peu différents de ce qu'ils +m'avaient paru; mais vous n'en êtes pas moins une brune +adorable. C'est que j'ai toujours plus regardé vos pieds, dont +je suis fou, que votre visage, tout charmant qu'il est. Aussi +les reconnais-je parfaitement, ainsi que tout le reste de +votre parure... M'aimerez-vous?" J'ai cru devoir répondre oui. +"Ah! je suis trop heureux!" Il m'a pris mille baisers, en me +faisant darder la langue, m'a patiné les tétons, saisi la +motte, renversée sur un large sofa, troussée, foutue... J'ai +remué du cul! je lui ai donné du plaisir... Ah! vous me +connaissez?... Ça fait, il m'a présenté à laver, m'a fait lui +verser de l'eau sur le vit, m'a essuyé con et cul, m'a baisé +la motte et les fesses; puis a dit à sa femme de charge: "Le +dîner est-il prêt?" -- "Dans un demi-quart d'heure" -- "Après le +verre d'Alicante, descendons, ma belle!" Nous sommes descendus +chez le notaire voisin. Six mille francs par an, 500 francs +par moi, d'avance... J'ai signé la minute, et je suis remontée +dotée, comme j'étais descendue foutue. Nous avons dîné +tête-à-tête. Dès que les domestiques ont été retirés, il m'a fait +mettre à nu mes tétons; puis il m'a enivrée de champagne. Il +s'est lavé le vit dans un verre mousseux. Je l'ai aussitôt +avalé... Enchanté de ce trait, il m'a mis son vit sur les +lèvres. Je le lui ai embouché, sucé! Il s'est récrié de +plaisir, en me disant: "Tu es ma déesse, la putain faite pour +moi. Je ne veux pas te décharger en bouche; je veux garder mon +foutre pour ton con. Montre-le-moi, que je le baise; et adieu +jusqu'à demain... Mon carrosse! (a-t-il dit à sa femme de +charge, qui m'épongeait le cul et le con). Il m'a remenée. + +J'aurai mon appartement chez lui ce soir. Je suis restée tard +au lit, y étant toute embaumée, et enveloppée dans deux peaux +de veaux, qui m'ont été apportées hier soir encore chaudes; +afin d'avoir la peau des cuisses et des fesses presque aussi +satinée que vous. Ainsi, belle Conquette! je vous dois ma +fortune. J'en remercie votre adorable con, et surtout votre +voluptueuse chaussure. En chemin, mon généreux fouteur m'a +promis que dans très peu de temps il me ferait enculer en sa +présence, par un joli jockey, auquel il s'est déjà fait +enculer lui-même deux fois, dans deux circonstances où il +avait ressenti au trou du cul un violent prurit. C'a été son +expression. Adieu... ou avit, ô divine fouteuse!' + + +Nous fûmes tous ébahis! Tendrelys embrassa Conquette-Ingénue, +en s'écriant: + +-- Ah! si l'on vous connaissait!... + +Je voulais aller détromper mon gendre volé. Ma fille m'en +empêcha: + +-- Il n'était l'amant que de ma chaussure; il ne lui est pas +infidèle; il a tout ce qu'il lui faut. + +Tendrelys applaudit à cette réponse: + +-- Je ne dis mot: mais je n'en pense pas moins, ajouta-t-elle. + +La Brideconnin, pour être plus à nos parties, qui lui +donnaient des plaisirs inconnus, avait fait venir chez elle, +ce jour-là, une soeur de son mari, fort grêlée; mais la plus +provocante tétonnière de 18 ans qu'on puisse voir. La garce ne +croyait pas que la laideron tenterait, toutes nos dames étant +jolies, et deux parfaitement belles. Ce fut cette tétonnière, +faite au tour, à taille guêpée, comme les Comtoises, qui nous +servit. Mais dès qu'elle eut fait bander, pour lui éviter de +la peine, les hommes allèrent chercher les assiettes... Au +dessert, on me somma de raconter l'histoire des cons dépucelés +dont avait parlé Minone, et que Mme Ingénue-Conquette m'avait +empêché de faire à souper, de peur qu'elles ne fussent trop +savoureuses! J'y consentis. + + + + +Chapitre XLVIII Histoire des phénix dénichés. + + +Je vais (dis-je en m'essuyant la bouche, et baisant les tétons +de mon active fouteuse) vous conter comment j'ai dépucelé +Victoire-Beauxtalons; Virginie-Moteblonde; Rosalie-Con-Rose, +ainsi que Suzonète, sa soeur cadette; Manon-Aurore-Sourismignard; +Léonor-Robé, femme de Margâne le parfumeur; la +seconde et la troisième Consfriands, Saccadine et Voixflûtée. + +La première fois que je vis la voluptueuse Beauxtalons, elle +était en déshabillé brun, bas fins de coton, souliers de +maroquin noir; talons plus hauts que ceux de Conquette. Elle +me donna des désirs violents; je la suivis; c'était le soir. +Elle entra dans l'allée à côté de la boutique de sa mère. +L'escalier était obscur. J'étais sur ses talons. Elle ouvrit +le premier, dont les volets étaient fermés. Nuit profonde. +J'étais entré avec elle. + +-- Ah! c'est vous, Monsieur Copahü, dit-elle en m'entendant +respirer... + +Je lui mis la main sous la jupe. + +-- Oh! voilà toujours comme vous faites!... Laissons donc les +volets fermés. + +Je cherchais un lit. Elle y recula. Je l'y renversai. + +-- Mon dieu! allez, que vous êtes terrible! + +Et elle s'arrangeait néanmoins commodément pour tous deux. +J'insère. Elle riposte, en disant: + +-- Il faut bien faire comme ça, sans quoi vous dites qu'on ne +vous aime pas. + +La jouissance fut délicieuse, quoique simple et sans +accessoires. Mais Victoire était si belle, et je l'avais tant +désirée!... Je voulais sortir sans être connu. On frappa. Je +suivis ma monture effrayée qui courait ouvrir, quoique je la +retinsse. en disant: + +-- C'est ma mère, ou ma soeur. Restez ou sortez, comme il vous +conviendra? + +-- Je sors. + +Elle + + +[ici s'arrête le volume imprimé] + + + + + + + + + +End of the Project Gutenberg EBook of L'Anti-Justine, by +Nicolas-Edmé Restif de la Bretonne + +*** END OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK L'ANTI-JUSTINE *** + +***** This file should be named 26804-8.txt or 26804-8.zip ***** +This and all associated files of various formats will be found in: + https://www.gutenberg.org/2/6/8/0/26804/ + +Produced by Daniel Fromont + +Updated editions will replace the previous one--the old editions +will be renamed. + +Creating the works from public domain print editions means that no +one owns a United States copyright in these works, so the Foundation +(and you!) can copy and distribute it in the United States without +permission and without paying copyright royalties. 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It exists +because of the efforts of hundreds of volunteers and donations from +people in all walks of life. + +Volunteers and financial support to provide volunteers with the +assistance they need, is critical to reaching Project Gutenberg-tm's +goals and ensuring that the Project Gutenberg-tm collection will +remain freely available for generations to come. In 2001, the Project +Gutenberg Literary Archive Foundation was created to provide a secure +and permanent future for Project Gutenberg-tm and future generations. +To learn more about the Project Gutenberg Literary Archive Foundation +and how your efforts and donations can help, see Sections 3 and 4 +and the Foundation web page at https://www.pglaf.org. + + +Section 3. Information about the Project Gutenberg Literary Archive +Foundation + +The Project Gutenberg Literary Archive Foundation is a non profit +501(c)(3) educational corporation organized under the laws of the +state of Mississippi and granted tax exempt status by the Internal +Revenue Service. The Foundation's EIN or federal tax identification +number is 64-6221541. Its 501(c)(3) letter is posted at +https://pglaf.org/fundraising. Contributions to the Project Gutenberg +Literary Archive Foundation are tax deductible to the full extent +permitted by U.S. federal laws and your state's laws. + +The Foundation's principal office is located at 4557 Melan Dr. S. +Fairbanks, AK, 99712., but its volunteers and employees are scattered +throughout numerous locations. Its business office is located at +809 North 1500 West, Salt Lake City, UT 84116, (801) 596-1887, email +business@pglaf.org. 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Thus, we do not necessarily +keep eBooks in compliance with any particular paper edition. + + +Most people start at our Web site which has the main PG search facility: + + https://www.gutenberg.org + +This Web site includes information about Project Gutenberg-tm, +including how to make donations to the Project Gutenberg Literary +Archive Foundation, how to help produce our new eBooks, and how to +subscribe to our email newsletter to hear about new eBooks. diff --git a/26804-8.zip b/26804-8.zip Binary files differnew file mode 100644 index 0000000..7e514b4 --- /dev/null +++ b/26804-8.zip diff --git a/LICENSE.txt b/LICENSE.txt new file mode 100644 index 0000000..6312041 --- /dev/null +++ b/LICENSE.txt @@ -0,0 +1,11 @@ +This eBook, including all associated images, markup, improvements, +metadata, and any other content or labor, has been confirmed to be +in the PUBLIC DOMAIN IN THE UNITED STATES. + +Procedures for determining public domain status are described in +the "Copyright How-To" at https://www.gutenberg.org. + +No investigation has been made concerning possible copyrights in +jurisdictions other than the United States. 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